« Enseignement supérieur au Bénin, fer de lance de l'innovation ». Tel est le thème sur lequel le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique s'est entretenu avec les internautes le jeudi 18 juillet dernier. Elle a montré que la formation universitaire subit des réformes qui redonne à l'enseignement supérieur sa valeur réelle.
Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique était face aux internautes le 18 juillet dernier. Elle a apporté des réponses aux questions posées tout en montrant les différentes réformes dans le sous-secteur de l'enseignement supérieur et la recherche scientifique.
En ce qui concerne par exemple la question d'octroi de bourses, Marie-Odile Atanasso explique que depuis 2016, les méthodes d'attribution de bourses et secours ont changé. « Il n'y a plus de bourses pour la forme », martèle-t-elle. Elle explique que « Nous partons des besoins exprimés par les ministères sectoriels. Ensuite, nous envoyons des courriers aux entités universitaires pour savoir leur capacité d'accueil en tenant aussi compte des contraintes budgétaires. Nous mettons en place une commission qui travaille sur des critères bien définis pour l'exécution du PAG ».
Aussi souligne-t-elle que « Les bourses sont données par quota aux entités et par ordre de mérite selon la moyenne obtenue au baccalauréat ». Tout ceci est régit par le décret 155-2017 du 10 mars 2017, portant attribution de bourses au Bénin.
Quant à l'avantage induit par ce décret, le ministre dira que « le nombre de boursiers a augmenté ». A titre d'exemple, elle rappelle que « En 1ére année, nous avons donné plus de 15.000 bourses en licence cette année en battant tous les records. Cela fait environ 45.000 boursiers sur les 3 ans, si tous les étudiants passent avec succès leurs semestres ».
Le ministre ajoute que « Ce décret nous permet aussi de maîtriser les effectifs et faire des projections dynamiques ». Selon Mme Attanasso, « L'âge d'accès à la bourse doctorale est amélioré en passant de 26 à 29 ans tenant ainsi compte des contraintes de notre pays ». Mieux, « dans la vision d'améliorer les conditions de vie des étudiants, nous avons défini un quota d'accès aux secours universitaires. Sur instructions du Chef de l'Etat, quelques étudiants non boursiers seront repêchés au semestre 3 pour bénéficier des allocations », a-t-elle indiqué.
Malgré ces réformes, une autre situation se pose, celle de la mensualisation du payement des bourses. A cette question Marie-Odile Atanasso explique que « le gouvernement n'a jamais été indifférent aux problèmes des étudiants car ils constituent un maillon important de la jeunesse ».
« On peut relever des dysfonctionnements dans l'administration. (...) les étudiants sont censés avoir la bourse en 1ère année de façon mensuelle et régulière. Lorsque nous passons en 2e année, c'est-à-dire le semestre 3, il faut vérifier si l'étudiant est passé au semestre 3 », explique-t-elle.
Selon la ministre, « Les difficultés proviennent du fait que les années commencent très tard et aussi les résultats ne sont pas donnés à bonne date. Si nous n'avons pas les résultats fournis par les établissements, facultés, écoles, … nous n'aurons pas de dossiers à soumettre à la commission des bourses. Cela fait que toutes nos prévisions et efforts sont frappés par cette faiblesse ». Pour cela, « La responsabilité n'est pas au niveau du gouvernement mais plutôt au niveau des recteurs, doyens et autres responsables académiques », a-t-elle indiqué. Néanmoins, le Chef de l'Etat et son gouvernement s'attèlent à corriger ces imperfections qui plombent nos efforts envers les étudiants, précise-t-elle. Outre les questions relatives aux bourses, les internautes ont voulu être mieux éclairés sur les aides aux étudiants qui ont décidé de pouvoir leurs études hors du territoire béninois. Le ministre souligne que tout dépend du type de bourse d'études. « Le Bénin donne assez de bourses étrangères à ses étudiants : Sénégal, Cameroun, France… Nous accompagnons aussi ceux qui ont les bourses au Canada sans oublier les appuis des partenaires », souligne la ministre. Elle fait savoir que « L'attribution de ces bourses tient rigoureusement compte des besoins réels de notre pays ». Et par rapport à cela, « Nous avons mis fin à la politique de bourse pour bourse ». Ceci parce qu', « Il y a quelques réserves par rapport aux bourses canadiennes. Et pour cause, la plupart des étudiants envoyés au Canada ne sont plus revenus alors que ce sont des bourses qui nous coûtent beaucoup ».
