La Turquie abrite le sommet de partenariat Turquie-Afrique sous le slogan « Partenariat renforcé pour un développement et une prospérité mutuelle ». En cette occasion, le président turc n’a pas manqué de faire l’éloge du continent africain.
Intervenant ce samedi dans le cadre du troisième sommet du partenariat Turquie-Afrique, organisé dans la métropole turque d’Istanbul, Recep Tayyip Erdoğan a vivement plaidé pour l’intégration de l’Afrique dans le Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies ONU.
Selon lui, le fait que le continent africain, qui compte 1,3 milliard d’habitants, ne soit pas représenté au Conseil de sécurité de l’ONU constitue une « grande injustice ». Afin de dénoncer le manque de représentativité du Conseil de sécurité de l’ONU, il a évoqué son slogan : « le monde est plus grand que cinq ».
Dans le même sillage, le président turc ajoute : « Je suis convaincu que nous devons unir nos forces pour que l’Afrique puisse être représentée au Conseil de sécurité, comme elle le mérite ».
Faible taux de vaccination contre le Covid-19 en Afrique : « c’est une honte »Toujours à propos de la marginalisation dont souffre le continent africain, l’intervenant souligne que c’est « une honte pour l’humanité que seuls 6% de la population africaine aient été vaccinés contre la Covid-19 ». Ainsi, il annonce que son pays prévoit « d’envoyer 15 millions de doses de vaccin en Afrique ».
En outre, Erdoğan a fait le tour sur la coopération Turquie-Afrique, notamment en ce qui concerne le volume des échanges commerciaux. Selon lui, ce dernier a dépassé l’an dernier 25,3 milliards de dollars et a déjà atteint 30 milliards de dollars au cours des 11 premiers mois de 2021.
Pour rappel, le Premier ministre Aïmene Benabderrahmane est arrivé hier vendredi après-midi à Istanbul pour prendre part en sa qualité de représentant du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, aux travaux du 3e sommet du Partenariat Turquie-Afrique.
Il est accompagné du ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ramtane Lamamra. Notons également que le sommet réunira une vingtaine de chefs d’État et de gouvernement, des ministres ainsi qu’une délégation de l’Union africaine.
L’article ONU, Covid-19, coopération : Erdoğan fait ses éloges à l’Afrique est apparu en premier sur .
À l’époque coloniale, l’Algérie était surnommé le grenier de l’Europe. La France nourrissait ses habitants, mais aussi ceux de toute l’Europe avec les richesses agricoles du payé colonisé. Outre les légumes et les fruits, le blé algérien était très prisé en Europe.
En 2021, c’est l’Algérie qui devient l’un des plus grands importateurs de blé européen notamment français et allemands. Cependant, le pays semble vouloir diversifier ses sources d’approvisionnement et se détourner de son fournisseur traditionnel, à savoir l’Hexagone.
C’est ce qu’a révélé récemment le média français terre-net, spécialisé dans l’actualité agricole. Selon un article publié hier, 17 décembre 2021, l’Algérie aurait changé de fournisseur, pour se tourner vers d’autres pays, à l’instar de l’Allemagne et de la Russie.
En effet, « entre 690 000 et 700 000 tonnes de blé meunier » ont été acheté le 14 décembre par l’Algérie pour expéditions en trois périodes échelonnées du 16 janvier au 28 février 2022, indique le média susmentionné.
Selon la même source, ces quantités ont été expédiées depuis « l’Allemagne, la Mer baltique, la Mer noire et peut-être aussi l’Argentine ». De ce fait, la France ne figure plus parmi les fournisseurs de l’Algérie en termes de blés. L’Hexagone se voit alors évincé par les pays précités, mais aussi par la Russie, le fournisseur et partenaire historique de l’Algérie.
Qu’en est-il du blé russe ?De son côté, l’établissement français des produits de l’agriculture et de la mer, FranceAgriMer, a indiqué dans son dernier point sur les marchés céréaliers mondiaux, que l’Algérie augmente de plus en plus ses importations de blés russes.
En effet, ses achats ont atteint 800 000 tonnes début décembre, et ce, depuis l’assouplissement « du cahier des charges algérien quant aux dégâts d’insectes », explique la même source.
Pour rappel, l’Algérie avait décidé d’alléger les conditions d’achat de blé sur le marché international. Par conséquent, le spectre de la concurrence entre les fournisseurs s’est élargi, ce qui a été mal perçu par la France, mais très bien accueillie par la Russie qui reprend désormais la main sur le marché des céréales en Algérie.
L’article Importation du blé : l’Algérie a-t-elle réellement évincé la France ? est apparu en premier sur .
Une nouvelle pénurie du lait en sachet risque de pointer son nez dans les jours à venir pour cause du problème d’approvisionnement en matière première. La mesure du gel des dérogations sanitaires, nécessaires pour l’importation du lait en poudre, risque de plomber de nouveau le marché national.
L’alerte à propos du gel des dérogations sanitaires d’importation (DSI) de lait en poudre a été donnée jeudi dernier par la Confédération des industriels et des producteurs algériens (CIPA). Cette situation, notons-le, perdure depuis le mois de septembre dernier.
