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Afrique

Un autre candidat à la présidentielle

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 02/05/2019 - 07:45
Le Calame - On est bien entré dans la saison des candidatures à la présidentielle. Après l’annonce presque officielle de la candidature de O....
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Communiqué final du Conseil de choura National de Tawassoul [PhotoReportage]

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 02/05/2019 - 07:00
Tawassoul - La première session ordinaire du Conseil de choura national du parti “Tawassoul”, Rassemblement National pour la Réforme et le...
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Regards d’Ailleurs avec Mohamed LAM, écrivain

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 02/05/2019 - 06:30
RMI-Info - Pour sa première de l’année 2019 votre émission Regards d’Ailleurs reçoit un jeune essayiste mauritanien, qui vient de publier...
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Aleg : D’anciens "coalisés" avec Ould Oudaa rallient le groupe du maire Mohamed Ould Ahmed Challa.

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 02/05/2019 - 01:30
Elhourriya - Le Carrefour d’Aleg a été ce samedi soir, 03/02/2019, le théâtre d’une important manifestation politique consistant en le...
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Frappes françaises au Tchad : Paris à la rescousse d'Idriss Deby

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 02/05/2019 - 01:00
La Tribune Afrique - En provenance de la Libye, la progression de la colonne de 40 pickups d’un groupe armé a été stoppée net dans l’extrême...
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Le pape François en visite à Abu Dhabi, terre d’islam

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 02/05/2019 - 00:30
Ouest-France - C’est un voyage historique dans la capitale des Émirats Arabes Unis où les catholiques, en majorité philippins, attendent...
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L’érudit Ould M’Balla : « Fraternité humaine » signifie la coexistence de tous dans la paix et la sécurité

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 02/05/2019 - 00:00
Adrar-Info - Le président du Conseil suprême de la fatwa et des recours gracieux, en Mauritanie, Cheikh Mohamed Mokhtar Ould M’Balla a...
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Le procureur requiert de lourdes peines et amendes

24 Heures au Bénin - Mon, 02/04/2019 - 23:19

Le procès relatif au scandale de la structure illégale de placement d'argent ICC-Services a repris ce lundi 04 février 2019 à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
Entamée depuis le 17 décembre dernier, cette 30ème journée d'audience est consacrée au démarrage des plaidoiries des avocats de la partie civile notamment de l'Etat béninois.

A l'entame de l'audience, le président de la Cour Edouard Cyriaque Dossa a rappelé à tout un chacun les règles du métier d'avocat. Se basant sur les textes de règlement, il a invité les avocats à s'abstenir de toute attaque. « A travers vos prises de parole, c'est l'image du barreau que vous incarnez », a notifié le président de la Cour.
« Nous allons faire notre travail dans le respect des principes du métier », rassure Me Hervé Gbaguidi, avocat de la défense.

