L'ambassadeur de France au Bénin Marc Vizy a rendu visite mercredi 15 décembre au groupe de jeunes villes vulnérables qui bénéficient d'un projet PISCCA de maraîchage intégré et d'élevage avicole. Ce projet porté par l'association Bach Consultance pour le Développement (BCD). L'ambassadeur était accompagné de Jérôme Bertrand Hardy, directeur de l'AFD Bénin et de Marie Veillon, attachée de coopération.
Le projet PISCCA est financé par le fonds pour les Projets Innovants des Sociétés Civiles et Coalition d'Acteurs (PISCCA) que l'ambassade mobilise pour soutenir les initiatives des organisations de la société civile béninoise. Grâce au PISCCA 2021, elles ont bénéficié d'une formation et d'un accompagnement qui leur a permis de créer une parcelle maraîchère et de développer un élevage de volailles. Cette activité leur permet désormais de tirer des revenus des ventes de légumes et d'envisager leur autonomisation.
A travers cet appui, l'ambassade est mobilisée pour offrir des solutions concrètes d'activités économiques aux femmes en situation de vulnérabilité. La délégation a été reçue dans le village de Ouenra de la commune de Nikki par Roland Lafia, maire de Nikki et son premier adjoint ainsi que Bachirou Tairou, président de l'ONG BCD. Le projet a été présenté par Nadjibou Arouna, chargé d'accompagner le groupe de 10 jeunes femmes vulnérables du village.
Source : Ambassade de France au Bénin
Wilfried Léandre Houngbédji, Secrétaire général adjoint du gouvernement et porte-parole du gouvernement a indiqué les raisons de la dissolution de l'Institut de Formation Sociale, Economique (INFOSEC) ainsi que le sort réservé aux agents. C'est lors des échanges avec les journalistes vendredi 14 janvier 2021.
C'est « dans un souci d'optimisation et de rationalisation » que le gouvernement a décidé de clôturer l'Institut de Formation Sociale, Economique et Civique (INFOSEC), selon les explications de Wilfried Léandre Houngbédji. « Il n'y a pas que l'Infosec, il y a plusieurs structures comme cela. Vous avez dans des directions ou des ministères, des services qui objectivement n'ont plus leur raison d'être. Par ailleurs, d'autres structures sont entre-temps mises en place qui jouent efficacement ces rôles », ajoute le porte-parole du gouvernement. « Comme partout où le gouvernement de la Rupture (a pris une telle mesure, Ndlr), on a dû recourir à cette solution, les droits de ceux qui y sont seront payés. S'ils sont des fonctionnaires agents permanents de l'Etat, ils retourneront dans les ministères. S'ils sont des conventionnés leurs droits seront payés », a précisé le porte-parole du gouvernement en ce qui concerne le sort réservé aux agents de l'Institut.
L'INFOSEC a été dissout en conseil des ministres le mercredi 12 janvier 2022.
M. M.
Si le sujet complexe du marché carbone a été au cœur des échanges de la COP26, il est sous-tendu par divers leviers, dont celui du développement de la technologie CCS (carbon capture and storage), qui offre des perspectives prometteuses en matière de réduction d'émissions de gaz à effet de serre. Sur ce terrain, l'Afrique a une carte à jouer, à travers des solutions basées sur la nature.
Fanny REY
C'est une disposition sur laquelle les Etats ont eu bien du mal à s'accorder, mais la mise en œuvre d'un dispositif international d'échange d'unités de réduction des émissions de CO2 a finalement été actée lors de la COP26 de Glasgow. Une avancée cruciale dans la lutte contre le réchauffement climatique, puisque la reconnaissance d'un marché international des « crédits carbone » devraient permettre aux pays de mutualiser les coûts de décarbonation de l'économie.
