Le ministère de la Jeunesse et des Sports a récemment annoncé la nouvelle portant sur la réouverture des espaces sportifs, une nouvelle attendue avec impatience par le public sportif, notamment les amoureux du ballon rond.
Désormais, les supporteurs sont autorisés à assister aux matchs et suivre, mais aussi supporter de prés leur équipe préférée, à condition qu’ils soient entièrement vaccinés contre la Covid-19 et obtenant le pass sanitaire.
À cet effet, le sélectionneur national Djamel Belmadi confirme, lors d’une conférence de presse tenue aujourd’hui, qu’il avait hâte de rencontrer les supporters algériens, qui l’attendaient avec impatience lors du match décisif face au Burkina Faso.
» Voir les gens dans le match du Burkina Faso sera merveilleux et mon sentiment est indescriptible quand j’atteins Mustapha Tchaker et que je vois tout un peuple m’attendre. J’espère que les choses iront bien « , déclare le coach.
Belmadi remercie les autorités algériennesPar ailleurs, Djamel Belmadi remercie les autorités algériennes, après leur démarche pour permettre aux supporteurs d’être présents dans l’importante confrontation face au Burkina Faso.
Le premier responsable du staff technique des Verts indique : » je remercie les autorités publiques, pour ce qu’elles ont fait afin de permettre aux supporters d’y assister « . Il ajoute à ce propos : » nous avons soumis notre demande et reçut une réponse des autorités, et nous travaillerons pour rendre notre public heureux. »
Interrogé à propos de son défi face aux grandes critiques auxquelles il est confronté dans son travail, l’entraineur affirme : » malgré le grand amour que j’ai pour ma profession et le monde du football, l’amour de la patrie est à chaque fois derrière ma présence avec l’équipe nationale « .
» Nous avons un groupe complet « , BelmadiLors de la même conférence de presse, Belmadi évoque l’absence de son milieu de terrain Hicham Boudaoui, en raison de sa blessure, au prochain match et de son impact sur le rendement des Verts.
« Cette rencontre est très cruciale et importante, ce qui m’a fait inviter des joueurs qui connaissent bien l’équipe nationale », précise Belmadi.
» La composition de l’équipe nationale n’a pas été construite sur un ou deux joueurs. Nous avons la capacité de trouver une alternative en cas d’absence de tout joueur. C’est le cas avec l’absence de Boudaoui « .
Par ailleurs, le sélectionneur national aborde le sujet de Ramiz Zerrouki, en disant : » Zerrouki a prouvé dans plus d’un match son bon niveau, idem pour Adem Zorgane, ce qui indique que nous avons un groupe complet «
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Avec 31 matchs sans défaite, les hommes de Belmadi poursuivent leur série d’invincibilités. Les Verts se rapprochent petit à petit du record mondial obtenu par l’Italie, avec 37 matchs sans défaite.
À cet effet, les Fennecs doivent vaincre ses homologues djiboutiens et burkinabés, et ce, dans le cadre des deux rencontres prévues très prochainement, pour le compte de la cinquième et sixième journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar, pour se rapprocher encore plus dudit record.
Cependant, le président de la Fédération burkinabé de football, Lazar Banssé, a lancé plusieurs propos critiques contre les coéquipiers de Riyad Mahrez, disant ainsi que ces derniers ont un niveau moyen et gagne toujours grâce à leur mauvaise pelouse.
La réponse « sèche » de Belmadi au président de la FBFSur ce, le sélectionneur national Djamel Belmadi, et lors d’une conférence de presse tenue aujourd’hui, appellent « à laisser les choses qui se passent en dehors des terrains », ajoutant que « la réponse de l’équipe à ces propos sera sur le terrain ».
Il répond sèchement aux déclarations critiques du président de la Fédération burkinabé, où il se contente de dire : » il a le droit de parler, c’est tout à fait normal … Mais notre réponse sera sur le terrain « .
En effet, Belmadi refuse d’utiliser le terme « complot » dans son commentaire sur « la guerre psychologique » menée par la Fédération Burkinabé, et souligne dans le même contexte qu’il se concentre uniquement sur son travail sur le terrain.
Pour rappel, les Verts affronteront Djibouti le 12 novembre au Caire pour le cinquième tour des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022, avant d’accueillir le Burkina Faso le 16 novembre au stade Mustapha Tchaker de Blida, pour le tour final.
Belmadi fait l’éloge de son capitaine Riyad MahrezPar ailleurs, le coach Belmadi fait l’éloge du capitaine des Verts, Riyad Mahrez, déclarant : « les chiffres parlent de Mahrez, et c’est un joueur qui fait la différence dans les matchs auxquels il participe. Nous tous, en tant qu’Algériens, voulons voir Mahrez participer à tous les matchs de son club anglais Manchester City « .
L’entraineur ajoute : » Mahrez participe au moins à un match chaque semaine, et cela nous réconforte, et je suis sûr que son absence du match face à Manchester United ne l’affectera pas, et il entrera dans les entrainements de l’équipe avec enthousiasme « .
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La situation épidémiologique liée au coronavirus en Algérie est actuellement stable. Cependant, les autorités sanitaires et les spécialistes ne cessent de multiplier les appels à la vigilance de crainte d’une imminente recrudescence.