Intervenant lors d’une rencontre avec les producteurs du lait, adhérents de la CIPA, le président de cette même organisation, Abdelouahab Ziani a précisé que les dérogations sanitaires étaient gelées depuis 9 septembre dernier. Face à cette situation, les laiteries sont confrontées à des problèmes d’approvisionnement.
À ce propos, l’intervenant explique que les laiteries seront contraintes de cesser leurs activités si les autorités ne lèvent pas le gel des dérogations sanitaires, nécessaire pour l’importation de lait en poudre. Selon lui, cet arrêt « forcé » devra intervenir dès le début de l’année 2022 à défaut d’une évolution de la situation vers le mieux.
Dans le même sillage, le président de la CIPA a appelé le ministère de l’Agriculture à écouter les préoccupations des opérateurs de cette filière et les prendre en considération en vue de mettre en place une stratégie participative pour le développement du secteur.
Une situation qui perdure malgré l’annonce faite par la tutelleCependant, Abdelouahab Ziani affirme qu’en dépit de l’annonce faite par le premier responsable du secteur concernant la levée du gel de la dérogation sanitaire à partir de dimanche dernier, « les services concernés par l’application affirment ne pas avoir reçu des instructions dans ce sens ».
D’ailleurs, les producteurs se sont également interrogés sur les raisons « du gel de l’importation de lait en poudre des bébés depuis huit mois sans trouver une alternative au niveau local ». Cela dit, ce gel perdure « malgré les marchés conclus et le paiement des factures des fournisseurs étrangers de cette matière ».
Ainsi, la Confédération des industriels et des producteurs algériens compte saisir le ministère des Finances, la semaine prochaine, pour le sensibiliser à ce problème. La question des financements dédiés à l’investissement dans le domaine de l’élevage des vaches laitières sera également abordée.
Sur ce dernier point, le président de la CIPA estime qu’il est la meilleure solution pour le développement de la filière. Or, pour assurer la transition vers cette démarche, les producteurs estiment qu’il est nécessaire de continuer à importer le lait en poudre.
Cela devra, selon eux, défricher le terrain pour un passage à une production locale renforcée. Pour leur part, les producteurs appellent à l’investissement dans la filière des vaches laitières et la production des aliments de bétail pour se passer de l’importation du lait en poudre.
L’article Importation du lait en poudre : vers une nouvelle pénurie ? est apparu en premier sur .
(Par Roger Gbégnonvi)
Selon le poète William Wordsworth, « L'enfant est le père de l'homme ». Enfant au sens latin de ‘‘infans'', « le tout enfant qui ne parle pas encore ». Et si l'on oublie les influences de l'extérieur sur le fœtus, ce ‘‘tout enfant'' serait le terrain de naissance de tout le caractère de la personne à venir. C'est donc environ durant les six premiers mois de sa vie hors du sein maternel que s'impriment sur l'ADN de l'enfant les traits majeurs de l'adulte.
Or le médecin béninois, fort d'autres spécialités dont celle de la psychologie, feu Paul Tobossi, disait en substance à ceux qui aimaient à l'écouter : « Comment voulez-vous que l'Africain se développe, s'épanouisse, soit inventif, conquérant ? Le Bébé qu'il fut était, la journée longue, accroché à sa mère dont il n'a vu tout le temps que le dos, son seul univers à l'orée de la vie, au moment précis où doivent s'ouvrir toutes les fenêtres de son cerveau pour laisser entrer les aurores de tout l'univers. Passé ce moment déterminant de grande réceptivité, les fenêtres non sollicitées du cerveau s'ouvriront difficilement plus tard et trop tard, pour celles qui s'ouvriront, pendant que d'autre resteront définitivement fermées. »
Et Paul Tobossi de prendre le cas de l'enfant européen. La plupart du temps, il est couché sur le dos dans un berceau, le regard tourné vers le regard de sa mère, qui lui fait des sourires, lui tend les bras, lui raconte mille et une histoires, n'a de cesse de le toucher, de le caresser. En haut du berceau sont suspendus des bibelots de couleurs variées. Ils dansent et tintinnabulent, et l'enfant s'amuse à les faire danser et tintinnabuler. Sollicitées, les fenêtres de son cerveau s'ouvrent. Cet enfant au berceau est préparé à s'épanouir, inventer, conquérir tous azimuts. Il est l'opposé diamétral du bébé africain dans le dos de sa mère.
Et il est vrai que ce dernier, devenu adulte, se montre plus stagnant qu'entreprenant. Et pas très responsable. Il décrète que les maux qui l'accablent résultent de l'esclavage et du colonialisme. Bien sûr, il n'imagine pas que l'incapacité des pères à repousser naguère ces deux malheurs a pu prendre racine en eux dans le dos sans étoiles des mères. Il ne cherche pas, il ne crée pas. Il ressasse les ancêtres, il rumine les rabâchés de l'école coloniale. Un jour peut-être, il s'apercevra qu'il y a honte et déshonneur à n'être que spectateur et parasite. Alors l'auto néo-colonisé se dressera et voudra exister enfin dans le monde en marche sans lui. Il croira frapper un grand coup, et cela donnera, choses entendues, ce décret : la sorcellerie, toujours et partout négativement connotée, a du bon en Afrique et va contribuer au progrès de l'Africain. D'ailleurs tous les grands scientifiques occidentaux sont des sorciers. Et de citer Pythagore pour étayer le violent renversement sémantique. Suffocation dans le rang des rationalistes. Car l'on ne sache pas que la sorcellerie africaine ait sauvé l'Afrique ni de l'esclavage ni de la colonisation. Car Pythagore, philosophe et mathématicien, Einstein, physicien de génie, étaient des scientifiques et pas des sorciers. Mais, Hitler et Pol Pot et leurs affidés, politiciens et pas scientifiques, sinistres artificiers de la radicale méchanceté de l'homme contre l'homme, peuvent bien être assimilés à d'authentiques sorciers. Dont acte.
