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Afrique

Concessionnaires de véhicules neufs : 26 demandes d’agrément déposées

Algérie 360 - Wed, 06/23/2021 - 20:44

Plusieurs opérateurs économiques désirant exercer l’activité de concessionnaire de véhicules neufs ont déposé leurs demandes d’inscription pour l’obtention des agréments  au siège du ministère. En effet, le ministère de l’Industrie a reçu 26 demandes d’agrément pour exercer l’activité de concessionnaire de véhicules neufs, qui ont été déposées au niveau du secrétariat technique de la commission […]

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Alexandre Hountondji et Joseph Tamégnon jugés le 09 août

24 Heures au Bénin - Wed, 06/23/2021 - 20:27

Arrêtés puis déposés en prison, les opposants Alexandre Hountondji et Joseph Tamégnon seront jugés par la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme le lundi 09 août 2021.

L'ancien ministre Alexandre Hountondji et l'ex-directeur général de la Société de gestion des marchés autonomes, Joseph Tamégnon seront bientôt fixés sur leur sort. En détention provisoire depuis avril 2021, ils ont été arrêtés après les manifestations violentes enregistrées au Bénin. Le 06 avril 2021, des individus ont manifesté contre la prorogation (45 jours) du mandat du chef de l'Etat Patrice Talon. Ils ont saccagé des biens publics et privés à Bantè, Tchaourou et Savè. Les manifestants ont également procédé au barrage des routes inter États et blessés 21 personnes des forces de défense et de sécurité blessés par balles. Les deux opposants sont poursuivis pour des faits d'actes de terrorisme. Leur procès est fixé au 09 août prochain. Alexandre Hountondji et Joseph Tamégnon sont tous membres du ''Groupe national de Contact'', mouvement d'opposition.

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L'histoire de la Sud-africaine Gosiame Thamara Sithole aux 10 bébés est fausse, révèle une enquête

BBC Afrique - Wed, 06/23/2021 - 20:16
Gosiame Sithole n'était pas enceinte récemment et bénéficie actuellement d'un soutien psychologique, selon les autorités.
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Mythe autour du culte des jumeaux en milieu Baatonu

24 Heures au Bénin - Wed, 06/23/2021 - 20:00

Porte-bonheur ou porte-malheur, les jumeaux font l'objet de tout un culte au Bénin. En milieu Baatonu, la croyance populaire leur attribue des forces surnaturelles. Loin de considérer leur naissance comme une malédiction, ils les célèbrent et les adorent telles des divinités.

Par Nazaire Tahoué

Les Baatonu sont attachés à leurs traditions. Même l'évangélisation et l'islamisation à outrance n'ont vraiment pas entamé leur foi dans les croyances et pratiques endogènes. En témoigne par exemple, le culte qu'ils vouent aux jumeaux. Ils sont, selon eux, des « grands ». Quand bien-même ils sont des êtres vivants en chair et en os, ils les assimilent à des dieux ou à des divinités.
Appelés Sika en Baatonu, les jumeaux portent souvent le nom de baptême Séni, s'ils sont des garçons et Assana, pour les filles. Sachant que le temps qui sépare leur naissance n'est parfois que de quelques minutes, chez les Baatonu, c'est celui arrivé en dernier qui est considéré comme l'aîné. Ce raisonnement, explique Jacques Séko Nari Bagoudou, tient tout simplement à la coutume qui voudrait que ce soit le grand frère qui confie une mission à son petit frère. Il l'envoie en éclaireur s'enquérir de la situation et sonder le terrain. Dans l'ère Baatonu, les petits sont souvent devant et leurs aînés ferment la marche. Qu'il s'agisse des triplés, quadruplés ou quintuplés, c'est la même chose.

Abdoulaye Idrissou, en dehors de sa mère jumelle, a également eu deux jumeaux
« Que sur un simple geste, une femme accouche de plusieurs enfants, cela parait surnaturel. Ça ne peut qu'être qu'un signe du ciel », justifie le septuagénaire Issiaka Zakari rencontré dans sa ferme à Komiguéa. Abondant dans le même sens, l'instituteur à la retraite et ancien animateur en langue nationale Baatonu à l'ORTB, Jacques Séko Nari Bagoudou confie qu'ils sont respectés et vénérés à tel point que, dès qu'il y a un problème au sein de la famille, il faut aller les voir et leur parler. « Lorsqu'il y a un malheur qui menace la famille, ce sont souvent eux qui le signalent. Soit, ils sont indisposés ou ont un comportement anormal, soit, ils ne sont pas de bonne humeur. Il suffit de consulter et on vous l'apprendra », soutient-il. Selon lui, ils amènent le bien-être, la cohésion et la paix dans les familles au sein desquelles ils ont vu le jour. « Mais ils punissent aussi ceux qui les offensent », avertit le vieux retraité.
Interdits, obligations et devoirs

