Lorsque j’ai entendu Ben Salah annoncé la date de l’élection présidentielle pour le 4 juillet, j’ai eu envie de l’emmener pour un tour de manège puis de lui donner un esquimau en récompense pour bonne conduite.
Pour le tour de manège, Ben Salah qui n’est pas d’origine algérienne n’aurait jamais dû être président du sénat en vertu de la constitution qui exclu les binationaux d’être dans des postes « réservés ». Et Ben Salah à ce que l’on sache n’a pas perdu la nationalité marocaine en devenant algérien.
Mais bien évidemment la constitution fabriquée par le régime ne s’applique qu’au peuple et non pas à ceux qui ont prêté allégeance au clan Bouteflika. Et c’est encore un chef d’état illégitime qui est nommé à la magistrature suprême au détriment de l’opposition de notre peuple à l’article 102 et ses répercussions.
L’autre fait est que Ben Salah, par tacit reconduction, à maintenu le gouvernement Bédoui, un groupe de gens choisi par le clan Bouteflika, qui va gérer l’élection présidentielle avec les habitudes que l’on leur connaît à savoir le bourrage des urnes et la falsification des rapports émanant de chaque bureau, à l’échelle nationale avec l’aide des walis puis d’une deuxième officialisation de la fraude au niveau du ministère de l’intérieur. C’est ce qui c’est fait à chaque occasion et ce n’est pas un gouvernement issue du régime qui va rompre avec cette pratique devenue tradition de confirmer des candidats élus d’avance.
Bédoui qui était ministre de l’intérieur est un choix bien réfléchi du régime qui pense encore avoir une vision qui porte loin..
La loi électorale on ferai mieux de ne pas perdre trop de temps là dessus, encore une loi faite sur mesure puis entérinée par une assemblée d’élus d’office, dont certains ont même acheté des sièges en payant des dignitaires du FLN ou leurs fils. Une affaire qui a aussi été classée sans suite par le régime..
L’assemblée nationale n’est pas à ce jour représentative du peuple algérien mais une assemblée issue du régime pour travailler pour le régime. C’est « spécifique »!
Le sénat issue à 100% du régime, contient un tiers de sénateurs qui ne sont passés par aucune élection, même frauduleuse, mais qui ont été nommés directement à cette position par Boutefika pour constituer le fameux tiers présidentiel. Ne doivent-ils pas démissionner maintenant que leurs parrain a été destitué ?!
Ce régime veut encore jouer avec le subliminal en choisissant la date du 4 juillet pour que « leur président » arrive au pouvoir le 5 juillet, jour de notre indépendance, pour nous libérer de je ne sais quoi et faire confondre les célébrations du 5 juillet avec « notre bonheur » d’élire l’un des leurs. Quelle moquerie !
Et avec tout cela on veut nous faire participer à une élection sans la moindre garantie qui exclue les candidats du régime d’y participer comme si que notre protestation et toutes nos marches n’auront en fait servies à rien. Où est l’application de l’article 7 & 8 ?
Nous n’avons aucun choix que celui de boycotter l’élection présidentielle pour que enfin l’on pourra se débarrasser de Ben Salah et briser les rouages du régime, si ce n’est pas dans les prochains jours, on y arrivera certainement par la force des choses, en appliquant cette même constitution fabriquée par le régime, en créant notre propre gouvernance collégiale à la fin des 90 jours de Ben Salah.
Chafik Ben Guesmia
cbenguesmia@yahoo.com
Les opinions et contributions publiées sur Algérie36 ne reflètent pas la position de notre rédaction.
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Un barrage routier de la Gendarmerie nationale a été installé à l’entrée Est d’Alger afin d’empêcher les citoyens des wilayas limitrophes et autres de rejoindre la capitale pour prendre part aux grandes manifestations de demain.
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Le maire de la commune de Sèmè-kpodji, Charlemagne Honfo est invité à se présenter à la Brigade criminelle ce vendredi 19 avril 2019. Selon la convocation qui lui est adressée, c'est pour des nécessités d'une enquête judiciaire qu'il est convoqué à ladite brigade.