Plaidoiries des avocats de l'Etat béninois

Comme annoncé par Me Olga Anassidé lors de la dernière audience, c'est son confrère Me Marie-José Gnonhoué qui a commencé avec les plaidoiries. Il a évoqué les conditions de création de la structure ICC-Services, laquelle est fondée par Guy Akplogan, interdit d'exercice en Côte d'ivoire pour la même activité. De son retour au Bénin, Akplogan a créé la structure avec ses amis fidèles de l'église du christianisme céleste. Selon l'avocat ils ont exercé les activités de collecte d'épargne et de placement d'argent en se mettant aux travers des principes du pays en utilisant « une technique de communication très efficace ». Cette dernière consiste à « informer de bouches à oreilles, ce qui leur a permis d'avoir beaucoup de clients ».
« L 'Etat n'est pas resté passif », a déclaré Me Gnonhoué. Il a cité les actions menées par l'Etat béninois notamment celles de la cellule de surveillance des structures financières décentralisées. Aussi, a-t-il rappelé la réunion qu'a tenue la BCEAO avec les responsables de ICC-Services, et l'arrestation des promoteurs de la structure par la Brigarde économique financière (BEF).
« L'Etat béninois a pris ses responsabilités parce que c'était un dossier inédit et il fallait agir mais pas dans la précipitation », a souligné l'avocat. A en croire Me Gnonhoué, l'Etat béninois a joué un grand rôle pour empêcher cette activité. Les responsables de ICC-Services « sommés pour régulariser leurs activités et après étude le dossier a été rejeté. Mieux, l'Etat a introduit une plainte contre les promoteurs de ICC-Services », a fait remarquer l'avocat de l'Etat béninois.
Abordant le côté technique du dossier ICC-Services, Me Spéro Quenum a fait son développement autour de la constitution des infractions commises à savoir : l'escroquerie avec appel au public et l'exercice illégal d'activités bancaires. Il renseigne que l'escroquerie concerne les accusés tels que Guy Akplogan, Emile Tégbénou, Clément Sohounou, Pamphile Dohou. Se fondant sur l'article 5 du code de procédure pénale, Me Quenum informe que les promoteurs de ICC-Services dans leurs activités illégales ont promis aux déposants un taux mirobolant de 160 %.
Pour lui, les activités pastorales chimères et d'autres activités que les promoteurs de ICC-Services ont évoqué ne peuvent pas permettre de payer les victimes. « Nous avons eu l'occasion de le constater à travers une vidéo projection effectuée devant votre Cour. Monsieur le président, il est impossible que ces activités puissent permettre de payer ces intérêts faramineux promis », a soutenu Me Quenum.
L'avocat poursuit : « Les fonds des clients ont permis aux promoteurs de se faire une fortune. En témoignent les nombreuses réalisations qu'ils ont réalisé comme les biens meubles et immeubles. J'ai même eu à prendre acte de ce que Monsieur Tihoundro a reconnu que les fonds des nouveaux déposants servent à payer les intérêts des premiers. C'est établi qu'il s'agit d'escroquerie ».
Selon l'avocat, « lorsqu'on reçoit des fonds que l'on emploie pour son propre compte, ces activités sont réservées exclusivement pour les banques. Et lorsqu'on mène ces activités de façon illégale, on enfreint ainsi à la loi ». Ainsi, les promoteurs de ICC-Services se sont rendus incontestablement coupables en violant la loi portant réglementation bancaire.
D'après Me Quenum, la recevabilité de la partie civile trouve son sens au regard des préjudices causés à l'Etat béninois. « Beaucoup de personnes sont grabataires du fait de ce dossier », précise-t-il. Par leurs activités illégales, poursuit l'avocat, les accusés ont causé de manques à gagner à l'Etat en ne payant pas les impôts. Leurs activités ont causé aussi une baisse de production à l'Etat. « Si le Bénin n'a pas connu le pire comme ce fut d'autres pays, c'est du fait des moyens colossaux investis pour la gestion de cette affaire », a signalé Me Quenum. Il prie la Cour de condamner les accusés à payer à l'Etat béninois, le franc symbolique pour les infractions pour lesquelles les responsables sont poursuivis.

L'Etat béninois n'est pas complice

En se basant sur l'article 249 du code de procédure pénale, Me Quenum défend que l'Etat béninois n'est pas complice avec les promoteurs de ICC-Services. Toutes ces personnalités politiques qui ont agi, explique-t-il, l'ont fait du fait de leurs relations avec ces promoteurs et ça n'engage qu'eux. « S'il était établi la commission d'une infraction par ces derniers, cela n'engagera pas l'Etat béninois », a précisé l'avocat.
Cet avis est partagé par Me Olga Anassidé qui annonce que « l'Etat n'est pas coupable de cette affaire parce qu'il n'a jamais donné l'agrément à cette structure ». Toutefois, elle soulève la problématique de la fragilité des citoyens, de la société civile, de l'église et surtout de l'Etat à travers ceux qui ont exercé à l'époque.
Aux dires de l'avocate, « il va falloir rendre coupable tous les fonctionnaires de l'Etat qui ont favorisé cette affaire et ils vont subir seuls ce qu'ils ont posé comme actes ». Me Anassidé a interpellé le président de la République d'alors qui « de par ses actes a fait intrusion dans le judiciaire favorisant ainsi le flou dans la gestion de dossier ».
Dans ce registre, poursuit-elle, des ministres et des hauts cadres ont apporté l'appui aux promoteurs en leur fournissant des garde de corps, des armes, en les aidant ainsi à exercer leurs activités pour à leur tour tirer des intérêts.
Me Anassidé invite la Cour a lancé une poursuite à leur encontre.
« Ce procès doit éveiller dans la conscience de chaque Béninois que seul le travail libère », a lancé l'avocate.