Les parents de jumeaux sont contraints d'observer certains interdits que ces derniers leur imposent. Pour leur préparer le repas, il y a certains bois comme celui du faux corossolier appelé « Batoko » ou « Yalti » en Baatonu, qu'ils ne peuvent aller chercher en brousse. « Dans l'ère Baatonu, il est interdit de préparer la nourriture destinée aux jumeaux avec ce bois », insiste Jacques Bagoudou.
D'ailleurs, lorsque vous leur servez certains mets, ils peuvent tomber malade ou passer deux jours à refuser de manger. C'est la preuve que ces nourritures leur sont interdites.
S'agissant des obligations et des devoirs envers les jumeaux Baatonu, ils ont également droit, comme n'importe quel nouveau-né de cette ère cultuelle, à des cérémonies de sortie les 7e ou 8e jours après leur naissance. Seulement, au lieu d'un poulet à préparer, il faudra en prévoir deux pour le repas à préparer pour chacun d'eux. Pour la cérémonie, si c'est un cabri qui a été tué, deux de ses cuisses feront l'affaire. C'est à cette occasion que des prénoms leur sont attribués. Pour les deux, une seule natte suffira.
Pour la jumelle, Angèle Bagri, ce n'est souvent pas évident que leurs parents croient aux bien-fondés de ces cérémonies qui leur sont destinées. En réalité, c'est par crainte des calamités qui peuvent s'abattre sur leurs familles, qu'ils l'organisent. Par contre, d'autres le font parce qu'ils sont attachés, entant que Baatonu, à leurs valeurs traditionnelles. C'est le cas de Dagui Douwarou, père de jumeaux, qui le fait par respect aux us et coutumes Baatonu. Transporteur à Parakou et également père de jumeaux, Mohamed Wahab, reste quant à lui dubitatif. Selon lui, ils sont des enfants comme tout autre. « Leur naissance n'a rien d'extraordinaire. C'est la société Baatonu qui l'a entouré de mythes », insiste-t-il.
Par ailleurs, la tendance est de les traiter de la même façon. Ainsi, pour évite de créer de différence entre eux, leurs habillements, cadeaux, bijoux et autres doivent être les mêmes. Mais gars, s'ils ne s'aiment pas. Dans ces conditions, il faudra leur trouver des trousseaux de toilettes différents, des couverts pas de mêmes couleurs pour leurs repas. Pour le savoir, il suffit de donner à manger à celui sortie en premier. S'ils s'entendent, il ne consommera pas le repas, tant que l'aîné ne l'aura pas autorisé. Pour ce faire, il faut d'abord servir le jumeau qui a été le dernier à sortir. En ne respectant pas leurs choix, prévient Jacques Bagoudou, vous risquez de vous créer des ennuis et à force de les obliger à s'accepter et à partager les mêmes effets ou objets, l'un d'eux finira pas s'en aller.
Par rapport à cette conception que les Baatonu se font des jumeaux, « ils peuvent se ressembler physiquement, et même parfois psychologiquement, mais ils restent deux personnes différentes avec des tempéraments différents. Il faut donc tenir compte de la spécificité de chacun et éviter de les comparer. Aussi, ne faudrait-il jamais attendre d'eux les mêmes attitudes », fait plutôt observer le sociologue, Gervais Alitonon.
Une situation que Jacques Bagoudou a vécue, il y a à peine deux ans, c'est le cas d'un enfant tombé malade et qui a été conduit à l'hôpital de Boko. Vaines se sont avérées les recherches pour retrouver ses veines afin de lui faire une perfusion. C'est alors qu'une vieille dame présente sur les lieux, demanda à ses parents s'il n'était pas par hasard jumeau. A leurs réponses, elle déduit que l'autre jumeau devrait être l'aîné et insista pour qu'on aille le chercher. Il a suffi seulement que l'on trouve la veine sur le bras de ce dernier, avant de pouvoir s'en sortir avec celui qui est souffrant. C'était, indique le vieux Jacques Bagoudou, à la surprise de tout le monde, y compris les médecins expatriés.
Au-delà de toutes ces considérations qu'ils vouent aux jumeaux, il y a certaines pratiques dans lesquelles les Baatonu ne se reconnaissent pas. Pour eux, il s'agit surtout d'une question d'orgueil et de dignité.
Il est fréquent, en effet, de rencontrer sur certains grands carrefours de la ville de Parakou, des mères en compagnie de leurs jumeaux bien habillés. Elles viennent les exposer dans l'espoir de bénéficier de la commisération des passants. Une pratique que déplore Aziz Gounou au motif qu'ils offensent ainsi les Baatonu.
Par le passé, précise Jacques Bagoudou, elle avait court, mais pas de cette manière. « Quelqu'un qui a fait des jumeaux et qui manque de moyens pour les élever, peut se mettre avec eux devant sa maison. A leur vue, les passants leur donnent de l'argent ou des cadeaux », informe-t-il.

