Jeunes et adultes algériens rêvent de perfectionner leur carrière à l’étranger. Ils prennent pour destination l’occident en quête d’accomplir leurs études et les améliorer. Pour faire, ils font recours aux différentes agences européennes ou sites offrant les meilleurs programmes, et ce, dans l’espoir d’avoir la chance d’obtenir une bourse qui leur permet de réaliser leurs rêves.
Dernièrement, l’Agence Européenne pour l’Education et la Culture (EACEA) a lancé une nouvelle offre de formation. Une offre égale à une chance pour les rêveurs afin de pouvoir mettre les premiers pas dans l’aventure tant souhaitée.
En effet, cette nouvelle offre est lancée dans le cadre du programme ERASMUS+. La formation proposée vise à améliorer la qualité de l’enseignement et de la formation professionnel, et mettre en avant toutes les compétences dont ont besoin les « jeunes » et « adultes » du monde entier afin de réussir leurs carrières professionnelles.
Ce programme a pour premier objectif de renforcer les capacités, soutenir la pertinence, l’accessibilité et la réactivité des établissements et des systèmes d’Enseignement et de la Formation Professionnels (EFP) dans le monde.
L’agence en question a fixé une date limite pour les inscriptions à cette formation et qui aura lieu le 31 mars 2022. Pour plus d’information voici le lien de leur site.
Quelles sont les thématiques et activités proposées dans la formation ?La formation se concentrera sur six thématiques précises comme suit : Une première traitera l’ « Apprentissage en milieu professionnel (pour les jeunes et les adultes) ». Une autre sur le « Mécanismes d’assurance de la qualité ». Une portera sur le « Développement professionnel des enseignants / formateurs de l’EFP ». Une autre thématique visera la « Compétences clés, y compris l’entrepreneuriat ». Et les deux dernières thématiques aborderont l’ « Adéquation des compétences dans les secteurs économiques d’avenir » et le « Soutien au développement des compétences vertes et numériques pour la double transition ».
Quant aux activités, selon le programme de la formation, ce projet proposera une variété d’activités aux participants. On cite parmi ces dernières : La Création et le développement des réseaux et des échanges de bonne pratique. La création des outils, des programmes et d’autres supports pour renforcer les capacités des établissements. I
l proposera aussi de créer des mécanismes permettant d’associer le secteur privé tant à la conception qu’à la mise en œuvre des programmes d’études et de fournir aux apprenants de l’EFP une expérience de qualité en milieu professionnel. L’élaboration et le transfère des approches pédagogiques, ainsi que du matériel et des méthodes d’enseignement et de formation. Et à la fin, la conception et la mise en œuvre des activités d’échange (virtuel) internationales pour le personnel principalement.
Pour pouvoir participer, le candidat peut être une organisation publique ou bien privée qui est active dans le domaine de la formation professionnelle et qu’elle soit établie « légalement » dans un pays membre de l’union européenne ou qui fait partie des pays associé au programme.
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Ces dernières années, les méthodes du traitement du cancer ainsi que les tumeurs n’ont cessé d’évoluer, atteignant de plus en plus des résultats très positifs.
Pour en savoir plus sur ces innovations de traitements, nous avons rencontré des médecins du centre médical Anadolu (Istanbul) qui est affilié au célèbre hôpital américain Johns Hopkins Medicine.
Nous avons interrogé le radiologue Dr Murat Dökdök, spécialiste du centre médical Anadolu sur ces nouvelles méthodes, qui a apporté des explications sur les dernières innovations dans le traitement des tumeurs du foie et de l’utérus.
« Ces dernières années, un domaine médical tel que la radiologie interventionnelle s’est développé de manière très dynamique. Il s’agit d’interventions chirurgicales mini-invasives réalisées sous contrôle radiographique, échographique, scanner ou IRM. Cette technique a été largement utilisée en cardiologie et en neurochirurgie. Maintenant, nous l’utilisons avec succès en oncologie », a-t-il expliqué.
Selon lui, l’un des traitements les plus courants en radiologie interventionnelle est l’embolisation. Appelé blocage artificiel des vaisseaux sanguins qui alimentent la tumeur, ce qui entraîne sa mort.
« Cette technique a montré sa plus grande efficacité dans le traitement des néoplasmes malins situés dans le foie. De plus, il peut à la fois s’agir de lésions tumorales primitives et de métastases dans d’autres organes. Il est particulièrement important de considérer qu’en raison du bon apport sanguin au foie que le plus souvent se forment les tumeurs métastatiques dans d’autres organes », a détaillé le spécialiste du centre médical Anadolu.
Au centre médical Anadolu, des spécialistes ont déjà commencé à utiliser l’embolisation pour le traitement non chirurgical des fibromes utérins chez les femmes et de l’adénome de la prostate chez les hommes. Selon les premières études, cette méthode est plus efficace et moins traumatisante que la chirurgie conventionnelle. Auparavant, avec les fibromes, l’ablation totale de l’utérus était très souvent pratiquée et l’embolisation permet dans de nombreux cas d’éviter cette intervention traumatisante.