F. A. A.
Alors que l'ex-président Boni Yayi a exhorté ce jeudi 18 avril 2019, Talon à œuvrer pour un arrêt du processus électoral en cours, les sages et notables plaident pour la conservation des acquis de la conférence nationale.
Au cours d'une séance tenue ce jour au Chant d'Oiseau de Cotonou, ils soutiennent qu'à l'étape actuelle, la paix devrait être la préoccupation de tous les citoyens.
Après avoir analysé la situation socio-politique, les sages et notables ont décidé de réagir face à l'organisation des élections législatives au Bénin.
Organisée par le mouvement national des sages et notables, la rencontre a permis de mettre l'accent sur les notions de Démocratie, Paix et Développement.
Selon eux, cette démarche a pour but la préservation du vivre ensemble qui est le fondement du Bénin. Ils ont lancé un appel au peuple en invitant tous les Béninois à aller voter massivement le 28 avril prochain. Il est donc évident que pour les sages et notables, il ne s'agit pas d'arrêter le processus électoral, comme le souhaite l'ex président Boni Yayi et certains partis de l'opposition.
Aussi, depuis peu la plate-forme des organisations de la société civile, le clergé, la communauté islamique, les confédérations syndicales et autres ont-ils appelé à la préservation de la paix et à la poursuite du processus électoral.
La campagne électorale lancée le vendredi 12 avril 2019 se poursuit et dès le 28 avril prochain les citoyens iront aux urnes pour élire les députés de la 8ème mandature à l'Assemblée nationale.
Akpédjé AYOSSO
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L’avocat et défenseur des droits de l’homme, Mustapha Bouchachi a adressé un message via sa page Facebook au peuple algeriens à la veille du 9e vendredi de contestation.
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Un nouveau vendredi de mobilisation attend les Algériens demain pour exprimer leur refus au régime actuel que sont les 2 “B” (Bensalah et Bedoui )
Les jours qui se sont écoulés ont, en effet, marqué un véritable tournant dans la gestion sécuritaire des manifestations, et pas des moindres puisque des mobilisations importantes et attendues à des moments cruciaux ont été réprimées par des brigades anti-émeutes. On le sait, instruction avait été donnée pour éviter tout acte de violence et de malmener les foules sorties réclamer l’annulation du cinquième mandat et le départ de Bouteflika, mais les ordres ont été visiblement modifiés depuis.
Les algeriens exigeront le jugement de tous ceux qui ont dilapidé les deniers publics. “Tous les traîtres et les corrompus doivent rendre des comptes devant un tribunal populaire”, écrit un internaute sur son post Facebook. Ils vont se réapproprier la rue pour faire entendre leurs revendications liées entre autres à une transition démocratique menée par le mouvement citoyen, sans le moindre symbole du système. Bernés 20 ans durant pour des résultats que l’on connaît, les citoyens n’ont plus confiance en les dirigeants actuels.
Pour le 9e vendredi consécutif, des appels à rester pacifique mais surtout à être très nombreux ont été lancés via internet. Rodée, la rue s’apprête à sortir pour réclamer une nouvelle fois le départ de tous les symboles du système.
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La crise électorale qui secoue le Bénin depuis un certain temps ne laisse personne indifférent. Préoccupées par cette situation, les têtes couronnées, les Sages et Notables démocrates du Bénin sous la conduite de Dah Guédou ont organisé ce jeudi 18 avril 2019 au chant d'Oiseau de Cotonou, une séance d'échanges. « Sauver d'abord le Bénin, sauvegarder les acquis fondamentaux de la Conférence des forces vives de la nation », c'est le thème qui a réuni les têtes couronnées venues de tous les départements et toutes les communes du Bénin.
Dans la déclaration lue par Georges Guédou (dah Guédou), les Sages et Notables démocrates du Bénin ont invité tous les acteurs à ne regarder que dans une seule direction, celle de la sauvegarde et de la préservation des acquis fondamentaux de la Conférence des forces vives de la Nation. En l'absence de consensus, observent-ils, lorsque ça éclate de toutes parts, il n'y a plus d'opposition, il n'y a plus de mouvance, il n'y a plus d'Assemblée nationale, il n'y a plus de Cour constitutionnelle …etc.