Plaidoiries des avocats des victimes

Défendant les intérêts des déposants, Me Cassa Gustave a orienté sa plaidoirie sur la responsabilité de l'Etat. Selon lui, « la structure ICC-Services n'est pas illégale mais leurs activités à un moment donné étaient illégales mais à bénéficier de la complicité de l'Etat pour exercer ». Il est revenu brièvement sur les faits en abordant l'historique de ICC-Services, les moyens utilisés par la structure et les actions menées par le président de la République d'alors. Des actions qui selon lui ont fait obstruction à la manifestation de la vérité et au bon fonctionnement de la justice.
S'appuyant sur une bride du rapport du Fonds Monétaire International (FMI), l'avocat certifie la responsabilité de l'Etat dans l'affaire ICC-Services. « Le même rapport a dit que FMI a tenté de comprendre comment les initiateurs de ces structures ont opéré pendant une longue période sans être arrêtés », a informé Me Cassa en ajoutant que ledit rapport a même indexé les victimes qui constituent ses clients.
Intervenant à la suite de Me Cassa, l'avocate Affougnon fait savoir que « l'ensemble du peuple est tombé dans ce piège parce que les fondements sont renversés, parce que la loi n'est plus respectée ». Sur la base des articles du code pénal, elle a démontré que les accusés sont coupables des crimes mis à leur charge. « Oui, il y a eu de l'escroquerie en bande organisée qui a touché beaucoup de victimes, ce qui donne une situation aggravante à cette affaire », a déclaré Me Affougnon. Elle l'a démontré à travers l'élément moral, intentionnel et matériel.
L'avocate ajoute qu'il y a eu appel au public à travers la publicité, du démarchage, des sorties médiatiques, les affiches au niveau des agences. L'avocate note également l'exhibition avec les hommes politiques, les hauts dignitaires des églises. Une situation qui a « motivé les victimes à croire au sérieux de ICC-Services ».
Elle convie la Cour à retenir les 5 personnes déférées devant elle dans les liens des infractions énumérées. L'avocate a demandé de condamner Grégoire Ahizimé, ex coordonnateur de la cellule de surveillance des structures financières décentralisées pour les faits de recel d'escroquerie. « Grégoire Ahizimé est un agent de l'Etat et devrait faire consciencieusement son travail sans chercher à recevoir de l'argent de quiconque. Qu'il plaise à votre Cour de les condamner à une peine conforme à la loi », a-t-elle lancé.
Quant à Me Alain Orounla, il a salué la détermination de la Cour à aller au bout de ce procès qui après deux tentatives d'avortement a pu avoir finalement lieu. Partageant l'ensemble des démonstrations de ses confrères qui l'ont précédés, il notifie que lors de leur passage à la barre, aucun regret n'a été observé dans le visage des promoteurs. « Quand je veux parler de ce procès, ce sont ces habitudes que je dénonce. Il ne suffit pas dire que c'est Guy Akplogan et compagnie qui ont organisé cette affaire et puis c'est fini. Il faut faire en sorte que les victimes rentrent dans leurs droits et que les autorités complices soient sanctionnées », a exprimé Me Orounla.
Pour l'avocat, il y aura justice si ce procès au-delà de sa vertu pédagogique, permet de de dédommager les victimes. « L'Etat doit réparer les dommages qu'il a contribué à instaurer », insiste Me Orounla. Ce dernier invite la Cour à une justice en rendant responsable l'Etat. Il souligne que les avocats des victimes s'opposent à la constitution de l'Etat en tant que partie civile.