Ce dimanche 7 novembre 2021, le ministre de la Santé a mis en garde contre la recrudescence des contaminations au coronavirus, évoquant à l’occasion un éventuel retour au confinement sanitaire.
En effet, le premier responsable du secteur sanitaire en Algérie a affirmé que ces services craignent une hausse des contaminations malgré tous les préparatifs mis en place, notamment en matière d’oxygène médical, de médicaments et d’équipes médicales.
Concernant l’éventualité d’un retour au confinement sanitaire, le ministre a rappelé qu’il s’agit d’une décision souveraine. Or, en cas de recrudescence des contaminations, les autorités sanitaires le recommanderont aux hautes autorités du pays afin d’éviter le pire.
Le ministère reporte l’importation de nouvelles doses de vaccinsDans le même sillage, Benbouzid a mis en garde contre la hausse des contaminations, notamment au vu de la réticence des citoyens quant à la vaccination et le relâchement constaté dans le respect des mesures préventives.
D’ailleurs, il affirme que ses services surveillent actuellement la quatrième vague, et ils n’excluent pas une nouvelle augmentation des cas de contamination.
S’exprimant sur les stocks de vaccin, Benbouzid assure que tout médicament a une date limite, faisant référence au risque de péremption qui guette les vaccins anti-Covid-19 suite à la réticence des citoyens de se faire vacciner.
D’ailleurs, il précise que son département a reporté l’importation de nouvelles doses. Ainsi, il a appelé les citoyens à se faire vacciner, d’autant que c’est le moment opportun pour cela, notant que le taux de vaccination est très faible et n’augure à rien de bon.
Concernant les types de vaccins disponibles, le premier responsable du secteur de la santé a révélé que l’Algérie dispose de 5 types de vaccins, tous efficaces.
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Le président Patrice Talon et ses ministres vont officiellement lancer en janvier 2022 le PAG 2, Programme d'actions du gouvernement (2021-2026).
Le Programme d'Actions du Gouvernement (PAG) 2021-2026 sera lancé en janvier prochain. Les grandes lignes du PAG 2 seront présentées aux corps constitués de la Nation. La quasi-totalité des réformes prioritaires du Programme d'actions 2016–2021 ont été réalisées par le gouvernement Talon. La mise en œuvre des réformes a permis de noter des changements positifs dans tous les secteurs d'activité.
Réélu à la tête du Bénin pour un second mandat de cinq ans, Patrice Talon poursuit l'exécution des projets structurants et la mobilisation des ressources avec son équipe.
Le PAG 2021-2026 comprend des projets phares et un dispositif de mise en œuvre et de suivi des réformes.
Il sera question de consolider la démocratie, l'état de droit, les libertés et promouvoir la bonne gouvernance ; promouvoir une justice moderne, indépendante et accessible à tous ; poursuivre les réformes destinées à assainir la gestion des finances publiques ; accélérer la modernisation de l'administration publique ; promouvoir le développement local et faire des communes des espaces de vie agréables ; renforcer la protection des personnes et des biens et réaliser l'autonomie énergétique et aussi le système de santé pour une couverture sanitaire efficace.
Au cours du quinquennat 2021-2026, le gouvernement va poursuivre la construction des infrastructures routières pour relier les régions les unes aux autres et les investissements pour atteindre l'accès universel à l'eau portable d'ici 2023. Patrice Talon a également pour priorité les branches professionnelles, techniques et les formations d'excellence. Dès 2023, le Bénin disposera de plusieurs lycées techniques agricoles modernes et des écoles de référence dans les domaines de l'énergie, du numérique, des bâtiments et autres.
La dynamique dans le secteur du sport sera amplifiée à travers la construction de plusieurs infrastructures sportives dont le Complexe sportif, culturel et artisanal Unafrica de Cotonou.
Le gouvernement Talon veut consolider les performances du Bénin dans le secteur agricole tout en promouvant la transformation industrielle de la production agricole. Toutes ces actions favoriseront la création d'emplois durables.
A.A.A
La pluie n’est malheureusement pas que synonyme de journée cosy et de chocolat chaud, elle engendre souvent des incidents amers. Comme ça a été le cas cette année, et ce, dès les premiers jours de l’automne où plusieurs wilayas dont la capitale ont connu des inondations.
Nous sommes habitués à l’embouteillage dès les premières gouttes de pluies. Cependant, les averses de cette année ont causé bien plus qu’un simple encombrement de véhicules qui bloque la circulation. En effet, il y a eu des inondations entraînant la fermeture des routes un peu partout en Algérie.
Il y a même eu un effondrement d’un mur à Tipaza à cause des inondations. Les pluies s’intensifient et le bilan s’aggrave sachant que les services de Météo Algérie ont indiqué aujourd’hui dans un bulletin météo spécial (BMS) la poursuite des fortes précipitations dans pas moins de 23 wilayas du nord du pays.
Routes barrées à cause des aversesLe Centre d’information et de coordination de la circulation routière de la Gendarmerie nationale a indiqué ce dimanche 07 novembre sur sa page Facebook officielle « Tariki » que plusieurs routes sont barrées à cause des fortes pluies de ces derniers jours.