De la réincarnation des jumeaux décédés

Lorsque l'un des jumeaux décède en bas âge, il est aussitôt représenté par une figurine sous forme de bout de bois de « Yalti » parée de cauris et de tissus. On l'installe souvent à côté du survivant. La maman le porte devant, quand elle met l'autre au dos. Ils sont toujours ensemble. Lorsque celui qui a survécu, aura grandi, l'on les séparera. Son second rejoindra alors la calebasse réservée aux jumeaux de la famille qui sont décédés. Ce sera après une cérémonie au cours de laquelle on fait des beignets de haricot blanc. Un coq servira à préparer une soupe légère avec moins de condiments et dépourvue de piments.
A l'occasion, on fait prendre une toilette à tous les jumeaux disposés dans la calebasse, avant de les sécher au soleil. C'est une fête organisée à leur intention, fait observer Jacques Bagoudou, pour leur annoncer l'arrivée d'un nouveau parmi eux. A la fin de la cérémonie, ils seront, avec leur nouvel hôte, rangés dans la calebasse qui le soir, retournera à sa place dans la chambre de la vieille dame la plus âgée de la famille.
« N'ayant pas connu sa seconde qui était décédée, j'ai grandi avec ma mère sans savoir qu'elle était une jumelle », rapporte Abdoulaye Idrissou, un sage du quartier Ladjifarani à Parakou. Il passait son temps à s'amuser avec la figurine constituée de cauris qui reposait dans une calebasse à l'intérieur de la case en banco les abritant. C'est plus tard, après le décès de sa mère, qu'il apprendra que la figurine servait à immortaliser sa seconde. Abdoulaye Idrissou a également été père de deux jumeaux qui s'en sont retournés quelques heures après leur naissance, l'un après l'autre. Il y a deux ans, pour orner son salon, il s'est mis à sa recherche sans succès. Par la suite, un de ses petits-fils devenu un jeune cadre vint à lui pour se plaindre que tous ses projets avaient du plomb dans l'aile. Après une consultation à l'indigénat, il ressort que c'est parce qu'il a jeté la fameuse figurine dans la forêt de Parakou. Son petit-fils ignorait également sa nature.
Ainsi, si dans certaines localités, on estime qu'un jumeau est allé en brousse lorsqu'il décède, chez les Baatonu, c'est qu'il a tout simplement rejoint la calebasse.
Par ailleurs, à supposer qu'un jumeau Baatonu décède à un âge avancé, l'entourage s'abstient de porter la nouvelle à son second qui ne réside pas dans la localité. C'est en lui versant de la cendre sur la tête, qu'il en est informé. Il peut alors assister aux obsèques de son frère jumeau, au risque de tomber malade ou de le suivre à son tour. « Même si nous ne nous acceptions pas, à sa mort, nous devons le faire », se défend l'exploitant forestier et jumeau, Damien Orou Kouma. « Certes, nous sommes venus au monde le même jour et la même mère, mais nous n'avons pas le même destin », soutient-il.
Avant longtemps, la croyance aux jumeaux au Bénin ne pourra être modifiée. Pour cause, la coutume et la tradition n'étant pas appelées à disparaître facilement.

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La DGI distribue 3,6 millions FCFA à 28 gagnants

24 Heures au Bénin - Wed, 06/23/2021 - 19:47

La Direction Générale des Impôts (DGI) a procédé, mardi 22 juin 2021, à la remise de chèques à 28 nouveaux gagnants du jeu tombola sur les factures normalisées. C'est en présence du représentant de la Loterie Nationale du Bénin (Lnb) et d'un huissier de justice.

200.000 FCFA chacun pour huit (08) personnes et 100.000 FCFA chacun pour vingt (20) autres gagnants pour une valeur totale de trois millions six cent mille. C'est la cagnotte remise à 28 nouveaux gagnants, mardi 22 juin 2021, à la place de l'Etoile rouge de Cotonou, dans le cadre du jeu tombola sur les factures normalisées. De nombreux autres lots de 20.000 ou 50.000 FCFA ont été transférés aux gagnants par le biais des services de paiement mobile des réseaux Gsm.
S'adressant aux nouveaux gagnants, Justin Agbikossi, directeur général adjoint des impôts a indiqué : « en achetant et en réclamant ces factures normalisées, vous donnez des ressources à l'Etat par le biais des TVA que vous payez pour construire des écoles, des marchés, des routes et pour permettre de développer davantage notre pays. En réclamant ces factures normalisées, vous obligez les entreprises à déclarer ces TVA que vous payez ».
Les nouveaux gagnants, très heureux, se sont engagés à porter la nouvelle autour d'eux pour non seulement faire gagner d'autres personnes mais aussi pour permettre la mobilisation de ressources à l'Etat.
Pour l'huissier de justice près la Cour d'Appel de Cotonou, Maxime René Assogba, les tirages des gagnants ont été effectués conformément aux règlements de la tombola de la facture normalisée.
Les tirages au sort effectués dans le cadre du jeu tombola sur la facture normalisée permet aux contribuables de gagner 500 000 FCFA chaque semaine.
Les deux gros lots du jeu, deux (02) voitures neuves d'une valeur de 25 millions FCFA chacune seront remises à la fin de l'année.
M. M.

