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Afrique

VAFC: Aly Abeid: «Je ferai tout pour ce maillot»

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 01/24/2020 - 23:15
La Voix du Nord - Le Mauritanien Aly Abeid s’est engagé jeudi pour deux ans et demi avec Valenciennes. Le latéral gauche va enfin retrouver le...
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Quels sont les bienfaits de l’huile de poisson sur la santé

Afrik.com - Fri, 01/24/2020 - 22:42

Alors que les compléments alimentaires connaissent un succès fulgurant, l’huile de poisson se positionne de plus en plus au nombre des plus recherchés pour leurs effets sur la santé. Elle est essentiellement vendue sous forme liquide, mais aussi sous forme de gélules. Ses bienfaits sur la santé sont surtout le fait de sa composition. Voici […]

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Guinée-Conakry : trois morts suite à une violente manifestation à Labé

Afrik.com - Fri, 01/24/2020 - 22:33

En Guinée-Conakry, trois personnes ont perdu la vie lors d’un affrontement entre les jeunes manifestants de la ville de Labé et les forces de l’ordre, dans la journée du jeudi 23 janvier 2020. Labé est l’une des villes où la population conteste farouchement le projet de révision constitutionnelle lancé par le Président Alpha Condé. Dans […]

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Un stock de médicaments suffisant pour les besoins du Pays est disponible à la CAMEC (ministre de la santé)

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 01/24/2020 - 22:30
AMI - "Je suis heureux de constater que la centrale d’achat de médicaments et de consommables (CAMEC) possède actuellement un stock de...
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Trois militaires arrêtés pour tentative de cambriolage

24 Heures au Bénin - Fri, 01/24/2020 - 22:25

Dans la nuit du vendredi au samedi 21 janvier 2020, trois militaires et trois civils ont tenté de cambrioler le Greffe du tribunal de première instance de première classe de Cotonou. Pris en flagrant délit, ces agents indélicats ont été arrêtés et gardés à vue avec leurs complices.
Selon les informations, ces agents des forces de défense seraient à la recherche de la drogue gardée sous scellé dans les locaux du Greffe.
Ils seront présentés à la justice pour répondre des faits qui leur sont reprochés.

F. A. A.

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Rwanda : six membres des FDU condamnés à des peines de 7 à 12 ans de prison

Afrik.com - Fri, 01/24/2020 - 22:18

Jeudi 23 janvier 2020, la justice rwandaise a condamné 6 (six) opposants politiques à des peines d’emprisonnement allant de 7 à 12 ans pour « menace à la sécurité de l’Etat » et « formation de groupe armé ». Les six condamnés sont des partisans du parti politique d’opposition les Forces Démocratiques Unifiés (FDU). L’un […]

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Libye : trop de réunions, pas assez de pression, selon Ahmedou Ould Abdallah, président du Centre 4S

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 01/24/2020 - 21:58
DW - Berlin, Alger, et bientôt Brazzaville - la situation en Libye fait l'objet de multiples rencontres. L'ancien diplomate mauritanien Ahmedou...
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A cœur ouvert avec Jean Marc Adjovi-Bocco

24 Heures au Bénin - Fri, 01/24/2020 - 21:52
Voir en ligne : x7r1c6l
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Mauritanie : Interdiction du meeting de la députée Kadiata Malick Diallo

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 01/24/2020 - 21:31
Al-akhbar - Les autorités mauritaniennes ont interdit le meeting de la députée Kadiata Malick Diallo du parti d’opposition UFP qu’elle...
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La terre tremble pour la troisième fois à Jijel

Algérie 360 - Fri, 01/24/2020 - 21:24

Le Centre de recherche en Astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG), a fait savoir via un Tweet qu’une secousse tellurique de magnitude de 3.6 sur l’échelle de Richter a été ressenti vers 20h10mn à Jijel. L’épicentre de cette secousse a été localisé à 10 km au nord-est de la commune d’El Aouana, dans la wilaya de […]

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Communiqué de presse de la Coalition Vivre ensemble (CVE)

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 01/24/2020 - 21:23
CVE - La CVE se félicite de la libération de notre compatriote Ousmane Wone... La Coalition Vivre Ensemble a suivi avec satisfaction la...
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Coronavirus : des instructions au corps médical pour faire face à tout imprévu

