En marge de sa participation aux travaux de la 76ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York, un événement et un hémicycle que le chef de la diplomatie algérienne, Ramtane Lamamra, connait très bien puisque il y a représenté l’Algérie à maintes reprises.
Cette session a pour thème « Miser sur l’espoir pour renforcer la résilience face au covid-19, reconstruire durablement, répondre aux besoins de la planète, respecter les droits des personnes et revitaliser l’Organisation des Nations Unies ». Le ministre des Affaires étrangères et de la communauté nationale à l’étranger, participera à plusieurs réunions et conférences de haut niveau, notamment avec le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, et le président de l’Assemblé Générale, Abdulla Shahid.
Le diplomate algérien va également s’entretenir avec ses homologues des Etats membres de l’ONU, pour échanger sur des préoccupations communes, à savoir, la paix et la sécurité, et trouver des solutions en travaillant de manière bilatérale voire multilatérale. Il a reçu la sous-secrétaire d’Etat américaine aux affaires politiques, Victoria Nuland. Leur entretien a porté principalement sur le dialogue stratégique et sa relance, évoquant dans le même contexte la question sahraouie et la situation en Libye.
La rupture des relations avec le Maroc, une décision civilisée et un message appropriéLors d’une interview accordée à CNN en marge de sa participation à la 76ème session de l’Assemblée générale de l’ONU, le diplomate évoque la rupture des relations diplomatiques avec le Maroc, la décision annoncée le 24 août dernier, était selon Lamamra, une manière civilisée de mettre un terme à une situation qui ne pouvait durer, évitant ainsi un tournant non souhaitable dans cette affaire.
Il affirme que l’Algérie a fait montre de patience, mais les actes hostiles du Maroc portant atteinte à la souveraineté et à l’unité du pays, ne laissant aucun choix autre que la rupture des relations. Il fait allusion au soutien du prétendu droit à l’indépendance de la Kabylie, exprimé par l’ambassadeur du Maroc à l’ONU.
Quant à la situation en Libye, le ministre a réitéré son soutien au peuple libyen et précise que l’Algérie ne soutient aucune partie autre que le peuple. Il affirme que les efforts seront déployés pour tenir les élections législatives et présidentielles dans les délais, afin de démocratiser le pays voisin.
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L'ancien président de la République, Boni Yayi a été reçu ce mercredi 22 septembre 2021 par le chef de l'État Patrice Talon. Au terme de la rencontre, l'ex président a formulé quelques doléances à son successeur.
La libération des détenus politiques (Joël Aïvo, Reckya Madougou, et autres) et le retour au pays des "exilés politiques" (Léhady Soglo, Sébastien Ajavon, Komi Koutché et autres). C'est la demande que l'ancien chef d'État a adressé à Patrice Talon ce mercredi. « Moi je demande, et c'est lui qui décide », a souligné Boni Yayi.
F. A. A.
Suite à la décision de la réouverture partielle des frontières aérienne et la reprise des vols internationaux après une fermeture de plus d’une année, les employés du transport d’Algérie Ferries attendaient une annonce d’une décision similaire, concernant la reprise des traversées maritimes suspendues depuis mars 2020, mais en vain.
Dans ce contexte, deux députés de l’émigration, Abdelouahab Yagoubi et Tawfiq Khedim en l’occurrence, ont effectué hier, mardi 21 septembre 2021, une visite de travail au siège de l’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs, a-t-on appris des pages Facebook officielles desdits députés.
» Dans le cadre d’un programme de travail de la commission des relations extérieures, nous avons effectué ce mardi 21 septembre, en tant que représentants de la diaspora, une visite de travail au siège de l’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs « , a écrit Abdelouahab Yagoubi.
Le parlementaire a ajouté : » lors de la visite, nous avons rencontré le Directeur Général, Ahcène Gueraïria, les membres du Conseil d’Administration, ainsi que les représentants des travailleurs « .
» Après une présentation complète et détaillée de la situation actuelle de l’entreprise par Gueraïria, la réunion a traité toutes les préoccupations, problèmes et priorités privilégiés par les deux parties « , a souligné le même député.
Ce dernier a également signalé que des rapports détaillés ont été présentés sur le nouveau navire « Bordj Badji Mokhtar 3 », ainsi que les détails du contrat conclu avec les Chinois, le cahier des charges et la garantie de maintenance pour une durée de cinq ans.