L’embolisation, c’est quoi ?L’embolisation est réalisée comme suit : un cathéter spécial est inséré dans l’artère fémorale du patient qui, sous le contrôle de l’angiographie, est avancée à travers les vaisseaux sanguins jusqu’à l’organe affecté par la tumeur.
Lorsque le cathéter atteint sa cible, de petites particules appelées emboles traversent le cathéter pour bloquer les artères qui alimentent la tumeur. Sans recevoir d’oxygène et de nutriments apportés par le sang, les tissus tumoraux commencent à mourir progressivement. L’embolisation des fibromes utérins, des adénomes de la prostate ou des tumeurs du foie prend environ une heure qui est généralement réalisée sous anesthésie locale.
Radioembolisation, l’autre technique innovanteIl s’agit d’une autre nouvelle méthode de traitement utilisée pour les lésions tumorales du foie. La technique de sa mise en œuvre rappelle à bien des égards l’embolisation conventionnelle, mais ici les particules qui bloquent les vaisseaux sanguins ont simultanément la capacité de rayonnement ionisant. C’est-à-dire qu’ici la radiothérapie rejoint également l’arrêt de la nutrition de la tumeur.
Contrairement au traitement par faisceau externe traditionnel, la radioembolisation permet de cibler la tumeur avec de fortes doses de rayonnement sans endommager les tissus sains. De plus, le temps de traitement est considérablement réduit.
Le traitement le plus efficace pour les tumeurs du foie est la chirurgie. Cependant, le problème est que l’opération ne peut être effectuée que chez 15 à 20% des patients. Dans d’autres cas, la taille ou l’emplacement de la tumeur, ainsi que l’état de la santé humaine, rendent une telle opération peu pratique. En règle générale, le reste des patients se voit prescrire une chimiothérapie, qui est loin d’être toujours efficace.
Les techniques innovantes offertes par la radiologie interventionnelle sont devenues partie intégrante de la prise en charge médicale du cancer. Selon des études, jusqu’à 90% des tumeurs du foie répondent à un tel traitement, ce qui augmente considérablement la durée et la qualité de vie des patients.
« Grâce à ces nouvelles approches, nous avons pu lutter avec succès contre des tumeurs du foie qui étaient auparavant incurables », ajouté Dr Dökdök.
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Le président Abdelmadjid Tebboune a présidé, ce dimanche 13 mars 2022, une réunion du Conseil des Ministres. La rencontre d’aujourd’hui a été consacrée à l’examen de plusieurs dossiers, dont celui de l’exportation.
Lors de la réunion, le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a donné plusieurs instructions ; relatives au secteur de l’agriculture ainsi qu’au dossier de la promotion de l’investissement.
Tebboune veut « promouvoir » l’investissementÉvoquant le dossier de l’économie, le président Tebboune a insisté sur la promotion de l’investissement basée sur plusieurs points, dont la limitation des avantages et incitations fiscales.
Pour cela, le chef de l’État a ordonné l’adoption d’une approche pragmatique dans le traitement des investissements directs étrangers ; avec une prise en compte de l’attractivité des investissements garantissant le transfert de la technologie et la garantie des postes d’emploi.
Il a également ordonné le renforcement des prérogatives du guichet unique dans le traitement des dossiers d’investissement dans des délais bien déterminés.
Tebboune interdit l’exportation de plusieurs produits de consommationFace aux derniers épisodes des pénuries de l’huile de Table et de pâtes ; le président Abdelmadjid Tebboune s’est dirigée vers l’interdiction d’exportation de plusieurs produits alimentaires.
En effet, le chef de l’Etat a ordonné d’interdire l’exportation des produits de consommation importés par l’Algérie, à l’instar du sucre, des pâtes, l’huile, la semoule et tous les dérivés du blé.
Le président a, par ailleurs, chargé le ministre de la Justice d’élaborer un projet de loi pénalisant l’exportation de produits, non produits localement, car étant un acte de sabotage de l’économie nationale. Dans le même sillage, il a insisté sur la poursuite de l’interdiction stricte de l’importation des viandes congelées et encourager la consommation de viandes locales.
D’un autre côté, le président Tebboune a ordonné l’encouragement des agriculteurs qui approvisionnent le stock stratégique de l’Etat en blé dur et tendre et en légumineuses avec diverses incitations, dont le soutien sous forme de prêts, d’engrais et d’autres avantages.
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C’est une décision inattendue que vient de prendre Tebboune. Présidant, ce dimanche 13 mars, une réunion du conseil des ministres, le chef de l’État vient d’interdire l’exportation de plusieurs produits alimentaires.
Lors de la réunion du conseil des ministres de ce dimanche, le président Tebboune a ordonné l’interdiction d’exportation de tout produit importé par l’État (subventionné), tels que le sucre, les pâtes, les dérivés du blé et l’huile de table.
