Chaque année, les rapports contenant les chiffres astronomiques des nouveaux cas de cancer donnent froid dans le dos, cette pathologie frappe fort et augmente avec la pollution et les problèmes de l’environnement.
Les chiffres sont là, 50 000 nouveaux cas de cancer sont enregistrés chaque année en Algérie, comme l’a indiqué le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, lors d’une journée de sensibilisation organisée pour commémorer le mois d’octobre rose. Le cancer étant la deuxième cause de décès après les maladies cardiovasculaires, cette pathologie inquiète de plus en plus malgré la présence d’une pandémie mondiale.
En Algérie, les cancers les plus répandus sont cancer du côlon et du rectum notamment chez les hommes. Cependant, chez les femmes, le cancer du sein gagne considérablement du terrain.
Un octobre rose pour la sensibilisationD’autres chiffres inquiétants concernant le cancer cette fois-ci chez les femmes, les chiffres du président de la Société algérienne d’oncologie médicale, indiquent qu’en Algérie, entre 14 000 et 15 000 nouveaux cas de cancer du sein sont enregistrés annuellement avec une augmentation de 10% chaque année.
Raison pour laquelle beaucoup de médecins et d’associations rappellent l’importance du dépistage du cancer du sein. Une prévention primordiale notamment chez les femmes de plus de 40 ans, ces dernières sont appelées à consulter et faire des mammographies. Cette sensibilisation rappelle que le cancer peut être guéri s’il est détecté tôt.
De son côté, l’État mobilise les moyens matériels et humains nécessaires et participe ainsi à la sensibilisation à travers un plan national de prévention élaboré par le ministère de la Santé pour favoriser le dépistage précoce et le traitement.
L’article Cancer en Algérie : les chiffres inquiétants avancés par Benbouzid est apparu en premier sur .
Le ministre des Transports Aissa Bekkai est revenu, ce mardi 5 octobre 2021, sur la situation de la compagnie aérienne nationale Air Algérie. Selon lui, un programme de restructuration est déjà engagé.
Intervenant en marge d’une visite d’inspection au métro d’Alger, le ministre des Transports a indiqué que la compagnie Air Algérie a été fortement impactée par la crise sanitaire mondiale, à l’instar de toutes les compagnies aériennes internationales.
Face à cette situation, le premier responsable du secteur des transports a affirmé que son département ministériel a déjà posé un programme de réforme interne, qui portera notamment sur la création de plusieurs sections au sein de la compagnie.
Le programme de réforme devra également porter, selon le même intervenant, sur la création d’une nouvelle société de maintenance en partenariat avec les étrangers. À ce propos, il annonce qu’une société étrangère sera intégrée dans le cadre de la règle d’investissement 51/49.
Sans la citer nommément, le ministre précise que cette société aura pour mission l’entretien et la maintenance des appareils, et ce, à travers le règlement de la situation de l’atelier qui se situe actuellement au niveau de Dar El Beida à Alger.
Ouverture du transport aérien et maritime au privé : Une trentaine de dossiers déposésS’exprimant autour de l’ouverture de l’espace aérien et maritime aux investisseurs privés, Bekkai a indiqué que son département a déjà reçu une trentaine de dossiers de demandes d’investissement dans ces deux secteurs.
Dans les détails, il explique qu’il s’agit de 14 dossiers d’opérateurs voulant investir dans le secteur du transport aérien et 14 autres dossiers d’investisseurs concernant le transport maritime. D’autres demandes ont été également reçues concernant les croisières et la restauration dans les bateaux.
Pour rappel, le Premier ministre Aïmene Ben Abderrahmane a réitéré hier depuis Oran, son appel aux opérateurs privés d’investir dans le domaine du transport aérien.
Benabderrahmane a indiqué que les privés devront s’intéresser au secteur du transport aérien, tout en soulignant que plusieurs demandes et dossiers d’opérateurs privés sont en cours d’étude au niveau de son département.
L’article Restructuration d’Air Algérie : une société étrangère à la rescousse est apparu en premier sur .
L’Algérie, et ce n’est plus un secret pour personne, traverse une crise multidimensionnelle. Son économie inquiète de par sa vulnérabilité, et ce, malgré les dernières mesures mises en place par le gouvernement. C’est dans ce contexte que Geneviève Verdier, la cheffe de la mission du Fonds monétaire international (FMI) en Algérie, a livré ses prévisions quant à l’avenir de l’économie algérienne.
