Il s’agit du premier parti démocratique qui tranche enfin en ce qui concerne sa participation ou pas aux élections municipales qui auront lieu au mois de novembre prochain. Le FFS a en effet déclaré aujourd’hui, le 10 septembre 2021, qu’il a choisi de participer.
Ce n’est pas vraiment une surprise, vu que le Parti, via un communiqué publié ce matin, a indiqué qu’il voit en ces élections une « opportunité de prendre le pouvoir local ». Le FFS, à l’issue de la réunion d’une session extraordinaire de son Conseil National, a affirmé finalement qu’i va officiellement participer aux élections locales prévues pour le mois de novembre prochain.
« Le conseil national du FFS décide à l’unanimité la participation du parti aux prochaines élections locales anticipées convoquées pour le 27 novembre prochain », a indiqué aujourd’hui dans la soirée le plus vieux parti de l’opposition en Algérie, via sa page sur les réseaux sociaux.
Une opportunité ?Quelques heures avant l’annonce de sa participation, le FFS a indiqué sur sa page Facebook que ces élections devraient être vues comme une véritable « opportunité pour prendre le pouvoir local , dans les APC et les APW , afin d’empêcher les clientèles du pouvoir, et les affairistes de torpiller le seul espace démocratique, malgré ses limites et les entraves, qui s’offre aux populations ».
Contrairement au FFS, le PT n’a pas encore tranché malgré que les indices penchent apparemment pour sa participation. En effet, le parti de Louiza Hanoune a indiqué que « le Comité central a décidé, conformément aux traditions du Parti, d’entamer les opérations légales de préparation matérielle des élections », indique le même communiqué, et ce, malgré le fait que le PT a « décidé de faire descendre la discussion autour de la question des élections dans les rangs du Parti et avec les citoyens, à la lumière des développements dans le pays ».
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En dépit des rapprochements culturels, certains Algériens et Marocains établis en France ne semblent pas pouvoir s’entendre, en témoigne une vendetta insensée qui a éclaté dans la ville de Lille, et dont les acteurs ne sont que des ressortissants des deux pays frères.
Ils étaient une centaine de jeunes, Algériens et marocains confondus, à s’affronter samedi dernier dans les rues de la ville Française de Lille, sous les yeux ahuris des passants, indique le média Français Actualité. La bagarre a fait seulement deux blessés, elle alimente cependant une vendetta qui n’en fini pas entre des jeunes issus des deux communautés maghrébines.
La haine ?Il y a de quoi se remémorer les images du film français culte, justement intitulé la haine. Cette bagarre qui a eu lieu à Lille fait suite à toute une série d’événements déplorables qui ont commencé il y a quelques mois.
Selon le journal Français La Voix Du Nord, une violente bagarre a éclaté au mois de mai dernier entre Algériens et marocain, et qui a vite dégénéré en véritable drame ou des armes à feu et des machettes aient été utilisés. Trois blessés sont à déplorer, et parmi eux un Algérien ayant reçu une balle dans la poitrine.
Suite à ces événements, une enquête a été lancée, mais ces ressortissants algériens, dont des mineurs, ont décidé de se faire justice eux même. Ils ont osé kidnapper le présumé tireur qui a blessé leur ami, et ils l’ont livré au commissariat le plus proche.
Les trois ravisseurs ont été arrêtés à leur tour, mais rien ne semble pouvoir calmer les tensions entre les deux bandes rivales qui se disputent des territoires stratégiques pour leurs petits commerces de drogue et d’influence. Une guerre qui est dorénavant alimentée par les derniers événements qui ont eu lieu entre les deux états, et qui ont été soldés par la rupture des relations diplomatiques.
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La première journée des échanges Gouvernement-Syndicats a pris fin ce vendredi 10 septembre 2021 à l'Infosec de Cotonou.
Les diligences effectuées par le gouvernement dans le cadre de la rentrée scolaire et universitaire 2021-2022 a été le seul point débattu lors de la rencontre.
Le gouvernement représenté par le ministre d'Etat chargé du Développement et de la coordination de l'action gouvernementale, Abdoulaye Bio Tchané, le ministres des enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou, de l'Enseignement secondaire, technique et de la formation professionnelle, Yves Kouaro Chabi, de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Eléonore Yayi, le ministre de la santé, Benjamin Hounkpatin puis du Travail et de la fonction publique, Adidjatou Mathys, a échangé avec les centrales syndicales ce vendredi 10 septembre 2021. Les centrales syndicales étaient représentées par les secrétaires généraux de la Cosi-Bénin, Noël Chadaré et de la Csa-Bénin, Anselme Amoussou.
