Un agent de santé est en cavale après une injection à une apprentie coiffeuse âgée de 18 ans qui est décédée dans l'après-midi du lundi 17 janvier 2022 à Dangbo, département de l'Ouémé.
A la suite d'un malaise, une apprentie coiffeuse a sollicité un agent de santé pour des soins. Après des injections qu'elle a reçues à son domicile dans l'arrondissement de Katagon, commune de Dangbo, dans l'après-midi du lundi 17 janvier 2022, l'apprentie coiffeuse âgée de 18 ans a vu son cas s'aggraver. Selon Frissons radio, la jeune coiffeuse a été conduite d'urgence à l'hôpital mais elle décède au cours du trajet. Le corps sans vie de la victime a été déposé à la morgue sur instruction du procureur. Pour l'heure, l'agent de santé qui a administré l'injection est introuvable. La police a ouvert une enquête.
M. M.
Après avoir récemment dépassé l'Union Européenne, dans ses anciennes frontières incluant le Royaume-Uni, le monde francophone compte désormais 536 millions d'habitants. Une progression essentiellement due à l'Afrique francophone, dont l'émergence démographique et économique mériterait davantage d'attention de la part des pays francophones du Nord, et notamment de la France dont les aides au développement bénéficient principalement aux pays de l'est de l'Union Européenne, au mépris de ses propres intérêts.
Les propriétaires des boutiques de ceinturage du stade de l'amitié, Général Mathieu Kérékou de Kohounou Cotonou doivent libérer les lieux au plus tard le 31 mars 2022. L'annonce a été faite aux occupants à travers une lettre du directeur général de l'Office de gestion des stades du Bénin (OGSB) en date du mardi 18 janvier 2022.
Les boutiques de ceinturage du stade de l'amitié « Général Mathieu Kérékou » seront démolies dans les prochains mois. Selon l'Office de gestion des stades du Bénin (OGSB), les travaux dans le cadre du projet de construction d'un Pôle commercial au stade de l'amitié s'étendent à l'espace occupé par les boutiques de ceinturage. Les travaux dudit projet doivent démarrer au plus tard le 1er avril 2022.
« Nonobstant l'absence d'une disposition relative au préavis dans vos contrats respectifs, l'Office de Gestion des Stades du Bénin (OGSB), dans une dynamique de courtoisie et en vue de vous permettre toutes les dispositions nécessaires, vient par la présente vous notifier que le dernier délai de libération intégrale du site est fixé au 31 mars 2022 », indique le directeur de l'OGSB. Les occupants des boutiques de ceinturage ont donc moins de trois mois pour libérer les lieux.
A.Ayosso
Le Conseil des ministres s'est réuni ce mercredi 19 janvier 2022 en présence du Chef de l'État. Patrice Talon. Plusieurs grandes décisions ont été prises au cours de cette séance hebdomadaire.
Le gouvernement béninois a décidé en Conseil des ministres, de la création, à la Présidence de la République, de la Cellule d'analyse et de traitement des plaintes et dénonciations (CPD). Les ministres ont aussi décidé de l'abrogation du décret portant création, attributions, composition, organisation et fonctionnement du Conseil national du Dialogue social (CNDS) et de ses démembrements.
Au titre des communications, il y a l'agrément de trois sociétés au Code des investissements pour divers projets ; l'extension du programme national d'alimentation scolaire intégré et le compte rendu de la mission de suivi de la rentrée des classes 2021-2022 et du fonctionnement des cantines scolaires du 7 au 28 novembre 2021.
A.Ayosso
Après près de 5 mois des feux de forêt ravageurs qui ont touché plusieurs régions du nord du pays, le ministre de l’Agriculture fait le point sur le programme d’indemnisation des agriculteurs touchés, tout en révélant les montants alloués.
Intervenant lors de la réunion de la commission de l’agriculture, de la pêche et de la protection de l’environnement à l’APN, le premier responsable du secteur a d’emblée dévoilé le montant alloué par son département à l’indemnisation des agriculteurs et éleveurs impactés.
Selon un communiqué de l’APN, le ministre a indiqué que son département avait alloué une enveloppe de 3 milliards de dinars pour l’indemnisation des agriculteurs et éleveurs impactés par les feux d’aout 2021.
« 1146 éleveurs ont été indemnisés »Le même intervenant a précisé que « tous les éleveurs de la wilaya de Tizi Ouzou, considérée comme la wilaya la plus touchée par les incendies, ont été tous indemnisés ». Au niveau national, il ajoute que pas moins de « 1146 éleveurs ont été indemnisés par 6337 têtes de bétail à travers 10 wilayas ».
Pour ce qui est des autres indemnisations, le communiqué souligne qu’une opération d’indemnisation en arbres fruitiers a été lancée à travers 22 wilayas. Pas moins « 100 000 arbres fruitiers ont été distribués », selon la même source.