Tawfiq Khedim insiste sur la reprise des croisièresDe son côté, le député Tawfiq Khedim a précisé qu’au cours de la même réunion, ils ont abordé la situation de cette importante institution, de l’état de préparation de ses équipages et de ses navires ainsi que les mesures sanitaires prises pour faire face à l’épidémie de Coronavirus en cas de la reprise des croisières.
Le même représentant a ajouté : » le point le plus important que nous avons traité lors de la réunion est la nécessité de précipiter l’ouverture des frontières maritimes et de donner le feu vert à la reprise des voyages, afin de permettre à la diaspora de rejoindre l’Algérie, mais aussi de sauver l’entreprise d’une éventuelle faillite « .
À la fin de sa publication, Tawfiq Khedim a affirmé qu’une autre réunion est programmée après la reprise des croisières, avec le directeur de la même entreprise, et ce, afin d’aborder d’autres préoccupations de la communauté algérienne, à savoir, les prix des billets, les destinations et les services.
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Le directeur général des douanes et droits indirects est relevé de ses fonctions, mercredi 22 septembre 2021, en conseil des ministres.
Charles Inoussa Sacca Boco n'est plus Directeur général des douanes et droits indirects. Il a été remplacé en Conseil des ministres ce mercredi 22 septembre 2021.
Charles Inoussa Sacca a été nommé Dg des douanes le 10 avril 2017 et est entré officiellement en fonction le 13 avril 2017. Charles Sacca Boco est remplacé par Alain Hinkanti, précédemment DG intérimaire à l'ANATT.
Le désormais Ex DG de la Douane devient Conseiller Technique au Ministère des Finances.
Le désormais ex Dg douanes aura passé un plus de 4 années à la tête de cette régie de mobilisation des ressources publiques. Les raisons de son limogeage ne sont pas précisées.
M. M.
Le remplaçant de Adolphe Djima au Conseil électoral est connu. Le président de la République a porté son choix sur la 2ème adjointe au maire d'Abomey, Laurentine Adossou Davo.
La 2ème adjointe au maire d'Abomey siège désormais au Conseil électoral. Sa désignation a été actée, ce mercredi 22 septembre 2021, en Conseil des ministres. Elle remplace Adolphe Djima, qui a démissionné quelques jours après son installation.
F. A. A.
L'ancien chef de l'Etat Yayi Boni a échangé avec l'actuel président de la République Patrice Talon, ce mercredi 22 septembre 2021, au Palais de la Marina à Cotonou. Une rencontre au cours de laquelle, l'ex chef de l'Etat a fait des doléances.
Cinquante minutes. C'est le temps qu'a duré l'entretien entre l'ex président béninois Yayi Boni et son successeur Patrice Talon.
A la rencontre tenue ce mercredi 22 septembre à la Présidence de la République, l'ex chef d'Etat Yayi Boni a fait des doléances à l'endroit de son successeur Patrice Talon.
Yayi Boni a plaidé, entre autres, pour la libération des personnes en prison dont Réckya Madougou, l'ex candidate recalée du parti d'opposition Les Démocrates, et le professeur Joël Aïvo.
Boni Yayi a également plaidé pour le retour des exilés. « Moi, je demande et c'est lui (Patrice Talon, ndlr) qui décide », a confié Yayi Boni, à sa sortie de l'audience.
M. MENSAH
Le Bénin bénéficie de 20 milliards de FCFA de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) pour la construction d'une plateforme logistique au niveau du pôle agroalimentaire de l'agglomération du Grand Nokoué, à Abomey Calavi.
Lors de sa 125ème session ordinaire, sous la présidence de M. Serge Ekue, le Conseil d'Administration de la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD) a examiné et approuvé cinq (05) propositions de financement pour un montant global de 60 milliards FCFA dont 20 milliards pour le Bénin. Ce prêt accordé au Bénin est destiné à la construction d'une plateforme logistique au niveau du pôle agroalimentaire de l'agglomération du Grand Nokoué, à Abomey Calavi, en République du Bénin.
La plateforme qui sera construite sur une superficie de 168 ha permettra d'améliorer la qualité de service des activités de vente en gros et d'exportation de produits agroalimentaires au Bénin. Les activités de gros du marché Dantokpa seront transférées dans la commune d'Abomey-Calavi.