« Le président de la république a ordonné l’interdiction de l’exportation de tous les produits de consommation que l’Algérie importe, tels que le sucre, les pâtes, l’huile, la semoule et tous les dérivés du blé », lit-on dans le communiqué sanctionnant la réunion.
Tebboune veut criminaliser l’exportation de certains produits alimentairesOutre l’interdiction de l’exportation des produits alimentaires cités ci-dessus, le chef de l’État veut criminaliser cette dernière qui, selon lui, est un « acte de sabotage de l’économie ».
Pour cela, le président Tebboune a chargé le ministre de la Justice Abderrachid Tebbi d’élaborer un projet de loi criminalisant l’exportation des matières non produites en Algérien, en le considérant comme un acte de « sabotage » de l’économie algérienne.
Par ailleurs, le chef de l’État a également ordonné la poursuite de l’interdiction « stricte » de l’importation des viandes congelées. Dans le même, sillage, il a aussi insisté sur l’encouragement de la consommation de viandes locales.
Une stratégie pour faire face aux pénuries ?Dans le communiqué du conseil des ministres, les raisons de cette interdiction n’ont pas été évoquées, mais tout porte à croire que cette décision a été prise dans le cadre de la stratégie de lutte contre la flamber des prix alimentaires.
Il convient de noter que tous les produits interdits à l’exportation par Tebboune ont été marqués, ces derniers mois, par des pénuries ainsi que des hausses de prix. La dernière en date concerne la crise de l’huile qui avait mis le département de Kamel Rezig sous le feu des critiques.
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Au cours d'une dispute dans un champ d'anacarde dans la matinée de ce dimanche 13 mars 2022 à Penessoulou, une localité de la commune de Bassila, un peuhl a amputé le bras à un homme. La victime ramassait de l'anacarde dans son champ quand le peuhl y a fait irruption avec son troupeau.
Un agriculteur a perdu son bras ce dimanche dans une dispute avec un éleveur à Penessoulou, commune de Bassila. Selon les informations, la victime ramassait la noix d'anacarde dans son champ quand il a aperçu le peuhl avec son troupeau de bœufs. Elle n'a donc pas hésité à interpeller l'éleveur. Une dispute éclate entre les deux hommes âgés de la quarantaine. Le peuhl sort son coupe-coupe, ampute le bras à l'agriculteur et s'enfuit abandonnant son troupeau.
Selon les informations, les populations de Penessoulou très mécontentes de l'acte posé par le peuhl veulent en découdre avec la communauté peuhle du milieu.
L'agriculteur est conduit à l'hôpital pour des soins.
F. A. A.
Drame au quartier Zazira dans le premier arrondissement de Parakou, département du Borgou !
Dans l'après-midi du samedi 12 mars 2022, le corps sans vie d'un jeune homme a été retrouvé la corde au cou dans sa chambre au quartier Zazira dans le premier arrondissement de Parakou, département du Borgou. Le jeune homme recherché depuis trois jours par ses proches, se serait donné la mort par pendaison. Les motivations de son acte ne sont pas encore connues. Mais la police a ouvert une enquête à l'issue d'un constat effectué sur les lieux du drame.
M. M.
Un homme âgé de 35 ans s'est suicidé à Parakou après le départ de sa femme du domicile conjugal. Son corps a été retrouvé dans sa chambre ce samedi 12 mars 2022.
Mort par pendaison d'un homme âgé de 35 ans à Zazira, dans le premier arrondissement de Parakou. Son corps sans vie a été découvert samedi dernier par ses voisins trois jours après sa mort. Selon les informations, le jeune homme s'est donné la mort après le départ de son épouse du domicile conjugal. Le départ de sa femme serait la cause du suicide de l'homme selon les habitants. Le couple a quatre enfants.
A.A.A
Ce 13 mars, l'Eglise catholique et le peuple béninois célèbre le 23è anniversaire du décès de Mgr Isidore De Souza.
13 mars 1999 – 13 mars 2022. Cela fait exactement 23 ans que Mgr De Souza, ancien archevêque de Cotonou et figure emblématique de l'histoire politique du Bénin est décédé. Le prélat a rejoint le père céleste à l'âge de 64 ans.
Président du présidium de la Conférence nationale qui s'est tenue du 19 au 28 février 1990 au PLM Alédjo à Cotonou et président du Haut Conseil de la République du Bénin de 1990 à 1993, Mgr De Souza a contribué à l'avènement de la démocratie au Bénin.
« Nous sommes responsables de ce qui se passera demain. Plaise au ciel qu'aucun bain de sang ne nous éclabousse et ne nous emporte dans ses flots ». Ces propos du prélat à la Conférence nationale résonnent encore dans les mémoires et sont souvent rappelées par les acteurs politiques à l'approche des élections où la tension monte entre divers camps.
Mgr De Souza né le 4 avril 1934 à Ouidah est ordonné prêtre le 8 juillet 1962. Il a été archevêque de Cotonou de 1990 à mars 1999, date de son rappel à Dieu.
