L’équipe d’Algérie de football s’apprête à affronter dans quelques jours le Niger ; dans le cadre des éliminatoires pour la Coupe du monde 2022 au Qatar. Un choc très attendu par les fans de l’équipe nationale.
Les hommes de Djamel Belmadi affronteront les 8 et 12 octobre, en aller-retour, les Nigériens. Il s’agit de la troisième rencontre de la phase des poules des qualifications pour la coupe du monde.
L’Algérie devra accueillir le Niger le vendredi prochain, lors d’une rencontre qui aura lieu 20h00 au stade Mustapha-Tchaker de Blida, à 50 kilomètres d’Alger.
Quatre jours plus tard, le mardi 12 octobre, les champions d’Afrique devront se rendre à Niamey, capitale du Niger. Lors de ce déplacement l’équipe nationale va affronter les Nigériens pour la manche retour à 17h00 (heure d’Algérie) au stade Général Seyni-Kountché.
Sur quelles chaines regarder le choc Algérie – Niger ?Les supporteurs de l’équipe nationale veulent tous, sans le moindre doute, savoir sur quelle chaîne sera diffusé le match Algérie – Niger. Jusqu’à aujourd’hui, seulement deux canaux de télévision ont confirmé la diffusion de la rencontre.
En effet, il s’agit des mêmes chaines de télévision ayant diffusé les deux derniers matches de l’équipe nationale. La première est la chaine terrestre de télévision nationale l’ENTV.
Quant au deuxième canal, c’est la chaîne française L’Équipe TV. Cette dernière va diffuser en direct le match Algérie – Niger sur la télévision (Astra 19.2°E) ainsi que sur son site internet ; une option disponible pour les abonnés de la chaine.
Il existe également une autre option pour regarder le match en direct via la chaîne YouTube FIFA TV. Accessible par un VPN en Algérie, cette chaîne web n’a pour le moment pas confirmé la diffusion de la rencontre.
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Trois (03) individus ont été interpellés, dimanche 26 septembre 2021, au quartier Ahouaga, arrondissement de Vidolé, dans la commune d'Abomey.
Une équipe de patrouille du commissariat de l'arrondissement de Vidolé (Abomey) a retrouvé sur trois (03) individus quatre téléphones portables dont trois Androïd contenant des données compromettantes liées à la cybercriminalité, une carte bancaire, un modem wifi, des cartes SIM et beaucoup d'autres objets d'origine douteuse.
C'est à la suite d'une fouille à corps effectué sur les mis en cause dans la soirée du dimanche 26 septembre 2021 au quartier Ahouaga.
Poursuivis pour des faits de cybercriminalité, les trois jeunes hommes ont été arrêtés.
Ils seront présentés au procureur dans les prochains jours.
M. M.
Trente-trois ans se sont écoulés depuis le 5 octobre 1988, une journée marquée par de violentes répression ayant couté la vie à des centaines d’Algériens ; mais aussi par une révolte populaire jamais connue dans l’histoire de l’Algérie indépendante.
Tout a commencé la veille du 5 octobre. Face à une crise économique frappée par une dégradation du pouvoir d’achat, des milliers d’Algériens décident de descendre dans les rues quartiers populaires d’Alger pour exprimer leur ras-le-bol contre le pouvoir ; protégé à l’époque par le monopartisme
Dès le début de la journée du 4 octobre, une angoisse palpable règne sur la capitale. En début d’après-midi des manifestants lycéens tentent de déclencher une marche à El Harrach, mais ils sont vite dispersés et réprimés par les services de sécurité.
Alors que la soirée approche, d’autres manifestations éclatent dans les quartiers d’Alger centre, Bab El Oued, Bachdjarrah et El Harrach. En colère, les protestataires ne lâchent pas prise jusqu’à l’aube, et ce, malgré la répression des forces de l’ordre qui ont usé toutes leurs bombes de gaz lacrymogènes et leurs énergies durant les arrestations.
Après un bref repos, les manifestants règnent les rues dès la fin de la matinée du 8 octobre. Les manifestations s’étendent à d’autres quartiers de la capitale. Les centaines de protestataires de la veille passent à des centaines de milliers. En colère, les manifestants détruisent tout sur leur chemin. Sièges de ministères, magasins, commissariats de police…
Alger sous État de siège, les premiers morts tombentFace à un tel déferlement populaire, les forces de l’ordre, déjà épuisés par les événements, ripostent avec des tirs de balles réelles. Ce jour-là, les premiers morts sont tombés ; Alger est sous État de siège. Dès la soirée, l’armée encercle les quartiers populaires et protège les quartiers résidentiels. D’un autre côté, le bilan « mortuaire » s’alourdit d’heure en heure.