Pour éviter toute situation chaotique au pays, ils invitent chaque Béninoise et chaque Béninois à « prendre ses responsabilités citoyennes pour ne pas franchir le Rubicon, pour éviter le pire, pour éviter l'affrontement, et pourquoi pas, éviter une crise électorale catastrophique, suicidaire qui ne va dans l'intérêt de personne.
Le Bénin selon les Sages Notables et démocrates, est déjà passé par des épreuves extrêmement graves qui ont failli l'engloutir dans les vagues et turbulences sociopolitiques, socioéconomiques et même socio éthiques qui ont failli faire perdre à ses fils, les valeurs les plus chères que sont la solidarité, le sens de l'honneur, le goût du travail et du travail bien fait, le respect de la chose publique, la défense de la patrie, l'effort, la curiosité scientifique intellectuelle etc.
Pour eux, la constitution a fait ce qu'un texte fondamental peut faire, car elle gère des hommes, des êtres humains à géométrie variable dont chaque unité constitue un sac de turbulences. Cette constitution selon les Sages et Notables démocrates, a permis d'organiser de 1990 à ce jour, 06 élections présidentielles et 07 élections législatives qui, malgré leurs imperfections, ont permis de dégager des Béninois pour conduire les destinés du pays. « Le peuple béninois a toujours puisé dans son tréfonds nationaliste et patriotique, les ressources nécessaires pour surmonter les plus graves crises découlant de ces imperfections », ont-ils souligné.
A titre illustratif, les têtes couronnées ont rappelé l'invalidation de plus de 400.000 voix à la présidentielle de 1996 à un candidat au second tour, le match amical de 2001 entre le président Mathieu Kérékou et Bruno Amoussou, le KO de 2011 et les problèmes actuels d'application du nouveau code électoral et la loi sur la charte des partis politiques. « Une élection mal faite, injuste vaut peut-être mieux qu'une guerre civile dont on ne peut prévoir l'issue », ont-ils suggéré.
Selon les Sages et Notables démocrates, il s'agit de la qualité des textes votés et promulgués en ce qui concerne leur applicabilité. Il s'agit aussi de la qualité des hommes chargés de les animer et de les appliquer, ont-ils précisé avant d'ajouter que le pays est désormais face à « un blocage qui ne doit pas être fatale mais qui doit constituer un espace d'épreuves qu'il faut dépasser, un obstacle qu'il faut surmonter pour que le Bénin et sa démocratie l'emportent aujourd'hui et pour toujours ».
Ils ont par ailleurs indiqué que plus jamais la situation d'aujourd'hui ne devra plus se présenter. « Toutes démocraties impliquent deux forces actrices et animatrices de la vie politique. L'une pour une raison ou une autre n'a pas le pouvoir, mais demeure une force politique inévitable. Le pouvoir en place doit tenir compte de son existence dans sa gouvernance, et elle a le pouvoir et le droit de veiller grâce à une critique objective et positive, à ce que l'Exécutif gère bien le pays ».
Dah Guédou et les têtes couronnées ont émis le vœu que désormais, les textes soient clairs sur ce point, toute élection doit avoir deux participations : une opposition et une mouvance ».
F. Aubin AHEHEHINNOU
Dans une déclaration faite à la pressé à l’issue de sa rencontre avec le chef de l’Etat, Ziari dit avoir informé Bensalah de l’impossibilité de tenir l’élection présidentielle dans les délais prévus.
L’ancien président de l’APN a conseillé Bensalah d’aller vers une période de transition gérée part la classe politique et des représentants du mouvement populaire.
Ziari a plaise pour le départ immédiat du gouvernement Bédoui. “On ne peut pas continuer avec un gouvernement qui n’a pas la confiance des algériens. Comment organiser des élections propres si celui qui était en place à l’intérieur lors des fraudes dirige aujourd’hui le pays”, explique-t-il.
L’ancien ministre de la santé a parlé au chef de l’Etat de la nécessité de ne pas s’accrocher aux règles de l’article 102 de la constitution et de faire appel aux choix du peuple selon les articles 07 et 08 de la constitution.