Les réquisitions du procureur spécial

Dans le fauteuil du ministère public, Ulrich Togbonon a fait près de deux heures d'horloge pour faire part de ses réquisitions. Il a procédé à l'historique des faits et examiné si les infractions mises à la charge des accusés sont constituées ou pas.
Selon le ministère public, l'infraction d'association de malfaiteurs n'est pas constituée pour Guy Akplogan dans la mesure où il est le seul concepteur de ICC-Services et en a défini les activités. A l'égard de Akplogan, Tégbénou, Dohou, Tihoundro et Sohounou, il retient l'infraction d'escroquerie avec appel au public et celle d'exercice illégale d'activité bancaire et de micro-finance.
Ainsi le procureur spécial a requis 10 ans d'emprisonnement ferme contre Guy Akplogan, Emile Tégbénou et Pamphile Dohou. Les accusations sont aussi assorties d'amendes de 150 millions de FCFA à Guy Akplogan, 125 millions de FCFA pour Emile Tégbénou et 100 millions de FCFA pour Pamphile Dohou.
Contre Etienne Tihoundro et Clément Sohounou, il est requis également 10 ans d'emprisonnement dont respectivement 9 ans et 8 ans fermes avec une amende de 75. 000.000 FCFA chacun.
Aussi, le procureur a-t-il requis contre Michel Agbonon 10 ans d'emprisonnement dont 8 fermes.
Pour le cas de Grégoire Ahizimé, le ministère public notifie que l'accusé n'a pas reconnu les faits à lui attribuer. Variant dans ses déclarations à la barre, Grégoire Ahizimé n'a pas ignoré l'origine illicite des fonds qu'il a reçus des promoteurs de ICC-Services. Ulrich Togbonon a donc requalifié l'infraction de faits de corruption en blanchiment de capitaux. Le procureur spécial a requis pour Grégoire Ahizimé, 5 ans d'emprisonnement dont 30 mois fermes et 5.000.000 FCFA d'amende.
Brice Kouton alias Louba, a été convoqué deux fois mais ne s'est pas présenté. Il ressort au regard des pièces du dossier qu'il est coupable de complicité d'escroquerie avec appel au public. Aussi, Murielle Kouton s'est-elle également rendue coupable de complicité d'escroquerie avec appel au public. Le procureur spécial demande à la Cour de les maintenir dans les liens de cette prévention en condamnant Brice Kouton et Mireille Kouton à 5 ans de prison ferme pour chacun et 5.000.000 FCFA d'amendes et un mandat d'arrêt décerné contre eux.
Pour le cas de Justin Dimon, le ministère public doute de ce qu'il avait connaissance de l'origine des ressources qu'on lui remettait et demande à la Cour de ne pas le maintenir dans les liens de la prévention. Le ministère public demande l'acquittement de Justin Dimon au bénéfice du doute.
Pour les victimes, Ulrich Togbonon explique : « Il faut trouver de circonstance atténuante pour les victimes. Le système d'alerte relatif à ces faits a failli. Les services du ministère des finances ne se sont pas montrés vigilants. Il faut y voir le manque de coordination. Les enquêtes dans les banques auraient pu être lancées contre les promoteurs de ICC-Services. Les organisations de la société civile et des syndicats devraient également tirer la sonnette d'alarme en allant même en grève. Il s'agit là d'une complicité collective. Ce sont ces analyses qui nous amènent à ne pas poursuivre les victimes sinon on devrait les poursuivre ».
Selon le procureur spécial, le gouvernement béninois au regard des faits a failli dans sa mission. Le ministère public demande la poursuite de Thomas Boni Yayi, Kogui N'douro, Grégoire Akofodji, Abou Rébecca Yayi, et Armand Zinzindohoué.
C'est sur les réquisitions du ministère public que le président de la Cour a suspendu l'audience qui va se poursuivre le mardi 05 février 2019.

Akpédjé AYOSSO

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Mauritanie: Concert Oriazul + Blakanyra

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 02/04/2019 - 23:15
IfM - Le groupe capverdien Oriazul revient en Mauritanie. Avec ses chansons au rythme du funana, de la coladeira (musique emblématique de la...
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Elections présidentielles 2007-2019 : différences et similitudes

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 02/04/2019 - 22:30
Adrar-Info - Les élections présidentielles de 2007 sont les seules, jusqu’aujourd’hui, où des candidats soutenus par l’Armée et...
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Tchad: raid français contre des rebelles de l’UFR

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 02/04/2019 - 21:45
RFI - La tension est montée d'un cran ces dernières heures au Tchad avec des frappes de l'aviation françaises dans l'est du pays. Des mirages...
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65 kg d’or extrait du gisement Gleib N’Dour dans le Tiris Zemmour

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 02/04/2019 - 21:00
Adrar-Info - Selon des sources locales, les ventes d’or extrait de la zone de Gleib N’Dour, dans la wilaya du Tiris Zemmour, à l’agence de...
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Le Bénin affiche un record de performance