Le bilan officiel fait état de 159 morts, dont 5 éléments des services de sécurité, et 154 blessés. D’un autre côté, des sources hospitalières recensent plus de 500 morts. Jusqu’à aujourd’hui, le chiffre exact des victimes n’a toujours pas le jour.
L’explosion populaire du 5 octobre 1988 était la conséquence de la situation socio-économique marquée par une pénurie de nombreux produits alimentaires de base ; une flambée des prix des produits alimentaires et les coupures d’eau.
Présidée par Chadli Bendjedid, l’Algérie de 1988 vivait sous le règne du parti unique, le FLN. La presse était muselée et les partis interdits. Ces événements ont permis à l’Algérie de sortir de l’ère du monopartisme au multipartisme.
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Le gouvernement du Bénin à travers le Ministère du tourisme, de la culture et des arts, a procédé, mardi 5 octobre 2021, à la signature de deux contrats avec Le Club Med dans le cadre du projet de construction de la station balnéaire d'Avlékété.
Le contrat de gestion du Club Med d'Avlékété et le contrat de promotion et de commercialisation des séjours ont été signés, mardi 05 octobre 2021, entre le gouvernement du Bénin et le Club Med, à l'ex Primature.
A la suite de la signature et de l'échange des paraphes, Henri Giscard d'ESTAING, Président du Club Med, a présenté le projet à l'assistance.
La station balnéaire d'exception à Avlékété ou Club Med sera construite sur un site d'environ 25 ha situé en bord de mer à Avlékété à Ouidah entre l'océan Atlantique et la lagune d'Agouin, longue de plusieurs kilomètres.
Le projet comporte un ensemble immobilier touristique de 330 chambres, conforme aux standards de confort haut-de-gamme du Club Med 4 Tridents avec un espace Club Med Exclusive Collection (5 Tridents) de 30 suites, de nombreuses infrastructures pour la pratique des sports, le bien-être et l'encadrement des enfants, avec un cœur du resort regroupant entre autres lobby, boutiques, bars et restaurants et différentes zones d'hébergement. L'objectif du projet est de développer l'offre culturelle, naturelle et touristique de la Destination Bénin.
« En misant sur ce projet avec un coût d'objectif de 50 milliards de FCFA, le gouvernement lance un signal fort et affiche ici aussi, comme c'est le cas pour d'autres projets, son pari pour le Label international de tourisme. Il me plaît de préciser ici que ce projet témoigne aussi de notre sensibilité pour le tourisme durable, car il prend en compte notamment les enjeux liés aux émissions de gaz à effets de serre ; aux économies d'énergies ; à la protection de la biodiversité… », a ajouté Jean-Michel Abimbola, ministre Ministère du tourisme, de la culture et des arts.
M. M.
Une délégation du « Club Med » conduite par son président Henri Giscard d'Estaing a été reçue, mardi 05 octobre 2021, en audience par le président de la République Patrice Talon.
Dans le cadre de la construction du village de vacances « Club Med » d'Avlékété, dans la commune de Ouidah, une délégation du « Club Med » composée de Henri Giscard d'Estaing, Président du groupe, Gino ANDREETTA, Directeur Général Europe-Afrique Resorts et David VELY, Directeur Développement Moyen Orient, Afrique et Inde, a été reçue par le Président de la République, Patrice Talon, mardi 05 octobre 2021, au Palais de la Marina.
Les échanges qui interviennent en prélude à la signature du contrat de promotion et d'achat revente des forfaits séjours et du contrat de gestion du Village de vacances « Club Med » d'Avlékété (Bénin) se sont tenus en présence de l'Ambassadeur de la France près le Bénin S.E.M Marc Vizy, du ministre d'État en charge de l'Économie et des Finances Romuald Wadagni, du ministre du Cadre de Vie et du Développement durable, José Tonato, du ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts, Jean-Michel Abimbola, du Conseiller du Président de la République, chargé des investissements, Hamet Aguemon, du Directeur Général de l'Agence nationale de promotion des Patrimoines et de développement du Tourisme (ANPT), Edmond Toli ainsi que de José Pliya, Administrateur délégué en charge du suivi des projets phares en cours d'exécution par l'ANPT.