Et fin de suffocation. Si la stagnation atavique de l'Africain n'a pas toute son origine là où la place le Dr Paul Tobossi, dans le regard immobile et voilé du bébé africain dans le dos sans étoiles de sa mère, alors que s'intensifie la vraie recherche pour dénicher les autres origines de la force d'inertie, afin que l'Africain cesse de « labourer la mer » (Bolivar) et sorte de l'impasse. Au jour de son dernier souffle, le professeur Jacques Monod, prix Nobel de médecine, confiait aux amis venus l'entourer : « Je cherche à comprendre ». Et c'est ce que doit faire maintenant tout Africain avant son dernier souffle. Conjuguer le biochimiste Monod et le poète Goethe, dont le mot ultime fut : « Mehr Licht », davantage de lumière.
Les affaires de corruption de l’homme d’affaires Ali Haddad semblent interminables. Il vient d’être cité comme principal mis en cause dans une autre affaire liée à la réalisation d’un tronçon autoroutier au niveau de la wilaya de Ain Defla.
Prévu initialement pour la fin de la semaine dernière, à savoir le jeudi 16 décembre 2021, l’examen de cette affaire, qui implique également plusieurs anciens ministres et anciens hauts responsables est renvoyé à la fin de l’année en cours.
En effet, le juge du pôle pénal spécialisé dans les affaires de corruption financière et économique près le tribunal de Sidi M’hamed a reporté l’examen de l’affaire impliquant l’ex-patron de l’ETRHB et d’autres ministres des Travaux publics au 30 décembre 2021, rapporte le quotidien Echorouk.
Le dossier en question, ouvert pour la première fois au niveau de la même juridiction, début février dernier, concerne le marché de réalisation de la double voie au niveau de la route de wilaya n° 42 à Ain Defla. Cet axe routier devant relier la pénétrante de l’autoroute Est-Ouest s’étend sur 9 km.
Retour sur les détails de l’affaireÀ côté de l’ancien président du FCE, cette affaire implique également les deux anciens ministres des Transports et des Travaux publics Amar Ghoul et Abdelkader Ouali, d’anciens Directeurs du même département, en l’occurrence Khelfaoui Ali et Ben Chennan Mohamed ainsi que l’ancien Directeur de Société Nationale de Grands Travaux routiers, Berouak Slimane.
Il convient de noter que cette affaire dont les faits remontent à 2019 concerne « des instructions verbales et des ordres » à fin d’octroyer le projet à Ali Haddad, qui avait usé de son influence pour l’obtenir lors de deux visites de terrain de l’ancien ministre Amar Ghoul à Ain Defla.
Pour ce qui est des accusations, les mis en cause dans le cadre de cette affaire sont poursuivis pour « octroi d’indus avantages dans la conclusion de marchés publics, abus de fonction, conflit d’intérêts, abus de pouvoir, participation à la dilapidation de deniers publics ».
Il s’agit également, selon la même source, « de l’obtention d’indus avantages dans le cadre de marchés publics, incitation de fonctionnaire à l’abus de pouvoir dans le but de l’obtention d’indus avantages et rédaction de fausses attestations ».
L’article Corruption : un autre projet entraine Ali Haddad devant la justice est apparu en premier sur .
L'artiste Jospinto est mal en point. Il est admis aux soins intensifs au Centre National Hospitalier Universitaire Hubert Koutougou Maga de Cotonou.
Dans un état critique, Jospinto a été évacué ce vendredi 17 décembre au CNHU de Cotonou sur instruction du ministre de la culture, Jean Michel Abimbola.
José Florent Alapini alias Jospinto aurait eu un malaise alors qu'il était au culte le dimanche 12 décembre 2021. Il a été conduit à l'hôpital de zone d'Abomey-Calavi. En raison de son état, il a été transféré aux soins intensifs du CNHU de Cotonou.
L'artiste musicien béninois, Jospinto, est auteur compositeur.
A.A.A
Après plus d’un mois d’intempéries et de pluies diluviennes, l’accalmie s’installe en Algérie. La météo a été clémente ces derniers jours, avec un retour du soleil sur presque la totalité du territoire national.
En effet, l’Office National de la Météorologie a annoncé pour aujourd’hui, samedi 18 décembre 2021, un temps ensoleillé sur la majorité des wilayas du pays. Au nord, le ciel sera dégagé hormis quelques passages nuageux localement, notamment sur les régions de l’intérieur et des hauts plateaux.
