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Afrique

Mauritanie : la durée du RAVEL fixée du 28 avril au 14 mai

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 04/10/2019 - 09:12
Saharamédias - La commission électorale nationale indépendante a fixé la période du recensement administratif à vocation électorale...
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Meurtre de Jamal Khashoggi: Washington sanctionne 16 Saoudiens, mais pas le prince héritier

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 04/10/2019 - 08:29
20minutes - Même si le renseignement américain a conclu à la responsabilité de Mohammed ben Salmane, la Maison Blanche a émis des doutes et...
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Une structure similaire à ICC-Services fait encore de nombreuses victimes

24 Heures au Bénin - Wed, 04/10/2019 - 08:13

La deuxième journée d''audience de la session criminelle de l'année 2019 à la CRIET, s'est penchée sur un grand dossier semblable à ICC-Services dans lequel plusieurs Béninois sont victimes d'escroquerie. Il s'agit du dossier qui oppose l'Etat béninois au sieur Ibrahim Adamou, poursuivi pour escroquerie aggravée avec appel au public, violation de loi sur le système financier décentralisé en République du Bénin.

L'affaire ICC-Services refait surface, cette fois-ci il s'agit du groupe ACNI dont le directeur Ibrahim Adamou est poursuivi pour escroquerie aggravée avec appel au public, violation de loi sur le système financier décentralisé en République du Bénin.
A la barre, le sieur Adamou né en Côte-d'Ivoire en 1990 et financier trader n'a reconnu que le chef d'accusation qui est la violation de la loi sur le système financier décentralisé en République du Bénin. A en croire le mis en cause, le groupe ACNI dont les activités ont démarré en février 2018 était dans le trading, la tontine, la négociation de crédit, de l'assistance scolaire, de l'assistance immobilière, réabonnement de Canal+, la gestion des dossiers appels d'offres, et la location des véhicules.
Par rapport au Trading, explique le prévenu à la barre, « j'ai pris la peine de chercher les renseignements sur la réglementation en vigueur au Bénin auprès de l'ABPS mais je n'ai pas pu avoir d'orientation ». Le sieur Adamou informe que sur conseils de certains clients, qu'il a envoyé une lettre au Ministre des Finances au mois d'avril 2018 dans le but de le rencontrer pour prendre un agrément.

« Je précise que même sur le site de ma société il est bien mentionné que ma société est un fonds d'investissement. Un fonds d'investissement est une structure habilitée à présenter les opportunités d'investissement aux clients », a-t-il indiqué tout en ajoutant qu'un réseau commercial a été mis en place aux fins de présenter les activités aux populations.
Au groupe ACNI, quatre formules ont été proposées : « celle mensuelle dont le taux est de 15%, trimestrielle 75%, semestrielle 210% et annuelle de 540%. Mais deux après, nous avons enlevé la formule mensuelle parce que non seulement cela ne profite pas à ma structure ni à mes clients ». Ce retrait de la formule mensuelle, il l'a fait suite aux conseils de ses collaborateurs « Quand aujourd'hui mes employés disent qu'ils ne sont pas impliqués dans les options de ma structure, c'est tout à fait juste parce que ce n'est pas de leur domaine. Le trading est une activité sensible et n'importe qui ne peut pas le faire », avance-t-il.
Selon l'accusé, le premier investissement qu'il a fait en ligne est de 1.000.000 FCFA, ce qui lui a permis de se lancer et d'avoir un bénéfice qui tourne autour de 3 et 4 millions FCFA.
« Je n'ai pas voulu en jouir seul et associer d'autres personnes parce que je veux permettre aux populations de bénéficier des avantages des Investissements en ligne. Chaque fin de semaine, je fais minimum 4000 dollars comme gains. C'est avec les cartes Visa et les comptes de transfert électronique. Moi je n'utilise pas trop les cartes Visa parce qu'il y a trop de taxes qui vous sont imposées à payer », fait-il savoir.
Le sieur Adamon indique que la comptabilité de la structure est gérée par des personnes externes au groupe à qu'il fait confiance et que la caissière travaille avec lui au sein de la structure.
L'inculpé a qui il revient la gestion du compte de Acni Groupe à deux comptes à l'étranger et plusieurs autres au Bénin ouverts à BOA, UBA, CEBAO Bank, Ecobank.
Appelé à se prononcer sur le mode d'investissement : il déclare : « J'investis les sous de mes clients dans les bourses. Il n'y a pas de montant fixe, même avec 5000 FCFA, tu peux investir et gagner un taux indéterminé si tu es un spéculateur. Il est arrivé plusieurs fois où j'ai connu de pertes mais jusqu'en septembre qu'on m'a arrêté, j'ai fait plus de gains que de pertes. À mon niveau j'en ai pas idée de la totalité de mes clients mais ma base de données peut me permettre de l'avoir ».
D'après le mis en cause, contrairement aux tontines classiques, celle moderne est numérisée. Quand un client perd sa carte, l'argent est toujours disponible puisque celui-ci a un code qui peut permettre de retracer toutes les mises dans la base de données.
« Pour le prêt, je suis un jeune très sensible à la souffrance des gens autour de moi. C'est pourquoi j'ai instauré les prêts pour pouvoir aider les gens à mener une activité génératrice de revenus. Ce sont les ressources que génèrent mes activités qui me permettent de faire des prêts », a clarifié le directeur du groupe ACNI qui affirme que les activités liées au Trading lui rapportent beaucoup.
L'accusé qui selon ses dires ne fréquente pas d'autres traders renseigne que le 24 septembre avant son interpellation, tous ses clients qui devraient être payés ont reçu leurs sous. « (...) J'avoue la main sur le cœur que c'est par ignorance que je ne suis pas référé à la réglementation en vigueur dans la sous-région », prétend-t-il.
Dans le PV d'enquête, il est mentionné au total 552 clients qui représentent le nombre de clients qui ont déposé pour le compte du Trading. D'après l'accusé, c'est approximativement ce qu'il a en sa possession comme chiffres.
A la question du ministère public de savoir si le prévenu reconnaît qu'au total, c'est 282.390.000 FCFA qui ont été collectés, 79.210.500 FCFA payés, Ibrahim Adamou a acquiescé.