Henri Giscard d'Estaing a exprimé la gratitude du « Club Med » et de ses partenaires pour le choix porté sur leur groupe.
Le président a dit sa joie de participer au projet qui vise à positionner le Bénin comme l'une des destinations touristiques phares de l'Afrique de l'Ouest notamment la construction du Village de vacances « Club Med » d'Avlékété.
Le projet « Club Med » est d'un coût global d'environ 50 milliards de francs CFA. C'est un ensemble immobilier touristique de 330 clés, 4 Tridents avec un espace Club Med Exclusive Collection (5 Tridents), conforme au positionnement haut-de-gamme du Club Med ; avec un cœur du Resort regroupant entre autres lobby, boutiques, bars et restaurants et différentes zones d'hébergement.
Le projet propose par ailleurs une interprétation contemporaine de certains éléments caractéristiques de l'architecture béninoise : de larges toitures ventilées, un jeu de volets pivotant et des hébergements sur pilotis du côté lagune pour permettre d'offrir des vues à travers la végétation dense de la mangrove.
Le projet permettra de créer plusieurs centaines d'emplois directs et indirects.
Le « Club Med » commercialise principalement des séjours dans les villages de vacances dans le monde entier.
Ouidah (Bénin) est la 2ème ville de l'Afrique subsaharienne à accueillir un village de vacances « Club Med ».
M. M.
Chaque année, le Henley Passport Index classe les passeports qui ouvrent le plus de portes pour se déplacer à l’international sans visa.
Parmi les pays du Maghreb, la Tunisie est bien classée puisqu’elle se situe au 78ᵉ rang avec un accès à 71 pays. Le Maroc vient à la 85ᵉ place avec 63 pays et enfin l’Algérie au 96ᵉ rang mondial avec seulement 52 pays accessibles sans visa ou avec visa à l’arrivée.
En effet, les Algériens peuvent se rendre dans 52 pays sans visa. La majorité se situent en Afrique ( Bénin, Mali, Liban, Jordanie, Sénégal, Maroc, Tunisie…). En Asie, plusieurs pays, dont l’Indonésie et le Vietnam, mais les européens
Les pays européens boudent les touristes algériensContrairement aux pays africains et asiatiques ; en Europe, aucun pays n’accepte le passeport algérien sans visa. De ce fait les Algériens désireux de voyager en Europe ou dans l’espace Schengen doivent demander un visa.
D’un autre côté, la France figure quant à elle dans le top cinq avec 187 pays accessibles sans formuler de demande de visa au préalable.
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C’est la rentrée de tous les défis. Outre les crises sanitaire et économique, l’école algérienne fait également face à une crise de gestion. Ces derniers jours, alors que les élèves s’apprêtaient à entamer la nouvelle année scolaire, une nouvelle pénurie a éclaté. Celle des manuels scolaires, introuvables dans certaines régions du pays.
Toutefois, selon le ministre de l’Éducation nationale, cette crise n’existe pas. C’est ce qu’a affirmé le premier responsable du secteur aujourd’hui, à l’occasion de la journée nationale des enseignants. Selon Abdelhakim Belabed, qui s’est exprimé depuis la wilaya de Tissemssilt, les manuels scolaires sont suffisamment disponibles depuis le 21 septembre, date officielle de la rentrée scolaire 2021.
81 millions de manuelsLe ministre de l’Éducation indique que l’office nationale des publications scolaires avait imprimé pas moins de 81 millions de livres. Un nombre qui est supérieur aux besoins des élèves, affirme le ministre. Ceci dit, le premier responsable ne se penche pas sur la manière dont a été gérée la vente des manuels, ce qui constitue le véritable talon d’Achille de l’opération.
Abdelhakim Belabed explique toutefois que l’office national des publications scolaires a entamé la distribution des manuels sur les centres régionaux et nationaux dès le mois de janvier 2021. Les livres sont arrivés au niveau des établissements scolaires au mois de mars 2021, selon les déclarations du ministre.
