Alors que la 4ᵉ vague du Covid-19 approche, voici qu’un médicament de base se fait de plus en plus rare sur les étagères des pharmacies en Algérie. Le Paracétamol, un mot qui est sur toutes les lèvres, mais qui se fait de plus en plus absent au niveau des officines. Cette pénurie n’a pas manqué de faire réagir le ministère de l’Industrie pharmaceutique.
Plusieurs pharmacies à travers le territoire national se plaignent des prémices d’une pénurie du Paracétamol. Selon une pharmacienne dont l’officine se trouve à Rouiba, dans la capitale Alger, « Il ne s’agit pas encore d’une pénurie, mais l’approvisionnement se fait sous tension. On est soumis à un régime de quotas ». Elle ajoute « qu’il ne s’agit principalement que du Doliprane et du Panadol, en rupture pendant quelques jours ». À Tizi Ouzou, c’est un peu le même scénario, une pharmacienne du centre-ville affirme que « le manque du paracétamol se fait de plus en plus ressentir ».
C’est M. Bachir Allouache, directeur du Contrôle et des Activités Pharmaceutiques au Ministère de l’Industrie Pharmaceutique, qui a profité de son intervention lors d’une émission télévisée, pour apporter des éclaircissements sur la pénurie du paracétamol sur le marché algérien.
Pénurie de Doliprane : le ministère s’en mêleSelon le responsable du ministère de l’Industrie pharmaceutique la pénurie est essentiellement due à l’épuisement du stock de la matière première utilisée dans la fabrication du paracétamol, mais aussi à la non-exploitation de deux producteurs de leurs stocks. Cette situation, poursuit le même responsable, a poussé le ministère à intervenir afin de mettre toutes les quantités non exploitées sur le marché.
Le deuxième facteur qui a mené à cette pénurie d’après le même intervenant est la hausse des prix. Selon M. Bachir Allouache, le prix d’un kilo de matière première utilisée dans la fabrication du paracétamol a triplé. Le responsable ajoute aussi que les frais du transport depuis la Chine des conteneurs de cette matière première sont passés de 2 000 dollars à 15 000 dollars.
Pour conclure, le responsable a appelé tous les opérateurs privés et publics à déclarer le stock de matériel pharmaceutique qui est en leur possession afin de pouvoir suivre le cheminement du médicament et de contrôler sa distribution dans les villes et les hôpitaux.
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Après un été très rude, suscitant l’aggravation de la crise de l’eau, les régions du nord du pays ont connu une importante activité pluviométrique ces dernières semaines. Les fortes quantités qui se sont abattues auront-elles un impact immédiat sur la crise de l’eau ?
Intervenant ce mardi sur les ondes de la Radio nationale, la directrice centrale de l’Agence nationale des barrages et transferts, Mme Nadia Ouchar indique que le taux national moyen de remplissage des barrages est, jusque-là, de 33,7%.
Cependant, l’intervenante estime qu’en « dépit du retour des pluies sur plusieurs wilayas entre octobre et novembre, nous sommes en pleine sécheresse ». Or, elle a fait constater que « cet apport appréciable reste relativement bénéfique ».
Certes appréciable, mais loin d’être suffisant, car il s’agit d’une légère progression au vu de l’inégalité dans la pluviométrie par régions, explique l’invitée de la Radio. À titre d’exemple, « à l’Est du pays le taux de remplissage est de 57,5%, alors qu’au Centre et à l’Ouest, les taux n’ont pas dépassé, respectivement, les 29,6% et 22,5% ».
« Il faut attendre encore quelque temps pour se prononcer »Dans les détails de la situation du taux de remplissage des barrages au niveau national, elle indique que hormis « le petit barrage de Mascara qui a subi des lâchers d’eau, celui du Chelif à Mostaganem par exemple n’a pas dépassé les 20,54% ».
En outre, Le barrage de Taksebt à Tizi Ouzou, qui alimente l’Algérois, reste toujours en état critique, tandis qui alimente l’Oranie n’a recueilli que quelque 50 millions de mètres cubes, précise encore la même responsable.
Ainsi, l’intervenante estime qu’il « faut attendre encore quelque temps pour se prononcer sur un état des lieux plus ou moins exhaustif ». D’ailleurs, elle rappelle que certains barrages se remplissent de la fonte de neiges.