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Aïd El Adha 2021 : Les prix des moutons connaîtront une hausse

Algérie 360 - Wed, 06/23/2021 - 19:38

Un membre du bureau de la Fédération nationale des éleveurs (FNE) Mohamed Boukarabila a déclaré aujourd’hui que les prix des moutons connaîtront une augmentation cette année, en prévision de l’Aïd El Adha. La célébration de l’Aïd el-Kébir, fête la plus importante pour les musulmans, représente un coût souvent lourd à supporter pour les familles Algériennes, […]

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Les infections de l'oreille chez les enfants expliquées en cinq points

BBC Afrique - Wed, 06/23/2021 - 19:27
Une pathologie bénigne mais à ne pas négliger
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Guillaume Soro condamné à la prison à vie

BBC Afrique - Wed, 06/23/2021 - 19:09
L'ancien Premier ministre ivoirien Guillaume Soro est condamné mercredi à la prison à perpétuité par contumace pour atteinte a la sûreté de l'Etat pour des faits qui remontent à 2019.
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Visa touristique pour l’Espagne : les conditions pour les Algériens

Algérie 360 - Wed, 06/23/2021 - 18:53

L’Algérie a partiellement ouvert ses frontières avec six différents pays à travers le monde, à savoir la Tunisie, la France, la Turquie, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne. C’est vers cette dernière que le traitement des visas touristiques a repris. Les voyages touristiques vers l’Espagne sont donc possibles pour certains Algériens, qui devraient, ceci dit, toujours remplir […]

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Louis Vlavonou reçoit deux délégations à son cabinet

24 Heures au Bénin - Wed, 06/23/2021 - 18:27

Audiences à l'Assemblée nationale dans la matinée de ce mercredi 23 juin 2021. Les échanges du président Louis Vlavonou avec ses hôtes ont porté sur la culture, le tourisme et le dialogue inter-religieux.

La première délégation reçue à l'Assemblée nationale est celle conduite par Wilfried Houndje, délégué général du Carnaval International de Ouidah. Il a présenté au président Louis Vlavonou, l'événement ‘'Carnaval International de Ouidah'' prévu du 17 au 19 décembre 2021. « (…) nous avons jugé important de venir lui en parler, lui transmettre officiellement le dossier et recevoir quelques sages et précieux conseils de lui afin de mieux peaufiner notre stratégie et notre plan pour que la destination Ouidah, que dis-je, la destination Bénin soit mieux vendue dans les mois à venir parce que nous voulons que le Bénin soit rempli de touristes après le Covid qui a ralenti les activités au niveau international », a affirmé Wilfried Houndje, au terme de l'audience.

Le Président de l'Assemblée poursuit-il, a félicité la délégation pour le parcours qui est fait et tout ce qui reste à faire. « Il a promis se mettre de notre côté, mobiliser les honorables députés qui représentent le peuple pour que tous soient dans la marche du Carnaval International de Ouidah », a-t-il confié.
Les préparatifs pour la réussite de l'évènement ont démarré depuis 16 mois avec la réalisation des accoutrements, masques etc.

Louis Vlavonou a également reçu une autre délégation avec à sa tête l'imam Ligaly Youssouf, imam de la mosquée centrale de Cadjehoun,1er Vice-président du Creuset du Dialogue inter-religieux. « (…) Le Creuset Dialogue inter-religieux que nous représentons ici existe depuis 2011 et nous travaillons avec toutes les confessions religieuses pour que nous ayons une paix durable dans notre cher pays le Bénin », a-t-il indiqué à la presse.

La délégation a soumis au Président de l'Assemblée nationale un projet dont l'objectif est de sensibiliser les populations béninoises sur la nécessité de travailler à la cohésion nationale. « Du moment où c'est le même sang qui circule dans nos veines et donc quelles que soient nos divergences, nous devons travailler à prioriser le dialogue et vivre ensemble. Nous avons soumis notre projet de création de la maison du dialogue inter-religieux où chaque confession religieuse aura son lieu de culte et au cas où il y aurait des conflits c'est dans ladite maison que les solutions seront trouvées », a ajouté l'imam Ligaly Youssouf.

A.A.A

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Coronavirus Algérie : le bilan détaillé de ce mercredi 23 juin

Algérie 360 - Wed, 06/23/2021 - 18:02

L’Algérie a enregistré ce mercredi 23 juin 2021 une nouvelle baisse des contaminations au coronavirus selon le dernier bilan rendu public par le Comité scientifique chargé de suivi de l’évolution de l’épidémie. La stabilité des chiffres se confirme. Durant les dernières 24 heures, l’Algérie a donc enregistré 370 nouveaux cas de contaminations, contre les 385 […]

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Accusée de meurtre : mariée à 17 ans, à 18 elle accouche en prison

Algérie 360 - Wed, 06/23/2021 - 17:54

S’est tenu cette semaine le procès en appel d’une affaire de meurtre ou le principal accusé est une femme qui s’est mariée à 17 ans et qui s’est retrouvée, quelques mois après, entrain d’accoucher dans l’une des prisons de la wilaya de Mostaganem. Un triste sort pour cette femme qui est accusée d’avoir voulu assassiner […]

