La Fondation Tony Elumelu (TEF), la principale organisation philanthropique dont l'objectif est d'autonomiser les jeunes entrepreneurs africains, annoncera les noms des bénéficiaires du programme d'entrepreneuriat TEF 2021 lors de l'événement officiel d'annonce des lauréats qui se tiendra à Lagos et sera diffusé en direct en ligne, le 12 novembre 2021. L'événement hybride révolutionnaire lèvera le voile sur 4 800 entrepreneurs africains sélectionnés dans les 54 pays africains qui rejoindront la cohorte 2021 du programme annuel de la Fondation.
Chaque année au 1er janvier, la Fondation Tony Elumelu ouvre son portail de candidature aux entrepreneurs africains ayant des entreprises de moins de cinq ans. Les bénéficiaires de cette année ont été choisis parmi un pool de plus de 400 000 candidatures, sélectionnés sur la base de leurs idées commerciales innovantes et percutantes. Conformément à la mission de la Fondation de doper l'entrepreneuriat en Afrique, les bénéficiaires sélectionnés sont à la fois de nouvelles start-ups et de jeunes entreprises existantes à différents stades opérationnels dans différents secteurs.
Dans le cadre des objectifs de la TEF visant à garantir que les entrepreneurs africains soient bien équipés pour créer des entreprises rentables et pérennes, chaque bénéficiaire a suivi une formation et un mentorat en gestion d'entreprise de classe mondiale dispensés exclusivement sur TEFConnect, la plate-forme numérique exclusive de la Fondation qui fournit un soutien au renforcement des capacités, des conseils et des réseaux commerciaux avec plus d'un million d'Africains et même plus. Le programme de formation unique de la plate-forme couvre des sujets intéressants tels que le lancement de votre entreprise, la gestion et les principes fondamentaux de l'entreprise, le leadership et la croissance de l'entreprise, la stratégie marketing, la conception de produits et la sélection et la constitution d'une équipe, entre autres.
S'exprimant en prélude à l'événement d'annonce des candidats sélectionnés, la DG de la Fondation Tony Elumelu, Ifeyinwa Ugochukwu, a déclaré : « Cette année, avec le soutien de nos partenaires internationaux, nous allons intensifier notre impact et autonomiser près de 5 000 entrepreneurs. Une priorité majeure pour nous à la Fondation pour 2021 reste la relance économique des petites et moyennes entreprises (PME) suite à la perturbation des activités économiques occasionnée par la Covid-19. Nous sommes très heureux de dévoiler la cohorte 2021 du programme Tony Elumelu Entrepreneurship. "Je pense que les 5 000 dollars que nous donnons à chaque entrepreneur, répondront à certaines demandes urgentes et allègeront le fardeau causé par la pandémie."
« Année après année, nous sommes grandement inspirés par la ténacité et la qualité des idées commerciales qui viennent d'Afrique. Cela prouve à suffisance que les jeunes Africains ont besoin d'organisations comme la Fondation Tony Elumelu qui sont prêtes à parier sur eux et leurs idées », a-t-elle conclu.
Grâce au programme d'entrepreneuriat TEF d'un montant de 100 millions de dollars US, lancé en 2015, la Fondation renforcent les capacités de milliers d'entrepreneurs chaque année, qui bénéficient d'un mentorat, d'une formation en gestion d'entreprise, d'un accès à de nouveaux marchés, de 5 000 dollars US de capital d'amorçage non remboursable et d'opportunités de réseautage pour promouvoir leur entreprises auprès d'un public international. Depuis la création du programme, la TEF a formé plus de 1,5 million de jeunes Africains et financé plus de 10 000 entrepreneurs dans les 54 pays africains.
L'annonce de sélection sera diffusée en direct via la chaîne YouTube officielle de la Fondation et page Facebook .
LA RÉDACTION
Les vingt-six trésors royaux d'Abomey seront accueillis à Cotonou dans l'après-midi de ce mercredi 10 novembre 2021. Parmi les 26 œuvres, il y a entre autres : un métier à tisser, un pantalon de soldat, un siège tripode Kataklè sur lequel le roi posait des pieds, une tunique, un sac en cuir, portes du Palais-Royal d'Abomey, des statues anthropomorphes des rois Ghézo, Glèlè et Behanzin. Voici la liste complète des 26 biens culturels.