A l'ouverture de la rencontre, les diligences effectuées par le gouvernement dans le cadre du bon déroulement de la rentrée 2021-2022 ont été présentées aux représentants syndicaux.
Selon la ministre du Travail et de la fonction publique, Adidjatou Mathys, les subventions, les primes de rentrée ont été libérées et les infrastructures ont été réhabilitées par endroit.
Les centrales syndicales ont, par la voix de leurs représentants, ont exprimés leurs inquiétudes par rapport à la recrudescence de la Covid-19. De plus, elles ont demandé le report de la rentrée.
Les ministres ont rassuré de ce que les dispositions ont été prises pour éviter la propagation du Covid-19 notamment la vaccination des enseignants, le respect des gestes barrières dans les écoles et universités.
Les partenaires sociaux et le gouvernement ont convenu de la réorganisation des temps de récréation pour éviter les attroupements d'apprenants et de prendre les dispositions pour impliquer les parents d'élèves dans le respect des gestes barrières dans le cadre scolaire.
Quant à la doléance liée au report de la rentrée scolaire et universitaire, le gouvernement n'a pas cédé à la requête des centrales syndicales. La date du 20 septembre 2021 est maintenue pour le démarrage de l'année scolaire et universitaire 2021-2022.
Tous les trois sujets inscrits à l'ordre du jour à savoir les diligences effectuées par le gouvernement dans le cadre de la rentrée scolaire et universitaire, l'examen des doléances formulées par les Confédérations et Centrales syndicales à la fête du travail le 1er mai dernier et des questions diverses n'ont pas été examinés.
Les doléances formulées par les partenaires sociaux à la fête du travail le 1er mai dernier seront certainement examinées lors de la prochaine session de la Commission nationale de concertation, de consultation et de négociations collectives.
Le représentant de la Cstb Kassa Mampo n'a pu participer à la rencontre faute de pass sanitaire.
M. M.
La star de l’équipe nationale Riyad Mahrez a été condamné une nouvelle fois par la justice britannique pour excès de vitesse sur l’autoroute, a rapporté le journal The Sun ce vendredi 9 septembre. Une suspension de permis de presque deux mois (56 jours) ainsi qu’une amende de 2500 livres a été imposé au footballeur algérien qui n’a pas respecté les limitations de vitesse.
Selon le média susmentionné, l’attaquant de Manchester City s’est fait flasher en mai 2020 sur une autoroute entrain de conduire son Audi RS6 à 120 mph (193 km/h) alors que la vitesse était limité à 70 mph (113 km/h). Riyad Mahrez a plaidé coupable en novembre 2020 et a été condamné le 3 juillet dernier par les magistrats du Staffordshire.
Cependant, ce n’est pas la première fois que Riyad Mahrez est rattrapé par une affaire d’excès de vitesse. Le journal britannique The Sun a précisé que l’ailier algérien avait déjà été lourdement sanctionné en 2016, lorsqu’il évoluait à Leicester. À cette époque, Riyad Mahrez a été condamné à une amende de 900 livres et à six mois d’interdiction de conduire pour avoir roulé à 77 mph (124 km/h) au lieu de 50 mph (80 km/h).
La vie privée de Mahrez suscite beaucoup d’intérêtEn effet, la vie privée de la star du football a déjà fait le buzz sur les réseaux sociaux et pages de Facebook algériennes. Il y a quelques mois, une photo de Riayd Mahrez entrain d’embrasser sa copine d’origine britannique a créé une polémique parmi certains Algériens ayant osé se mêler de la vie privée du footballeur et lui donner des leçons de morale.
En évoquant des arguments infondés et dénués de tout sens critique, certains internautes confondent entre le football, la vie privés, l’Islam et les traditions. Pour eux le geste de Riyad Mahrez entrain d’embrasser sa copine lors de leur vacance à Myconos, une ile grecque « n’honore pas l’Algérie ». Cependant, d’autres ont défendu la star du championnat anglais en affirmant que ce dernier ne doit être critiqué et jugé que par rapport à ses performances footballistiques.
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Alors que la rentrée scolaire approche à grand pas, les efforts du ministère pour faire vacciner le maximum de citoyens se poursuivent. La pandémie du covid-19 est loin d’être vaincue, un constat que tous les spécialistes partagent, et que les chiffres du bilan des contaminations confirment quotidiennement.
Aujourd’hui, le 10 septembre 2021, le ministère de la Santé fait état de 285 nouveaux cas de contamination à la covid-19 en Algérie pendant ces dernières 24 h. Un nombre auquel s’ajoutent tristement 20 nouveaux décès qui ont été enregistrés depuis hier. Le ministère a également annoncé que le pays a enregistré 235 nouvelles guérisons.
