« Il faut que la classe politique se ressaisisse », invite Elvis Dagba
L'invité de l'émission Zone franche de ce dimanche 3 mars 2019 est le pasteur Elvis Dagba. Sur la situation politique actuelle avec le dépôt des dossiers à la CENA, le pasteur a démontré le faux entretenu par les opposants tout en exposant les bienfaits du gouvernement. Il a par ailleurs laissé franc jeu à l'ambition du chef de l'État pour le Bénin même s'il estime que le péché du gouvernement est l'insuffisance de communication sur ses actions.
« Dans la vie il faut savoir faire des bilans. Il faut prendre des résolutions », dira le pasteur sur son absence sur les médias depuis quelques années. Maintenant plus en politique, il affirme « Je suis un homme de Dieu. Je suis attaché à mon ministère et j'interviens aussi en politique quand il y a lieu. Je crois en Patrice Talon et en sa vision ». A l'en croire, « Les choses se passent comme cela devrait l'être. Les choses se passent suivant les textes. Nous sommes à un moment où chacun doit démontrer son attachement au pays. Chacun est dans son rôle et il faut laisser les institutions jouer leur rôle. Quand on est important il faut faire ce qu'il y a à faire. Il faut respecter les textes ». Selon lui, la situation que rencontrent les opposants n'est pas bien mais ils ont voulu. « A qui la faute ? », Se demande-t-il. Le pasteur pense que
« Ce n'est pas parce que quelqu'un ne va pas aux élections qu'il y aura problème. Quand vous passez votre temps à vous promener. Vous passez votre temps à parcourir les lieux où il ne faut pas aller. Vous passez à vous promener de maison mortuaire en maison mortuaire. Vous passez votre temps à vous plaindre, au lieu de vous y prendre très tôt pour vous conformer ». Il jette le tort sur les députés de l'opposition qui selon lui ne s'imprègnent pas des textes de lois à voter. « Les députés ne lisent pas forcément les lois qu'ils votent. Les députés de l'opposition disent de ne pas voter telle ou telle loi pourtant adoptée et promulguée. Mais le non aussi est un vote. Pour voter une loi, il faut lire avant de voter. Nos députés ne lisent pas la loi sinon ils n'allaient pas voter contre parce que cela porte des choses positives pour le pays. Ils rejettent même sans lire », martèle l'homme de Dieu.
Selon Elvis Dagba, « L'idée de la réforme dérive d'un constat. Il n'y a aucun mal en cela. La réforme du système partisan est là pour régler les problèmes des partis politiques. Le Bénin est entrain de démontrer aujourd'hui qu'il peut faire de grandes choses. Quand nous parlons de réformes, il y aura forcément des grincements de dents ». Il estime qu'il n'y a pas péril en la demeure car souligne-t-il, « Ce qui se passe est normal ». Les soulèvements parfois n'ont pas de sens selon lui. Il faut que chacun comprenne ce qu'il a à faire. Il pense que « Les politiciens doivent dire la vérité à leurs manifestants. Il y a des gens qui manifestent sans savoir pourquoi ils manifestent. Est-ce qu'il faut soulever la population pour une faute commise soi-même ? Est-ce qu'il faut inviter à la rébellion alors qu'on n'est pas dans son droit ? », s'interpelle l'invité. Il pense simplement que « L'opposition est dans la diversion. Au lieu de se concentrer sur ce qu'il y a à faire, elle ne le fait pas ». Pour lui, certains sont allés en congrès. Certains ont déposé des listes non signées alors qu'ils devaient bien lire les textes pour se conformer. « Pour moi, il y a une volonté manifeste de jeter de l'opprobre sur ce que le Chef de l'État fait. Il y a des cas par exemple sur ceux qui sont à l'extérieur. Ils ont commis des erreurs. Le cas Djènontin qui a publié sur les réseaux sociaux, un document administratif qui est contre la loi. Le peuple est intoxiqué. Il faut que la classe politique se ressaisisse. Il ne faut pas regarder la tête de celui qui dirige le pays pour tout refuser », estime Elvis Dagba. Même s'il pense que « La loi c'est la loi et elle s'applique à tout le monde et que les gens (ministère, Cena) se basent sur les textes. Certains peuvent ne pas être d'accord ». Pour cela, il estime qu'il faut qu'on pense à envoyer à l'Assemblée des gens qui ont un certain niveau donné et limiter le nombre de temps à faire. A la question d'expliquer le mobile du retour de presque tous les anciens députés de la mouvance en tête de liste des deux grands partis de la mouvance, il demande « Est-ce que tous les soutiens du chef de l'État sont positionnés. Non ? Est-ce qu'il y a des jeunes ? Oui ». Il fait savoir que « Le président est un homme méthodique. Même si on ne le comprend pas maintenant, on va le comprendre demain. Je voulais saluer les actions du Chef de l'État. Nous voyons les actions aujourd'hui alors qu'il y a un an ce n'est pas pareil ». Il ajoute que « Le président est resté dans la logique de ne pas faire la propagande inutilement ». Malheureusement il indique que, « On a tellement mélangé le peuple, les choses ont été dites méchamment contre le gouvernement ». A comprendre les actions du chef de l'État qui lui donne autant de courage, Elvis Dagba laisse entendre, « Nous avons un président bâtisseur, engagé. Vous avez vu le projet Arch a commencé. Ce qui m'impressionne quand vous suivez le président, il travaille pour un grand nombre. Il a de la vision et il est décidé à mettre de l'ordre ». Il n'a pas manqué d'apporter des arguments pour défendre la lutte contre la corruption engagée par le Chef de l'État surtout avec la promulgation de la loi sur la CRIET. Un vrai instrument contre l'impunité selon lui.
