L'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) a officialisé la fusion avec le Bloc Républicain (BR). C'est à travers son congrès extraordinaire tenu, ce vendredi 15 Octobre 2021, au Palais des congrès de Cotonou en présence du secrétaire exécutif national du BR, Abdoulaye Bio Tchané, et de la présidente d'honneur de l'UDBN Claudine Afiavi Prudencio.
Le parti Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) se fond dans le Bloc Républicain (BR). Lors du congrès extraordinaire organisé, vendredi 15 octobre 2021, dans ce cadre, la présidente du Comité d'organisation et deuxième vice-présidente de l'UDBN, Christine Ahouandjinou Zinsou a indiqué que le vendredi 15 octobre 2021 est un jour chargé d'histoire pour l'UDBN qui, à travers le ‘'mariage'' avec le Bloc Républicain (BR), manifeste une fois de plus son attachement à la vision du Chef de l'Etat.
Pour le représentant de la Fédération Nationale des Jeunes de l'UDBN, Damien Badjito, les jeunes ont décidé à l'unanimité, « après plusieurs séances de décryptage et d'analyse dans l'intérêt de la Nation », de faire le chemin avec le parti BR. « La jeunesse s'engage à poursuivre le combat après ce mariage. La jeunesse restera une fois encore mobilisée pour des victoires », s'est engagé Damien Badjito.
Le même engagement a été pris par les femmes de l'UDBN qui ont fait savoir par la voix de leur représentante que le ‘'mariage UDBN-BR'' est une opportunité pour elles de se faire valoir. « Les femmes sont prêtes à faire prospérer toutes les initiatives prises par notre nouvelle famille », s'est engagée Raïmath Radji, représentante des femmes de l'UDBN.
Selon Patrice Houngla, représentant des coordonnateurs communaux, l'union UDBN-BR marque le renouvellement de la confiance et d'approfondissement des chantiers. C'est l'occasion de se réjouir car le ‘'mariage légalisé'' entre le BR et l'UDBN permet une grande chaîne de ressources inépuisables, selon le représentant des coordinations départementales de l'UDBN dans le Borgou. A en croire Bernardin Gnanssounou, les responsables du parti ont associé tous les militants au processus de fusion. Le « processus de mis ensemble est bien conduit », a indiqué la présidente du comité de gestion de l'UDBN, Anastasie Oba Chabi Maforikan. « Le navire dans lequel nous nous embarquons est le meilleur, dans cette barque se trouve avec nous notre icône Claudine Prudencio (…). Nous nous battrons avec la même détermination au sein de notre nouveau cadre d'actions politique (…). Nous allons davantage mouiller le maillot », a promis Mme Maforikan. Selon elle, ‘'les amazones ‘' et ‘'soldats'' de ‘'l'UDBN'' s'engagent à faire des « couleurs du BR les plus rayonnantes de l'action publique ».
« Vous prenez, ici, une bonne décision », a indiqué le Secrétaire exécutif national du Bloc Républicain (BR). « Le BR est une grande famille qui est désireuse aussi de vous accueillir », a ajouté le ministre d'Etat en charge de la coordination de l'action gouvernementale. Selon lui, l'UDBN et le BR partagent une vision et des ambitions communes notamment celles de donner aux citoyens les dividendes d'une croissance économique. « Je peux vous assurer que vous ne serez pas déçus au côté des autres militants », a rassuré Abdoulaye Bio Tchané.
Les jeunes et les femmes de l'UDBN sont les bienvenus au BR où une place de choix est faite conformément aux statuts pour assurer au moins 30% à tous les postes à la jeunesse et aux femmes, a confié M. Bio Tchané.
Pour la présidente d'honneur Claudine Afiavi Prudencio, l'UDBN a opté pour une expérience collective dans son accompagnement au chef de l'Etat Patrice Talon. « Il nous faut de la realpolitique en adaptant nos stratégies au contexte nouveau », a-t-elle indiqué avant de préciser que l'UDBN ne s'associe pas pour disparaître. « Nous y allons après des négociations conduites de Parti à Parti sans compromissions (…). Je suis convaincue que les Jeunes et les Femmes trouveront davantage de champ d'éclosion et d'expansion », a rassuré la présidente d'honneur de l'UDBN. « Il faut que les femmes aient désormais un pourcentage de 60% », a plaidé Claudine Afiavi Prudencio à l'endroit du Secrétaire exécutif national du Bloc Républicain.