Suite aux chiffres qui ont été dévoilés aujourd’hui par le ministère de la Santé, le total des cas de contamination à la covid-19 en Algérie s’élève désormais à 199.275 cas. Le nombre de décès quant à lui a pu atteindre les 5.539 morts à cause des complications liées au virus.
Vaccination des enfants : début de la campagne en octobreLe Dr Lyes Akhamouk, membre du comité scientifique chargé du suivi du Coronavirus en Algérie, a annoncé aujourd’hui que la campagne de vaccination ciblant les citoyens âgés entre 12 et 18 ans va être lancée au mois de novembre prochain.
Cette annonce, affirme le Dr Akhamouk, intervient après une étude menée par plusieurs spécialistes qui ont pu prendre en considération plusieurs nouvelles données scientifiques, notamment celles liées au variant Delta, qui menace la santé des adultes comme celle des enfants.
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Un nouveau Focus Report, produit par Oxford Business Group (OBG), en partenariat avec l'Organisation Africaine des Zones Economiques (AEZO), explorera le potentiel que recèle la Zone de libre-échange continentale africaine (AfCFTA) en tant que moteur du commerce intra-régional en reliant les marchés locaux.
Intitulé « Zones économiques spéciales d'Afrique », le rapport fournira une analyse approfondie du potentiel du continent pour une intégration régionale renforcée dans un format facile à naviguer et accessible, en se concentrant sur les données clés et les infographies relatives au paysage socio-économique de l'Afrique.
Le rapport mettra en lumière les zones économiques spéciales (ZES) d'Afrique, en examinant en détail le rôle qu'elles sont censées jouer pour stimuler l'industrialisation et la facilitation du commerce transfrontalier.
Ce dernier suivra les développements en cours dans les différents pays membres de l'AEZO, en analysant les données clés d'un large éventail de paramètres, tels que les volumes d'échanges, les modèles commerciaux, les cadres réglementaires et l'accès au financement.
D'autres questions d'actualité seront analysées, notamment l'impact du Covid-19 sur le commerce intra-africain et la manière dont cette situation est gérée.
Dans le rapport, Ahmed Bennis, secrétaire général de l'AEZO, partagera ses réflexions sur un large éventail de questions, notamment sur la manière dont les ZES peuvent tirer parti de la demande croissante d'industrialisation sur le continent, l'AfCFTA étant désormais en marche.
"Les zones économiques spéciales ont un rôle clé à jouer pour renforcer l'attractivité des marchés africains, tout en contribuant à l'expansion des économies locales", a-t-il déclaré. "J'ai hâte de suivre leur développement avec Oxford Business Group et d'explorer ce que les ZES peuvent faire pour stimuler l'investissement dans ce rapport important et opportun."
S'exprimant avant la publication du rapport, Karine Loehman, directrice régionale d'OBG pour l'Afrique, a déclaré que les ZES occupaient une place centrale dans les efforts déployés par l'Afrique pour attirer les IDE, avec plus de 200 ZES désormais établies sur le continent.
"Il reste des défis à relever pour leur développement, comme l'accès aux terres et la fourniture d'énergie", a affirmé Loehman. "Toutefois, les possibilités de jouer un rôle dans l'histoire de la croissance de l'Afrique en développant les activités industrielles, logistiques et de services essentielles dont les entreprises ont besoin sont énormes."
« Zones économiques spéciales d'Afrique » fera partie d'une série de rapports sur mesure qu'OBG produit actuellement avec ses partenaires, aux côtés d'autres outils de recherche très pertinents et incontournables, notamment une série d'articles et d'entretiens sur les perspectives de croissance et de reprise spécifiques à chaque pays.
À propos d'Oxford Business Group
Oxford Business Group (OBG) est un cabinet d'intelligence économique et de conseil présent dans plus de trente pays d'Asie, d'Afrique, du Moyen-Orient et des Amériques. La firme produit de l'information stratégique sur les marchés ayant démontré un taux de croissance parmi les plus rapides au monde, afin d'aiguiller les décisions commerciales et d'investissement.
À travers sa gamme de produits – veille économique : Economic News & Views, sondages OBG CEO Surveys ; événements et conférences ; capsules vidéo exclusives : Global Platform, publications annuelles : The Report – et sa division-conseil, OBG développe des analyses exhaustives et précises de l'évolution macroéconomique et sectorielle.
Ces produits d'intelligence économique sont diffusés via différentes plateformes permettant à OBG de joindre ses abonnés directs, ainsi que les abonnés de Dow Jones Factiva, Bloomberg Professional Services, Eikon de Refinitiv (anciennement Thomson Reuters), Factset, et plusieurs autres.
Un accident de la circulation survenu à la hauteur du CEG Madécali dans la commune de Malanville a fait 01 mort et 4 blessés cette semaine.