Le premier responsable explique aussi qu’aucune directive visant les écoles concernant l’interdiction de la vente des manuels scolaires n’a été émise par son département. Il s’agit, selon lui, d’un renforcement des points de vente en y ajoutant des librairies et des lieux d’exposition. Cela, indique encore Belabed, intervient dans le cadre de la lutte contre le coronavirus. Le ministre conclut en promettant que tous les efforts nécessaires seront fournis pour mettre fin à cette problématique.
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Les Ecureuils du Bénin ont rejoint la Tanzanie à l'issue de leur deuxième séance d'entraînement tenue ce mardi 05 octobre 2021 au stade de l'amitié général Mathieu Kérékou.
La seconde séance d'entraînement des Ecureuils du Bénin s'est tenue dans la matinée du mardi 05 octobre 2021 au stade de l'amitié général Mathieu Kérékou.
Les joueurs et le staff de l'équipe du Bénin ont rejoint, à l'issue de l'entraînement, l'aéroport cardinal Bernadin Gantin de Cotonou. Les Ecureuils ont embarqué pour Dar es Salaam (Tanzanie).
Les joueurs Sèbio Soukou et Sessi d'Almeida n'ont pas pris le départ avec leurs coéquipiers.
Le match Bénin # Tanzanie se jouera, jeudi 7 octobre 2021, à partir de 14 heures (heure du Bénin). La rencontre s'inscrit dans le cadre de la 3è journée des éliminatoires à la Coupe du monde de football, Qatar 2022.
Le match retour comptant pour la 4è journée sera joué le 10 octobre 2021 au stade de l'amitié général Mathieu Kérékou de Cotonou.
M. Mensah
Après la récente annonce portant sur la reprise des activités du Métro d’Alger ce jeudi 07 octobre, le directeur général de l’Entreprise du Métro d’Alger (EMA), Ali Arezki, a révélé aujourd’hui, que le projet d’extension du métro sera réceptionné sur sa ligne reliant la gare d’El Harrach et l’aéroport Houari Boumediene, au cours du premier trimestre 2026.
En effet, Ali Arezki a révélé que ledit projet, qui va s’étendre de la gare d’El Harrach vers l’aéroport Houari Boumediene en passant par Bab Ezzouar, sur une distance de 9,5 kilomètres, sera réalisé en deux phases, a fait savoir l’APS.
Il a ajouté qu’il s’attend à l’achèvement de la première phase liée aux travaux de génie civil en 2024, tandis qu la deuxième phase liée à l’achèvement du système global (équipements et préparations) se terminera au premier trimestre de l’année 2026.
Le même directeur a souligné que le système global, qui comprend tous les équipements nécessaires du métro, tels que les équipements électriques, le système de ventilation, le système de billetterie et les tiroirs automatiques, sera entièrement mis en œuvre et pour la première fois par l’entreprise publique « Cosider » et avec des compétences algériennes.
Sur ce, l’Algérie pourra se passer progressivement des » aides étrangères » pour mettre en place ce système globale, a confirmé le directeur général à l’APS.
Aissa Bekkai appelle à respecter les délaisPar ailleurs, le ministre des Transports Aissa Bekkai a souligné que ledit projet sera réalisé par des » mains algériennes compétentes « , confirmant le soutien financier et technique de son secteur à de tels projets qui contribuent à supprimer les embouteillages dans la capitale.
Ainsi, le même responsable a mis l’accent sur la nécessité de respecter les délais de réalisation, appelant à un travail continu pour éviter les retards.
Il convient également d’indiquer que le ministère des Transports a annoncé hier la reprise du trafic du Métro d’Alger, qui a été suspendu pendant 18 mois en raison de la pandémie.
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Le part Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) a encore enregistré une démission cette semaine. Clément Koutchadé, coordonnateur de la 22ème circonscription électorale a quitté la formation politique de l'opposition. Il l'a fait savoir à travers une correspondance adressée au secrétaire exécutif national.
« A compter de ce jour, je ne suis plus en mesure de participer aux activités du parti en tant que coordonnateur de la 22ème circonscription électorale et membre fondateur du parti FCBE. C'est avec une profonde déception synonyme d'une certaine tristesse que je démissionne, comme tant d'autres camarades, de ce parti jadis de masse et dont l'avenir me semble incertain », c'est la substance de la lettre que le conseiller communal de Pobè a adressée au secrétaire exécutif national. Il n'a pas manqué de fustiger les conditions de sa suspension et celles de plusieurs autres militants du parti.