Le concept de captage-stockage de CO2, qui consiste à capter le CO2 au plus près de sa source de production (ou dans l'atmosphère) et à le stocker dans le sous-sol, s'est également invité dans les débats, cette technologie étant susceptible de décarboner massivement les activités de l'industrie lourde et de contribuer à l'atteinte des objectifs du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), qui le mentionne dans trois de ses quatre scénarios de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) à l'échelle mondiale. Son potentiel dans le mix énergétique est également souligné par l'Agence internationale de l'énergie, qui estime qu'il faudra pour atteindre l'objectif d'un réchauffement limité à 2° une contribution du CCS de l'ordre de 14% en 2050. Or seule une trentaine d'installations sont pour l'heure opérationnelles dans le monde, notamment aux Etats-Unis, et l'essentiel des projets se situe en Europe.
Réduire les coûts de captage
Si cette technologie n'est pas nouvelle, les objectifs de réduction des GES nécessitent de passer à l'échelle, ce qui pose la question d'un modèle économique viable, implique de réduire les coûts et d'identifier les écosystèmes les plus aptes à capter et stocker massivement et durablement le CO2. Deux objectifs qui animent la Fondation Earth Love United, fondée en 2020 par l'investisseur béninois Jean Missinhoun. Cette plateforme mondiale pour l'action climatique s'est positionnée sur le double créneau de l'optimisation des puits naturels de carbone et du développement de solutions innovantes de CCS. « Les Africains ont toutes les solutions à portée de main. Ils peuvent apporter leur contribution à la lutte contre le changement climatique », souligne-t-il, convaincu que « 99 % des problèmes peuvent être résolus grâce à la nature ».
Les chercheurs de la Fondation travaillent notamment sur le développement d'un bioréacteur fonctionnant à partir de grands volumes d'algues ou de posidonies – une ferme de bioréacteurs permettant d'absorber 100 000 tonnes de CO2 par an, susceptibles d'être valorisées en biocarburants ou en produits cosmétiques dans un deuxième temps. De quoi offrir une alternative économique aux CCS « classiques », qui utilisent des briques technologiques maîtrisées. « Cette technologie sera appelée à jouer un rôle de plus en plus important dans les scénarios de décarbonation dans lesquels sont engagés les principaux pollueurs », pronostique ainsi Jean Missinhoun.
La mangrove, un puits de carbone exceptionnel
Dans cette dynamique, la Fondation développe dans le sud du Bénin un projet pilote de préservation de la forêt de mangrove sur un site de 652 760 ha. De fait, les mangroves ont une capacité de réserve de carbone parmi les plus élevées au monde (plus de 2 tonnes de CO2 par ha et par an), pouvant en stocker jusqu'à cinq fois plus par unité de surface que les forêts tropicales, grâce à une fonctionnalité spécifique de leur système racinaire leur permettant d'agir comme un puits de carbone pendant un siècle.
Si leur système de séquestration du carbone a prouvé son efficacité, un tiers de la couverture mondiale de mangrove a été détruite ces cinquante dernières années en raison de la surexploitation forestière, de l'érosion des sols et de l'érosion côtière. D'où l'importance de restaurer ces espaces afin d'améliorer leur potentiel de séquestration et d'éviter que le carbone stocké ne retourne dans l'atmosphère. Face à ces constats, l'équipe de recherche « mangrove » de la Fondation concentre ses travaux sur la compréhension des différents modèles de croissance en fonction des espèces et de leur compatibilité, sur la recherche génétique afin d'obtenir d'optimiser la capture et le stockage de carbone et sur la culture d'une espèce créée par altération génétique à cette fin. Objectif : atteindre 250 000 tonnes de séquestration de carbone annuel. Cette approche intègre la culture d'herbiers marins et d'algues pour optimiser les écosystèmes de mangrove.