La collision entre un motocycliste et une camionnette en direction de Garou a occasionné la mort du motocycliste.
Quatre autres personnes blessées ont été conduites à l'hôpital de zone de Malanville.
Selon les témoins, c'est le chauffeur de la camionnette qui est à l'origine de l'accident. Il aurait perdu le contrôle du véhicule.
M. M.
Les dégâts engendrés par les immenses incendies ayant frappés plusieurs régions de l’Algérie et plus particulièrement la Kabylie n’ont épargné aucun volet. Les pertes humaines sont estimé à plus de 200 morts, le nombre de blessés souffrant de brulures grave n’a pas encore été révélé. À cela s’ajoute, 794 bâtisses et 831 exploitations agricoles touchés dans la wilaya de Tizi-Ouzou uniquement.
De nombreux pays ont tendu leurs mains à l’Algérie à l’instar de la France, l’Espagne, la Russie ainsi que le Koweit qui a envoyé des équipements et matériels anti-incendies. Hier, jeudi 9 septembre, c’est la Confédération suisse qui a manifesté son soutien total à l’Algérie dans le cadre de l’effort national d’aide aux victimes des incendies.
En effet, et selon un communiqué de l’ambassade de Suisse en Algérie, un don d’une valeur de 150 000 francs suisses (un peu plus de 22 millions de dinars) a été accordé au Croissant-Rouge algérien dans le but de « renforcer ses capacités d’intervention au niveau des régions affectées par les incendies en août 2021 ».
En quoi consiste ce don ?La présidente de l’institution algérienne en l’occurrence Saida Benhabiles a tenu à exprimer ses très vifs remerciements à l’ambassadeur de Suisse en Algérie, Lukas Rosenkranz pour sa précieuse aide au profit des sinistrés des incendies.
« C’est une initiative que nous apprécions à sa juste valeur et qui reflète l’attachement du peuple suisse, pays abritant le siège du Mouvement mondial humanitaire, à l’un des principes fondamentaux de l’humanitaire qu’est la solidarité”, a ajouté Saida Benhabiles.
Il convient de préciser que ce don dont la valeur est estimé à 150 000 francs suisses, consiste en 12 groupes électrogènes, 150 matelas anti-escarres, 230 fauteuils roulants.
Les groupes électrogènes dont certains sont d’une puissance de 40 KVA et d’autres de 8 KVA, seront installés au niveau des structures sanitaires afin de les alimenter en électricité. Quant aux matelas anti-escarres, elles permettront de traiter les blessés souffrants de brulures graves. Enfin, les fauteuils roulants envoyés la Suisse remplaceront ceux qui ont été détruits par les incendies.
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À l’approche des élections locales, dont la tenue anticipée en novembre prochain a été décidée par le président Tebboune, les partis de l’opposition démocratique font face à un véritable dilemme. Participer après le boycott de deux scrutins, ou bien boycotter, et disparaitre entièrement de la scène politique. Bien que la question est loin d’être tranchée pour tous les partis, en ce qui concerne le FFS, elle semble l’être un petit peu plus.
En effet, le plus vieux parti de l’opposition en Algérie, via une contribution de son instance présidentielle à l’occasion de la tenue d’une session extraordinaire du Conseil National, a fait savoir aujourd’hui, le 10 septembre 2021, qu’il va continuer à se « battre sans relâche et pacifiquement, contre le renforcement du statuquo suicidaire », et qu’il va se « dresser contre les aventuriers et les nébuleuses qui distillent la haine et la discorde au sein des populations ».
« Une opportunité pour prendre le pouvoir local »En ce qui concerne sa participation ou non au prochain scrutin, le FFS, sans pour autant trancher, s’est montré pour le moins tenté. Selon le FFS, « l’absence de l’État et ses manquements grossiers et abjects envers le peuple algérien ne devrait pas être accentuée par l’absence d’un parti politique qui bénéficie d’une crédibilité irréprochable ».
Le FFS, selon son dernier communiqué, est loin de regretter d’avoir boycotté les deux derniers scrutins. « nous avions eu raison de rejeter les élections législatives et le référendum constitutionnel car, ils remettaient en cause les aspirations légitimes de la révolution populaire du 22 Février 2019 ». Cependant, le FFS voit en les prochaines élection une véritable « opportunité pour prendre le pouvoir local , dans les APC et les APW , afin d’empêcher les clientèles du pouvoir, et les affairistes de torpiller le seul espace démocratique, malgré ses limites et les entraves, qui s’offre aux populations ».