Les victimes à la barre

Au cours de l'audience, quelques clients victimes du groupe ACNI ont été écoutés.
« J'ai déposé 500.000 FCFA et je n'ai rien perçu comme intérêt parce que la date où je dois récupérer mes intérêts n'est pas arrivée à terme avant que la structure ne ferme. Tout ce que je demande c'est mon capital », a énoncé Boris Hounkpé.

Gisèle Ogoudjobi, un commerçant a déposé 1.200.000 FCFA pour le Trading et 180.000 FCFA pour la tontine et n'a rien récupéré comme intérêt. Il plaide juste pour son capital.
Agé de 29 ans, Roméo Oliver Dovonou, agent commercial à la SOBEBRA a déposé 1.000.000 FCFA pour le Trading le 5 septembre et aussi n'a pas eu d'intérêts. « Je demande juste mon capital », lance-t-il.

'ICC bis''

L'avocate représentant l'Etat béninois, Me Anasidé appelle cette affaire ‘'ICC bis'' et fait le constat amer selon lequel, les mesures répressives ne dissuadent pas les auteurs.
« Je vous prie de ne pas condamner Monsieur Ibrahim Adamou, mais de l'envoyer aux enfers. Il ne mérite aucune compassion. Vous voyez son attitude depuis le matin où il parle avec arrogance, il malmène la Cour et l'a fait balader à sa guise. D'ailleurs, l'enquête de moralité faite sur lui révèle qu'il a les atouts d'appâter facilement et ce qu'il utilise pour ruiner la population », a signalé l'avocate.
Me Olga Anassidé pense que c'est de l'outrecuidance de sa part de rééditer le dossier ICC et demande ainsi à la Cour d'avoir la main lourde sur lui. « (...) L'esprit intelligent que le rapport de l'enquête nous a révélé sur lui devrait lui permettre de savoir qu'avant d'exercer une activité, il faut avoir d'abord l'agrément. (...) Il est même allé jusqu'à proposer un taux astronomique de 540% par an. Il n'a pu vous démontrer que son entreprise est une société légale. Il ne fait l'ombre d'aucun doute, il a fait de l'escroquerie aggravée avec appel au public. L'ayant fait, il a embarqué toutes ses victimes dans une entreprise chimérique », expose l'avocate.