La seule chose que déplore le pasteur est le défaut de communication autour des actions du gouvernement. Pour lui, « La communication n'est pas bien faite. Il n'y a pas une réelle communication sur les actions. Il a laissé le temps à l'intoxication. Mais c'est le choix du chef de l'État ».
Giscard Amoussou
Le Conseil constitutionnel publiait le 21 février dernier un communiqué dans lequel il précisait les conditions de candidature à l’élection présidentielle du 18 avril 2019 et les délais de dépôt des dossiers.
«Faisant suite au communiqué n 01 du Conseil constitutionnel du 23 janvier 2019 portant conditions de candidature à l’élection présidentielle, le Conseil constitutionnel rappelle aux candidats à la Présidentielle du 18 avril que les conditions de candidature sont fixées à l’article 87 de la Constitution, renvoyant à d’autres conditions dans la loi organique 10-16 du 25 aout 2016 relative au régime électoral, notamment en ses articles 139 et 142», a informé le Conseil constitutionnel.
Dans le communiqué en question, il rappelle clairement que «le dernier délai de dépôt des dossiers de candidature pour l’élection du président de la République est fixé au 3 mars 2019 à minuit», et que «le dossier de candidature doit être déposé par le candidat en personne, après rendez-vous convenu auprès du secrétariat général du Conseil constitutionnel, contre accusé de réception, tous les jours y compris les vendredis et samedis».
Il explique également que «le dépôt des dossiers de candidature s’effectue sur rendez-vous pris au préalable sur les deux numéros ci-après 021790088, 021790041», et invite pour plus d’informations, les citoyens à consulter le site électronique du Conseil constitutionnel : http://www.conseil-constitutionnel.dz.
L’accès au site internet du conseil constitutionnel bloqué
Depuis ce dimanche matin, l’accès au site internet du Conseil constitutionnel est bloqué. Cela intervient au moment où se pose la question de savoir si la loi permet à un candidat de faire déposer son dossier par une tierce personne. Tout porte à croire que l’accès au portail du Conseil constitutionnel est verrouillé pour ne pas permettre l’accès au communiqué en question.
La dépêche de l’agence de presse officielle qui a répercuté le communiqué du 21 février du Conseil constitutionnel, est cependant toujours disponible sur le fil APS (voir photo article).
Mehdi Mehenni
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Grand soulagement pour les populations de Hoky et de Lonkly dans la commune d'Aplahoué. L'énergie électrique tant attendue est désormais à leur porté. Le ministre de l'énergie, Dona Jean-Claude HOUSSOU a procédé à l'inauguration dans ces deux localités, d'ouvrages électriques et leur raccordement au réseau de la Société béninoise d'énergie électrique (Sbee) ce vendredi 28 février 2019.
Dans la ferveur et la liesse populaire, les populations à travers les élus locaux, ont témoigné toute leur reconnaissance au gouvernement du chef de l'Etat Patrice Talon. « Ce jour de joie, est un jour que nous attendions il y a des décennies », ont-ils fait savoir.