À l’est du pays, le ciel sera voilé notamment à Khenchla, Tébessa et Batna. À M’sila, Météo Algérie prévoit un temps nuageux avec quelques éclaircies. Cependant, le soleil dominera le ciel de la wilaya de Constantine
Les températures attenduesAu niveau des wilayas de l’intérieur, le ciel sera partiellement voilé avec quelques passages nuageux sans effet. Quant aux régions de l’ouest, Météo Algérie prévoit une journée bien ensoleillé notamment à Tlemcen, Mascara, Ain témouchent. En revanche, à Chlef, Mostaganem, Relizane et Oran, le ciel sera partiellement voilé.
Selon la même source, les températures oscilleront entre 13 et 16 degrés au Nord du pays. À l’ouest, il fera 10 degrés. La même température sera enregistrée à l’est.
Tandis qu’au sud, la température maximale sera de 28 degrés. 20 degrés seront enregistrés à Illizi, 18 degrés à Tindouf, 14 degrés à Adrar, 23 degrés à In Saalah et 28 degrés à Bordj Badji Mokhtar.
L’article Météo : les prévisions de ce samedi 18 décembre est apparu en premier sur .
L’Institut Pasteur d’Algérie a annoncé, mercredi dernier, l’apparition d’un premier cas du redoutable variant du coronavirus ; l’Omicron. Face à une situation épidémiologique recrudescente, les mises en garde se multiplient, mais se diffèrent également.
Apparu pour la première fois début novembre dernier en Afrique du Sud, l’Organisation mondiale de la Santé avait aussitôt qualifié le variant Omicron « d’inquiétant ». Depuis, et après constat de son évolution, l’énorme panique qui s’est emparée de la planète commence alors à s’estomper.
Or, si les assurances portent notamment sur la véracité de ce nouveau mutant, on ne peut pas en dire autant quant à sa propagation. En effet, malgré qu’il garde beaucoup de secrets, Omicron à la faculté de se propager très rapidement au point où certains pays confirment qu’il commence à prendre le pas sur le variant Delta.
Pour l’Organisation planétaire en charge du domaine sanitaire, aucun variant du Covid-19 ne s’est propagé jusqu’à présent aussi rapidement qu’Omicron. Selon le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, « 77 pays ont maintenant signalé des cas d’Omicron, mais la réalité est qu’Omicron se trouve probablement dans la plupart des pays même s’il n’a pas encore été détecté ».
À quoi faut-il s’attendre en Algérie ?En Algérie, les mises en garde vont de pair avec les assurances concernant ce nouveau variant. En effet, lors de l’annonce du premier cas détecté en Algérie, l’Institut Pasteur a tenu à rassurer que sur le plan épidémiologique mondial, « la majorité des cas signalés jusqu’à l’heure actuelle pour ce variant, représentent des cas bénins ».
À ce propos, l’IPA explique « qu’un seul cas de décès et quelques cas d’hospitalisation ont été signalés au Royaume-Uni à ce jour ». Or, la situation « est appelée à évoluer dans le temps », indique-t-on encore.
Du côté des spécialistes et autres responsables du secteur sanitaire, l’on s’inquiète davantage quant à la situation, notamment après la détection du premier cas. Or, les alertes se font beaucoup plus sur le variant Delta, déjà en circulation dans le pays, que sur le nouveau mutant.
Pour le Pr Kamel Senhadji en sa qualité du président de l’Agence nationale de sécurité sanitaire, « ce sera une crise dans la crise. Car au moment où nous attendions la quatrième vague du variant Delta, nous avons le variant Omicron qui pointe son nez ».
Dans une déclaration rapportée par le quotidien Liberté, il affirme cependant que « ce qui est inquiétant maintenant, c’est le Delta, car les chiffres montent et nous connaissons tous ses caractéristiques ».
Quel risque en cas de collision entre les deux variants ?Pour ce qui est de ce que pourra engendrer le chevauchement des deux variant (Delta et Omicron), il explique que certes, « Omicron pourrait arriver au cours de la vague Delta, peut-être au milieu ou bien après ». Mais « les résultats préliminaires sont assez encourageants, car même s’il est très contagieux, les observations cliniques ont montré qu’il est sans gravité ».
Or, ce qui inquiète le plus, selon le même intervenant, c’est le faible taux de vaccination », d’autant qu’elle « a montré ses effets bénéfiques ; le nombre de décès qui baisse chez les vaccinées et l’absence de formes graves même après 6 mois ».
Ainsi, force est de constater qu’à apriori, même si le nouveau mutant commence déjà à gagner du terrain à travers le monde et en Algérie, ses répercussions ne peuvent pas être aussi désastreuses que le Delta, d’au moins selon les données disponibles. En tout cas, le mieux c’est de garder la vigilance à son niveau le plus élevé en observant les gestes barrières afin d’en limiter la propagation.
Lors de sa dernière conférence tenue mardi dernier à Genève, le premier responsable de l’OMS affirme : « Nous sommes préoccupés par le fait que les gens considèrent Omicron comme bénin. (…) Même si Omicron provoque des symptômes moins graves, le nombre de cas pourrait une fois de plus submerger les systèmes de santé qui ne sont pas préparés ».
Que faut-il faire au niveau des frontières ?Il convient de noter que le premier cas annoncé mercredi dernier par l’IPA était importé. Il s’agit, en effet, « d’une personne de nationalité étrangère, rentrée sur le territoire algérien le 10 décembre 2021 et qui a fait l’objet, dans le cadre des dispositions et protocoles sanitaires ».