M. M.
Dans le cadre du 2è tour des éliminatoires du Mondial Féminin U17, Inde 2022, les Ecureuils dames cadettes ont livré un match amical ce dimanche 13 mars 2022 au stade général Charles de Gaulle de Porto-Novo avec le club Aïnonvi Fc de Porto-Novo.
Les préparatifs de la rencontre ‘'Lionnes de l'Atlas ‘' du Maroc et ‘'Les Ecureuils'' dames cadettes du Bénin comptant pour les éliminatoires du Mondial Féminin U17, Inde 2022, sont sous de bons auspices. En prélude au match retour qui se jouera au Maroc, Les Ecureuils ont affronté en match amical Aïnonvi Fc de Porto-Novo, un club de la première division féminine du Bénin, ce dimanche 13 mars 2022 au stade général Charles de Gaulle de Porto-Novo. Yasminath Djbril a permis à ses coéquipières de battre 1 but à 0 les Aïnonvi Fc.
‘'Les Ecureuils'' dames cadettes du Bénin affronteront les 'Lionnes de l'Atlas ‘' du Maroc le 19 mars 2022 à Rabat (Maroc). Le match aller s'était soldé par un score nul de 1-1.
M. M.
La pomme de terre est un produit consommé en grande quantité par les algériens, et avec l’approche du mois de ramadan les citoyens s’interrogent quant aux prix mais aussi à la disponibilité de celui-ci. Dans l’incapacité de rassasier les besoins du peuple, le pays va devoir importer de toute urgence 30 000 tonnes de pomme de terre avant le mois de Ramadan.
En Algérie, quatre tonnes sur les six produites vont à la consommation avait affirmé le président de l’Association des commerçants et artisans algériens (ANCA), Hadj-Tahar Boulenouar, ce qui met en avant l’incapacité de la production locale à répondre à la demande. C’est dans ce contexte que le ministère de l’agriculture et celui du commerce, avait évoqué l’importation d’une grande quantité de pommes de terre avec une prévision de 100.000 tonnes qui seraient acheminées en Algérie afin de réapprovisionner le marché.
Malheureusement, la situation devient urgente et il faut agir pour éviter une pénurie ou une autre augmentation des prix qui mettraient le citoyen dans plus d’inconfort. C’est pour cela que Mokrani, le Directeur de régulation des marchés et des activités commerciales au ministère du Commerce a révélé une “opération d’importation d’urgence” lors d’un passage sur la Radio Algérienne avec l’arrivée de 30 000 tonnes en prévision du mois de ramadan.
Une hausse des prix toujours aussi visibleLes prix de la pomme de terre flambent et atteignent les 120 dinars le kilo, voire 150 dinars ou plus dans certaines régions du pays. Les citoyens ont du mal à suivre compte tenu du pouvoir d’achat de l’algérien de classe moyenne et le produit largement consommé devient inaccessible pour beaucoup, suscitant l’inquiétude chez le peuple, mais aussi chez les autorités qui tentent de réguler le marché.
D’après les autorités compétentes et les économistes, cette augmentation hausse des prix serait causée par plusieurs : la spéculation, les charges supplémentaires auxquelles font face les agriculteurs et le manque de quantité sur le marché. C’est dans ce cadre que plusieurs initiatives ont été prises par le ministère dont le déstockage des quantités emmagasinées, l’importation, ou même l’augmentation de la production.
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Et si Aissa Mandi reviendrait en championnat Français à partir du mercato estival ? Une éventualité qui reste envisageable car un club de la Ligue 1 Uber Eats s’est manifesté pour s’offrir les services du défenseur international Algérien.
Selon le site «Foot Mercato», l’Olympique Lyonnais est intéressé par Aissa Mandi. Les responsables de la cellule de recrutement du club Français voit en lui un défenseur qui répond parfaitement au profil afin de renforcer l’arrière garde de leur équipe en prévision de la saison prochaine. Un compartiment qui demeure le maillon faible de l’OL depuis l’entame de l’actuel exercice, en raison de l’irrégularité de Jérôme Boateng ainsi que l’indisponibilité de Jason Denayer et Peter Bosz, qui souffrent de différentes blessures. Ce qui a, d’ailleurs, contraint, le staff technique du club de faire redescendre Thiago Mendes en défense juste pour dépanner.
Selon la même source, les Lyonnais se sont renseignés sur le défenseur international, en ce qui concerne notamment sa situation au sein de son équipe. Ca reste très envisageable pour que les deux parties entament les pourparlers dans les semaines à venir en prévision de recruter le défenseur en question à partir de la prochaine période des transferts.
Mandi (30 ans) pourrait donc bien revenir en championnat français à partir de la saison prochaine après avoir évolué à la Liga Espagnole depuis 2016.
Reculer pour mieux sauterAprès cinq saisons remarquables passées au Real Betis, Aissa Mandi a rejoint le Villareal depuis l’été passé afin de prendre part à la ligue des champions européenne et du coup, donner une autre envergure pour sa carrière.