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Arrêté dans la matinée de ce jeudi 18 avril 2018 par des agents de la police républicaine à son domicile, les motifs de l'interpellation du journaliste Casimir Kpédjo sont désormais connus. Ayant été auditionné dans les locaux de l'Office central de répression de la cybercriminalité (Ocrc), le directeur de publication du journal la ‘'Nouvelle Economie'' est toujours en garde à vue.
Selon Me Renaud Agbodjo, avocat du journaliste Casimir Kpédjo, il lui est reproché « d'avoir diffusé par le biais des réseaux sociaux sur la page Facebook de son journal et sur d'autres structures de ligne deux articles de journaux notamment les parutions nº 126 et 127 du journal la ‘'Nouvelle Economie'' des informations qualifiées de fausses contre l'économie béninoise ». Des faits qui sont constitutifs d'une infraction notamment les articles 550 alinéa 3 du code du numérique.
Dans tous les cas, informe Me Agbodjo, le directeur de publication du journal ‘'Nouvelle Economie'' est serein puisqu'il a apporté sa version des faits et toutes ses sources.
« En principe on ne devait pas le retenir malgré cela il l'a été, on lui a notifié sa garde à vue. Jusqu'à quand on ne sait pas », annonce l'avocat qui précise que sa famille a accès à lui.
L'avocat avoue être choqué du fait qu'il ait été interpellé sans même une convocation préalable. « On en avait pas besoin d'en à arriver là », déplore Me Agbodjo.
S'agissant de la suite de la procédure, il renseigne qu' « à partir du moment où vous êtes gardé à vue, dans un délai de 48 heures maximum vous devez être présenté au procureur sauf prolongation de votre garde à vue sur ordre du procureur ».
« Actuellement, je pense que tous les actes ont été déjà posés. Il n'y a pas lieu de le garder davantage en principe si on doit être respectueux des textes, on devrait même pouvoir le présenter aujourd'hui si non pourquoi pas demain pour pouvoir en finir parce que je ne vois pas les raisons réelles pour lesquelles Monsieur Kpédjo a été arrêté », explique Me Agbodjo.
Selon l'avocat, dans la mesure où, son client a donné les sources de ses informations, il appartient à celui qui poursuit d'aller vérifier si ces sources sont officielles ou si elles sont fausses. « Je ne sais pas quel est l'intérêt de la rétention, si ce n'est pas parce qu'on a voulu le retenir », confie Me Agbodjo selon qui pour le faire, il faut qu'on puisse lui prouver ou apporter la preuve de ce qu'il est dans l'illégalité ou l'erreur, qu'il existe de charges suffisantes contre lui ou bien qu'il y a un flagrant délit.
« Aucune de ces conditions n'est réunie et pourtant on a voulu quand même le garder. Il faut retenir que la garde à vue est une décision discrétionnaire soit de l'OPJ ou à la demande du procureur de la République », précise l'avocat.
Akpédjé AYOSSO
Le Président du Mouvement de la société pour la paix (MSP) a rejeté l’invitation de Bensalah à une réunion de concertation prévue lundi 22 avril.
Makri a révélé que l’invitation a été signée par le Secrétaire général de la Présidence de la République Hebba El-Okbi, membre du premier cercle de Bouteflika.
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Le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah a adressé des invitations à plusieurs personnalités politiques pour une réunion de concertation au sujet des prochaines élections présidentielles prévues le 4 juillet prochain.
La réunion, qui sera présidée par Bensalah, est prévue lundi 22 avril au Palais des Nations (Club des Pin). La réunion vise principalement la création d’une instance nationale de préparation et d’organisation des élections.
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L’ancien président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Said Saâdi, a appelé jeudi au cours d’une rencontre à Tizi-Ouzou à un « nouvel ordre constitutionnel » en Algérie pour aller vers un ordre politique adapté aux réalités nationales et mondiales.
« Le défi de l’heure est la mise en place des fondations de la République », a soutenu M. Saâdi lors d’une conférence tenue à l’Université Mouloud Mammeri (UMMTO), soulignant qu' »une fois ce constat fondamental admis, on peut engager la réflexion sur les durées, les méthodes, les structures, le contenu et les objectifs de la transition ».