‹‹ Les victimes méritent d'être poursuivies››

En ce qui concerne les victimes du groupe ACNI, il faut selon l'avocate commencer par sévir pour arrêter ce crime « Vous constatez avec moi que les Béninois ont pris le pari de la facilité. Le carnage qu'à suscité Icc-Services est irritant voire révoltant. Monsieur le Président, dans le rang des supposées victimes, il faut commencer par sévir pour arrêter ce crime. Je voudrais que chaque Béninois se remémore. C'est une invite au travail. C'est pourquoi l'État béninois à juste titre vous demande d'arrêter de recevoir ces personnes comme étant des victimes. Elles méritent d'être poursuivies », a déclaré l'avocate.
Me Olga Anassidé au vu de ses observations, suggère à la Cour de rejeter la demande de constitution des victimes en partie civile, de condamner le sieur Ibrahim à verser dans les caisses du trésor public, la somme de 267 millions de FCFA. Elle plaide également de condamner l'accusé à payer la somme de 250 millions FCFA au titre de réparation des préjudices causées à l'Etat et à ordonner la confiscation de tous ses biens. Tout ce qui sera confisqué, note-t-elle servira à payer les montants des réparations qui seront faites à l'Etat.

Akpédjé AYOSSO

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Conflit sénégalo-mauritanien 30 ans après : "On n’en parle pas, mais il y a bien eu génocide en Mauritanie", dit Aldiouma Cissokho

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 04/10/2019 - 07:45
Senego - Pour la commémoration de la trentième année de l’événement sénégalo-mauritanien, la coordination des réfugiés mauritaniens au...
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Mauritanie : les quatre candidats de l’opposition aux présidentielles face à la presse ce mercredi

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 04/10/2019 - 07:00
Saharamédias - Quatre candidats aux prochaines élections présidentielles représentant des partis de l’opposition ont annoncé qu’ils...
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Christian Adovèlandé décroche 32,798 milliards FCFA

24 Heures au Bénin - Wed, 04/10/2019 - 05:33

Le président de la Banque ouest-africaine de développement (BOAD), Christian Adovèlandé, et le président du Conseil d'Administration de la Banque de développement de Biélorussie (BDB), Andrei Zhishkevich, ont procédé à la signature d'une convention de crédit en ce début du mois d'avril 2019.
50 millions d'euros, soit 32,798 milliards FCFA, c'est le montant que la BDB entend mettre à la disposition de la BOAD que préside le Béninois, Christian Adovèlandé.
L'enveloppe renseigne-t-on, est destinée au refinancement de projets dont les biens et services seront d'origine biélorusse. Elle contribuera également au renforcement des échanges commerciaux entre la zone Uemoa et la Biélorussie, et offrira aux entreprises des deux régions, des facilités pour les projets éligibles.
Pour le président de la BOAD, cette cérémonie de signature, la première du genre entre les deux institutions, porte en elle l'espoir d'une fructueuse et longue coopération. Pour lui, cette nouvelle ligne de crédit offre des opportunités pour le financement des exportations biélorusses vers les pays de la zone Uemoa. « Les autorités biélorusses ont toujours mis l'accent sur la création d'opportunités pour leurs entreprises afin que celles-ci puissent coopérer avec toutes les régions du monde dont l'Afrique, continent à énorme potentiel économique où se concentrent les principaux exportateurs du monde », a souligné Christian Adovèlandé.
Selon le journal l'Economiste qui a rapporté l'information, « la BOAD investit d'importantes ressources pour soutenir des projets intégrateurs visant notamment à renforcer la complémentarité des économies des Etats membres de l'Uemoa, et à améliorer leur compétitivité.
Le 30 juin 2018, ces investissements s'élevaient à 1598,1 milliards FCFA pour 336 opérations, soit 30,7 % des engagements nets de la Banque. Ils ont contribué à mettre en place, réhabiliter et moderniser des infrastructures dans divers domaines tels que les transports routier, portuaire, aéroportuaire, ferroviaire, l'énergie et les télécommunications.
L'industrie a également bénéficié des concours de la BOAD pour la réalisation d'investissements productifs à caractère intégrateur, notamment dans le secteur cimentier.
La BOAD participe activement à la mise en œuvre des programmes d'investissements communautaires de l'Uemoa, tels que la deuxième phase du Programme économique régional (PER II), l'Initiative régionale pour l'énergie durable (IRED), le Programme d'actions communautaire des infrastructures et des transports routiers (PACITR), indispensables au renforcement de l'intégration en Afrique de l'ouest.
Elle participe également aux comités de pilotage de différents chantiers relatifs à la définition des politiques sectorielles communes de l'Union.
La BOAD a joué un rôle de pionnier sur le marché financier régional, en lançant en 1993 la première émission obligataire réalisée par appel public à l'épargne à l'échelle régionale.
Avec 991 milliards FCFA de fonds levés à travers 25 émissions de titres, elle est à ce jour, le premier émetteur non souverain du marché régional des capitaux. Actionnaire de la Bourse régionale des valeurs mobilières et du Dépositaire central/Banque de règlement, elle a également contribué à la création de nouveaux outils de financement et institutions financières spécialisées dont le Fonds GARI, Cauris Investissement, la SICAV Abdou Diouf, la Société ouest-africaine de gestion d'actifs (SOAGA), la Caisse régionale de refinancement hypothécaire de l'Uemoa (CRRH – UEMOA) et BOAD Titrisation. Toutes ces actions de la BOAD concourent à la réalisation de ses missions qui consistent à promouvoir le développement équilibré de ses Etats membres, et à contribuer à l'intégration de la zone Uemoa ».
F. A. A.