M. M.
Cet Été, l’Algérie a traversé une vague virulente de coronavirus avec des centaines de victimes par jour. Aujourd’hui, les contaminations de coronavirus poursuivent leur baisse avec des bilans frôlant les 100 cas/jour. Comme ce vendredi 15 octobre 2021.
Selon le dernier bilan du ministère de la Santé, l’Algérie enregistré 101 nouvelles contaminations contre 105 cas confirmés recensés dans le bilan d’hier jeudi. Quant au bilan des guérisons, il fait état de 75 nouveaux cas de patients rétablis.
D’un autre côté, le bilan des morts au covid-19 fait état de 3 cas de décès, contre les 2 morts recensés dans le bilan d’hier. De ce fait, le bilan total des contaminations de coronavirus s’élève, avec ce nouveau bilan, à 205106 cas confirmés ; Celui des morts à 5867 décès.
Un nouvel hôpital à El BayadhRépondant à un député du Conseil de la Nation lors d’une plénière hier jeudi ; le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid a fait savoir qu’une clinique allait être érigée en Établissement public hospitalier dans la daïra de Boukteb ; dans la wilaya d’El Bayadh.
« En 2014, a daïra de Boukteb a bénéficié, d’un projet d’aménagement et d’extension d’une polyclinique ; qui sera érigée en EPH avec une capacité d’accueil de 60 lits », a-t-il expliqué.
« L’ancienne bâtisse a été réaménagée et un bloc à 2 niveaux a été également réalisé. Ce dernier a pour but d’assurer la prise en charge des prestations sanitaires », a ajouté le ministre.
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Contrairement à ce que pensent certains opérateurs économiques, la situation de cherté de produits de première nécessité que connait le Bénin ne saurait être imputée à la société Benin Control. Le directeur général, Gwendal Euzen invité de l'émission le Club de L'économiste, ce jeudi 14 octobre 2021, a apporté des clarifications sur le sujet.
Selon le directeur général, penser que la cherté des produits de première nécessité au Bénin est due aux services de Benin Control relève d'une « mauvaise analyse économique », et ceci, pour plusieurs raisons. La première selon Gwendal Euzen, est de comprendre « qu'un marché qui n'est pas régulé avec des déséquilibres criardes va forcément tirer les prix vers l'eau ». Dans ses explications, il explique que si un importateur arrive à frauder et qu'un autre n'y parvienne pas, le fraudeur va « calquer ses prix sur le prix fort ». « Il va augmenter ses marges et le client final n'en bénéficiera pas », a précisé le directeur général.
A l'en croire, un marché sur lequel la concurrence est libre et saine se régule, et si les deux opérateurs ont les mêmes conditions à l'entrée, ils vont « se battre sur leurs marges pour gagner des clients ».
La deuxième raison selon le directeur général de Benin Control est que « le pays ne peut pas gagner dans un système corrompu et frauduleux ». « La corruption et la fraude ne bénéficient pas à tous. Elles ne bénéficient qu'à certains au détriment des autres », a dénoncé Gwendal Euzen soulignant qu'en Europe, il y a des produits qui coûtent moins chers qu'au Bénin alors que c'est les mêmes produits fabriqués en Chine. Pour le directeur général, il y a suffisamment de coûts additionnels qu'il faut supprimer, mais pas les droits et taxes qui reviennent à l'Etat. Ces droits selon le DG de Bénin Control, sont les mêmes dans toute l'espace CEDEAO, et permettent à l'Etat de financer les projets (écoles, routes, hopitaux, cantines scolaires, etc).
Par ailleurs, le système dématérialisé en ligne offre un gain de temps et des économies aux usagers qui ne sont plus obligés de « donner des billets à gauche et à droite ».
Selon Gwendal Euzen, pour une première nécessité, on a une production locale (manioc, igname, tomate, oignon, salade, etc) qui ne passe pas au cordon douanier, mais il y a d'autres marchandises. L'Etat ayant conscience de la situation a fixé des barèmes pour ces marchandises (pâtes alimentaires, les tissus, les Wax, etc).
