Après plus d’un mois d’intempéries et de pluies diluviennes, l’accalmie s’installe en Algérie. La météo a été clémente ces derniers jours, avec un retour du soleil sur presque la totalité du territoire national.
En effet, l’Office National de la Météorologie a annoncé pour aujourd’hui, samedi 18 décembre 2021, un temps ensoleillé sur la majorité des wilayas du pays. Au nord, le ciel sera dégagé hormis quelques passages nuageux localement, notamment sur les régions de l’intérieur et des hauts plateaux.
À l’est du pays, le ciel sera voilé notamment à Khenchla, Tébessa et Batna. À M’sila, Météo Algérie prévoit un temps nuageux avec quelques éclaircies. Cependant, le soleil dominera le ciel de la wilaya de Constantine
Les températures attenduesAu niveau des wilayas de l’intérieur, le ciel sera partiellement voilé avec quelques passages nuageux sans effet. Quant aux régions de l’ouest, Météo Algérie prévoit une journée bien ensoleillé notamment à Tlemcen, Mascara, Ain témouchent. En revanche, à Chlef, Mostaganem, Relizane et Oran, le ciel sera partiellement voilé.
Selon la même source, les températures oscilleront entre 13 et 16 degrés au Nord du pays. À l’ouest, il fera 10 degrés. La même température sera enregistrée à l’est.
Tandis qu’au sud, la température maximale sera de 28 degrés. 20 degrés seront enregistrés à Illizi, 18 degrés à Tindouf, 14 degrés à Adrar, 23 degrés à In Saalah et 28 degrés à Bordj Badji Mokhtar.
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L’Institut Pasteur d’Algérie a annoncé, mercredi dernier, l’apparition d’un premier cas du redoutable variant du coronavirus ; l’Omicron. Face à une situation épidémiologique recrudescente, les mises en garde se multiplient, mais se diffèrent également.
Apparu pour la première fois début novembre dernier en Afrique du Sud, l’Organisation mondiale de la Santé avait aussitôt qualifié le variant Omicron « d’inquiétant ». Depuis, et après constat de son évolution, l’énorme panique qui s’est emparée de la planète commence alors à s’estomper.
Or, si les assurances portent notamment sur la véracité de ce nouveau mutant, on ne peut pas en dire autant quant à sa propagation. En effet, malgré qu’il garde beaucoup de secrets, Omicron à la faculté de se propager très rapidement au point où certains pays confirment qu’il commence à prendre le pas sur le variant Delta.
Pour l’Organisation planétaire en charge du domaine sanitaire, aucun variant du Covid-19 ne s’est propagé jusqu’à présent aussi rapidement qu’Omicron. Selon le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, « 77 pays ont maintenant signalé des cas d’Omicron, mais la réalité est qu’Omicron se trouve probablement dans la plupart des pays même s’il n’a pas encore été détecté ».
À quoi faut-il s’attendre en Algérie ?En Algérie, les mises en garde vont de pair avec les assurances concernant ce nouveau variant. En effet, lors de l’annonce du premier cas détecté en Algérie, l’Institut Pasteur a tenu à rassurer que sur le plan épidémiologique mondial, « la majorité des cas signalés jusqu’à l’heure actuelle pour ce variant, représentent des cas bénins ».
À ce propos, l’IPA explique « qu’un seul cas de décès et quelques cas d’hospitalisation ont été signalés au Royaume-Uni à ce jour ». Or, la situation « est appelée à évoluer dans le temps », indique-t-on encore.
Du côté des spécialistes et autres responsables du secteur sanitaire, l’on s’inquiète davantage quant à la situation, notamment après la détection du premier cas. Or, les alertes se font beaucoup plus sur le variant Delta, déjà en circulation dans le pays, que sur le nouveau mutant.
Pour le Pr Kamel Senhadji en sa qualité du président de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, « ce sera une crise dans la crise. Car au moment où nous attendions la quatrième vague du variant Delta, nous avons le variant Omicron qui pointe son nez ».
Dans une déclaration rapportée par le quotidien Liberté, il affirme cependant que « ce qui est inquiétant maintenant, c’est le Delta, car les chiffres montent et nous connaissons tous ses caractéristiques ».
Quel risque en cas de collision entre les deux variants ?Pour ce qui est de ce que pourra engendrer le chevauchement des deux variant (Delta et Omicron), il explique que certes, « Omicron pourrait arriver au cours de la vague Delta, peut-être au milieu ou bien après ». Mais « les résultats préliminaires sont assez encourageants, car même s’il est très contagieux, les observations cliniques ont montré qu’il est sans gravité ».
Or, ce qui inquiète le plus, selon le même intervenant, c’est le faible taux de vaccination », d’autant qu’elle « a montré ses effets bénéfiques ; le nombre de décès qui baisse chez les vaccinées et l’absence de formes graves même après 6 mois ».
Ainsi, force est de constater qu’à apriori, même si le nouveau mutant commence déjà à gagner du terrain à travers le monde et en Algérie, ses répercussions ne peuvent pas être aussi désastreuses que le Delta, d’au moins selon les données disponibles. En tout cas, le mieux c’est de garder la vigilance à son niveau le plus élevé en observant les gestes barrières afin d’en limiter la propagation.
Lors de sa dernière conférence tenue mardi dernier à Genève, le premier responsable de l’OMS affirme : « Nous sommes préoccupés par le fait que les gens considèrent Omicron comme bénin. (…) Même si Omicron provoque des symptômes moins graves, le nombre de cas pourrait une fois de plus submerger les systèmes de santé qui ne sont pas préparés ».