La mission de FMI, qui s’est entretenue avec les autorités algériennes via visioconférence du 13 septembre au 3 octobre 2021, n’a pas manqué de souligner « la vulnérabilité de l’économie algérienne » et « l’urgence de rétablir une stabilité macroéconomique et une marge de manœuvre ».
Des prévisions et des inquiétudesSelon le FMI, l’Algérie doit rétablir, et en toute urgence, « une stabilité macroéconomique et une marge de manœuvre, tout en protégeant les groupes les plus vulnérables et en soutenant la reprise ». Le Fonds Monétaire International indique que le PIB réel a baissé de 4,9 % en 2020, surtout avec la crise sanitaire qui a touché le monde entier.
Geneviève Verdier, cheffe de mission pour l’Algérie et cheffe de division au département Moyen-Orient et Asie centrale du FMI, a également souligné les efforts du gouvernement algérien pour endiguer la crise. Citant les reports d’impôts, le transfert ponctuel aux ménages à faible revenu et aussi l’assouplissement des règles prudentielles applicables aux banques, le FMI ne manque toutefois pas de souligner que « la pandémie a encore mis en évidence les facteurs de vulnérabilité de l’économie algérienne ». Une vulnérabilité causée par « de déséquilibres macroéconomiques de longue date”.
Le FMI a épinglé une politique budgétaire qu’elle a qualifié « d’expansionniste ». Une politique, selon elle, « menée depuis plusieurs années, qui a contribué à porter les déficits extérieurs courants à des niveaux élevés”, et ce, malgré une baisse significative des importations.
Le FMI invite l’Algérie à recourir au « à l’emprunt extérieur »Si le FMI projette une croissance à 3 % cette en Algérie, elle redoute cependant un essoufflement de la croissance à moyen terme. En effet, le Fonds Monétaire International n’a pas manqué de rappelé que la hausse des prix et de la production des hydrocarbures pourrait booster la croissance cette année.
Le FMI a toutefois mis en garde contre “l’érosion probable de la capacité de production dans le secteur des hydrocarbures dans un contexte de réduction des projets d’investissements décidée en 2020, et des politiques actuelles qui limiteraient le crédit au secteur privé”, comme cela est avancé par l’institut Bretton Woods, rapportent nos confrères de Liberté.
Dans ce contexte, le FMI a recommandé aux autorités Algériennes de prévoir “un ajustement budgétaire général ». Ce plan doit pouvoir mettre en place des « mesures de protection des plus vulnérables », devrait également « être entamé en 2022 et s’échelonner sur plusieurs années pour maintenir la viabilité de la dette ».
« Le financement monétaire devrait être interdit » selon les recommandations du FMI. Le Fonds Monétaire International indique toutefois que pour endiguer l’inflation et l’épuisement rapide des réserves de changes il faudra opter pour une diversification des sources de financement budgétaire,« y compris à travers le recours à l’emprunt extérieur ».
Financement extérieur : une solution pour l’Algérie ?La mission du FMI insiste sur le point du financement extérieur. Pour l’équipe de Geneviève Verdier, les autorités algériennes ne devraient pas s’appuyer uniquement sur les banques. Il faudra au contraire « diversifier ses stratégies de financement ». Le Financement extérieur, selon la cheffe de mission du FMI, constitue une des solutions qui peuvent jouer un grand rôle dans la diversification ses sources de financement budgétaire.
Le Rapport de l’entretient qui dure depuis 20 jours, n’a pas omis d’indiquer que« pour le moment », l’Algérie reste fermée aux financements extérieurs. Dans le même rapport, on manque toutefois pas de préciser que l’État algérien « n’a pas exclu le recours au financement extérieur pour les grands projets structurants et stratégiques ».
Il est à rappeler que le président Tebboune a émis un refus catégorique à plusieurs reprises quant au recours au financements extérieurs. Dans son dernier discours, il a plutôt opté pour « un financement interne ». Le chef de l’État a également écarté un recours de la banque d’Algérie à la planche à billets. Il a surtout déclaré la guerre au marché parallèle, et a estimé l’argent qui y circule à près de 90 milliards de dollars.
L’article Emprunt extérieur : l’Algérie cèdera-t-elle aux tentations du FMI ? est apparu en premier sur .