Une expérience sur laquelle il misait beaucoup pour être un tremplin vers un autre club plus prestigieux, mais le défenseur international est entrain de réaliser une saison mi-figue mi-raisin. En effet, il manque de constance dans le jeu depuis l’entame de la saison, où il a été très peu utilisé par son entraineur.
Face à cette situation, il pourrait donc réclamer à la direction du Villareal son bon de sortie pour pouvoir rejoindre un autre club qui lui permettra de rebondir et relancer ainsi sa carrière. L’Olympique Lyonnais pourrait être un bon choix pour lui. Certes, il souhaiterait rester à la Liga, mais s’il ne reçoit pas une offre concrète d’un autre club qui convient à ses ambitions, il devrait revenir en championnat français, en appliquant l’adage qui dit ; reculer pour mieux sauter.
Il faut dire qu’Aissa Mandi est à la recherche du temps de jeu afin qu’il soit compétitif en prévision de la double-confrontation qui opposera notre équipe nationale à son homologue camerounaise la fin du mois en cours, surtout quand on sait qu’il s’agit d’un élément incontournable en sélection et sur lequel Djamel Belmadi mise beaucoup en défense.
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L’Open Africain de Tunis a débuté hier samedi 12 mars 2022 à la salle omnisport du complexe de Radés. Les judokas algériens y étaient présents et se sont démarqués en obtenant pas moins de huit médailles dès la première journée.
La sélection algérienne composée de vingt-six algériens (15 judokas masculins et 11 féminins), s’est affirmée avec l’obtention de plusieurs médailles dont certaines d’or . En effet, Yamina Hallalta chez les moins de 57 kilos et Rachid Cherrad chez les moins de 66 kilos ont a eux deux remporté chacun une médaille d’or.
Les algériens ont aussi fait l’acquisition de deux médailles d’argent grâce à Nesrine Boudjemil chez les femmes de moins de 57 kilos et Waïl Ezzine chez les hommes de moins de 66 kilos, Belkadi Amina chez femmes 63 kilos et Younes Belaribi chez les moins de 60 kilos. Enfin, Faïza Aïssahine chez les moins de 52 kilos et Driss Messaoud chez les moins de 73 kilos ont quant à eux apporté chacun une médaille de bronze.
L’Algérie s’inscrit donc déjà comme un pays s’imposant dans cette édition de 2022 sachant que seulement une quinzaine de judokas ont eu l’occasion de performer tandis que les autres ne le feront que lors de la deuxième journée de cette compétition, aujourd’hui 13 mars 2022.
Le reste des judokas féminines représentant l’Algérie sont :
Imène Zerrouk (-48 kg), Mahdjouba Moudjed (-48 kg), Kenza Naït Ammar (-63 kg), Dihia Chaâlal, Dounia Boughembouz (-70 kg), Louiza Ichaâlal (-78 kg) et Meroua Mammeri (+78 kg).
Tandis que chez les hommes le pays sera représenté par :
Billel Yakoubi (-60 kg), Salah Chioukh (-60 kg), Aghiles Ben Azzoug (-81 kg), Achour Dhenni (-81 kg), Abderrahmane Laouar (-81 kg), Oussama Kabri (-90 kg), Loukman Daghoul (-90 kg), Mehdi Hadjla (-100 kg), Raouf Kahia (-100 kg) et Mohamed Sofiane Belrakaâ (+100 kg).
D’après le président de la FTJ, Skander Hachicha ce tournoi est très important compte tenu de son interruption durant 3 ans à cause de la pandémie du COVID-19 et des mesures qui avaient été prises en conséquence.
L’Open Africa de Tunis compte la participation d’un total de 187 judokas issus de 22 pays différents . Les nations qui se sont engagés à participer à cette compétition sont donc : la Tunisie, l’Algérie, Bahreïn, le Burkina Faso, la République centrafricaine, le Tchad, la RD Congo, la Colombie, Djibouti, la France, le Gabon, la Guinée, le Kenya, l’Arabie saoudite, le Koweït, le Maroc, Malte, le Niger, la Nouvelle-Zélande, le Sénégal, Tadjikistan, les Émirats arabes unis et les États-Unis.
Avec ses 31 athlètes engagés, l’Algérie sera le deuxième pays le mieux représenté dans cette compétition après la Tunisie pays organisateur qui compte quant à lui 49 judokas.
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L’attaquant Algérien de Manchester City Riyad Mahrez évoque la rivalité avec Liverpool pour le titre de la Premier League cette saison. Selon lui, cette rivalité qui incite les Citizens à redoubler d’efforts afin d’atteindre leur principal objectif à la fin du parcours.
Face à la pression du dauphin Liverpool, qui est à trois longueurs du leader Manchester City, la star Algérienne affirme que lui et ses coéquipiers devront rester concentrés sur les importants matchs qui les attendent. «Lorsqu’un concurrent direct nous met la pression, cela nous incite toujours à redoubler d’efforts afin de continuer à enchainer les victoires et poursuivre ainsi notre bonhomme de chemin. » dira-t-il, dans une déclaration accordée au site officiel de Manchester City.