Si l’on prend en considération ce fait, plusieurs interrogations se posent ; faut-il fermer les frontières ou emboiter le pas aux mesures décidées sur les traversées maritimes en rendant la vaccination obligatoire pour les voyageurs par avion ?
Si la première option est écartée par de nombreux spécialistes, la seconde pourra bien être entreprise prochainement. En effet, des spécialistes avancent qu’avec la fréquence réduite des vols, la situation est facilement maitrisable. Or, les voyageurs arrivant des pays où le nouveau variant circule fortement.
Ce qui nous ramène à l’importance d’instaurer le pass sanitaire pour les voyageurs à destination de l’Algérie par avion. Pour rappel, le ministère des Transports avait décidé, début décembre en cours, d’inclure le passeport vaccinal parmi les conditions de voyage par voie maritime. Faut-il s’attendre à ce que des mesures similaires soient prises concernant les vols vers l’Algérie ?
L’article Variant Omicron en Algérie : à quoi faut-il s’attendre ? est apparu en premier sur .
Suite à la réouverture des frontières aériennes et maritimes, les prix des principales devises ont flambé. Que cela soit sur le marché parallèle ou officiel, la monnaie nationale connait une chute inexorable face au dollar et à l’euro.
Sur le marché noir, un seul euro s’échange contre 214 dinars algériens à l’achat et 216 dinars algériens à la vente. L’unité de la monnaie étasunienne est par ailleurs cédé contre pas moins de 193 dinars algériens à la vente et 190 dinars algériens à l’achat.
En revanche, le dollar canadien s’échange au marché noir contre 143 dinars algériens à la vente et 146 dinars algériens à l’achat. La livre sterling quant à elle demeure indétrônable. Un seul pound est cédé par les cambistes du square port-saïd contre 248 dinars algériens à l’achat et 251 dinars algériens à la vente.
Les cotations de la banque d’AlgérieAu niveau des guichets de la banque d’Algérie, un seul euro est cédé contre pas moins de 248 dinars algériens à l’achat et 251 dinars algériens à la vente. Pa ailleurs, un seul dollar est cédé contre 138.88 dinars algériens à l’achat et contre 138.90 à la vente.
Le dollar canadien quant à lui s’échange au prix de 108.45 dinars algériens à l’achat et 108.49 dinars algériens à la vente. Ainsi, un seul pound est cédé contre 184.19 dinars algériens à l’achat et contre 184.29 dinars algériens à la vente, selon les cotations commerciales de la banque d’Algérie.
L’article Taux de change du Dinar face aux principales devises ce 18 décembre est apparu en premier sur .
Le palais royal d'Abomey est en deuil. Le roi Kêfa Sagbadjou a rejoint ses ancêtres ce vendredi 17 décembre 2021.
Le roi d'Abomey n'est plus. Dah Kêfa Sagbadjou comme on le dit, est allé à Allada. Il a rendu l'âme ce vendredi 17 décembre vers 20h des suites d'une maladie. Compte tenu de son état de santé, il n'avait pas assisté à la cérémonie annuelle divinatoire Houéfa 2022.
Successeur de Dédjalagni Agoli-Agbo, le défunt roi est le petit-fils du roi Glèlè.
Il a accédé au trône le 12 janvier 2019. Dah Kêfa Sagbadjou, professionnel de l'art divinatoire, était détenteur de pouvoir mystique.
F. A. A.
Les résultats de l'examen national de Master confirment la vision du promoteur qu'est de fournir aux étudiants un environnement d'apprentissage de qualité pour faire d'eux des cadres opérationnels dans le tissu économique.
Véritable Label d'excellence, chaque année à l'Ecole Supérieure de Management (ESM-BENIN), nous obtenons de meilleurs résultats aux examens nationaux. Pour le compte de l'année 2021, les étudiants ont battu tous les records avec un taux de 100% dans les filières BANQUE FINANCE ET ASSURANCE, ENTREPREUNARIAT ET GESTION DES PROJETS, TRANSPORT ET LOGISTIQUE.
Hormis ces résultats , les étudiants à ESM-BENIN ont également produit d'excellentes performances dans les filières comme Marketing Communication et Commerce (MCC), Management des Ressources Humaines (MRH),etc….
ESM-BENIN est basée à Cotonou en face du Stade de l'Amitié Général Mathieu Kérékou.
COTONOU (Siège) (00229) 97 30 84 84
Nos campus dans les autres villes du Bénin :
AKPAKPA (00229) 91 40 07 07
ABOMEY-CALAVI (00229) 96 31 75 75
PORTO-NOVO (00229) 91 40 12 12
LOKOSSA (00229) 91 40 09 09
BOHICON (00229) 91 40 10 10
DJOUGOU (00229) 91 39 05 05
PARAKOU (00229) 91 39 04 04
ESM-BENIN, le chemin vers l'emploi !
Louisa Hanoune, secrétaire générale du parti des travailleurs, lance son énième signal d’alarme. La trotskiste endurcie, qui a accompagné les événements marquants de l’histoire de l’Algérie indépendante, est plus que jamais inquiète pour l’avenir du pays.
Dans son rapport politique introductif présenté aujourd’hui, le 17 décembre 2021, aux travaux de la dernière session du Comité Central, Louisa Hanoune a affirmé que cette année « s’achève dans l’incertitude et l’angoisse ». L’année 2021 a été, pour la SG du PT, « l’année de tous les sinistres ».