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Polémiques sur l’histoire : les interrogations d’un historien

Algérie 360 - Wed, 06/23/2021 - 17:05

La scène médiatique algérienne connait ces derniers jours un gigantesque tollé suscité par différentes déclarations et « révélations » sur des personnalités historiques. Depuis, les interrogations se multiplient sur, notamment, les coulisses et les motivations cachées derrière. La dernière sortie médiatique fracassante n’est autre que celle de Nordine Ait Hamouda accusant l’Émir Abdelkader de « trahison ». […]

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Les principaux produits importés au Bénin au 1er trimestre 2021

24 Heures au Bénin - Wed, 06/23/2021 - 16:22

Le Bénin a importé au premier trimestre 2021 plusieurs produits dont le riz, les huiles de pétrole, les poissons congelés et autres. Les céréales sont en tête des produits importés.

Selon les données de l'Institut national des statistiques, le produit le plus importé au Bénin, au cours du premier trimestre 2021 est le riz (riz semi-blanchi, même poli, glacé, étuvé ou converti y compris le riz en brisures). Le Bénin a importé 356 224,5 tonnes de riz pour une valeur de 89,75 milliards FCFA Ce qui représente 23,3% des importations du Bénin (384,9 milliards FCFA au premier trimestre 2021).

Après le riz, le Bénin a importé les produits dérivés du pétrole (huiles de pétrole ou de minéraux bitumineux etc) d'une valeur de 51,97 milliards FCFA pour 190 222,5 tonnes. Viennent ensuite les poissons congelés (15,42 milliards FCFA pour 26 687,4 tonnes) et les viandes et abats comestibles (13,31 milliards FCFA pour 25 841 tonnes). Les médicaments occupent la cinquième place des produits importés au Bénin. Ils sont évalués à 11,85 milliards FCFA pour 986,5 tonnes. Les autres importations sont les véhicules à moteur pour le transport des personnes, les motocycles, les véhicules automobiles, le fil machine en fer ou en acier et l'huile de palme et ses fractions.

L'Inde est le premier partenaire à l'importation avec une part de 17,3 % soit 259 372 tonnes de biens (riz, huile de pétrole) pour un montant de 66,72 milliards FCFA. Les autres partenaires à l'importation sont respectivement la France (46,77 milliards FCFA), la Chine (40,30 milliards), Emirats Arabes Unis (26,32 milliards de FCFA) et la Turquie (16,66 milliards de FCFA).

Dans l'espace CEDEAO, le Bénin a comme principaux fournisseurs, le Togo, la Côte d'Ivoire et le Nigéria. Les produits provenant de ces pays sont le bitume de pétrole, les véhicules de transport de marchandises et les huiles de pétrole.

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Féminicides en Algérie : poignant témoignage d’une rescapée

Algérie 360 - Wed, 06/23/2021 - 16:10

Une rescapée de la mort, qui est maintenant doublement condamnée par le regard de la société. Il s’agit d’une jeune malheureuse femme divorcée qui a fini par être kidnappée par son ex-mari, et puis défigurée à cause de la bêtise barbare de ce dernier qui avait failli lui ôter la vie. Cela s’est passé dans […]

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Les Béninois vivant en Europe peuvent se faire enrôler au RAVIP

24 Heures au Bénin - Wed, 06/23/2021 - 16:09

Dans le cadre du Recensement administratif à vocation d'identification de la population (RAVIP), les Béninois vivant en Europe peuvent se faire enrôler à la section consulaire de l'Ambassade du Bénin en France. L'information a été rendue publique par une note de l'Ambassade du Bénin en France.

Selon la note signée de l'ambassadeur Eusèbe Agbangla, l'Agence Nationale d'Identification des Personnes offre la possibilité aux Béninois en Europe de se faire enrôler à la section consulaire de l'Ambassade du Bénin en France, sise à l'adresse 89 Rue du Cherche-Midi 75006 Paris (FRANCE) en vue de leur inscription au Registre national des Personnes physiques.

Cette opération vise à permettre aux Béninois de la diaspora de bénéficier dans les mêmes conditions qu'au Bénin, des multiples avantages offerts par l'inscription au Registre national des Personnes physiques. Après l'inscription, les Béninois de la diaspora pourront obtenir sur place à Paris, les documents d'identification ci-après : l'acte de naissance sécurisé ; la carte d'identité nationale biométrique ; le certificat de célibat et de coutume ; le certificat d'identification personnelle (CIP) portant le numéro personnel d'identification qui garantit la sécurisation de leurs actes d'état civil et facilite l'accès à l'ensemble des services disponibles sur le portail web de l'ANIP (https://eservices.anip.bj/), et le Portail national des services publics du Bénin (https://service-public.bj/).

Les Béninois de la diaspora doivent se munir de tout document d'identification ou d'état civil pour l'opération. A noter que l'enrôlement se fait uniquement sur prise de rendez-vous via le site internet de l'Ambassade (www.benin-ambassade.fr).