Intempéries, fortes précipitations et inondations, l’Algérie connait très bien ce climat glacialement violent. Dans l’esprit de chaque algérien, les réminiscences d’une catastrophe resurgissent à l’entrée de chaque saison hivernale. Une douleur profonde une catastrophe meurtrière et une date inoubliable ; le 10 novembre 2001.
Dans la capitale, les hauteurs du quartier de Bab El-Oued ont vécu une journée d’horreur et de destruction du 9 au 10 novembre à cause des inondations qui n’épargnaient ni passager, ni voiture ni maison. Les eaux destructrices et les coulées de boue emportaient tout le long de la route du Frais Vallon des personnes, faisant plusieurs disparus, plus d’un millier de morts et d’innombrables dégâts matériels ; le quartier a été ravagé.
Le « samedi noir », le jour sinistre que les algériens pleurent en ce temps pluvieux. La tragédie des pluies diluviennes a laissé des séquelles douloureuses dans le quartier populaire de Bab El Oued, l’équivalent de 210 mm de pluie était tombée en l’espace de 48h
20 ans jour pour jour, la même peur règne20 ans plus tard, l’Algérie commémore cette journée affreusement inoubliable avec une boule au ventre à cause des intempéries et des fortes précipitations. En effet, depuis la première journée automnale, plusieurs wilayas du pays ont connu des inondations, des routes barrées et des effondrements de murs.
Les services de la protection civile opèrent plusieurs interventions, notamment des opérations d’absorption des eaux de pluie qui inondent les immeubles et fait tomber des murs.
L’article Bab El Oued, 10 novembre 2001: réminiscences d’une sinistre inondation est apparu en premier sur .
Deux marabouts et trois autres personnes ont été déposés en prison, à Djougou mardi 09 novembre 2021, pour avoir accusé une dame de sorcière.
Accusée de sorcellerie, une dame a saisi la police républicaine après la diffusion d'une audio sur les réseaux sociaux. Selon plusieurs sources, l'audio a été enregistré lors d'une séance de maraboutage. Deux marabouts ont été sollicités pour identifier les auteurs de la maladie d'une fille.
Suite à la plainte de la dame accusée de sorcellerie, les agents des commissariats des 2e et 3e arrondissements de la commune de Djougou ont arrêté les marabouts, deux jeunes filles et un homme de 60 ans. Présentés au procureur, ils ont été déposés en prison en attendant leur procès.
A.A.A
Le démarrage de la gestion effective du Bordereau Electronique de Suivi des Cargaisons (BESC) par le Port Autonome de Cotonou (PAC), précédemment annoncé pour le 08 novembre 2021, est reporté à une date ultérieure.
Selon la note d'information du directeur Commercial et Marketing du Port Autonome de Cotonou sur demande de la liquidatrice du CNCB, l'application de la note circulaire N˚1721 du 27 octobre 2021 relative au démarrage, pour compter du 08 novembre 2021, des activités liées au BESC par le PAC est reporté à une date ultérieure.
« Toutes les opérations liées au BESC se poursuivent jusqu'à nouvel ordre au niveau du CNCB », précise la note d'information. Les importateurs, exportateurs, transitaire, armateurs, transporteurs, consignataires, manutentionnaires et autres usagers du Port de Cotonou seront informés dès qu'une nouvelle sera retenue.
A.A.A
Une équipe d'experts du réseau Social Watch et de l'UNICEF a séjourné à la mairie de Bohicon du 02 au 09 novembre 2021. Soutenir la commune pour l'élaboration de son premier budget participatif, c'est l'objectif des travaux qui ont duré une semaine.
Des experts du réseau Social Watch et de l'UNICEF à la mairie de Bohicon pour l'élaboration du premier budget participatif de la commune. Au lancement des travaux le 02 novembre dernier, les participants ont parcouru les arrondissements de Agongointo, Avognanna, Lissèzoun, Gnidjazoun et Saclo du 03 au 05 novembre. Au cours des entretiens, les populations de ces arrondissements, tous bénéficiaires de la phase pilote du mécanisme d'élaboration, ont exprimé et priorisé leurs besoins afin qu'ils soient pris en compte dans le budget.
A l'hôtel de ville de Bohicon, mardi 09 novembre, un des trois projets identifiés par arrondissement a été retenu par le forum communal d'élaboration du budget participatif. Ainsi, 05 projets (un par arrondissement) ont été retenus.