Le directeur général de l'ABERME, Francis TCHÈKPO a présenté les caractéristiques des ouvrages réalisés. A Hoky, renseigne-t-il, l'ouvrage réalisé a une « Longueur réseau HTA 4000 m, Longueur réseau mixte 300 m, Longueur réseau BT 1500 m, Transformateur 100 KVA, 10 Lampadaires ». Les populations qui seront impactées par cet ouvrage sont estimées à 1000, pour un coût global de 100 millions de francs CFA, a précisé le directeur général de l'ABERME. A Lonkly, poursuit-il, l'ouvrage mis en service a une « Longueur réseau HTA 15900 m, Longueur réseau mixte 700 m , Longueur réseau BT 1000 m, Transformateur 160 KVA, 10 Lampadaires ». La population impactée par ce projet est estimée à 1500 pour un coût global de 200 millions de francs CFA. Francis TCHÈKPO pour finir a informé les populations du coût promotionnel de branchement qui s'élève à 90.000 F CFA.
« Quand Patrice TALON dit, il le fait. Il veut que vous ayez l'énergie électrique et c'est fait », a souligné le ministre Dona Jean-Claude HOUSSOU mettant l'accent sur le respect de la parole du chef de l'Etat. L'énergie que vous venez d'avoir, explique le ministre, va chasser définitivement l'obscurité, réduire considérablement le taux d'insécurité et permettre l'amélioration de vos conditions de vie et de travail.
Pour le ministre, « l'énergie constitue le socle de tout développement socio-économique ». Promettant aux populations de revenir très prochainement pour d'autres ouvrages, il les a invitées à prendre soins des ouvrages mis en service.
Pour l'inauguration de ces ouvrages, le ministre de l'énergie avait à ses côtés, le préfet du Couffo, Christophe Mègbédji et le maire par intérim de la commune d'Aplahoué, Sylvain DAHOUE.
Après l'étape d'Aplahoué, Dona Jean-Claude HOUSSOU et sa suite ont mis le cap sur le Togo pour la visite du chantier en cours sur le barrage de Nangbéto.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Les qualifications pour le tournoi final de football féminin des JO-2020 prévus à Tokyo (Japon) débuteront le mois prochain. Sur les 55 associations nationales que compte la CAF 25 vont présenter une sélection. Le tirage au sort effectué le 22 février dernier a réservé pour la sélection nationale dames son homologue du Tchad.
Les deux confrontations auront lieu entre les 1er, 2 et 3 avril et le retour se jouera entre les 9, 10 et 11 avril. La première manche est programmée à Alger. 11 rencontres sont programmées lors de ce premier tour, les équipes du Nigeria, du Ghana, le Kenya, la Guinée équatoriale, le Cameroun, l’Afrique du Sud et le Zimbabwe sont exemptes de cette première phase. Lors de la seconde étape programmée pour le mois d’octobre 2019, 8 matchs sont prévus et à l’issue desquels l’Afrique désignera ses quatre représentantes aux JO de Tokyo.
Lors de ce second tour, l’Algérie héritera des Super Falcons du Nigeria, championnes d’Afrique en titre, si, bien sûr, elle parvient à se tirer d’affaire face aux Tchadiennes le mois prochain. La dernière apparition des Vertes remonte à la CAN-2018 disputée au Ghana. Les filles de Radia Fertoul ont été sorties dès le premier tour après trois défaites concédées face au Ghana (1-0), le Cameroun (3-0) puis le Mali (3-2). Au lendemain de ce tournoi africain, la FAF avait limogé le staff technique. Son entraîneur, Radia Fertoul, a été suspendue par la CAF ainsi que le chef de la délégation, Amar Bahloul (membre du BF/FAF) pour quatre rencontres en sus d’une amende de 10 000 dollars et ce, à la suite d’incidents qui ont émaillé la fin de la rencontre Algérie-Mali.
Le recours de la FAF a reçu un niet catégorique de la part de la CAF. La joueuse Benlazar Myriam Yasmine a écopé, quant à elle, de deux matchs de suspension et ne sera donc pas concernée par la double confrontation face au Tchad. En hibernation depuis la dernière CAN, l’EN féminine attend toujours la nomination d’un nouvel entraîneur. Lors de son bureau fédéral en décembre, la FAF avait annoncé le limogeage de Radia Fertoul et «un nouveau sélectionneur national de l’équipe A féminine sera installé, il sera également chargé de la mission de DEN des sélections féminines», soulignait le communiqué fédéral.
Depuis, le DTN Ameur Chafik et ses responsables hiérarchiques sont à la recherche d’un successeur à Mme Fertoul. A un mois du début des qualifications africaines pour les JO-2020, l’on ne peut affirmer que la FAF est pressée d’expédier ce dossier.