Le recteur de l'Uac Maxime da Cruz et le directeur général de Huawei Technologie Bénin Patrick Wang Jun ont signé lundi 04 octobre 2021, mémorandum d'accord pour la mise en place d'un centre formation aux Tic à l'Université d'Abomey-Calavi (Uac). La cérémonie a eu lieu en présence du directeur adjoint de cabinet du ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique Josué Koladé Azandégbey et du vice-président région Afrique du Nord de Huawei Technologies Wei Hou.
L'Université d'Abomey-Calavi sera dotée d'un centre de formation pratique en Technologies de l'information et de la communication (Tic). Il s'agit d'un soutien de la société chinoise Huawei qui permet de renforcer les capacités de l'Institut de formation et de recherche en informatique (Ifri). Selon le recteur de l'UAC Maxime da Cruz, l'Ifri est inscrit sur la plateforme Huawei Ict Academy, qui propose une large gamme de formations et de certifications en ligne de haute qualité et dans des domaines de technologie de pointe.
Le directeur adjoint de cabinet du ministre de l'Enseignement supérieur a rappelé que la vision du gouvernement Talon est de positionner le Bénin au cœur du développement dans le domaine des technologies numériques en Afrique et au-delà. La concrétisation de cette vision passe aussi par la réalisation des infrastructures adéquates dans les universités du Bénin.
Pour le vice-président région Afrique du Nord de Huawei Technologies Wei Hou, l'installation du centre de formation pratique en Technologies de l'information et de la communication va permettre aux étudiants d'acquérir plus de compétences. A en croire le recteur, il est prévu plusieurs autres projets pour les écoles et les secteurs des Tic de l'Uac.
Huawei est l'un des principaux fournisseurs mondiaux d'infrastructures de technologies de l'information et des communications et d'appareils intelligents.
A.A.A
Nombreux sont les étudiants algériens qui veulent poursuivre leurs études supérieures en France, cette fois-ci la chance est donnée aux étudiants de l’Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou.
En effet, les étudiants de ladite université peuvent désormais tenter leur chance pour étudier à l’Université de Rouen en France, et ce, en s’inscrivant au programme Erasmus.
Ce programme est intervenu dans le cadre de la coopération entre les deux universités, a-t-on appris du site officiel de l’Université Mouloud Mammeri (UMMTO).
En fait, l’Université de Tizi-Ouzou lance un appel à candidature sur ledit site pour des bourses de mobilité durant le deuxième semestre de l’année universitaire 2021 – 2022.
» Dans le cadre du programme Erasmus+ International Credit Mobility- ICM, l’Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou en coopération avec l’Université de Rouen (France) lance le 2e appel à candidatures pour des bourses de mobilité durant le 2e semestre 2021/2022 « , a écrit l’Université de Tizi-Ouzou sur son site internet.
Le programme concerne trois mobilités ouvertes dans des différentes spécialitésDans le même sillage, la source a précisé que ce programme entre les deux universités, à savoir l’Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou et l’Université de Rouen, concerne cette fois trois mobilités ouvertes dans des différentes spécialités, dont les Sciences naturelles, les Mathématiques, les Statistiques, les Lettres, Les langues et Environnement.
Sachant que cette offre est adressée aux étudiants en Master 1 et en doctorat pour effectuer un semestre, pour une durée de cinq mois d’études, au cours de l’année universitaire 2021 – 2022.
» Le dossier de candidature comprend une version papier qui doit être déposée au niveau des Facultés auprès du vice-doyen chargé de la post-graduation et une version électronique sous format PDF doit être transmise à l’adresse project@ummto.dz avant le 21 octobre 2021 « , a fait savoir la même source.
Il convient également d’indiquer que les dossiers de candidature pour les étudiants en master 1 et les doctorants se trouvent sur le site officiel de l’Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou (UMMTO).
L’article Erasmus France : des bourses allouées à l’université de Tizi-Ouzou est apparu en premier sur .
Le ministère de la Santé avait fixé initialement un taux de vaccination de 70% de la population pour atteindre l’immunité collective contre le Covid-19. Or, du point de vue d’un spécialiste, le variant Delta a changé la donne.
Intervenant au Forum de la Radio nationale, le président de l’Agence nationale de la sécurité sanitaire, Kamel Senhadji a estimé qu’il faut désormais vacciner plus de 35 millions d’individus pour atteindre l’immunité collective.
Selon lui, la propagation du variant Delta et le rebond épidémique qu’a vécu l’Algérie nécessite la vaccination de 35 millions d’Algériens pour pouvoir atteindre « une immunité collective relative ».