Le chef cabinet Abel Gbètoénonmon, représentant le maire Rufino d'Almeida, a rappelé la démarche de ce dernier, qui épouse le mécanisme d'élaboration participatif du budget prôné par Social Watch et UNICEF. « Ce mécanisme confirme la démarche expérimentée par le Maire en terme d'élaboration de budget, il y a un an, lors de l'élaboration du budget 2021 », a-t-il confié.
F. A. A.
Une équipe d'experts du réseau Social Watch et de l'UNICEF a séjourné à la mairie de Bohicon du 02 au 09 novembre 2021. Soutenir la commune pour l'élaboration de son premier budget participatif, c'est l'objectif des travaux qui ont duré une semaine.
Des experts du réseau Social Watch et de l'UNICEF à la mairie de Bohicon pour l'élaboration du premier budget participatif de la commune. Au lancement des travaux le 02 novembre dernier, les participants ont parcouru les arrondissements de Agongointo, Avognanna, Lissèzoun, Gnidjazoun et Saclo du 03 au 05 novembre. Au cours des entretiens, les populations de ces arrondissements, tous bénéficiaires de la phase pilote du mécanisme d'élaboration, ont exprimé et priorisé leurs besoins afin qu'ils soient pris en compte dans le budget.
A l'hôtel de ville de Bohicon, mardi 09 novembre, un des trois projets identifiés par arrondissement a été retenu par le forum communal d'élaboration du budget participatif. Ainsi, 05 projets (un par arrondissement) ont été retenus.
Le chef cabinet Abel Gbètoénonmon, représentant le maire Rufino d'Almeida, a rappelé la démarche de ce dernier, qui épouse le mécanisme d'élaboration participatif du budget prôné par Social Watch et UNICEF. « Ce mécanisme confirme la démarche expérimentée par le Maire en terme d'élaboration de budget, il y a un an, lors de l'élaboration du budget 2021 », a-t-il confié.
F. A. A.
Suite à la baisse remarquable des cas de contamination à la Covid-19, les autorités compétentes ont décidé de rouvrir toutes les enceintes sportives aux spectateurs, et ce, à la grande satisfaction de ces derniers.
À cet effet, le public sportif, notamment les amoureux du ballon rond, peuvent désormais rejoindre les tribunes des stades, supporter, mais aussi assister aux matchs officiels, à l’image de celui qui réunira les Fennecs aux Étalons.
Ladite confrontation est prévue pour le mardi 12 novembre à 17 heures (heure algérienne), au stade Mustapha Tchaker de Blida. C’est un match qualifié de « décisif » vu sa grande importance.
Ce dernier entrera dans le cadre de la sixième et dernière journée des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 au Qatar. Sachant que l’équipe nationale et son adverse, le Burkina Faso, sont à égalité de score. Les deux équipes occupent la tête du classement du groupe A. Toutefois, les Verts dépassent leurs adversaires au nombre de buts inscrits.
Sur ce, et afin de pouvoir rejoindre les tribunes et assister au grand match le mardi prochain, le gouvernement a exigé certaines mesures, dont l’obligation de la vaccination.
Le Premier ministre insiste sur le certificat de vaccinationEn effet, et en marge de la discussion du projet financier 2022, le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane a souligné que la vaccination est nécessaire pour les supporters qui veulent voir les Verts affronter le Burkina Faso depuis les tribunes.
» La Confédération africaine de football a autorisé l’entrée des supporters pour la rencontre des Fennecs contre les Étalons. Cette autorisation stipule l’entrée à la moitié de la capacité du stade Mustapha Tchaker, et chaque supporter doit avoir une carte de vaccination pour être autorisé à entrer dans ledit stade le 16 novembre », a déclaré ce mardi ledit ministre.
Par ailleurs, le même responsable a affirmé : » même après la qualification de l’équipe nationale pour le barrage, cette procédure restera en vigueur en attendant le lancement du passeport sanitaire à l’avenir « .
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Durant ce temps pluvieux, les habitants d’Alger font face à beaucoup de problèmes à l’instar des routes barrées et des inondations, voilà que la société des eaux et d’assainissement d’Alger (SEAAL) revient porteuse d’une nouvelle relative à l’eau, loin d’être bonne.
En effet, la société a annoncé aujourd’hui le prolongement des perturbations en alimentation en eau potable, et ce, dans 15 communes d’Alger, à savoir la commune de Reghaia, Rouiba, Hraoua, Dar el Beida, Bordj el Kiffan, Alger Plage, El Marssa, Oued Semar, El Mohammadia, Bach Djerah, Kouba, Bourouba, El Harrach, Ain Taya et Bab ezzouar.