M. B.
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Après les étudiants, c’est au tour des enseignants de l’enseignement supérieur de décider de manifester contre le cinquième mandat. Le Conseil national des enseignants du supérieur, (Cnes) a décidé de marquer l’événement en appelant à des rassemblements, le mardi 5 mars, au sein des universités sur tout le territoire national. L’appel a été lancé par les deux ailes du syndicat.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – C’est au tour des enseignants universitaires de dire non au cinquième mandat. Le Conseil national des enseignants du supérieur a déjà appelé les enseignants universitaires à participer aux côtés de la population lors des manifestations du vendredi, 1er mars. Le Cnes veut, cependant, que les enseignants universitaires puissent marquer, à l’instar de l’appel des étudiants, des journalistes et des avocats, leur soutien, à travers une action, aux manifestations populaires contre le cinquième mandat.
Le Cnes a donc lancé un appel à des sit-in à travers l’ensemble des universités du pays, pour ce mardi 5 mars. Pourtant, Abdelhafid Milat, coordonnateur du syndicat, explique qu’il ne veut pas que cette action ait un caractère syndical. «C’est une action politique et sociale de soutien au peuple qui s’est soulevé contre le cinquième mandat et nous ne voulons pas qu’elle soit une action syndicale, mais une action de l’ensemble des enseignants universitaires, car nous ne voulons pas que la famille universitaire reste en marge de ce mouvement populaire, nous voulons exprimer notre soutien et notre rejet comme l’ont fait les autres corps par une action pacifique, car nous devons jouer notre rôle par rapport à ce qui se passe dans le pays», a expliqué M. Milat.
Cette journée de mardi, dit-il, sera une journée de colère dans l’ensemble des universités du pays mais aussi une journée de soutien de la famille universitaire au peuple algérien. L’appel de ce mardi a été lancé par les deux ailes du Cnes. Les deux files conductrices du syndicat n’ont pas encore réussi à se réconcilier, mais semblent avoir trouvé un terrain d’entente pour cette action. «Oui, nous avons aussi appelé à des sit-in, pour ce mardi, au sein de toutes les universités du pays pour exprimer notre rejet du cinquième mandat et exprimer notre adhésion à ce mouvement populaire qui marque l’histoire de l’Algérie», a déclaré Abdelmalek Azzi, coordonnateur du Cnes également.
S. A.
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Un Beechcraft 1900 D de la compagnie Tassili Airlines a été victime ce matin d’un incident, rapporte le site d’information Alg24, citant un communiqué de Tassili Airlines.
« Un avion de travail aérien de type beech1900d immatriculé 7T/VIO, module 18 sièges, a été impliqué dans un incident ce dimanche 3 mars 2019 au niveau de l’aérodrome de OUARAGLA à 08h56 heure locale », précise le communiqué.
Par ailleurs, aucune victime ni blessé ne sont à déplorer. L’avion avait à son bord 13 passagers et 3 membres d’équipage.
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Les choses bougent au MC Alger ces derniers temps avec l’annonce de nouvelles décisions attendues notamment avec le renforcement des staffs administratif et technique. Les résultats en dents de scie qu’enregistre le MCA depuis quelque temps, la double élimination en coupe d’Algérie et en coupe arabe ont poussé des milliers de supporters à demander le départ de Kamel Kaci-Saïd notamment.
On parle ainsi de l’arrivée de Zoubir Bachi et de Zenir Abdelouahab ainsi que d’autres anciens joueurs du Mouloudia dont Betrouni et Ali Benchikh qui devraient former un directoire en remplacement à Kaci-Saïd d’autant plus que ce dernier avait annoncé son intention de partir. «Je pense sérieusement à démissionner de mon poste», avait-il, d’ailleurs, confié dans les colonnes d’El Khabar la semaine dernière. Toutefois, Ali Benchikh dément son arrivée au comité directeur. «J’ai eu une discussion avec Kaci-Saïd au siège du club, c’est tout, sans plus.
Tout ce qui a été dit n’est que pure allégation (…) Je n’ai eu aucune réunion avec des anciens joueurs. J’ai juste donné le numéro de téléphone de Bachi à Kaci-Saïd», a souligne Alilou dans les colonnes du quotidien sportif Le Buteur. Dans l’entourage du MCA, on annonce que plusieurs décisions seront prises ces jours-ci, notamment après le retour au pays du président de Sonatrach, Ould Kaddour.