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Thérèse Waounwa et Bakari relaxés

24 Heures au Bénin - Wed, 04/10/2019 - 05:29

Arrêtée dans la matinée de ce mardi 09 avril 2019, la présidente du Comité National des Revendeurs, vendeurs et Artisans du Bénin pour la paix et le pain (CO.NA.RAB) a été libérée après son audition. Thérèse Waounwa a été Interpellée à la bourse du travail de Cotonou dans la matinée de ce mardi 9 avril, avec le sieur Bakari. Présentés au procureur dans la soirée, ce dernier a décidé de leur mise en liberté. Selon les proches des deux syndicalistes, ils bénéficient d'une liberté sans condition.
Thérèse Waounwa et le sieur Bakari ont été interpellés par la police alors qu'ils mobilisaient les femmes dans le cadre d'une marche pacifique contre l'exclusion de l'opposition pour les élections législatives du 28 avril 2019.
G.A.

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Assalamalekoum Cultures : lancement Assalamalekoum découverte 2019

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 04/10/2019 - 01:04
Assalamalekoum Cultures - Le jeudi 11 avril prochain Assalamalekoum cultures en Association avec Zaza production lancera la 10e edition de...
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La Turquie dénonce la décision américaine contre les Gardiens de la Révolution iraniens

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 04/10/2019 - 00:31
Le Figaro - La Turquie a condamné aujourd'hui l'inscription par les Etats-Unis des Gardiens de la Révolution iraniens sur la liste des...
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Collectif d’associations : « Le régime opte pour la répression pour se maintenir contre le peuple »

Algérie 360 - Wed, 04/10/2019 - 00:28

Le collectif a écrit dans un communiqué « Comme attendu, le coup de force s’est confirmé ce matin au niveau du Parlement, en désignant le président du conseil de la nation Bensalah au poste de chef de l’Etat en vue de l’organisation, par le même système, de l’élection présidentielle dans 90 jours, conformément à l’article 102 de la Constitution, le tout avec la bénédiction du chef de l’état-major des armées, qui a pourtant promis de respecter la volonté du peuple »

« Nous, Collectif de la dynamique de la société civile, qui avons déjà fait une proposition de sortie de crise pacifique et alerté sur les risques de changement clanique au sein du système au détriment de la mobilisation historique du peuple algérien, réitérons notre position de rejet de toute transition au sein du système, pilotée exclusivement par les symboles de ce même système »rajoute le communiqué.

Tout en affirmant, une fois de plus, notre pleine adhésion au mouvement pour le changement, nous :

  • Dénonçons la répression de la marche des étudiants-es qui a eu lieu aujourd’hui à Alger et les tentations d’interdiction des manifestations publiques et pacifiques à Alger, et le harcèlement des militant-e-s pour le changement.
  • Tenons à prendre à témoin l’opinion contre toutes tentatives d’infiltration des agents du système pour faire dévier les marches de leur cadre pacifique et légitimer ainsi la répression ; aussi, nous mettons en garde contre toutes tentations d’interdiction ou de répression, et nous interpellons le pouvoir pour assurer la sécurité des marches – particulièrement à Alger.
  • Exprimons notre pleine adhésion à l’appel de la Confédération des Syndicats Algériens « CSA » pour la grève et la marche nationale à Alger le mercredi 10 avril 2019.
  • Appelons l’ensemble de la population à participer massivement aux marches pacifiques qui auront lieu ce vendredi 12 avril 2019, à l’échelle nationale.
  • Appelons la population à ne pas céder aux chants de la division et de la haine, à demeurer dans le strict cadre pacifique – seule voie qui a gagné jusque-là –, et à déjouer toutes les manœuvres du système.
  • Nous appelons l’ensemble des acteurs de la société civile, des partis politiques, des artistes, créateurs, intellectuels et toutes les franges de la société à s’organiser davantage, et à renforcer la cohésion du mouvement. Notre combat s’annonce long. Notre réponse sera la mobilisation, l’organisation et la solidarité. Ensemble, nous vaincrons.

