(Par Roger Gbégnonvi)
Quel Africain au sud du Sahara n'a jamais murmuré tout seul : « Et l'Afrique dans tout ça » ? Face au monde occidental sans cesse créateur, modelant et remodelant la vie, installant les OGM, l'intelligence artificielle et le mondialisme, projetant avec ardeur le transhumanisme, etc., la lenteur de l'Afrique a tout de l'immobilisme, et l'Africain, sensé et conscient, peut en devenir pensif. Homme lui aussi, n'aurait-il cependant aucune impulsion à insuffler à l'existence ? N'aurait-il qu'à tout recevoir pour le meilleur et pour le pire, n'aurait-il qu'à parasiter le monde ? Un parasite ne s'enrichit pas à se contenter des miettes de quelque table. Et l'Afrique est pauvre bien qu'elle ait sur son sol et en son sol tout ce dont a besoin l'Occident industriel et qu'il vient chez elle ramasser. Incapable en effet d'exploiter elle-même ses matières premières, l'Afrique laisse emporter ses richesses contre des royalties dont elle se contente volontiers, quitte à paraître insouciante, voire fainéante. Et donc, méprisable. Prête à étaler ses problèmes sans pour autant qu'on la voie s'enrager pour conquérir les solutions, l'Afrique se fait mépriser par ses « partenaires au développement ».
Le Président des Etats-Unis reçoit les Chefs d'Etat africains en groupe, comme si chacun, seul, ne saurait mériter les mêmes honneurs que le Président du Mexique, seul. Sans consulter outre mesure ses ‘‘homologues'' africains, le Chef d'Etat français renverse la table. Non plus France-Afrique mais Afrique-France. Et il y convie des jeunes Africains mandatés par lui seul. Ses invités saisissent l'occasion pour conspuer, face aux caméras de la télévision, « la marmite sale » qu'est à leurs yeux le prétendu partenariat entre la France et les pays africains. Et c'est peut-être le but recherché in petto par l'hôte : « Vous le voyez, les jeunes de vos pays ne comprennent rien à notre coopération. Faites bloc autour de moi pour que nous les ramenions à la raison ! » Sinon à quoi aura servi le déballage public dont l'hôte devait savoir qu'il se produirait ? Il consent à restituer au Bénin des « objets pillés par la France » (sic) dans les palais d'Abomey. Pourquoi garder certains, quitte à dévaloriser ceux qu'il a restitués ? « Bof, reprenez ceux-là ! Les plus originaux garniront mes musées. »
Ce sont exemples du mépris subliminal que doit subir l'Afrique de la part de ses ‘‘amis'' occidentaux. Si l'on veut dénoncer ce mépris, s'en plaindre, le reprocher à l'Occident, il est devenu obsolète et inopérant d'évoquer l'esclavage et la colonisation. Et selon Aimé Césaire, même « la vieille négritude progressivement se cadavérise ». Pour répondre à la question « et l'Afrique dans tout ça ? », il faut évoquer Hegel, écrivant déjà en 1830 : « Nous laissons l'Afrique pour n'en plus faire mention. Elle ne fait pas partie du monde historique, elle ne montre ni mouvement, ni développement… [Sa] place se trouve encore au seuil de l'histoire universelle ». Il faut vouloir relever aujourd'hui le violent défi lancé à l'Afrique par le professeur Hegel. Pour le faire avec succès, l'Afrique doit combler sans délai comme une crevasse. Elle la comblera en écoutant le cœur battant de l'histoire universelle : le monde est écrit avant que d'être digitalisé, la mélodie est écrite avant que d'être chantée, la chorégraphie est écrite avant que d'être dansée, Moïse, Jésus et Muhammad sont écrits avant que d'être prêchés. « Ce que Dieu a déposé dans le monde, ce sont des mots écrits », écrit Michel Foucauld. Parce que l'animal n'écrit pas, il n'a pas créé de civilisation qu'il puisse exporter. Parce que l'homme écrit, il a créé des civilisations qu'il exporte, souvent à coups de sabre et de goupillon. Halte donc au sempiternel bavardage, à la procréation abondante et irresponsable, aux fronts prosternés quémandeurs du pain quotidien. Que toute l'Afrique se mette maintenant à écrire. N'importe quoi n'importe comment. Mais se mette à écrire. L'homme fait son salut par l'écriture. C'est ce qu'enseigne l'histoire des grandes civilisations.
Tandis que l’Euro et le Dollar enregistrent des hausses vertigineuses, le Dinar Algérien poursuit sa chute. Une dégringolade qui a eu des répercussions désastreuses sur l’économie du pays et sur le cout de la vie en Algérie.