Bien sur, rien n’est encore officiel pour le moment, même si ce communiqué souligne clairement qu’il se dirige vers une participation. Selon le même communiqué, le FFS devra aborder la question des élections lors de cette réunion « avec lucidité, responsabilité et sens inouï de patriotisme » et « faire un diagnostic sans concession sur nos différentes participations, recenser objectivement nos apports, nos atouts et nos manquements ». Le FFS affirme par cette correspondance qu’il est loin de vouloir lâcher aussi facilement son « rôle majeur envers la nation toute entière et envers nos bastions historiques qui sont malmenés par des calculs souterrains et inavoués des apprentis sorciers aux ordres ».
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Les agents de la police Républicaine ont neutralisés quatre braqueurs, vendredi 10 septembre 2021, à Parakou au quartier Nima. Plusieurs armés ont été saisies.
Quatre présumés braqueurs ont été abattus dans la matinée de ce vendredi 10 septembre 2021 au quartier Nima, situé dans le deuxième arrondissement de la ville de Parakou.
L'opération s'est déroulée derrière l'église du Christianisme céléste de la ville.
M. M.
La campagne de vaccination en Algérie est loin des résultats escomptés. Face au virus de la covid-19, de plus en plus féroce et menaçant, le nombre des vaccinés en Algérie reste minime, ce qui a poussé les autorités à redoubler de férocité, au point où il a été décidé aujourd’hui de cibler les enfants entre 12 et 18 ans.
En effet, c’est le Dr Akhamouk, membre du comité scientifique chargé du suivi du Coronavirus en Algérie, qui a annoncé aujourd’hui, le 10 septembre 2021, que la campagne de vaccination visant les enfants de moins de 18 ans sera lancée au cours du mois d’octobre prochain. Akhamouk a souligné, aujourd’hui vendredi, dans une déclaration à la radio nationale, que cette décision découle d’une longue étude de la question par les spécialistes.
Quel type de vaccin sera administré ?Le même intervenant a affirmé que selon des nouvelles données scientifiques, le comité scientifique a fini par proposer de vacciner les enfants, une question qui a été étudiée par plusieurs spécialistes selon lui. Pour le type du vaccin qui sera administré à cette tranche d’age, Akhamouk indique cela est encore un sujet d’étude, et que la décision sera bientôt prise.
Akhamouk a assuré que la campagne de vaccination des enfants âgés entre 12 et 18 ans sera lancée au mois d’octobre prochain, des déclarations qui rappellent celles du ministre de l’Éducation nationale, qui a affirmé que son département songe à vacciner les élèves afin de les protéger d’une 4e vague qui risque de frapper bientôt.
La grande campagne vaccinale lancée par le ministère de la Santé se poursuit de son côté. Alors qu’elle devait prendre fin le 11 septembre, le ministère de la Santé décidé de sa prolongation d’une semaine. Cette décision intervient “dans le but d’atteindre l’immunité collective et vacciner 70% de la population d’ici à la fin de l’année”.
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Deux organisations syndicales sur trois prennent part ce vendredi 10 septembre 2021 aux échanges Gouvernement-Syndicats sur la rentrée des classes 2021-2022.
Le secrétaire général de la Centrale Syndicale des Travailleurs du Bénin (Cstb), Kassa Mampo n'a pas accédé à la salle réservé aux échanges Gouvernement-Syndicats. Le représentant syndical ne s'étant pas fait vacciné n'a pas son pass sanitaire et l'entrée lui a été interdite.
Selon l'invitation adressée le 8 semptembre aux centrales syndicales, les participants devraient se munir de leur pass sanitaire pour prendre part aux échanges Gouvernement-Syndicats.
Ainsi, seules deux organisations syndicales à savoir la Cosi-Bénin et la Csa Bénin ont été autorisées à la rencontre qui s'inscrit dans le cadre des préparatifs de la rentrée scolaire et universitaire 2021-2022.
M. M.
Le Maire de la commune de Dogbo, Magloire Agossou, Président du comité d'urbanisme invite les propriétaires de la tranche B du lotissement en cours dans l'arrondissement de Tota, à déposer les attestations de recasement du 13 septembre au 08 octobre 2021.
« Dans le cadre des travaux de recasement de la tranche B du lotissement en cours dans l'arrondissement de Tota et exécutés par le cabinet d'études et Réalisations de l'ingénieur géomètre agréé Bienvenu Aïzo, la mairie a été confrontée à des difficultés liées à la délivrance des attestations de recasement », informe le maire Magloire Agossou.
L'autorité communale invite les propriétaires ou présumés propriétaires terriens de ladite tranche et ayant obtenu des attestations de recasement à passer déposer au service des affaires domaniales, foncières et environnementales de la mairie de Dogbo, les copies desdites attestations accompagnées des copies des quittances de paiement des frais y afférents.