Dans un autre volet, les membres de la commission de l’agriculture, de la pêche et de la protection de l’environnement à l’APN ont salué la décision prise lors du conseil des ministres concernant l’augmentation des prix d’achat du blé tendre et dur auprès des agriculteurs.
Cette démarche intervient dans le but d’encourager les encourager à doubler de production en vue de réaliser la sécurité alimentaire, a indiqué un communiqué du Conseil. Pour rappel, le prix d’achat du blé dur est passé après cette décision de 4500 Da à 6000 Da, le blé tendre de 3500 Da à 5000 Da, l’orge de 2500 Da à 3400 Da et l’avoine de 1800 Da à 3400 Da.
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Présent avec son coach Djamel Belmadi, lors d’une conférence de presse tenue aujourd’hui à Douala, au Cameroun, le capitaine des Verts Riyad Mahrez a évoqué le sujet qui fait la Une des médias : le choc Algérie – Côte d’Ivoire.
En effet, l’ailier algérien a déclaré que lui et ses coéquipiers étaient habitués à la pression, tout en avouant que le match de demain ne serait pas facile : « nous sommes stressés, et nous le vivons toujours, avant chaque match. À l’heure actuelle, il y a une pression supplémentaire, compte tenu de nos résultats précédents, et afin de gagner pour assurer la qualification. »
« Nous savons que le match de demain ne sera pas facile, tout le monde aspire à se qualifier, ce qui le rend ouvert des deux côtés, » a-t-il fait savoir.
« Chaque match que nous jouons pour l’Algérie, nous devons fournir un grand effort. Nous devons être normaux, et tout le monde sait quoi faire sur le terrain lors du match de demain », a déclaré Mahrez.
» C’est l’Afrique avec un football spécial et des circonstances spéciales » (Mahrez)En outre, le talentueux Fennec a souligné la nécessité de restaurer leur efficacité offensive contre la Côte d’Ivoire, ce qu’ils ont manqué lors des deux premiers matchs, face respectivement, à la Sierra Leone et la Guinée équatoriale.
« C’est l’Afrique avec un football spécial et des circonstances spéciales. En termes de points, ce n’est pas ce que nous avons souhaité, mais dans le jeu, nous faisons ce que nous avons à faire et créons beaucoup d’occasions. Nous devons retrouver notre performance et faire la différence lors de notre prochain match, » affirme le capitaine des Fennecs.
Dans le même sillage, Riyad Mahrez n’a pas nié la pression qu’il subit avec ses coéquipiers avant la confrontation décisive face à la Côte d’Ivoire.
Sachant que les hommes de Belmadi auront rendez-vous, ce jeudi 20 janvier à partir de 17 heures (heure algérienne), avec la Côte d’Ivoire, dans le complexe sportif Japoma, à Douala, au Cameroun.
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Depuis quelques années, des changements géostratégiques et un repositionnement des plus grandes puissances mondiales sont constatés au niveau de plusieurs régions du monde. Dans cette carte géopolitique, l’OTAN, l’Organisation du Traité du Nord-Atlantique, joue un rôle capital.
L’Algérie, plus vaste pays du continent africain, n’est pas épargnée par cette mise à jour. Des enjeux sécuritaires, notamment en relation avec la lutte contre le terrorisme, ont été mis sur la table hier par M. Javier Colomina Píriz, secrétaire général adjoint de l’OTAN pour les affaires politiques et la politique de sécurité, et représentant spécial du secrétaire général de cette organisation pour le Caucase et l’Asie centrale.
Lors de son passage à Alger, ou il a animé une conférence-débat au sein du siège de l’Institut national des études stratégiques et globales (Inesg), le responsable de l’OTAN n’a pas manqué de souligner « le rôle clé » que joue l’Algérie dans la région.
«L’Algérie est un acteur clé dans la région de l’Afrique du Nord et du Sahel, et un interlocuteur incontournable sur les question de sécurité, spécialement dans le domaine de lutte contre le terrorisme», a-t-il déclaré, ajoutant que «l’Algérie n’est pas seulement un partenaire stratégique, mais aussi un membre actif dans le cadre du Dialogue méditerranéen de l’OTAN et dont notre pays est membre depuis une vingtaine d’années».
Algérie, un atout important pour l’OTANSelon M. Javier Colomina Píriz, le partenariat entre l’Algérie et l’OTAN «est fondé sur des défis et des objectifs communs, et les événements que connaît la région, notamment l’instabilité en Libye et au Sahel, montrent qu’il est important de renforcer notre coopération avec encore plus de détermination en faveur de la sécurité, de la stabilité et de la paix à l’échelle régionale et internationale».
L’Algérie, ajoute-t-il, « dispose d’une expertise régionale considérable et nous sommes heureux de pouvoir en bénéficier, à travers notre dialogue politique, notre coopération pratique et nos échanges avec les experts algériens ». Le responsable « se félicite » surtout du « niveau de la coopération avec l’Algérie » et de « l’approbation du dernier programme individuel de partenariat entre l’Algérie et l’OTAN, adopté en avril dernier et qui fixe les objectifs à atteindre pour les deux prochaines années ».