En effet, le marché interbancaire des changes d’Alger fait état ce samedi 13 novembre d’un seul euro contre 158.5111 dinars algériens à l’achat et à 158.5697 dinars algérien à la vente. Le dollar américain est quant à lui cédé contre 138.1360 dinars algériens à l’achat et contre 138.1510 dinars algérien à la vente.
Par ailleurs, le dollar canadien s’échange au niveau des guichets de la banque d’Algérie contre 110.4028 dinars algérien à l’achat et contre 110.4236 dinars algérien à la vente. La livre sterling s’échange cependant très cher. Un seul pound équivaut aujourd’hui à 185.0945 dinars algériens à l’achat et à 185.1642 dinars algérien à la vente.
Les cotations sur le Marché noirAu niveau du marché parallèle, la monnaie nationale ne se porte guère mieux. En effet, les principales devises sont très chères au niveau du Square Port-Saïd dans la capitale Alger. Un seul Euro s’échange aujourd’hui, le 11 novembre, contre 220 dinars algériens à la vente et contre 218 dinars algériens à l’achat.
Idem pour la monnaie étasunienne qui poursuit sa hausse. Elle s’échange en effet contre 189 dinars algériens à l’achat et 192 dinars algériens à la vente. Le dollar canadien est quant à lui cédé par les cambistes du Square Port-Said contre 141 dinars algériens à l’achat et contre 144 dinars algériens à la vente.
Cependant, la monnaie britannique préserve toujours sa valeur. La livre Sterling est effectivement indétrônable puisqu’un seul pound s’échange dans le marché noir contre pas moins de 250 dinars algériens à la vente et contre pas moins de 248 dinars algériens à l’achat.
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Dans une alerte météo, l’office national de Météorologie a mis en garde ce samedi 13 novembre contre de fortes pluies orageuses dont la quantité attendue dépassera les 60 ml localement. Ces précipitations se poursuivront jusqu’à 21 h, sur 12 wilayas de l’ouest et du centre du pays.
Cet alerte Météo concerne en effet, Mostaganem, Chlef, Relizane, Tissemsilt, Ain Defla, Médéa, Blida, Boumerdès, Tizi-Ouzou, Bouira, Alger, Tipaza. Quant à la Météo Marine, la même source a mis en garde contre des rafales de vents violents dont la vitesse attendue dépassera les 50 km/h. Par conséquent, la mer sera agitée et la hauteur des vagues atteindra 2 mètres.
Cette vigilance marine concerne essentiellement les zones côtières de Skikda, Annaba, Jijel, Azzefoun, Alger, Bouharoun, El Kala, Dellys, Ténès. Les températures prévues oscilleront entre 18 et 28 degrés dans le sud. Tandis qu’il fera entre 10 et 17 degrés dans le nord.
Des intempéries inéditesDans une déclaration à la presse, la chargée de communication au niveau des services métrologiques a indiqué que l’Algérie n’a pas connu de telles intempéries depuis des années, notamment dans les régions du Nord, du centre et de l’ouest du pays.
En effet, la capitale Alger est la plus touchée, vu que les plus grandes quantités de pluies ont été enregistré dans les communes de Bordj El Bahri (197 ml), Mahelma (189 ml), Bouzareah (172 ml) et Dar El Beida (113 ml).
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Suite à une belle victoire, facilement décroché face à l’équipe de Djibouti, Djamel Belmadi ne peut qu’être fier de son équipe. En effet, les coéquipiers de Mahrez ont vaincu 4-0 les djiboutiens dans le cadre de la 5e journée (Gr.A) des éliminatoires de la Coupe du monde 2022 au Qatar.
« Je suis très content de la prestation de mon équipe, qui s’est bien appliquée tout au long des 90 minutes de jeu. Les joueurs étaient à la hauteur et ont prouvé qu’ils étaient capables de relever le défi dans toutes les situations » a déclaré coach Belmadi à la presse.
Après avoir raté un pénalty, Youcef Belaïli s’est vite rattrapé en ouvrant le score à la 29e minutes de jeu avec un magnifique but, reflétant son talent et ses qualités techniques. Quelques minutes après, l’attaquant de West Ham United, Said Benrahma a fait trembler les filets du gardien de but Djiboutien, suivie par Soufiane Feghouli qui a tiré avec précision à la 42 minutes.
Enfin, la deuxième mi-temps a été marqué par un quatrième but d’un coup de tête à la 87e minutes, exécuté par Islam Slimani. De ce fait, Djamel Belmadi a tenu à exprimer toute sa satisfaction quant au jeu et à la prestation des joueurs qui ont été à la hauteur, et ce, malgré les changements effectués.