Le président du comité d'urbanisme demande aussi à ceux dont les demandes d'attestation sont en cours, de produire les copies des quittances de versement des frais de demande. L'opération se déroulera du 13 septembre au 08 octobre 2021. Le Maire compte sur la compréhension des uns et des autres pour la fourniture des prestations de qualité dans la commune de Dogbo.
AAA
Les sujets relatifs à la pandémie de covid-19 et ses différents variant ainsi qu’à la vaccination occupent toujours les premières colonnes des journaux et alimentent encore les débats télévisuels. La vaccination devient de plus en plus incontournable, certains pays exigent le pass sanitaire comme condition d’entrée à leurs territoires, d’autres l’impose aussi pour accéder aux lieux et administrations publiques.
C’est le cas par exemple de la France qui a opté pour ce choix depuis déjà des mois. Cependant, qu’en est-il de l’Algérie qui a l’habitude d’adopter le même système et principe que l’Hexagone dans plusieurs secteurs notamment la santé ?
En effet, il est important de souligner que trois responsables algériens, à savoir le ministre de la Justice, le wali d’Oran et l’APC de Bab Ezzouar à Alger ont décidé d’imposer le pass sanitaire aux fonctionnaires, mais aussi aux citoyens pour accéder à ces administrations. Pour le moment ce sont les seules responsables ayant opté pour ce choix, autrement dit la décision ne s’est pas encore étendu aux autres secteurs puisqu’elle n’a pas encore émané des hautes autorités du pays.
Pour ou contre l’imposition du passe sanitaire : les opinions sont divergentesCette décision qui se limite uniquement à trois départements a fait réagir des juristes notamment Me Farouk Ksentini qui a « expliqué que l’interdiction d’accès aux personnes non vaccinées aux administrations est illégale », ont rapporté nos confrères de Liberté. Tout en ajoutant que “c’est une grave atteinte aux libertés personnelles”.
Selon Me Ksentini, l’imposition d’un pass sanitaire doit être d’abord »légalisé » par la promulgation d’un texte de loi, faisant allusion aux responsables ayant recouru à cette décision. Ainsi, l’intervenant n’a pas manqué de qualifier “toute décision de réduction d’accès aux administrations publiques d’illégale”.
Cependant, il faut savoir que le gouvernement notamment le ministère de la Santé fournit des efforts colossaux dans le but d’atteindre l’objectif de vaccination de 70% de la population avant la fin de l’année en cours. Ces efforts se sont concrétisé par le lancement de la plus grande campagne de vaccination la semaine passée baptisée “Big day”. Ce qui n’exclu pas une éventuelle généralisation par les hautes autorités du pays, du pass sanitaire dans l’ensemble des lieux public et à travers tout le territoire national.
En fin, il convient de préciser que beaucoup de spécialiste sont favorables à une telle décision à l’instar du Pr Kamel Djenouhat, président du conseil médical de l’hôpital de Rouiba. Ce dernier précise en revanche que l’imposition du pass sanitaire est tributaire de la disponibilité du vaccin et du taux de la vaccination qui doit dépasser 70 %, selon le média susmentionné.
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Le Directeur général de la police républicaine a procédé, vendredi 03 septembre 2021, à la nomination de commissaires dans neuf commissariats d'arrondissement de Cotonou.
Soumaïla Yaya, Directeur général de la police républicaine, par décision portant mutations générales d'officiers de la police républicaine au titre de l'année 2021, a nommé de nouveaux responsables au niveau de neuf commissariats d'arrondissement de Cotonou.
Il n'y a pas de mutations dans les commissariats des 3è, 9è et 13è arrondissements.
Dans le premier arrondissement, Hervé Xavier Tossou a été nommé commissaire adjoint.
LES NOUVEAUX CHEFS DES 9 COMMISSARIATS
Commissariat du 2è arrondissement
commissaire : Alain Zoutchémé
Commissariat du 4è arrondissement
commissaire : Eric Sabi Orou Yérima
adjoint : Marcellin Amedjrana
Commissariat du 5è arrondissement
commissaire : Yaya Baparapé
Commissariat du 6è arrondissement
commissaire : Lambert Constant A. Noudogbessi
adjoint : Grégoire Coffi Cakpo
Commissariat du 7è arrondissement
commissaire : Jerôme Tchati Sahgui
Commissariat du 8è arrondissement
commissaire : Ganirou Alao Adjiba
adjoint : Marcien Kouamè Délidji
Commissariat du 10è arrondissement
commissaire : Paul Abdoulaye Assani
adjoint : Charles Comlan Kponoukon
Commissariat du 11è arrondissement
commissaire : Abdou Daouda Arouna
adjoint : Toussaint Cossi Agassoussi
Commissariat du 12è arrondissement
commissaire : Jean-Marie Vianney Adanou
adjoint : Rafiou Ichola Abiodoun Sounkéré
M. M.
Abu Dhabi Ports, plus important fournisseur de services logistiques, industriels et commerciaux de la région, et le Groupe CMA CGM, un leader mondial du transport maritime et de la logistique, annoncent la signature d'un accord de concession de 35 ans.