Ces perturbations seront prolongées à cause des intempéries que la capitale a connu ces derniers temps. Une turbidité de plus de 40% des eaux brutes des barrages à l’arrivée des stations de traitement SAA et Boudouaou. La société rassure ses clients que le problème sera réglé dans les plus brefs des délais en procédant à un réajustement de l’opération du traitement des eaux, afin d’assurer une bonne qualité.
La crise persisteLa colère des citoyens ne peut passer inaperçue face à la crise de l’eau persistante. Les mêmes communiqués annonçant les perturbations se multiplient et deviennent de plus en plus fréquent à un détail près ; une cause différente à chaque annonce.
Pourtant, le nouveau PDG de la SEAAL a indiqué récemment « un plan de travail et une feuille de route ont été élaborés en coordination avec la Direction des Ressources en Eau d’Alger afin d’assurer la fiabilité et le suivi du programme de distribution, ainsi que pour trouver des solutions dans les meilleurs délais dans le cas ou une fluctuation urgente est enregistrée ».
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Au moment où les services du premier ministère ont décidé de prolonger la levée du confinement pour une période de 21 jours, les mises en garde contre l’avènement d’une 4e vague épidémique se multiplient.
Ce mercredi, c’est le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid qui revient sur cette question. Lors de son passage sur la chaine Echorouk news, il a affirmé que le risque de l’arrivée de la 4e vague est toujours présent, malgré l’accalmie constatée actuellement.
Selon lui, tous les indicateurs scientifiques confirment que l’Algérie sera confrontée à l’avènement de la 4e vague de l’épidémie du coronavirus. À ce propos, il souligne que des mesures anticipées devront être prises à tous les niveaux.
D’ailleurs, il indique que le Comité scientifique se réunira ce mercredi afin de prendre des mesures permettant de faire face à la 4e vague en cas de son arrivée.
Reconfinement et réouverture des salles des fêtes : Benbouzid préciseRevenant sur la vaccination, le premier responsable du secteur affirme qu’aucun effet dangereux n’a été constaté auprès des personnes ayant pris le vaccin contre le Covid-19. Concernant la 3e dose du vaccin, il affirme qu’il a donné des instructions afin de permettre aux personnes désirant la prendre dans 6 mois.
À ce propos, il explique que cette dose de rappel fournit une immunité plus optimale contre le coronavirus. L’intervenant affirme également qu’à défaut de la prise de cette dose, le pass sanitaire pourra être annulé.
Pour ce qui est d’un éventuel retour au confinement sanitaire, le ministre indique que cela pourra intervenir si les contaminations repartent à la hausse. Dans le même sillage, il annonce que ses servies comptent autoriser la réouverture des salles des fêtes avec des conditions.
Il s’agit, selon lui, de limitation de la présence à 50% de la capacité de la salle ainsi que l’obligation de présentation du pass vaccinal et le respect strict des mesures de prévention.
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Le ministère des Transports s’apprête à annuler, à compter du premier janvier 2022, le retrait du permis de conduire. En contrepartie, la tutelle devra mettre en place d’autres mesures permettant la récupération immédiate du permis en cas d’infraction.
Annoncée il y a quelques jours par le ministre des Transports Aissa Bekkai, cette procédure semble se confirmer. En effet, le premier responsable du secteur avait indiqué, début du mois en cours, que son département a émis une proposition concernant l’annulation du retrait de permis.
Selon des sources bien au fait citées par le quotidien Echorouk, la suspension de la procédure de retrait de permis devra entrer en vigueur dès janvier prochain. Ainsi, tout conducteur ayant commis une infraction du Code de la route pourra récupérer son permis directement après avoir payé l’amende sanctionnant le délit.
Les contrevenants disposeront également d’un délai de 10 jours pour conduire au lieu des 48 heures précédemment établies, à condition que l’amende soit payée 45 jours avant l’expiration du délai imparti et que le dossier soit déféré devant les autorités judiciaires en cas de non -respect de la nouvelle décision, tout en conservant le permis.
Selon la même source, la procédure a été proposée par la gendarmerie nationale. Après une étude menée à ce propos, il a été constaté que des permis retirés finissent par être égarés, notamment lorsqu’ils sont transférés d’une wilaya à une autre, provoquant un véritable casse-tête, notamment pour le contrevenant.