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Le coup d’envoi d’une rencontre footballistique qualifiée de « décisive » approche. Cette dernière réunira l’équipe nationale et son homologue burkinabè, au sein du stade de Blida, Mustapha Tchaker, aujourd’hui 16 novembre, à 17 heures, sous la supervision de l’arbitre sud-africain Victor Gomes.
Cependant, et malgré toute la pression engendrée à cet effet, et subi par les Algériens, notamment Belmadi et ses protégés, le sélectionneur national burkinabé Kamou Malo ne cesse de mener sa « guerre psychologique » contre les Fennecs.
Dans une interview accordée à la presse burkinabè, ledit entraineur a trouvé un autre sujet à critiquer. En effet, ce dernier a critiqué la pelouse du stade Tchaker, affirmant qu’il n’est pas bien préparé.
» Je me demande comment le stade a été réhabilité par l’Union africaine, la pelouse n’est pas stable, et quand on met le pied à terre ça bouge « , affirme-t-il dans des déclarations à la télévision burkinabè, suite à la séance d’entraînement des Étalons au stade de Blida.
Kamou Malo n’a pas manqué d’ajouter : » avec la pluie, la pelouse deviendra mauvaise et la tâche sera difficile pour les joueurs, mais nous devons nous y adapter « .
« Nous sommes pleinement préparés pour obtenir le résultat souhaité », KamouPar ailleurs, et concernant les préparatifs de l’équipe burkinabè, le premier responsable de leur staff technique a révélé : » l’ambiance est excellente lors de la dernière séance d’entraînement lundi soir, et nous sommes pleinement préparés pour obtenir le résultat souhaité contre l’équipe algérienne « .
Il convient également de préciser que le match d’aujourd’hui contre le Burkina Faso est le dernier match des poules des éliminatoires de la Coupe du Monde 2022 que les Verts vont disputer. Donc, Riyad Mahrez et ses coéquipiers n’auront pas le droit à l’erreur.
Si ces derniers souhaitent décrocher leur place pour le mondial 2022, ils devront d’abord gagner ou faire un match nul contre leurs adversaires aujourd’hui. En revanche, et en cas de défaite, les Fennecs seront privés de disputer la Coupe du Monde 2022 au Qatar.
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Le fonctionnement du Bitcoin et l'écosystème de la Blockchain ont été présentés aux journalistes. C'est à travers une conférence de presse organisée en ligne par Binance Afrique le jeudi 11 novembre 2021.
La formation qui a réuni les journalistes est axée sur la vision de Binance pour l'Afrique francophone, l'introduction à la Blockchain et la crypto-monnaie, l'écosystème Binance.
Pour le directeur de Binance Afrique, Emmanuel Babalola, Binance Afrique aide à l'éducation sur les crypto-monnaies. La crypto monnaie est là pour simplifier les moyens de paiement, permettre à la jeunesse de trouver du travail dans le secteur de la technologie, c'est un actif financier avec lequel on peut faire du trading, a-t-il expliqué.
Dans la présentation ‘'Introduction à la Blockchain et la crypto-monnaie'', Carine Dikambi responsable Afrique Francophone Binance, a fait savoir que le bitcoin (BTC) est la toute première crypto-monnaie créée en janvier 2009 à la suite de la crise financière de 2008 par un informaticien nommé “Satoshi Nakamoto”. « L'envoi de bitcoin est similaire à l'envoi d'un email. Chaque utilisateur de Bitcoin possède sa propre adresse Bitcoin unique. Celle-ci identifie de manière unique votre compte Bitcoin. Grâce à cette adresse, vous pouvez envoyer/recevoir des bitcoins à n'importe qui, n'importe où et presque instantanément », a indiqué Carine Dikambi, responsable Afrique Francophone Binance.
En ce qui la Blockchain, c'est une nouvelle façon de stocker, valider et structurer les données. C'est un type spécial de registre qui ne peut être falsifié ni modifié. « La technologie Blockchain est un grand livre de comptes transparent, distribué et accessible uniquement par appendice grâce à une variété de mécanismes de consensus », a précisé la responsable Afrique Francophone de Binance.
De la présentation de l'écosystème Binance faite aux journalistes, jeuid il ressort que Binance est le premier fournisseur mondial d'infrastructures de blockchain et de crypto-monnaies, avec une gamme de produits financiers qui comprend le plus grand marché d'échange d'actifs numériques en volume. Bénéficiant de la confiance de 180 millions d'utilisateurs dans le monde, BINANCE propose un portefeuille inégalé de produits et d'offres de crypto-monnaies à travers une plateforme accessible dans 15 langues. La vision de Binance est d'accroître la liberté de l'argent pour les utilisateurs.