Le rapprochement entre l’Algérie et l’OTAN est principalement dicté par une coopération dans les domaines du «contre-terrorisme, de la lutte contre les armes légères et de petits calibres ou encore le cyber-défense», fait savoir M. Javier Colomina Píriz.
Algérie – OTAN : une coopération gagnant -gagnant ?C’est lors de la même conférence que le responsable de l’OTAN a salué «la participation régulière de l’Algérie aux activités de formation et d’entraînement et aux exercices proposés par l’ OTAN», ce qui témoigne selon lui d’une « détermination commune » qui ouvre la voie à « l’établissement d’un dialogue politique régulier de haut niveau entre l’Algérie et l’OTAN, notamment à travers l’accentuation des visites officielles de part et d’autre ». C’est d’ailleurs dans ce cadre qu’il a invité « les groupes parlementaires algériens, les diplomates et les jeunes officiers au siège de l’Organisation qui se trouve à Bruxelles ».
M. Javier Colomina Píriz dit vouloir « pousser l’Agenda Sud au sein de l’Alliance ». Ce qui se passe dans le Sahel, notamment l’émergence d’une inquiétante menace terroriste, « sont autant de menaces pour l’Afrique du Nord comme pour l’OTAN », estime le responsable qui assure que l’OTAN est prête « à dissuader et, si nécessaire, à défendre les membres de l’Alliance contre n’importe quel adversaire ».
Colomina cite la montée de l’extrémisme violent, avec des actions de groupes terroristes transnationaux affiliés à Al-Qaïda et Daech, mais aussi le trafic illégal d’armes et de drogue. Pour faire face à ces menaces, l’OTAN mise sur la dynamisation du dialogue méditerranéen avec ses partenaires de la rive Sud.
Ce dialogue, soutient-il, « est le seul forum où les 30 pays de l’OTAN et les 7 pays de la région échangent de façon régulière. Ce qui a permis à l’Alliance et à ses partenaires d’améliorer leur compréhension commune de l’environnement sécuritaire et de faire face à des défis partagés ».
Quelle place pour l’Algérie dans la « nouvelle approche de l’OTAN ?« La sécurité et la stabilité des deux rives de la Méditerranée sont intrinsèquement liés » soutient le même intervenant qui assure que son organisation vise à impliquer ses partenaires du bassin méditerranéen.
«Nous travaillons, à la demande de nos partenaires et en étroite collaboration avec eux, à développer leurs capacités de défense pour mieux lutter contre les défis sécuritaires actuels (…) Nous améliorons , en ce sens, de manière continue, la qualité de notre formation et entraînements», a-t-il déclaré.
Concernant la coopération avec l’Algérie, le responsable l’a qualifié « d’exemplaire », soulignant par la même occasion qu’elle sera «étroitement associée au processus de réflexion», rappelant que l’alliance vise à «la formation des systèmes de défense des pays partenaires pour qu’ils soient plus professionnels, plus transparents et plus démocratiques».
Pour conclure, le secrétaire général adjoint de l’OTAN pour les affaires politiques et la politique de sécurité, et représentant spécial du secrétaire général de cette organisation pour le Caucase et l’Asie centrale a déclaré que bien que l’OTAN «ne prend pas part aux conflits entre les pays partenaires», elle est en train de réfléchir à bâtir une nouvelle relation institutionnalisée avec tous les pays de la région».
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L’allocation chômage, prévue dans le cadre des dispositions de la loi des finances 2022, ne devra pas tarder à entrer en vigueur. Les modalités d’octroi, le montant et les catégories bénéficiaires sont déjà fixés, dans l’attente d’une approbation officielle du Premier ministre.
En effet, le décret exécutif portant sur les conditions d’octroi de l’allocation chômage ainsi les catégories bénéficiaires sera présenté incessamment au Premier ministre pour une révision définitive et approbation, indique ce mercredi le sénateur Abdelouahab Benzaim.
De nouveaux détails concernant cette allocation ont été également dévoilés par le sénateur dans un poste publié sur sa page Facebook. Il s’agit en principe de l’inclusion des anciens détenus, ayant rempli les conditions de cette allocation.
Une nouvelle catégorie de bénéficiaires incluse« Le nouveau dans cette mesure consiste à l’inclusion des détenus qui remplissent les conditions dans la liste des bénéficiaires de l’allocation, et ce, dans le but de les aider à leur sortie de prison pour entamer une vie décente », a écrit le sénateur.
Selon les détails dévoilés par le même intervenant, « tout bénéficiaire qui fait de fausses déclarations à cet égard sera contraint de rembourser les montants de l’allocation obtenus de manière frauduleuse ».
Dans le volet des modalités d’inscription, Benzaim indique que « ceux qui souhaitent bénéficier de l’allocation chômage doivent au préalable « s’inscrire auprès de l’agence locale de l’emploi de sa résidence, et ce, au moins six mois après la parution du décret exécutif ».