Les détails de la nouvelle procédureAinsi, la proposition faite par la gendarmerie nationale à la tutelle porte sur l’abrogation de l’article 16 du Code de la route, régissant les commissions de retrait de permis, qui entravent la mise en œuvre de la nouvelle loi concernant les permis à points.
Dans les détails, le conducteur ayant commis une infraction du 2e, 3e ou 4e degré disposera donc d’un délai de 10 jours de conduite après le retrait de son permis. Avant, le délai est fixé à 48 jours. Une fois l’amende payée, le contrevenant pourra récupérer son permis sans passer par la commission de retrait de permis.
Si l’amende n’est pas payée dans le délai des 10 jours, le conducteur sera privé du droit de conduire, mais il bénéficiera d’une prolongation pouvant aller jusqu’à 45 jours, tout en conservant le permis de conduire et pendant cette période.
Dans le cas où l’amende n’est pas payée dans les 45 jours, à compter de la date d’enregistrement de la violation, un procès-verbal de non-paiement sera établi et adressé au procureur de la République. Le contrevenant devra donc payer une amende revue à la hausse.
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Une opération menée, mercredi 10 novembre 2021, par les agents de police du commissariat de l'arrondissement de Djèrègbé, département de l'Ouémé, apuyés d'une équipe de la Direction générale de la Police républicaine, a permis d'interpeller huit (08) présumés cybercriminels.
Un groupe d'individus installé dans une maison à Gbéhonmè pour des actes de cybercriminalité a été pris la main dans le sac. La police a effectué, mercredi 10 novembre 2021, une descente inopinée sur les lieux à la suite de renseignements. Au cours de l'opération, huit (08) individus ont été interpellés. Treize (13) ordinateurs portatifs, quinze (15) téléphones portables contenant des informations compromettantes selon la police, un important matériel de connexion ont été saisis.Retour ligne automatique
Les huit individus seront présentés au procureur dans les prochains jours.Retour ligne automatique
L'opération a été menée par les agents de police du commissariat de l'arrondissement de Djèrègbé appuyés par une équipe de la Direction générale de la Police républicaine.
Marc MENSAH
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) ont signé, mardi 09 novembre 2021 à Genève, un accord qui donne un ancrage politique et juridique aux actions de coopération entre ces deux organisations.
Conclu au Siège de l'OMS, par Mme Louise Mushikiwabo, Secrétaire générale de la Francophonie, et le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l'Organisation mondiale de la santé, cet accord vient renforcer et préciser les principaux axes du Mémorandum d'entente qu'ils avaient signé en avril dernier.
Cette coopération s'articule principalement autour d'activités conjointes dans le cadre de l'Académie de l'OMS, la couverture sanitaire universelle et les soins de santé primaires et le paludisme, ainsi que dans tout autre domaine d'intérêt commun.Cet accord permet désormais à l'OIF et à l'OMS de participer mutuellement aux instances des deux organisations, selon les règles propres à chacune d'elle.
« Cet accord est la prochaine étape dans le renforcement des relations déjà étroites entre nos deux organisations », a déclaré le Dr Tedros. A l'en croire « la pandémie de COVID-19 a mis en évidence l'importance de la solidarité mondiale et de la collaboration internationale. L'engagement de la Francophonie en faveur de la paix, de la démocratie et des droits de l'homme fait de l'OIF un partenaire idéal pour l'OMS. »
Selon Mme Mushikiwabo « cet accord permettra à l'OIF de contribuer aux côtés de l'OMS au développement de la protection sociale et de l'accès universel aux services de santé publique pour tous dans le monde francophone. » Evoquant la crise COVID-19, elle a ajouté que « nous ne serons à l'abri de cette pandémie que lorsque tous les pays du monde auront vacciné leur population ».
Au-delà de ces champs d'intervention, la signature de cet Accord a permis à Madame Mushikiwabo et au Dr. Tedros de renouveler leur engagement commun en faveur de l'accès équitable aux vaccins et aux instruments de lutte contre la pandémie de la COVID-19.
L'Accord a été unanimement salué par les Ambassadeurs francophones, qui ont rappelé l'intérêt que leurs pays portent aux programmes d'assistance multilatérale et au plaidoyer en faveur de l'accès aux vaccins dans leurs pays porté notamment par l'OIF et l'OMS.
L'OIF compte 88 États et gouvernements : 54 membres, 7 membres associés et 27 observateurs.