Ce qui importe selon lui, c'est de « mettre tout le monde sur un même pied d'égalité ». « On ne peut pas accuser l'Etat aujourd'hui de rendre la vie chère juste parce qu'il perçoit correctement les droits de taxes », a soutenu le DG de Benin Control, qui a précisé que le but visé est de mettre en place un marché compétitif pour tirer les prix à la baisse.
Face à la situation de cherté des produits de première nécessité, le gouvernement en Conseil des ministres avait interdit la sortie des produits de grande consommation. Au regard de la disponibilité desdits produits et de la maîtrise des coûts, le gouvernement par une autre décision en Conseil des ministres, a suspendu la mesure d'interdiction des exportations de produits de première nécessité.
F. A. A.
La créatrice de la Fondation Zinsou Marie-Cécile Zinsou est nommée femme de culture de l'année 2021.
L'association Femmes de Culture distingue l'historienne béninoise de l'art Marie-Cécile Zinsou. Elle a été nominée parmi les 100 femmes culture de l'année 2021. Marie-Cécile Zinsou a partagé la bonne nouvelle jeudi 14 octobre 2021 sur sa page Facebook.
« Très heureuse d'avoir été nommée parmi les 100 Femmes de Culture de l'année 2021 par l'association Femmes de Culture représentée par son Président Stéphan Paris et par un jury composé de Muriel Beyer, Hélène Fulgence, Leïla Kaddour-Bouddadi, Audrey Leprince, Muriel Mayette-Holtz et Rosalie Varda, sous le marrainage de Patricia Barbizet », a-t-elle écrit.
Le prix « 100 Femmes de Culture » est organisé chaque année par l'association Femmes de culture pour mettre « en avant les femmes dirigeantes, artistes-dirigeantes, entrepreneuses qui comptent dans la culture au sens large (musique, spectacle vivant, patrimoine, arts visuels, architecture, design, édition, média, digital, cinéma, jeux vidéos. ) ». L'association coordonne aussi un réseau pour faciliter la mise en réseau, le partage d'expérience et la valorisation du travail des femmes dans ce secteur.
La première cérémonie « 100 Femmes de Culture » a eu lieu en mars 2019 au Tokyo Art Club du Palais de Tokyo en présence de 250 personnalités du secteur.
A.A.A
La direction générale de Coris Bank international informe sa clientèle de la fermeture de ses agences le samedi 16 octobre 2021.
A l'occasion de la fête de Maouloud qui aura lieu lundi 18 octobre 2021, les agences de Crois Bank International seront fermées le samedi 16 octobre 2021. Les Guichets Automatiques de la Banque restent toutefois fonctionnels 24 h / 24.
La polémique Andy Delort continue d’alimenter les tensions entre le sélectionneur de l’équipe d’Algérie Djamel Belmadi et le club français OGC Nice ; qui est accusé d’empêcher ses joueurs de jouer avec leurs sélections.
Invité hier jeudi à l’émission Rothen s’enflamme, sur les ondes de Radio Monte-Carlo, le coach Belmadi s’est une nouvelle fois exprimé sur l’affaire Andy Delort qui a décidé de mettre l’équipe nationale de côté pour se concentrer avec son nouveau club, à savoir l’OGC Nice.
Qualifiant la décision de l’attaquant niçois de « grosse blague de l’année », Belmadi a fait savoir indirectement que le retour de Delort en équipe nationale serait impossible sous « son règne ».
« Donc nous on va jouer sous 40° au Niger, dans des conditions exécrables, on va se taper dans toute l’Afrique pendant les éliminatoires qui est un peu un enfer, et quand tout est fait, quand tout est réglé, le monsieur (Delort, ndlr) revient comme une petite mariée : ‘C’est bon je suis dispo maintenant ?’ C’est doublement nous manquer de respect », a lancé Belmadi.
« Qu’il s’occupe de sa sélection ! », lance l’entraineur niçois à BelmadiL’entraîneur de l’OCG Nice Christophe Galtier n’a tardé à réagir aux propos du sélectionneur national. « J’ai connu Belmadi comme joueur. Il était déjà excessif sur le terrain. Hier je l’ai encore trouvé très excessif. Qu’il s’occupe de sa sélection et nous laisse travailler sereinement », a-t-il lancé ce vendredi lors d’une conférence de presse.