Poursuivant sa déclaration, il ajoute : «Le plus important pour nous, c’est de rester toujours concentrés sur les importants rendez-vous qui nous attendent. Les autres choses, ça nous dépassent ».
En parlant toujours de la pression due à la rude concurrence avec l’autre prétendant au titre de la Premier League, le Liverpool en l’occurrence, le capitaine de la sélection nationale affirme que cela fait parti du jeu. «Un footballeur professionnel doit impérativement s’adapter à la pression. Ce facteur existe toujours dans le football et, à mon avis, c’est la meilleure façon qui nous pousse toujours à donner le meilleur de nous même sur le terrain. Autrement dit, la pression se répercute souvent d’une manière positive sur le rendement des joueurs », a-t-il indiqué.
Il est à noter que Manchester City est le leader de la Premier League avec 69 points au compte après le déroulement de 28 journées depuis l’entame du championnat Anglais, suivi par son dauphin Liverpool FC qui compte 66 points, soit avec un écart de trois points seulement.
Tous les espoirs se reposent sur lui face au CamerounEn affichant une forme éblouissante avec son équipe, Riyad Mahrez a retrouvé son meilleur niveau dernièrement. Le sélectionneur national Djamel Belmadi dispose d’un atout de taille pour la double-confrontation face au Cameroun.
En effet, il a été l’un des grands artisans des derniers bons résultats enregistrés par le Manchester City. Il a été souvent décisif grâce à ses buts mais aussi aux passes décisives qu’il a offert à ses coéquipiers.
L’ailier droit des Citizens pète la forme et ce qui rassure le sélectionneur national Djamel Belmadi en prévision de la double-confrontation face au Cameroun, dans le cadre des barrages pour la qualification pour la coupe du monde Qatar-2022. Ce dernier pourra donc miser sur le joueur en question face aux «Lions Indomptables »
Après avoir raté sa CAN, l’heure du rachat a sonné pour Mahrez à l’occasion de l’important rendez-vous de la fin du mois de mars. Le moins que l’on puisse dire, est que tous les espoirs se reposent sur lui pour mener la sélection nationale à composter son billet qualificatif pour la prochaine coupe du monde.
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La « Harga » ou la migration clandestine augmente de jour en jour et elle attire les différentes catégories de la société algérienne, qu’ils soient chômeurs, simple employés ,intellectuels ou artistes, qu’il soient hommes, femmes ou enfants, tous sont concernés. Les raisons diffèrent d’un « Harag » à l’autre mais le sort et le risque reste le même. L’une des figures artistiques algériennes, Cheba Kheira, a choisi de prendre le large et de risquer sa vie en emportant avec elle ses enfants.
La chanteuse dévoile les raisons de sa « harga » en accusant son ex-mari Ahmed Belhaj dit « Baba » président du Mouloudia Club d’Oran (MCO), qui est selon elle est la première raison de cette prise de risque vers un avenir inconnu.
Dans une vidéo diffusée sur les médias, Chaba Kheira a expliqué qu’elle a fui le milieu corrompu de son ex-mari, dit « Baba » qu’elle accuse d’être impliqué dans des affaires de « corruption » et de « prostitution ».
La chanteuse, qui vit en France actuellement, confirme qu’elle n’a à aucun moment abandonné son pays mais ce sont les conditions dans lesquelles elle vivait qui l’ont poussé à prendre une telle décision. Et elle enchaine en disant qu’elle reviendra un jour en Algérie.
Un phénomène qui n’exclut aucune tranche de la sociétéLe phénomène de « harga » continue de prendre de l’ampleur dans la société algérienne. Hélas on entendait parler des jeunes hommes qui prennent le large vers des destinations occidentales mais de nos jours, on parle de jeunes hommes, jeunes femmes, personnes âgées et enfants. Chacun fuit pour ces raisons et qui sont dans la majorité des cas les conditions de vie misérable.
Dans ce sillage, on peut prendre l’exemple d’un jeune sportif, l’ancien joueur de l’USM El Harrach, Ramzi Boussiala qui a préféré prendre le large afin de pouvoir réaliser ses rêves et fuir la marginalisation qu’il subissait en Algérie. Après son arrivé en France, le talentueux jeune homme a été recruté par le club français « FC Lyon », un club qui a permis à Boussiala de s’investir dans sa discipline.
Ramzi n’est pas le seul sportif dont « el harga » était la dernière issue pour pouvoir espérer un meilleur avenir, mais il rejoint de nombreux jeunes algériens ambitieux notamment Amine Boulahia l’ex-joueur international algérien Fayçal Mihoubi, champion du monde de culturisme.
En quête d’un meilleur avenirLa majorité des « Haraga » partent avec la perspective d’avoir une meilleure vie, de sortir de la misère et de vivre dans la dignité. L’un fuit la marginalisation, l’autre fuit le niveau de vie qui demeure très bas, alors d’autres fuient les problèmes de société, et ni la patience ni la motivation ne peuvent leur permettre de supporter plus ou les retenir de prendre ce risque.