24 Heures au Bénin - Mon, 02/04/2019 - 20:30

Le ministre de l'économie et des finances, Romuald Wadagni et le président de la Commission de l'Union économique et monétaire Ouest-Africaine(Uemoa), Abdallah Boureima, ont tenu ce lundi 4 février 2019, à l'hôtel Golden Tulip de Cotonou, la 4ème revue annuelle des réformes, politiques, projets et programmes communautaires de l'Uemoa au Bénin.
Selon le président de la Commission de l'Uemoa, « à l'issue de l'évaluation, il ressort qu'en 2018, le Bénin affiche un taux de mise en œuvre des réformes de 80,2% contre 63,7% en 2017 ». « Un record de performance jamais égalé dans aucun autre pays de l'Union depuis l'institution de la revue en 2013 », a-t-il notifié. Abdallah Boureima a précisé que conformément aux dispositions pertinentes de la Décision du Conseil des ministres du 19 décembre 2013, la revue 2018 a été précédée d'une revue technique, sanctionnée par un mémorandum adopté par consensus et que les participants vont examiner afin d'en rendre compte au président de la République.
Au cours de cette revue technique, les équipes du Bénin et de la Commission de l'Uemoa, souligne-t-il, ont travaillé dans une ambiance empreinte de de franche collaboration, de professionnalisme et d'objectivité. Après ses civilités au président de la Commission et aux commissaires de l'Uemoa, le ministre de l'économie et des finances, Romuald Wadagni a informé qu'étant de l'Union, le Bénin a deux grandes familles d'engagements. « Nous avons des engagements qui sont liés aux textes que ce soient des règlements, des directives pris au niveau de l'Uemoa que nous devons internaliser, mettre en œuvre », a-t-il précisé. Ces différents textes et directives selon lui, visent à créer les conditions d'une meilleure intégration économique des pays.
Le 2ème niveau d'engagement, poursuit-il, concerne tous les projets/programmes et soutiens obtenus au niveau de la Commission. Pour le ministre de l'économie et des finances, aujourd'hui, le Bénin bénéficie d'un portefeuille d'à peu près une quarantaine de milliards de francs CFA, qui concerne aussi bien les secteurs du cadre de vie, le secteur des infrastructures et des transports. Le 2ème volet de l'engagement du Bénin concerne tous ces projets et programmes qui sont soutenus par la Commission et permettent d'améliorer les conditions de vie des populations, le cadre de vie et les infrastructures.
Romuald Wadagni a exprimé ses remerciements à la Commission pour tout le soutien et tous les travaux effectués ensemble depuis plusieurs années. L'objectif de cette revue annuelle, conclut le ministre, c'est de faire le point de ces deux aspects.
Cette revue annuelle a connu la présence des ministres José Didier Tonato du cadre de vie et du développement durable, de Alassane Seïdou des infrastructures et des transports, de Marie-Odile Attanasso de l'enseignement supérieur et de Aurélie Adam Soulé Zoumarou de l'économie numérique et de la communication.
Les travaux de cette revue s'achevent ce mardi 05 février 2019 par la remise officiel des résultats de l'évaluation consignés dans le mémorandum consensuel, au chef de l'Etat Patrice Talon.
F. Aubin AHEHEHINNOU

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Nouvel échec des négociations entre la tutelle et les syndicats

Algérie 360 - Mon, 02/04/2019 - 20:17

Le ministère de l’Education nationale réunira, ce lundi, quatre syndicats sans la participation de “l’intersyndicale” qui a opté pour le boycott de cette rencontre consacrée au débat du dossier des œuvres sociales.

Le ministère de l’Education nationale réunira, ce lundi, quatre syndicats sans la participation de “l’intersyndicale” qui a opté pour le boycott de cette rencontre consacrée au débat du dossier des œuvres sociales. Pour les syndicats affiliés à l’intersyndicale, la tutelle temporise et n’a aucunement l’intention de s’asseoir à la table de dialogue.

Il est utile de rappeler que le collectif des syndicats autonomes a accordé à la tutelle un ultimatum, afin de prendre en charge leurs revendications à travers des réponses écrites, qui expirera le 15 de ce mois.