A l’instar de la route wilayale 18 reliant la commune de Oued Es Salam et le village de Oued Ziane et Toumiat de la wilaya de Relizane. Raison pour laquelle l’équipe régionale de la Gendarmerie nationale œuvre pour faciliter la circulation notamment en transférant la circulation vers la route communale reliant la commune de Oued Es Salam et le village de Sedjerara.
La wilaya de Chlef a également vu sa route wilayale 44 barrée. Cette dernière relie les deux communes d’Abou El Hassen et Talassa, et ce, à cause de l’élévation du niveau de la vallée. Les mêmes services mettent en garde et appellent à la prudence notamment sur la route wilayale 87 à l’entrée de la commune de Taougrite.
La prudence est de rigueurLes utilisateurs de l’autoroute Est-Ouest doivent également être prudents en passant par Khemis Miliana à cause du brouillard très dense. Les services de la Gendarmerie nationale appellent à la prudence compte tenu des éventuels accidents dangereux de la route à cause des fortes pluies.
Il est important d’adapter sa conduite à la situation météorologique et aux intempéries ; diminuer la vitesse et augmenter la distance de sécurité entre les véhicules.
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Dans le cadre d’une conférence de presse, tenue aujourd’hui à 11 heures au Centre technique national de Sidi Moussa à Alger, le sélectionneur national Djamel Belmadi révèle de nombreux détails et aborde plusieurs points importants sur les prochaines confrontations.
En effet, Belmadi commence son colloque par rendre hommage à Mehdi Cerbah, l’ex-international algérien décédé dernièrement, mais aussi à Abderrahmane Soukane.
» Cerbah est une légende, je l’ai rencontré au Qatar, c’est une personne dévouée à son travail et j’ajoute que c’est une personnalité merveilleuse « , déclare le coach. » Soukane a aussi beaucoup donné à l’Algérie, grâce à des hommes comme lui, nous sommes là maintenant « , ajoute-t-il.
Belmadi répond à HalilhodzicEn outre, le « ministre du Bonheur » répond aux récentes déclarations du sélectionneur marocain Vahid Halilhodzic, en déclarant : » Halilhodzic est responsable de ses propos, il a le droit de parler. Quant à ma réponse, elle sera sur le terrain « .
Le technicien bosniaque avait beaucoup parlé de l’effectif de l’équipe nationale, qu’il a qualifiée de riche et a fait l’éloge du capitaine des Verts, Riyad Mahrez.
Il convient de préciser que Belmadi a évité de détailler dans sa réponse et longuement parler à cet égard en raison des tensions entre les deux pays, à savoir l’Algérie et le Maroc.
« Nous attendons que le recensement soit terminé », BelmadiDans un autre chapitre, l’entraineur parle de la préparation du match contre le Djibouti, où il révèle : » nous nous sommes bien préparés pour le match précédent et avant de parler du résultat du prochain match, nous attendons que le recensement soit terminé « .
Concernant le recensement, qui n’est pas encore terminé, Belmadi précise : » les premiers arrivants sont Benlamri et Bounedjah, et nous attendons l’arrivée du reste des joueurs, particulièrement ceux qui sont actifs en Europe, pour terminer le recensement et mettre la touche finale « .
Il exprime par ailleurs, un grand optimisme avant de retourner avec ses joueurs au Caire, en Égypte, où il affirme : » j’ai de beaux souvenirs dans ce pays, notamment la Coupe d’Afrique 2019, nous irons en Égypte avec une grande joie, nous avons trouvé tout beau au Caire, particulièrement le terrain « .
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La Cour de Blida a rendu ce dimanche 7 novembre 2021, son verdict dans l’affaire de l’ancien Directeur général de la sureté nationale DGSN Abdelghani Hamel et l’ancien chef de sûreté de la wilaya d’Alger Noureddine Berrachedi.
En effet, la même juridiction a acquitté les deux mis en cause, accusés dans une affaire d’abus de fonction. Il s’agit du verdict définitif après l’appel introduit auprès de la Cour suprême qui a accordé le pourvoi en cassation et a renvoyé l’affaire auprès de la Cour de Blida.
Ainsi, l’ancien chef de sûreté de la wilaya d’Alger Noureddine Berrachedi devra quitter la prison après son acquittement, tandis que Hamel y restera afin de purger d’autres peines prononcées à son encontre dans d’autres affaires.
Le 25 octobre dernier, le procureur général près la même cour avait requis l’augmentation de la peine à 7 ans de prison ferme assortie d’une amende de 500 000 DA contre les deux mis en cause.
Subsidiairement, le parquet avait également requis la confirmation de la peine en appel contre l’ancien directeur général de la Sûreté nationale Abdelghani Hamel et l’ancien chef de sûreté de la wilaya d’Alger Noureddine Berrachedi.
Rappelons que les deux accusés avaient été condamnés auparavant par le tribunal et la cour de Blida à une peine de 4 ans de prison ferme assortie d’une amende de 100 000 DA chacun.
Kamel Chikhi au cœur du procèsCela est intervenu avant leur procès en appel en séance plénière devant la Cour de Blida. L’affaire a été soumise à la Cour suprême pour être réexaminée par une nouvelle composante de juges et de conseillers.