Que faut-il faire au niveau des frontières ?Il convient de noter que le premier cas annoncé mercredi dernier par l’IPA était importé. Il s’agit, en effet, « d’une personne de nationalité étrangère, rentrée sur le territoire algérien le 10 décembre 2021 et qui a fait l’objet, dans le cadre des dispositions et protocoles sanitaires ».
Si l’on prend en considération ce fait, plusieurs interrogations se posent ; faut-il fermer les frontières ou emboiter le pas aux mesures décidées sur les traversées maritimes en rendant la vaccination obligatoire pour les voyageurs par avion ?
Si la première option est écartée par de nombreux spécialistes, la seconde pourra bien être entreprise prochainement. En effet, des spécialistes avancent qu’avec la fréquence réduite des vols, la situation est facilement maitrisable. Or, les voyageurs arrivant des pays où le nouveau variant circule fortement.
Ce qui nous ramène à l’importance d’instaurer le pass sanitaire pour les voyageurs à destination de l’Algérie par avion. Pour rappel, le ministère des Transports avait décidé, début décembre en cours, d’inclure le passeport vaccinal parmi les conditions de voyage par voie maritime. Faut-il s’attendre à ce que des mesures similaires soient prises concernant les vols vers l’Algérie ?
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Suite à la réouverture des frontières aériennes et maritimes, les prix des principales devises ont flambé. Que cela soit sur le marché parallèle ou officiel, la monnaie nationale connait une chute inexorable face au dollar et à l’euro.
Sur le marché noir, un seul euro s’échange contre 214 dinars algériens à l’achat et 216 dinars algériens à la vente. L’unité de la monnaie étasunienne est par ailleurs cédé contre pas moins de 193 dinars algériens à la vente et 190 dinars algériens à l’achat.
En revanche, le dollar canadien s’échange au marché noir contre 143 dinars algériens à la vente et 146 dinars algériens à l’achat. La livre sterling quant à elle demeure indétrônable. Un seul pound est cédé par les cambistes du square port-saïd contre 248 dinars algériens à l’achat et 251 dinars algériens à la vente.
Les cotations de la banque d’AlgérieAu niveau des guichets de la banque d’Algérie, un seul euro est cédé contre pas moins de 248 dinars algériens à l’achat et 251 dinars algériens à la vente. Pa ailleurs, un seul dollar est cédé contre 138.88 dinars algériens à l’achat et contre 138.90 à la vente.
Le dollar canadien quant à lui s’échange au prix de 108.45 dinars algériens à l’achat et 108.49 dinars algériens à la vente. Ainsi, un seul pound est cédé contre 184.19 dinars algériens à l’achat et contre 184.29 dinars algériens à la vente, selon les cotations commerciales de la banque d’Algérie.
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Le palais royal d'Abomey est en deuil. Le roi Kêfa Sagbadjou a rejoint ses ancêtres ce vendredi 17 décembre 2021.
Le roi d'Abomey n'est plus. Dah Kêfa Sagbadjou comme on le dit, est allé à Allada. Il a rendu l'âme ce vendredi 17 décembre vers 20h des suites d'une maladie. Compte tenu de son état de santé, il n'avait pas assisté à la cérémonie annuelle divinatoire Houéfa 2022.
Successeur de Dédjalagni Agoli-Agbo, le défunt roi est le petit-fils du roi Glèlè.
Il a accédé au trône le 12 janvier 2019. Dah Kêfa Sagbadjou, professionnel de l'art divinatoire, était détenteur de pouvoir mystique.
F. A. A.
Les résultats de l'examen national de Master confirment la vision du promoteur qu'est de fournir aux étudiants un environnement d'apprentissage de qualité pour faire d'eux des cadres opérationnels dans le tissu économique.
Véritable Label d'excellence, chaque année à l'Ecole Supérieure de Management (ESM-BENIN), nous obtenons de meilleurs résultats aux examens nationaux. Pour le compte de l'année 2021, les étudiants ont battu tous les records avec un taux de 100% dans les filières BANQUE FINANCE ET ASSURANCE, ENTREPREUNARIAT ET GESTION DES PROJETS, TRANSPORT ET LOGISTIQUE.
Hormis ces résultats , les étudiants à ESM-BENIN ont également produit d'excellentes performances dans les filières comme Marketing Communication et Commerce (MCC), Management des Ressources Humaines (MRH),etc….
ESM-BENIN est basée à Cotonou en face du Stade de l'Amitié Général Mathieu Kérékou.
COTONOU (Siège) (00229) 97 30 84 84
Nos campus dans les autres villes du Bénin :
AKPAKPA (00229) 91 40 07 07
ABOMEY-CALAVI (00229) 96 31 75 75
PORTO-NOVO (00229) 91 40 12 12
LOKOSSA (00229) 91 40 09 09
BOHICON (00229) 91 40 10 10
DJOUGOU (00229) 91 39 05 05
PARAKOU (00229) 91 39 04 04
ESM-BENIN, le chemin vers l'emploi !
Louisa Hanoune, secrétaire générale du parti des travailleurs, lance son énième signal d’alarme. La trotskiste endurcie, qui a accompagné les événements marquants de l’histoire de l’Algérie indépendante, est plus que jamais inquiète pour l’avenir du pays.