Tarifs des documents d'identification liés au Ravip

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Corruption : du nouveau dans le dossier de Noureddine Bedoui

Algérie 360 - Wed, 06/23/2021 - 16:08

Noureddine Bedoui, ancien ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, a été entendu pour une dernière fois par les services de sécurité de la wilaya de Constantine. Ainsi le dossier, de l’ancien ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui poursuivi dans des affaires de corruption et du trafic du foncier, a été complètement […]

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Une confusion totale appelée la société civile

24 Heures au Bénin - Wed, 06/23/2021 - 15:00

Le concept de société civile occupe de nos jours une place importante au sein des politiques de développement aux côtés des notions de « décentralisation » de « déconcentration » et de « bonne gouvernance ».Chacun croit savoir ce quelle signifie. Nous pensons à « quelque chose » entre l'Etat et la sphère privée. Nous pensons également aux secteurs associatifs, aux Ong, aux syndicats etc…Selon Dominique Aulas (1992, 44) « la société civile est devenue l'étiquette de toutes sortes de marchandises, ou parfois même le label du vide ; un mot de passe qui permet de se parler sans savoir ce que l'on dit, ce qui évite de trop se disputer … »

En République du Bénin, le concept de société civile est différemment interprété par les différents acteurs en fonction des enjeux et des motivations au risque d'induire une crise dont les conséquences pourraient s'avérer préjudiciables à la cohésion sociale et politique nationale. Par rapport à ce constat, il sied d'appréhender les contours de la société civile béninoise, de définir les critères d'identification pour à terme, aboutir à établir une classification type de ses différents acteurs. Pour ce faire, notre tâche consistera à :

faire l'historique de la notion de société civile sur le plan universel
faire un état des lieux et les spécificités de la société civile béninoise
déterminer si ces spécificités ont un impact sur le concept de la société civile au Bénin
etc.

I- De l'historique à l'évolution du concept de société civile dans le monde

1- Société civile – Société de nature

Le concept de société civile a connu une évolution sémantique au cours des années. Il faut recourir à La politique d'Aristote ( environ 350 avant JC) pour trouver l'origine grecque du terme. Dans la pensée aristotélicienne, la koïnonia politikè ou « société civile » est synonyme de Polis soit d'Etat ou de Cité. Elle est considérée comme la forme la plus élevée de la communauté qui surpasse la famille (ou oikos) et le peuple (ethnos). Le passage du grec qu français société civile s'est produit par l'intermédiaire du latin societas civilis qui signifie Cité ou Etat. La formule societas civilis fut employée pour la première fois pour reprendre koïnonia politikè par le moine Augustin Gilles de Rome, précepteur de Le Bel. Dès lors le concept de société civile a connu une évolution fluctuante.
Dans son ouvrage intitulé le glaive et le fléau, Dominique Colas (1997 ; 17) écrit « le vocable de « société civile » après s'être peu à peu imposé dans le vocabulaire de la science politique à partir du XVIè siècle, n'est devenu banal que dans la seconde moitié du XXè siècle pour atteindre un usage massif, journalistique, et journalier en quittant le lexique spécialisé de la théologie, de la politique, de la sociologie, pour enrichir le vocabulaire usuel de la vie politique »
Nous tenons à ajouter que la conception de la société civile s'inscrivait dans un contexte ou l'on sortait à peine des guerres de religion. La société civile opposé à la société naturelle mettait en exergue les rapports qui s'établissait entre le pouvoir spirituel très puissant au Moyen-âge en occident et le pouvoir politique qui petit à petit se renforce et se cristallise.
Colas souligne « A la fin du XVIè siècle, la « société civile » et societas civilis sont les termes usuels du vocabulaire de la politique et des politiques liées aux guerres de religion sur l'autonomie du pouvoir temporel, par rapport au pouvoir ecclesiatique et sur l'autonomie des souverains par rapport au peuple » Colas (1992 ;18)

Ainsi depuis sa naissance jusqu'à aujourd'hui, le concept de société civile et son usage ne peuvent êtres dissociés du contexte socio-politique. A cet effeet Colas écrit « … à la sortie des guerres civiles et de relogion, la société civiloe devient le terme qui permet de poser la distinction de la communauté politique organisée d'avec l'Etat de nature ».

Outre le débat sur la séparation entre l'Etat et la religion, le concept de société civile a connu une seconde impulsion liée au développement de la société préindustielle ou cette notion apparaît comme « l'expression d'une identité de classe face à l'aristocratie féodale et au besoin de forger des outils idéologiques correspondant aux nouvelles situations » (Houtard, 1998 ;7)

Les travaux de Hobbes montrent l'opposition entre société civile distinguée et société naturelle. La société civile est ordonnée par des lois qui sont élaborées pour se protéger des dangers de la société sauvage. La société civile implique donc un gouvernement, un Etat, une force politique. Ainsi Locke confirme Hobbes en prétendant que « la société civile est la totalité sociale incluant l'Etat à qui les êtres humains délèguent le contrôle, l'agencement de la loi naturelle ».