Le nombre de vingt millions fixé initialement par le ministère de la Santé a été décidé sur la base de la souche initiale du virus. « Aujourd’hui, et selon les nouvelles données basées sur le variant Delta, nous avons conclu qu’il faudra vacciner trente-cinq millions de notre population pour arriver à une immunité collective locale », a-t-il affirmé.
Afin d’atteindre cet objectif, le Pr Kamel Senhadji a appelé à la nécessité de hisser le rythme de vaccination, proposant l’administration du vaccin, avec la collaboration des acteurs concernés, à pas moins de 200.000 personnes/jour.
Moins de risque pour une éventuelle 4e vagueD’un simple calcul, il souligne que si « l’Algérie arrive à faire vacciner plus de 200 000 personnes par jour, nous allons réussir à faire vacciner vingt millions d’Algériens en 100 jours. Ainsi, dit-il, nous pourrons atteindre une immunité relative ».
Par ailleurs, l’intervenant a estimé que scientifiquement parlant, il est utopique de parler de l’immunité collective, « car pour atteindre l’immunité collective, on devrait vacciner toute la planète, c’est pour ça qu’on parle d’immunité collective locale », a-t-il expliqué.
S’exprimant sur le risque d’une 4e vague épidémique en Algérie, Pr Senhadji s’est montré rassurant. Pour lui, avec la campagne de vaccination entamée réellement en août « l’immunité s’installe un mois et demi après la vaccination, donc si nous devons faire face à une quatrième vague, celle-ci sera moins dangereuse que la précédente ».
Par ailleurs, Le Président de l’Agence nationale de la sécurité sanitaire a qualifié la production nationale des vaccins « d’événement scientifique historique d’envergure », soulignant qu’une telle démarche « renforcera la souveraineté sanitaire nationale, réalisera la sécurité sanitaire et réduira la facture d’importation de ce vaccin ».
L’article Immunité collective et 4e vague : les pronostics du Pr Senhadji est apparu en premier sur .
L’enquête journalistique lancée par « International Consortium of Investigative Journalists » (ICIJ), nommée « Pandora Papers » vient de révéler pas moins de 12 millions de documents confidentiels sur les paradis fiscaux. Parmi les personnalités citées figure un Algérien.
Les documents dévoilés dimanche 3 octobre comptent de milliers de dirigeants politiques actuels et anciens et de nombreuses célébrités à travers le monde. Au niveau africain, plusieurs noms de dirigeants, dont certains encore en exercice, ont été également cités.
Sans surprise, le nom d’un ancien oligarque algérien fait également partie de cette liste. Il s’agit de Farid Bejaoui, le neveu de l’ancien ministre des Affaires étrangères Mohammed Bedjaoui, également cité en 2016 dans les panamas papers. Ainsi, Farid Bedjaoui est parvenu à « cacher plusieurs dizaines de millions de dollars dans des trusts à l’abri des justices algérienne et italienne ainsi que le fisc canadien ».
Il convient de rappeler que Farid Bedjaoui avait fait objet de poursuites judiciaires en Algérie et en Italie depuis 2013, dans le cadre de l’affaire Sonatrach-Saipem. En 2020, il avait été relaxé par la justice italienne, tout comme les autres dirigeants de la compagnie italienne impliqués.
En janvier 2020, les groupes pétroliers SAIPEM et ENI ont été acquittés par la cour d’appel de Milan en Italie, dans l’affaire de corruption Sonatrach-Saipem. En effet, Farid Bedjaoui, Pietro Franco Tali l’ancien P-DG de SAIPEM, Pietro Varone l’ancien directeur opérationnel de la compagnie en Algérie et Alessandro Bernini l’ancien directeur financier, ont été tous acquittés.
Plusieurs dirigeants africains citésAu niveau africain, l’enquête de l’ICIJ a répertorié près de 50 politiciens et officiels africains issus de 18 pays, comme étant détenteurs de sociétés offshore. Parmi eux, trois présidents et un Premier ministre en exercice.
Il s’agit, entre autres, du président gabonais Ali Bongo, le chef de l’État kényan Uhuru Kenyatta et ses proches, le président congolais Denis Sassou Nguesso, le Premier ministre ivoirien Patrick Achi, la princesse marocaine Lalla Hasnaa et l’ancien premier ministre mozambiquais Aires Ali…
L’article Pandora Papers : Farid Bejaoui parmi les personalités citées est apparu en premier sur .