Dans son rapport politique introductif présenté aujourd’hui, le 17 décembre 2021, aux travaux de la dernière session du Comité Central, Louisa Hanoune a affirmé que cette année « s’achève dans l’incertitude et l’angoisse ». L’année 2021 a été, pour la SG du PT, « l’année de tous les sinistres ».
2021, « l’année de tous les sinistres »Pour Hanoune, l’année 2021 a été marquée par six grands sinistres. Il s’agit, selon elle, d’un « sinistre sur le plan sanitaire », lié à la pandémie, d’un « sinistre sur le plan social », traduit par une dislocation du tissu social, d’un « sinistre sur le plan économique » porté par une orientation de plus en plus « anti-sociale » du gouvernement, d’un « sinistre sur le terrain des libertés » et son lot de détenus d’opinion, d’un « sinistre universitaire », et enfin, du « sinistre des collectivités locales ».
Bien qu’elle n’a pas manqué de dresser un tableau noir sur la situation sanitaire, sur les libertés, ou sur le niveau des universités algériennes, Louisa Hanoune, comme à son habitude, a préféré s’attarder sur les dérives sociaux économiques qui menacent, dit-elle, de provoquer « un séisme de très haute magnitude porteur de tous les dangers ».
Hanoune a mis le doigt sur la plaie. Elle rappelle que depuis 2020, « les pertes d’emploi se sont poursuivies », « les prix des produits de large consommation ont flambé parfois jusqu’à 300% ». Cette situation, poursuit la SG du PT, a provoqué « l’explosion de la mendicité », « la violence urbaine », « des expressions de la décomposition sociale » et « l’explosion du drame de la Harga ».
« La faim s’installe en Algérie »Hanoune n’hésite pas à affirmer que « 59 ans après l’indépendance, la faim s’installe en Algérie ». Elle explique que pour vivre décemment en Algérie il faut un salaire moyen de 150 000 DA. Ce constat dressé par « des experts », concerne les besoins d’une famille de 5 membres, souligne-t-elle.
« Le seuil de pauvreté pour une famille algérienne composée de 5 membres est d’environ 60 000 DA mois », affirme La secrétaire du Pari Travailliste qui va jusqu’à citer les critères de la Banque Mondiale.
Hanoune rappelle ensuite que « la majorité des salariés perçoit moins de 35 000 DA », que « le salaire moyen ne dépasse pas 42 000 DA », que « des millions de familles survivent avec moins de 20 000 DA », et que « des dizaines de milliers de salariés du filet social (AFS) surexploités dans les administrations perçoivent 5 000 DA/mois ».
Il y a pire selon Hanoune, car le taux de chômage a explosé. Elle affirme toutefois que « la Loi de Finances 2022 ne prévoit pas de création d’emploi ». Au lieu de cela, « le gouvernement s’attaque frontalement aux subventions sociales », déplore Hanoune, qui souligne qu’il s’agit d’une « véritable déclaration de guerre sociale ».
« Le gouvernement ne relancera pas l’industrie »Alors que le premier ministre s’égosille à faire l’éloge de la relance industrielle en Algérie, Hanoune le coupe court. Elle annonce clairement que « la politique du gouvernement ne relancera pas l’industrie », mais elle va « liquider ce qu’il en reste ».
Hanoune prend pour exemple l’accord avec l’UE. Elle affirme que « le gouvernement louvoie, souffle le chaud et le froid, qu’il n’a nullement l’intention de libérer notre pays de cet accord compradore ». La SG du PT estime que « ce sont des politiques similaires qui ont provoqué sous la dictée du FMI et la BM les guerres prétendument ethniques de dislocation en Afrique ».
Hanoune a voulu toutefois terminer sur une once d’espoir, bien que toujours mélangée à des parfums de lutte. Elle souligne que « les sinistres nombreux qui ont certes accablé, meurtri, l’écrasante majorité du peuple, la répression et la descente aux enfers sur le plan social, ont en même temps aiguisé la conscience collective ».
Si au début de son rapport, elle disait que 2021 était l’année de tous les sinistres, elle termine en affirmant qu’elle a été aussi celle « des résistances et des mobilisations pour des revendications socio/économiques et démocratiques ».
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Outre la finale qui aura lieu demain entre l’Algérie et la Tunisie, la Coupe Arabe offrait aux amoureux du ballon rond l’occasion de voir un match Gala qui oppose les « légendes arabes » et les « légendes mondiales » du football. Dans la liste de la « Dream Team arabe », figurait trois joueurs algériens.
Il s’agit de Rafik Saifi, Rabah Madjer, et de Rafik Halliche. Ces trois stars qui ont fait le bonheur des Algériens, étaient censées affronter d’illustres noms du football mondial tels que Cafu, Pirlo, Karembeu, et Lothar Herbert Matthäus.
Petit hic pour les trois joueurs algériens, ils ne pouvaient pas disputer ce match. Alors que tout était prêt, les trois joueurs ont annoncé qu’ils se retiraient, et pour cause ; l’entraineur de l’équipe adverse est un Israélien.
Le trio algérien se retire de la Dream Team arabeIl s’agit de Avraham Granat, plus connu sous le nom d’Avram Grant, ancien entraineur de l’équipe de Chelsea FC. Bien qu’il possède la nationalité polonaise, cet entraineur n’a pas été du gout des trois Algériens. Le trio national a jugé qu’il ne pouvait fouler la pelouse du stade, dès qu’il a appris que l’entraineur de l’équipe adverse était un Israélien.