« En dépit des changements opérés à l’occasion de cette rencontre, les joueurs sont restés concentrés sur le terrain, en appliquant à la lettre les consignes, ce qui leur a permis de prendre un net avantage avant la pause (3-0, ndlr). En seconde période, j’ai préféré faire sortir certains éléments pour les ménager, mais aussi pour les préserver des interventions viriles des Djiboutiens, qui se sont montrés très agressifs ».
Belmadi déterminé à vaincre le Burkina Faso« Nous devons oublier ce match, et nous concentrer sur le dernier rendez-vous des éliminatoires face au Burkina Faso mardi. La victoire est impérative pour pouvoir se qualifier pour les barrages haut la main », conclut le sélectionneur national.
Rappelons que le prochain rendez-vous des Verts aura lieu au stade Mustapha-Tchaker de Blida (17h00) en présence de 14,000 supporters. Le retour du public sportif sera sans doute une source de motivation pour les Fennecs qui devront décrocher dans quelques jours un billet vers le Qatar.
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Une série de travaux ont été lancés, jeudi 11 novembre 2021, en faveur des populations sinistrées d'Agoué menacées par la submersion marine. C'est à travers le Projet d'Investissement de Résilience des Zones Côtières en Afrique de l'Ouest (WACA ResIP-BENIN) financé par la Banque mondiale.
Des travaux d'urgence ont été lancés, jeudi 11 novembre 2021, pour contrer la menace de submersion qui plane sur le segment de côte Sanvee-Codji-Hillacondji.
A Agoué, les populations touchées par le déferlement des vagues ont des raisons de se réjouir.
La tranchée, cause des inondations a été fermée grâce à la première phase des travaux du Projet d'Investissement de Résilience des Zones Côtières en Afrique de l'Ouest (WACA ResIP-BENIN) financé par la Banque mondiale. Considérant le fait que la menace n'est pas totalement écartée en raison des prévisions météo-marines, d'autres travaux sont prévus. « Dans une seconde phase des travaux, nous allons procéder à la libération de la berge nord pour assurer une sécurité à la population et éviter tout risque d'accident lié aux catastrophes climatiques », a indiqué Bio Djarra Moussa, spécialiste du littoral du projet WACA.
Des sites d'accueil ont été retenus dans la commune de Grand-Popo pour accueillir les familles sinistrées.
« Un volet de la Banque mondiale à travers le projet WACA a prévu des activités génératrices de revenus pour renforcer les capacités de ces ménages qui seront déplacés », explique Bienvenu Milohin, préfet du département du Mono. « Nous avons l'obligation de les protéger. Nous les avons donc rassurés que c'est pour sécuriser leur vie et leur trouver des conditions meilleures que nous avons engagé ces actions », a précisé le préfet.
M. M.
La pandémie de la COVID-19 revient sur le devant de la scène depuis quelques jours. La parole est plus que jamais accordée aux médecins et spécialistes qui s’accordent tous à dire que la quatrième vague est à nos portes.
Malgré cette convergence, il existe en effet quelques disparités concernant le degré de virulence attendue de la prochaine vague. Entre ceux qui disent qu’elle sera plus virulente que la précédente et ceux qui appréhendent les moyens médicaux pour contrer la pandémie, Dr Bekkat Berkani se montre plutôt rassurant.
Dans une déclaration à Radio Sétif, le spécialiste estime que la quatrième vague qui est sans doute inévitable, sera moins virulente et dangereuse que la précédente. Pour lui, l’Algérie a acquis une certaine expérience dans la gestion des crises sanitaires. Ajoutons à cela le fait que 11 millions d’Algériens aient reçu la première dose du vaccin anti-covid.
D’un autre côté, la stabilité constatée actuellement en Algérie ne doit pas faire oublier aux citoyens que les chiffres communiqués ne reflètent que les résultats des tests PCR, souligne le spécialiste, avant d’ajouter que beaucoup de personnes atteintes ne sont pas recensées.
Ainsi, il faut savoir que l’hiver est la saison des maladies virales, ce qui va probablement accélérer l’arrivée de la quatrième vague, explique l’interlocuteur.
Dr Berkani plaide pour une 3ᵉ dose« Nous nous employons actuellement à nous préparer à la quatrième vague, pour minimiser son impact ». Le citoyen doit aussi y participer en adoptant les gestes barrières, mais aussi en se dirigeant vers les centres de vaccination.