Une opportunité économique mondiale
Alors que les mangroves couvrent plus de 3,2 millions d'hectares à l'échelle du continent – soit près de 20% de leur surface mondiale –, le potentiel de cette approche est énorme, avec à la clé des réductions d'émissions conséquentes. L'ensemble de ce projet, qui représente un investissement de 200M USD, ouvre des perspectives énormes, en offrant une alternative aux technologies artificielles de CCS, coûteuses et énergivores. A l'échelle mondiale, d'ici 2040, les forêts de mangrove pourraient séquestrer jusqu'à 380 millions de tonnes de CO2, et en tant que telle, leur restauration pourrait rapporter 11,8 Md de dollars d'ici 2040 via la vente de crédits carbone bleu (carbone collecté par les écosystèmes océaniques et côtiers). Le prix de ces crédits, qui inclut notamment la protection contre les tempêtes à la durabilité de la pêche, dépasse la simple valeur du carbone. Autant d'atouts susceptibles de retenir l'attention de fonds climatiques, à l'image du Fonds dédié à la finance verte créé par la Banque africaine de développement dans le sillage de la COP26 afin de drainer des financements privés dans des projets verts à travers le continent.
Après l’assassinat, en février 2021, de Meriem Bounadoui, une jeune algérienne de 15 ans dans une fusillade à Montréal (Canada) qui a suscité d’ailleurs un vif émoi au sein de la communauté algérienne, un autre drame vient de secouer une nouvelle fois la ville suite au décès d’un autre ressortissant algérien.
Il s’agit de Amir Benayad, un adolescent algérien âgé tout juste de 17 ans qui a été atteint par plusieurs balles à la poitrine, hier jeudi, à Mont-royal. Transporté d’urgence à l’hôpital, le jeune homme décède des suites de ses blessures.
En effet, un conflit aurait éclaté entre deux groupes de jeunes dans l’arrondissement Le Plateau Mont-Royal à Montréal, selon le média canadien le journal de Montréal. L’un des jeunes avait « dégainé » une arme et ouvre le feu sur le jeune adolescent.
Le jeune Amir a été touché par plusieurs balles dans la poitrine. L’auteur du crime, quant à lui, a pris la fuite laissant l’adolescent à même le sol souffrant de blessures graves.
Quelques heures après son transfert à l’hôpital, Amir Benayad rend l’âme. Une autre tragédie qui vient de couter la vie à un jeune homme sans histoire.
De grands rêves qui se dissipent !Amir Benayad était, selon ses proches, un jeune adolescent qui avait « de grands rêves à réaliser », rapporte La Presse. Sa famille, quant à elle, ne comprend toujours pas le motif de cet assassinat.
La mort du jeune homme a suscité l’indignation de plusieurs personnalités politiques canadiennes. La ministre de la sécurité publique, Geneviève Guilbault a réagi d’emblée à ce drame soulignant que « ce qui se passe à Montréal est inquiétant ».
Elle assure par ailleurs que « les équipes de l’opération Centaure travaillent d’arrache-pied pour mettre fin à cette violence ».
De son côté, la mairesse de Montréal, Valérie Plante, a fait part de son indignation. « Le décès par balles de l’adolescent (…) est une tragédie. Je suis de tout cœur avec la famille, les proches et les amis de ce jeune homme », a-t-elle déclaré.
La mairesse affirme, dans ce sens, qu’une enquête a été diligentée « pour comprendre la tournure des événements ». « Ce genre d’incident n’a pas du tout sa place à Montréal, dit-elle.
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L’année 2020 s’annonce difficile pour les Algériens. Loin des promesses officielles, le simple citoyen qui peinait déjà à joindre les deux bouts, doit dorénavant faire face à une hausse des prix, même de produits jadis relativement accessibles. Comme si cela ne suffisait pas, la pandémie est de retour, et elle amorce un nouveau pic épidémique, sur fond de menace d’un tsunami de contaminations à cause du variant Omicron.
Outre les pénuries qui ont touché l’huile de table ainsi que le lait et ses dérivés, les Algériens se sont également heurtés dès le début de 2022 aux menaces de certains boulangers qui veulent vendre la baguette subventionnée à 15 dinars l’unité.