Ce n’est pas la première fois que des sportifs algériens se retirent d’une compétition afin de donner de l’écho à la cause palestinienne. Si certains sont tout à fait d’accord, d’autres estiment que les choses vont un peu trop loin parfois, vu qu’il ne s’agit là que d’un match amical, qui est plus une exhibition qu’une compétition.
Quoi qu’il en soit, le match a eu lieu aujourd’hui vendredi, et des stars arabes telles que l‘Égyptien Wael Gomaa, le Marocain Hocine Kharja, et l’Irakien Younis Mahmoud, ont pu affronter des légendes comme Andrea Pirlo, Yaya Touré, ou Youri Djorkaeff, sans Saifi, ni Madjer, ni Halliche.
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Moins de 2h nous séparent de la finale de la Coupe Arabe. Une compétition dominée par des pays nord africains notamment l’Algérie et la Tunisie. Les joueurs des deux pays voisins s’affronteront demain, samedi 18 décembre au stade Al Bayt, situé dans la ville d’Al-Khor, au nord-ouest de Doha.
Le match opposant les Fennecs aux Aigles de Carthages, aura lieu à 16 h, heure algérienne, GMT. Il sera diffusé en direct et en intégralité sur BeIN Sports HD1, BeIN Sports HD2 et Al Kass Sport HD. À cela s’ajoute, la chaîne YouTube de la FIFA, accessible depuis l’Algérie uniquement à travers un VPN.
Majid Bougherra, devenu un bon entraineur en si peu de temps, « ne pense à aucun autre scenario hormis celui de gagner ». Après avoir réalisé une victoire historique face au Maroc et au Qatar, le jeune Coach est plus que jamais motivé.
« La finale sera disputée avec la même détermination »Il a indiqué que « la manière de jouer de l’équipe tunisienne a été analysée de A à Z ». En effet, « la finale sera disputée avec la même détermination à laquelle on s’est habitué », a déclaré Majid Bougherra, lors d’une conférence de presse tenue Aujourd’hui, le 17 décembre 2021.
Par ailleurs, le sélectionneur national s’est exprimé sur la motivation des joueurs notamment la star Belaili dont le contrat avec le Qatar SC a été résilié au lendemain du match historique entre l’Algérie et le pays hôte. « Cette fin de contrat ne va pas l’impacter vu qu’il est très impatient de disputer la finale », a confié Bougherra.
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Après avoir éliminé le Maroc et arraché une belle victoire face au Qatar, les Fennecs devront affronter demain, samedi 18 décembre les Aigles de Carthage lors d’une finale 100% maghrébine. La rencontre qui aura lieu au stade Al Bayt, sera diffusé à 16 h (heure algérienne).
Les joueurs des deux équipes nord-africaines sont déterminés à décrocher le titre. Leurs entraineurs le sont encore plus, à l’instar du jeune Madjid Bougherra, devenu un bon entraineur après avoir été un excellent footballeur au poste de défenseur central.
De son côté, le sélectionneur de l’équipe tunisienne Mondher Kebaier n’a pas manqué à montrer sa motivation pour la rencontre de demain. Arrivé en finale avec la Tunisie, pour la première fois depuis sa nomination en 2019, Kebaier est plus que jamais déterminé.
Les déclarations de KebaierEn marge d’une conférence de presse organisée à la veille de la finale, l’entraineur tunisien explique que son équipe a traversé beaucoup d’obstacles et de difficultés depuis le début de cette compétition.
Malgré l’absence de Meriah, la Tunisie déterminée à remporter le titre
Parmi ses difficultés figure, l’absence de Yassine Meriah qui est considéré comme l’élément phare de l’équipe tunisienne. « Nous abordons cette finale avec la ferme intention de remporter le titre pour l’offrir à Yassine Meriah. Sa blessure nous attriste », a déclaré Mondher Kebaier.
L’intervenant poursuit : « nous avons d’autres pour le remplacer ». Selon lui, les Aigles de Carthage n’envisagent pas de s’arrêter en si bon chemin et souhaite soulever la Coupe Arabe.
« Nous ne nous sommes pas qualifié en finale depuis longtemps, raison pour laquelle les joueurs vont disputer ce match avec une grande concentration » ajoute l’entraineur tunisien avant de conclure : « la compétition a donné une belle image sur le monde arabe, j’espère qu’elle sera organisée chaque trois ou quatre ans ».
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Partager la joie de Noël avec tous les enfants du Bénin, et particulièrement ceux malades et hospitalisés dans les hôpitaux, c'est l'objectif que poursuit la Fondation de Moov Africa en cette période des fêtes de fin d'année. La secrétaire exécutif, Dolorès Chabi Kao s'est rendue dans l'après-midi de ce vendredi 17 décembre 2021 au Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM.
Aucun enfant ne doit être laissé pour compte à l'occasion de la fête de Noël, grand moment de joie pour les enfants. Fort de cela, la Fondation Moov Africa a passé quelques instants de joie et de bonheur avec les enfants du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM. Comme tous les autres enfants, ils ont eu droit à des cadeaux. De quoi leur procurer la joie de Noël.
« La drépanocytose est une pathologie très difficile pour les enfants qui en souffrent », a déploré Dolorès Chabi Kao. Ce qui explique la présence de la fondation qu'elle dirige aux côtés de ces enfants, et leur manifester le soutien de la fondation qu'elle dirige. Profitant de l'occasion de la cérémonie de remise de cadeaux, la secrétaire exécutive de la Fondation Moov Africa a souhaité un joyeux Noël à tous les enfants du Bénin, et particulièrement ceux malades et hospitalisés en cette occasion de fête.