À ce propos, le président de l’ordre des médecins affirme que le vaccin produit en Algérie est disponible en quantités suffisantes, il est excellent et efficace. Il faut profiter de l’accalmie et se faire vacciner, précise-t-il, tout en insistant sur la nécessité de recevoir une troisième dose, notamment pour les personnes fragiles et malades chroniques.
« Scientifiquement, on dit que le virus vit ses derniers jours lorsque l’immunité collective est atteinte », explique le spécialiste, avant d’indiquer que l’Algérie n’a enregistré aucun autre variant. Il s’agit toujours du variant Delta qui nécessite des grandes quantités d’oxygène.
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Schneider Electric a présenté aujourd’hui sa vision des industries du futur. L’appel à l’action à l’échelle de l’industrie exhorte les entreprises industrielles à adopter l’automatisation universelle, l’efficacité durable et la numérisation pour stimuler la reprise économique mondiale et faire progresser les industries de fabrication et de transformation.
En tant qu’entreprise la plus durable au monde et fabricant mondial avec un réseau de bout en bout d’usines intelligentes et de centres de distribution intelligents, dont trois désignés par le Forum économique mondial comme phares avancés, Schneider a pour mission de rendre l’industrie du futur possible pour tous.
Son cadre de nouvelle génération et sa formule gagnante pour les environnements industriels s’entourent de trois piliers fondamentaux : l’automatisation universelle, l’efficacité durable et l’automatisation centrée sur les logiciels. Ceux-ci créent une base solide pour protéger la biodiversité et améliorer la santé et la sécurité, tout en permettant le partage de données en temps réel et les opérations à distance, ce qui se produit par des améliorations progressives de la productivité et des économies de coûts
« Alors que nous nous efforçons de nous remettre de l’impact de la pandémie, d’améliorer la productivité et de mener des programmes durables, l’industrie a une occasion en or de devenir un pilier central de la reprise économique mondiale », a déclaré «L’automatisation industrielle contribue à renforcer l’éco-efficacité et à créer un écosystème plus innovant et résilient. L’innovation industrielle d’aujourd’hui est stimulée par des logiciels puissants et des analyses de données qui augmentent à la fois la productivité et la durabilité. Avec des usines nettes zéro désormais possibles grâce à une puissance de calcul et une connectivité accrues, ainsi qu’à des chaînes d’approvisionnement numériques avancées, l’écologie et le progrès ne sont plus aux extrémités opposées du spectre environnemental. »
Les dernières solutions industrielles de Schneider Electric basées sur sa plate-forme EcoStruxure™, et publiées lors de son Innovation Summit World Tour 2021, apportent les avantages de l’automatisation universelle,de la durabilité et des logiciels sur le marché. Ceux-ci incluente: EcoStruxure Automation Expert, EcoStruxure Power and Process, et EcoStruxure Plant Advisor.
Automatisation universelle
Schneider Electric a mis l’industrie au défi de faire progresser le modèle technologique sous-jacent pour répondre aux exigences modernes d’agilité et de résilience. « L’automatisation ouverte », telle qu’elle existe aujourd’hui, n’est pas assez ouverte car les entreprises sont liées par des solutions d’automatisation qui privilégient l’enfermement des fournisseurs plutôt que l’innovation. En revanche, « l’automatisation universelle » est le monde des composants logiciels d’automatisation interopérables, «plug and produce», rendus possibles par la norme IEC61499. Le logiciel d’application Portable est un catalyseur essentiel pour les industries de nouvelle génération, capable de débloquer des améliorations de changement radical en matière d’efficacité et de durabilité impossibles il y a dix ans. EcoStruxure Automation Expert est la première offre de Schneider Electric basée sur la vision universelle de l’automatisation.
Les avantages de l’automatisation universelle sont démontrés par la relation stratégique de Schneider Electric avec Wood, un leader mondial dans la fourniture de solutions d’automatisation. Les deux sociétés ont signé un protocole d’accord pour fournir au groupe d’automatisation et de contrôle de Wood un accès à la technologie IEC61499 de Schneider Electric. Cela aide Wood à fournir des solutions d’automatisation innovantes à ses clients mondiaux du secteur de l’énergie et de l’industrie.
Efficacité durable
En tant que voie vers des usines à consommation énergétique nette zéro protégeant la biodiversité, responsabilisant les travailleurs et améliorant la productivité, Schneider Electric a également appelé les industries manufacturières et de transformation à aborder la production avec un état d’esprit durable. Selon BloombergNEF, la numérisation industrielle soutient la durabilité des entreprises, favorise la décarbonisation et la circularité, réduit le gaspillage de matériaux, prolonge la durée de vie des équipements et permet une meilleure surveillance des émissions. EcoStruxure Power and Process permet aux fabricants de favoriser la durabilité sur les sites les plus énergivores au monde. Grâce aux logiciels de pointe d’AVEVA et de Schneider Electric, les utilisateurs peuvent connecter les actifs tout au long du cycle de vie, ce qui permet d’avoir une vue en temps réel des projets et/ou des opérations.