En outre, « l’allocation est versée pendant 6 mois, renouvelable une fois pour 6 mois. Le bénéficiaire est également tenu « d’accepter un travail ou une formation dans tout lieu indiqué par l’agence de l’emploi ». Cela intervient dans le but de « l’amélioration du niveau pratique du demandeur de l’allocation chômage ».
Montant de l’allocation et catégories d’âge des bénéficiairesL’allocation, dont le montant est fixé à 13 000 dinars selon le sénateur, sera automatiquement annulée dans le cas où le demandeur « obtient un emploi dans le secteur privé ou public, ou s’il refuse deux offres d’emploi de l’agence pour l’emploi ».
Par ailleurs, le sénateur rappelle que cette allocation concerne « toute personne âgée de 19 à 40 ans qui ne dispose d’aucun revenu d’une entreprise publique ou privée, en plus de justifier de son statut vis-à-vis du service national ».
Il est également stipulé que le bénéficiaire « ne doit être inscrit dans aucune institution ou université et bénéficier d’une autre bourse ». Comme il doit « se présenter deux fois par mois à l’agence de l’emploi pour justifier de sa situation en état de chômage ou de changement de statut ».
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À la veille du match de la troisième et dernière journée de la phase des poules du Groupe E, opposant l’Algérie à la Côte d’Ivoire, le sélectionneur national Djamel Belmadi a traité plusieurs points, lors d’une conférence de presse d’avant-match tenue aujourd’hui.
En effet, Belmadi a parlé de la pression et des occasions ratées et de la « malchance » de ses joueurs, qui les a empêché d’inscrire des buts, lors des deux rencontres précédentes, face à la Sierra Leone et la Guinée équatoriale.
» Notre problème est qu’on n’a pas marqué de but. Vous pouvez me poser des questions dans tous les sens, moi je reste dans le domaine technique. Si on avait concrétisé les nombreuses occasions qu’on a pu créer, on ne poserait pas toutes ces questions. Je reste dans le côté technique, et c’est là où je dois chercher les solutions, et c’est à travers ça qu’on va gagner des matchs « .
» On doit absolument gagner, c’est le plus important. C’est une situation d’urgence. Mais pour cela, notamment face à la Côte d’Ivoire, on aura besoin d’un plan et d’une bonne stratégie. C’est un challenger pour nous, » affirme Belmadi.
» Je veux prendre cette grande responsabilité » (Belmadi)Dans le même contexte, Djamel Belmadi a également révélé : » à l’heure actuelle, nous ne pensons pas beaucoup aux choses négatives. Nous sommes actuellement bien placés après avoir étudié les aspects négatifs. J’ai fait de mon mieux pour trouver des solutions et éliminer le problème de l’attaque. »
» Il est vrai que nous sommes confrontés à un problème dans le côté offensif, mais nous ne devrions pas trop penser aux matchs précédents, » a-t-il ajouté.
Lors de la même conférence de presse, Belmadi a déclaré sa flamme pour son pays, en lançant : » jamais j’ai pris les choses à la légère. Je suis venu en Algérie en 2018 avec pleins d’attentes. J’aurais pu tranquillement rester au Qatar, mais non, je suis venu en Algérie parce que c’est mon pays, parce que j’avais envie d’entrer dans cette arène. Ça prend de l’énergie et c’est une grande responsabilité sur mes épaules, mais j’ai choisi de la prendre et de l’assumer, car je le veux bien « .
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Le West Africa Trade & Investment Hub de l'Agence Américaine pour le Développement International (USAID) a lancé un partenariat de Co-investissement de 10,2 millions de dollars avec Tolaro Global, une entreprise leader dans la transformation de la noix de cajou au Bénin. Le but est de renforcer le marché de la noix de cajou certifiée biologique du pays et d'aider à répondre à la demande croissante de produits à base de noix de cajou parmi les consommateurs américains et européens.
A l'appui de cet objectif, Tolaro Global coordonne un projet de trois ans qui aidera environ 3 863 producteurs de noix de cajou au Bénin à obtenir des qualifications biologiques certifiées, à augmenter sa capacité de traitement des noix de cajou et à créer de nouvelles lignes de revenus en transformant les pommes de cajou et les noix de cajou cassées - toutes deux généralement jetées - en produits qui peuvent également être exportés. Le projet sera financé par une subvention de co-investissement de 1 million de dollars du Trade Hub et par 9,2 millions de dollars de capitaux privés et de ressources de Tolaro Global.