Marc MENSAH
Le Bénin a accueilli, mercredi 10 novembre dernier, 26 œuvres du trésor royal d'Abomey. Déportées en France depuis plusieurs décennies, ces œuvres sont revenues au pays grâce au leadership du président Patrice Talon.
Le roi d'Abomey, sa majesté Kêfa Sagbadjou Glèlè a formulé quelques prières à l'occasion de la réception. Ces ouvres du trésor royal selon le roi, font du bien au pays. « Elles donnent la paix et la joie. Avec leur arrivée, un changement notable sera constaté dans le pays », a-t-il confié.
Grâce à la présence des œuvres sur le territoire du Bénin, les chômeurs, prie le roi, vont trouver d'emploi. Ceux qui manquent d'argent vont en trouver. Les célibataires (homme comme femme) vont se marier, et les étudiants au terme de leurs études, pourront se faire recruter.
F. A. A.
Entre l’Algérie et la France les relations diplomatiques ont connu des perturbations marquées par plusieurs événements, dont la réduction drastique du nombre de visas accordés aux algériens. Une réduction qui impacte beaucoup d’algériens en France, notamment ceux en situation délicate.
En effet, le gouvernement français a décidé de réduire de 50 % le nombre de visas à savoir 31 500 visas accordés seulement. Le ministre de l’intérieur français, Gérald Darmanin, a souligné que les visas acceptés concernent les personnes ayant un lien économique, des chefs d’entreprise, des cadres et des investisseurs, compte tenu que cette réduction ne devrait pas toucher les étudiants.
Ce n’est pas le cas d’un algérien qui vient de recevoir un refus inopiné. L’entreprise française BLR Aviation a l’idée innovante de concrétiser le projet d’un drone taxi. Un tel projet nécessite évidemment une personne à la hauteur, chose faite, puisque l’entreprise a trouvé l’homme dont elle a besoin. Contre toute attente, l’entreprise ayant pris et consacré des locaux dans la commune d’Entraigues au sud de la France est surprise par l’obstacle empêchant le brillant ingénieur algérien de se rendre en France.
Un refus incomprisL’Ambassade de France en Algérie n’a pas accordé le visa à l’ingénieur algérien, pourtant, le contrat de travail et la promesse de recrutement de BLR aviation sont présentés, son profil ne présente aucun danger ou inconvénient, bien au contraire. Le responsable de BLR aviation a tenu à montrer son incompréhension quant à ce refus « l’ambassade bloque sa venue, et nous ne savons pas pourquoi. Le dossier est en cours de traitement et il est impossible de joindre l’ambassade par téléphone. Soit on ne décroche pas, soit ça décroche, mais sans que personne ne nous parle’ ».
Cela a engendré la suspension de recrutement de huit autres personnes et par extension, la suspension de ce projet innovant à cause de l’absence involontaire de l’ingénieur algérien, sans qui, rien ne peut avancer dans ce projet.
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L’arrivée de la 4e vague de l’épidémie du coronavirus en Algérie semble être une évidence. Entre ceux qui estiment qu’elle est déjà là au vu de la recrudescence des cas et ceux qui prévoient son avènement très prochain, le risque devient une réalité.
Pour le président de l’Agence nationale de la sécurité sanitaire le Pr Kamel Senhadji, il suffit de regarder ce qui se passe ailleurs et d’observer les « deux cycles de circulation du virus SARS-CoV-2 », pour dire que les « vagues se succèdent et se ressemblent ».
Dans un entretien accordé au quotidien Liberté, il affirme avec certitude que « nous ne sommes pas en reste ». Pour lui, « ce qui se passait “ailleurs” se reproduisait en Algérie avec un décalage d’environ 4 à 6 semaines ».
À ce propos, il cite le cas de l’Europe où « tous les indicateurs de recrudescence de la pandémie sont présents avec son lot de nouvelles hospitalisations, d’admissions en réanimation et un taux de reproduction du virus au-dessus de la barre fatidique de 1 ».