Les organisations signataires :

.         LADDH ( Benissad/Zahouane) (Ligue Algérienne de la Défense des Droits de l’Homme)

  •        LADH (Ligue Algérienne des Droits de l’Homme)
  •        RAJ (Rassemblement – Actions – Jeunesse)
  •        DJAZAIROUNA
  •        SOS DISPARUS
  •        RESEAU WASSILA
  •        THARWA FADHMA N’SOUMER
  •        Association TIMLILIT
  •        CSVM-22 FEV (Comité Soutien Vigilance du Mouvement 22 Février)
  •        SATEF (Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation)
  •        SNAPEST (Le syndicat national des professeurs de l’enseignement secondaire et technique )
  •        SNAP (Syndicat National Autonome des postiers)
  •        SOS CULTURE BAB ELOUED
  •        ACDA (Agir pour le changement et la démocratie en Algérie)
  •        CNDDC (Comité National pour la Défense des Droits des Chômeurs)
  •        Le collectif des Haragas disparus en mer.
  •        IRD (Initiative de Refondation Démocratique)
  •        Collectif des Jeunes engagés RADDH.

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Abdelaziz Rahabi réagit au discours de Bensalah

Algérie 360 - Wed, 04/10/2019 - 00:11

L’ancien Ministre de la communication Abdelaziz Rahabi a réagi sur sa page Facebook au discours de Bensalah.

M.Rahabi a également appelé Bensalah à démissionner le plus tôt possible pour que le pays entame sa transition démocratique qui ne peut commencer par des présidentielles mais par un accord politique global.

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Benflis: «On s’éloigne dangereusement de la sortie de la crise»

Algérie 360 - Wed, 04/10/2019 - 00:08

L’ancien chef de gouvernement, Ali Benflis, a estimé, ce mardi, que «l’application intégrale de l’article 102 et la non prise en compte des articles 7 et 8 de la Constitution », indiquent clairement que « le basculement s’est opéré dans le sens d’une pérennisation des résidus d’un régime politique que le peuple algérien a dénoncé et condamné avec une vigueur extrême ».

Le président du parti Talaie El Hourriyet, qui réagissait ainsi à la désignation d’Abdelkader Bensalah comme chef d’Etat par intérim, a considéré également, dans un communiqué parvenu à notre rédaction, que «l’application intégrale de l’article 102 est très loin de constituer une mesure d’apaisement dans le contexte actuel d’une sensibilité exceptionnelle».

Pour lui, «l’application de l’article 102 ne pouvait à elle seule pourvoir à la vacance de la Présidence de la République dans des conditions qui donnent satisfaction à une exigence populaire largement partagée», et «contrevient manifestement à cette exigence et heurte frontalement une revendication légitime portée avec insistance par la révolution démocratique pacifique en cours dans notre pays».

Ali Benflis, note aussi qu’«il n’a été fait aucun usage des articles 7 et 8 », puisque « l’application intégrale de l’article 102 a fini par prévaloir comme solution unique et exclusive au problème de la vacance de l’institution présidentielle ».

«Tout au contraire », ajoute-il, elle est « de nature à attiser l’amertume et la colère populaires et à introduire davantage de complication et de complexité dans une crise déjà exceptionnelle par sa gravité et sa sensibilité ».

Il déduit, enfin, que « la manière dont il vient d’être pourvu à la vacance de la Présidence de la République ne rapproche pas notre pays de la sortie de crise » mais qu’ «elle l’en éloigne dangereusement».

Sihem Benmalek

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Changement à la tête de l’Union des AGPO du Tagant

CRIDEM (Mauritanie) - Wed, 04/10/2019 - 00:00
Nouakchott Info - L’Union des Associations de Gestion Participative Oasienne du Tagant vient de connaitre un changement à la tête de son...
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Bouchachi: « je m’attends à ce que Bensalah démissionne dans les prochains jours »

Algérie 360 - Tue, 04/09/2019 - 23:54

L’avocat et militant des droits de l’homme, Mustapha Bouchachi estime que Bensalah, désigné chef de l’Etat par intérim ce mardi 09 avril 2019, devrait démissionner de ce poste durant les jours à venir, en réponse aux revendications du peuple algérien.