En adoptant des technologies innovantes parallèlement à des objectifs de durabilité réalisables, les entreprises peuvent facilement saisir de nouvelles opportunités commerciales tout en économisant l’énergie et en préservant l’environnement naturel. Par exemple, Schneider Electric a aidé la plus grande raffinerie d’Argentine à développer et à intégrer facilement la solution la plus petite du marché pour l’amélioration continue de l’énergie.
Automatisation centrée sur les logiciels
Face à la perturbation continue de la pandémie et aux exigences en constante évolution des clients, Schneider Electric a souligné l’importance des logiciels. EcoStruxure Plant Advisor est la prochaine évolution de la gestion numérique des installations IIoT de l’entreprise. Sur la base des résultats de projets pilotes, EcoStruxure Plant Advisor pourrait générer jusqu’à 2,8 millions d’euros / an d’améliorations pour un site de fabrication typique de 100 millions d’euros.
Les défis de demain ne seront pas abordés avec du nouveau matériel, mais nécessiteront l’application intelligente de technologies logicielles. Ce paradigme numérique a le potentiel de fournir des capacités opérationnelles sans précédent et de soutenir de nouvelles opportunités commerciales pour toutes les parties prenantes industrielles.
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Alors que le monde croyait se débarrasser de la covid-19, une « souche anormale » du virus fait son apparition en Bretagne, au nord-Ouest de la France.
En effet, la Bretagne est sous surveillance après la découverte d’une « souche anormale » de coronavirus. Selon le média français Le Télégramme, il s’agirait d’un nouveau variant du covid-19 qui a été identifié dans une école de la commune de Bannalec.
Tout a commencé en octobre dernier avec la détection d’un cluster dans l’école de Bannalec qui a conduit un laboratoire à découvrir une souche anormale du coronavirus. Plusieurs analyses ont été réalisées, mais les résultats ne correspondaient à rien.
« Ils ne révélaient ni le profil du variant Delta, ni ne correspondaient aux trois mutations d’intérêt actuellement recherchées (E484K, E484Q et L452R)« , a précisé la même source.
Cette souche est-elle préoccupante ?Face à cette « découverte », la responsable de l’agence régionale de santé (ARS) Bretagne, Anne-Briac Bili, a tenu à apporter des précisions sur cette « souche anormale » de coronavirus.
Selon elle, cette nouvelle mutation de covid-19 est une de plus parmi les milliers qui circulent depuis l’apparition du virus. Pour simplifier la chose, c’est une mutation sans danger. « Ce n’est pas vraiment un nouveau variant, il n’y a pas d’inquiétude à avoir« , a-t-elle souligné dans un communiqué.
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Les joueurs béninois et leur staff se sont envolés dans l'après-midi de ce vendredi 12 novembre 2021 pour Kinshasa, la capitale de la République du Bénin.
Il sonnait 15h53 lorsque la délégation béninoise composé de 150 personnes a embarqué pour la République Démocratique du Congo.
Les Ecureuils se déplacent dans le cadre de la 6ème journée des éliminatoires de la Coupe du monde de football, Qatar 2022.
La rencontre est prévue pour dimanche 14 novembre 2021.
Une victoire ou un match suffirait pour que le Bénin soit qualifié au Mondial.
M. M.
A la suite de la polémique née de sa thèse « Représentations sociales de la sorcellerie (AZE) chez les fon du Sud-Bénin », soutenue mercredi 10 novembre 2021, le journaliste et écrivain Florent Hessou a réagi ce vendredi 12 novembre 2021.
« Sur les réseaux sociaux, les gens ont tellement écrit. C'est normal, le sujet s'y prête. Je ne suis pas un sorcier. Je ne suis pas allé là où les sorciers dépècent leurs viandes, mais j'ai travaillé sur les représentations sociales. C'est-à-dire, ce que les Béninois pensent de la sorcellerie », a réagi Dr Florent Hessou au sujet des commentaires sur les « Représentations sociales de la sorcellerie (AZE) chez les fon du Sud-Bénin », soutenue le 10 novembre 2021 au Département de Sociologie et Anthropologie de l'Université d'Abomey-Calavi (UAC).
Il a déploré le terme ‘'azétologie ‘' utilisé pour désigner son travail de recherche.