Clément Koutchadé a occupé par le passé, le poste de directeur de l'Office national du bois (ONAB).
F. A. A.
Le parti Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE) du chef de file de l'opposition, Paul Hounkpè a enregistré une démission le 4 octobre 2021.
Clément Koutchadé, coordonnateur du parti Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE) dans la 22ème circonscription électorale a quitté le parti. C'est à travers une lettre de démission rendue publique lundi 04 octobre 2021.
« Je reste convaincu que le mode de gestion du parti n'a connu aucune amélioration et qu'il me parait évident que la base que vous refusez d'associer aux décisions du parti est et demeure le socle de toute organisation politique (…). C'est pourquoi à partir de ce jour, il me plait de vous notifier que je ne suis plus en mesure de participer aux activités du parti en tant que coordonnateur de la 22è circonscription électorale et membre fondateur du parti FCBE », a indiqué Clément Koutchadé dans sa lettre de démission.
Clément Koutchadé a été suspendu du parti FCBE avant d'être réintégré. Le désormais ex coordonnateur du parti FCBE dans la 22ème circonscription électorale n'apprécie pas le fait que la levée de la suspension ne lui soit notifiée que le 31 août alors même que la décision a été prise depuis le 28 avril.
« Je pars donc par conviction et fier de ma liberté d'expression afin de continuer le challenge de l'affranchissement de notre démocratie dans une ambiance de confiance mutuelle, de tolérance et de respect de la diversité », a précisé Clément Koutchadé dans sa lettre de démission en date du 4 octobre 2021.
Clément Koutchadé a été le directeur général de l'Office National du Bois (ONAB).
Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE) est un parti présidé par Paul Hounkpè, chef de file de l'opposition.
M. M.
Le nombre de harraga algériens enregistré ces dernières semaines est alarmant. Les chiffres de ces migrants clandestins ont atteint des centaines, voire des milliers, ce qui a incité les autorités espagnoles à tirer la sonnette d’alarme.
En effet, ces embarcations clandestines portant à leurs bords des femmes, des adolescents ainsi que des enfants, tentent le risque de la traversée maritime dans l’espoir de trouver une vie meilleure.
À cet égard, le gouvernement espagnol s’apprête à programmer des expulsions à bord de ferries à destination d’Algérie, tout en notant que les autorités du pays ne procèdent pas aux expulsions systématiquement. Ces opérations sont organisées qu’occasionnellement.
Selon le journal espagnol El Independiente, le ministère de l’Intérieur espagnol a fait appel aux services de la compagnie maritime Trans Mediterránea afin de transporter les harraga algériens d’Almeria vers leur pays.
300 000 euros pour les expulsionsLa même source a indiqué, ce mardi 05 octobre, que le tarif total de l’opération est estimé à quelque 300 000 euros, à raison de 75000 euros fixés pour chaque traversée maritime, ajoutant que c’est la deuxième commande de ce genre, passée dans une période de huit mois.
Le prix susmentionné inclus la nourriture ainsi que le voyage de retour pour les agents de la police nationale espagnole qui effectuent l’escorte et l’hébergement des migrants.
Par ailleurs, le contrat entre les autorités espagnoles et la compagnie maritime stipule le transport des harraga algériens au port de Ghazaouet depuis celui d’Almeria, et ce, avec trois fréquentes par semaine.
Il convient également d’indiquer que la même source a révélé que des voyages ont déjà été effectués avant la publication de ce contrat.
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L’Algérie connait une baisse significative des cas de contamination à la covid-19 pendant les dernières semaines. Une stabilité sanitaire a vu le jour, après une troisième vague particulièrement meurtrière. Les appels à la vaccination se multiplient toutefois, en prévision au risque d’une quatrième vague que personne ne peut écarter.
Aujourd’hui, le 05 octobre 2021, l’Algérie a enregistré 131 nouveaux cas de contamination à la covid-19. Le communiqué du ministère de la Santé fait également état de 5 nouveaux décès des suites de complication liées au virus. Le dernier bilan du département de Benbouzid indique également que le pays a connu ces dernières 24 heures 96 nouvelles guérisons et 15 admissions en réanimation.
Ces derniers chiffres dévoilés par le ministère de la Santé font monter le total des infections que l’Algérie a connues depuis le début de la pandémie à203.885 cas. Le pays déplore également, depuis le mois de mars 2020, pas moins de 5835 personnes décès à cause des complications liées au virus.