L'autre sujet non moins important est la difficulté d'authentification des diplômes chinois par l'ambassade du Bénin en chine. Marie Odile Atanasso dira à ce propos que « ce qu'il faut savoir, c'est l'école qui délivre le diplôme qui donne l'authentification ». Elle confie que la possibilité a été donnée aux ambassades de certifier les diplômes. « Mais la certification n'est pas l'authentification. Les dispositions sont prises pour la célérité dans les différentes correspondances à travers des valises diplomatiques afin de pallier ces difficultés pour les étudiants qui se font former à l'étranger ».
Quant à la question relative à la recherche, un internaute estime que les gens soutiennent leurs mémoires qui sont placés dans les tiroirs alors que sans recherche pas de développement. « Il faut savoir que la recherche ne se fait pas seulement dans le supérieur mais dans tous les sectoriels à savoir l'INRAB, la santé, etc. Notre souhait est de créer un cadre institutionnel qui valorise les chercheurs. C'est cela qui a motivé la création de l'Agence pour la Recherche et l'Innovation. C'est dans cette optique que les startups sont vulgarisées », a-t-elle répondu.
G.A.
« Enseignement supérieur au Bénin, fer de lance de l'innovation ». Tel est le thème sur lequel le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique s'est entretenu avec les internautes le jeudi 18 juillet dernier. Elle a montré que la formation universitaire subit des réformes qui redonne à l'enseignement supérieur sa valeur réelle.
Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique était face aux internautes le 18 juillet dernier. Elle a apporté des réponses aux questions posées tout en montrant les différentes réformes dans le sous-secteur de l'enseignement supérieur et la recherche scientifique.
En ce qui concerne par exemple la question d'octroi de bourses, Marie-Odile Atanasso explique que depuis 2016, les méthodes d'attribution de bourses et secours ont changé. « Il n'y a plus de bourses pour la forme », martèle-t-elle. Elle explique que « Nous partons des besoins exprimés par les ministères sectoriels. Ensuite, nous envoyons des courriers aux entités universitaires pour savoir leur capacité d'accueil en tenant aussi compte des contraintes budgétaires. Nous mettons en place une commission qui travaille sur des critères bien définis pour l'exécution du PAG ».
Aussi souligne-t-elle que « Les bourses sont données par quota aux entités et par ordre de mérite selon la moyenne obtenue au baccalauréat ». Tout ceci est régit par le décret 155-2017 du 10 mars 2017, portant attribution de bourses au Bénin.
Quant à l'avantage induit par ce décret, le ministre dira que « le nombre de boursiers a augmenté ». A titre d'exemple, elle rappelle que « En 1ére année, nous avons donné plus de 15.000 bourses en licence cette année en battant tous les records. Cela fait environ 45.000 boursiers sur les 3 ans, si tous les étudiants passent avec succès leurs semestres ».
Le ministre ajoute que « Ce décret nous permet aussi de maîtriser les effectifs et faire des projections dynamiques ». Selon Mme Attanasso, « L'âge d'accès à la bourse doctorale est amélioré en passant de 26 à 29 ans tenant ainsi compte des contraintes de notre pays ». Mieux, « dans la vision d'améliorer les conditions de vie des étudiants, nous avons défini un quota d'accès aux secours universitaires. Sur instructions du Chef de l'Etat, quelques étudiants non boursiers seront repêchés au semestre 3 pour bénéficier des allocations », a-t-elle indiqué.
Malgré ces réformes, une autre situation se pose, celle de la mensualisation du payement des bourses. A cette question Marie-Odile Atanasso explique que « le gouvernement n'a jamais été indifférent aux problèmes des étudiants car ils constituent un maillon important de la jeunesse ».