Clôture de la 125ème session du CA de la @boad_official , 60 milliards de Fcfa de #financements ont été approuvés par les administrateurs concernant des projets d'agro-industrie, d'infrastructure, et de #digitalisation dans nos Etats membres. Merci aux équipes pic.twitter.com/1jlccTvCDx
— Président de la BOAD (@PresidentBOAD) September 21, 2021
Selon le Conseil des ministres du 18 octobre 2021, « ce projet contribuera à la transformation qualitative de l'image urbaine du Grand Nokoué, l'embellissement et la décongestion des centres villes y situés ». Il participe également de la réorganisation de ses principales zones commerciales, de l'amélioration de son attractivité et de l'accroissement des volumes d'affaires dans la zone d'implantation. Le projet va aussi contribuer à la création d'au moins 200 emplois directs (temporaires) et de 820 emplois indirects et induits.
AAA
Le Fonds d'appui pour le développement des communes (FADEC) sera bientôt dissout. Suivant les réformes annoncées dans le secteur de la décentralisation, le FADEC sera remplacé par un Fonds d'investissement communal.
Dans le cadre de la réforme dans le secteur de la décentralisation, il est prévu un réaménagement des organes ; une redistribution des pouvoirs ; un renforcement de la reddition des comptes ; et un réaménagement des modalités d'exercice de la tutelle.
Il y aura trois catégories de communes : les communes à statut particulier, (Cotonou, Porto-Novo, Parakou, Abomey-Calavi) ; les communes à statut intermédiaire, (celles abritant un chef-lieu de département et autres communes à retenir selon leur importance) ; et les communes à statut de droit commun : (communes autres qu'à statut particulier ou intermédiaire).
Le chef de l'Etat Patrice Talon a tenu une séance d'échanges avec les maires, mardi 21 septembre 2021, au palais des congrès. Objectif, amender le document de projet pour son adoption.
F. A. A.
Abdelkader Bensalah, l’ex-chef de l’État Algérien, est mort aujourd’hui à l’age de 79 ans. Bensalah meurt quelques jours après son prédécesseur, le président déchu Abdelaziz Bouteflika. Le destin de l’un a été intimement lié au pouvoir de l’autre. C’est avec l’intronisation de Bouteflika que Bensalah s’est durablement installé dans les rouages de l’ancien système.
Bensalah est né un 24 novembre 1941 à Fellaoucene, dans la wilaya de Tlemcen. À 18 ans, il rejoint les rangs de l’ALN. Après l’indépendance de l’Algérie, il a pu décrocher une bourse qui le mène aux bancs de l’université de Damas, en Syrie.
À son retour au pays, Bensalah devient journaliste. En 1967, il est correspondant étranger du journal « Echaab ». En 1974, il est nommé directeur général du même journal. Le parcours de Bensalah dans le monde du journalisme s’est fait au moment où Boumédiéne en avait le total contrôle.
Bensalah, au secours du régimeEn 1977, Abdelkader Bensalah est élu député du FLN de la Wilaya de Tlemcen. Ce fut le début de son parcours politique officiel. Le défunt se lance ensuite dans une carrière diplomatique. Il est notamment nommé en 1989 en tant qu’ambassadeur de l’Algérie en Arabie Saoudite, puis porte-parole du ministère des Affaires étrangères de 1993 à 1994.
Alors que le pays traversait une période sombre, suite à l’interruption du processus électoral, Bensalah a été nommé président du CNT, conseil national de transition. Une histoire semblable va se répéter en 2019, après la démission forcée de Bouteflika.
Bensalah va ensuite figurer parmi les fondateurs du RND. Il sera élu comme secrétaire général en 1997 à 1998, mais aussi de 2013 à 2015. C’est à l’occasion de la victoire de son parti dans les élections législatives de 1997, que Bensalah devient président de l’APN. Son parcours dans le parlement va se poursuivre en 2002, quand il a été nommé à la tête du Conseil de la nation.
Un proche de BouteflikaAbdelkader Bensalah figure parmi le cercle rapproché de Bouteflika. Après l’AVC de l’ancien président, Bensallah a été désigné afin d’assurer certaines de ses taches. Il a été notamment chargé de recevoir officiellement les dirigeants étrangers mais aussi d’effectuer des visites à l’international.
En 2015, Bensalah disparait des radars. Il est atteint d’un cancer du cerveau. Il se fait opérer à paris, mais peine à récupérer. Bensalah reste cependant en fonctions, alors qu’il a formulé plusieurs fois le vœu de décrocher. Il devait attendre, et son attente va le mener à devenir chef de l’État en 2019.
Alors que la rue bouillonnait en 2019, Bensalah soutenait avec ferveur le 5ᵉ mandat de Bouteflika. La rue a gagné, et Bensalah a été nommé en 9 avril 2019, chef de l’État par intérim. Une fonction qu’il allait assurer jusqu’au 19 décembre 2019. Son passage a duré 8 mois et 10 jours, alors que la constitution prévoyait un délai maximal de 90.