Il s’agit « bien d’une nouvelle circulation du virus », a-t-il constaté. Ajouter à cela la situation épidémiologique actuelle caractérisée par « des indicateurs qui ne baissent pas, mais qui montent en hausse, comme on peut le constater quotidiennement avec les chiffres du suivi de la pandémie ».
Un autre indicateur de taille à prendre en considération pour confirmer l’arrivée d’une nouvelle vague ; « la démobilisation vis-à-vis de la vaccination anti-Covid-19 ». Dans ce sens, le Pr Senhadji déplore la baisse de la mobilisation quant à la vaccination.
Choisir entre la vaccination et le confinementDans ce sens, il indique qu’un « retour aux mesures de confinement renforcées en Algérie est donc fondé, au cas où les indicateurs épidémiologiques l’imposeraient ». Mais pour l’éviter, il préconise une vaccination de masse. « Une couverture vaccinale importante et significative jouerait alors le rôle d’anti-confinement », a-t-il préconisé.
Concernant l’obligation de la vaccination à travers l’instauration du pass vaccinal, l’intervenant estime que « la santé des citoyens relève des prérogatives de l’État qui en assure la garantie ».
En revanche, l’État doit également préserver « la liberté consacrée par la Constitution ». Face à cela, il estime que « le danger que pourrait causer un comportement doit être écarté par la réglementation ».
En effet, il souligne que « la mise en place d’un mécanisme (pass sanitaire) réglementaire visant à protéger la population serait indiquée ». Cela doit être fait notamment au niveau « des établissements et des structures recevant le public. L’accès réglementé à ces établissements s’appliquerait également à ce même public ».
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Un des défis majeurs auxquels l’Afrique fait face en ce moment est la montée de la menace terroriste. Après le moyens-orient, le continent noir est devenu la terre sainte des mouvements radicaux. Au Sahel, mais aussi à la corne de l’Afrique, en Afrique centrale comme à l’ouest, la violence fait rage.
C’est dans ce contexte difficile et dangereux que le chef de la diplomatie Algérienne, Ramtane Lamamra, lors de sa dernière participation aux travaux de la réunion ministérielle du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine, a invité les états membres à s’inspirer de « l’expérience algérienne » et à « adopter la nouvelle vision récemment proposée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune », affirme un communiqué du ministère des affaires étragéres.
Selon Lamamra, « s’il faut tirer une leçon de l’expérience algérienne, c’est qu’à chaque fois qu’une réponse militaire est nécessaire, elle doit être associée à un large éventail de mesures pour s’attaquer aux causes sous-jacentes ». Le ministre des Affaires étrangères n’a pas omis de souligner que le terrorisme est « une menace croissante » en Afrique, ce qui devrait pousser vers « une approche globale qui dépasse la dimension sécuritaire ».
Toujours selon le même intervenant, il s’agit d’une politique de main de fer dans un gant de velours. Lamamra déclare que « cette combinaison entre la dureté et la douceur, dans le cas de nombreux pays, a fourni la clé pour vaincre la propagande terroriste, tarir toutes ses sources de financement et priver les groupes extrémistes de leurs zones de recrutement ».
Selon Lamamra, au niveau international, la question du terrorisme et de l’extrémisme violent semble être « reléguée au second plan ». Au moment où le terrorisme ravage l’Afrique,« les pays africains doivent parler d’une seule voix forte et claire pour souligner qu’il s’agit d’une menace mondiale », martèle-t-il, avant d’ajouter que le terrorisme « ne connaît pas de frontière, de nationalité ou de religion ».
Il n’y pas de lutte « standard » contre le terrorismeToujours selon le même intervenant, « il n’y a pas de politique de lutte « standard » contre le terrorisme ou la radicalisation ». Il explique ensuite que « comprendre le contexte et l’histoire d’une nation reste une condition préalable à l’élaboration et à la mise en œuvre réussie de stratégies de lutte contre le terrorisme ».
Lamamra a profité de cette réunion afin de souligner que « l’Algérie a toujours plaidé pour la nécessité de renforcer la coopération aux niveaux régional et international pour inverser la déstabilisation causée par le terrorisme et l’extrémisme violent ». Le ministre des Affaires étrangères a également indiqué que l’Algérie maintiendra son engagement au Sahel.
Sur le plan continental, Lamamra a déclaré que « face aux proportions alarmantes de cette menace dévastatrice, mon pays a récemment avancé un certain nombre de propositions concrètes ». Le même intervenant avait appelé « à l’élaboration d’une stratégie continentale de prévention et de lutte contre le financement du terrorisme, sur la base des recommandations prévues par la réunion d’Alger, tenue en avril 2018 ».