Par ailleurs, les partenaires sociaux ont décidé de ne pas prendre part à la réunion qu’a convoquée ce lundi la ministre de l’Education, Nouria Benghabrit, soutenant  que le point portant sur les œuvres sociales n’a rien d’urgent, eux qui ont proposé jadis d’organiser un “référendum national” auquel participeront tous les syndicats.

En outre, ils devront bouder également la rencontre de mercredi où il sera question d’examiner les dysfonctionnements du statut particulier des professionnels du secteur.

A ce propos, Boualem Amoura, président du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef) a indiqué à Echorouk que la tutelle a convoqué les syndicats de l’intersyndicale pour prendre part à des réunions successives consacrées à débattre du dossier des œuvres sociales dont la ministre a tranché ,à elle seule, sans impliquer les partenaires sociaux.

Le président de Satef a fait savoir que le deuxième dossier étant celui du “statut particulier des professionnels du secteur” – est actuellement en étude- après avoir été transféré à la commission intersectorielle regroupant le ministère de l’Education, les Finances, l’Enseignement supérieur et la Direction générale de la Fonction publique qui sont appelés à revoir ses lacunes.

Pour lui, la tutelle joue la montre car sa démarche visant à associer les syndicats signifie que les dossiers en question seraient déjà tranchés ou en étude, qualifiant ainsi ces réunions de conjoncturelles.

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Le FCE obtient officiellement son agrément de syndicat

Algérie 360 - Mon, 02/04/2019 - 20:16

Le Forum des chefs d’entreprises se transforme officiellement en syndicat. Le FCE a annoncé aujourd’hui avoir obtenu auprès du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, en ce 4 février l’agrément  portant création du syndicat FCE sous le nom de « Confédération Forum des Chefs d’Entreprise ». Le Forum s’est d’ailleurs félicité « de l’aboutissement du processus de création du syndicat des Chefs d’entreprise, lancé en juin dernier, processus mené dans le respect de la réglementation et des lois de la République, en étroite collaboration avec les services du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale ». Pour rappel, le processus de transformation du FCE en syndicat a été entamé en janvier 2018, lors d’une Assemblée générale extraordinaire de l’organisation patronale. Le dossier de demande d’agrément a été déposé le 14 juin dernier, laissant supposer une dissolution du Forum en tant qu’association professionnelle, chose qui a été démentie par la suite, avant que la transformation du Forum en syndicat ne soit confirmée lors de l’assemblée générale ordinaire du FCE tenu le 15 décembre dernier.

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Les Présidents des Régions de la Mauritanie soutiennent la candidature de Ghazwani

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 02/04/2019 - 20:16
Selem cheybani - Nous, soussignés, Présidents des Régions de la Mauritanie, réunis en ce jour, vendredi 01 Février 2019, - Considérant...
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AMELIORATION DU CADRE DE VIE : Le gaz arrive enfin au bas-Mazagran !

Algérie 360 - Mon, 02/04/2019 - 20:15
Privés depuis si longtemps des bienfaits du gaz naturel qui alimente le reste de la ville de Mazagran, les citoyens de la partie basse de l’agglomération viennent d’être approvisionnés en ce produit si précieux en cet hiver si glacial, grâce à l’intervention du wali de Mostaganem, M.Rabehi Mohamed Abdenour.

Le samedi 02 Janvier 2019, la joie était si immense  à la partie basse de la ville de Mazagran, les citoyens étaient si contents  de voir enfin, le  gaz naturel alimentait  leurs foyers après une si longue attente. La cité des 80 logements  du bas-Mazagran  a été reliée  au réseau du gaz naturel  qui approvisionnait le reste de la localité. Cette bonne initiative  a été prise par le chef de l’exécutif, M.Rabehi Mohamed Abdenour, qui a promis de répondre à une doléance d’un citoyen qui a soulevé l’absence totale du gaz naturel au sein de la dite cité, lors  de la tournée d’inspection qu’il effectuait  en allant vers la ville de Hassi Mameche. Sur  ses recommandations, les services concernés n’ont point tardé à inscrire  le projet  en question  sur la liste des 44  cités  programmées  pour le raccordement en gaz naturel. Notons à ce sujet, que le programme d’approvisionnement en gaz naturel   a atteint sa deuxième phase et se poursuit toujours pour alimenter le reste des foyers des cités et autres agglomérations urbaines pour  être raccordés  à ce précieux produit   qui  est si utile et  si pratique pour ses multiples besoins, surtout  en cet hiver  pour le  chauffage des foyers . Soumia Bentoumi

