Qui croit en moi, même s'il meurt vivra « Jean : 1-25 »
La grande famille KARGOUGOU à Kaya, Tikato,Zabga,Ouagadougou,Abidjan, France, Allemagne, Belgique, Canada, Etats-Unis ;
Le NabaKoom, Chef du Canton de Sanmatenga ;
Le TikatoNaba ;
Le KassirinNaba ;
Le Naaba Yemde de Zabga ;
Le Tib-Soaba de Gaoua ;
La Famille de Feu Paul-Edouard Moussa KARGOUGOU ;
La veuve OUATTARA Maimouna à Ouagadougou ;
Les enfants, Aicha, Jean de Dieu dit « Keffy », Odile, Viviane, Zakaria et Apollinaire ;
Les petits-enfants Nèmatou et Rachidatou ;
Les familles alliées OUEDRAOGO, NABYOURE, KAFANDO, SANDWIDI, TINTO,SAWADOGO, TAPSOBA, GUINGANY, SIMPORE, DAKOURE, GRENDENE, SONKOLIA, BOUDA, OUATTARA, ZINSOU, DARANKOUM, ZONGO, TAMBOURA, NONGUIERMA, TRAORE, TIENDREBEOGO, LOUGUE, ILBOUDO, MOSCATELLI, COMPAORE, LAGUEMVARE, HERLET, DROUET ;
réitèrent leurs sincères remerciements pour le soutien moral, spirituel, matériel et financier que vous leur avez apporté lors du rappel à Dieu de leur regretté fils, frère, époux, père et grand-père ;
KARGOUGOU Jean André Saïdou dit Papa Lycée
Décédé le 08 juin 2023 à Ouagadougou et inhumé le 09 juin 2023 au cimetière de Kamboinsin ;
Leurs remerciements vont particulièrement :
• A SEM le Président de la Transition, Chef de l'Etat :
• A SEM le Premier Ministre, Chef du Gouvernement ;
• Aux membres du Gouvernement ;
• Au personnel du Ministère de la Santé et de l'Hygiène publique ;
• Aux partenaires techniques et financiers du Ministère de la Santé et de l'Hygiène publique ;
• Au personnel de l'Entreprise Delta Construction Business Burkina/Niger ;
• A la CCB Saint Joseph de la Paroisse notre Dame du Rosaire de Kologh- Naba ;
• Aux voisins de Ouidi ;
• Aux amis et connaissances ;
Et à tous ceux dont les noms n'ont pu être cités.
Que Dieu de par sa miséricorde, vous rende au centuple vos bienfaits.
Union de prières !
La commune de Ouagadougou, dans un communiqué en date du vendredi 4 août, annonce qu'elle pourrait effectuer des descentes inopinées dans les lieux de gardiennage d'engins à deux ou quatre roues parkings pour vérifier l'effectivité des tarifs appliqués aux vélos, motos et véhicules. Les parkings ne respectant pas ces tarifs fixés par la municipalité pourraient voir leurs agréments simplement retirés, prévient la commune. En rappel, selon les arrêtés municipaux de 2015, pour mettre son engin en sécurité dans les établissements scolaires et universitaires, les écoles de formations professionnelles, les formations sanitaires, les pharmacies, les morgues et les cimetières, les cyclistes doivent payer 25 francs CFA, les motocyclistes 50 francs et les automobilistes 100 francs. Les prix doublent au niveau de l'administration publique, des yaars et marchés. Pour suivre un concert et ou un spectacle, les propriétaires de vélos paient 100 francs CFA, ceux des motos 200 francs CFA et ceux des véhicules quatre roues 500 FCFA. Des gérants et des clients de parkings se prononcent ce jeudi 10 août 2023 sur la décision de la mairie.
Joseph Tangayiré
« Concernant la volonté de la mairie de faire des descentes inopinées au niveau des parkings, je trouve que c'est une bonne idée. Il faut tenir compte de la population, comment elle vit. Mais est-ce que les autorités pourront continuer sur cette lancée ? C'est la question. Il ne faudrait pas contrôler aujourd'hui et laisser demain, ils vont reprendre leurs habitudes. Si c'est 100 francs pour garer son engin, c'est 100 francs. Il ne faut pas essayer d'augmenter les tarifs. Pour moi, c'est bien de retirer les agréments de ces deniers s'ils augmentent les prix ».
Abdoul Kader Sawadogo (garagiste)
« La commune de Ouagadougou fait bien de contrôler. Mais elle a pris à mon avis du temps pour le faire. Souvent, vous allez dans les pharmacies, dans les hôpitaux, le prix pour mettre sa moto au parking est à 100 francs. Vous entrez voir votre malade et pour repartir on te dit au parking de te débrouiller pour trouver la monnaie avant de prendre ta moto, c'est un peu difficile souvent ».