Selon Tolaro Global, l'insuffisance du nombre de producteurs de noix de cajou certifiés biologiques l'a empêché de satisfaire les quantités de noix de cajou demandées par les marchés américain et européen. En renforçant les capacités des 3 863 producteurs de noix de cajou à obtenir la certification biologique, l'offre de noix de cajou certifiées biologiques passera de 1 567 tonnes métriques à 8 000 tonnes métriques au cours du projet de trois ans. Cet effort sera soutenu par Tolaro Global en partenariat avec Away4Africa, une société néerlandaise de conseil technique, ainsi qu'avec deux unions régionales de coopératives agricoles, afin de donner aux producteurs de noix de cajou les outils et la formation nécessaires pour produire des noix de cajou certifiées biologiques.
L'entreprise a également constaté qu'en raison de l'insuffisance des équipements et de l'expertise technique, environ 87 % des noix de cajou brutes du Bénin sont exportées vers les marchés asiatiques, tels que l'Inde et le Vietnam. Pour y remédier, Tolaro Global cherchera à développer ses capacités de traitement des noix de cajou en améliorant les infrastructures et en dispensant une formation technique, ce qui lui permettra d'augmenter sa capacité de traitement des noix brutes de 6 000 tonnes par an à 8 000 tonnes par an d'ici la fin du projet.
Parallèlement, elle augmentera sa capacité à répondre à la demande croissante de produits à base de noix tels que les beurres, les pâtes à tartiner et les farines. Ces produits à valeur ajoutée peuvent être fabriqués à partir de morceaux de noix de cajou cassés, mais nécessitent un traitement supplémentaire. Grâce aux améliorations apportées à la transformation, Tolaro Global réduira les déchets provenant des morceaux de noix de cajou tout en ajoutant des sources de revenus supplémentaires.
Tolaro Global s'efforcera également de réduire les déchets provenant des pommes de cajou, une partie de la noix de cajou qui peut avoir une valeur élevée mais qui est aussi régulièrement mise au rebut. Dans le cadre du projet, Tolaro récupérera 300 tonnes métriques de pommes de cajou qui seront transformées en aliments pour animaux. L'entreprise formera et renforcera les capacités de 204 personnes pour la collecte, le séchage et l'élimination des pommes de cajou dans le cadre de cette activité.
Grâce aux efforts combinés du projet, Tolaro Global prévoit de générer 18,8 millions de dollars de revenus d'ici la fin du partenariat en mai 2024. Regis Ouattara, responsable du partenariat public-privé pour le Trade Hub et agent de liaison pour Tolaro Global, est impatient de voir l'impact économique positif à long terme que le projet entraînera au Bénin.
"Comme d'autres pays d'Afrique de l'Ouest, la plupart des récoltes de noix de cajou du Bénin sont exportées pour être transformées sur les marchés étrangers, ce qui entraîne une énorme perte de revenus à la fois pour les producteurs de noix de cajou et pour des entreprises comme Tolaro Global", a déclaré M. Ouattara. " Grâce à ce partenariat et à d'autres similaires comme celui avec Red River Foods, le Trade Hub aide les transformateurs et les exportateurs de noix de cajou d'Afrique de l'Ouest à tirer pleinement parti de la chaîne de valeur de la noix de cajou. "
Les partenariats de co-investissement du Trade Hub ont également été essentiels pour que des entreprises telles que Tolaro Global puissent rebondir après les difficultés financières résultant de la pandémie de COVID-19.
" Avec la crise du COVID-19 et le déclin général connu dans la plupart des pays du monde en 2020, notre entreprise, comme beaucoup d'autres, a pris un coup ", déclare Dabo Falilatou, responsable de la gestion des subventions chez Tolaro Global. "A cela s'est ajouté le fait que nous étions confrontés aux doutes des institutions financières, qui étaient devenues peu confiantes quant à l'octroi de prêts aux usines." Dans ce contexte, la subvention de co-investissement de 1 million de dollars du Trade Hub est venue comme une bouffée d'air frais."
Légende
Après que les noix de cajou sont passées dans une machine à décortiquer automatique, le personnel de Tolaro Global les vérifie manuellement et décortique celles qui ont été oubliées.
À propos du Trade Hub
Le Trade Hub est une initiative financée par l'USAID pour stimuler la croissance économique grâce à des partenariats avec le secteur privé, en vue de générer de nouveaux investissements, créer de nouveaux emplois et renforcer la valeur des exportations régionales et internationales en provenance d'Afrique de l'Ouest.
À propos de l'USAID
L'Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) est la principale agence du gouvernement des États-Unis œuvrant pour mettre fin à l'extrême pauvreté dans le monde et permettre à des sociétés résilientes et démocratiques de réaliser leur potentiel. L'année 2021 marque le 60e anniversaire de l'USAID et 60 ans de partenariat avec le peuple sénégalais.
À propos de Tolaro Global
Créée en 2011, Tolaro Global SAS est une entreprise de transformation et de vente en gros de noix de cajou située au centre de la zone de production de noix de cajou du Bénin, à Parakou. La mission de l'entreprise est de créer des partenariats et des réseaux, du producteur au consommateur, et de gérer chaque maillon de la chaîne de valeur de la noix de cajou pour créer un processus éthique, durable et transparent.
