Le Conseil national de l’ordre des architectes (CNOA) a émis hier samedi un communiqué dans lequel il dénonce les nouvelles dispositions fiscales apportées par la loi de finances 2020 concernant les professions libérales, dont la leur. Le CNOA, a qualifié l’exclusion de leur profession du régime fiscal déclaratif forfaitaire de « violation de la Constitution et […]
The post Les architectes rejettent les dispositions fiscales de la loi des finances 2020 appeared first on .
ESenè est une innovation qui permettra à l’agriculture malienne de connaître une nouvelle envolée. C’est, en effet, un système qui renseigne sur le taux d’humidité de la terre à cultiver afin de savoir la quantité d’eau nécessaire à y apporter pour une croissance idéale des plants. Cette invention de Bourehima Coulibaly, un jeune informaticien, qui […]
L’article Mali : une innovation agricole permet d’économiser 80% de l’eau utilisée dans les plantations est apparu en premier sur Afrik.com.
Au Maroc, un nouveau scandale vient d’éclater au beau milieu du palais royal de Rabat. La justice marocaine tente en effet de retrouver la ou les personnes qui ont dérobé plusieurs montres de valeur appartenant au roi Mohammed VI. L’affaire a, selon Courrier International, été relatée par les journaux marocains et espagnols. Au moins 25 […]
L’article Nouveau scandale au Maroc : qui a volé les montres de luxe de Mohammed VI ? est apparu en premier sur Afrik.com.
Depuis quelques jours, la relation idyllique entre le couple nigérian Chioma et Davido s’est énormément détériorée. La situation est telle que l’artiste chanteur Davido émet des doutes sur la paternité de leur nouveau-né, Ifeanyi. C’est ce que l’on peut retenir des excuses publiques qu’il a adressées à la journaliste controversée Kemi Olunloyo suite aux propos […]
L’article Quand Davido doute de la paternité de son enfant avec Chioma ! est apparu en premier sur Afrik.com.
Eric TCHIAKPE, Directeur de KIKA Digital qui organise le Bénin Digital Round 2020, nous parle de l'événement.
Question : Qu'est-ce que le Bénin Digital Round ?
E.T : C'est une sorte de marché, un salon au cours duquel les acteurs importants de l'économie numérique au Bénin vont à la rencontre du public. C'est une occasion annuelle au cours de laquelle, on peut rencontrer régulateur, concepteur, fournisseurs de service et public, et où sont débattus les enjeux de la digitalisation au Bénin. Un espace où on recherche les meilleurs moyens de rendre efficace son activité grâce aux nouvelles technologies.
Vous avez dit salon ? Chaque semaine, il y en a un qui parle de Numérique et de Digital. En quoi votre événement sera différent de tout qui s'est fait jusqu'ici ?
Déjà, je ne pense pas que ce soit une mauvaise chose qu'on en parle chaque semaine. Je pense même qu'on devrait en parler tous les jours, compte tenu de l'importance de ce secteur, de notre position et des enjeux. Ce qu'il faut peut-être que je rappelle, le numérique est un secteur transversal à tous les autres secteurs, je veux dire de toutes activités humaines allant de la santé à l'agriculture en passant par l'administration, il n'existe pas de domaine où le numérique et la digitalisation ne soient concernés. C'est d'ailleurs pour cela que l'on parle aujourd'hui de transformation numérique, nous sommes à l'ère du numérique. Pour vous répondre, le Bénin Digital Round ne ressemble en rien à ce qui s'est fait jusqu'ici. Nous avons une approche différente. Nous voulons intégrer dans le processus de transformation en cours ceux qui sont principalement concernés, c'est-à-dire vous et moi. Le citoyen lambda.
Comment vous pouvez y arriver ?
Par l'approche. Ce qu'il faut savoir, c'est que le DIGITAL et le NUMERIQUE, font déjà partie de notre quotidien. Tout ce que nous faisons est numérisé ou susceptible de l'être selon l'étape d'intégration de nos usages, donc selon notre degré d'évolution technologique. Des secteurs entiers de notre vie de tous les jours ont déjà migré ou vont migrer dans l'économie virtuelle. L'ère du tout analogique est derrière nous et en voie de disparition. Cette réalité est si prégnante que de mon point de vue, les questions liées au domaine ne devraient pas être l'unique attribut des spécialistes et du régulateur. Cela devrait aussi être, et peut être principalement, l'affaire de tous.
Les fois où j'ai assisté à des rencontres sur le Numérique, je n'y ai vu que des spécialistes, des connaisseurs et dans des endroits si sélects que je me suis posé la question de savoir quand viendra le moment de vrais échanges sur ces questions et solutions qui nous concernent tous ?