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Les chiffres des contaminations à la Covid-19 en Algérie sont en baisse depuis plusieurs jours, cette accalmie laisse peut-être entrevoir le bout du tunnel après deux années vécues au rythme des vagues de Coronavirus qui ont chamboulé la vie de tous.
Dans son dernier bilan rendu public en fin de journée de ce dimanche 13 mars 2022, le ministère de la Santé a annoncé 22 nouveaux cas de contaminations au Covid-19, enregistrés durant les dernières 24 heures, contre 19 enregistrés dans le bilan d’hier, samedi 12 mars. Ce même bilan fait état aussi de 19 cas de guérison.
Décès et patients en soins intensifsPour ce qui est des victimes de l’épidémie du coronavirus, le bilan établi sur les dernières 24 heures fait état de 2 nouveau décès suite aux complications des contaminations au Covid-19, alors qu’hier, l’Algérie a déploré un seul mort.
En outre, le ministère de la Santé précise dans son communiqué que 8 patients sont actuellement en soins intensifs.
Avec ces nouvelles statistiques, le total des cas confirmés s’élève ainsi à 265.436, celui des décès à 6.857, alors que le nombre des patients guéris est passé à 178.050 cas.
L’article Bilan Covid-19 : légère hausse du nombre de cas pour ce 13 mars est apparu en premier sur .
Les lauréats au concours ‘'Restore the 4th power'' financé par l'ambassade des Etats-Unis au Bénin ont reçu leurs prix dans l'après-midi de ce vendredi 11 mars 2022 à la Maison des médias à Cotonou. Parmi les lauréats, le journaliste Romain Cokou Ahlinvi du journal en ligne 24 heures au Bénin s'est distingué par l'une de ses productions sur la traite des enfants.
« Des mineurs exploités dans les carrières de gravier à Lokossa », c'est le titre de l'enquête réalisée par Romain Cokou Ahlinvi dans le cadre du projet ‘'Restore the 4th power'', financé par l'ambassade des Etats-Unis.
L'article du journaliste a retenu l'attention du jury composé de professionnels des médias de renom, et autres experts dans la thématique ‘'La traite des femmes et des enfants au Bénin''.
Pertinence et originalité du sujet, et la démarche professionnelle, sont les principaux critères sur la base desquels le jury a tranché.
Et Romain Cokou Ahlinvi selon le classement, est en pole position dans la thématique relative à la traite des enfants.
« Je suis franchement surpris mais je suis très heureux. En descendant dans les carrières de graviers pour parler des conditions de vie et de travail de ces centaines d'enfants qui sont, très tôt, devenus les « parents » de leurs parents, j'étais très loin d'imaginer que j'en aurai un prix un jour », a confié le journaliste. Son objectif en produisant l'enquête, était de montrer à la face du monde que l'atteinte de l'ODD4 avait du plomb dans l'aile et que des enfants subissaient dans les carrières de graviers « l'une des pires formes d'exploitation du travail des enfants ». « Je suis simplement fier que cette histoire retienne l'attention des gens avertis », a ajouté Romain Ahlinvi avant de remercier la coordination du projet "Restore the 4th power", l'ambassade des Etats-Unis au Bénin et surtout la direction de 24 Heures au Bénin qui met les moyens à disposition pour la production d'enquêtes.
Le journaliste dédie le prix à tous les enfants qui voient leur chance d'aller à l'école de façon qualitative s'estomper au jour le jour et à tous les journalistes qui s'échinent jours et nuits, pour produire des articles de qualité sur les maux qui minent la société béninoise.
Le coordonnateur du projet ‘'Restore the 4th power'' a remercié les participants pour leurs différentes productions. Certaines d'entre elles, seront publiées sur un site internet qui sera créé très prochainement dans le cadre du projet en vue de leur valorisation, a informé Marcel Zounmènou. Il a exprimé sa reconnaissance à l'ambassade des Etats-Unis pour la confiance placée en sa personne.
Le financement obtenu dans le cadre du projet est estimé à 20.000 dollars, et les récipiendaires ont eu droit à une sorte de bourses pour financer leurs recherches.
Le conseiller à la HAAC, Franck Kpochémè, après avoir salué l'initiative a invité les journalistes à plus de professionalisme.
Le journalisme aujourd'hui est menacé, a-t-il fait savoir observant l'évolution du monde. Et ce, en raison des pressions des réseaux sociaux, des web activistes, et la pression du journaliste citoyen.
Le conseiller à la HAAC reste toutefois convaincu que le journalisme ne disparaitra jamais. Et pour que cela, il invite les journalistes au professionnalisme, et à se démarquer des utilisateurs de réseaux sociaux.
Quelques images
F. A. A.
Après un début de ce mois de mars marqué par le retour des précipitations, voila que l’Office National de météorologie (ONM) alerte quant à une vague de chaleur qui touchera les régions centre et ouest du pays*.