Algérie 360 - Fri, 01/24/2020 - 20:59

Le corps médical a reçu des instructions pour parer à tout imprévu, suite à l’apparition du Coronavirus en Chine, a indiqué vendredi à Alger le Directeur de la prévention au ministère de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Dr Djamel Fourar, rapporté par l’APS. Dr. Fourar a déclaré que « l’Algérie, qui […]

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Sahel : les conséquences de l'intervention militaire française au Mali

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 01/24/2020 - 20:16
Francetvinfo - Analyse du chercheur Marc-Antoine Pérouse de Montclos, auteur d'"Une guerre perdue : la France au Sahel" (Lattès), dans...
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Le transport routier toujours au rythme des faux frais

24 Heures au Bénin - Fri, 01/24/2020 - 20:12

Cotonou-Parakou, Cotonou-Hilacondji, Cotonou-Kraké. La route est en apparence dégagée des nombreuses barrières qui entravaient la circulation routière, mais la corruption y sévit toujours. De façon subtile.

El-Hadj Affissou Anonrin (Enquête réalisée avec le soutien de OSIWA)

Samedi 12 octobre 2019. 6h 30 mn. A la frontière de Hilacondji entre le Bénin et le Togo, à une centaine de kilomètres à l'ouest de Cotonou, ce n'est pas encore la grande affluence mais déjà, automobilistes et passagers s'affairent sur la gare routière. Une voiture 505 de marque Peugeot démarre, en direction de Cotonou. A bord, 12 passagers au lieu des 9 réglementairement reconnus. Sur le porte-bagages, des sacs remplis de chaussures, d'oignon et de vêtements. Entre Hilacondji et Comè, séparés d'une trentaine de kilomètres, les policiers roupillent encore à bord de leur véhicule Pick-up. Un peu après Comè, à quelques centaines de mètres du pont de Guézin, les douaniers attendaient, sifflet à la bouche. Sègbégnon, le conducteur, marque l'arrêt, soutire un billet de 1000 F CFA (un peu plus de 1, 50 Euro) de son coffre à gant, sort de sa voiture puis se dirige vers le disciple de St Mathieu. A quelques mètres de l'agent, il simule un salut militaire et lui serre la main. Le tour est joué. L'agent de douane empoche promptement le billet. Tout souriant, Sègbégnon redémarre.
A la porte d'entrée de Ouidah, à quelques encablures de l'Institut pour le développement endogène (IDEE), des éléments de la Police républicaine font la patrouille en sens inverse. Mais subitement, ils rebroussent chemin et prennent en chasse la voiture de Sègbégnon, qui ne prend aucun risque. Il gare, descend avec un billet de 1000 F CFA et court vers les policiers. Cela ne semble pas faire l'affaire. Il revient auprès du véhicule et repart avec un billet de 2000 F. Les policiers reprennent leur direction initiale. Le chauffeur aussi, furieux d'avoir payé plus qu'il n'en avait prévu. « Mais c'est mieux que de se retrouver en fourrière », marmonne-t-il. De Ouidah à Cotonou, Sègbégnon n'a plus rien déboursé bien qu'ayant croisé près de quatre patrouilles de la Police.
Sur l'axe Cotonou-Kraké, en plus des policiers, pas moins de trois postes de douane. Ce qui est contraire aux dispositions du décret N° 2013-546 du 24 décembre 2013 qui limite à 01, le nombre de poste de contrôle sur cet axe routier . Le comble : la présence des Klébés ou « arracheurs de billets », dans le jargon des fraudeurs. Ils sont chargés de percevoir l'argent de la fraude pour le compte des douaniers qui ne veulent pas prendre le risque d'être pris en flagrant délit de corruption.

La nuit, tous les chats...

L'axe Cotonou-Parakou (dans le nord du Bénin) est long de 427 Km. Le parcours a été fait en 6h de route, sans aucun contrôle. « C'est bien bizarre qu'aucun policier ne nous ait arrêtés alors qu'on en a vu sur tout le long du parcours », commente un passager. « Cest l'arbre qui cache la forêt », lui répond Fousséni, le chauffeur. « C'est parce que nous sommes en plein jour. La nuit, tous les chats sont gris », ironise-t-il. Ce qui sera confirmé pour le voyage retour vers Cotonou dans la nuit du dimanche 24 novembre 2019. Entre Parakou et Tchaourou, le trajet est paisible. A mesure que l'obscurité s'épaissit, les tracasseries commencent. 500 F CFA, 1000 F CFA, Fousséni en a distribué à au moins quatre postes de contrôle tenus par des policiers. Ceci, sans reçu.