« Il n’est pas politiquement correct de vous imposer à un peuple qui ne veut pas de vous », a-t-il déclaré dans une déclaration à la radio algérienne . « J’espère que Bensaleh fera preuve de sagesse et présentera sa démission car cela épargnera à l’Algérie de nombreuses manifestations à l’avenir.  » a-t-il ajouté

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Contribution: « Se méfier de l’eau qui dort » et « Ne reste dans l’oued que ses cailloux »

Algérie 360 - Tue, 04/09/2019 - 23:29

Que peut-on dire de plus à ceux qui tentent de concilier l’article 102 de la constitution actuelle avec les articles 7 et 8 pour légitimer la continuité du système actuel ?

Aujourd’hui mardi 09 avril, ils ont préféré se ranger contre le peuple en désignant Ben Salah comme président par intérim. Cette désignation signifie que le système autiste cherche à se maintenir tout en promettant qu’il respectera la volonté du peuple. Que n’a-t-on entendu ce genre de promesses ?
La première réaction est venue des étudiants qui ont marché dans de nombreuses villes universitaires; cependant à Alger, ils ont été réprimés. Le caractère pacifique du « hirak » est-il en train d’être remis en cause par le pouvoir ? Espérons que non. Car sinon, la contestation risque de se radicaliser par des grèves ou par une désobéissance civile ; ce qui aggravera la situation et l’armée devra prendre ses responsabilités envers le peuple.
Rappelons à « ceux d’en haut » que depuis le 16 février, et surtout le 22 février 2019, l’eau qui dormait s’est mise en mouvement. Petit à petit, elle devenait un torrent emportant les déchets qui infestaient son lit. Le peuple, qu’on croyait endormi, s’est mis en branle et est devenu un mouvement populaire (appelé communément « hirak ») se chargeant de nettoyer le pays de tous les corrompus et prédateurs du système actuel. « Ne reste dans l’oued que ses cailloux » dit aussi un autre proverbe algérien. Cependant, le peuple, après 7 marches hebdomadaires pacifiques du vendredi, relayées par des marches sectorielles les autres jours, n’a pas encore terminé cette tâche de nettoyage mais il s’entête à le faire et il réussira.
Ainsi la première solution (celle de l’article 102) adoptée par le pouvoir, ne répond pas au souhait du peuple comme l’ont montré les marches estudiantines de ce mardi 09 avril. En attendant, la grande marche du vendredi 12 avril, il faut dire que le peuple, en plus des articles 7 et 8 qu’on a collés à celui 102, sans pour autant dire comment, a encore comme armes l’article 12 qui est plus explicite ainsi que le dernier paragraphe du préambule de la constitution. Faisons un rappel.

Chapitre II Du peuple
Art. 7. — Le peuple est la source de tout pouvoir.
La souveraineté nationale appartient exclusivement au peuple.
Art. 8. — Le pouvoir constituant appartient au peuple.
Le peuple exerce sa souveraineté par l’intermédiaire des institutions qu’il se donne.
Le peuple l’exerce aussi par voie de référendum et par l’intermédiaire de ses représentants élus
Le Président de la République peut directement recourir à l’expression de la volonté du peuple.
Chapitre III De l’Etat
Art. 12. — L’Etat puise sa légitimité et sa raison d’être dans la volonté du peuple.
Sa devise est «Par le Peuple et pour le Peuple».
Il est au service exclusif du peuple.