Selon ce même bulletin, cette hausse importante des températures touchera les wilayas suivantes : Tlemcen, Ain Temouchent, Oran, Mostaganem. En plus de Chlef, Tipasa, Alger, Blida, Aïn Defla, Relizane, Mascara, Sidi Bel Abbas. Les températures oscilleront entre 30 et 32 degrés dans ces régions.
Vague de chaleur sur le nord centre et ouest du paysSelon les modèles numériques de surveillance météorologique, il a été constaté qu’une masse d’air et une haute pression atmosphérique venaient du sud, chargées d’air chaud, ce qui entraînera une forte hausse des températures qui iront de 30 à 32 degrés dans les régions du nord. Et jusqu’à 39 degrés au sud du pays. A cause de la phase de transition que traverse l’Algérie. Les températures minimales le matin et la nuit seront chaudes et comprises entre 18 et 20 degrés dans les régions du nord et entre 18 à 25 degrés au sud.
Cette vague de chaleur s’étendra de demain lundi 14 mars jusqu’au mardi 15 mars 2022. Un changement climatique est attendu à partir de mercredi 16 mars avec un retour de la pluie au nord du pays.
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L'Agence nationale de gestion de la gratuité de la césarienne n'existe plus au Bénin. Le président de la République à travers un décret en date du 05 janvier 2022 a procédé à sa dissolution.
Dissolution de l'Agence nationale de gestion de la gratuité de la césarienne. Le chef de l'État Patrice Talon par décret en date du 05 janvier dernier l'a dissoute. Selon le décret signé du président de la République, les actifs de l'Agence nationale de gestion de la gratuité de la césarienne seront transférés à l'Agence nationale de protection sociale. Le passif de l'Agence dissoute par contre, est transféré à titre universel à l'État.
Le directeur de la planification, de l'administration et des finances du ministère de la santé est chargé de conduire les opérations de clôture de l'Agence nationale de gestion de la gratuité de la césarienne.
C'est par décret en date du 30 mars 2009 que l'Agence nationale de gestion de la gratuité de la césarienne a été créée. C'est un établissement public doté de la personnalité morale et de l'autonomie financière. Elle était chargée de concevoir la stratégie de mise en œuvre de la gratuité de la césarienne au Bénin, de planifier, de suivre et d'évaluer les activités afférentes à son domaine de compétence et de mobiliser les ressources financières nécessaires à la prise en charge de la césarienne par les hôpitaux publics, privés, confessionnels et associatifs agréés au Bénin.
La décision de dissoudre l'Agence nationale de gestion de la gratuité de la césarienne a été prise lors de la session ordinaire du Conseil des ministres du 05 janvier 2022 sur proposition du ministre de la santé.
F. A. A.
L’éducation nationale et les professionnels du secteur préparent déjà la prochaine rentrée scolaire et des mesures commencent à être évoquées et des réunions programmées. Le ministère de l’éducation avait annoncé dans un communiqué le retour à la normale des cours et l’annulation du système de groupes.
C’est dans ce cadre que les différents syndicats se sont prononcés quant à leurs réserves au vu d’une problématique récurrente : le nombre d’élèves trop élevé en classe.
Dans une déclaration faite à Echourouk, le secrétaire national chargé de l’information et de la communication Masoud Boudiba a affirmé que ce retour au système scolaire normal est trop prématuré étant donné que le comité scientifique ne s’est pas officiellement exprimé quant à une fin de la pandémie du COVID-19.
Il a proposé un autre angle d’attaque, en suggérant le maintien du nombre d’élèves actuel soit 25 dans le cas d’une possible dégradation de la situation sanitaire en Algérie mais aussi pour maintenir des classes équilibrées et non pas surpeuplées.
Sadek Dziri, président de l’union nationale du personnel de l’éducation et de la formation ( UNPEF ) a le retour à un système éducatif avec 40 étudiants tout en maintenant une certaine rigueur vis-à-vis des répartitions par classe.
Le président du SNTE demande la construction de nouvelles écolesLe président du syndicat national des travailleurs de l’éducation ( SNTE ) , Kouider Nadjib Yahiaoui a lui aussi donné son avis sur le sujet. D’après ce qu’il avance une évaluation plus globale et une analyse des dispositifs qui avaient été mis en place lors de la pandémie sont de rigueur pour pouvoir prendre une décision. Il met en avant la nécessité d’augmenter le nombre d’établissements scolaires, ce qui permettrait d’atténuer les pressions que subissent les professeurs, mais aussi les élèves.
Cette proposition permettrait d’amorcer la surpopulation des classes qui pourrait atteindre un nombre de 70 élèves par classe rendant l’apprentissage très laborieux. En effet, ne disposant pas d’assez de classes, les écoles se verront dans l’obligation de fusionner les sous groupes actuellement mis en place doublant ainsi le nombre d’élèves.
Les établissements ont aussi une seconde alternative, celle d’agrandir les écoles en construisant des annexes et de nouvelles classes.
Néanmoins dans tous les cas, recruter de nouveaux professeurs sera nécessaire en programmant dès maintenant le concours qui y est dédié.
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