Balkans Occidentaux

Etre jeune en Roumanie, c'est habiter chez ses parents jusqu'à 30 ans, trembler face au chômage et rêver d'une vie à l'étranger. Voici quelques statistiques.
De nombreuses administrations roumaines regroupent dans la catégorie « jeunes » tous ceux qui ont entre 14 et 35 ans. Ils seraient environ 7 millions, soit un tiers de la population totale, selon l'Autorité nationale de recherche scientifique. Ces jeunes sont toutefois de moins en moins nombreux à l'heure où la population de la Roumanie ne cesse de (...)

Qui ne connaît pas la bonne vieille recette balkanique, souveraine contre la gueule de bois ? Pour retrouver force, joie et santé, il vous faut avaler : primo, un grand verre de saumure de chou, secundo, un petit verre de gnole (idéalement de la même rakija dont vous avez abusé la veille – si vous avez beaucoup mélangé, essayez de retrouver la dominante), et tertio, une revigorante assiette de soupe de tripes.
Chaque élément de la sainte trinité matinale du buveur repenti répond à une évidente (...)

Qui ne connaît pas la bonne vieille recette balkanique, souveraine contre la gueule de bois ? Pour retrouver force, joie et santé, il vous faut avaler : primo, un grand verre de saumure de chou, secundo, un petit verre de gnole (idéalement de la même rakija dont vous avez abusé la veille – si vous avez beaucoup mélangé, essayez de retrouver la dominante), et tertio, une revigorante assiette de soupe de tripes.
Chaque élément de la sainte trinité matinale du buveur repenti répond à une évidente (...)

Qui ne connaît pas la bonne vieille recette balkanique, souveraine contre la gueule de bois ? Pour retrouver force, joie et santé, il vous faut avaler : primo, un grand verre de saumure de chou, secundo, un petit verre de gnole (idéalement de la même rakija dont vous avez abusé la veille – si vous avez beaucoup mélangé, essayez de retrouver la dominante), et tertio, une revigorante assiette de soupe de tripes.
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Qui ne connaît pas la bonne vieille recette balkanique, souveraine contre la gueule de bois ? Pour retrouver force, joie et santé, il vous faut avaler : primo, un grand verre de saumure de chou, secundo, un petit verre de gnole (idéalement de la même rakija dont vous avez abusé la veille – si vous avez beaucoup mélangé, essayez de retrouver la dominante), et tertio, une revigorante assiette de soupe de tripes.
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Exode au Kosovo : « La Belgique n'est pas le pays du lait et du miel »
Kosovo : le flux de migrants inquiète l'Allemagne
Kosovo : sur les routes du nouvel exode
Kosovo : les illusions perdues de l'indépendance et de la souveraineté
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Kosovo : l'interminable exode de ceux qui rêvent d'une vie meilleure
Kosovo : départs vers l'Union européenne, des flux qui ne tarissent pas

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Croatie : scandale après une messe en l'honneur d'Ante Pavelić
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Adresse : bul. Stefan Cel Mare, 182, Chişinău
Tel : +373.22.26.54.42
Ouvert tous les jours de 10h à 23h

Adresse : strada Stavropoleos, 5, Bucarest
Tel : +40.213.137.560 (fixe) / +40.726.282.373 (mobile)
Ouvert tous les jours
Au cœur du quartier Lipscani, c'est la plus vieille brasserie de Bucarest mais aussi l'un de ses restaurants les plus réputés. Décor néogothique somptueux, fait de boiseries et de vitraux. Ambiance chaleureuse avec des danseurs et des musiciens traditionnels. Idéal pour les repas copieux. O y trouve tous les plats traditionnels roumains mais aussi un grand choix de saucisses (...)

Arrivé en novembre 1917 dans les Balkans comme militaire, Jean André Ordioni (1862-1933) ne quittera définitivement la région qu'en octobre 1925. Commissaire français, puis président de la Commission interalliée de délimitation des frontières de l'Albanie avec la Grèce et la Yougoslavie, il rédigea plusieurs rapports concernant ses missions tout en entretenant une abondante correspondance avec sa famille.
Au lendemain de la crise financière qui secoua l'Albanie en 1997, désireux de fournir aux Albanais (...)

Arrivé en novembre 1917 dans les Balkans comme militaire, Jean André Ordioni (1862-1933) ne quittera définitivement la région qu'en octobre 1925. Commissaire français, puis président de la Commission interalliée de délimitation des frontières de l'Albanie avec la Grèce et la Yougoslavie, il rédigea plusieurs rapports concernant ses missions tout en entretenant une abondante correspondance avec sa famille.
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