Le Canada a annoncé, lundi 08 novembre 2021, à Glasgow où se déroule depuis le 31 octobre la 26ème Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP26), un financement de 10 millions de dollars canadiens en faveur du Fonds pour le changement climatique en Afrique.
Le financement qui provient de « Engagement Global du Québec » a été annoncé au pavillon Francophonie à Glasgow, où les partenaires évaluaient le bilan et les perspectives du Fonds, sept ans après sa création en 1994.
« Global Affaires Canada » s'est aussi engagé à soutenir les projets du Fonds portant sur les impacts du changement climatique pour les femmes et les filles.
L'appui a été annoncé à un moment où le troisième appel à propositions sur l'égalité de genres et la résilience climatique a recueilli 399 notes de concept dont 74 sélectionnées. Sur les 51,3 millions de dollars américains nécessaires au financement de ce projet, seulement six millions de dollars sont disponibles auprès du Fonds pour le changement climatique en Afrique.
Selon Suzanne Stéphane de Global Affaires Canada, le Canada connaît des impacts négatifs du changement climatique dans son grand Nord et est conscient que les pays en voie de développement, notamment ceux du continent africain, sont davantage vulnérables. Elle a souligné que le Canada portait son financement en faveur de la lutte contre le changement climatique de 2,6 milliards de dollars canadiens pour la période 2015- 2021 à 3 milliards de dollars.
Le troisième appel à propositions du Fonds pour le changement climatique en Afrique, porte sur l'amélioration voire la réduction des inégalités entre homme et femme concernant l'accès aux ressources nécessaires à l'adaptation au changement climatique et à l'atténuation des émissions de gaz à effet de serre (GES).
Les deux premiers appels à propositions du Fonds ont porté sur l'accès au financement climatique, le renforcement des capacités et l'adaptation à petite échelle.
Au total, quinze projets ont été sélectionnés pour un financement d'environ 7,73 millions de dollars américains.
Ces projets ont produit des résultats probants. Trois pays sur les seize bénéficiaires ont partagé leurs expériences lors de cette rencontre au pavillon de la Francophonie à Glasgow.
En Côte d'Ivoire, le Fonds pour le changement climatique en Afrique a, entre autres, apporté un appui de six millions de dollars américains à un projet de développement agricole qui a bénéficié à 2600 producteurs de riz et de cacao. Quelque 40 acteurs nationaux ont bénéficié d'un renforcement de capacités en finance climatique.
Au Sénégal, il s'est agi de « lever les barrières à l'accès aux financements climat des collectivités territoriales ». Difficultés liées à la centralisation de la gouvernance climatique, rareté de l'information pour monter des projets bancables, déficit des collectivités territoriales à monter des projets, déficit dans la mobilisation des ressources, difficulté d'accès à des données fiables et aux renforcements de capacités techniques et institutionnelles, ont été entre autres défis relevés.
Les participants ont souligné la nécessité de renforcement des capacités pour l'accès aux financements climat.
Le ministre malien de l'Environnement, Modibo Koné, a souhaité que la Banque africaine de développement, initiatrice du Fonds pour le changement climatique en Afrique communique davantage sur les conditions d'accès à ses financements. Il a souhaité que les processus d'acquisition et d'accès aux financements soient mieux expliqués, accessibles et simplifiés tout en évitant les nombreuses procédures.
M. Koné a souligné que le projet de la Grande Muraille verte qui a mobilisé près de 75% de ses financements reste à la traîne parce qu'aucune action concrète n'a pu être entreprise. Selon lui, le Fonds pour le changement climatique en Afrique est une structure qui va permettre de lutter véritablement contre le changement climatique en Afrique à condition que soient réglée la question de l'accès à l'information, de la compréhension et de l'appropriation des procédures pour le montage des projets bancables. Cela permettra, a-t-il affirmé, que plusieurs acteurs participent aux activités de lutte contre le changement climatique.
A propos du FCCA
Le Fonds pour le changement climatique en Afrique est une initiative de la Banque africaine de développement. Il a été créé en 2014 dans le but d'accompagner les pays africains dans le renforcement de leurs capacités sur l'adaptation au changement climatique afin de permettre la transition vers une croissance durable à faible émission de carbone. Le Fonds est soutenu par les gouvernements de la Flandre, d'Italie, du Québec, d'Allemagne via la GIZ, (qui a pourvu le financement de départ à hauteur de 6,2 millions de dollars) et Global Affaires Canada.