Sur le plan technique, Adel Amrouche, l’entraîneur du MCA, espère remobiliser ses troupes pour la prochaine rencontre du championnat face à l’ES Sétif, prévue samedi 9 mars avec comme objectif battre l’Entente pour se relancer. «C’est un rendez-vous difficile qu’il ne faut pas rater», a ainsi mis en garde Amrouche ses joueurs en les incitant à se surpasser.
Ah. A.
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Après avoir terminé à la 19e place le scratch jeudi dernier, le coureur international algérien Yacine Chalel, engagé aux Championnats du monde de cyclisme sur piste qui se déroulent à Varsovie en Pologne, a terminé à la 22e place, vendredi soir, de la course aux points.
Une première participation qu’il juge très bénéfique et honorable pour un premier Algérien et l’unique Africain retenu dans ces championnats. «Fin de ces Championnats du monde avec une 22e place sur la course aux points. C’était une course terrible à tous les niveaux. 55,4 km/h de moyenne, pas besoin d’en dire plus. Je perds un tour dans le premier tiers, mais je parviens à m’accrocher dans le peloton jusqu’au bout.
Ces championnats sont une vraie réussite et j’en suis sorti grandi, c’est certain. C’est absolument incroyable, extraordinaire, j’en ai encore des frissons», a écrit Chalel sur sa page Facebook. L’objectif n°1 du sociétaire du Paris Club, triple médaillé de bronze aux derniers Championnats d’Afrique en Afrique du Sud, reste la qualification pour les Jeux olympiques 2020 de Tokyo avec la récolte d’un maximum de points.
Ahmed A.
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Les membres de l’assemblée générale de la ligue algéroise de basket-ball (LABB), qui ont pris part jeudi aux travaux de l’assemblée générale ordinaire (AGO), ont adopté à l’unanimité les bilans moral et financier de l’exercice 2018.
Les travaux de l’AGO, qui se sont déroulés au groupe Laïc, à Alger, ont connu la présence de 41 membres sur les 56 que compte l’assemblée générale. Et après avoir adopté les bilans de l’exercice précédent, les membres de l’AG ont approuvé le plan d’action de l’exercice 2019. Pour rappel, la LABB est la première ligue au niveau national en termes de nombre de licenciés ; elle en compte près de 7 000 licenciés sur les 22 000 que compte la FABB.
Ah. A.
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Le Conseil national des enseignants du supérieur (Cnes) a affirmé son soutien aux manifestations populaires et son adhésion de manière pacifique aux actions de rue menées dans différentes villes du pays.
A ce propos, le Cnes a appelé les enseignants et la communauté universitaire à se mobiliser avec force afin de tenir des rassemblements, mardi, devant les rectorats de toutes les universités et centres universitaires du pays.L’organisation présidée par Abdelhafid Milat a exhorté, dans un communiqué, les autorités du pays à assumer leurs responsabilités, à écouter le peuple, à prendre en charge ses revendications et à contenir la crise avant qu’elle s’empire et avant que le mouvement ne dégénère et ne soit instrumentalisé.
Par ailleurs, le Conseil a annoncé l’organisation des sit-in pacifiques au niveau de toutes les universités du pays et ce dans le souci de préserver l’intérêt suprême du pays et par conviction de la justesse des mouvements populaires qu’a connus le pays depuis plusieurs jours.
A cet effet, le Cnes a tenu à saluer la mobilisation populaire et l’esprit de responsabilité et de conscience qu’ont démontré aussi bien les manifestants que les forces de l’ordre.
Pour sa part, Abdelmalek Azzi, représentant de l’opposition au sein du Cnes, a salué lui-aussi, dans un communiqué, la mobilisation populaire et appelé au report des élections présidentielles, à l’organisation d’une conférence nationale en prélude d’un période de transition politique pilotée par un gouvernement d’entente nationale regroupant toutes les formations politiques et les forces sociales.
Le Conseil a proposé, en sa qualité de syndicat d’élites, de soutenir le mouvement et d’y adhérer de manière civilisationnelle et pacifique…
Nachida Kouadri / Traduit par: Moussa. K.
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Les Italiens Matteo Gignante et Beatrice Ricci ont dominé les tableaux du simple (garçons et filles) du tournoi international ITF juniors Mehdi-Bouras, clôturé hier, au Tennis Club de Hydra (Alger).