Pour conclure, Lamamra a indiqué que l’UA est tenue de jouer son rôle qualifié de « majeur » dans la lutte contre la menace terroriste. « Ceci est très important, ajoute Lamamra, si nous voulons gagner la soi-disant « bataille des cœurs et des esprits ».
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Les problèmes relatifs à la distribution de l’eau se multiplient ces derniers temps, ajoutant une grande difficulté au quotidien pour les habitants. La société Myah Tipaza a annoncé une panne survenue hier au niveau de la station de dessalement d’eau de mer de Fouka, affectant la distribution d’eau à la wilaya de Tipaza et à Alger.
Dans un communiqué, la même société a expliqué que le manque de production de l’eau potable a engendré des perturbations dans le programme de distribution dans plusieurs communes des wilayas susmentionnées. Ces perturbations touchent principalement la nouvelle ville de Sidi Abdellah, Zéralda, Alger, Mahelma, Staoueli et touchent partiellement Souidania, Ain Benian, Hammamet et Cheraga.
D’autres villes et communes de Tipaza seront confrontées à des perturbations sévères à l’instar de Fouka, Douaouda, Chaiba, Khemisti, Bousmail, Ain Tagourait et Bouharoun.
La crise se répand et persisteAlors que la SEAAL avait déjà annoncée le prolongement des perturbations en alimentation en eau potable, et ce, à cause des intempéries que la capitale et les wilayas voisines ont connu ces derniers temps, engendrant une turbidité de plus de 40% des eaux brutes des barrages à l’arrivée des stations de traitement SAA et Boudouaou.
La société avait rassuré ses clients que le problème sera réglé dans les plus brefs des délais en procédant à un réajustement de l’opération du traitement des eaux, afin d’assurer une bonne qualité, elle réitère cela promettant un retour progressif selon son programme.
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L’Algérie semble occuper une grande place dans la précampagne électorale pour les présidentielles en France. Les candidats ne s’empêchent pas de revenir sur la crise diplomatique qui secoue les relations entre l’Algérie et la France à chaque occasion qui se présente.
Évoquée par le président sortant Emmanuel Macron et par les autres candidats, à savoir Eric Zemmour, Eric Ciotti, Marine Le Pen, Xavier Bertrand, ou encore le socialiste Arnaud Montebourg, l’Algérie constitue apparemment un excellent atout. Sans surprise aucune, la chef de l’extrême droite française a abordé cette question.
Intervenant sur France-info, Marine Le Pen a d’emblée abordé la question concernant la décision de la France de réduire de 50% les visas accordés aux Algériens comme riposte aux autorités algériennes qui aurait refusé de reprendre les ressortissants refoulés par la France.
À ce propos, elle a salué la décision de la France en affirmant que « c’est la bonne méthode ». Pour étayer ses propos, elle explique que « l’Algérie est un grand pays qui a obtenu son indépendance, mais il faut maintenant qu’elle agisse comme une grande nation qui respecte le droit international ».
Le Pen préconise de « suspendre carrément l’octroi des visas aux algériens »D’ailleurs, la présidente du Rassemblement national ajoute que ce droit international est le suivant : « quand un de vos compatriotes est clandestin dans un autre pays, ce dernier a le droit de le renvoyer et l’autre pays est dans l’obligation de le récupérer ».
Plus loin encore, elle préconise de « suspendre carrément l’octroi des visas et le transfert de l’argent vers l’Algérie de quelque nature que ce soit ; dont l’intermédiaire des aides internationales ». D’ailleurs, elle indique que « 1,7% du PIB de l’Algérie provient des transferts de dons ».
En gros, la chef de l’extrême droite a souligné que « les choses ne vont pas bien avec l’Algérie ». Et face à cela, « l’Algérie doit respecter la France » à travers « le respect des décisions prises à l’encontre de ses ressortissants indésirables en France pour des raisons qui reviennent à leur présence illégale en France ou leur implication dans des crimes ».
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Le projet de budget, gestion 2022 du Ministère du développement et de la coordination de l'action gouvernementale a été défendu, lundi 15 novembre 2021, par le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané. C'est devant la Commission budgétaire de l'Assemblée nationale.