Cet accord prévoit la création d'un nouveau terminal dans le port de Khalifa, le principal port à conteneurs semi-automatisé du CCG (Conseil de Coopération du Golfe), qui sera géré par une coentreprise détenue par CMA Terminals, filiale de CMA CGM (dont la participation sera de 70 %), et Abu Dhabi Ports (dont la participation sera de 30 %). Les partenaires devraient investir environ 570 millions AED (154 millions USD) dans ce projet.
Un terminal ultra-moderne pour accompagner la croissance du port de Khalifa
La livraison de ce nouveau terminal, dont la construction commencera dès 2021, est prévue en 2024. La phase 1 prévoit une longueur de quai initiale de 800 mètres et une capacité annuelle estimée à 1,8 million d'EVP. Abu Dhabi Ports assurera le développement d'une part importante des travaux et des infrastructures maritimes, notamment 1 200 mètres de murs de quai, un brise-lames de 3 800 mètres, la construction d'une plateforme ferroviaire complète, et un terminal de 700 000 m².
Ce terminal permettra à CMA CGM de bénéficier d'un nouveau hub régional et de développer son offre de services entre Abu Dhabi et l'Asie du Sud, l'Asie de l'Ouest, l'Afrique de l'Est, l'Europe et la Méditerranée ainsi que le Moyen-Orient et le Sous-Continent indien.
Cet investissement s'inscrit dans la stratégie de développement du Groupe CMA CGM comme opérateur mondial majeur de terminaux portuaires. Le Groupe exploite actuellement 49 terminaux portuaires dans 27 pays via ses filiales CMA Terminals et Terminal Link.
Le port de Khalifa est désormais un hub pour trois des quatre principaux transporteurs maritimes mondiaux
Le Groupe CMA CGM est le troisième des quatre principaux armateurs mondiaux à s'associer avec le plus important fournisseur de services logistiques, industriels et commerciaux d'Abu Dhabi. Cet accord conforte la place du port de Khalifa parmi les quelques grands hubs mondiaux servant trois des principaux transporteurs maritimes mondiaux, et lui permet également de jouer un rôle capital dans les échanges maritimes mondiaux en reliant les marchés d'est en ouest.
CMA CGM, un partenaire engagé pour l'économie des Emirats Arabes Unis
La situation géographique centrale des Émirats Arabes Unis et d'Abu Dhabi, au cœur des routes commerciales internationales, permet au Groupe CMA CGM de mettre en œuvre des projets de développement stratégiques, renforçant sa position dans le Golfe et fournissant les meilleurs services pour répondre aux besoins de ses clients.
Présent aux Émirats Arabes Unis depuis 15 ans, le Groupe CMA CGM y emploie environ 450 personnes dans 10 bureaux pour offrir à ses clients les meilleures solutions maritimes et logistiques. Le Groupe relie les Emirats Arabes Unis au reste du monde à travers 13 services hebdomadaires vers 9 ports.
S. E. Falah Mohammed Al Ahbabi, Président d'Abu Dhabi Ports, déclare : « La stabilité économique d'Abu Dhabi et des Émirats Arabes Unis, à même d'attirer les investissements étrangers, est l'un un des principaux facteurs qui ont contribué à la croissance économique du pays. Cette situation, conjuguée à l'existence d'une zone franche concurrentielle et à des initiatives facilitant l'établissement des entreprises étrangères dans le pays, a permis aux Émirats Arabes Unis de devenir une destination de choix pour les investissements de beaucoup d'acteurs mondiaux de premier plan cherchant à s'implanter au Moyen-Orient ».
« L'accord historique conclu avec le Groupe CMA CGM est une excellente illustration de ces efforts constants qui permettront d'accélérer les échanges et le développement de l'industrie aux Émirats Arabes Unis et au-delà ».
« Cet accord de concession devrait augmenter les volumes commerciaux à travers notre port et ainsi soutenir le développement économique des Emirats Arabes Unis. De fait, l'augmentation des capacités et les nouvelles routes commerciales avec d'autres destinations portuaires de premier plan devraient soutenir les investissements dans les entreprises locales et dans nos zones industrielles, accélérer le développement des secteurs clés, notamment la production industrielle et la logistique, et accroître la demande de main-d'œuvre ».