La sorcellerie doit être vue sous l'angle de la science, selon Dr Florent Hessou. « Tout le monde dit que la sorcellerie est mauvaise. Mais est ce qu'il y a un concept au monde qui soit à 100% négatif, sans aucune positivité ? », s'est interrogé Dr Hessou.
M. M.
Le prix du pain a été réajusté à l'issue de l'Assemblée générale de l'Association des Promoteurs et Exploitants de Boulangerie le 02 novembre 2021.
La baguette de pain sera désormais vendue aux grossistes à 75 FCFA dans le département du Littoral. Le pain sera vendu aux revendeuses à 100 FCFA qui le cèderont à leur tour à 125 FCFA aux consommateurs.
Le prix réajusté entre en vigueur à partir du lundi 15 novembre 2021 dans le département du Littoral.
L'augmentation du prix de la baguette de pain fait suite à la cherté des matières premières entrant dans la préparation du pain, selon l'Association des Promoteurs et Exploitants de Boulangerie.
Réunis en Assemblée générale le 02 novembre dernier, les promoteurs et exploitants de boulangerie sont en difficulté voire endettés à cause de la flambée du prix de la farine de blé et d'autres produits.
La situation avait contraint les boulangers du département de l'Ouémé à procéder au réajustement du prix de vente de la baguette de pain avant ceux du Littoral.
Le pain peut être cédé à 100 FCFA aux consommateurs à la boulangerie.
M. M.
La Cour suprême a effectué, ce jeudi 11 novembre 2021, la rentrée judiciaire de l'année 2021-2022. L'audience solennelle d'ouverture de la nouvelle année s'est déroulée à Porto-Novo au siège de l'institution en présence de la vice-présidente de la République, Mariam Chabi Talata.
« Justice et redevabilité », c'est le thème retenu pour la nouvelle année judiciaire de la Cour suprême. Le juge au-delà de l'impartialité, l'intégrité que lui exige sa déontologie, a le devoir de reddition de compte vis-à-vis du peuple qu'il incarne.
La justice étant rendue au nom du peuple, ne saurait se soustraire aux exigences de redevabilité propre à toute démocratie, a a déclaré Victor Dassi Adossou, président de la Cour suprême.
Exigence dont l'effectivité et l'efficacité selon lui, ne peuvent cependant dépendre pour une large part, que des mécanismes appropriés pour lui permettre d'accomplir en toute indépendance sa mission de service public.
Pour la vice-présidente de la République, Mariam Chabi Talata, la redevabilité du juge ne suffit pas pour garantir l'efficacité de la justice.
A l'en croire, la responsabilité de l'Etat y est aussi engagée. Elle a évoqué à l'occasion, les actions menées par le gouvernement pour renforcer le conseil supérieur de la magistrature de même que l'expression générale des services judiciaires en leur allouant des moyens humains et matériels propres à leur permettre de remplir leurs fonctions.
F. A. A.
Cent millions (100.000.000) francs CFA à titre de dommages-intérêts toutes causes de préjudices confondues. C'est la somme que la Société BANQUE ATLANTIQUE BENIN SA est condamnée à verser à la Générale d'Energie de Bâtiments et de Services (GEBS) SA.
Le verdict a été rendu le 28 octobre 2021 dans le dossier portant dénonciation abusive des cautions d'avance de démarrage et de bonne exécution dans le cadre du marché n°407/MEF/MS/DNCMP/SP du 30 septembre 2015 relatif aux travaux de construction de l'hôpital de zone de Savè, lot 2 au profit du ministère de la Santé.
La Générale d'Energie de Bâtiments et de Services (GEBS) SA a sollicité l'accompagnement financier de la Société BANQUE ATLANTIQUE BENIN SA pour l'atteinte des objectifs du projet de construction. La Banque a accordé une garantie autonome de remboursement d'avance de 155.834.256 francs CFA venant à expiration le 04 avril 2018 ; une garantie autonome de remboursement d'avance de 78.807.609 francs CFA venant à expiration le 04 avril 2018 et une garantie autonome de bonne exécution de 55.655.091 francs CFA venant à expiration le 04 avril 2018.
Le 11 octobre 2018, la Banque a adressé une correspondance au maître d'ouvrage pour l'informer de la dénonciation des garanties autonomes dans un délai de quinze (15) jours et a exigé la constitution d'une sûreté réelle complémentaire d'un montant minimum de cent cinquante millions (150.000.000) francs CFA. L'entreprise s'y oppose et argue de ce que la Banque n'avait elle-même exigé qu'un engagement écrit du maître d'ouvrage.