Immunité collective : qu’est-ce qui reste à faire ?Le Pr Sanhadji, le président de l’Agence nationale de la sécurité sanitaire a indiqué qu’il faudra songer à atteindre les 35 millions de vaccinés si l’on veut atteindre d’une immunité collective. Kamel Sanhadji a notamment déclaré que « Aujourd’hui, et selon les nouvelles données basées sur le variant Delta, nous avons conclu qu’il faudra vacciner trente-cinq millions de notre population pour arriver à une immunité collective locale ».
Selon les calculs du professeur, intervenant au Forum de la Radio nationale, si « l’Algérie arrive à faire vacciner plus de 200 000 personnes par jour, nous allons réussir à faire vacciner vingt millions d’Algériens en 100 jours ». Il est à noter que la campagne de vaccination est loin des résultats escomptés ces derniers jours.
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Le problème des coupures d’eau s’est récemment ajouté aux autres problèmes du quotidien que rencontrent les algériens, alors que des solutions semblent se dessiner, la Société des Eaux et de l’Assainissement d’Alger (SEAAL) annonce des perturbations dans l’alimentation en eau potable.
Ces perturbations touchent certaines communes dans l’Ouest d’Alger à savoir Douéra, Baba Hassen, Khraicia, El Achour, Draria, Dely Ibrahim, Ouled Fayet, Chéraga et Souidania. Dans un communiqué de la SEAAL publié sur Facebook, la diminution du niveau de transport d’eau du barrage de Bouroumi au système de distribution de Mahelma est à l’origine de ces perturbations.
A cet effet, la SEAAL affirme que ses équipes sont mobilisées pour mettre en place les mesures nécessaires afin d’endiguer l’impact des perturbations et reprendre l’approvisionnement en eau potable dans le plus bref des délais, indiquant que cette dernière reprendra dès la fin des travaux.
« la sensibilisation du grand public sur l’importance de protéger la ressource et lutter contre le gaspillage sous toutes ses formes »Une réunion a eu lieu hier entre les responsables de secteurs de la SEAAL et les représentants des comités de quartiers des communes de l’est d’Alger, dévoilant les problèmes à l’origine de manque d’eau potable.
Le manque d’eau potable et les coupures d’eau récurrentes et persistantes de cette année ont beaucoup touché les quartiers, travaux, fuites non-réparées et déperditions, les problèmes évoqués étaient communs ainsi que la solution d’œuvrer ensemble pour y remédier et améliorer le service public de l’eau.
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L'Université de Parakou a accueilli ce mardi 05 octobre 2021, la célébration de la 28e journée mondiale de l'Enseignant. Elle a eu lieu en présence du ministre des Enseignements Maternel et Primaire Salimane Karimou, du ministre des enseignements secondaire, technique et de la formation professionnelle, Yves Chabi Kouaro et du directeur Cabinet du ministère de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Rogatien Tossou.
« Les enseignant.e.s au cœur de la relance de l'éducation », c'est le thème de la 28e journée mondiale de l'Enseignant. Au plan national, elle a été célébrée sous le thème « Enseignement de qualité dans le contexte de Covid-19 : un défi pour les enseignants ».
Selon la Secrétaire Générale de la Commission Nationale Béninoise pour l'UNESCO Adélaïde Allagbada, la journée a pour but de sensibiliser à l'importance et au rôle des enseignants qui occupent une place importante dans les années de formation d'un individu.
Pour le représentant des organisations syndicales, l'enseignant doit respecter la déontologie de sa profession. « L'Enseignant doit (...) redorer son image d'éducateur et de formateur à travers le respect de la déontologie de sa profession mais également mettre avec professionnalisme et conscience professionnelle son expertise », a déclaré Marc Idossou représentant des organisations syndicales.
A en croire, le préfet du département du Borgou Djibril Mama Cissé, « l'enseignement ne se limite pas uniquement à apprendre à l'élève une série de faits et de nombres ». L'enseignement poursuit-il, doit l'inspirer et lui offrir de nouvelles perspectives.
Le ministre Kouaro Yves Chabi a rendu un vibrant hommage aux enseignants. « Cette journée qui met à l'honneur le rôle essentiel des enseignants à soutenir leurs apprenants (...) génère des implications, notamment l'amélioration de leur formation, le perfectionnement professionnel de leurs compétences (...) pour réduire les écarts d'apprentissage », a-t-il relevé.