« Cet accord nous aidera à réaliser nos ambitions à long terme d'être parmi les 10 principaux opérateurs portuaires, industriels et logistiques mondiaux en développant notre capacité et notre croissance dans la région et au-delà. Au total, nous prévoyons qu'au cours des cinq prochaines années, la coentreprise formée avec CMA Terminals contribuera au développement de la zone industrielle de Khalifa Abu Dhabi (KIZAD), tout en apportant une contribution significative au PIB national ».
Le Capitaine Mohamed Juma Al Shamisi, Directeur Général du Groupe Abu Dhabi Ports, déclare : « La création d'un terminal à conteneurs supplémentaire dans le port de Khalifa, géré par une coentreprise avec CMA Terminals, marque une nouvelle étape dans les efforts de notre organisation visant à devenir un élément moteur des échanges mondiaux, et rehausse la position d'Abu Dhabi en tant que hub régional et international pour les échanges maritimes.
« Grâce à ce partenariat avec une nouvelle entreprise de transport maritime de premier plan, le port de Khalifa est désormais un hub majeur pour trois des quatre principaux transporteurs maritimes mondiaux. Cet ajout devrait permettre d'ouvrir des routes commerciales vers de nouveaux marchés en Europe, en Afrique, en Asie occidentale, et en Asie méridionale. La présence des terminaux portuaires reliés directement aux services du futur terminal ferroviaire du port de Khalifa devrait accélérer les flux commerciaux entrants et sortants des Émirats Arabes Unis tout en encourageant les clients du Groupe CMA CGM à envisager de s'établir à Abu Dhabi ».
Rodolphe Saadé, Président-Directeur Général du Groupe CMA CGM, déclare : « Le projet ambitieux que nous lançons à Abu Dhabi marque une étape importante dans la stratégie de développement de CMA CGM dans la région ».
« Ce terminal ultra-moderne contribuera au renforcement de la place du port de Khalifa comme hub mondial de premier plan, et à la croissance de l'économie régionale en accélérant les flux commerciaux en provenance et à destination d'Abu Dhabi ».
« Il permettra également à notre Groupe de développer son réseau de transport maritime et de logistique dans cette région, où nous constatons un potentiel de croissance considérable ».
Les obsèques de l'ex première dame, Rosine Soglo, vont se dérouler dans un cadre strictement familial, selon l'annonce faite par le comité d'organisation. Le lieu d'inhumation n'est cependant pas révélé dans le programme rendu public. Mystère.
Toujours le mystère autour du lieu d'inhumation de Rosine Soglo à quelques heures de sa mise en terre. L'ex Première dame sera enterrée ce samedi 11 septembre 2021.
Si le programme de ses obsèques est rendu public depuis mardi dernier, il ne renseigne nullement sur le lieu précis encore moins de l'inhumation.
''Maman" Rosine Vieyra Soglo sera-t-elle inhumée à Ouidah, Calavi, Bohicon, Abomey ou hors du pays (Togo, Ghana) ?
À moins de 24 heures de l'enterrement, impossible pour les Béninois et Béninoises d'indiquer le nom de la ville qui abritera la dernière demeure de leur ancienne First lady, première femme cheffe de parti et députée sur plusieurs législatures.
La dépouille sera-t-elle envoyée au Togo ou au Ghana voisins comme le laissent croire des sources proches de la famille ? Dans le secret des familles Vieyra et Soglo, seuls quelques privilégiés sont dans le secret.
Seules activités inscrites au programme des obsèques avaient été communiquées au public. Elles ont démarré mercredi 08 septembre et se poursuivent jusqu'à ce vendredi 10 septembre 2021. Un livre de condoléances est ouvert au siège de l'Association ‘'Vidolé'' pour recueillir les condoléances et les hommages des personnes physiques et morales. La deuxième veillée de prière suivie d'animation folklorique est prévue pour ce vendredi à 19h dans le respect des mesures de prévention de la Covid-19.
Le samedi 11 septembre, jour de l'inhumation, et suivant la volonté de la défunte, il y aura une cérémonie corps présent à 09h au siège de ‘'Vidolé'', un recueillement à 10h suivi d'un office religieux après lequel l'inhumation va se dérouler dans un cadre « strictement » familial. Une animation folklorique est prévue à partir de 16h.
Selon le Comité d'organisation, la cérémonie sera retransmise en direct sur les médias et canaux digitaux pour permettre aux populations de suivre. Le contexte sanitaire lié à pandémie du coronavirus oblige. Les dernières volontés de l'ex Première dame (être inhumée dans l'intimité familiale) appellent-elles à garder secret le lieu de l'inhumation ? Tout un mystère.
M. M.
Les agents contractuels de droit public de l'Etat, recrutés dans la Fonction publique et mis à la disposition du ministère de la santé, reçoivent les affectations çi-après dans les départements (suite)