Tandis que le dernier paragraphe du préambule de la constitution (de Bouteflika) stipule : « Ayant toujours milité pour la liberté et la démocratie, et attaché à sa souveraineté et à son indépendance nationales, le peuple entend, par cette Constitution, se doter d’institutions fondées sur la participation des citoyens à la gestion des affaires publiques et qui réalisent la justice sociale, l’égalité et la liberté de chacun et de tous, dans le cadre d’un Etat démocratique et républicain. »
La solution « d’en haut » ne passera pas car le peuple aussi est devenu « constitutionaliste » . Le slogan « Dégagez tous » peut sembler anarchisant, mais il montre la colère de tout un peuple. Il est toujours possible de faire un compromis avec des gens propres, intègres et sincères ayant travaillé dans les institutions de l’état à condition que cela va dans le sens du souhait du peuple. Seule une solution qui satisfera le peuple sera acceptée. Dans cette perspective, des propositions fusent d’un peu partout (d’intellectuels, de politiciens, de simples citoyens …), et ont presque toutes la même démarche : installation d’un président ou une sorte de présidence collégiale, d’un gouvernement de provisoire ou instance exécutive, renforcement des acquis du «hirak» tels les libertés fondamentales, l’indépendance de la justice etc., une conférence ou constituante, installation d’une commission indépendante pour préparer les élections et , enfin, une élection présidentielle. Après cela, le président se chargera de désigner et d’installer les personnes intègres et compétentes dans les institutions étatiques dont le fonctionnement devra être démocratique comme le souhaite le peuple. Par la suite, les luttes politiques seront ouvertes et transparentes, et de façon démocratique. Ce qui aboutira à une république démocratique nouvelle. Mais comment réaliser cette tâche ? L’une des faiblesses du « hirak » est qu’il manque de représentants dans l’immédiat. Ceci est normal car c’est un mouvement horizontal avec toutes les catégories sociales qui, même ayant des revendications particulières différentes) ont pour le moment un seul objectif. Il est donc grand temps de discuter et discuter ( car comme le dit un proverbe indien : « de la discussion jaillit la lumière ») en organisant des assemblées ou des réunions dans les lieux de travail pour les travailleurs, dans les universités pour les enseignants et étudiants, dans les quartiers pour les autres catégories. Il faut songer à intégrer les paysans qui semblent en dehors. Les associations et les syndicats peuvent déjà entamer le débat afin de suivre les événements, proposer des solutions, de faire émerger des représentants pour la transition et même pour après.

Ainsi, le fleuve ne sera pas détourné encore une fois 1) . La lutte continue car le chemin vers une république démocratique est encore long.

« Le fleuve détourné « est un roman de feu Rachid Mimouni où il raconte comment a été commis le vol de la libération par la classe dirigeante contre le peuple algérien, en exploitant pour elle seule le fruit de l’Indépendance et notamment les richesses du pays, particulièrement le pétrole.

Par Khélifati S. Enseignant

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ATPC Assaba : l’ONG OAEMSD forme les acteurs scolaires à la Promotion de l’Hygiène en milieu scolaire

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 04/09/2019 - 23:15
Amder Infos - A travers le Projet Eau et Assainissement dans les 5 wilayas du sud-est de la Mauritanie, l’Agence Française de Développement et...
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Le directeur de l’AFP à Alger expulsé par les autorités !

Algérie 360 - Tue, 04/09/2019 - 22:59

Le directeur de l’ L’Agence France-Presse (AFP) à Alger, Aymeric Vincenot, a été expulsé mardi par les autorités locales , qui ont refusé de renouveler son accréditation pour 2019.

Selon le PDG de l’AFP, Fabrice Fries, cette décision est «inacceptable».«En nous privant de chef de poste sur place, cette décision porte gravement atteinte à notre dispositif, qui vise à assurer une couverture exhaustive et rigoureuse des évènements historiques qui se déroulent actuellement en Algérie», a-t-il ajouté.

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La confédération des syndicats algériens appelle à une grève générale demain !

Algérie 360 - Tue, 04/09/2019 - 22:50

La Confédération des syndicats autonomes regroupant douze syndicats a appelé à une grève générale demain, qui sera appuyée par une marche nationale à Alger.

Dans un communiqué rendu public, il y a quelques jours la Confédération des syndicats a également appelé à poursuivre, pacifiquement, les manifestations populaires. «Pour une Algérie nouvelle».

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Le Japon accorde 2,2 milliards F CFA aux réfugiés maliens en Mauritanie

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 04/09/2019 - 22:30
Apanews - Le Japon a octroyé un financement de 2,2 milliards F CFA, soit 3,8 millions de dollars US aux réfugiés maliens établis en Mauritanie...
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Vidéo. Ghazouani n’est pas le candidat de la "Mauritanie plurielle" et il est "dix mille fois pire" qu’Aziz (Khally Diallo)

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 04/09/2019 - 22:29
Dans une séance vidéo diffusée mardi 09 Avril sur Facebook, Khally Diallo a affirmé que le candidat Ghazouani, ancien Chef d’Etat-major des...
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