Le capital du Fonds pour le changement climatique en Afrique, sept ans après sa création, a été porté à 24,9 millions de dollars américains.
Dans la nuit du mardi 09 au mercredi 10 novembre 2021, trois malfrats ont été abattus par la police, à Cocotomey, un quartier de l'arrondissement de Godomey (Abomey-Calavi).
Informés de la présence des hors-la-loi dans la rue appelée "Zico" entrain de vouloir mettre en exécution un plan, les hommes en uniforme se sont rendus sur les lieux. A la vue de la police, le cerveau de la bande, un albinos reconnu pour vols à main armée dans le quartier a ouvert le feu. La riposte des policiers ne s'est pas fait attendre. L'albinos, un de ses acolytes et le zemidjan qui les conduisait ont été mortellement atteints.
F. A. A.
Dans les cotations de ce mercredi 10 novembre, la monnaie européenne et le dollar américain enregistrent une légère hausse sur le marché officiel des changes. Sur le marché parallèle, le taux de change n’a pas connu de changements majeurs.
En effet, le tableau des changes publié aujourd’hui par la Banque d’Algérie fait état d’un euro contre 159,47 dinars à l’achat et 159,48 dinars à la vente. Dans les cotations d’hier, un euro s’échangeait contre 159,03 dinars à l’achat et 159,08 dinars à la vente.
Les cotations commerciales d’ouverture du dinar pour cette même journée ont fait état d’un dollar contre 137,59 dinars sur le cours de l’achat et 137,61 dinars sur le cours de la vente. L’on note ainsi une légère baisse par rapport à hier (137,68 dinars à l’achat et 137,69 à la vente).
Pour ce qui est de la livre sterling, un pound s’échange sur le marché officiel des devises contre 186,60 dinars à l’achat et 186,69 dinars à la vente. L’on note une conséquente hausse par rapport à hier ; (185,30 dinars à l’achat et 185,37 dinars à la vente).
La Banque d’Algérie a également fait état, dans son tableau de change pour les cotations commerciales d’ouverture du 8 au 10 novembre en cours, d’un dollar canadien contre 110,52 dinars à l’achat et 110,54 dinars à la vente.
Le taux de change du dinar sur le marché parallèleAu niveau du marché parallèle, le taux de change de l’euro s’est stabilisé ce mercredi. Un euro s’échange, en effet, contre 219 dinars à l’achat et 217 dinars à la vente.
Concernant la monnaie étasunienne, un dollar s’échange contre 191 dinars à l’achat et 189 dinars à la vente. De son côté, la livre sterling n’a enregistré aucun changement majeur. L’unité de cette monnaie s’échange contre 248 dinars à l’achat et 245 dinars à la vente.
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Les fortes précipitations que connait le nord du pays ces derniers jours vont se poursuivre sur plusieurs wilayas, indiquent les services de l’Office national de météorologie.
Dans sa dernière carte de vigilance, Météo Algérie a placé pas moins d’une dizaine de wilayas en vigilance orange pluie. Il s’agit des wilayas de Béjaia, Tizi Ouzou, Boumerdès, Alger, Tipaza, Chlef, Ain Defla, Blida, Médéa et Bouira.
La validité de l’alerte s’étalera jusqu’à 21 h 00 de ce mercredi. Les quantités de pluie prévues durant la validité du BMS sont estimées entre 30 et 50 millilitres et pourraient atteindre ou dépasser les 70 mm sur les wilayas côtières, ajoute la même source.
Les prévisions de ce mercredi 10 novembreSur les régions est du pays, les prévisions de ce mercredi font état d’un temps souvent nuageux avec quelques pluies vers l’ouest de la zone, s’atténuant progressivement en cours de la nuit.
À l’ouest du pays, le temps sera nuageux avec quelques averses de pluie sur la partie est de la zone. En outre, le temps sera dégagé à peu nuageux sur les hauts plateaux occasionnant quelques pluies sur les régions intérieures.
Concernant les régions sahariennes, le temps sera voilé à nuageux sur le nord du Sahara, les oasis et le Sahara oriental. Il sera dégagé sur les autres régions du sud du pays.
Les températures maximales attendues pour cette journée de mercredi, Météo Algérie prévoit entre 15 et 20 degrés sur les régions côtières, entre 9 et 18 degrés sur les régions intérieures et entre 16 et 34 degrés sur les régions sahariennes.
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