Elle a enfin prié Dieu qu'il leur accorde la grâce de sortir très tôt de la maladie, afin de pouvoir rentrer chez eux et fêter les prochaines fois dans leurs maisons.
A en croire la directrice du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM, la drépanocytose est une maladie héréditaire, génétique transmis des parents aux enfants. « C'est une maladie douloureuse avec beaucoup de complications. Les patients atteints de cette affection souffrent énormément durant toute l'année », a ajouté Bernice Quenum.
Le centre, fait-elle savoir, offre des moments de joie aux enfants en période de fête de Noël. Ce qui leur permet de s'épanouir, de montrer leurs potentialités artistiques et culturelles. Mais face aux difficultés d'organisation cette année, elle a lancé un appel à des structures et personnes de bonnes volontés pour soutenir ces enfants vulnérables dont les parents pour la plupart, n'ont pas assez de moyen. Un appel auquel la Fondation Moov Africa n'est pas restée muet.
Bernice Quenum s'est dite très heureuse et réconfortée du geste de Moov Africa. C'est une première, mais elle compte continuer à faire le plaidoyer pour que le partenariat avec la Fondation se pérennise.
Le Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose fait l'effort de faire un diagnostic précoce de la maladie de la drépanocytose. Quand il s'avère que deux parents ont le trait de la maladie, dès la naissance de l'enfant, un test est fait, et s'il est malade, il bénéficie dès sa naissance d'une prise en charge. Ce qui selon la directrice, lui permet de grandir sans les complications, les impacts de cette maladie.
Quelques images
F. A. A.
Partager la joie de Noël avec tous les enfants du Bénin, et particulièrement ceux malades et hospitalisés dans les hôpitaux, c'est l'objectif que poursuit la Fondation Moov Africa en cette période des fêtes de fin d'année. La secrétaire exécutif, Dolorès Chabi Kao s'est rendue dans l'après-midi de ce vendredi 17 décembre 2021 au Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM.
Aucun enfant ne doit être laissé pour compte à l'occasion de la fête de Noël, grand moment de joie pour les enfants. Fort de cela, la Fondation Moov Africa a passé quelques instants de joie et de bonheur avec les enfants du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM. Comme tous les autres enfants, ils ont eu droit à des cadeaux. De quoi leur procurer la joie de Noël.
« La drépanocytose est une pathologie très difficile pour les enfants qui en souffrent », a déploré Dolorès Chabi Kao. Ce qui explique la présence de la fondation qu'elle dirige aux côtés de ces enfants, et leur manifester le soutien de la fondation qu'elle dirige. Profitant de l'occasion de la cérémonie de remise de cadeaux, la secrétaire exécutive de la Fondation Moov Africa a souhaité un joyeux Noël à tous les enfants du Bénin, et particulièrement ceux malades et hospitalisés en cette occasion de fête.
Elle a enfin prié Dieu qu'il leur accorde la grâce de sortir très tôt de la maladie, afin de pouvoir rentrer chez eux et fêter les prochaines fois dans leurs maisons.
A en croire la directrice du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM, la drépanocytose est une maladie héréditaire, génétique transmis des parents aux enfants. « C'est une maladie douloureuse avec beaucoup de complications. Les patients atteints de cette affection souffrent énormément durant toute l'année », a ajouté Bernice Quenum.
Le centre, fait-elle savoir, offre des moments de joie aux enfants en période de fête de Noël. Ce qui leur permet de s'épanouir, de montrer leurs potentialités artistiques et culturelles. Mais face aux difficultés d'organisation cette année, elle a lancé un appel à des structures et personnes de bonnes volontés pour soutenir ces enfants vulnérables dont les parents pour la plupart, n'ont pas assez de moyen. Un appel auquel la Fondation Moov Africa n'est pas restée muet.
Bernice Quenum s'est dite très heureuse et réconfortée du geste de Moov Africa. C'est une première, mais elle compte continuer à faire le plaidoyer pour que le partenariat avec la Fondation se pérennise.
Le Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose fait l'effort de faire un diagnostic précoce de la maladie de la drépanocytose. Quand il s'avère que deux parents ont le trait de la maladie, dès la naissance de l'enfant, un test est fait, et s'il est malade, il bénéficie dès sa naissance d'une prise en charge. Ce qui selon la directrice, lui permet de grandir sans les complications, les impacts de cette maladie.
Quelques images
F. A. A.
Viol collectif d'une élève en classe de 1ère par plusieurs hommes à Allêgleta dans la commune d'Abomey-Calavi.
Cinq jeunes hommes auraient violé une élève en classe de première à Allêgleta. Selon l'Ong Famille Nutrition et Développement - Fnd, les faits remontent en juillet 2021. Après le viol, l'élève n'a rien dit à sa mère pour éviter les représailles. En octobre dernier, l'élève a découvert qu'elle était enceinte. « Elle fut conduite par sa mère au commissariat pour porter plainte contre les mis en cause. Le commissariat aurait délivré deux fois de suite des convocations qui sont transmis au délégué », informe l'Ong Fnd.
Les présumés violeurs ne se sont jamais présentés au commissariat. La même source renseigne que « les parents de la jeune fille se seraient rendus dans la maison où le viol a été commis et auraient appris avec amertume que les mis en cause ont quitté les lieux le jour même où ils ont reçu la première convocation et sont introuvables jusqu'à présent ».