« On peut relever des dysfonctionnements dans l'administration. (...) les étudiants sont censés avoir la bourse en 1ère année de façon mensuelle et régulière. Lorsque nous passons en 2e année, c'est-à-dire le semestre 3, il faut vérifier si l'étudiant est passé au semestre 3 », explique-t-elle.
Selon la ministre, « Les difficultés proviennent du fait que les années commencent très tard et aussi les résultats ne sont pas donnés à bonne date. Si nous n'avons pas les résultats fournis par les établissements, facultés, écoles, … nous n'aurons pas de dossiers à soumettre à la commission des bourses. Cela fait que toutes nos prévisions et efforts sont frappés par cette faiblesse ». Pour cela, « La responsabilité n'est pas au niveau du gouvernement mais plutôt au niveau des recteurs, doyens et autres responsables académiques », a-t-elle indiqué. Néanmoins, le Chef de l'Etat et son gouvernement s'attèlent à corriger ces imperfections qui plombent nos efforts envers les étudiants, précise-t-elle. Outre les questions relatives aux bourses, les internautes ont voulu être mieux éclairés sur les aides aux étudiants qui ont décidé de pouvoir leurs études hors du territoire béninois. Le ministre souligne que tout dépend du type de bourse d'études. « Le Bénin donne assez de bourses étrangères à ses étudiants : Sénégal, Cameroun, France… Nous accompagnons aussi ceux qui ont les bourses au Canada sans oublier les appuis des partenaires », souligne la ministre. Elle fait savoir que « L'attribution de ces bourses tient rigoureusement compte des besoins réels de notre pays ». Et par rapport à cela, « Nous avons mis fin à la politique de bourse pour bourse ». Ceci parce qu', « Il y a quelques réserves par rapport aux bourses canadiennes. Et pour cause, la plupart des étudiants envoyés au Canada ne sont plus revenus alors que ce sont des bourses qui nous coûtent beaucoup ».
L'autre sujet non moins important est la difficulté d'authentification des diplômes chinois par l'ambassade du Bénin en chine. Marie Odile Atanasso dira à ce propos que « ce qu'il faut savoir, c'est l'école qui délivre le diplôme qui donne l'authentification ». Elle confie que la possibilité a été donnée aux ambassades de certifier les diplômes. « Mais la certification n'est pas l'authentification. Les dispositions sont prises pour la célérité dans les différentes correspondances à travers des valises diplomatiques afin de pallier ces difficultés pour les étudiants qui se font former à l'étranger ».
Quant à la question relative à la recherche, un internaute estime que les gens soutiennent leurs mémoires qui sont placés dans les tiroirs alors que sans recherche pas de développement. « Il faut savoir que la recherche ne se fait pas seulement dans le supérieur mais dans tous les sectoriels à savoir l'INRAB, la santé, etc. Notre souhait est de créer un cadre institutionnel qui valorise les chercheurs. C'est cela qui a motivé la création de l'Agence pour la Recherche et l'Innovation. C'est dans cette optique que les startups sont vulgarisées », a-t-elle répondu.
G.A.
Selon les quelques femmes employées que nous avons rencontrées, hier matin, devant l’entrée de leur unité, le salaire de base d’une couturière tourne autour de 15 000 DA. Or, le chiffre d’affaires annuel de leur entreprise dépasse les 13 milliards de centimes. Le complexe Algérienne du costume (Alcost) de Béjaïa, une filiale du groupe Confection et […]
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Le procureur de la République près le tribunal de Sidi M’hamed avait instruit, le 8 juillet dernier, les services de la Police judiciaire d’ouvrir une enquête préliminaire sur ces actes. Alors que la question des violences policières lors des manifestations contre le système et ses symboles est devenue une thématique politique et médiatique majeure, les enquêtes […]
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Cette option préconisée par un ministre intérimaire commence à faire déjà polémique tant elle ne répond pas fondamentalement à un souci d’efficacité de l’enseignement mais, soupçonne-t-on, à d’autres considérations. Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique se prépare sérieusement à introduire l’anglais à l’université algérienne, en se basant sur un “sondage” selon […]
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Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique a procédé ce lundi 22 juillet au lancement des épreuves de l'examens national de licence.