Au titre de la gestion 2022, les prévisions de dépenses du Ministère du développement et de la coordination de l'action gouvernementale s'établissent à 5.954.438.000 FCFA, réparties comme suit : 4.292.438.000 FCFA de dépenses ordinaires et 1.662.000.000 FCFA de dépenses en capital soit 28% du budget total. Par rapport à 2021, le budget du Ministère a connu une baisse de 45% en raison de la diminution des dépenses de fonctionnement de 15% et des dépenses en capital de 71%.
Selon le ministre d'Etat en charge du développement et de la coordination de l'action gouvernementale Abdoulaye Bio Tchané, cette baisse des dépenses s'explique par l'arrivée à échéance de la majorité des projets du portefeuille (PARASEP, PAGIPG, PCM-BONOU) et le transfèrement de certaines structures (INStaD, Ex INSAE, DGFD et SWEDD).
« Les dépenses en capital financent les deux projets prioritaires du Ministère notamment le Projet d'Etudes Prospectives et Renforcement du Cadre de Planification (PERCP) et le Projet des Moyens de Subsistance Durable (PMSD). Le PERCP est un nouveau projet du Ministère qui permettra de réaliser toutes les études de base, de prospective et d'évaluation du cadre national de la planification, d'organiser les consultations et d'échanges nécessaires à la formulation de la prochaine vision prospective post 2025 ainsi que les actions de mise en place d'un cadre de planification et d'évaluation du développement efficace, cohérent et harmonieux », a indiqué le ministre d'Etat Abdoulaye Bio Tchané.
M. M.
Ouverture du séminaire du Cercle de Réflexion et d'Echange des Dirigeants des Administrations Fiscales (CREDAF) ce mercredi 17 novembre 2021 à l'hôtel Novotel de Cotonou.
« Le contrôle fiscal à l'ère du numérique : défis et opportunités », c'est le thème retenu pour le Séminaire du Cercle de Réflexion et d'Echange des Dirigeants des Administrations Fiscales (CREDAF) qui aura lieu les 17 et 18 novembre 2021 à l'hôtel Novotel de Cotonou. Ce séminaire international va rassembler les responsables du contrôle fiscal des pays membres du CREDAF. Les participants vont aborder les défis auxquels les administrations fiscales sont confrontées dans le cadre de l'exercice de leur mission de contrôle fiscal. Ils se pencheront sur les opportunités visant l'amélioration du contrôle fiscal. Un accent sera mis sur le développement de partenariats et le recours aux solutions numériques.
Les participants vont également échanger sur plusieurs programmes à savoir ‘'l'Inspecteur des Impôts Sans Frontière (IISF)'' et ‘'l'Initiative Afrique (IA)'' dans le but de trouver des solutions de soutien et de décloisonnement de la mission du contrôle fiscal dans chaque Etat membre du CREDAF.
La dernière édition du séminaire du CREDAF a eu lieu en 2019 à Madagascar. Pour l'édition 2021, les acteurs du contrôle fiscal poursuivront les réflexions et les échanges sur des sujets d'intérêt commun. L'objectif est de permettre aux administrations fiscales d'optimiser l'atteinte des objectifs de mobilisation des ressources au profit de l'Etat.
A.A.A
Le monde du sport, notamment du ballon rond, ne cesse de nous surprendre. C’est d’ailleurs le cas des déclarations inattendues de l’international algérien de Galatasaray, Sofiane Feghouli.
En effet, l’ailier droit du club turc a récemment accordé un entretien à un média turc, Mynet en l’occurrence, où il s’est lâché et dévoilé certaines révélations surprenantes, voire choquantes, à propos de l’international allemand Mesut Ozil.
Le Fennec a affirmé que le milieu de terrain du Fenerbahçe SK, faisait partie des personnes qu’il n’aimait pas. Feghouli a exprimé sa haine envers l’Allemand Mesut Ozil, à cause du fameux match entre l’Algérie et l’Allemagne lors de la Coupe du Monde 2014 au Brésil.
« Le but d’Ozil a détruit nos espoirs », Feghouli« Dans ce match, nous sommes apparus à un très bon niveau et avons pu nous qualifier, mais Ozil a détruit nos espoirs », a affirmé Feghouli.