2021, « l’année de tous les sinistres »Pour Hanoune, l’année 2021 a été marquée par six grands sinistres. Il s’agit, selon elle, d’un « sinistre sur le plan sanitaire », lié à la pandémie, d’un « sinistre sur le plan social », traduit par une dislocation du tissu social, d’un « sinistre sur le plan économique » porté par une orientation de plus en plus « anti-sociale » du gouvernement, d’un « sinistre sur le terrain des libertés » et son lot de détenus d’opinion, d’un « sinistre universitaire », et enfin, du « sinistre des collectivités locales ».
Bien qu’elle n’a pas manqué de dresser un tableau noir sur la situation sanitaire, sur les libertés, ou sur le niveau des universités algériennes, Louisa Hanoune, comme à son habitude, a préféré s’attarder sur les dérives sociaux économiques qui menacent, dit-elle, de provoquer « un séisme de très haute magnitude porteur de tous les dangers ».
Hanoune a mis le doigt sur la plaie. Elle rappelle que depuis 2020, « les pertes d’emploi se sont poursuivies », « les prix des produits de large consommation ont flambé parfois jusqu’à 300% ». Cette situation, poursuit la SG du PT, a provoqué « l’explosion de la mendicité », « la violence urbaine », « des expressions de la décomposition sociale » et « l’explosion du drame de la Harga ».
« La faim s’installe en Algérie »Hanoune n’hésite pas à affirmer que « 59 ans après l’indépendance, la faim s’installe en Algérie ». Elle explique que pour vivre décemment en Algérie il faut un salaire moyen de 150 000 DA. Ce constat dressé par « des experts », concerne les besoins d’une famille de 5 membres, souligne-t-elle.
« Le seuil de pauvreté pour une famille algérienne composée de 5 membres est d’environ 60 000 DA mois », affirme La secrétaire du Pari Travailliste qui va jusqu’à citer les critères de la Banque Mondiale.
Hanoune rappelle ensuite que « la majorité des salariés perçoit moins de 35 000 DA », que « le salaire moyen ne dépasse pas 42 000 DA », que « des millions de familles survivent avec moins de 20 000 DA », et que « des dizaines de milliers de salariés du filet social (AFS) surexploités dans les administrations perçoivent 5 000 DA/mois ».
Il y a pire selon Hanoune, car le taux de chômage a explosé. Elle affirme toutefois que « la Loi de Finances 2022 ne prévoit pas de création d’emploi ». Au lieu de cela, « le gouvernement s’attaque frontalement aux subventions sociales », déplore Hanoune, qui souligne qu’il s’agit d’une « véritable déclaration de guerre sociale ».
« Le gouvernement ne relancera pas l’industrie »Alors que le premier ministre s’égosille à faire l’éloge de la relance industrielle en Algérie, Hanoune le coupe court. Elle annonce clairement que « la politique du gouvernement ne relancera pas l’industrie », mais elle va « liquider ce qu’il en reste ».
Hanoune prend pour exemple l’accord avec l’UE. Elle affirme que « le gouvernement louvoie, souffle le chaud et le froid, qu’il n’a nullement l’intention de libérer notre pays de cet accord compradore ». La SG du PT estime que « ce sont des politiques similaires qui ont provoqué sous la dictée du FMI et la BM les guerres prétendument ethniques de dislocation en Afrique ».
Hanoune a voulu toutefois terminer sur une once d’espoir, bien que toujours mélangée à des parfums de lutte. Elle souligne que « les sinistres nombreux qui ont certes accablé, meurtri, l’écrasante majorité du peuple, la répression et la descente aux enfers sur le plan social, ont en même temps aiguisé la conscience collective ».
Si au début de son rapport, elle disait que 2021 était l’année de tous les sinistres, elle termine en affirmant qu’elle a été aussi celle « des résistances et des mobilisations pour des revendications socio/économiques et démocratiques ».
L’article Bilan de l’année 2021 : les 6 « sinistres » de Hanoune est apparu en premier sur .
Outre la finale qui aura lieu demain entre l’Algérie et la Tunisie, la Coupe Arabe offrait aux amoureux du ballon rond l’occasion de voir un match Gala qui oppose les « légendes arabes » et les « légendes mondiales » du football. Dans la liste de la « Dream Team arabe », figurait trois joueurs algériens.
Il s’agit de Rafik Saifi, Rabah Madjer, et de Rafik Halliche. Ces trois stars qui ont fait le bonheur des Algériens, étaient censées affronter d’illustres noms du football mondial tels que Cafu, Pirlo, Karembeu, et Lothar Herbert Matthäus.
Petit hic pour les trois joueurs algériens, ils ne pouvaient pas disputer ce match. Alors que tout était prêt, les trois joueurs ont annoncé qu’ils se retiraient, et pour cause ; l’entraineur de l’équipe adverse est un Israélien.
Le trio algérien se retire de la Dream Team arabeIl s’agit de Avraham Granat, plus connu sous le nom d’Avram Grant, ancien entraineur de l’équipe de Chelsea FC. Bien qu’il possède la nationalité polonaise, cet entraineur n’a pas été du gout des trois Algériens. Le trio national a jugé qu’il ne pouvait fouler la pelouse du stade, dès qu’il a appris que l’entraineur de l’équipe adverse était un Israélien.