En effet, la décision du parquet est intervenue après l’audition des accusés, Hamel et Berrachedi, et des témoins, l’ancien ministre de la Justice Tayeb Louh et Kamel Chikhi, dit “El Bouchi”, et l’ancien chef de la police judiciaire de la sûreté d’Alger Sidhoum Hassan.
Il convient de noter que cette affaire est liée à celle de trafic de cocaïne dans laquelle est impliquée Kamel Chikhi dit « El Bouchi ». Cela remonte à la poursuite par l’ancien chef de sûreté de la wilaya d’Alger, Berrachedi de l’enquête sur le dossier de Kamel Chikhi.
Il s’agit de l’affaire de blanchiment de fonds publics d’une valeur de 125 000 millions DA et le financement de groupes terroristes. Lors de l’audience, Berrachedi a indiqué qu’au vu de son poste, le DGSN de l’époque lui a demandé la liste des bénéficiaires des appartements de l’immeuble appartenant à Kamel Chikhi, situé à Hydra.
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L’Algérie a affirmé avec certitude que le Maroc était derrière l’assassinat de trois de ses ressortissants dans un espace territorial sur lequel il n’a aucun droit. Saisies officiellement par Alger, les instances internationales concernées gardent toujours le silence.
Mercredi 3 novembre dernier, la présidence de la République avait annoncé que trois ressortissants algériens ont été lâchement assassinés par un bombardement barbare de leurs camions, alors qu’ils faisaient la liaison Nouakchott-Ouargla.
Selon la même source, plusieurs facteurs désignent les forces d’occupation marocaines au Sahara Occidental comme ayant commis avec un armement sophistiqué ce lâche assassinat. Aussitôt, le chef de la diplomatie algérienne adresse des messages à plusieurs instances internationales.
En effet, jeudi dernier, le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra a adressé des messages au Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, au Président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, au Secrétaire général de la Ligue des États arabes, Ahmed Aboul Gheit, et au Secrétaire général de l’Organisation de la coopération islamique, Youssef Ben Ahmed Al-Othaimeen.
Les réactions timides de l’ONUÀ ce jour, soit après près d’une semaine de l’assassinat des trois ressortissants algériens et 4 jours de l’annonce officielle de l’information, aucune réaction officielle n’a été faite par les instances concernées saisies par l’Algérie.
Quoique, le SG de l’ONU António Guterres, effleure la question lors d’un discours habituel appelant les « deux parties au dialogue pour apaiser les tensions ». Une réaction considérée comme insignifiante et inappropriée au vu de la dangerosité de la situation.
Pourtant, le chef de la diplomatie avait clairement indiqué dans son message envoyé à l’ONU que cette situation est « porteuse de risques imminents pour la sécurité et la stabilité au Sahara Occidental et dans toute la région ».
Il convient également de noter que le porte-parole adjoint du secrétaire général de l’ONU, Farhan Haq a confirmé, hier lors d’un point de presse, le lieu de l’attentat. « Nous pouvons maintenant confirmer que le site du bombardement se trouve dans la partie orientale du Sahara occidental près de Bir Lahlou », a-t-il déclaré en se basant sur un constat établi par une patrouille de la Minurso.
Blackout à l’Union africaine et la Ligue arabeMis à part ces deux réactions qui sont loin des exigences de la situation, l’on peut considérer que l’ONU garde toujours son silence et n’a pas réagi officiellement. Même constat d’ailleurs auprès des instances régionales, pourtant censées réagir et prendre des décisions concrètes.
Au niveau africain, le silence de Moussa Faki en sa qualité de président de la Commission de l’Union africaine en dit long. En effet, il est à noter que ce dernier est au cœur d’une large controverse depuis juillet dernier, lorsqu’il avait accepté l’entrée d’Israël en qualité de membre observateur au sein de l’UA.
Sans surprise aucune, la Ligue arabe s’est également résignée au silence. Si l’on considère que cette instance se retrouve sous les commandes des monarchies des pays du Golfe, son alignement avec le Marco devient donc une certitude. Son silence également ne surprend personne. À n’en citer que cela, force est de constater que le silence des instances internationales n’est pas fortuit.
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Les préparatifs et les entrainements des protégés de Belmadi se poursuivent, notamment avec l’approche de la rencontre décisive face au Burkina Faso.
En effet, ladite confrontation, prévue le mardi 16 novembre au stade de Blida, entrera dans le cadre de la sixième et dernière journée du groupe A des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
Elle réunira les deux équipes adverses, à savoir les Fennecs et les Étalons, qui sont à égalité pour le gain de la première place qualificative pour le tour suivant.
Cependant, la Fédération Burkinabé de Football (FBF) ne semble pas satisfaite du choix du stade. Cette dernière avait fait appel à la CAF, ainsi qu’à la FIFA, pour programmer ledit match sur un autre stade, car et selon elle, « la pelouse de Tchaker n’est pas conforme aux exigences édictées par la CAF et la FIFA ».