Notre objectif, soutient le ministre, est de disposer d'un personnel enseignant hautement qualifié, motivé et bénéficiant d'un soutien approprié pour dispenser une éducation de qualité aux apprenants.
Au nom du gouvernement Talon et au nom de ses collègues, il a exhorté les enseignants à entrer dans un partenariat constructif pour régler progressivement tous les problèmes du système éducatif. Le ministre Salimane Karimou a émis le souhait que le 05 octobre soit une journée de fête pour l'enseignant et non une journée de revendications.
A cette célébration, il a été procédé à la remise des titres de félicitations aux agents admis à faire valoir leur droit à la retraite, aux agents méritants et aux représentants des établissements méritants.
A.A.A
Dans le cadre de la lutte contre les formes de discriminations et de violence à l'égard de la femme, le gouvernement béninois a créé l'Institut national de la femme. A la tête de cet Institut, Claudine Afiavi Prudencio a exposé les défis à relever lors d'une conférence de presse la semaine dernière.
Dans sa nouvelle configuration l'Institut national de la femme (INF) a pour mission d'œuvrer à la promotion de la femme aux plans politique, économique, social, juridique, culturel et aussi bien dans la sphère publique que privée. Il sera aussi chargé de lutter contre toutes les formes de discriminations et de violence à l'égard de la femme. « Le chef de l'État a vu juste, car le fléau des violences basées sur le genre a créé trop de dégâts dans notre société. Il n'y a qu'à prendre l'exemple des affres que subissent nos jeunes filles en quête du premier emploi et les apprenantes en milieu scolaire universitaire. Laisser ce mal perdurer reviendrait à sacrifier l'avenir de toute une Nation », a confié la présidente de l'INF.
A en croire Claudine Afiavi Prudencio, la mise en place de l'INF et les « pouvoirs qui lui sont donnés, viennent à coup sûr pour sauver nos enfants des griffes de leurs bourreaux ».
Organisme public doté de la personnalité juridique, de l'autonomie financière et de prérogatives importantes, l'Institut disposera d'un service actif d'écoute qui recevra les dénonciations de faits de discrimination ou de violence dont elle est l'objet. L'INF pourra donc ester en justice et se constituer partie civile pour ces faits.
« Notre action sera au triple niveau de la prévention de la répression mais aussi de gestion de l'après répression, donc l'Institut n'attendra pas seulement le moment de l'action coercitive pour faire appliquer les lois afin de décourager toutes les infractions basées sur le genre. Au registre de la prévention, des actions d'éducation de sensibilisation seront menées avec un accent particulier sur les milieux scolaires et universitaires. A la phase des sanctions, il est clair que l'Institut national de la Femme veillera à ce que les bourreaux de la femme soient vraiment punis », a ajouté Claudine Prudencio.
Elle a également évoqué l'assistance aux victimes et des projets pour une autonomisation financière des femmes.
« Nous ferons tout pour honorer cette confiance faite aux femmes béninoises. C'est une mission républicaine qui nous est confiée. Nous devons l'accomplir au profit de toute la République. J'appelle mes sœurs béninoises à l'union sacrée autour de cette noble mission qui nous est confiée. Nous n'avons pas droit à l'échec, nous avons une occasion en or de prouver de façon plus ferme que la femme béninoise est digne de confiance et qu'elle est capable de prouesses au même titre que l'homme », a déclaré la présidente de l'INF.
Claudine Prudencio compte sur les institutions étatiques, les acteurs de la société civile, intervenant dans le domaine de la promotion de la femme, les partenaires au développement du Bénin pour des actions déterminantes en faveur de la femme.
A.A.A
Rien ne va plus pour Abu El Fadl Bâadji et pour le FLN. L’homme fort de l’ex-parti unique en Algérie a été convoqué aujourd’hui, le 05 octobre 2021, par le tribunal de Sidi M’Hamed dans la capitale Alger. Cette convocation s’inscrit dans un contexte de crise interne dont souffre le FLN. Un parti qui est aux portes des élections locales prévues pour le 27 novembre prochain.