Ainsi au cours des années on est passé de la société naturelle, à la société sauvage et la société civil(isée)

2-Société civile au 18ème siècle

Le processus d'élaboration et de renforcement des Etats modernes au début du 18ème siècle a donné naissance à une évolution du concept de société civile. Les travaux de :
Tocqueville : Lorsqu'il compare les systèmes politiques de France et d'Amérique
Rousseau : Remarque que la société n'est pas simplement civilisée, mais faut-il qu'il y ait un contrat social entre les hommes. Ce contrat social est selon Hegel le point de départ de l'opposition de société civile et société politique.
Hegel : La société civile est un système de dépendance des individus pour leur subsistance, leur bien être, leurs droits qui s'expriment en trois éléments :
le système de nécessité
la défense de la liberté et de la propriété
la garantie d'un bien être commun au sein du particulier grâce à l'action de l'administration

La société civile est le lieu des intérêts surdéterminés par la rationalité de l'Etat qui va à l'encontre des caprices des individus.

Karl Marx : Pour lui la société civile est le lieu des intérêts particuliers il dit : « la société des citoyens n'est rien d'autre que la société bourgeoise qui a opéré un dédoublement entre société civile ( rapport économique au sens large) et société politique (Etat) contre la société féodale qui était directement politique. Ainsi selon Marx la société civile domine le politique.

II- De l'Universalité à la particularité béninoise

Le concept de société civile est né en occident pour comprendre les rapports singuliers qui s'établissent entre le pouvoir organisé et le reste de la société. Aujourd'hui ce concept a connu un succès planétaire. Cette situation est liée aux contestations des régimes communistes de l'Europe de l'Est, la crise du développement et les crises de l'Etat.

1- Existence d'une société civile en Afrique ?

Sur la base des travaux de Bayart sur la politique du ventre, plusieurs chercheurs africanistes ont récusé l'existence d'une société civile au sud du sahara.

A cet effet, René Otayek (1999) affirme : « … très en vogue à l'heure actuelle, le concept de société civile est également l'un des plus controversés qui soient, certains auteurs soutenant que du fait notamment de la confusion sphère publique et sphère privée qui caractériserait les pays non occidentaux, l'émergence d'une société civile s'y avère extrêmement problématique….. »

Chabal et Daloz dans l'Afrique est partie (1999) déclarent : « …il n'y a pas de société civile possible en Afrique pour la simple raison que l'Etat et société civile ne sont jamais différenciés et donc n'ont pas libéré d'espace particulier distincte et autonome…. »
Ils écrivent : « …. Selon nous, l'émergence d'une société civile entendue comme un ensemble de structures institutionnalisées, mues par des individus poursuivant des intérêts communs en dehors de toute immixtion de la part des gouvernants…. »

Pour Habermas (1986) ; « …A partir du moment où il y a partout de l'Etat dans la cité et de la société dans l'Etat, on ne voit pas bien où peut encore se situer la société civile.

Comme on le voit, tant qu'il n'y aurait pas de différenciation des espaces politiques et économiques, on ne saurait parler de société civile en Afrique.

2- De l'Historique à la reconnaissance de la société civile au Bénin

Au Bénin, le secteur des ONG naît à la fin des années 198° et s'est développé au début des années 1990 suite à la crise économique et politique qu'à connu le pays au cours de cette période.

De 1998 à 2000, le nombre d'ONG es passé de 1500 (USAID ; 1998) à 2700 (MCRI-SCBE 2000). Une fois créée les ONG se font d'abord enregistrés au Ministère de l'Intérieur. Ensuite elles vont se faire connaître dans les différents ministères compte tenu de leur secteur d'activité. Celles qui sont dans la santé et l'assainissement vont au ministère de la santé et de l'environnement tandis que d'autres vont au ministère de l'éducation ou de la famille. On parle même de ministère de tutelle sans savoir qu'il doit y avoir une différenciation entre les deux sphères.
La majeure partie des études faites sur ce secteur montre que bien qu'intervenant sur l'ensemble du territoire nationale, les ONG sont en grandes parties installées à Cotonou. Ce qui leur permet de côtoyer un grand nombre de bureau représentant les organisations internationales et autres ministères. Il faut attendre 1999 pour voir la création d'un ministère à cet effet. Mais malheureusement, il n'existe à ce jour aucune loi spécifique en la matière. Les ONG restent soumises à la loi française de 1901sur les associations. C'est à juste titre que Attolou et Langley écrivent :

« … Plusieurs études sur les ADL (Association de Développement local) et les ONG parlent de ‘'reconnaissance officielle'' des associations par l'Etat. Or à notre connaissance, la loi de 1901 qui reconnaît le droit d'association entre citoyen précise les modalités pour faire une déclaration et engage l'Etat à donner un récépissé, n'a jamais été abrogé au Bénin. Les associations n'auraient donc pas besoin de reconnaissance à l'Etat. Mais on constate que que même après l'entrée en vigueur de la constitution de décembre 1990 qui confère la liberté des associations on en parle encore. Ne s'agit-il pas là d'une interprétation confuse de la loi aussi bien de la part des associations que de la part de l'Etat ? » (Attolou & Langley 1995 :35)

Ce constat est également confirmé par une étude de l'USAID, qui précise :

« … la constitution d'une association ne requiert pas en principe aucune démarche administrative. La déclaration n'est pas une condition de validité de l'acte constitutif. Elle est facultative et permet simplement à l'association d'avoir la capacité juridique » USAID (1998 :17).