« Le stade de Blida n’est pas conforme aux exigences édictées par la CAF et la FIFA », la FBFCe vendredi 05 novembre, la même Fédération a refait son appel au Secrétaire Général de la Confédération africaine de football à ce propos, sous prétexte que le terrain est mauvais et présente un danger pour les joueurs.
» Du constat établi et des informations toujours en notre possession, le stade de Blida n’est pas conforme aux exigences édictées par la CAF et la FIFA et rien n’a été entrepris dans le sens « , lit-on dans la missive de ladite Fédération à la CAF.
La même source ajoute : » convaincu que vous êtes aussi soucieux de protéger les joueurs et leur santé et que vous êtes attachés aux conditions qui président au déroulement de nos compétitions, il nous plaît par la présente de solliciter à nouveau la programmation dudit match sur un autre stade « .
La Fédération du Burkina Faso ne s’est pas arrêtée uniquement à cette demande, mais a soumis une autre, par laquelle elle a demandé la protection de la délégation de son équipe nationale lorsqu’elle se rendra en Algérie pour jouer la dernière confrontation, et pour travailler à l’incarnation de l’esprit sportif lors de ladite rencontre.
» À titre de rappel, en 2013, l’équipe Burkinabé avait été l’objet de tracas aux fins qu’elle n’aborde pas le match dans les conditions propices à la performance, dont entre autres, des nuisances sonores toute la nuit durant aux abords de son hôtel, des embouteillages créés sciemment sur la voie d’accès au stade et les joueurs empêchés de quitter l’hôtel pour une fouille sous prétexte que les couverts et les serviettes de chambre n’étaient pas au complet « , indique une lettre de la Fédération adressée, ce vendredi 05 novembre, au Secrétaire Général de la CAF.
» Au regard de tous ces faits, de nature à fausser l’équité de nos compétitions, nous vous saurons gré des dispositions appropriées qu’il vous plaira de faire prendre pour la sécurité de la délégation du Burkina Faso en Algérie et surtout pour le déroulement du match dans le fair-play, l’esprit sportif, la quiétude et la préservation des chances de chacune des équipes « , ajoute la même source.
Avec toutes ses déclarations, il semble que la Fédération Burkinabè de football lance « une guerre psychologique » contre les Verts.
Rappelons que le président de cette dernière avait déjà lancé des propos « critiques » contre les hommes de Belmadi, disant ainsi que « l’équipe nationale algérienne a un niveau moyen et gagne toujours grâce à son mauvais terrain ».
L’article Match retour Algérie – Burkina Faso : à quoi joue la FBF ? est apparu en premier sur .
La baisse du nombre des cas de contamination en Algérie a permis la reprise de plusieurs activités. En plus de la réouverture partielle des frontières aériennes et maritimes. Le métro d’Alger a repris du service jeudi 7 octobre, après plus d’un an et demi de suspension.
Qui dit reprise du service dit quelques incidents techniques. En effet, aujourd’hui, sur le tronçon qui relie Khelifa Boukhalfa à la Place des Martyrs, une panne technique est survenue. Dans un communiqué de Métro El Djazair, la société a tenu à rassurer ses clients et de les informer que les équipes techniques sont mobilisées afin d’assurer la reprise de l’exploitation dans le plus bref des délais et dans les meilleures conditions.
Selon le même communiqué publié ce matin, un service provisoire a été mis en place assurant le déplacement des voyageurs, et ce, sur le tronçon qui relie la station d’El Harrach Centre à 1er Mai et celui qui relie la station Hai El Badr à Ain Naâdja.
Retour des problèmes techniquesLe 20 octobre dernier, au niveau de la station d’Aissat Idir les utilisateurs du métro d’Alger ont vécu un incident qui a engendré l’évacuation des voyageurs. Un incident technique qui a eu lieu à cause d’un problème de blocage des freins d’une rame de métro, selon les informations du communiqué de la Société d’Exploitation du métro d’Alger.
Cette dernière a tenu à expliquer cet incident mineur, qui a rapidement été réglé en toute sérénité et sécurité. La société a également tenu à rassurer ses clients à travers ce communiqué pour estomper l’incompréhension qui avait envahi les couloirs du métro.
L’article Panne technique au métro d’Alger : l’EMA s’explique est apparu en premier sur .
La société américaine Pfizer a déclaré que son nouveau médicament antiviral contre le Covid-19 a montré une réduction du risque d'hospitalisation ou de décès de 89% lors de la deuxième phase des essais cliniques. C'est ce qu'a été annoncée dans une déclaration publiée vendredi sur le site web de la société pharmaceutique.
"Chez les adultes non hospitalisés infectés par le coronavirus, le PF-07321332 a montré une réduction de 89% du risque d'hospitalisation ou de décès", indique le communiqué. Il y est noté qu'il n'y a pas eu de décès lors de l'étude.
Pfizer a soumis les données de l'étude à la Food and Drug Administration des États-Unis et a exprimé le souhait d'obtenir d'urgence l'autorisation d'utiliser son nouveau médicament.
De son côté, Reuters note que le traitement sera composé de trois pilules prises deux fois par jour. Selon l'agence, Pfizer a l'intention de produire plus de 180.000 doses du médicament d'ici la fin de l'année, puis au cours de l'année suivante, ce nombre sera porté à 50 millions.