Dans les marchés, certains fruits et légumes font rentrer bien des salariés bredouilles, le couffin vide, à leurs foyers. En plus des prix des produits, ceux des services suivent aussi dans la hausse. Coiffeurs, médecins, cafeterias, mais aussi fast-food, et certains transporteurs, n’ont pas hésité à revoir leurs tarifs à la hausse.
Si certains Algériens trouvent encore la force de tourner en dérision la situation, notamment sur les réseaux sociaux, d’autres n’arrivent pas à se convaincre de la flambée, et s’interrogent sérieusement, et de plus en plus, sur les raisons d’une telle flambée. La conjoncture a fait quand même qu’un couple ayant à sa charge des enfants, et dont le salaire ne dépasse pas les 50.000 dinars, ne peut plus prétendre à une vie digne.
Entre pandémie et cherté de la vieLe président de l’APOCE n’a pas caché son mécontentement vis-à-vis de certaines hausses qu’il a jugé injustifiées. Il a spécialement indiqué que les raisons de la flambée des prix des viandes rouges et blanches ainsi que du lait et de ses dérivés demeurent floues. Il estime que les éleveurs et les commerçants doivent encore s’expliquer.
Ces hausses, surtout celles injustifiées, donnent l’impression que l’on a affaire à un marché « sauvage », dénonce Zebdi. Il assure que les autorités doivent mettre un terme à ses dépassement au plus vite, au risque de voir la situation empirer.
La situation devient d’autant plus intolérable, psychologiquement, mais aussi financièrement, quand la pandémie menace de mettre un terme à certains commerces, et à causer des licenciements, ou du moins des congés non payés, au niveau de certaines entreprises.
Quelle solutions ?Devant cette crise multidimensionnelle, le gouvernement n’a pas encore instauré des restrictions concernant la pandémie, tandis qu’il a annoncé des hausses dans les salaires. Une mesure que certains jugent insuffisante, et d’autres vont jusqu’à trouver contre-productive.
C’est le cas de Abderrahmane Mebtoul, économiste, qui estime que l’on fait face à un « terrorisme bureaucratique ». Il explique que l’inflation aura un impact considérable sur le pouvoir d’achat et sur la cohésion sociale, et c’est pour cela qu’il est urgent de travailler sur les problèmes budgétaires et surtout limiter le taux de chômage.
L’expert a également mis en garde contre la vision populiste du problème, et il a estimé que la hausse des salaires va accélérer l’inflation, ce qui impactera négativement les franges les plus fragiles de la société. Mebtoul indique aussi que la solution demeure dans la lutte contre « le terrorisme bureaucratique » et la corruption, qui gangrènent toutes les innovations.
La sortie de crise ne peut naitre que d’un « sacrifice commun », indique cet expert, qui explique que les réformes structurelles doivent équilibrer entre l’efficacité économique et la justice sociale. Un chemin qui s’annonce long et douloureux.
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Le programme des obsèques du roi d'Abomey est rendu public
Les cérémonies funéraires de sa Majesté Kêfa Sagbadjou Glèlè, roi d'Abomey démarrent le 19 février 2022 et prendront fin que le 13 avril 2022. Sa Majesté Kêfa Sagbadjou Glèlè a tiré sa révérence le 17 décembre 2021. Il était prêtre de Fâ et successeur du roi Dédjalagni Agoli-Agbo. Sa Majesté Kêfa Sagbadjou Glèlè a accédé au trône le 12 janvier 2019 à l'âge de 84 ans. A l'état civil, le roi est policier de formation.
Programme des cérémonies funéraires du roi
Après avoir trébuché devant la Sierra Leone, la sélection algérienne fera face après-demain, le 16 janvier 2022, à la Guinée équatoriale. Le sélectionneur national, Djamel Belmadi, après avoir été confronté à une grosse déception lors du premier match, ne compte pas refaire le même scénario lors de la prochaine rencontre.
Il s’agit du match de tous les dangers, les Verts n’ont pas le droit à l’erreur, au risque de se voir éjectés dès le premier tour d’une compétition dont ils sont les détenteurs du titre de champions. C’est essentiellement à cause de cette pression qui pèse sur lui que l’entraineur compte sans doute apporter certains changements au jeu, face à la Guinée équatoriale.