« Nous avions terminé le temps réglementaire du match avec un nul 0-0. Ils ont marqué un but juste au début des prolongations, mais nous avons pensé que nous allions revenir. Nous n’avons pas perdu espoir. Toutefois, le but de Mesut dans les temps morts nous a atomisé », a fait savoir le Champion d’Afrique.
Par ailleurs, ce dernier n’a pas hésité à ajouter : « à ce moment-là, Ozil est devenu la personne que je haïssais le plus au monde. Bien que nous ayons marqué un but, mais c’était trop tard. »
Pour rappel, le match du quart de finale de la Coupe du Monde 2014 qui a réuni l’Algérie et l’Allemagne, a été marquée par la grande performance des Verts, ce qui a poussé les aigles allemands en prolongation. Cependant, le match s’est soldé par la victoire de l’équipe allemande (2-1).
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Les violences faites aux femmes se répandent de plus en plus partout dans le monde. Alors que les raisons derrières ces violences sont multiples et injustifiées, la réaction n’est pas une seule.
Les femmes choisissent, autant que faire se peut, de s’en sortir et de ne pas se contenter de subir cette hideuse violence, c’est le cas d’une algérienne en France. Ce samedi 13 novembre, à Montélimar au Sud-Est de la France, une dispute a éclaté entre un couple d’algériens.
La dispute a fini dans la rue, alors que les cris et l’odeur de l’alcool émanant de l’homme en colère étaient envahissants, la police est arrivée, c’est là où l’algérienne leur explique que son conjoint l’a violenté, raison pour laquelle elle s’est vu contrainte de se défendre à l’aide d’un couteau de cuisine, ce qui a engendré deux blessures au niveau du poing et de l’épaule de son conjoint.
Le mari ensanglanté a reçu les premiers soins par les pompiers, sur lesquels il aurait craché pendant qu’ils essayaient de le calmer. Une plainte signée sa femme et trois pompiers a été déposée.
Légitime défense ?Beaucoup de femmes ne réussissent pas à s’échapper où à se défendre, mais pour celle qui le font, en l’occurrence à l’aide d’un couteau, est ce que c’est de la légitime défense?
La légitime défense permet de se défendre, de protéger quelqu’un ou se protéger lors d’une attaque ou une agression dont les moyens de défense sont interdits dans une autre situation. On plaide la légitime défense lorsque ces conditions sont réunies : l’attaque doit être injustifiée, la défense doit se faire pour soi ou pour une autre personne, la défense doit être immédiate, la défense doit être nécessaire à sa protection et la défense doit être égale à la gravité de l’attaque.
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Le passage des ministres et présidents d'institutions devant la Commission budgétaire de l'Assemblée nationale dans le cadre du vote du projet de loi de finances, gestion 2022 a démarré lundi 15 novembre 2021. Le ministre du travail et de la fonction publique, madame Adidjath Mathys a défendu le budget de son département ministériel.
7 milliards 190 millions FCFA. Ainsi s'établit le projet de budget 2022 du Ministère du travail et de la fonction publique. Comparativement à 2021 où il s'est établi à 7 milliards 228 millions, ce budget connaît une légère baisse de 0,54%.
Le budget du ministère du travail et de la fonction publique, exercice 2022 sera consacré prioritairement à la mise en œuvre d'un vaste programme pour rationaliser la gestion des ressources humaines de l'Etat.
« Pour l'année 2022, nous allons poursuivre l'exécution de nos projets notamment le projet de renforcement des capacités du ministère et le projet d'appui à la réforme de l'administration publique et sa modernisation. Mais pour compter de 2022, nous allons ajouter un troisième projet, un vaste projet que nous proposons au Programme d'actions du gouvernement (PAG 2) qui, s'il était retenu, va rationnaliser la gestion des ressources humaines de l'Etat depuis le recrutement jusqu'à la paie. Ce sera un grand projet qui permettra de nous doter de grands outils de travail de dernière génération. Ce que nous faisons jusque-là, c'est avec le personnel du ministère et les informaticiens. Nous avons besoin de pérenniser cela dans ce nouveau grand projet qui sera partiellement financé par l'Union Européenne », a expliqué Adidjath Mathys.
Plusieurs chantiers ouverts seront poursuivis en 2022. Il s'agit de la dématérialisation des procédures notamment en ce qui concerne la gestion des actes de carrière des agents de l'Etat, la dématérialisation du processus de mise à la retraite pour permettre au retraité de bénéficier de sa pension, le premier mois qui suit celui de son admission à la retraite.