En prévision de la finale du premier tour de la Coupe d’Afrique des Nations 2021 au Cameroun du Groupe E, le sélectionneur national Djamel Belmadi et ses joueurs sont en pleine préparation, dans l’espoir de remporter le match de demain face à la Côte d’Ivoire.
L’Algérie n’a d’autre choix que de gagner, afin d’assurer la qualification aux huitièmes de finale de cette compétition africaine, notamment avec son nul face à la Sierra Leone et sa défaite contre la Guinée équatoriale.
Dans une conférence de presse d’avant-match, le « Ministre du Bonheur » s’est exprimé sur la difficulté de la rencontre, prévue demain à partir de 17 heures, au stade Japoma, lançant : » effectivement, ça pourrait être comme un match de finale. Deux grandes nations du football africain qui vont se rencontrer, en espérant que ça sera un grand et un beau match « .
» On sait que le peuple nous soutient » (Belmadi)Dans le même sillage, l’entraineur était également interrogé sur la performance de Youcef Belaili, qui a présenté un excellent parcours lors de la Coupe arabe 2021, mais un peu absent lors de ce tournoi continental. » La Coupe arabe et la Coupe d’Afrique sont deux compétitions complétement différentes, dans des circonstances et un niveau complétement différents. Donc, c’est incomparable « .
» Si vous voulez parler de Belaili, moi je vois que c’était un joueur dangereux lors des deux rencontres précédentes. Il a créé pas mal d’occasions, mais malheureusement, elles n’ont pas abouti « , a-t-il expliqué.
Par ailleurs, Belmadi a évoqué le sujet du soutien du public sportif algérien à sa sélection nationale et a fait savoir : » on sait très bien que le peuple nous soutient, ce n’est pas nouveau. On doit tout faire sur le terrain. On n’est pas loin, il suffit d’un seul but pour changer le destin de la rencontre. On a confiance en nous, et je fais également confiance aux joueurs, mais on doit prouver ça sur le terrain « .
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Pour avoir violé une fillette de 4 ans ce dimanche 16 janvier 2022 à Wologuèdè Cotonou, un homme a été tabassé par la population. Il a eu la vie sauve grâce aux éléments de la police républicaine.
Viol sur mineure de 4 ans. Les faits se sont déroulés dans une maison à Wologuèdè. Le présumé violeur serait une parenté au propriétaire de la maison. Il y venait régulièrement. « Je m'étais allongée sur la terrasse pour m'assoupir un moment. D'autres co-locataires étaient également assis sur la cour. J'ai eu un mauvais pressentiment et je m'étais levée pour demander d'après ma fille que je ne voyais plus depuis plusieurs minutes. C'est ainsi que je découvre l'horrible scène dans le couloir. L'homme était en train d'enfoncer sa verge à l'intérieur de ma fille qui, elle, pleurait (…) », a confié la mère de la fillette à ‘'La Tempête Infos''.
A en croire la mère, sa fille en maternelle 1 saignait après l'acte. Elle a été conduite à l'hôpital pour les soins. Le présumé violé a été tabassé par la population. La police s'est rendue sur les lieux pour conduire le présumé violeur au commissariat. Il est placé en garde à vue en attendant d'être présenté au procureur.
A.Ayosso
Le Bénin a enregistré un nouveau décès lié au Covid-19. Le nombre total des décès est désormais de 163.
Le nombre de décès Covid-19 passe de 162 à 163. Selon le bilan fait par le ministère de la santé, à la date du 16 janvier 2022, le Bénin compte 1 nouveau décès et 30 nouveaux cas confirmés. Ce qui porte le nombre total à 26.309 cas confirmés.
Les populations sont appelées à aller se faire vacciner et à respecter les gestes barrières (port de masque obligatoire, distance sociale de 1 mètre minimum entre personnes, se laver régulièrement les mains à l'eau et au savon ou avec du gel hydro-alcoolique etc.)
A.Ayosso
Une mission de contrôle parlementaire effectuée entre août-septembre 2021 pour vérifier la gestion comptable et financière au titre de l'exercice 2020 du Conseil National des Chargeurs du Bénin (CNCB) a révélé des irrégularités estimées à environ 18 milliards FCFA. Le rapport a été présenté aux députés, mardi 18 janvier 2022.
Après plusieurs vérifications portant sur l'analyse du système de contrôle interne ; la revue des comptes ; l'examen des différents livres comptables ; l'analyse de la tenue de la comptabilité ; l'analyse de la tenue des comptes bancaires et caisse ; l'analyse des journaux de banques ; l'analyse du journal de caisse ; l'examen des différents documents et pièces comptables et des rencontres avec les commissaires aux comptes et les responsables du Conseil National des Chargeurs du Bénin (CNCB), la commission de contrôle parlementaire qui a séjourné au CNCB avant sa dissolution a fait plusieurs observations.