« Quand un joueur est convoqué en sélection, on doit le laisser y aller. C’est le règlement. C’est trop facile de dire que Nice ne veut pas envoyer ses joueurs en sélection. Mettre la responsabilité sur le club, c’est très malhonnête. On est en train de créer un climat malsain et dangereux autour du club Nicois », a expliqué Galtier ; en faisant référence aux dernières déclarations de Belmadi.
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Nul ne doute de l’ampleur des pertes humaines causées par la pandémie de covid-19 notamment pendant le mois de juillet et d’aout en plein troisième vagues. Des conséquences lourdes et une augmentation vertigineuse des cas de contaminations ont poussé les autorités à suspendre certaines et fermer certains lieux notamment les mosquées.
À partir de la mi-septembre, les choses ont commencé à rentrer dans l’ordre, la situation sanitaire se stabilise, la vaccination s’élargie et le gouvernement ont allégé les mesures préventives. En effet, les restaurants, centre culturels et sportifs ainsi que les mosquées ont rouvert.
Cependant, certaines restrictions et mesures préventives ont été maintenues à l’instar de la fermeture des espaces d’ablution dans les mosquées. Une décision que l’Association des oulémas musulmans algériens ne semble pas apprécier
L’association réagit par le biais des réseaux sociauxPar le biais de sa page Facebook officiel, l’association religieuse conteste la maintenance de la fermeture des espaces dédiés aux ablutions au sein des mosquées. En publiant des images montrant des personnes entrain de faire leurs ablutions dans la rue pour se préparer à la prière, l’association n’a pas manqué de réagir.
« Des solutions existent pour remédier à ce problème dont la raison demeure inconnue… puisqu’en dehors des mosquées, tout est bondé de monde, les restaurants, cafés, marchés, trains et transport en commun, rues, etc. », commente l’Association des oulémas musulmans les images qu’elle a publiées sur son compte Facebook.
La même source poursuit » il y a-t-il pas un cerveau qui réfléchit pour trouver une solution à ce problème…. le nombre de fidèles qui fréquentent la mosquée a diminué de façon triste »
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Ces dernières semaines, des rumeurs circulent sur un risque de pénurie de l’huile de table. Une « insuffisance » dont l’Algérie a traversé en mars dernier. Mais qu’en est-il de la véracité de ces informations ? Y a-t-il un risque de pénurie ?
Tout a commencé avec la dernière flambée des prix de produits alimentaires de larges consommations. Certes le prix de l’huile de table n’a pas connu d’augmentation, mais certains commerçants ont voulu profiter de l’occasion pour gagner quelques dizaines de dinars sur ces produits ; sur le dos du citoyen.
D’un autre côté, des rumeurs sur une imminente pénurie de l’huile de table, dont l’origine est inconnue, ont été lancés sur les réseaux ; provoquant un léger mouvement de panique chez les Algériens qui se sont précipités vers les commerces pour s’approvisionner avec des quantités plus que la normale. Ce qui a mené encore une fois à un des perturbations sur les chaînes d’approvisionnement.
Mustapha Zebdi veut l’ouverture d’une enquêteDr Mustapha Zebdi, président de l’Association algérienne de protection et d’orientation du consommateur et de son environnement (Apoce), n’a pas tardé à réagir à ces rumeurs de pénurie.
« Nous assistons actuellement à un achat massif de ce produit (huile de table, ndlr) ; en raison d’une rumeur sur sa rareté sur le marché », a noté Dr Zebdi ; évoquant les spéculateurs et pointant du doigt les services de contrôles des prix et de la qualité.
Le président de l’APOCE a, par ailleurs, tenu à rappeler que « toute augmentation injustifiée des prix de l’huile de table est illégale » ; appelant les autorités à ouvrir une enquête.
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La 12e édition du Global Mobile Broadband Forum (MBBF) de Huawei a démarré ce jeudi 14 octobre à Dubaï. L'événement est organisé chaque année par le Groupe, en collaboration avec ses partenaires industriels GSMA et SAMENA Telecommunications Council.
Introduite par un discours de Ken Hu, Président tournant de Huawei, la dernière édition du MBBF a rassemblé opérateurs, chefs d'entreprises et autres partenaires issus des écosystèmes de la tech pour envisager ensemble la maximisation du potentiel de la 5G, et par là même l'avenir de l'industrie mobile.