Précédemment, la société avait déclaré que la première phase des études avait montré la bonne tolérance et la sécurité du médicament. Le nouveau médicament pourrait potentiellement être pris dès l'apparition des premiers symptômes du coronavirus ou après un contact avec une personne infectée, sans nécessiter d'hospitalisation.
Source : TASS
Après plus d’un an de fermeture des frontières en raison de la pandémie causée par le coronavirus. l’Algérie a enfin vu le nombre de contaminations descendre en dessous de la barre des 100 cas, raison pour laquelle le gouvernement a opéré plusieurs changements et allègements importants dont la réouverture des frontières aériennes.
En effet, la décrue considérable et le recul du Covid-19, notamment en Algérie, ont permis de reprendre les vols, et ce, également avec l’une des destinations préférées des Algériens pour le voyage, le travail ou bien les études : la France.
Cependant, le virus existe encore et continue à toucher beaucoup de personnes, ce qui justifie l’application rigoureuse du protocole sanitaire partout dans le monde. Chaque pays a ses conditions d’entrée, qui sont généralement assez similaires. À un détail près, le pass sanitaire.
Désormais, la conversion des certificats de vaccination est payanteParmi les mesures mises en place pour voyager en France, la possession d’un pass sanitaire est obligatoire, ce document prouve la vaccination entière de la personne (des deux doses).
Ce pass sanitaire est présenté en QR CODE sur les téléphones portables afin de faciliter sa vérification. N’ayant pas le même principe en Algérie, les voyageurs en provenance de notre pays devaient convertir leur certificat de vaccination et l’imprimer en ligne.
Néanmoins, cette conversion est désormais payante, pour les Algériens ainsi que les voyageurs en provenance des pays hors Union européenne. Et ce, dans le cadre du projet de loi « vigilance sanitaire » acté ce 5 novembre par le parlement français.
Désormais, pour convertir leur certificat de vaccination, les voyageurs devront payer 36 euros à leur arrivée dans les pharmacies désignées. Pour rappel, le pass sanitaire est obligatoire pour accéder aux espaces fermés (restaurants, théâtre, salle de sport ..etc).
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Quelques jours seulement nous séparent du grand match. La rencontre décisive, qui réunira l’Équipe nationale à son homologue burkinabé, sera la sixième et dernière journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022, zone d’Afrique.
Sur ce, les autorités algériennes ont annoncé une bonne nouvelle au public sportif : le match retour entre l’Algérie et le Burkina Faso sera en présence des supporteurs.
Cette nouvelle a suscité la joie chez les amoureux du ballon rond. Ces derniers peuvent désormais se rendre aux tribunes et supporter leur équipe préférée. Les mêmes autorités ont exigé aux supporteurs d’être entièrement vaccinés contre la Covid-19 et munis d’un pass sanitaire, avant leur entrée au stade.
Quant aux nombre des spectateurs, il n’a été dévoilé que dernièrement. En fait, ce samedi 06 novembre 2021, la Fédération algérienne de football a révélé, dans un communiqué via son site officiel, le nombre des supporteurs autorisés à assister audit match.
14 000 personnes autoriséesSelon le communiqué en question, la confrontation décisive entre les Fennecs et les Étalons, sera en présence de 14 000 spectateurs, au stade Mustapha Tchaker de Blida.
» La Confédération africaine de football (CAF) a donné son autorisation pour la présence de 14 000 spectateurs pour le match Algérie – Burkina Faso, prévu le mardi 16 novembre 2021 au stade du Chahid Mustapha Tchaker de Blida (17 h 00) et comptant pour la 6ème et dernière journée du groupe A des éliminatoires de la Coupe du Monde de la FIFA – Qatar 2022 « , lit-on sur le site officiel de la FAF.
Par ailleurs, la même source a fait savoir : » suite à l’expérience des récentes compétitions interclubs de la CAF et des qualifications africaines de la Coupe du Monde de la FIFA en matière d’accueil des spectateurs aux stades, la CAF a décidé de mettre en place une nouvelle procédure pour permettre la présence du public dans toutes les compétitions « .
» En conséquence, toute association membre souhaitant admettre des spectateurs dans les stades lors de ses matchs à domicile devra respecter certaines conditions exigées par la FIFA/CAF et auxquelles a satisfait la FAF avec l’accompagnement des autorités algériennes « , a précisé le communiqué.
Il convient également d’indiquer que la FAF a affirmé qu’elle portera à la connaissance du grand public les procédures nécessaires pour l’acquisition des billets d’entrée au stade dans le cadre d’un dispositif adapté aux exigences de l’autorité sanitaire.
L’article Algérie – Burkina Faso : la CAF fixe le nombre de supporters autorisés est apparu en premier sur .
Le taux de change des principales monnaies, sur le marché parallèle des devises, a enregistré de fortes hausses face au dinar en ce début de semaine. Dans les cotations officielles, le taux de change n’a pas connu grand changements.
La forte demande sur les devises a engendré une hausse conséquente du prix de l’euro par rapport au dinar sur le marché parallèle. En effet, un euro s’échange contre 219 dinars à l’achat et 217 dinars à la vente.