La commission a relevé plusieurs irrégularités. Il s'agit, entre autres, du défaut de recensement et d'évaluation des créances et dettes à leur valeur effective du moment, la non fiabilité des états financiers générés par Perfecto, la réalisation d'activités non prévues dans le budget et le Plan annuel de travail (Pta), l'absence de nomenclature budgétaire, l'inefficacité du dispositif de suivi de la gestion du Bordereau électronique de suivi des cargaisons et la non codification de toutes les immobilisations.
La mission a relevé 8 7433 476 965 FCFA d'écritures comptables non autorisées et 1 101 661 839 FCFA de produits fictifs passés en comptabilité ; un manque à gagner de 514 689 319 FCFA portant sur 25 marchés alors que la Personne responsable des marchés publics fait état de 32 marchés, un manque à gagner de 7 639 063 708 FCFA représentant des impôts et taxes non reversés, des créances clients passées en perte, des impôts sur les bénéfices des prestations non domiciliés au Bénin non prélevés, des avances octroyées au personnel passées en perte et des primes indues payées aux agents de la société, de Taxe sur la valeur ajoutée (Tva) non retenue à la source. « La retenue à la source de l'impôt sur les bénéfices des prestataires non domiciliés au Bénin, d'un montant de FCFA 692 255 099 n'a pas été prélevée conformément aux dispositions des articles 176 à 179 du Code Général des Impôts. La Taxe sur la Valeur Ajoutée (TVA) d'un montant de FCFA 1 038 382 648 n'a pas été payée par le prestataire Bureau International Maritime (BIM) conformément aux dispositions des articles 220, 220 ter et 261 du Code Général des Impôts.
Le montant total de ces impôts de FCFA 1 730 637 747 constitue des manques à gagner pour l'Etat », indique le rapport.
Au total, les irrégularités relevées dans la gestion comptable et financière au titre de l'exercice 2020 du Conseil national des chargeurs du Bénin (CNCB) en liquidation sont évaluées à environ 18 milliards de FCFA.
Les députés ont déploré, mardi 18 janvier 2022, ces irrégularités révélées de la présentation du rapport de la mission de contrôle parlementaire diligentée au CNCB entre août-septembre 2021 avant sa dissolution. Les députés ont exhorté le gouvernement à actionner la justice pour faire rendre gorge aux personnes impliquées dans ce scandale financier. La huitième législature recommande également que le rapport de la commission soit transmis au liquidateur du CNCB en dissolution.
M. M.
Il n’y a pas que la compagnie aérienne nationale qui a été frappée de plein fouet par la pandémie du Covid-19, Tassili Airlines, filiale de Sonatrach, endure également un véritable crash financier depuis le début de l’année 2020.
C’est sur les pas d’Air Algérie donc que Tassili Airlines a annoncé la mise en place d’un plan de restructuration qui devrait signer son nouveau décollage, notamment dans un contexte marqué par la dissipation des craintes quant à la dangerosité du variant Omicron.
C’est PDG de cette société aérienne algérienne, filiale du Groupe Sonatrach, Abdessamed Ourihane, qui a estimé, lors de son audition par la commission des transports de l’Assemblée populaire nationale (APN), que seul un plan de restructuration de Tassili Airlines peut la sauver d’une faillite certaine.
Tassili Airlines bat de l’aileLe responsable a déclaré que «la stabilité financière de la compagnie a certes, été enclenchée en 2011, mais elle s’est nettement détériorée depuis l’année 2020, soit à l’apparition du Covid-19», rapportent nos confrères du quotidien Le Soir d’Algérie.
Le PDG estime que le Budget dont bénéficie sa société n’est plus suffisant aujourd’hui, pour compenser toutes les pertes qu’elle a essuyé pendant les dernières années. «Nos activités n’ont pas cessé, mais avec l’instauration du protocole sanitaire en vigueur, il y a une baisse de 50 % de la capacité en siège des avions», explique Abdessamed Ourihane.
Le plan de restructuration que réclame Tassili Airlines repose sur trois axes principaux, dont le plus important est celui de « trouver de nouveaux marchés » afin d’accroître le chiffre d’affaires de la compagnie. Le PDG confie cependant qu’il ne s’agit pas d’une chose facile vu les circonstances actuelles.
C’est pour cela que le responsable veut aussi miser sur le deuxième axe, qui est «la rationalisation des dépenses de la compagnie qui assure des vols réguliers intérieurs et le transport des ouvriers vers les gisements de pétrole et de gaz dans le Sud». «Nous devons dans ce sens, créer nos propres centres et matériel de maintenance dans les aéroports», lâche-t-il, comme pour faire un clin d’œil à la sous-traitance d’Air Algérie.
Quant au troisième et dernier axe, il s’agit d’un « redéploiement des effectifs ». Pour lui la main d’œuvre est concentrée dans les administrations, alors que des manquement sont signalés sur le plan « opérationnel ».