Abu Al Fadl Bâadji, le secrétaire général du Front de Libération National, a été convoqué aujourd’hui mardi par le tribunal de Sidi M’Hamed dans la capitale Alger. Une convocation qui fait suite au grabuge qui a eu lieu devant le siège central du parti à Hydra.
Une plainte déposée contre BaadjiLa convocation du secrétaire général du FLN intervient suite à une plainte qui a été déposée contre lui par les membres du comité central de son propre parti. Il est à rappeler que le 09 septembre dernier, des centaines de manifestants opposants au règne de Bâadji ont pris d’assaut le siège central du FLN. Une scène indigne d’un parti politique, qui a fait plusieurs blessés.
Une journée après, Bâadji est loin de lâcher. Il qualifie ses détracteurs de « Baltagis » et des « pseudo-militants » qui ont été payés par « certaines parties » pour détruire le siège du parti. Le Secrétaire Général promet de les attaquer en justice et révèle qu’il a déposé trois plaintes au niveau du tribunal d’Alger.
La menace de Baadji a été exécutée, et la justice a fait son travail. « Près de soixante-dix membres du Comité central ont été convoqués à l’effet de se présenter au commissariat de police de Tixeraïne, à Bir-Mourad-Raïs, à Alger », a indiqué le coordinateur de l’instance de coordination du FLN, Mohammed Issaâd.
La convocation de Bâadji aujourd’hui constitue donc un nouveau rebondissement au sein du FLN. Un coup dur pour l’ex-parti unique dont la crise s’allonge alors qu’il est à moins de deux mois des élections locales programmées pour le 27 novembre prochain.
L’article FLN : Bâadji devant le tribunal de Sidi M’Hamed est apparu en premier sur .
Après la réouverture partielle des frontières aériennes, le 1er juin dernier, un nouveau programme de vols internationaux a été mis en place par les autorités algériennes.
Ledit programme inclus uniquement sept pays, ces derniers sont les seuls concernés par la réouverture de l’espace aérien, à savoir l’Espagne, la France, la Turquie, l’Italie, l’Allemagne, la Tunisie et la Russie, avec un nombre de 64 vols autorisés chaque semaine.
La diaspora algérienne établit dans des pays non-concernés par le programme susmentionné, à l’instar du Canada, les USA et les pays du Moyen-Orient, se trouvent dans l’obligation à faire des escales dans des aéroports desservis par les vols vers l’Algérie, et ce, afin de rejoindre le territoire national.
En fait, cette absence de vols directs depuis et vers l’Algérie confronte les ressortissants algériens à plusieurs problèmes. C’est le cas pour plusieurs voyageurs qui passent par l’aéroport d’Istanbul en Turquie en provenance d’autres pays.
Le Forum de la Communauté Algérienne en Turquie explique ce qu’il faut faireEn effet, le Forum de la Communauté Algérienne en Turquie a apporté des précisions, ce lundi 04 octobre, au sujet des escales.
Ce dernier a affirmé, par le biais d’un communiqué rendu public ce lundi, qu’il reçoit beaucoup de question concernant les difficultés que rencontrent les passagers algériens en transit à l’aéroport d’Istanbul.
À ce titre, le Forum rappelle : » pour le moment, les autorités algériennes n’ont pas autorisé beaucoup de compagnies aériennes, à l’instar de Qatar Airways et EgyptAir à opérer des vols commerciaux vers l’Algérie « , ajoutant qu’il est déconseillé de réserver sur ces compagnies aériennes pour des voyages en Algérie via la Turquie.
» Nous appelons les Algériens à n’acheter les billets que chez les compagnies aériennes autorisées actuellement comme Turkish Airlines, Tunisair et Air France « , a précisé le Forum dans son communiqué.
Dans un autre chapitre, la même source a expliqué : » nous confirmons qu’à l’intérieur de la zone de transit international de l’aéroport d’Istanbul, la police ne permet pas de sortir pour passer le test PCR sans contacter le consulat d’Algérie « .
Ainsi, le Forum invite les Algériens bloqués à l’aéroport international d’Istanbul à contacter le consulat général d’Algérie sur cgalgerie.istanbul@mae.dz, tout en précisant qu’il » n’a pas les prérogatives pour intervenir dans ce genre de cas « .
Il est à noter que l’aéroport d’Istanbul figure parmi les passages les plus utilisés par les voyageurs algériens en provenance de plusieurs pays afin de rejoindre l’Algérie.
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