Ce n’est pas la première fois que des sportifs algériens se retirent d’une compétition afin de donner de l’écho à la cause palestinienne. Si certains sont tout à fait d’accord, d’autres estiment que les choses vont un peu trop loin parfois, vu qu’il ne s’agit là que d’un match amical, qui est plus une exhibition qu’une compétition.
Quoi qu’il en soit, le match a eu lieu aujourd’hui vendredi, et des stars arabes telles que l‘Égyptien Wael Gomaa, le Marocain Hocine Kharja, et l’Irakien Younis Mahmoud, ont pu affronter des légendes comme Andrea Pirlo, Yaya Touré, ou Youri Djorkaeff, sans Saifi, ni Madjer, ni Halliche.
L’article Match de gala : le trio algérien se retire de la Dream Team Arabe est apparu en premier sur .
Moins de 2h nous séparent de la finale de la Coupe Arabe. Une compétition dominée par des pays nord africains notamment l’Algérie et la Tunisie. Les joueurs des deux pays voisins s’affronteront demain, samedi 18 décembre au stade Al Bayt, situé dans la ville d’Al-Khor, au nord-ouest de Doha.
Le match opposant les Fennecs aux Aigles de Carthages, aura lieu à 16 h, heure algérienne, GMT. Il sera diffusé en direct et en intégralité sur BeIN Sports HD1, BeIN Sports HD2 et Al Kass Sport HD. À cela s’ajoute, la chaîne YouTube de la FIFA, accessible depuis l’Algérie uniquement à travers un VPN.
Majid Bougherra, devenu un bon entraineur en si peu de temps, « ne pense à aucun autre scenario hormis celui de gagner ». Après avoir réalisé une victoire historique face au Maroc et au Qatar, le jeune Coach est plus que jamais motivé.
« La finale sera disputée avec la même détermination »Il a indiqué que « la manière de jouer de l’équipe tunisienne a été analysée de A à Z ». En effet, « la finale sera disputée avec la même détermination à laquelle on s’est habitué », a déclaré Majid Bougherra, lors d’une conférence de presse tenue Aujourd’hui, le 17 décembre 2021.
Par ailleurs, le sélectionneur national s’est exprimé sur la motivation des joueurs notamment la star Belaili dont le contrat avec le Qatar SC a été résilié au lendemain du match historique entre l’Algérie et le pays hôte. « Cette fin de contrat ne va pas l’impacter vu qu’il est très impatient de disputer la finale », a confié Bougherra.
L’article Algérie – Tunisie : chaînes et sites qui diffusent le match 18/12/2021 est apparu en premier sur .
Après avoir éliminé le Maroc et arraché une belle victoire face au Qatar, les Fennecs devront affronter demain, samedi 18 décembre les Aigles de Carthage lors d’une finale 100% maghrébine. La rencontre qui aura lieu au stade Al Bayt, sera diffusé à 16 h (heure algérienne).
Les joueurs des deux équipes nord-africaines sont déterminés à décrocher le titre. Leurs entraineurs le sont encore plus, à l’instar du jeune Madjid Bougherra, devenu un bon entraineur après avoir été un excellent footballeur au poste de défenseur central.
De son côté, le sélectionneur de l’équipe tunisienne Mondher Kebaier n’a pas manqué à montrer sa motivation pour la rencontre de demain. Arrivé en finale avec la Tunisie, pour la première fois depuis sa nomination en 2019, Kebaier est plus que jamais déterminé.
Les déclarations de KebaierEn marge d’une conférence de presse organisée à la veille de la finale, l’entraineur tunisien explique que son équipe a traversé beaucoup d’obstacles et de difficultés depuis le début de cette compétition.
Malgré l’absence de Meriah, la Tunisie déterminée à remporter le titre
Parmi ses difficultés figure, l’absence de Yassine Meriah qui est considéré comme l’élément phare de l’équipe tunisienne. « Nous abordons cette finale avec la ferme intention de remporter le titre pour l’offrir à Yassine Meriah. Sa blessure nous attriste », a déclaré Mondher Kebaier.
L’intervenant poursuit : « nous avons d’autres pour le remplacer ». Selon lui, les Aigles de Carthage n’envisagent pas de s’arrêter en si bon chemin et souhaite soulever la Coupe Arabe.
« Nous ne nous sommes pas qualifié en finale depuis longtemps, raison pour laquelle les joueurs vont disputer ce match avec une grande concentration » ajoute l’entraineur tunisien avant de conclure : « la compétition a donné une belle image sur le monde arabe, j’espère qu’elle sera organisée chaque trois ou quatre ans ».
L’article Match Algérie-Tunisie : les Aigles de Carthage prêts à voler le titre est apparu en premier sur .
Partager la joie de Noël avec tous les enfants du Bénin, et particulièrement ceux malades et hospitalisés dans les hôpitaux, c'est l'objectif que poursuit la Fondation de Moov Africa en cette période des fêtes de fin d'année. La secrétaire exécutif, Dolorès Chabi Kao s'est rendue dans l'après-midi de ce vendredi 17 décembre 2021 au Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM.