Les présumés auteurs d'abus sexuels d'une élève en classe de 4ème dans la commune de Zè sont également en fuite. Cette mineure aurait été séquestrée et violée par deux hommes du 14 au 15 novembre 2021 dans le village de Watazounto.
Pour la présidente de l'Ong Fnd, Hélèna Capo-Chichi, « la délivrance des convocations joue une fonction d'alerte pour l'évasion des auteurs d'abus sexuels au grand dam des victimes plus meurtries ». « Il est temps d'agir en toute responsabilité pour lever toutes les insuffisances afin que la promptitude soit désormais effective dans la prise en charge des victimes de viol ou d'abus sexuels », soutient-elle.
A.A.A
Plus de mineures dans les hôtels et auberges dans le département du Couffo. C'est une décision du préfet Christophe Mègbedji qui vise entre autres à lutter contre les grossesses précoces en milieu scolaire.
Il est interdit aux mineures de fréquenter les auberges, les hôtels, les bars et autres lieux similaires. Pour veiller au respect de cette décision du préfet du Couffo, les policiers sont sur le terrain. Ils sont chargés de contrôler les identités et l'âge des personnes suspectes qui se rendront sur ces lieux. Selon le préfet Christophe Mègbedji au micro de Frissons Radio, son souhait est d'avoir « zéro grossesse en milieu scolaire et qu'il n'y ait plus de filles en apprentissage qui tombent enceintes ».
« Dans ces milieux interdits aux mineures, nous avons les observateurs, les policiers républicains, des artisans, les membres APE. C'est plusieurs équipes qui sont sur le terrain et qui surveillent », informe-t-il. Ceux qui vont enfreindre à la décision seront traduits devant la justice.
« Les propriétaires de ces lieux ne sont plus autorisés à accueillir ces mineures. Vous avez quitté Parakou, vous avez pris par le Couffo pour vous rendre à Cotonou, vous êtes surpris par la nuit. Vous ne voulez pas rouler nuitamment alors vous sollicitez quand même une chambre et là vous êtes avec une fille. Vous devez établir le lien de parenté, c'est-à-dire que vous devez avoir sur vous la carte d'identité scolaire de l'enfant. Vous devez avoir son acte de naissance. Vous devez avoir votre propre pièce d'identité vous-même et on doit vérifier », a précisé le préfet.
A.A.A
Plus de mineures dans les hôtels et auberges dans le département du Couffo. C'est une décision du préfet Christophe Mègbedji qui vise entre autres à lutter contre les grossesses précoces en milieu scolaire.
Il est interdit aux mineures de fréquenter les auberges, les hôtels, les bars et autres lieux similaires. Pour veiller au respect de cette décision du préfet du Couffo, les policiers sont sur le terrain. Ils sont chargés de contrôler les identités et l'âge des personnes suspectes qui se rendront sur ces lieux. Selon le préfet Christophe Mègbedji au micro de Frissons Radio, son souhait est d'avoir « zéro grossesse en milieu scolaire et qu'il n'y ait plus de filles en apprentissage qui tombent enceintes ».
« Dans ces milieux interdits aux mineures, nous avons les observateurs, les policiers républicains, des artisans, les membres APE. C'est plusieurs équipes qui sont sur le terrain et qui surveillent », informe-t-il. Ceux qui vont enfreindre à la décision seront traduits devant la justice.
« Les propriétaires de ces lieux ne sont plus autorisés à accueillir ces mineures. Vous avez quitté Parakou, vous avez pris par le Couffo pour vous rendre à Cotonou, vous êtes surpris par la nuit. Vous ne voulez pas rouler nuitamment alors vous sollicitez quand même une chambre et là vous êtes avec une fille. Vous devez établir le lien de parenté, c'est-à-dire que vous devez avoir sur vous la carte d'identité scolaire de l'enfant. Vous devez avoir son acte de naissance. Vous devez avoir votre propre pièce d'identité vous-même et on doit vérifier », a précisé le préfet.
A.A.A
Anselme Amoussou, secrétaire général de la Confédération des Syndicats Autonomes (CSA-Bénin) a été plébiscité pour un nouveau mandat de cinq ans. C'est à l'issue du Congrès de la CSA tenu vendredi 17 décembre 2021.
Un nouveau bureau confédéral de vingt-sept (27) a été élu à la tête de Confédération des Syndicats Autonomes (CSA-Bénin), vendredi 17 décembre 2021. Le secrétaire général de la CSA Bénin a été reconduit pour un nouveau mandat de cinq ans. « Je mesure le poids de la confiance que les camarades m'ont fait (...). Je suis satisfait de cette confiance renouvelée », s'est réjoui Anselme Amoussou qui s'est engagé à faire davantage que les cinq années passées. Le secrétaire général adjoint, Richard d'Almeida, a été également reconduit. Michel Zohonkon et Paulette Djossa sont élus respectivement au poste de deuxième et troisième secrétaire adjoint de la CSA Bénin.
Le nouveau bureau confédéral a promis d'oeuvrer pour positionner la CSA Bénin comme la meilleure Confédération sur l'échiquier national.
M. M.
La Fondation de Moov Africa a procédé, ce vendredi 17 décembre 2021, à la remise officielle d'un bloc de cantine à l'Ecole Primaire Publique Goulo Sodji, commune de Zé, département de l'Atlantique. La cérémonie s'est déroulée en présence des responsables de la Fondation de Moov Africa, du ministre des Enseignements Maternel et Primaire, Karimou Salimane, des représentants du PAM, de l'UNICEF et des autorités locales.