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SECURITE SOCIALE : Zemali met en garde contre les fraudes

Algérie 360 - Mon, 02/04/2019 - 20:14
Le ministre du Travail, de l’emploi et de la sécurité sociale, Mourad Zemali a mis l’accent sur l’importance de « lutter contre toutes les formes de fraudes » dans l’accès aux différentes prestations fournies par le système de protection sociale, y compris la Caisse nationale des retraites (CNR), a indiqué un communiqué du ministère.

Présidant les travaux de la Rencontre nationale annuelle des directeurs des agences locales de la CNR, le ministre a rappelé la responsabilité qui incombe à l’ensemble des cadres du secteur, mettant l’accent sur la nécessité de  » protéger le système de la sécurité sociale et de retraites et d’assurer leur pérennité, notamment à travers la préservation de leur équilibre budgétaire par la rationalisation des dépenses, la consolidation des efforts en matière de recouvrement et la lutte contre toutes les formes de fraudes dans l’accès aux différentes prestations fournies ».  A cet égard, M. Zemali a souligné la nécessité de rationaliser les dépenses de gestion des caisses de sécurité sociale, y compris la CNR et de hisser la performance administrative des différents services de la Caisse, outre le renforcement du contrôle, du suivi et de la modernisation des outils de gestion dans ce domaine.  En sus de la nécessité de veiller et d’œuvrer à l’amélioration des conditions d’accueil et de prise en charge des préoccupations des retraités, en simplifiant les démarches administratives, le Premier responsable du secteur a mis l’accent, à cette occasion, sur l’importance de renforcer  l’utilisation des nouvelles technologies, à l’image des centre de données numériques de gestion et de traitement des dossiers, dans l’objectif d’assurer un service public de qualité au profit de cette catégorie.  A cette effet, le ministre a instruit les responsables des différents organismes sous tutelle, à l’effet d’une exploitation optimale et participative des moyens humains et matériels disponibles, outre l’échange des données et des bases de données, en vue de concrétiser davantage d’efficacité dans le performance.

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Régulation du trafic routier Alger : 25 carrefours « intelligents » opérationnels à la fin février

Algérie 360 - Mon, 02/04/2019 - 20:13

ALGER – Le directeur des Transports de la wilaya d’Alger, Rachid Ouezzane a fait état, lundi, de l’entrée en service, fin février en cours, de 25 carrefours pilotes « intelligents » dans la wilaya d’Alger, dans le cadre de l’exécution de la première phase du projet algéro-espagnol portant mise en place d’un nouveau système de régulation du trafic routier et d’éclairage public.

Vingt-cinq (25) carrefours équipés de système de régulation du trafic routier seront opérationnels à la fin du mois de février à travers les communes de Belouizdad et Sidi M’hamed (étape pilote), et ce, dans le cadre de la concrétisation du projet algéro-espagnol visant à améliorer et fluidifier la circulation routière et régler le problème des embouteillages, a indiqué à l’APS M. Ouezzane.

Doté d’une enveloppe de 19 Mds DA, ce projet dont la réalisation, en 3 phases, est prévue sur 55 mois, est confié à la société mixte algéro-espagnole mobilité et éclairage d’Alger (MOBEAL), composée de l’Etablissement de gestion de la circulation et du transport urbain (EGCTU), de l’Etablissement de réalisation et de maintenance de l’éclairage public de la wilaya d’Alger ainsi que de deux entreprises espagnoles spécialisées, a-t-il précisé, ajoutant que c’est là un projet « ambitieux » qui permettra de connaitre le trafic routier en temps réel, d’améliorer les conditions de déplacement, réduire la durée des voyages et tenir informé les usagers de la route via Internet.

Soulignant que la réception et la mise en marche des feux tricolores intelligents sur l’axe Place du 1er mai (Sidi M’hamed) – Belouizdad constituent la première phase, M. Ouezzane a expliqué que la zone pilote sera raccordée « temporairement » à un mini centre pilote au niveau de l’unité ETUSA de la Place du 1er mai afin de bien s’imprégner des particularités de ce système intelligent et de l’utilisation de nouveaux outils technologiques.