Aucun enfant ne doit être laissé pour compte à l'occasion de la fête de Noël, grand moment de joie pour les enfants. Fort de cela, la Fondation Moov Africa a passé quelques instants de joie et de bonheur avec les enfants du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM. Comme tous les autres enfants, ils ont eu droit à des cadeaux. De quoi leur procurer la joie de Noël.
« La drépanocytose est une pathologie très difficile pour les enfants qui en souffrent », a déploré Dolorès Chabi Kao. Ce qui explique la présence de la fondation qu'elle dirige aux côtés de ces enfants, et leur manifester le soutien de la fondation qu'elle dirige. Profitant de l'occasion de la cérémonie de remise de cadeaux, la secrétaire exécutive de la Fondation Moov Africa a souhaité un joyeux Noël à tous les enfants du Bénin, et particulièrement ceux malades et hospitalisés en cette occasion de fête.
Elle a enfin prié Dieu qu'il leur accorde la grâce de sortir très tôt de la maladie, afin de pouvoir rentrer chez eux et fêter les prochaines fois dans leurs maisons.
A en croire la directrice du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM, la drépanocytose est une maladie héréditaire, génétique transmis des parents aux enfants. « C'est une maladie douloureuse avec beaucoup de complications. Les patients atteints de cette affection souffrent énormément durant toute l'année », a ajouté Bernice Quenum.
Le centre, fait-elle savoir, offre des moments de joie aux enfants en période de fête de Noël. Ce qui leur permet de s'épanouir, de montrer leurs potentialités artistiques et culturelles. Mais face aux difficultés d'organisation cette année, elle a lancé un appel à des structures et personnes de bonnes volontés pour soutenir ces enfants vulnérables dont les parents pour la plupart, n'ont pas assez de moyen. Un appel auquel la Fondation Moov Africa n'est pas restée muet.
Bernice Quenum s'est dite très heureuse et réconfortée du geste de Moov Africa. C'est une première, mais elle compte continuer à faire le plaidoyer pour que le partenariat avec la Fondation se pérennise.
Le Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose fait l'effort de faire un diagnostic précoce de la maladie de la drépanocytose. Quand il s'avère que deux parents ont le trait de la maladie, dès la naissance de l'enfant, un test est fait, et s'il est malade, il bénéficie dès sa naissance d'une prise en charge. Ce qui selon la directrice, lui permet de grandir sans les complications, les impacts de cette maladie.
Quelques images
F. A. A.
Partager la joie de Noël avec tous les enfants du Bénin, et particulièrement ceux malades et hospitalisés dans les hôpitaux, c'est l'objectif que poursuit la Fondation Moov Africa en cette période des fêtes de fin d'année. La secrétaire exécutif, Dolorès Chabi Kao s'est rendue dans l'après-midi de ce vendredi 17 décembre 2021 au Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM.
Aucun enfant ne doit être laissé pour compte à l'occasion de la fête de Noël, grand moment de joie pour les enfants. Fort de cela, la Fondation Moov Africa a passé quelques instants de joie et de bonheur avec les enfants du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM. Comme tous les autres enfants, ils ont eu droit à des cadeaux. De quoi leur procurer la joie de Noël.
« La drépanocytose est une pathologie très difficile pour les enfants qui en souffrent », a déploré Dolorès Chabi Kao. Ce qui explique la présence de la fondation qu'elle dirige aux côtés de ces enfants, et leur manifester le soutien de la fondation qu'elle dirige. Profitant de l'occasion de la cérémonie de remise de cadeaux, la secrétaire exécutive de la Fondation Moov Africa a souhaité un joyeux Noël à tous les enfants du Bénin, et particulièrement ceux malades et hospitalisés en cette occasion de fête.
Elle a enfin prié Dieu qu'il leur accorde la grâce de sortir très tôt de la maladie, afin de pouvoir rentrer chez eux et fêter les prochaines fois dans leurs maisons.
A en croire la directrice du Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose du CNHU-HKM, la drépanocytose est une maladie héréditaire, génétique transmis des parents aux enfants. « C'est une maladie douloureuse avec beaucoup de complications. Les patients atteints de cette affection souffrent énormément durant toute l'année », a ajouté Bernice Quenum.
Le centre, fait-elle savoir, offre des moments de joie aux enfants en période de fête de Noël. Ce qui leur permet de s'épanouir, de montrer leurs potentialités artistiques et culturelles. Mais face aux difficultés d'organisation cette année, elle a lancé un appel à des structures et personnes de bonnes volontés pour soutenir ces enfants vulnérables dont les parents pour la plupart, n'ont pas assez de moyen. Un appel auquel la Fondation Moov Africa n'est pas restée muet.
Bernice Quenum s'est dite très heureuse et réconfortée du geste de Moov Africa. C'est une première, mais elle compte continuer à faire le plaidoyer pour que le partenariat avec la Fondation se pérennise.
Le Centre de prise en charge médicale intégrée du nourrisson et de la femme enceinte atteints de la drépanocytose fait l'effort de faire un diagnostic précoce de la maladie de la drépanocytose. Quand il s'avère que deux parents ont le trait de la maladie, dès la naissance de l'enfant, un test est fait, et s'il est malade, il bénéficie dès sa naissance d'une prise en charge. Ce qui selon la directrice, lui permet de grandir sans les complications, les impacts de cette maladie.
Quelques images
F. A. A.