En finale garçons, Gignante a surclassé l’Espagnol Melgar Guerrero en deux sets (6-1, 6-0). «Je suis très heureux d’avoir remporté ce tournoi car il s’agit de mon premier sacre ITF de ma carrière. La semaine n’était pas facile car j’ai dû d’abord passer par les qualifications avant d’affronter les meilleurs dans le tableau final. En finale, j’estime avoir très bien joué. Je n’ai pas laissé beaucoup d’occasions à mon adversaire.
Maintenant je vais me reposer un peu avant de reprendre les entraînements en vue du tournoi international de Ben Aknoun, dont le coup d’envoi sera donné demain (aujourd’hui, ndlr)», a déclaré à l’APS Gignante. Chez les filles, sa compatriote Ricci a bataillé pendant près de trois heures avant de battre la Portugaise Matilde Jorge par deux sets à un (6-4, 0-6, 7-5). «La finale était très compliquée face à une joueuse solide. Lors du premier set, j’ai bataillé dur pour le remporter en dépit d’une farouche résistance.
Le second set était à sens unique. Lors du troisième et dernier set, j’ai su gérer les jeux décisifs. Je suis très heureuse d’avoir remporté ce titre et je tiens à féliciter les organisateurs pour la bonne organisation», a indiqué à l’APS la Transalpine. En double, la finale des garçons a été remportée par le Portugais Tomas Luis et le Roumain Dragos Petre Popeanga, qui ont dominé la paire algérienne composée de Youcef Rihane et Samir Hamza Reguig sur le score 4-6 7-5 (10-6).
Chez les filles, la Portugaise Matilde Jorge et sa coéquipière la Suissesse Leandra Vernocchi ont remporté le tableau double après avoir battu les Ukrainiennes Eva Prokopenko et Katernya Rublevska, sur le score 6-2, 6-3. Le directeur technique national (DTN) de la Fédération algérienne de tennis (FAT), Mohamed Bouchabou, a estimé que le niveau technique de cette compétition était «très élevé». «Nous sommes très satisfaits du nombre de participants qui a frôlé la barre de 112 joueurs et joueuses, c’est très important pour nous.
Déjà les tableaux des qualifications étaient complets et nous avons éprouvé des difficultés pour intégrer plus d’algériens. Nous avons assisté à des matchs de haut niveau sur tous les plans», a estimé le DTN. Et d’enchaîner : «Concernant la participation des algériens, je pense que la chance n’était pas de notre côté cette fois après l’élimination de Youcef Rihane en quart de finale et d’Ines Bekrar en demi-finale face aux futurs vainqueurs des deux tableaux.
Je pense que c’est un accident de parcours et ils vont se ressaisir lors des prochaines échéances.» 112 joueurs et joueuses issues de vingt-trois pays ont pris part à ce tournoi. Il s’agit de l’Algérie, du Maroc, de Madagascar, de l’Angleterre, du Liechtenstein, de la Namibie, du Portugal, de la Tunisie, du Mozambique, de la France, de la Roumanie, de la Suisse, de l’Espagne, de la Russie, des Seychelles, de l’Egypte, de l’Italie, du Kenya, de la Pologne, du Cameroun, de l’Ukraine, de l’île Maurice et de la Belgique.
Ce tournoi était dédié à la mémoire de Mehdi Bouras, ancien joueur de l’équipe nationale juniors décédé en 2013 à l’âge de 24 ans. Il sera suivi par un autre tournoi international ITF juniors au Tennis Club les Palmiers (Ben Aknoun, Alger) du 3 au 9 mars.
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Les démonstrations de force des Algériens opposés au 5e mandat du Président sortant attirent forcément le regard de la presse étrangère qui, dans son ensemble, a relevé les proportions grandioses des manifestations de vendredi avant de se lancer dans des analyses de la situation pour souligner l’incongruité de la candidature de Bouteflika eu égard à son état de santé.
Il en est ainsi, évidemment, de la presse française dans son ensemble mais dont deux quotidiens principaux, Le Monde et Libération, se sont étalés largement avec respectivement quatre pages et six pages sur lesquelles ont foisonné les analyses et les reportages avec une titraille extrêmement évocatrice sur le vacillement du pouvoir en Algérie. Ainsi avec son «L’élan algérien» qui barre sa Une consacrée intégralement à l’événement, Libération voit «l’Algérie au bord de l’éclosion» et sur une autre page «Une jeunesse assoiffée de justice sociale», sur une autre page : «Abdelaziz Bouteflika, un pouvoir grabataire, mais pas à terre» avant d’étoffer son dossier par une interview avec la chercheuse et docteur en sciences politiques Dalila Ghanem-Yazbeck qui pronostique : «Si la rue ne se calme pas, le retrait de Bouteflika semblera inévitable.»