Une transition qui doit être, a-t-il expliqué, « pensée comme la clé de voûte de l’Algérie future » et pour laquelle « les acteurs politiques les plus avisés, les groupes sociaux les plus crédibles doivent être activement mobilisés (…) pour poser, en termes lisibles par tous, les principes généraux qui détermineront la vie de la nation démocratique ».
Cette période « doit être aussi courte que possible et l’armée n’est pas compétente pour accompagner une transition démocratique « , a-t-il ajouté, tout en prévenant que ce souci « légitime ne doit pas évacuer l’importance qualitative de cette période dont tout dépend » et « toute précipitation peut engendrer des effets pervers dont le pays peut faire l’économie ».
C’est pourquoi, a-t-il considéré, il y a lieu de « prendre le temps qu’il faut pour débattre, afin que tout un chacun entende et comprenne ce dont signifie le soulèvement citoyen et ce qu’il implique pour notre destin immédiat ».
Si cette base, a-t-il poursuivi, « est actée comme une référence imprescriptible de l’organisation de la cité, la suite peut être envisagée avec plus de facilité ». Cependant, pour ce faire, « il faudra de la persuasion, de la pédagogie et, au besoin, de la fermeté », a opiné Said Saâdi.
Concrètement, une première approche pourrait consister, a-t-il souligné, « à organiser des rencontres locales puis régionales dont la synthèse des idées émises dans ces agoras servira d’offre politique définissant les grandes lignes et les agendas sur lesquels doit s’organiser la transition ».
Pour le reste, a noté M. Saâdi, « les propositions de l’opposition se recoupent sur le fond. Présidence collégiale, gouvernement de transition, commission indépendante d’organisation des élections, font consensus ».
En termes de priorités, il a relevé que l’ensemble des acteurs qui se sont exprimés à la faveur de cette dynamique populaire, « conviennent que l’élection législative devant aboutir à l’assemblée qui élaborera une nouvelle Constitution doit être le premier scrutin de l’Algérie nouvelle ».
Et, a-t-il dit, « c’est au parlement démocratiquement élu de définir, puis d’adopter la nature du régime qui sied le mieux au pays, présidentiel ou parlementaire », l’essentiel étant, a-t-il ajouté, que « les préalables démocratiques soient clairement et solennellement prescrits en tant que postulats inviolables ».
APS
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Raouf Boucekkine et Nour Meddahi, éminents économistes ayant prix part à la Task Force installée par le gouvernement Sellal pour trouver des solutions de sortie de crise en 2015, ont tenu ce jeudi à répondre aux accusations lancées le 1er Avril par la Banque d’Algérie, en ce concerne la responsabilité du recours à la planche à billets et de ses conséquences désastreuses sur l’économie nationale.
Le deux économistes rappellent que l’ex-gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Loukal, qui a fait publier une note par la BA au lendemain de sa nomination au poste de ministre des Finances, pour se dédouaner de toute responsabilité en ce qui concerne le financement monétaire, a justement été le principal instrument de la nouvelle politique gouvernementale, laquelle s’est appuyée sur un recours massif et ahurissant à la planche à billets.
Raouf Boucekkin et Nour Meddahi ont reconnu que la Task Force ne s’est opposée au recours au financement montéraire, mais sous des conditions drastiques, dans des proportions limitées, et dans le seul objectif de soutenir la croissance. Ils ajoutent qui si Mohamed Laksaci , ancien gouverneur de la BA s’est opposée à la planche à billets, celui-ci a été écarté pour laisser place à Mohamed Loukal lequel a actionné la planche à billet « à grande échelle » ! Il est donc aisé de conclure qu’en lieu et place d’un recours limité et sous contrôle au financement monétaire, l’actuel ministre de Finances, a ouvert les vannes pour alimenter boulimie du gouvernement Ouyahia.
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Le chef de l’Etat, Abdelkader Bensalah, a reçu, jeudi à Alger, l’avocat et activiste en matière des droits de l’Homme, Me Miloud Brahimi.
L’audience s’est déroulée au siège de la Présidence de la République.
Auparavant, M. Bensalah avait reçu l’ancien président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari, et le président du Front El Moustakbal, Abdelaziz Belaid.
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