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Les flambées de cas de contaminations partout dans le monde obligent les gouvernements à durcir et renforcer leur protocole sanitaire. C’est le cas pour la France qui fait face à une explosion des contaminations notamment à cause du nouveau variant Omicron.
Depuis le 15 janvier, l’Hexagone a effectué un changement dans les règles d’accès à plusieurs établissements (restaurants, théâtres, salles de sport … etc). Il s’agit d’un renforcement suite à l’annonce sur la validité des certificats de vaccination qui stipule que toute personne âgée de plus de 18 ans devrait recevoir un rappel pour que son certificat de vaccination reste valable. Cette dernière concerne toute personne ayant terminé sa vaccination il y a plus de 7 mois.
Pour rappel, l’accès à la majorité des établissements et des activités n’est autorisé qu’aux personnes entièrement vaccinées, l’accès est catégoriquement refusé aux personnes qui n’ont pas reçu leur dose de rappel.
Les enfants entre 12 et 18 ans ne sont pas concernés pas l’obligation de recevoir une dose de rappel, le vaccin de deux doses est valable pour cette catégorie.
Les conditions pour les voyageursPour entrer sur le territoire français, un certificat Covid-19 est obligatoire pour les personnes âgées de plus de 12 ans et deux mois, la vaccination est donc exigée. En plus de l’obligation vaccinale, les voyageurs de plus de 12 ans doivent présenter un test PCR ou un test antigénique négatif, effectué dans les 24 ou 48h.
Il convient de noter que le test est obligatoire aux voyageurs en dehors de l’Union Européenne (UN) ou un pays de l’espace Schengen.
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Le monde est confronté à une véritable explosion de contaminations à la Covid-19. Il s’agit « d’une situation inédite », estime le Pr Réda Djidjik, chef de service d’immunologie au CHU de Beni Messous, qui indique que l’on recense environ 20 millions d’infections au Coronavirus par jour à travers le monde alors que l’on ne dépassait pas les 400.000 lors des précédentes vagues.
En Algérie, il est « très probable » que l’explosion de cas, que l’on constate depuis ces derniers jours, soit due au variant Omicron, déclare le professeur lors de son passage sur les ondes de la Radio Chaine III. Il explique que « la quatrième vague a eu lieu à la fin du mois de novembre et au début du mois de décembre, et c’était le variant Delta qui était prédominant, ensuite il y a eu l’arrivée d’Omicron en Algérie ».
C’est après l’arrivée de cette nouvelle souche que l’on a commencé à constater « un glissement d’un variant vers un autre ». Le professeur Djidjik va même jusqu’à qualifier l’explosion des cas Omicron d’une « nouvelle vague ». Il estime qu’il s’agit de « milliers de cas », heureusement « moins graves » que ceux que le Delta cause.
« Peu importe les chiffres, quatrième ou cinquième vague », lâche le spécialiste qui explique que « sur le plan épidémiologique, fin novembre, c’était le variant Delta, et ensuite, avec l’arrivée d’Omicron…. il suffit d’un ou deux cas et on voit maintenant une transmission importante ».
Comment Omicron va venir au bout du Delta ?« Le variant Omicron est tellement rapide vis-à-vis de sa liaison avec la cellule humaine, il va entrer en compétition avec le variant Delta, et ce dernier ne pourra plus infecter les cellules humaines », explique le pr Djidjik qui ajoute que « c’est une histoire de compétition, et c’est pour cela qu’Omicron va prendre la place du Delta, et que le Delta ne pourra plus survivre, car pour survivre, un virus doit infecter une cellule ».
Selon le spécialiste, « c’est ce qu’on voit ces derniers jours, et il est très probable que dans les jours ou les semaines qui suivent on arrivera à une situation comme en Europe, une situation 100 % Omicron ».
Omicron « est un variant qui a beaucoup de mutations sur sa protéine S », ce qui le rend complètement différent du variant Delta, explique le même intervenant qui affirme que « la virulence de ce nouveau variant est « inférieure » à celle du Delta ».
La fin du Covid ?« Les experts les plus optimistes pensent qu’on est proches de la fin de ce cauchemar. On est probablement au bout du tunnel avec ce variant Omicron. Avec cette quantité exceptionnelle de nouveaux cas par jour, il est fort probable que dans un mois ou deux, la plupart des individus sur cette planète arriveront à une situation d’immunité collective totale et ce virus ne pourra plus circuler et va s’affaiblir de jour en jour pour arriver à la fin du mois de mars à une situation d’accalmie très importante », confie le pr Djidjik.
La vaccination, assure le Pr Djidjik « est un outil thérapeutique important ». Il va jusqu’à inviter les auditeur à « imaginer la pandémie de la covid-19 sans vaccin ». « Imaginons que le vaccin n’a pas été développé lors de cette pandémie, c’est le taux de mortalité qui va grimper ». Selon le spécialiste, « le vaccin a permis de contrôler cette pandémie…, car le plus important est de ne pas mourir avec cette maladie ».
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