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Le ministre des Moudjahidine et des ayants droit Laïd Rebigua a réagi ce mercredi 22 septembre concernant la dernière démarche du président français en faveur « des harkis ayant servi la France durant la guerre d’Algérie ».
Dans une déclaration à la presse, le ministre a d’emblée estimé que « cela relève de leurs affaires (la France NDLR) ». « En ce qui nous concerne, la révolution a tranché concernant qui est le harki, qui est le traitre et qui est le moudjahid et le chahid », a-t-il déclaré.
Cette question, estime encore l’intervenant, a été tranchée déjà durant la guerre de libération. Selon lui, « ce qui nous importe le plus, c’est que les Algériens préservent leur mémoire et perpétuent leur identité, leur histoire et les mémoires de leurs héros ».
Ensuite, Laïd Rebigua a mis l’accent sur la nécessité d’enseigner l’histoire de l’Algérie, notamment la guerre de libération, aux jeunes Algériens, et ce, en vue de ce qui se relaye notamment sur les réseaux sociaux.
Pour lui, rendre l’hommage aux martyrs de la révolution et aux moudjahidine constitue en lui-même une réponse suffisante aux démarches pouvant répondre à des stratégies ou à des plans bien définis.
« L’étude du dossier de la mémoire se poursuit »Évoquant la question de la mémoire, qui reste toujours au centre des relations entre l’Algérie et la France, le ministre des Moudjahidine affirme « qu’on ne peut pas parler de réconciliation au détriment de la mémoire collective algérienne ».
« Notre pardon concernant les événements de la guerre de libération et la mémoire nationale est une question prioritaire », estime encore le ministre, précisant que « nos relations avec n’importe quelle partie devront principalement se fonder dans le respect de l’histoire, de l’identité et de la mémoire nationale ».
En outre, il affirme que « l’étude du dossier de la mémoire se poursuit. Les commissions en charge de la question de l’archive nationale, des crânes des résistants, des essais nucléaires … continent leur travail ».
La démarche de Macron envers les harkisPour rappel, la France a décidé de rendre considération aux harkis ayant combattu aux côtés de l’armée française durant la guerre d’Algérie. Le lundi 20 septembre dernier, Macron a organisé une réception à l’Élysée consacrée à la mémoire des harkis ayant combattu aux côtés de l’armée française durant la guerre d’Algérie.
Lors de cette réception, le chef de l’État français a tenu à demander « pardon » au nom de la France aux harkis tout en annonçant la présentation, « avant la fin de l’année », d’un projet de loi de « reconnaissance et de réparation ».
« Vous portez dans votre chair le souvenir des harkis. L’honneur des harkis doit être gravé dans la mémoire nationale », a-t-il déclaré dans son allocution. Ensuite, il a appelé à « panser les plaies » qui doivent être « fermées par des paroles de vérité, gestes de mémoire et actes de justice ».
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Audience spéciale au palais de la Marina ce mercredi 22 septembre 2021. Le président Patrice Talon reçoit depuis quelques instants son prédécesseur Boni Yayi.
Les deux hommes d'Etat qui étaient en froid depuis quelques années vont enfin fumer le calumet de la paix pour décrisper la situation sociopolitique du pays.
C'est à bras ouverts que le président Patrice Talon a accueilli l'ancien Chef de l'Etat Boni Yayi. Depuis la passation de service en avril 2016, Boni Yayi n'a plus jamais mis pied au palais de la présidence.
Les députés de la 8e législature ont adopté mardi 21 septembre 2021 le projet de loi portant autorisation de ratification de la Convention concernant l'assistance administrative mutuelle en matière fiscale et celui portant autorisation de ratification, du traité portant modification des dispositions du Traité de l'Union monétaire ouest-africaine (UEMOA), du 20 janvier 2007. La séance a été présidée par le premier vice président de l'Assemblée nationale
Les travaux de la deuxième session extraordinaire de l'année 2021 se poursuivent à l'Assemblée nationale. Mardi 21 septembre, les députés ont adopté à l'unanimité le projet de loi portant autorisation de ratification, de la Convention concernant l'assistance administrative mutuelle en matière fiscale, telle qu'amendée par le Protocole de 2010 (MAC), signée à Paris, le 27 novembre 2019, entre les États membres de l'organisation de Coopération et de développement économique (OCDE). La Convention est un instrument multilatéral permet de lutter contre la fraude fiscale. Elle vise une meilleure mise en œuvre des législations fiscales internes, tout en préservant les droits fondamentaux des contribuables. La Convention prévoit toutes les formes possibles de coopération administrative entre les états en vue de l'établissement et du recouvrement de l'impôt. Elle s'étend de l'échange d'informations, y compris les échanges automatiques, au recouvrement de l'impôt à l'étranger.