Alors que les flux migratoires en provenance du Maghreb, notamment de l’Algérie vers l’Europe ne cessent de prendre de l’ampleur, le gouvernement français a souligné sur la nécessité d’expulsions des migrants irréguliers vers leur pays d’origine.
En effet, le nombre des harraga algériens devient de plus en plus alarmant, notamment ces derniers temps, où les embarcations clandestines arrivent par dizaines, voire des centaines, aux côtes européennes.
Sur ce, le gouvernement français a mis l’accent sur la nécessité d’expulser ces sans-papiers, dont des Algériens, vers leur pays.
En fait, le ministre de l’Intérieur français, Gérald Darmanin, a ordonné plus d’expulsions des ressortissants irréguliers, dont des Algériens. Ce dernier a également appelé les préfets à plus de durcissement quant à la gestion de l’immigration et les titres de séjour, a-t-on appris d’Europe 1.
Les expulsions concernent les sans-papiers et les malfaiteursLa décision des expulsions prise par le gouvernement français concerne les sans-papiers ainsi que les auteurs de crimes et de délits, a indiqué la même source.
La source a ajouté également que même les immigrés sont menacés si jamais ils commettent des troubles à l’ordre public. Si cela arrive, ces derniers seront privés de leur titre de séjour.
Par ailleurs, Gérald Darmanin a exprimé son inquiétude face aux éventuels flux migratoires en provenance des pays du Maghreb, notamment de l’Algérie, surtout avec la reprise des déplacements internationaux, a affirmé la même source.
Notons que le phénomène des harraga algériens prennent d’assaut, où des centaines, voire des milliers de migrants irréguliers sont arrivés dernièrement sur les côtes espagnoles et italiennes. La majorité de ces derniers rentrent illégalement en France par les frontières italiennes et espagnoles.
L’article France : vers l’expulsion de plus de sans-papiers algériens est apparu en premier sur .
Sonalgaz revient de loin. La société nationale, et plus précisément sa filiale GEAT (Général Electric Algérie Turbines), ont pu inscrire une première en Algérie, mais aussi en Afrique. Il s’agit d’un véritable exploit, un contrat d’exportation a été signé pour exporter des turbines à gaz hors du continent.
Sur sa page Facebook, Sonalgaz ne cache pas sa fierté. Dans un communiqué, elle indique qu’elle vient de signer un contrat d’exportation de grandes turbines à gaz ainsi que d’autre matériel vers un client au Moyen-Orient. La société nationale n’a cependant pas donné plus de précisions à propos de l’identité de son client.
« Un moment de fierté nationale », selon SonalgazCe sont deux turbines à gaz de grande puissance GE 9F.04, indique encore le communiqué de Sonalgaz. Dans le contrat d’exportation figurent aussi d’autres pièces. Il s’agit notamment de deux alternateurs, deux systèmes de contrôle de commandes de type Mark VI et de leurs modules et auxiliaires. Les deux turbines, ainsi que le reste du matériel, ont été fabriqués et assemblés en Algérie.
GEAT, pour rappel, est association entre Sonalgaz (51 %) et General Electric (49%). Cette joint-venture a pu finalement aboutir « un moment de fierté nationale », indique le communiqué de Sonalgaz. l’entreprise nationale ajoute que « notre filiale GEAT contribue à diversifier l’économie algérienne. Cette avancée s’est faite « par le biais des exportations, du transfert de technologies et de compétences, ainsi que par le biais du renforcement des capacités locales ».
« Sonelgaz ira encore plus loin », indique encore son communiqué. La société nationale compte mettre en œuvre son plan stratégique 2035. Ce plan, selon Sonalgaz, vise à la promotion de la politique nationale d’industrialisation, et ce, en concrétisant toute « une série de projets industriels en partenariat ». Pour ce faire Sonalgaz mise « sur la valorisation des ressources locales et les avantages comparatifs dont jouit l’Algérie ».
L’article GEAT : quand Sonalgaz se met à exporter des turbines à gaz est apparu en premier sur .
Alors que nos joueurs se préparent pour le premier match de la double confrontation contre le Niger dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2022 au Qatar, la FAF ou du moins certains de ses membres ont manifestement d’autres priorités.
À quelques jours du match de l’équipe nationale, mais aussi du coup d’envoi du championnat, six membres du bureau fédéral menacent de se retirer. Une décision qui provoquera le chaos au sein de la FAF et qui ne passera pas sans répercussions sur les prochains rendez-vous footballistiques de grande envergure.