À vous entendre les questions liées au digital sont débattus uniquement par les spécialistes. N'est-ce pas normal ?
C'est vrai qu'il faut que les spécialistes se rencontrent, établissent le cadre d'évolution juridique et administratif du secteur, c'est vrai et il est normal que les fournisseurs d'accès internet, les concepteurs de solutions et les régulateurs se rencontrent, abordent les grandes problématiques du domaine, ou les thématiques qui leur paraissent stratégiques. C'est normal tout ça. Seulement, nous ne pouvons et ne devons pas concentrer tous nos efforts à ce niveau-là, parce qu'en réalité, quand on a fini de tout régler en hauteur, les vrais usagers sont les citoyens ordinaires, c'est eux qui dynamisent l'écosystème. Et comment peut-on concevoir une architecture idéale sans que ceux qui doivent en bénéficier ne soient conviés à son élaboration. Le digital et le numérique, ce n'est pas l'abstrait, même si c'est virtuel, c'est un ensemble de solutions et d'outils dont l'objectif est d'optimiser nos usages habituels et nouveaux. Dans l'entendement de certains, c'est peut-être de nouvelles applications et solutions qui révolutionnent nos usages, mais ce n'est pas tout. C'est aussi la mise à jour et l'optimisation de ce qui existe. C'est surtout une migration de nos activités traditionnelles vers des supports technologiques différents de ce qui les a toujours caractérisés. Des lors, l'avis des usagers, leurs préférences comptent également.
Le Bénin Digital Round vise à créer une osmose entre les différents groupes cibles de l'écosystème numérique et digital, valoriser leur interdépendance aider à accroitre le taux de pénétration de l'internet.
Pour cette première édition, on veut déjà exposer ce qui se fait dans le DIGITAL au Bénin, montrer les différents agents de l'économie numérique et inviter le public à s'y intéresser.
Faire comprendre à ceux qui ne le savent pas encore, qu'ils y sont de plain-pied. Mettre en évidence les avantages qu'ils peuvent tirer des avancées et technologies à leurs dispositions.
Comment va se dérouler le salon ?
E.T : Nous avons prévu qu'il se tienne en 3 jours. On devrait avoir sur place, la fine fleur des prestataires, des entreprises bien avancées dans le processus de digitalisation, on y verrait également les développeurs confirmés et en devenir, certaines structures de l'Etat incontournables dans l'écosystème numérique au Bénin, des fournisseurs d'accès internet. Les avancés en matière de digitalisation au Bénin et de service que ce soit en matière de santé, d'agriculture, de finances et banques, de logistique…
Naturellement, il y aura des échanges sur les questions de l'heure en matière du numérique.
Cette année, la thématique principale est : Optimiser les activités du citoyen grâce au Digital.
Au-delà des débats autour de ce thème principal, on pourra voir et envisager les possibilités qui s'offrent aux citoyens qui aspire à être efficace dans tous les domaines de son quotidien.
La date et le lieu ?
Ce sera du 11 au 13 Février 2020, à Cotonou. Le lieu sera confirmé sur les affiches et autres supports de communication prévus à cet effet.
Avez-vous un dernier mot ?
Pour le public, la campagne sera lancée d'ici quelques jours sur les médias, réseaux sociaux compris. En attendant, je les invite à se déplacer nombreux, car c'est peut-être un salon, mais c'est le public qui est le challenge. S'ils ont des problèmes de compréhension, de modélisation de leurs activités, ils pourront sur place consulter des spécialistes et avoir des réponses. Quant aux professionnels qui souhaiteraient avoir de la visibilité il y encore quelques places disponibles : Les personnes intéressées peuvent nous joindre au 60 27 37 37 ou envoyer un mail au dg@kikagroupe.com ou au wxenafa@gmail.com. Compte tenu du nombre limité de places, seuls les premiers seront servis.
Je vous remercie de m'avoir offert l'opportunité de parler de cet événement.
Propos recueillis par Paul Tonon
L'obligation de déclaration d'existence est supprimée pour les entreprises nouvellement créées. Ceci conformément à la circulaire n° 154-e/MEF/DC/SGM/DGI/CSC du 24 janvier 2019 et la loi des finances pour la gestion 2020.
Le Directeur général des Impôts Nicolas Yenoussi dans une correspondance adressée aux directeurs départementaux des Impôts le 13 janvier 2020 indique par ailleurs que le relevé d'adressage se fait sur la base des informations contenues dans le dossier de création. En conséquence, les visites de terrain visant à confirmer l'adressage des entreprises nouvellement créées sont strictement interdites à tout agent.