Marc MENSAH
La levée des subventions généralisées sur les produits de première nécessité, en optant pour le ciblage des catégories éligibles, ne semble pas avoir l’approbation nécessaire. Introduite dans le cadre du projet de loi des finances 2022, cette mesure sera-t-elle adoptée par l’APN ?
Depuis son annonce dans le cadre du PLF 2022, la levée des subventions généralisées n’a pas fait, en aucun moment, l’unanimité. Débattue au niveau de la commission des finances et du budget à l’APN, les membres de cette dernière ont également émis moult réserves.
Selon des sources présentes lors du débat, citées par le quotidien Echorouk, les membres de ladite commission ont carrément demandé le report de l’application de l’article 187 du projet de loi des finances 2022. Il s’agit, rappelons-le, du ciblage des transferts sociaux et la levée des subventions sur les produits de première nécessité.
Les détracteurs de cette mesure auprès de la commission ont proposé de la reporter à la loi des finances complémentaire ou carrément à la prochaine LF. Et ce, malgré les éclaircissements apportés par le représentant du gouvernement, à savoir le ministre de l’Industrie Ahmed Zeghdar, lors de la séance à huis clos.
Selon la même source, le représentant du Premier ministre lors de la séance consacrée au débat sur le PLF a expliqué que cette démarche vise à lever les subventions de l’État sur les catégories aisées et viser les catégories les plus démunies.
Les réserves des députésEn revanche, cela n’interviendra pas avant l’installation d’une commission interministérielle avec la présence de membre des deux chambres parlementaires. Cette commission aura pour mission de définir le nombre des familles éligibles puis de fixer le montant destiné à ces familles et les produits concernés par la révision des prix.
Malgré ces éclaircissements fournis par le ministre, les membres de la commission des finances et du budget estiment qu’il est inutile de faire passer cette mesure dans le contexte actuel et avant même avoir arrêté la liste des personnes éligibles et le montant de la subvention.
D’ailleurs, le gouvernement n’a pas encore défini tous ces points, selon les intervenants qui soulignent également que Parlement ne dispose pas de toutes les données nécessaires, malgré sa conviction de la nécessité d’appliquer cette démarche.
Ainsi, ces députés demandent de reporter l’application de cet article jusqu’à l’achèvement du recensement démographique programmé au cours des six premiers mois de 2022, pour ensuite le soumettre au vote auprès de l’Assemblée.
Par ailleurs, il convient de rappeler que l’Assemblée populaire nationale (APN) reprendra, demain mercredi, ses travaux en séance plénière consacrée au vote du Projet de loi de finances (PLF) 2022, a indiqué lundi un communiqué de l’assemblée, repris par l’agence APS.
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Le Conseil Electoral lance un appel à candidatures pour la sélection des candidats à six différents postes techniques opérationnels de la CENA. C'est dans le cadre de la mise en place des structures techniques de la Commission et conformément aux dispositions de l'article 34 du code électoral.
Selon le président du Conseil Electoral Sacca Lafia, les postes ouverts sont : directeur général des élections ; directeur chargé des affaires administratives et financières ; directeur chargé du matériel et des opérations ; directeur chargé des systèmes d'information ; directeur chargé de la communication et de la formation et la personne responsables des marchés publics.
Les postulants déposeront leurs dossiers de candidature en version électronique en ligne et une version physique au Secrétariat du Président du CE. La date de clôture du dépôt des candidatures est fixée au 30 novembre 2021 à 15 heures. Lire les conditions et les pièces à fournir.
Des peines de prison requises contre les accusés dans le dossier de trafic de carnets de vaccination anti-Covid-19, ce lundi 15 novembre 2021.
Ouverture du procès des accusés interpellés dans le dossier de faux carnets de vaccination anti Covid-19 à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). A la barre, certains prévenus ont plaidé coupables. Selon Me Koukpolou au micro de Frissons, Radio, la défense a « plaidé la clémence pour certains et la remise en liberté pour d'autres (...) ».
Le ministère public a requis 05 ans de prison dont 01 ferme contre des prévenus et 05 ans de prison avec sursis pour d'autres. Il a aussi requis une amende de 2 millions de FCFA.
24 personnes sont poursuivies dans ce dossier pour abus de fonction et complicité d'abus de fonction. Le verdict est renvoyé au 29 novembre 2021.
A.A.A