Cette première phase, concrétisée à hauteur de 40%, enregistre un retard dû à la topographie des sites, a-t-il ajouté. Le directeur des Transports d’Alger a évoqué la réception, d’ici octobre prochain, de 200 carrefours intelligents, dans le cadre de la première phase, à travers les communes d’Alger, notamment à El Biar, Alger centre et Kouba.

Il a fait état, dans ce sens, de l’achèvement des travaux de réalisation d’un centre de régulation à Kouba, devant entrer en service en octobre prochain après son aménagement et son équipement pour la gestion intelligente du trafic routier, la collecte des informations sur les flux de circulation grâce à des caméras de détection de véhicules. Des données analysées, par la suite, pour l’amélioration du trafic routier, a-t-il dit.

Concernant la deuxième phase, M. Ouezzane a fait savoir que le lancement est prévu début septembre prochain avec un délai de réalisation de 25 mois, déclarant qu’elle concerne la mise en place de 300 autres carrefours intelligents dans les communes d’Alger-est et d’Alger-ouest, outre la création d’un mini-centre de régulation du trafic routier de secours au niveau de la Cité des sciences (Alger), auquel il sera fait appel uniquement en cas de panne du centre de Kouba.

Quant à la troisième phase, devant être concrétisée en 18 mois, elle porte sur la gestion des moyens de transport commun, des parkings, tunnels et les accès, a-t-il ajouté soulignant que les données collectées via les caméras seront analysées pour tenir informés les conducteurs à travers un site électronique exclusivement destiné à l’information routière.

Ces carrefours « intelligents » et les trottoirs adjacents ont été aménagés pour être accessibles aux personnes aux besoins spécifiques et équipés d’un système sonore destiné aux non-voyants, et ce en coordination avec diverses associations, dans le cadre de la prise en charge de cette catégorie de la société, a-t-il conclu.

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Rencontre sur le code de la famille et les droits et devoirs communs entre conjoints

Algérie 360 - Mon, 02/04/2019 - 20:12

AIN TEMOUCHENT- Le législateur algérien a uniformisé, à travers les réformes introduites au Code de la famille, les droits et devoirs communs entre conjoints et permis à la femme une égalité avec l’homme, ont affirmé lundi à Ain Témouchent, des universitaires qui ont animé une journée d’étude sur la situation de la femme dans le système juridique national.

L’enseignante à la faculté de droit de l’université de Tlemcen, Sanae Cheikh, a fait remarquer que « le Code de la famille algérienne stipule que l’âge du mariage est fixé à 19 ans pour l’homme comme pour la femme et exige une autorisation du juge concernant les mineurs », précisant, par ailleurs que l’article 37 du Code de la famille reconnaît aux femmes la pleine liberté de disposer de leurs biens.

L’universitaire de Tlemcen, Mourad Benaouda Haskar, a mis l’accent, dans sa communication abordant les mécanismes permettant à la femme fonctionnaire d’assumer son rôle dans le développement durable, sur la nécessité de définir les postes ne permettant pas aux femmes d’exercer un métier vu sa pénibilité et les risques qu’elles peuvent encourir d’où le refus de l’employeur à recruter des femmes.

La présidente de la rencontre, Nassima Cheikh, de la faculté de Droit du centre universitaire « Belhadj Bouchaib » d’Ain Témouchent, a mis l’accent sur le principe d’équité entre les deux sexes, signalant que le législateur algérien a tenté, par le biais de réformes, de mettre en place des mécanismes à même de promouvoir la participation politique de la femme dans la prise de décision et la contribution au développement national durable.

« La consécration de cette équité permet à la femme d’être un élément efficace dans la société » et de préserver sa place et ses caractéristiques de femme et de mère partant des constantes et des valeurs de la nation.

Un débat ouvert entre conférenciers, étudiants et représentants d’associations locales a eu lieu au terme des communications présentées au cours de cette journée d’étude, organisée par la faculté de Droit du CU ‘Belhadj Bouchaib’ avec la participation d’universitaires des wilayas d’Oran, de Tlemcen, de Sidi Bel-Abbès et d’Ain Témouchent.

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