Grâce à la Fondation de Moov Africa, l'EPP Goulo Sodji dispose désormais des infrastructures de cantine scolaire constituées d'un réfectoire, d'un magasin de stockage des vivres et d'une cuisine moderne avec deux foyers intégrés.
La Fondation a aussi réhabilité un module de salles de classe avec bureau directeur. Selon le directeur de l'EPP Goulo-Sodji, Patrice Agbidinoukoun Glèlè, les salles de classe servaient de réfectoire et l'antichambre du bureau du directeur faisait office du magasin de stockage des vivres. Il s'est réjoui du nouveau joyau dont bénéfice l'EPP Goulo Sodji. « L'édifice financé par la Fondation de Moov Africa contribuera à l'amélioration de tous les processus de préparation de mets et des conditions de restauration de nos enfants, ce qui favorisera davantage la scolarisation et le maintien des enfants à l'école », a déclaré le directeur de l'EPP Goulo-Sodji.
Le représentant Résident du PAM au Bénin a remercié la Fondation de Moov Africa pour cette action sociale qui vise à soutenir les efforts du gouvernement béninois dans la mise en œuvre du Programme National d'Alimentation Scolaire Intégré (PNASI). « Par cde geste, la Fondation de Moov Africa vient ainsi de rejoindre la liste des partenaires du Programme Alimentaire Mondial. Elle réaffirme son engagement à accompagner les efforts du système des Nations Unies pour le développement du secteur de l'éducation à travers le PNASI », a indiqué Guy Mesmin Adoua Oyila.
Pour la Représentante de l'UNICEF au Bénin, la Fondation contribue par son acte à la réalisation du droit à l'éducation des enfants. « Nous sommes particulièrement ravis de voir l'articulation concrète des partenariats entre le secteur privé et public dans la réalisation des droits des enfants et l'atteinte des objectifs durables de développement », a affirmé Djanabou Mahondé.
La construction de la cantine scolaire à l'EPP Goulo Sodji a été lancée par la Fondation de Moov Africa le 11 juin 2021 dans le cadre de l'initiative ‘'Main dans la Main''. La première pierre pour la construction des infrastructures a été posée par Mme Angéline Ndayubaha Ndayishimiye, Première Dame du Burundi et marraine du Programme National d'Alimentation Scolaire au Burundi en visite de travail au Bénin. Les bénévoles de tous âges ont participé aux travaux de remblais, de ramassage de briques et autres. A en croire la Secrétaire Exécutive de la Fondation de Moov Africa, Dolorès Chabi Kao, le joyau offert à l'EPP Goulo Sodji est le fruit du travail « Moov Africa, PAM, ministère des enseignements maternel et primaire, mairie, bénévoles et communauté de Goulo Sodji ».
Elle a remercié tous les partenaires qui ont permis la réussite du projet en mettant la main à la pâte. « Merci au gouvernement du Bénin qui a compris l'importance de la cantine scolaire dans le système éducatif. (…) Merci au PAM pour son investissement dans ce projet national. Nous avons travaillé main dans la main », a affirmé Dolorès Chabi Kao. Selon la représentante du directeur général de Moov Africa, « ce n'est que le début d'un vaste projet de construction de cantine scolaire sur l'ensemble du territoire béninois ».
« A la Fondation Moov Africa nous l'avons désormais bien compris. Il ne suffit pas de construire des modules de salles de classe, il faut également inclure les cantines scolaires pour que l'éducation soit complète », a ajouté la Secrétaire Exécutive de la Fondation de Moov Africa.
Le ministre des Enseignements Maternel et Primaire Karimou Salimane a au nom du gouvernement, remercié la Fondation de Moov Africa pour tous les efforts déployés en faveur de la promotion et du développement de l'éducation. « En concrétisant les engagements que vous avez pris depuis le 11 juin dernier, vous venez de démontrer à la face du monde que Moov Africa demeure un partenaire incontournable sur lequel le Bénin peut compter pour appuyer d'autres écoles avec ce type de joyau », a-t-il déclaré. Karimou Salimane a rassuré que son département continuera de jouer sa partition pour le renforcement du partenariat qui lie les deux institutions.
Les représentants du maire de la commune de Zè, du préfet de l'Atlantique ont aussi exprimé leur gratitude à l'endroit de la Fondation de Moov Africa. La communauté de Goulo Sodji et les bénéficiaires ont promis de faire bon usage des infrastructures.
La cérémonie d'inauguration du bloc de cantine a été aussi marquée par la remise de prix aux meilleurs écoliers de l'EPP Goulo Sodji. Après la coupure du ruban, le ministre Karimou Salimane, les responsables de Moov Africa, de PAM et les autorités ont procédé à la visite de l'ouvrage et à sa mise en service.
Akpédjé Ayosso
Quelques images de la cérémonie
Après sa prestation avec l’équipe nationale algérienne lors de la Coupe Arabe qui se tient au Qatar, l’international Algérien, Youcef Belaili, a fait preuve d’un potentiel qui semble lui avoir ouvert les portes des championnats européens.
À la surprenante annonce de la résiliation de son contrat avec le club qatari Qatar SC, Belaili affiche sur les réseaux sociaux qu’il est désormais « un joueur libre ».