Dans la discrétion et la subtilité

De façon globale, il faut reconnaitre que le rançonnement des transporteurs diminue. « Aujourd'hui, c'est un plaisir d'entendre des transporteurs dire qu'ils peuvent quitter Malanville pour Dantokpa sans dépenser le moindre Kopeck alors qu'auparavant, il leur fallait mettre de côté au moins 350.000 F CFA pour « contenter » sans reçu, policiers, gendarmes, forestiers, gendarmes et agents du conditionnement sur le même corridor », se réjouit Martin Assogba, président de lONG ALCRER qui lutte contre la corruption. « On est fier lorsque dans les rencontres communautaires, nos collègues des autres pays témoignent de la disparition des tracasseries policières sur les corridors béninois », renchérit le Colonel Mohamed Saké, directeur de la Sécurité publique, reconnaissant tout de même que le rançonnement na pas encore totalement disparu. « En plus de la fin des tracasseries policières, nous nous réjouissons également de la disparition des barrières des syndicats qui nous harcelaient », affirme Gabriel Kato Atita, Secrétaire général de lUnion des conducteurs des taxis urbains du Bénin (UCTIB), un des syndicats de transporteurs.
Le rançonnement des transporteurs par les agents en uniforme persiste, mais de façon plus discrète, nuancent en chur Matin Assogba, Mohamed Saké et Gabriel Kato Atita. Ce constat est corroboré par les résultats de la 10ème édition du Baromètre mondial de la corruption pour lAfrique réalisé par Transparency International qui révèlent que « le taux de corruption global est passé de 26% à 27% entre 2015 et 2019 et de 54 à 55% sur la même période à la police ». Ce qui signifie quà la police, la courbe de la corruption ne sest pas encore inversée malgré les réformes opérées et les moyens rendus disponibles. On na pas encore atteint le bout du tunnel. Mais en la matière, le Bénin reste un modèle de bonne gouvernance. Du rapport 2017 de l'Observatoire des Pratiques Anormales (OPA) sur les corridors de lAfrique de lOuest, il ressort que le nombre de postes de contrôle aux 100 Km est fluctuant mais reste globalement supérieur à la norme communautaire qui est de 3 postes de contrôle le long des corridors. Ceci dans tous les pays de lUemoa, à lexception du Bénin qui respecte désormais cette norme.

Encadré 1 :

Klébés ou acteurs clés du nouveau visage de la corruption

« A Kraké, on dénombrait près de 400 Klébés. Ils ne sont pas salariés et sont rémunérés en fonction des saisies (10% de primes sur les saisies). Ce sont eux qui se chargent de percevoir les faux frais pour le compte des douaniers », lit-on dans louvrage Etat et corruption en Afrique publié en 2007. Larticle 47 de lArrêté 4480 du ministre des Finances en date du19 août 2015 portant code déthique et de bonne conduite des fonctionnaires des douanes et des droits indirects interdit le recours aux services de ces percepteurs improvisés. Mais ils sont encore présents et nhésitent pas user de la force pour extorquer de largent aux usagers au nez et à la barbe des douaniers. « Les Klébés sont très utiles dans la lutte contre la fraude douanière surtout au niveau de nos frontières poreuses », soutient un officier de la douane qui a requis lanonymat. Ils sont perçus pourtant comme « des acteurs importants dans le nouveau visage de la corruption sur les axes routiers », rapporte le journal LEconomiste du 22 août 2019. Et comme pour défier les lois et règlements, les Klébés ont dailleurs créé lAssociation nationale des indicateurs et aides de la douane béninoise pour se formaliser et disposer dun cadre légal de travail. Au niveau du ministère de lIntérieur, aucune trace de l'enregistrement de ladite Association malheureusement.

El Hadj A.A.