Les députés ont également adopté le projet de loi portant autorisation de ratification, du traité portant modification des dispositions du Traité de l'Union monétaire ouest-africaine (UEMOA), du 20 janvier 2007, relatives à la dénomination du Conseil régional de l'épargne publique et des marchés financiers et du Protocole additionnel n°1/2017/CCEG/UEMOA modifiant et complétant le Protocole additionnel n°1 relatif aux organes de contrôle de l'UEMOA, adoptés à Abidjan respectivement le 12 juillet 2019 et le 10 avril 2017.
Dans ce Traité révisé, la dénomination Conseil régional de l'Épargne publique et des marchés financiers a été remplacée par "Autorité des marchés financiers de l'Union monétaire ouest-africaine ". Les articles 1er, 5, 9, 11,12 et 24 du Traité ont été également revus. S'agissant du Protocole additionnel, des modifications ont été faites sur les organes de contrôle de l'UEMOA afin de renforcer les attributions de la Cour des comptes.
A.A.A
Dans la cadre de la lutte contre la propagation du virus mortel, à savoir la Covid-19, certains pays, à l’instar de la France et les États-Unis d’Amérique, ont classés les pays les plus touchés par ce virus dans des listes rouges, les considérant ainsi comme destinations à risque pour leurs citoyens.
En effet, lesdites listes regroupent les pays et territoires jugés les plus à risques, où la circulation du virus est active et observée avec la présence de variants préoccupants.
Pour les États-Unis, les pays de l’Afrique du Nord, l’Algérie, le Maroc et la Tunisie entre autres, sont en proie à une forte résurgence de la pandémie de Covid-19.
Le CDC pas assez informé sur la situation sanitaire en AlgérieDans ce contexte, le centre de prévention et de lutte contre les maladies (Centers for Disease Control and Prevention, CDC) classe le Maroc et la Tunisie dans la catégorie (4), c’est-à-dire la liste des pays à haut risque, a indiqué le site officiel du CDC.
Notons que pour passer de la catégorie (3), qui est considérée comme niveau élevé, à la catégorie (4), haut risque, le pays doit enregistrer plus de 500 cas pour 100 000 habitants, et ce, au cours des 28 derniers jours, a fait savoir le site internet de CNN.
Pour les pays classés dans la catégorie (3), ces derniers doivent enregistrer entre 100 et 500 cas pour 100 000 habitants au cours des 28 derniers jours.
Quant à l’Algérie, le centre américain de prévention et de lutte contre les maladies affirme sur son site officiel ne pas avoir assez d’informations sur le développement de la situation sanitaire dans le pays.
À cet effet, et pour ne pas prendre le risque, le CDC a classé l’Algérie dans la catégorie (4) des pays à haut risque et déconseille les citoyens à voyager en direction de ce pays.
Il est également utile d’indiquer que la Maison Blanche a récemment annoncé qu’elle autoriserait, à partir du mois de novembre prochain, les étrangers entièrement vaccinés à entrer au territoire américain.
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À quelques jours du décès de l’ancien président Abdelaziz Bouteflika, l’ancien président du conseil de la nation et chef de l’État Abdelkader Bensalah a rendu l’âme ce mercredi à l’hôpital militaire d’Ain Nâadja.
En effet, la présidence de la République a annoncé, ce mercredi 22 septembre dans un communiqué, le décès de l’ancien président du conseil de la nation et chef de l’État Abdelkader Bensalah.
Selon la même source, l’enterrement d’Abdelkader Bensalah aura lieu demain jeudi 23 septembre 2021 au cimetière d’El Alia à Alger, après la prière d’El-Dohr.
Mise en berne de l’emblème nationalEn outre, et suite au décès d’Abdelkader Bensalah, le président de la République Abdelmadjid Tebboune a décidé la mise en berne de l’emblème national à travers tout le territoire national pour une durée de trois jours, à compter de ce mercredi 22 septembre.
Pour rappel, Bensalah a rendu l’âme tôt dans la matinée de ce mercredi des suites à sa maladie aggravée par sa contamination au coronavirus. Atteint d’un cancer, le défunt était hospitalisé à l’hôpital militaire d’Ain Nâadja à Alger.