Même constat auprès de la monnaie étasunienne. Un dollar s’échange au niveau du square Port-Saïd contre 191 dinars à l’achat et 189 dinars à la vente. Pour ce qui est de la livre sterling, l’unité de cette monnaie est proposée contre 248 dinars à l’achat et 245 dinars à la vente.
L’ensemble des cambistes constatent ainsi une hausse des prix de devises de près de 20% par rapport à la situation durant l’épidémie du coronavirus. Ces hausses sont également estimées à plus de 10% comparativement à l’avant Covid-19.
Cette situation est engendrée, selon ces intervenants, suite à la forte hausse de la demande sur les devises durant cette période de fin d’année. La demande a, en effet, augmenté de près de 20%. En revanche, les cambistes prévoient de nouvelles hausses dans les jours à venir, coïncidant avec les fêtes de fin d’année.
Les cotations officielles de la Banque d’AlgérieDans les cotations officielles de la Banque d’Algérie, l’euro s’échange pour ce début de semaine, contre 158,90 dinars à l’achat et 158,93 dinars à la vente. Il s’agit ici des cotations commerciales d’ouverture du dinar algérien entre le 4 et 8 novembre 2021.
Pour la monnaie étasunienne, les cours sur le marché interbancaire des changes d’Alger font état d’un dollar contre 137,54 dinars à l’achat et 137,55 dinars à la vente.
En outre, le tableau de change de la banque d’Algérie indique que la livre sterling s’échange contre 187,92 dinars à l’achat et 187,94 dinars à la vente. Pour le dollar canadien, il affiche 110,98 dinars à l’achat et 111,00 dinars à la vente.
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Les services de Météo Algérie ont fait état, ce dimanche 7 novembre dans un bulletin météo spécial (BMS), de la poursuite des fortes précipitations dans pas moins de 23 wilayas du nord du pays.
Selon la même source, 14 wilayas sont placées sous vigilance orange pluie. Il s’agit des wilayas d’Alger, Tipasa, Tissemssilt, Relizane Tiaret, Chlef, Mostaganem, Ain Defla, Médéa, Saida, Boumerdès, Mascara, Oran et Blida.
L’Office de météorologie a également placé les wilayas de Bordj Bou Arreridj, Béjaia, Mila, Tizi Ouzou, Sétif, Constantine, Skikda, Jijel et Bouira, sous vigilance jaune pluie. La validité du bulletin émis ce dimanche s’étalera jusqu’à l’après-midi de la même journée à 18 h 00.
Les quantités attendues devront atteindre ou dépasser les 120 mm localement, concernant les wilayas placées sous vigilance orange. Les quantités attendues sur les régions placées sous vigilance jaune sont estimées à 40 mm.
Vents violents dans plusieurs zones côtièresPlusieurs zones côtières seront au rendez-vous avec des rafales de vent pouvant atteindre les 50 km/h. Ces rafales provoqueront le soulèvement de la mer avec des vagues pouvant atteindre les 3 mètres, et ce, jusqu’à 18 h 00 de ce dimanche.
Les zones côtières concernées sont celles de Mostaganem, Ténés, Bouharoune, Alger, Déllys, Azeffoun, Béjaia, Jijel, Skikda, Annaba et El Kala.
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A l'occasion du 46è anniversaire de la glorieuse Marche Verte, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a adressé, samedi 06 novembre 2021, un discours axé sur la marocanité du Sahara.
Dans son discours, le Souverain a relevé que la Marocanité du Sahara ne souffre d'aucune contestation « (...) parce que la légitimité de notre Cause est validée par les annales de l'Histoire, ensuite parce que tel est le vœu profond et le souhait ardent de la population sahraouie enfin parce qu'une reconnaissance internationale d'envergure vient l'entériner », a-t-il soutenu.
Selon le Roi, la décision souveraine des Etats-Unis d'Amérique de reconnaître la souveraineté pleine et entière du Maroc sur son Sahara constitue un sujet de fierté. Sa Majesté le Roi Mohammed VI a aussi évoqué la décision de plus de vingt-quatre pays d'ouvrir un consulat à Laâyoune ou à Dakhla. Cette décision confirme selon lui, le large soutien dont bénéficie la position marocaine, surtout au sein de l'environnement arabo-africain. « C'est assurément la meilleure réponse juridique et diplomatique à ceux qui prétendent que la reconnaissance de la Marocanité du Sahara n'a pas de visibilité franche et concrète sur le terrain », a-t-il déclaré.
SM. Mohammed VI a salué les Forces Armées Royales qui, le 13 novembre 2020, ont restauré la libre circulation des personnes et des marchandises au point de passage Guerguerat, reliant les deux pays frères, le Maroc et la Mauritanie.
‹‹ Cette action pacifique ferme a mis un terme aux provocations et aux agressions dont le Maroc avait déjà signalé à la communauté internationale la gravité pour la sécurité et pour la stabilité de la région.››, a-t-Il souligné.
Le Souverain a également affirmé que la la Marocanité du Sahara ne sera jamais à l'ordre du jour d'une quelconque tractation. ‹‹ Pour le Maroc, son Sahara n'est pas à négocier.››, a réaffirmé Sa Majesté.