Ils sont 6728 candidats à l'assaut de cet examen toutes catégories confondues. Cet effectif est en hausse par rapport à celui de 2017 et 2018. Ce dont se réjouit le ministre Marie Odile Attanasso, qui n'a pas manqué de féliciter les établissements privés d'enseignement supérieur pour leur engagement. Marie Odile Attanasso a au cours du lancement des épreuves indiqué aux candidats qu'il ne s'agit pas d'un concours mais un examen ou tous ceux qui auront la moyenne seront déclarés admis. Il n'est point question de s'agiter. Elle appelle chacun à se concentrer afin de donner le meilleur de lui-même. Car souligne-t-elle les épreuves sont à leur portée et ils pourront s'en sortir aisément avec un peu d'effort et de concentration.
G.A.
Le ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique a procédé ce lundi 22 juillet au lancement des épreuves de l'examens national de licence.
Ils sont 6728 candidats à l'assaut de cet examen toutes catégories confondues. Cet effectif est en hausse par rapport à celui de 2017 et 2018. Ce dont se réjouit le ministre Marie Odile Attanasso, qui n'a pas manqué de féliciter les établissements privés d'enseignement supérieur pour leur engagement. Marie Odile Attanasso a au cours du lancement des épreuves indiqué aux candidats qu'il ne s'agit pas d'un concours mais un examen ou tous ceux qui auront la moyenne seront déclarés admis. Il n'est point question de s'agiter. Elle appelle chacun à se concentrer afin de donner le meilleur de lui-même. Car souligne-t-elle les épreuves sont à leur portée et ils pourront s'en sortir aisément avec un peu d'effort et de concentration.
G.A.
Nazaire Hounnonpkè, désormais ex-directeur général de la police Républicaine a passé la main à son successeur, Soumaïla Yaya ce lundi 22 juillet 2019.
La cérémonie a eu lieu dans les locaux de la direction générale de l'institution en présence du ministre de l'Intérieur, Sacca Lafia, du Haut Commandement Militaire et de diverses personnalités politico-administratives.
Passant le témoin à son successeur, le directeur général sortant Nazaire Hounnonpkè a remercié le chef de l'Etat qui lui a permis de faire ses preuves à la tête de l'institution. « Vous m'avez donné l'occasion de mettre en œuvre une réforme phare. Vous avez estimé que le moment est venu pour que je puisse vous servir ailleurs », a-t-il déclaré.
L'ex directeur général part « en espérant que la mission est accomplie ». Il promet apporter son soutien à son successeur ‘'pour continuer l'œuvre entamée.''
Installé officiellement dans ses fonctions, le nouveau patron de la Police Républicaine, Soumaïla Yaya veut ensemble avec ses coéquipiers « faire de la Police Républicaine une institution humaine, forte et efficace au service du peuple ». Il s'agira d'œuvrer dans le but de transformer profondément la police républicaine en une force garante des institutions de la République (…), une force spécialement dédiée à la sécurité ».
Soumaïla Yaya s'engage à « une meilleure exécution des missions, au rayonnement de la Police à l'intérieur et à l'extérieur du pays ».
A en croire le ministre de l'intérieur « l'attente des populations en matières de sécurité est très grande ». Sacca Lafia invite les agents de sécurité à assurer convenablement leur mission. Aussi, a-t-il annoncé le recrutement de 500 nouveaux policiers. Ce qui va renforcer davantage l'institution qui a pour missions fondamentales d'assurer le respect de l'ordre public, la sécurité et la protection des institutions de l'État, aussi des libertés publiques et la protection des personnes et des biens sur toute l'étendue du territoire national.
Akpédjé AYOSSO
Nazaire Hounnonpkè, désormais ex-directeur général de la police Républicaine a passé la main à son successeur, Soumaïla Yaya ce lundi 22 juillet 2019.
La cérémonie a eu lieu dans les locaux de la direction générale de l'institution en présence du ministre de l'Intérieur, Sacca Lafia, du Haut Commandement Militaire et de diverses personnalités politico-administratives.