Encadré 2 :

Des « moyens » contre la corruption

« Dans nos unités opérationnelles il n'y avait ni prime, ni budget, ni fournitures de bureau... Les victimes sur le terrain étaient donc les usagers de la route que les agents étaient obligés de soumettre aux tracasseries routières. Désormais, chaque unité a été dotée de moyens conséquents pour faire le travail, notamment d'un budget de fonctionnement et surtout de matériels roulants (engins à deux roues, véhicules pick-up) », témoigne le Colonel Mohamed Saké, directeur de la Sécurité publique. Une source bien informée confie que par le passé, chaque unité opérationnelle ne recevait que 16.000 F CFA par mois pour le matériel de bureau. Le carburant est pris en charge par les plaignants. Désormais, il est alloué aujourdhui aux unités opérationnelles de la police républicaine 10.000 F CFA par mois pour la carburation et 150.000 F CFA pour le fonctionnement. Malgré ces ressources, le mal persiste. Et le gouvernement tape du poing sur la table. En témoignent les multiples radiations qui ont été faites tant à la Douane quà la Police républicaine en sappuyant sur des dispositions de la loi du 12 octobre 2011 portant lutte contre la corruption et les infractions connexes en République du Bénin. En effet, le Conseil des ministres du 2 mai 2018 a décidé de la radiation de 27 policiers et gendarmes pour mauvaise gestion des fonds additionnels alloués aux unités de Sécurité publique. Le 25 septembre 2019, trois autres policiers et deux douaniers ont été aussi radiés pour des faits de corruption.

El Hadj A.A.

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Un rendez-vous de Orounla pour échanger avec les journalistes

24 Heures au Bénin - Fri, 01/24/2020 - 20:09

Le ministre de la communication et de la poste, Me Alain Orounla était ce vendredi 24 juin en face des professionnels.des médias. La rencontre qui s'est déroulée dans la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères est un creuset d'échange entre le ministre et les journalistes.
Il s'agira désormais d'un rendez-vous mensuel afin d'échanger avec les professionnels des médias sur non seulement les actions du gouvernement mais aussi sur questions d'actualité. Une occasion où les journalistes pourront discuter avec le ministre afin d'avoir les vraies informations sur les sujets d'actualité.
Selon le ministre Orounla, cette rencontre vise à « Échanger avec vous et faire passer l'information dont le gouvernement a voulu mettre à votre disposition ». « Vous avez besoin d'avoir de bonnes informations afin de relayer ce qui est bon. Mettre fin aux intoxications des gens qui font passer des fakes news à travers les réseaux sociaux », a souligné Me Orounla.
Le ministre a adressé aux journalistes les bons voeux du gouvernement tout en souhaitant une « année de l'accomplissement et de la consolidation des acquis du peuple béninois qui a eu l'inspiration de porter à la tête du pays, un visionnaire qui oeuvre avec son gouvernement à l'amélioration de conditions de vie des populations ».
Par rapport au PAG, le ministre a assuré que « C'est un programme qui se déroule avec méthode. Aujourd'hui, on peut dire que les fruits de ces réformes sont perceptibles. Nous prions pour la consolidation de ces acquis ».
Entre autres acquis, il met en exergue « 51% des écoles ayant les cantines scolaires et impliquant plus de 800 000 enfants qui prennent des repas chauds ».
Sans oublier la résorption du déficit d'enseignant, la mise en oeuvre du Plan stratégique de relance de secteur de l'enseignement et l'installation du CNE qui détient désormais la politique éducative.
Pour le ministre, « l'accent est mis sur l'éducation et le budget qui y est consacré est important ».
Le porte-parole du gouvernement n'a pas manqué de préciser « l'ambitieux projet Arch qui est rentré dans sa phase pilote en 2019 et sera généralisé cette année, l'Asphaltage qui est né, qui grandit, vit et transforme le paysage ».
Autres actions non moins importantes : la gestion moderne des déchets solides ménagères dans le grand Nokoué, la construction des marchés modernes pour améliorer les conditions des femmes.
Aussi grandes que sont les ambitions du président, le ministre Orounla indique que « Lorsqu'un chantier est lancé, tout est mis au point pour que cela ne soit pas un éléphant blanc ».
Aussi rappelle-t-il de la vision du gouvernement à offrir l'eau potable pour tous. « Le gouvernement s'emploie pour que d'ici 2021, tous les Béninois aient accès à l'eau potable ».