Pour le moment, c’est un véritable blackout que Belmadi a instauré autour des préparations au match. Le sélectionneur, qui a effectué la séance d’entraînement du jeudi en nocturne, a également confirmé sa décision en menant les séances de ce vendredi, prévues à partir de 18 h, loin des journalistes, mais aussi des supporters venus encourager leurs stars.
Un onze remanié ?Dimanche, à 20 h, face à la Guinée équatoriale, les coéquipier de Mahrez doivent rappeler qu’ils sont les champions, au stade de Japoma à Douala face à une Guinée qui commence à saliver après le nul arraché par la Sierra Leone. C’est pour cela, Djamel Belmadi, qui a clairement assumé la responsabilité du résultat du premier match, compte coute que coute, rectifier son tir.
Si personne ne connait encore le onze avec lequel le coach compte affronter le « Nzalang Nacional », tous s’accordent à dire que Bennacer sera de la partie. La star du Milan AC, a purgé, dimanche dernier, sa suspension d’un match. Belmadi devrait aussi faire jouer Ramiz Zerrouki. Une tache des plus vitales sera probablement accordée à la jeune star algérienne, en l’occurrence celle du ratissage des balles et de la relance du jeu.
Ces deux choix qui paraissent s’imposer à Belmadi vont sans doute le forcer à se passer des services de deux joueurs ayant disputé la rencontre face à la Sierra Leone. Il s’agit de Haris Belkebla et Yacine Brahimi.
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Ouidah et la ville américaine de Baltimore-Maryland vont nouer dans les prochains mois un partenariat culturel en vue de favoriser le retour à leur racine des noirs américains. L'annonce a été faite à l'occasion de la fête identitaire Gléxwé Xwé 2022 par Bunmi Jinadu, un nigérian résident aux USA et très passionné du Bénin.
Judicaël ZOHOUN
Un partenariat entre Ouidah et Baltimore sera établi dans le domaine de la culture en vue du retour à leur racine des noirs américains. Selon Bunmi Jinadu, Senior Advisor Baltimore-Maryland, le but est de faire découvrir aux noirs américains, d'ascendance africaine, leur histoire. « Il y a beaucoup de noirs américains qui ne connaissent pas leur origine en Afrique », a-t-il déclaré au cours d'une interview à l'occasion de la célébration de Gléxwé Xwé, édition 2022. Ce partenariat permettra aux noirs américains de reconstruire les liens brisés avec leur passé africain. Selon monsieur Jinadu, outre le volet culturel et touristique , ce projet prend en compte un volet économique qui regroupe tous les domaines de coopération possible pour les deux villes et pour toute l'humanité.
Le Maire de Ouidah et son conseil, les députés et les autorités de l'Etat ne ménagent aucun effort pour la réussite de ce partenariat qui vient renforcer le volet tourisme du PAG ( Programme d'Action du Gouvernement).
Ville historique, culturelle et touristique, Ouidah était autrefois la porte de sortie et d'embarcation des esclaves durant la traite négrière. Ils avaient été embarqués à destination de l'Amérique et autres.
Le partenariat culturel annoncé entre la ville du nord-est des États-Unis située dans l'État du Maryland est un retour au pays natal. Ce retour va également renforcer le projet de « La Route de l'esclave » qui promeut les héritages communs.
Monsieur Bunmi Jinadu est un promoteur très influent dans le communauté des noirs afro-américains. Il y organise plusieurs grands événements dont par exemple le 20e anniversaire des Jeux olympiques de 1996 qui fut une occasion où l'équipe olympique nigériane actuelle s'est rendu à Atlanta et a raviver les souvenirs de cette glorieuse victoire.