Passant le témoin à son successeur, le directeur général sortant Nazaire Hounnonpkè a remercié le chef de l'Etat qui lui a permis de faire ses preuves à la tête de l'institution. « Vous m'avez donné l'occasion de mettre en œuvre une réforme phare. Vous avez estimé que le moment est venu pour que je puisse vous servir ailleurs », a-t-il déclaré.
L'ex directeur général part « en espérant que la mission est accomplie ». Il promet apporter son soutien à son successeur ‘'pour continuer l'œuvre entamée.''
Installé officiellement dans ses fonctions, le nouveau patron de la Police Républicaine, Soumaïla Yaya veut ensemble avec ses coéquipiers « faire de la Police Républicaine une institution humaine, forte et efficace au service du peuple ». Il s'agira d'œuvrer dans le but de transformer profondément la police républicaine en une force garante des institutions de la République (…), une force spécialement dédiée à la sécurité ».
Soumaïla Yaya s'engage à « une meilleure exécution des missions, au rayonnement de la Police à l'intérieur et à l'extérieur du pays ».
A en croire le ministre de l'intérieur « l'attente des populations en matières de sécurité est très grande ». Sacca Lafia invite les agents de sécurité à assurer convenablement leur mission. Aussi, a-t-il annoncé le recrutement de 500 nouveaux policiers. Ce qui va renforcer davantage l'institution qui a pour missions fondamentales d'assurer le respect de l'ordre public, la sécurité et la protection des institutions de l'État, aussi des libertés publiques et la protection des personnes et des biens sur toute l'étendue du territoire national.
Akpédjé AYOSSO
Said B Qui de l’Algérien Riyad Mahrez, le Sénégalais Sadio Mané ou l’Egyptien Mohamed Salah, entre autres, remportera le Ballon d’Or Africain 2019 ? A cette question posée par les spécialistes au début de cette CAN 2019 en Egypte, aujourd’hui et après le sacre de l’Algérie face au Sénégal en finale vendredi dernier (1-0), l’avantage penche […]
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NADIA BELLIL Tadjamou Amel Jazaïr El Khadra (TAJ) organise la succession de Amar Ghoul, son président, actuellement en détention à la prison d’El Harrach. Hier, le bureau national du parti s’est réuni pour constater la vacance du poste de président du parti. Mais pas seulement, puisque les membres de cette instance ont fixé une date […]
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INES DALI Les Forces de l’alternative démocratique donnent rendez-vous pour le 31 août prochain, date de la tenue de «la convention du pacte politique pour une véritable transition démocratique» devant révéler le contenu d’une nouvelle initiative. D’aucuns se demandent pourquoi une trêve de plus d’un mois, alors que la scène politique est en pleine effervescence […]
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R.N. Un jeune homme de 27 ans a trouvé la mort dimanche en fin d’après midi à Béjaia après avoir tenté de sauver deux fillettes de la noyade, a-t-on appris lundi auprès de la famille du défunt. Mammeri Lamine, originaire du village d’Afra, dans la daira d’Amizour, à 25 km au sud Ouest de Béjaia, […]
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R.N. Deux (2) frères ont trouvé la mort dimanche soir, asphyxiés par des gaz toxiques dans un puits situé au quartier Ouled Hechiche, à l’entrée Ouest de la ville de Sétif, a-t-on appris lundi auprès de la direction de la protection civile (DPC). L’équipe de secours de l’unité de la protection civile de la commune […]
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R. N. Plusieurs mesures ont été prises pour éviter la réapparition de maladies à transmission hydrique comme le choléra, en renforçant le contrôle de la qualité d’eau dans les régions à risque, a indiqué le ministre des Ressources en eau, Ali Hamam. «Nous avons pris toutes les mesures nécessaires pour éviter une réapparition de l’épidémie […]
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«J’ai vécu avec trois générations en EN, les joueurs actuels ont tout l’avenir devant eux. Concernant mon avenir, je compte m’arrêter bientôt et laisser la place aux jeunes», a déclaré Rafik Halliche. Généralement, lorsqu’un footballeur songe à prendre sa retraite, il choisit le moment d’une consécration pour sortir avec les honneurs et par la grande […]
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