Pour sa part, dans son dossier très étoffé, le quotidien Le Monde barre sa Une avec une photo très éloquente avec le titre : «Algérie : dans la rue, l’espoir du changement», avec comme papier d’ouverture du supplément daté du samedi 2 mars, une analyse sur l’attitude des autorités françaises à l’égard de ce qui se déroule chez nous. En effet, Le Monde relève que la France officielle a décidé «ni ingérence ni indifférence» mais en même temps le dossier Algérie constitue «une priorité absolue» tout en soulignant la très inconfortable position de la France qui «craint d’être accusée de soutien au régime si elle se tait ou d’interférence si elle prend position».
La presse belge n’est pas en reste. Le grand quotidien bruxellois Le Soir a accordé une place de choix dans ses pages Monde à la question algérienne même s’il ne fait que reprendre un papier de l’AFP où il est relevé que «des dizaines de milliers d’Algériens ont défilé vendredi dans le centre d’Alger, contre la perspective d’un cinquième mandat du Président Abdelaziz Bouteflika».
Plus près de nous géographiquement, l’Espagne, à travers sa presse, elle aussi accorde toute l’importance à ce qui se passe dans la rue algérienne. Le grand quotidien El Pais illustre un des titres de sa Une avec un article en ouverture de sa page 2 barrée d’une phrase qui dit tout de son analyse : «Las protestas masivas elevan la presión contra Bouteflika» (De massives protestations font pression sur Bouteflika). Une page consacrée à l’Algérie dans laquelle a trouvé place une chronique de Kamal Daoud qu’il a titrée «El miedo ha cambiado de bando» (La peur a changé de camp).
Dans la presse anglophone, aussi, la conjoncture que traverse l’Algérie a trouvé des espaces. De la BBC qui apprend à ses lecteurs que «Thousands denounce president’s bid for fifth term» (Des milliers dénoncent la candidature pour le 5e mandat) au très sérieux The Guardian qui, à travers sa version online, a suivi la manifestation d’Alger et est revenu sur sa version papier avec un article où il a relevé le grand nombre de manifestants et l’usage par la police de gaz lacrymogènes tout en donnant la parole à Chloe Teevan, une spécialiste des questions sur le Maghreb au Conseil européen, qui a surtout mentionné le caractère pacifique des manifestants.
Ceci, alors que de l’autre côté de l’Atlantique, le New York Times a rendu compte des marches de vendredi en relevant «Des milliers de personnes ont envahi les rues d’Algérie vendredi pour une deuxième semaine de manifestations inhabituelles contre le Président vieillissant et malade du pays, Abdelaziz Bouteflika, dont la décision de se présenter pour un cinquième mandat a suscité une opposition populaire inattendue». Le grand quotidien de la capitale fédérale, le Washington Post, quant à lui, dans un article d’analyse, signé par Caroline Abadeer et Yuree Noh, s’interrogeait hier : «Protests are growing in Algeria. Are these seeds of a real change ?» (Les manifestations se multiplient en Algérie. Sont-ce les graines d’un réel changement ?). La même interrogation, somme toute, qui taraude les esprits partout où l’Algérie a droit de cité, ces dernières semaines.
Azedine Maktour
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La première édition du salon international de la Ventilation, Chauffage et Climatisation (SIVECC) se tiendra du 4 au 7 mars courant à Alger avec la participation de quarante (40) exposants nationaux et étrangers versés dans ce secteur, ont indiqué samedi les organisateurs dans un communiqué.
Ce salon spécialisé est considéré comme « un rendez-vous exceptionnel » des professionnels du secteur qui seront réunis au Centre International des Conférences (CIC) d’Alger dans le but de répondre aux nouveaux besoins du marché local et de proposer toutes les nouvelles solutions en matière de ventilation, chauffage et climatisation, un secteur qui ne cesse d’enregistrer une demande de plus en plus croissante, a noté la même source.
Ainsi, de nombreuses innovations technologiques dans ce secteur sont à l’honneur durant cette première édition.
En effet, plus de 4.000 visiteurs sont attendus durant les 4 jours de l’exposition, qui constitue une réelle opportunité d’échanges et de communication pour les institutions publiques et privées, les industriels et les professionnels du domaine, a-t-on ajouté.