Monsieur Jinadu Bunmi et les autorités de Ouidah à l'occasions de la fête de Gléxwé XwéLa ville de Sidi Abdellah suscite de nouveau l’intérêt de l’exécutif. Après l’ambition d’en faire une « smart city » qui semble toujours à ses balbutiements, voilà qu’aujourd’hui le gouvernement algérien veut faire de cette ville un « pôle sanitaire ».
Le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, a évoqué une nouvelle fois, ce vendredi 14 janvier, le grand projet d’un pôle sanitaire qui sera implanté à Sidi Abdellah conformément à la proposition Président Abdelmadjid Tebboune de le délocaliser vers une ville plus spacieuse.
Vers la construction d’un « grand » pôle sanitaireAinsi, la capitale sera dotée prochainement, d’un hôpital universitaire au niveau de la ville de Sidi Abdellah. C’est ce que promet le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, lors de son passage sur El Hayat TV.
« Nous allons procéder à la construction d’un hôpital universitaire qui fera de Sidi Abdellah « une ville sanitaire », a-t-il déclaré. Pour le ministre, ce nouveau « pôle d’excellence va devoir contribuer à la formation des médecins ainsi que la collaboration entre les différents établissements de soins.
En effet, ce projet a pour objectif d’atténuer la pression sur les autres hôpitaux d’Alger déjà en saturation depuis plusieurs années et souffrant également de surcharge et de manque de moyens impactant négativement la qualité des soins et la prise en charge des patients.
Par ailleurs, le premier responsable du secteur sanitaire avait précisé, en mars 2020, que cette structure sanitaire, dont le projet a été présenté devant le conseil des ministres, aura comme capacité pas moins de 700 lits. Un projet qui pourrait faire souffler un vent nouveau dans le système sanitaire algérien qui se situe toujours dans le peloton de queue.
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Soupçonné d'avoir tué sa mère, un jeune homme a été arrêté, jeudi 13 janvier 2022, et placé en garde à vue à Sanson, commune de Tchaourou.
Matricide à Sanson, arrondissement de la commune Tchaourou. Selon Frissons Radio, le présumé auteur du meurtre aurait tabassé sa mère en lui donnant des coups de pied dans le ventre. La dame a succombé à ses blessures. Les faits se sont déroulés en mars 2021. Le fils aurait menacé les témoins qui en parleraient. Le père a finalement dénoncé son enfant. Interpellé, le présumé meurtrier a été placé en garde à vue.
A.Ayosso
La communauté universitaire sera désormais soumise à des contrôles d'identité et des fouilles légères dès 19 heures à compter du lundi 17 janvier 2022, selon une note du recteur de l'Université d'Abomey-Calavi (UAC), Félicien Avléssi, en date du 13 janvier 2022.
Etudiants, personnel administratif, personnel enseignant et autres usagers de l'Université d'Abomey-Calavi (UAC) seront soumis à des contrôles d'identité et à des fouilles légères à partir de 19 heures. Les contrôles débuteront lundi 17 janvier 2022.
Les usagers du campus universitaire sont priés de de se munir de leur carte nationale d'identité, badge professionnel, carte d'étudiant et fiche d'inscription ou autres pièces. Il sera procédé également à des fouilles inopinées des véhicules à quatre roues.
Selon une note du recteur de l'Université d'Abomey-Calavi (UAC) en date du 13 janvier 2022, ces mesures sécuritaires visent à « démasquer et décourager les commanditaires et responsables de (…) trouble ».
M. M.
Membre fondateur de l'UP, l'ancien directeur en charge des mines dans le Mono et le Couffo, Comlan Simon Godui, est décédé, ce vendredi 14 janvier 2022.
Comlan Simon Godui, membre fondateur du parti Union Progressiste (UP) et ancien directeur en charge des mines dans le Mono et le Couffo n'est plus. Le décès de Comlan Simon Godui est survenu ce vendredi 14 janvier 2022 dans la matinée des suites de maladie. Le défunt est natif de la commune de Dogbo. Il a été Directeur des mines et de l'hydraulique des départements du Mono et du Couffo pendant une vingtaine d'années. Comlan Simon Godui est admis à la retraite en 2021. Au plan associatif, le défunt a été Président de l'Association de Développement économique et social de la commune de Dogbo (ADESCUD).