3- Spécificités de la société Civile béninoise

Il y a à notre avis trois profils d'acteurs de la société civile :

Il y a l'élite intellectuelle constituée de juristes, d'avocats, de médecins, et de hauts fonctionnaires
Les jeunes diplômés avec ou sans emploi
La catégorie des acteurs instruits qui cherchent à réorienter une carrière professionnelle en se donnant une nouvelle vocation.

La société civile au Bénin est devenue un maillon important incontournable sans lequel l'Etat ne peut rien faire car elle réalisen des choses qu l'Etat ne peut faire : gérer les écoles, aider les populations désoeuvrées, fournir les petits crédits etc.

La relation Etat-société civile s'insère dans des politiques réfléchies et soutenues par les partenaires au développement qui cherchent à associer pouvoirs publics et organisations de la société civile. C'est ce qui justifie en partie les confusions observées dans le secteur qui se caractérise par les traits suivants :

Le manque de ressources financières propres dus à l'absence des cotisations internes
Le rapport de dépendance économique vis-à-vis des pouvoirs publics,
L'immixtion des gouvernants,
Le caractère personnel des organisations,
Le carriérisme des acteurs du secteur,
La faiblesse de la conviction associative des militants des ONG,
Le manque de rigueur dans la gestion des ressources qui leur sont affectées

4- Conditions pour l'émergence d'une société civile au Bénin

Eu égard à tous ce qui précède, nous pouvons affirmer que la société civile est encore à l'Etat embryonnaire en République du Bénin. Beaucoup d'efforts restent à fournir. C'est pourquoi, il faut :

Une différenciation des espaces sociaux privés par rapport à l'espace politique.
Une dispersion institutionnalisée du pouvoir qui implique un rapport équilibré entre société civile et Etat, deux sphères à la fois autonomes et distinctes.
Une prolifération de la logique associative au vrai sens du terme qui suppose une conception commune de ce pourquoi les individus ou ls groupes sont constitués

Judicaël ZOHOUN

Sociologue Démographe , Decembre 2006

Bibliographie

Attolou, A.& Langley, R. 1995 : Société civile et développement au Bénin : L'évolution des associations locales de développement, Cotonou CEDA pp 33-56

Badié, R. 1994 : Le développement politique, Paris Economica.

Colas, D. 1992 : Le glaive et le fléau. Généalogie du fanatisme et de la société civile, Paris, Grasset.

Chabal, P. & Daloz J.P 1999 : l'Afrique est partie : Du désordre comme instrument politique, Paris, Col « Analyse politique » Economica.

Khilnani, S. 2001 : « la société civile » Une résurgence, Pariscritique internationale pp38-50

Otayek, R. 1999 : la démocratie entre mobilisation identitaire et besoin d'Etat : Y- t-il une « exception » africaine, Autre part pp5-22

Pirotte G. l'invention des sociétés civiles en Europe de l'Est (Rouùanie) et en Afrique Subsaharienne (Bénin). Thèse de doctorat de sociologie : Université de Lièges, Faculté d'Economie, de Gestion et de Sciences Sociales.

USAID Cabinet d'études UFSJF 1998 : Inventaire et étude du cadre légal et réglementaire des ONG et associations professionnelles au Bénin

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Un nouvel ambassadeur du Nigéria au Bénin

24 Heures au Bénin - Wed, 06/23/2021 - 14:59

L'ex-chef d'Etat-major de l'Armée nigériane, SEM. Tukur Yusuf Buratai, est le nouvel ambassadeur du Nigéria au Bénin.

SEM. Tukur Yusuf Buratai a reçu ses lettres de créances, mardi 22 juin 2021, lors d'une cérémonie organisée à Abuja. Le nouveau diplomate succède à Emmanuel Kayodé Oguntuasé.
SEM. Tukur Yusuf Buratai aura pour principale mission de redynamiser les relations entre le Bénin et la République fédérale du Nigéria.
La fermeture des frontières nigérianes durant plus d'une année a impacté négativement les liens entre le Bénin et son plus grand voisin de l'est.
M. M.

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Reprise des vols : la douane réagit à la vidéo d’un voyageur Algérien

Algérie 360 - Wed, 06/23/2021 - 14:34

La direction générale des douanes Algériennes n’a pas manqué de réagir suite à une vidéo qui a été largement visionnée sur les réseaux sociaux. Il s’agit d’un ressortissant Algérien qui a profité de la reprise des vols afin de revenir de Turquie. Arrivé à l’aéroport Houari Boumédiene, dans la capitale Alger, le voyageur affirme avoir […]

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