Autres actions

Nombreuses sont les actions du gouvernement portées par le chef de l'Etat qui sont en concrétisation. Le ministre a énuméré quelques-unes pour montrer que le chef de l'Etat joue le rôle qui est le sien afin de révéler le Bénin. Il met aussi l'accent sur le réseau routier avec le contournement nord de Cotonou où l'étude complémentaire a été lancée. « Nous avons doté le pays d'une centrale de 126 Mgw et d'autres à venir pour assurer l'autonomisation énergétique ».
Le gouvernement a réglé entièrement les dettes contractées à la CEB.
Il est prévu la construction de logements sociaux, d'hôpitaux et la rationnalisation du plan de santé. « C'est vous dire que le Bénin avance sous le leadership du président Talon », a avoué le ministre. « Ce n'est pas suffisant mais il faut dire qu'il y a encore des choses en cours et il faut le faire comprendre››, a précisé Me Orounla. Il n'a pas oublié de souligner la transformation du système politique, l'institution de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme avec des réformes y afférentes, le vote du code électorale et la charte des partis politiques (initiée et soutenue par le gouvernement), le vote de la loi portant statut de l'opposition, et la révision de la constitution induite par le dialogue politique. Autant d'actions réalisées déjà par le gouvernement que le ministre a partagées avec les professionnels des médias.
« Nous avons pris l'engagement d'instaurer le dialogue entre vous et moi afin que vous soyez cohérents dans vos analyses », a indiqué le ministre. Quelques questions ont été posées au ministre pour des clarifications.
Le porte-parole du gouvernement n'a pas manqué d'apporter en retour sa part de vérité aux journalistes.

G. A.

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Macron évoque la question mémorielle de la France avec la guerre d’Algérie

Algérie 360 - Fri, 01/24/2020 - 19:57

Dans un entretien accordé au quotidien Le Figaro, le président français Emmanuel Macron a évoqué la question mémorielle et notamment le rapport qu’entretient la France avec la guerre d’Algérie. En effet, le président français a affirmé : « je suis très lucide sur les défis que j’ai devant moi d’un point de vue mémoriel et qui sont […]

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Secteur pêche: une nouvelle stratégie 2020-2024 faisant face à deux grands défis

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 01/24/2020 - 19:30
Dr Sidi El Moctar Taleb Hamme - Comme on l’avait dit dans un autre écrit, Monsieur le Ministre des Pêches et de l’Economie Maritime a pris...
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La Société civile échange avec chercheurs et acteurs étatiques

24 Heures au Bénin - Fri, 01/24/2020 - 18:55

Les organisations de la société civile se penchent sur l'Objectif du développement durable 11 « Villes et communautés durables ».
A travers un atelier, ces organisations échangent avec les chercheurs et acteurs étatiques pour mieux cerner les contours de cette thématique afin d'assurer le lobbying par rapport aux politiques publiques.
L'atelier se déroule le 23 janvier à la maison de la société et le 24 à Ouidah.
Il s'agit de croiser les acteurs autour des défis liés à la gouvernance et à la résilience des territoires au Bénin.