M. M.
La circulation a été bloquée dans la matinée de ce vendredi 14 janvier 2022 à la hauteur du carrefour Saclo à Bohicon. En pleine circulation, un camion a pris feu au niveau du carrefour. Pour l'heure, les causes ainsi que le bilan de l'incendie ne sont pas connues.
M. M.
La taxe de 5% instaurée sur les GSM par le Nouveau Code Général des Impôts (CGI) sera-t-elle calculée sur chaque dépôt ou retrait des consommateurs ? Le Secrétaire Général Adjoint du Gouvernement et porte-parole du gouvernement, Wilfried Houngbédji a donné des clarifications sur la taxe le vendredi 14 janvier 2022 lors de la rencontre hebdomadaire avec les professionnels des médias.
Le code général des impôts (CGI) a instauré une taxe de 5% sur les GSM. La nouvelle a suscité des commentaires dans l'opinion publique et sur les réseaux sociaux. Certains ont tôt fait de croire qu'on prendra 5% sur chaque opération de transfert mobile. « L'esprit du Code, ce n'est pas 5% sur les opérations que vous faites. C'est 5% des commissions perçues par l'opérateur GSM », a indiqué Wilfried Houngbédji, Secrétaire Général Adjoint du Gouvernement et porte-parole du gouvernement, vendredi 14 janvier 2022, lors des échanges hebdomadaires avec les journalistes. Pour la mise en application de cette disposition du Nouveau Code Général des Impôts relative à la taxe de 5% sur les transactions électroniques, le SGAG a annoncé des échanges avec les opérateurs de téléphonie mobile. « La Direction Générale des Impôts est en discussion avec les réseaux GSM pour voir les modalités d'application », a précisé le SGAG. Les autres sujets examinés au cours de la rencontre sont, entre autres, le point du Programme d'action du Gouvernement (PAG2) 2021-2026, la phase 2 du microcrédit Alafia, l'évaluation du contrat entre Paris Hospital Foundation et le gouvernement du Bénin pour la coordination des évacuations sanitaires et la prise en charge des patients béninois en France et les questions relatives à l'actualité nationale.
M. M.
Le président de la République Patrice Talon a gracié 499 prisonniers suivant des modalités bien définies. C'est par décret N˚ 2022-035 du 06 janvier 2022. Liste complète des personnes graciées.
Le programme de recrutement des 1000 premiers jeunes des unités textiles de la GDIZ - Glo-Djigbé Industrial Zone a été officiellement lancé ce mercredi 12 janvier 2022 à la mairie d'Abomey-Calavi. La cérémonie a eu lieu en présence du ministre Modeste Tihounté Kérékou, des responsables de la Société d'Investissement et de Promotion de l'Industrie (SIPI Benin SA) et de l'ANPE BENIN.
« Ce que nous lançons aujourd'hui n'est que la première partie d'un dispositif plus global qui va nous conduire dans les 18 et 24 mois à recruter à peu près 15.000 jeunes de 18 à 30 ans », a déclaré le Directeur Général de l'APIEx, Laurent Gagnbes. Selon le Directeur Général de la SIPI, Létondji Beheton.
La première phase de recrutement se déroulera du 12 au 30 Janvier 2022. Pour s'inscrire, les candidats doivent se rendre sur la plateforme www.azoli.bj à partir de leur téléphone mobile ou d'un ordinateur. Ils peuvent également se rapprocher des antennes ANPE de leur département munis de leur pièce d'identité. A en croire le ministre des Petites et Moyennes Entreprises et de la Promotion de l'Emploi, Modeste Kérékou, la mise en œuvre du PAG 2021-2026 va générer 1.300.000 emplois. « Chers jeunes, (…) restez engagés et mobilisés », a-t-il ajouté.
A.Ayosso