C'est pourquoi, le Royaume engage des négociations dans le seul but de parvenir à un règlement pacifique de ce conflit régional artificiel.
Après avoir réaffirmé l'attachement du Maroc au processus politique conduit par l'ONU, le Roi a insisté sur la nécessité de se conformer aux paramètres définis par les résolutions successives du Conseil de sécurité depuis 2007 et qui ont été consacrés dans les rencontres tenues à Genève, sous l'égide des Nations-Unies.
Les provinces du sud en plein essor
Dans son discours, le Roi a souligné l'essor général des provinces du Sud.
Cet essor est illustré par le développement des infrastructures et la réalisation de projets économiques et sociaux. « Grâce à ces projets, les régions du Sahara sont devenues, désormais, un espace ouvert aux opportunités de développement et une plateforme propice à l'investissement national et étranger », a-t-il affirmé.
Le Souverain a exprimé sa considération aux pays et aux groupements qui sont liés au Maroc par des conventions et des partenariats et pour qui les provinces du Sud constituent une partie intégrante du territoire national.
« En revanche, à ceux qui affichent des positions floues ou ambivalentes, Nous déclarons que le Maroc n'engagera avec eux aucune démarche d'ordre économique ou commercial qui exclurait le Sahara marocain », a-t-il annoncé.
Le Mohammed VI a aussi souhaité que les conseils élus démocratiquement, librement et de manière responsable dans les provinces et régions du Sahara soient une force motrice pour mettre en œuvre la régionalisation avancée, compte tenu de sa vocation à offrir de réelles perspectives de développement et à favoriser une véritable participation politique.
Pour le Roi, « il appartient à chacun, selon sa position et son statut, de rester mobilisé et vigilant en vue de défendre l'unité nationale et l'intégrité territoriale du pays, de consolider les réalisations accomplies dans nos provinces du Sud, en matière politique et en termes de développement ».
A.A.A
Les Avocats ont décidé de boycotter les audiences devant toutes les juridictions sur le territoire national du lundi 08 novembre au mercredi 10 novembre 2021. La décision a été prise lors d'une Assemblée générale extraordinaire du Conseil de l'Ordre des Avocats du Bénin tenue, ce samedi 06 novembre 2021, sur la situation relative à l'interpellation d'un de leurs confrères.
Selon la note du secrétaire Me Igor Sacramento, le Conseil de l'Ordre des Avocats du Bénin s'est penché sur la situation relative à l'interpellation d'un de leurs confrères, le 29 septembre 2021, par les forces de sécurité publique et sa garde à vue de 16 heures environs jusqu'au-delà de 23 heures.
La note informe que les fondements de son interpellation n'ont pu être établis à ce jour par les organes de poursuite, en dépit de toutes les démarches entreprises par le Bâtonnier de l'Ordre à l'endroit des autorités judiciaires.
Lors de l'Assemblée générale extraordinaire qui vise à défendre la dignité collective du Barreau et son indépendance, le Conseil de l'Ordre a pris deux décisions. Il s'agit du boycott de toutes les audiences devant toutes les juridictions sur l'ensemble du territoire national du lundi 08 novembre jusqu'au mercredi 10 novembre 2021 et de la tenue d'un point de presse qui a aura lieu lundi 08 novembre à 10 heures à la Maison de l'Avocat, au Palais de Justice de Cotonou.
A.A.A
Après les élections locales prévues pour le 27 novembre prochain, une réunion tripartite (Gouvernement-Syndicat-Patronat) se tiendra afin d’étudier le dossier de la pension de retraite en Algérie pour l’année 2022.
Parmi les propositions qui seront présentées par l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), lors de cette rencontre, figure le retour au système de retraite après 32 ans de service. C’est ce qu’a été rapporté en tout cas le 23 octobre dernier par les médias nationaux.
Dans ce contexte, le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale Abderrahmane Lahfaya a chargé une commission sectorielle d’étudier le dossier de la retraite anticipée suspendue depuis plusieurs années.
La décision du ministre a été annoncé jeudi passé, 4 novembre 2021, devant les membres de la commission de la santé, des affaires sociales, du travail et de la solidarité nationale du Conseil de la Nation, a rapporté le quotidien Echorouk.
Un droit et une solution au chômage des jeunesÀ ce sujet, le vice-président du Sénat Fouad Sebouta a fait savoir que des milliers de travailleurs et syndicalistes plaident pour le retour de ce système. C’est le cas en effet de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) qui considère la retraite anticipée comme étant un des droits fondamentaux des travailleurs et une solution efficace au problème du chômage.
Dans une déclaration à la Chaîne I de la Radio algérienne, Ferhat Chabekh, membre dirigeant a la Centrale syndicale avait indiqué le 23 février dernier qu’il est « illogique d’imposer à un employé de continuer d’exercer au-delà des 32 ans de service jusqu’a l’âge légal de départ a la retraite à 65 ans ».
Sachant que le gouvernement a mis fin à la retraite anticipée en raison du déficit de la CNR, Ferhat Chabekh estime que l’exécutif doit trouver une alternative au lieu d’obliger l’employé de travailler après 32 ans de service.
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