Au cœur de cette prise de parole, le développement de la 5G et les opportunités que le déploiement de cette technologie initie. Selon Ken Hu, « Les progrès ont été beaucoup plus rapides que prévu, notamment en ce qui concerne la base d'abonnés, la couverture réseau et le nombre de terminaux 5G sur le marché, partout dans le monde ».
Les chiffres sont en effet éloquents : il existe actuellement 176 réseaux 5G commerciaux dans le monde, qui desservent plus de 500 millions d'abonnés.
En ce qui concerne le grand public, les vitesses de téléchargement moyennes atteintes grâce à la 5G sont environ 10 fois supérieures à celles permises par la 4G.
Du côté des entreprises, il existe déjà 10 000 projets dédiés aux applications B2B de la 5G (5GtoB) dans le monde entier.
Enfin, des projets d'application de la 5G dans des secteurs tels que la fabrication, l'exploitation minière et les ports sont en cours de reproduction à grande échelle.
Cependant, malgré ce déploiement exponentiel, la 5G gagnerait à être renforcée. Le premier levier de ce renforcement repose sur les réseaux mobiles, qui doivent offrir des vitesses de téléchargement supérieures à 4,6 Gbit/s avec une latence ne dépassant pas 10 millisecondes pour assurer le plein développement de cette technologie. De même, pour favoriser une adoption plus large de la 5G dans les industries, il est important de développer des normes de télécommunication spécifiques, adaptées à chaque contexte. Enfin, l'industrie mobile dans son ensemble se doit d'œuvrer à sa propre durabilité, en misant sur une réduction significative de son impact écologique.
« En raison de l'accélération de la transformation numérique occasionnée par la pandémie de la Covid-19, le cloud et l'intelligence artificielle sont devenus incontournables dans toutes les organisations, et toutes les économies. Alors que le monde commence à se remettre de la crise, nous devons saisir les opportunités qu'offrent ces technologies nouvelles, tout en les adaptant aux défis de notre temps, et notamment aux objectifs de neutralité carbone et de réduction d'empreinte écologique. », a conclu Ken Hu.
À propos de Huawei
Fondée en 1987, Huawei est l'un des principaux fournisseurs mondiaux d'infrastructures de technologies de l'information et des communications (TIC) et d'appareils intelligents. Nous comptons plus de 197 000 employés, et nous sommes présents dans plus de 170 pays et régions, au service de plus de trois milliards de personnes dans le monde.
Notre vision et notre mission consistent à apporter le numérique à chaque personne, foyer et organisation pour un monde intelligent et entièrement connecté. À cette fin, nous allons favoriser la connectivité omniprésente et promouvoir l'égalité d'accès aux réseaux ; apporter le cloud et l'intelligence artificielle aux quatre coins du monde pour fournir une puissance informatique supérieure là où vous en avez besoin, quand vous en avez besoin ; construire des plateformes numériques pour aider toutes les industries et organisations à devenir plus agiles, efficaces et dynamiques ; redéfinir l'expérience utilisateur avec l'IA, en la rendant plus personnalisée pour les individus dans tous les aspects de leur vie, qu'ils soient à la maison, au bureau ou en déplacement.
Mort par noyade d'un bouvier mercredi 14 octobre 2021 à Gbégourou, arrondissement de la commune de N'dali, département du Borgou.
Le bouvier peulh est décédé mercredi dans un cours d'eau. Selon les informations, il traversait le cours d'eau tout en gardant la queue de l'une de ses bêtes. Par imprudence, il a été emporté par le courant de l'eau. Son corps sans vie n'a pas été encore retrouvé.
A.A.A
Depuis la baisse des cas de contamination et la stabilisation de la situation sanitaire, les choses commencent à rentrer dans l’ordre. Plusieurs activités issus de différents secteurs ont repris, le confinement partiel a été levé dans certaines villes et allégé dans d’autres et les dessertes aériennes s’intensifient de plus en plus.
Des vols déjà existants ont été renforcés comme ceux de Francfort et Rome, Barcelone et Istanbul. D’autres ont été enfin ajouté à savoir Londres et Dubaï, et ce, à raison de deux vols par semaine. Pour ce qui est de la France, le pays le plus desservi et fréquenté par les Algériens, aucun changement n’a été annoncé sauf qu’aujourd’hui Transavia Airlines vient de bénéficier de nouvelles décisions.