En mars 2019, Bensallah assurait la présidence de la République par intérim, et ce, en vertu de la Constitution, qui stipulait qu’en cas de vacation du poste du président, le président du conseil de la nation doit assurer l’intérim.
Le 9 avril de la même année, l’Assemblée populaire nationale et le Conseil de la nation, réunis en session conjointe, l’ont désigné finalement chef de l’État par intérim pour une période de 90 jours, conformément à l’article 102 de la constitution.
Il est également à rappeler qu’à quelques jours de son élection en décembre 2019, le président de la République Abdelmadjid Tebboune avait décerné la médaille de l’Ordre de mérite national du rang « Sadr » au chef de l’État, Abdelkader Bensalah, lors de la cérémonie de prestation de serment.
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La politique régissant les universités Algériennes doit sans doute être revue. Il s’agit, de plus en plus, d’usines produisant de futurs chômeurs. Outre les diplômés des deux premiers cycles, les docteurs, eux aussi, enregistrent des taux de chômage qui sont pour le moins inquiétants.
Le chômage est un fléau duquel l’Algérie peine à se débarrasser. Des centaines de milliers de jeunes Algériens, formés par les universités du pays, se retrouvent une fois diplômés, livrés à une dangereuse oisiveté. Si cela est inacceptable pour les détenteurs de Masters et de licences, il l’est encore plus pour les docteurs.
Plus de 20 000 docteurs au chômageLe président du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES), le Dr Abdelhafid Milat, a dévoilé, via sa page Tweeter, la gravité de la situation des docteurs en Algérie. Selon M. Bilat, le pays compte actuellement plus de 22 000 docteurs au chômage. Un chiffre qui est officiel, selon le président du CNES, ce qui veut dire que la réalité du terrain est encore plus catastrophique.
Pour Milat, la situation ne risque pas de s’améliorer avec le temps, vu que les universités Algériennes comptent aujourd’hui plus de 64 000 doctorants qui, selon le président du CNES, sont des « futurs chômeurs ». Abdelhafid Milat indique que « l’université Algérienne a besoin d’une nouvelle feuille de route ».
« Nous devons nous éloigner du pathos et des solutions populistes. Nous devons réfléchir dans l’intérêt de l’université et du pays avant tout autre chose », conclut-il. Il est à rappeler, dans le même contexte, que près de 1 500 Algériens ont pu débarquer illégalement en Espagne en seulement 72 heures.
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Audience spéciale au palais de la Marina ce mercredi 22 septembre 2021. Le président Patrice Talon reçoit depuis quelques instants son prédécesseur Boni Yayi.
Les deux hommes d'Etat qui étaient en froid depuis quelques années vont enfin fumer le calumet de la paix pour décrisper la situation sociopolitique du pays.
C'est à bras ouverts que le président Patrice Talon a accueilli l'ancien Chef de l'Etat Boni Yayi. Depuis la passation de service en avril 2016, Boni Yayi n'a plus jamais mis pied au palais de la présidence.
Les sujets à l'ordre du jour qui ne sont pas dévoilés au public vont certainement tournés autour de la situation sociopolitique du pays sans oublier la question des exilés politiques et les personnes en détention pour raisons politiques.
D. M.
L’ancien président du conseil de la nation et chef de l’État Abdelkader Bensalah est décédé de mercredi 22 septembre 2021. En guise de deuil, les autorités ont décidé la mise ne berne de l’emblème national.
Suite au décès d’Abdelkader Bensalah, le président de la République Abdelmadjid Tebboune a décidé la mise en berne de l’emblème national à travers tout le territoire national pour une durée de trois jours, à compter de ce mercredi 22 septembre.
Dans u communiqué rendu public annonçant le décès de Bensalah, la Présence de la République a également indiqué que l’enterrement de l’ancien chef de l’État aura lieu demain jeudi 23 septembre 2021 au cimetière d’El Alia à Alger.
Pour rappel, l’ancien chef de l’État, Abdelkader Bensalah, ayant assuré la présidence par intérim après la chute de Bouteflika an 2019 est décédé ce mercredi 22 septembre 2021, à l’âge de 80 ans.
Il a rendu l’âme tôt dans la matinée de ce mercredi des suites à sa maladie aggravée par sa contamination au coronavirus. Atteint d’un cancer, le défunt était hospitalisé à l’hôpital militaire d’Ain Nâadja à Alger.
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