Le secteur des sports notamment du football devrait avancer dans la sérénité pour ne pas impacter les éventements en perspective. Ce n’est toutefois pas le cas parce que le conflit devient de plus en plus présent au sein de la FAF.
Que demande le bureau fédéral ?Le BF, à savoir les six membres en question, veulent la destitution du président de la Fédération, Charaf Eddine Amara. Ces membres qui pour rappel, ont travaillé avec l’ex-président de la FAF Kheiredine Zetchi reprochent au président actuel un travail individuel les excluant sans consultation aucune.
Ce qui est ironique, puisque l’ex-président Zetchi faisait fi des lois, et cela semble manquer aux membres qui voient de jour en jour leurs intérêts s’évaporer.
La goûte qui a fait déborder le vase est certainement la demande du président Amara de trancher concernant le cumul de fonctions. Publié sur le Journal Officiel, un texte législatif interdit le cumul de fonctions, mais les membres du BF cherchent et espèrent que la FAF leur accorde une dérogation pour continuer de cumuler les fonctions.
Jusqu’à présent, aucun argument fondé n’a été présenté par les membres du bureau fédéral quant à la destitution souhaitée de Amara. Est-ce encore un épisode déjà vu au sein des institutions en Algérie où les intérêts personnels priment coûte que coûte ?
L’article Conflit au sein de la FAF, un putsch se trame contre Amara? est apparu en premier sur .
Une vingtaine de cybercriminels ont été placés sous mandat de dépôt vendredi 1er Octobre 2021 après leur présentation au procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet).
Dans le cadre de la lutte contre la cybercriminalité, l'OCRC (Office Central de Répression de la cybercriminalité) a interpellé une vingtaine de présumés cybercriminels. Selon Frissons Radio, ils sont accusés des faits d'escroquerie en ligne. Les présumés cybercriminels proposent à leurs victimes des services occultes ; de prêt d'argent, d'emploi ou des aventures amoureuses. Ils ont réussi à arnaquer au total 20 millions de FCFA aux victimes. Présentés au procureur, les présumés cybercriminels dont un mineur ont été déposés en prison en attendant leur procès.
A.A.A
Des pluies orageuses sont attendues ce mardi 5 octobre sur plusieurs wilayas de l’est du pays. Les températures attendues pour cette même journée devront sensiblement baisser, selon les prévisions de Météo Algérie.
Selon la carte de vigilance jaune « pluies orageuses » mise à jour ce mardi, les wilayas concernées par l’alerte de niveau 1 sont : Annaba, El Taref, Skikda, Constantine, Guelma, Souk Ahras et Oum El Bouaghi.
Pour cette même journée de mardi, les services de l’Office national de météorologie prévoient une chute considérable des températures. Les vagues de l’air froid devront poursuivre d’arriver sur les régions du nord du pays.
Baisse des températuresAinsi, les températures attendues peuvent atteindre les 10 degrés dans les régions intérieures du pays. Dans les régions du centre et de l’est, les températures seront entre 25 et 27 degrés durant la journée de ce mardi. Au sud du pays, les températures peuvent atteindre les 40 degrés.
Selon la même source, plusieurs régions du nord du pays seront au rendez-vous avec des vents allant entre 15 et 30 km/h.
Plusieurs zones côtières devront connaitre, selon les mêmes prévisions, des vagues hautes. Il s’agit des côtes de Annaba, Skikda, Dellys, Azeffoune et Alger. La validité du bulletin s’étalera de 6 h 00 du matin jusqu’à midi.
L’article Météo : pluies orageuses et baisse des températures est apparu en premier sur .
Interdiction de stationnement ou d'arrêt de tout véhicule à quatre roues sur la voie pavée allant de l'hôpital CHU-MEL au carrefour SOGEMA et passant devant le Lycée Coulibaly (Avenue Delorme). C'est ce qui ressort de l'arrêté préfectoral en date du 28 septembre 2021.
Le préfet du Littoral Alain Orounla interdit à tout véhicule à quatre roues de stationner sur la voie allant du Centre Hospitalier Universitaire de la Mère et de l'Enfant-Lagune (CHU-MEL, ex HOMEL) au carrefour SOGEMA et passant devant le Lycée Coulibaly (Avenue Delorme) de 07 heures à 21 heures.