En effet, la compagnie aérienne à bas prix néerlandaise, filiale de KLM a reçu le feu vert de la part des autorités algériennes concernant son programme pour le mois prochains. Outre Air Algérie, Transavia est désormais autorisé à effectuer des dessertes commerciales aller-retour vers l’Algérie, et ce, pour le mois de novembre.
Le programme de Transavia durant le mois de novembreLa compagnie étrangère a informé sa clientèle que son programme prévu pour le mois prochain a été publié et les billets ont été mis en vente sur son site électronique. Transavia opérera des vols à partir des aéroports de Paris Orly, Lyon, Montpellier et desservira Alger, Oran et Constantine. Des avions Boeing 777-300 sont mis à la disposition de la compagnie étrangère depuis le mois d’octobre, lui permettant de ce fait de transporter 472 passagers.
Enfin, il convient de préciser que les billets du mois d’octobre ont été tous réservés, tandis que ceux du mois de novembre sont désormais disponibles. Quant aux prix, le billet pour un aller simple entre Paris Orly et Alger est fixé à 590 euros. Idem pour celui d’Oran et Constantine.
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La circulation des trains, de et vers Alger connaîtra quelques modifications ce vendredi 15 octobre. C’est ce qu’a annoncé hier jeudi la Société nationale des transports ferroviaires via un communiqué rendu public sur sa page Facebook.
En effet, La SNTFC a annoncé des changements qui toucheront momentanément la circulation des trains, de et vers Alger. Il s’agit d’une réadaptation du programme des dessertes ferroviaires prévue la journée de ce vendredi 15 octobre 2021.
Selon la même source, l’ensemble des dessertes ferroviaires de banlieue, inter-villes (régionaux) et grandes lignes, seront programmés durant cette journée à partir de la gare d’Hussein Dey (Alger), en aller/retour. Ce changement sera accompagné exceptionnellement de la suspension du train aéroport Houari Boumediene – gare d’Agha, pour la journée d’aujourd’hui 15 octobre.
La SNTF s’explique au près de sa clientèleDe ce fait, la SNTF décidé de mettre à la disposition de sa clientèle des Bus pour assurer le transport de la gare d’Alger, vers la gare d’Hussein Dey, en aller/retour. La société nationale n’a pas manqué en outre à expliquer la raison de ce changement momentané. La circulation des trains a été réadapté suite à un transport exceptionnel qui traversera la voie ferrée dans la zone d’El Hamma, à partir du Port d’Alger.
Enfin, la SNTF s’excuse auprès de ses clients des désagréments causés par cette programmation exceptionnelle et assure que la circulation normale des trains reprendra le samedi 16 octobre 2021.
Il convient de rappler enfin que la reprise des trajets en train desservant la ligne de la gare Agha et l’aéroport internationale de la capitale a eu lieu récemment, plus précisément le 4 octobre après une suspension due à la pandémie actuelle.
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Le Directeur général de l'Organisation du Monde Islamique pour l'Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), Dr Salim AlMalik a reçu, mercredi 13 octobre 2021 au siège de l'Organisation à Rabat, Sylver Aboubakar Minko Mi-Nseme, ambassadeur de la République gabonaise auprès du Royaume du Maroc. Les deux responsables ont discuté des résultats de la visite officielle effectuée par Dr AlMalik et sa délégation accompagnante au Gabon du 4 au 7 octobre 2021, ainsi que des derniers développements concernant la coopération dans les programmes et activités convenus et examinés avec les hauts responsables du pays.
A cette rencontre, le Directeur général de l'ICESCO a exprimé ses remerciements et sa gratitude au gouvernement gabonais pour l'accueil chaleureux lors de sa visite officielle qui a connu des rencontres fructueuses avec la cheffe du gouvernement et nombre de ministres. Elle a été couronnée par un entretien avec S.E. le Président Ali Bongo au palais présidentiel à Libreville.
Dr Salim AlMalik a également souligné que les programmes et activités communes examinés lors de cette visite seront mis en œuvre dans les plus brefs délais. A l'en croire, une délégation composée d'experts du Secteur de la Culture effectuera dans quelques jours une visite au Gabon pour organiser un atelier de formation, au profit des spécialistes du patrimoine, à l'élaboration des dossiers d'inscription des sites historiques et éléments culturels sur les listes du patrimoine. Une délégation du Centre de la langue arabe pour les non arabophones se rendra aussi au Gabon pour convenir des étapes de création d'un centre régional d'enseignement de la langue arabe dans ce pays.