L'entreprise a obtenu également une facilité de la Banque pour l'acquisition d'une grue. Une facilité pour laquelle des titres fonciers numéros 13907 et 13908 de Cotonou ont été mis en garantie. Selon l'entreprise, la facilité a fait l'objet d'un remboursement par anticipation de sorte qu'aucune situation ne pouvait constituer un obstacle à leur restitution.
La Banque s'oppose et développe que le crédit a été reçu en compte courant de sorte que les biens de l'entreprise devraient servir de garantie jusqu'à la clôture du compte courant qui existait entre eux. Le crédit a été remboursé et ils ont poursuivi leur relation d'affaires.
La Banque se fonde sur le fait que les deux parties ont convenu que les règlements dans le cadre du marché se feraient par des décomptes certifiés ; qu'il a été retenu de ne procéder au paiement qu'après avoir constaté que les travaux physiquement réalisés, sont conformes et ont atteint le seuil retenu pour qu'un paiement soit fait.
L'entreprise indique que la dénonciation des cautions d'avance de démarrage et de bonne fin d'exécution lui a causé un préjudice qui mérite réparation. Elle réclame 300 millions FCFA.
Selon le tribunal, dans l'exécution du marché, la GEBS SA ne peut prétendre avoir respecté le délai contractuel fixé à l'origine.
De ce fait, l'entière responsabilité des préjudices intervenus ne peut être imputée à la Banque.
« Qu'au regard de cette considération les montants qu'il réclame sont exagérés et il y a lieu de les ramener à une proportion raisonnable soit le montant de cent millions (100.000.000) francs CFA toutes causes de préjudices confondues ».
Marc MENSAH
Les conseillers à la Cour constitutionnelle se sont penchés sur le dossier de recours du général Faléti sollicitant l'intervention de la haute juridiction en vue de sa mise en liberté.
Détenu à la prison civile d'Akpro-Misséreté, Prudence Ayodélé Faléti a formé un recours le 02 août 2021 pour demander l'intervention de la Cour en vue de sa mise en liberté. Après l'examen du recours, la Cour par décision DCC-21-268 du 21 octobre 2021 s'est déclarée incompétente. Le général Faleti déplore dans sa requête « l'impossibilité pour lui de recevoir de la visite et demande à la Cour constitutionnelle d'intervenir en sa faveur auprès du président de la République aux fins de recouvrer sa liberté ».
En réponse, le procureur spécial près la CRIET observe que le requérant a été inculpé pour atteinte à la sureté de l'Etat, atteinte volontaire à la vie des personnes et mis sous mandat de dépôt le 24 janvier 2020.
A l'audience plénière du 21 octobre 2021, le général Faléti a sollicité l'amélioration de sa condition carcérale, notamment l'intégration dans le bloc commun à tous les détenus et l'autorisation à recevoir de la visite.
Mario Mètonou explique que la mesure d'interdiction de visite se justifie par la tentative d'évasion orchestrée par le requérant
Selon la haute juridiction, « le requérant demande à la Cour constitutionnelle d'intervenir dans une procédure judiciaire pendante en vue de sa mise en liberté sans évoquer la violation d'un droit fondamental ».
La Cour ajoute également que « l'appréciation d'une telle demande ne relève pas du domaine de compétence de la Cour tel que défini aux articles 114 et 125 de la Constitution ». Le général Faléti est en détention suite aux actes de violences intervenus dans la commune de Savè au cours des élections législatives de 2019. Il a été arrêté le 23 janvier 2020 à Parakou.
A.A.A
Après avoir longtemps critiqué les conditions et les démarches fixées par l’ANIE ainsi que les contraintes du nouveau régime électoral, les partis politiques continuent d’exprimer leur colère. C’est le cas notamment de Abderrazak Makri, chef du parti politique MSP.
Ce dernier a en effet affirmé que les partis politiques subissent des pressions contraignantes de la part de certaines parties au pouvoir qui ne croient pas au multipartisme et à la diversité politique. Selon Makri, il y a une intention de réduire le rôle des partis et les considérer uniquement comme étant des vitrines politiques.
Le chef du parti islamiste exprime sa colère depuis AnnabaLe message de Makri a été lancé lors d’un meeting tenu à Annaba dans le cadre de sa campagne électorale. Le politicien a appelé l’ensemble des instances et autorités du pays à s’entraider en faveurs des intérêts du peuple, au lieu de créer des différends qui ne font que freiner le processus de développement.
Dans ce sens, le chef du Mouvement de la société pour la paix (MSP) fait surement allusion aux multiples refus de candidatures de ses militants. « Le MSP ne peut prendre le risque et présenter des candidats sans s’assurer de leurs compétences, habilités et intégrités », indique-t-il.