Akpédjé AYOSSO
Plus de doute au sujet de l'appartenance ou non des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) au mouvement des forces politiques de l'opposition dit de la ‘'Résistance''. Le secrétaire exécutif nationale du parti, Paul Hounkpè dans un entretien accordé à L'évènement précis a été clair. « Le parti FCBE n'est plus dans la Résistance. Il y a longtemps que nous avons quitté la Résistance. Il faut que les gens retiennent cela une fois pour de bon », a-t-il déclaré.
Le débat est donc tranché.
L'ex président Nicéphore Soglo, chef de file de la ‘'Résistance'', qui affirmait il y a quelques jours n'avoir reçu aucune démission des FCBE du mouvement, a désormais la réponse à sa préoccupation, et ne devra plus compter sur la formation politique dirigée par l'ex chef d'Etat, Boni Yayi.
F. A. A.
Le tribunal de première instance de deuxième classe de Djougou a rendu son premier verdict dans les 13 dossiers inscrits au rôle de la session criminelle ouverte lundi 20 janvier 2020. Accusé d'assassinat, le sieur Ibrahim Séïdou a été condamné à 15 ans de réclusion criminelle au terme de l'audience présidée par le juge Wilfried Guèdègbé.
Selon le récit des faits, dans la nuit du jeudi 30 au vendredi 31 août 2012 à Bodi dans l'arrondissement de Pénéssoulou, commune de Bassila, le sieur Ibrahim Séïdou s'est introduit dans la chambre de sa femme, Soumanou Mariam. Alors que celle-ci dormait profondément, il a profité de son état de sommeil pour lui soutirer le bébé, Arouna Maïmounatou, âgée de 8 jours, qu'il a jeté par la suite dans un puits situé non loin de la concession.
Après son forfait, Ibrahim Séïdou est allé se coucher dans la chambre de son cousin, Titi Motalibi. Ce n'est qu'au petit matin que dame Soumanou Mariam, réveillée par les cris du Muezzin, constata la disparition de son enfant puis, éclata en sanglot. Les différentes fouilles ont permis de découvrir le bébé dans le puits à la surface de l'eau. Interpellé, Ibrahim a reconnu les faits mis à sa charge.
Le parquet a demandé la requalification des faits d'assassinat, en infanticide.
Après avoir plaidé coupable pour le crime, Me Maxime Codo, avocat de la défense, a imploré l'indulgence de la Cour.
Dans sa réquisition, le ministère public a requis 10 ans de réclusion criminelle contre l'accusé.
Dans sa délibération, le juge Wilfried Guèdègbé a condamné Ibrahim Séïdou à 15 ans de réclusion criminelle.
F. A. A.
Dix nouveaux-nés ont succombé à des infections de méningite et de pneumonie nosocomiales, dans un hôpital de Ekurhulenin dans la province du Gauteng, infections dues à une bactérie. L’information a été donnée ce lundi 20 janvier 2020, à travers un communiqué du département de la Santé de la province du Gauteng. Selon ledit communiqué, au […]
L’article Afrique du Sud : une bactérie cause la mort de 10 nourrissons dans un hôpital de Ekurhuleni est apparu en premier sur Afrik.com.
Dans un communiqué rendu public ce lundi, le Front de libération nationale (FLN), a exprimé sa volonté de participer à la révision de la Constitution, lancé le 8 janvier par le chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune. Le parti a annoncé, dans le communiqué, la tenue d’une réunion, demain, qui sera supervisée par le secrétaire général […]
The post Le FLN veut participer à la révision de la Constitution appeared first on .
Lors du forum international sur les « Perspectives de développement et de coopération dans le domaine de l’aviation », Mohamed Benbrika, professeur à l’École nationale polytechnique d’El Harrach (Alger), a affirmé que l’Algérie est capable de construire des avions car il existe, en Algérie, des personnes compétentes dans le domaine de l’industrie, de la mécanique et de […]
The post L’Algérie peut-elle construire des Avions ? appeared first on .
C’est la grosse colère au Maroc, plus précisément au palais de Rabat, après que des Marocains aient brûlé et piétiné le portrait du roi Mohammed VI et le drapeau du royaume. Les faits se sont déroulés le dimanche 19 janvier 2020, dans le nord de la France, à Betz. Saisissant l’opportunité de la commémoration des […]
L’article Maroc, Portrait de Mohammed VI brûlé : grosse colère à Rabat est apparu en premier sur Afrik.com.