L'ambassadeur gabonais s'est félicité de la visite de Dr AlMalik à Libreville, qui marquera, à son sens, un nouveau départ de coopération entre le Gabon et l'ICESCO. Aussi a-t-il souligné que cette visite a suscité un grand intérêt de la part des responsables, qui se sont déclarés disposés à collaborer de manière constructive avec l'Organisation dans nombre de domaines.
À l'issue de cet entretien, les deux parties ont souligné l'importance d'une communication constante entre l'ICESCO et les parties compétentes gabonaises, pour pouvoir identifier les priorités et les besoins du pays, et concevoir les programmes et activités appropriés afin d'atteindre les objectifs escomptés de ce partenariat.
La monnaie nationale connait ces dernières années des fluctuations marquées le plus souvent par une chute inexorable face aux principales devises. Le dinar algérien est loin de toute tentative de concurrence devant l’Euro et le Dinar qui trônent sur les deux marchés parallèles et officiel.
Pour ce vendredi 15 octobre, la monnaie unique européenne a connu une autre légère hausse à la banque d’Algérie par rapport à hier. En effet, un seul euro est échangé contre 159,2329 dinars algériens à la vente et contre 159,1744 dinars algériens à l’achat.
En ce qui concerne la monnaie étasunienne, elle connait une certaine stabilité. Aujourd’hui, un dollar est cédé au niveau des guichets de la banque d’Algérie contre 137.1043 dinars algériens à la vente et 137,0893 dinars algériens à l’achat.
Enfin, la plus chère monnaie à savoir la Livre Sterling, sa valeur ne cesse d’augmenter. Un seul pound s’échange contre 187,8141 dinars algériens à la vente et contre 187.7678 dinars algériens à l’achat.
Marché parallèleAu square Port-Saïd dans la capitale Alger, la monnaie nationale ne se porte pas mieux. Avec l’ouverture des frontières et l’ajout de vols puis de traversées maritimes, les cambistes affichent des taux de change exorbitants. En effet, un seul euro est cédé contre 212 dinars algériens à l’achat et contre 214 dinars algériens à la vente.
Pour ce qui est du dollar américain, il s’échange évidemment aussi plus chère qu’au niveau de la Banque d’Algérie. Un seul dollar est échangé contre 181,5 Dinars a l’achat et contre 183,5 dinars algériens à la vente. Pour terminer, la monnaie britannique continue d’enregistrer des records et trône sur les deux marchés. Un pound est échangé contre 242,5 dinars algériens à la vente et contre 240,5 dinars algériens à l’achat.
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Sa Majesté le Roi du Maroc a nommé sur proposition du Chef du Gouvernement un nouveau ministre de la santé.
Un communiqué du Cabinet Royal en date du 14 octobre 2021 précise que M. Khalid Aït Taleb occupe désormais le poste de ministre de la Santé et de la Protection sociale, en remplacement de Mme Nabila Rmili.
“Conformément aux dispositions de l'article 47 de la Constitution, et sur proposition du Chef du Gouvernement, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a bien voulu nommer M. Khalid Aït Taleb en tant que ministre de la Santé et de la Protection sociale, en remplacement de Madame Nabila Rmili.'', informe un communiqué du Cabinet Royal en date du 14 octobre 2021.
Cette nomination intervient conformément aux dispositions constitutionnelles, et après la soumission à la Haute Appréciation Royale de la proposition du Chef du Gouvernement, visant à mettre fin aux fonctions gouvernementales de Mme Rmili, qui a sollicité de se consacrer pleinement à ses fonctions de Présidente du Conseil de la ville de Casablanca. Et ce, après qu'elle se soit rendu compte de la charge du travail de cette mission représentative, et du suivi continu des affaires de ses habitants et des chantiers ouverts dans cette grande métropole, ce qui était de nature à impacter les multiples engagements et le suivi quotidien que nécessite le secteur de la santé, surtout en cette période de pandémie., précise la même source.
M. Aït Taleb a été promu à ce poste ''afin de poursuivre les chantiers ouverts et les défis urgents du Secteur de la santé, dont en premier chef la poursuite de la gestion du volet sanitaire de la pandémie du Covid 19 et le bon déroulement de la Campagne nationale de vaccination”.