L’interlocuteur ajoute en conclusion « on veut que notre État soit un État démocratique dans le cadre des préceptes de l’islam, avec une société stable, épanouie et développé. On veut tourner la page de déception et de désespoir qui a poussé nos jeunes à risquer leurs vies en empruntant des embarcations ».
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L’Algérie a traversé, cet Été, une vague virulente de coronavirus avec des centaines de victimes par jour. Après une situation sanitaire stable de plusieurs mois, les contaminations de coronavirus repartent de nouveau à la hausse avec des bilans frôlant les 150 cas/jour. Comme ce vendredi 12 novembre 2021.
Selon le dernier bilan du ministère de la Santé, l’Algérie enregistré 140 nouvelles contaminations contre 115 cas confirmés recensés dans le bilan d’hier jeudi. Quant au bilan des guérisons, il fait état de 81 nouveaux cas de patients rétablis.
D’un autre côté, le bilan des morts au covid-19 fait état de 5 cas de décès, contre les 6 morts recensés dans le bilan d’hier. De ce fait, le bilan total des contaminations de coronavirus s’élève, avec ce nouveau bilan, à 207.739 cas confirmés ; Celui des morts à 5.971 décès.
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La situation socio-économique du pays préoccupe les différents acteurs de la scène politique, économique et médiatique. Une situation fragilisée par les répercussions de la pandémie de covid-19 ainsi que la dévaluation de la monnaie nationale.
Pour contrer cet épineux problème, le gouvernement avait annoncé pendant le mois d’octobre l’augmentation du point indiciaire dans la fonction publique, la réduction de l’Impôt sur le revenu global (IRG) et la lutte contre la spéculation par l’élaboration d’un projet de loi criminalisant cette pratique.
Ces décisions qui visent essentiellement à préserver le pouvoir d’achat du citoyen algérien, ont été saluées par les députés qui n’ont pas manqué à faire d’autres propositions favorisant l’amélioration du niveau de vie et l’épanouissement économique du citoyen algérien.
Que proposent les députés ?« Il serait préférable de détailler et décortiquer encore plus le problème relatif au point indiciaire. Ce dernier est actuellement de l’ordre de 45 dinars », indique le député Nasreddine Salhi dans une déclaration à la presse.
L’interlocuteur propose dans ce contexte de faire passer le point indiciaire à « 65 dinars au minimum, et ce, dans l’objectif de limiter les écarts entre les classes sociales, améliorer les conditions socio-économiques et lutter contre la cherté de la vie ».
En effet, le point indiciaire n’a pas connu de révision depuis le décret présidentiel 07-304 du 29 septembre 2007. Ce dernier avait permis la hausse du point indiciaire à 45 Da.
« Pour être objectif et loin de tout populisme, est-ce qu’on a les ressources nécessaires qui permettent encore une augmentation jusqu’à 100 Da ? En moyenne, on ne peut dépasser les 65 DA, selon les données des experts et spécialistes », soutien par ailleurs, le député Ahmed Aboubakr qui se veut beaucoup plus pragmatique et objectif.
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L’équipe d’Algérie de football a affronté ce vendredi 12 novembre 2021, le Djibouti en match retour ; dans le cadre des qualifications de la Coupe du monde 2022 du Qatar.
Après un match largement dominé par les hommes de Belmadi, les champions d’Afrique sont sortis à la fin de la rencontre d’aujourd’hui avec une très belle victoire face aux Djiboutiens : 4 buts à 0 ; un score qui booste la confiance des coéquipiers de Youcef Belaïli dans leurs capacités à décrocher leur place pour le mondial.
Belaïli explosif, Benrahma décisifDe retour de blessure, le milieu offensif Youcef Belaïli a livré aujourd’hui un gros match. En effet, c’est lui qui a ouvert le score du match à la 29e minutes de jeu, après un penalty raté deux minutes auparavant.
Cinq minutes (40′) après la fin de la première période, l’Algérie double la mise grâce à un superbe but de Benrahma ; qui hérite du ballon à l’entrée de la surface et lâche une lourde frappe qui ne laisse aucune chance au gardien djiboutien.
Les verts ne s’arrêtent pas là. Deux minutes plus tard (42′), les hommes de Belmadi font grimper le score à 3-0. Servi par Benrahma, Soufiane Feghouli contrôle le ballon et déclenche vite du droit.
En deuxième mi-temps, les champions d’Afrique se sont contentés de gérer le score, mais cela n’a pas empêché Slimani d’ajouter un quatrième but d’un coup de tête à la 87e minutes de jeu.
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