A travers les « défis de la co-construction / coproduction de la résilience des territoires au Bénin », le doctorant Sylvestre Edjèkpoto a décrypté la thématique qui a retenu l'attention des participants. Selon lui, la résilience c'est le fait de « recevoir un coup, tomber, se relever et rebondir ». Pour M. Edjèkpoto, « le corps reçoit le coup, la ville reçoit le coup et le territoire en reçoit aussi ».
Après la communication, trois panels ont suivi afin de mieux appréhender les contours de la thématique.
Le premier a porté sur « la gouvernance du foncier dans la logique de production de la ville durable ». Le second est axé sur « Le rôle des acteurs dans la gestion du foncier au Bénin » et le troisième a porté sur « le patrimoine comme ressource et moyens de résilience de l'espace ».
Le directeur de la maison de la société civile a expliqué l'importance de cet atelier et les retombées pour les OSC. « Dans un premier temps c'est un espace de rencontre. On met en lien certains responsables publics qui s'occupent des questions en débat, des chercheurs qui ont travaillé et qui viennent parler de ce qu'ils font et les OSC qui sont dans ce domaine ».
C'est aussi une occasion dira-t-il, pour les OSC d'apprendre et d'actualiser leurs connaissances par rapport aux enjeux liés aux villes et communautés durables.
Le
Chargé de programme de la maison de la société civile et doctorant en urbanisme, Fiacre Nouwadjro, a souligné que sa structure travaille ‹‹ à l'appropriation de l'Agenda 2030 par les OSC de manière qu'elles puissent jouer convenablement leur rôle à côté des gouvernants ». Il précise que ce rôle ne pourra être joué convenablement si celles-ci ne comprennent pas véritablement les enjeux du développement durable.
« C'est ce qui nous a permis de réunir les OSC, les chercheurs de différentes universités mais également des structures étatiques pour échanger avec les OSC à comprendre les problèmes de développement pour mieux suivre les politiques publiques pour le bien des citoyens », a souligné M. Nouwadjro.
Il présente la situation que traversent certaines villes du sud. « Les phénomènes qui touchent la ville de Porto-Novo vont migrer et iront vers Avrankou et vers Bonou. La preuve, c'est que le trop plein de Porto-Novo se décharge sur Avrankou et Adjarra. Si on n'arrive pas à définir fondamentalement les fonctions des espaces et les faire respecter, respecter l'identité de ces espaces, le problème qu'on a va s'étaler jusqu'à Bonou et après on va recommencer. Mais on va déjà subir des chocs causés par nous-mêmes. On pourra avoir de mal à se relever. Si on veut des communautés durables, si on veut que la génération future puissent vivre correctement, c'est maintenant il faut anticiper et penser les solutions », a-t-il expliqué.
Sylvestre Edjèkpoto revient sur le thème central de cet atelier et confie que « C'est un cadre de rencontre et d'échange sur les questions d'urbanisme et de patrimoine liées aux objectifs de durabilité et de résilience qui sont des questions essentiellement pluridisciplinaires. Dans ce cadre, il faudrait réunir différentes personnalités, différents champs de recherche pour mieux appréhender la problématique. C'est dans ce cadre que cette rencontre a lieu pour mettre ensemble différents champs. Cela a permis de décloisonner les points de vue, de travailler ensemble et de savoir ce que chacun fait dans son coin afin de mieux organiser la lutte pour la résilience ».
Pour lui, « L'impact ce sera grand d'en parler toute suite mais on peut faire des prévisions d'effets que cet atelier peut avoir. (...). Deuxièmement, il y a une voix qui a demandé qu'on constitue un groupe de lobbying pour faire un contre-poids sur des actions et des idées des gouvernants afin de les orienter dans le bon sens ».
Cet atelier de deux jours permettra aux OSC et aux chercheurs d'assurer la veille en matière du suivi de l'ODD 11.

G. A.

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La Cour de Justice de La UEMOA dispose d'un nouveau site web

24 Heures au Bénin - Fri, 01/24/2020 - 18:49

La Cour de Justice de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (CJ/UEMOA) dispose désormais d'un site internet : www.courdejusticeuemoa.org.

Avec cet outil d'information, de communication et de vulgarisation du droit, la juridiction communautaire compte ‹‹ établir un lien avec le grand public et ses partenaires, qui ont dorénavant accès à ses textes fondamentaux, sa jurisprudence et d'autres documents utiles››.
Aussi, les étudiants et les enseignants-chercheurs intéressés par le droit communautaire peuvent-ils accéder à la bibliothèque spécialisée de la CJ/UEMOA.
A travers cet ‹‹ instrument pratique et moderne de connaissance du droit communautaire››, les citoyens ont la possibilité de poser directement des questions aux membres de la Cour.

A propos de la CJ/UEMOA

La Cour de Justice de l'UEMOA a été créée par le Traité de l'Union et le Protocole additionnel n°1. Elle a pour mission de veiller au respect du droit quant à l'interprétation et l'application du Traité de l'Union.

Akpédjé AYOSSO

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Mauritanie: Des membres du gouvernement commentent le conseil des ministres

CRIDEM (Mauritanie) - Fri, 01/24/2020 - 18:45
AMI - Les travaux du conseil des ministres, réuni jeudi matin, ont été commentés, dans l’après-midi, par des membres du gouvernement, face...
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