Dans ce sens, les organisateurs ont fait savoir que la présence d’exposants étrangers permettra à tous les sociétés et organismes participants de tirer profit des dernières performances technologiques en vigueur sur le plan international.
Ce salon vise également à mettre en lumière tous les dispositifs industriels modernes et les nouvelles technologies intégrées et intelligentes dans ce secteur aidant à découvrir les solutions les plus optimisées.
De nombreuses conférences seront animées par des experts nationaux et étrangers pour débattre les différentes thématiques liées à cette filière industrielle vitale, a conclu le communiqué.
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Le Syndicat national algérien des pharmaciens d’officine (SNAPO) a appelé, samedi à Alger, à l’accélération de la publication de la liste des psychotropes destinés à des fins sanitaires dans le but de protéger le pharmacien et le malade.
A l’occasion d’une rencontre intitulée « les psychotropes dans l’officine, les nouveautés dans le domaine législatif et la révision de la loi 04-18 », le président du SNAPO, Dr. Messaoud Belambri a affirmé que le pharmacien s’est retrouvé ces dernières années entre « le marteau et l’enclume », notamment avec la vente de médicaments non inscrits dans la liste de psychotropes, à l’instar du Prégabaline classée par la justice comme substance psychotrope, ce qui a entrainé, a-t-il dit, « l’emprisonnement de plusieurs pharmaciens ayant vendu ces produits dans plusieurs régions du pays ».
Le ministère de la santé a élaboré des textes de loi pour actualiser cette liste qui pose toujours « problème aux pharmaciens au point ou certains d’entres eux refusent de vendre ces produits en raison des pratiques qui ont causé l’emprisonnement de certains », a souligné le même responsable.
Ce « vide juridique » dans la gestion des psychotropes destinés à des fins sanitaires et l’absence d’une liste détaillée de de ces produits, a contribué à l’enregistrement de plusieurs lacunes sur le terrain et à l’emprisonnement du pharmacien sans que ce dernier soit impliqué », a ajouté M. Belambri.
Rappelant certaines dispositions de la Loi 04-18 du 25 décembre 2004 régissant les psychotropes, le président du SNAPO a affirmé le ministère de la santé avait promulgué en 2015 dans le journal officiel, un décret relatif à ces produits, sans la publication de la liste nominative de ces produis, qui en dépit de sa présentation au Conseil de déontologie et à la Gendarmerie nationale mais certains juges « ne respectent pas cette liste ».
Le Chef de service psychiatrie-addictologie à l’établissement hospitalier spécialisé de Blida, le Pr. Nadir Bourbon a évoqué les indications thérapeutiques des psychotropes, relevant, à ce propos, que le taux d’atteinte des maladies psychiatriques variait de 10 à 15 %. Ces maladies sont appelées à augmenter au sein de toutes les sociétés, ce qui exige des pouvoirs publics de les réglementer et de promulguer des lois concernant leur gestion afin d’éviter toutes mauvaise utilisation ».
Il a précisé que « ces médicaments sont classés par L’Organisation mondiale de la santé (OMS) parmi les médicaments destinés au traitement du système nerveux, selon leur composition chimique et efficacité thérapeutique, expliquant que l’addiction à ces médicaments est dû à plusieurs facteurs psychique, social et environnemental ».
Par ailleurs, le Pr Bourbon a appelé les médecins à ne pas prescrire plus de deux ou trois médicaments dans la même ordonnance, vu leur effets secondaires dangereux.
Pour sa part, maître Billal Nechar (avocat) a expliqué les lois en vigueur applicables en cas d’infraction dans l’utilisation des psychotropes, notamment le Code pénal, appelant, dans ce cadre, les pharmaciens à faire preuve de vigilance et au contrôle minutieux des ordonnances médicales falsifiées pour éviter toute poursuite judiciaire.
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Farid Haddouche
Une fillette âgée de 4 ans a chuté mortellement du haut d’un immeuble, avant hier, dans la commune de Bordj O’khriss qui se situe à l’extrême sud du chef-lieu de wilaya Bouira. Selon des informations, la victime a trébuché pour s’affaler du balcon en quatrième étage du bâtiment. Portant des blessures graves, la fillette n’a pas survécu à ce tragique accident. Cette dernière a rendu l’âme aussitôt après la chute mortelle. Les services compétents ont ouvert une enquête d’usage afin de déterminer les irconstances réelles dans lesquelles la fillette est tombée du haut de l’immeuble en question.The post Bordj O’khriss: Chute mortelle d’une fillette appeared first on .