La folle rumeur du Real MadridBelaili est libre. Depuis, les rumeurs fusent de toutes parts. Alors que certains disaient que l’international algérien est bien là où il est, et qu’il va donc aller jouer à Dubaï, d’autres sont allés un peu loin, en affirmant que Belaili va aller renforcer les rangs du Real Madrid en Espagne.
En effet, certains médias, n’ont pas hésité à affirmer que l’international algérien serait tout proche de rejoindre le Real de Madrid. Il ne s’agit bien entendu que d’une rumeur sans fondement. L’international algérien a affiché cependant sa volonté d’entamer une nouvelle aventure en Europe.
Après l’échec à Angers, Belaili ira-t-il à Aston Villa ?Youcef Belali a derrière lui un parcours bien chaotique. Le natif d’Oran évolue d’abord au MCO, puis fait un saut à l’ES Tunis, avant de revenir à Alger. Suite à cela, il s’envole en France, vers Angers SCO, ou il ne se retrouve nullement. Belaili fait vite ses valises et revient à Tunis, puis il va jouer en Arabie Saoudite, et enfin au Qatar.
Du haut de ses 29 ans, Belaili est désormais sur le point d’entamer une nouvelle aventure européenne. Alors que jusque-là, la piste France était la plus insistante, il parait que Youcef Belaili penche pour Aston Villa. L’ailier gauche algérien pourra ainsi rejoindre ses compatriotes Mahrez et Benrahma en premier league.
C’est en tout cas ce qui a été affirmé par le média DZ Foot, qui souligne que l’achat de l’international algérien par Montpellier ou Marseille ne sont que pures rumeurs, tandis que Aston Villa, entrainé désormais par l’illustre Steven Gérard, aurait vraiment noué un contact avec le manager de Belaili, qui n’est d’ailleurs que son père.
Aston Villa, qui a commencé la saison avec des échecs répétés, se redresse, à la surprise générale, dès l’arrivée, comme entraineur, de la légende de Liverpool, Steven Gerrard. L’équipe anglaise se trouve actuellement en 10ᵉ position dans le classement de la premier league.
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Suite aux nombreuses critiques adressées à l’arbitre du match Algérie-Qatar, en demi-finale de la coupe Arabe 2021, la FIFA vient de réagir via son président de la commission des arbitres. Il s’agit du célèbre ancien arbitre italien Pierluigi Collina qui s’exprimé ce vendredi 17 décembre.
Dans une déclaration à la chaine qatarie El Kass, le président de la commission des arbitres de la FIFA a estimé que les neuf minutes accordées lors du match Algérie-Qatar étaient insuffisantes. Selon lui, le temps additionnel devait être supérieur à 9 min.
« Si on prend en considération le temps perdu aux moments des blessures et changements de joueurs, ainsi que la joie manifestée après avoir marqué le but, le temps additionnel devrait être supérieur à 9 minutes », a déclaré Pierluigi Collina.
L’intervenant poursuit : « Suite à la blessure du footballeur algérien numéro 9 (Baghdad Bounedjah), trois minutes ont été perdues avant que le joueur numéro 20 (Ilyes Chetti) ait subi lui aussi une autre blessure. Ainsi, la célébration du but par les footballeurs algériens a duré un long moment ».
Charaf-Eddine Amara réagitPour rappel, le président de la Fédération algérienne de football, Charaf-Eddine Amara s’est également exprimé, aujourd’hui, vendredi 17 décembre, sur la polémique du temps additionnel.
Dans une déclaration à la radio nationale, le responsable algérien a confié avoir contesté auprès de la FIFA contre la décision de l’arbitre polonais qui a géré la rencontre Algérie-Qatar, avant d’ajouter qu’il a discuté personnellement avec le président du comité de l’arbitrage à la FIFA.
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L’Algérie recense de plus en plus de cas de contamination à la covid-19. Après la troisième vague, la quatrième s’installe insidieusement. Alors que les spécialistes s’inquiètent et tirent la sonnette d’alarme, le taux de vaccination demeure plus qu’insuffisant.
Aujourd’hui, le 17 décembre 2021, le bilan du ministère de la Santé fait état de 299 nouvelles contaminations à la Covid-19 ces dernières 24 heures, contre 212 enregistrées par le bilan d’hier.
Le même communiqué du département de Benbouzid indique que l’Algérie a également recensé 4 nouveaux décès dus à des complications liées au coronaviru ainsi que 194 nouvelles guérisons.
Ces chiffres font monter le total des contaminations à la covid-9 en Algérie à plus de 214.045 cas depuis le début de la pandémie en mars 2020. Le nombre de décès quant à lu dépasse les 6.174 cas, toujours selon les chiffres officiels.
Omicron, nouvelle menace ou bonne nouvelle ?Alors que certains ont accueilli la venue du nouveau variant de la covid-9 baptisé Omicron avec beaucoup d’inquiétude, d’autres, à l’instar du Pr Kamel Senhadji, pense que cela pourrait constituer une bonne chose pour l’immunité collective en Algérie.
Au moment ou les campagnes vaccinales sont loin de leurs objectifs, le Pr Senhadji, président de l’Agence nationale de sécurité sanitaire a affirmé que le variant Omicron « semble provoquer des symptômes moins sévères que ceux du Delta » et que « «s’il s’avère effectivement que ce variant ne soit pas virulent, le fait qu’il touche une grande partie de la population peut nous permettre d’atteindre une immunité collective».
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