« Lesdits véhicules, notamment ceux transportant des marchandises sont autorisés à stationner pour effectuer leurs déchargements de 21 heures à 06 heures du matin », précise l'arrêté.
Les contrevenants s'exposent au paiement d'une contravention sans préjudice des frais de fourrière. A en croire le préfet, cette décision est prise afin d'assurer la mobilité urbaine et la sécurité publique des populations en conformité aux devoirs régaliens de l'État et aux lois en vigueur en République du Bénin.
Le Maire de la Commune de Cotonou et le Directeur Départemental de la Police Républicaine sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'application stricte et sans faille des dispositions dudit arrêté.
A.A.A
Un crocodile a été aperçu samedi 02 octobre 2021 à Onkuihoué, une localité de la commune de Grand-Popo.
Le crocodile de grande taille est sorti des eaux pour la terre ferme. Il a été aperçu plusieurs fois par la population. « Avec les débordements des cours d'eau et l'existence des étangs créés par la population pour canaliser les poissons, on s'est rendu compte qu'à partir du vendredi, il y a un crocodile qui sort de l'eau. Il vient sur la terre ferme se repose et retourne encore dans l'eau », a expliqué le maire de la commune joint par "Frissons Radio".
Jocelyn Ahyi appelle la population à la vigilance. « Nous travaillons avec les responsables des eaux et forêts de la localité pour que ça soit géré au mieux. Nous sensibilisons aussi la population pour qu'il n'y ait plus d'activités au niveau de l'eau », a-t-il ajouté.
A.A.A
Après ses déclarations ayant suscité une vague d’indignation, voire des tensions entre Alger et Paris, le président français s’est de nouveau exprimé ce mardi sur les relations entre les deux pays, notamment concernant le dossier de la mémoire.
Ce mardi 5 octobre 2021, Emmanuel Macron a exprimé sa volonté d’apaiser les tensions qui caractérisent les relations entre l’Algérie et la France suite à ses déclarations de la semaine dernière.
Dans un entretien diffusé en cette matinée sur France Inter, le chef de l’État français a « souhaité » un apaisement tout en mettant en avant que c’est tout à fait normal qu’il y ait « des désaccords ». « Mon souhait, c’est qu’il y ait un apaisement parce que je pense que c’est mieux se parler, d’avancer. Il y a sans doute des désaccords, mais la vie, c’est fait pour parler des désaccords et aussi les partager », a-t-il déclaré.
À propos du dossier de la mémoire, Macron affirme qu’il « y aura immanquablement d’autres tensions, mais je pense que mon devoir, c’est d’essayer de faire cheminer ce travail ». Dans ce sens, il a appelé à « reconnaître toutes ces mémoires » et leur « permettre de cohabiter ».
« J’entretiens des relations cordiales avec le président Tebboune »Dans la même lancée, l’interlocuteur a ajouté que « ce n’est pas un problème diplomatique, c’est d’abord un problème franco-français ».
Concernant son homologue algérien, Macron a dit en avoir « confiance » tout en affirmant qu’il entretient des relations cordiales avec lui. « J’ai le plus grand respect pour le peuple algérien et j’entretiens des relations vraiment cordiales avec le président Tebboune », a-t-il déclaré.
Cependant, il précise que le travail qu’il a entamé, dans le cadre du dossier de la mémoire sera poursuivi. « Mais nous avons enclenché un travail, avec le rapport que nous avons demandé à Benjamin Stora (…), avec la jeunesse française et franco-algérienne, et je continuerai ce travail », a-t-il affirmé.
Retour sur les principaux indices du déclenchement des tensionsPour rappel, les déclarations du président français sur l’Algérie vers la fin de la semaine dernière ont suscité une crise inédite entre les deux pays. Macron avait accusé, dans des propos rapportés et non démentis, le « système politico-militaire » algérien d’entretenir une « rente mémorielle » sur la guerre d’Algérie.
Dimanche dernier, l’Algérie a fermé son espace aérien aux avions militaires français opérant dans le cadre de l’opération Barkhane. Avant cela, la diplomatie algérienne avait rappelé son ambassadeur.
Il convient également de rappeler que la crise diplomatique entre les deux pays a démarré au cours de la semaine dernière, après la décision de la France de durcir les conditions d’obtention des visas à l’égard des pays du Maghreb, dont l’Algérie.
L’article Tensions entre l’Algérie et la France : Macron appelle à l’apaisement est apparu en premier sur .