Ousmane Ouédraogo (mécanicien)
« Je trouve que c'est une bonne initiative. Dans les hôpitaux et devant les pharmacies les prix ne sont souvent pas respectés. Parfois tu sors d'un hôpital et on t'oblige à payer 100 francs. Et quand tu n'as pas la monnaie et que tu leur tends 50 francs, ils refusent ».
Aboubacar Tahita (parkeur)
« Dans notre parking, les tarifs pour les motos sont à 50 francs. Nous sommes au CHU de Bogodogo, précisément au parking sini dit « Basm-yamm ». Il y a à peu près sept mois de cela, la moto était à 100 francs. Mais après cela, une note est sortie nous demandant de faire le prix à 50 francs. Maintenant nous faisons 50 francs pour les motos et 25 francs pour les vélos. Pour les visites inopinées annoncées par la mairie, je ne suis pas inquiet parce que je respecte les prix fixés. Et je trouve que cela est une bonne chose parce que y a des gens qui font ça à 200 francs ».
Lucienne Tamalgo (parkeur)
« Vous savez bien ici nous faisons la moto à 100 francs et le vélo à 50 francs. Le plus dur dans tout ça c'est que les gens refusent souvent de payer sous prétexte qu'ils n'ont pas de monnaie. C'est un réel souci pour nous. Pour certains, c'est de la mauvaise foi. Ils peuvent vous présenter un billet de 10 000 francs pour ne pas payer le prix du ticket. Nous avons notre agrément. Je ne suis pas au courant du dernier communiqué de la commune de Ouagadougou. C'est un sujet qui concerne mon patron. Je suis ici depuis environ deux ans et le prix est toujours le même : 100 francs pour les motos et 50 francs pour les vélos ».
Ahmed Pafadnam (parkeur)
« Le parking des motos à l'intérieur de Saramaya transport pour les voyageurs c'est une semaine gratuite et 500 francs après une semaine. Une personne qui vient peu importe où elle voyage nous gardons sa moto et elle paiera au-delà d'une semaine. Je ne suis pas au courant de la dernière note de la commune de Ouagadougou pour vérifier si les gens appliquent l'arrêt ou pas. Mais je ne suis pas inquiet pour ça car nous somme en règle et nous avons notre agrément ».
Francis Tondé (parkeur)
« Nous nous prenons ce que les clients nous donnent, 50 francs ou 100 francs. S'ils ne nous donnent rien aussi, ce n'est pas grave, nous n'obligerons personne à payer. En revanche, certains clients ne comprennent pas souvent, ils déposent leurs motos aux alentours sans aviser les parkeurs et en cas de vol, c'est comme si on y est pour quelque chose. Pour garder leur moto d'une valeur de 500 000 francs, voire plus, certains rechignent à payer 50 francs au parkeurs ».
Yentemma Alex Lankoandé / Ange Urielle Lézogo (stagiaires)
Lefaso.net
Le Baas neere Naaba de Sig-noghin (arrondissement 9 de Ouagadougou) a fortement aidé les adultes supporters dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Renforcement des capacités des adolescents et des jeunes à exercer leurs droits en matière de santé sexuelle et reproductive au Burkina Faso. »
François Xavier SANTOBEGA est adulte supporteur dans le cadre du projet « Renforcement des capacités des adolescents et des jeunes à exercer leurs droits en matière de santé sexuelle et reproductive au Burkina Faso ». Pendant les trois années de mise en œuvre du projet (2020-2023), il a, avec d'autres collègues, sillonné les artères du quartier Sig-noghin, dans l'arrondissement 9 de Ouagadougou, avec pour objectifs de sensibiliser sur divers thèmes en lien avec la santé sexuelle et reproductive.
Leurs actions n'auraient pas été aisés s'ils n'avaient pas reçu l'accompagnement des responsables coutumiers du quartier. C'est le sens de leur visite ce matin du 02 juin 2023 dans la cour de Baas neere Naaba. « A chaque fois que nous avons eu besoin de lui, il a été très ouvert et accueillant, capable d'aménager son programme surtout quand il s'agit des problèmes de santé sexuelle et reproductive. Il est tout le temps disponible pour nous », affirme M. SANTOBEGA
Bénéficier de l'accompagnement des chefs coutumiers permet aux acteurs de la mise en œuvre du projet d'avoir un « laisser-passer » dans les quartiers et villages et de créer ainsi un environnement favorable pour l'atteinte des objectifs. Mais pour le Baas neere Naaba, c'est aussi leur contribution à la sensibilisation des plus jeunes. « Lorsque les enfants sont laissés à eux-mêmes, ils sont exposés à plusieurs maladies dont ils ignorent les causes. Il est donc important de les sensibiliser car cela est bénéfique pour leur bien-être. », a-t-il renchérit.
Le projet « Renforcement des capacités des adolescents et des jeunes à exercer leurs droits en matière de santé sexuelle et reproductive au Burkina Faso » est financé par l'Ambassade du Japon au Burkina Faso, en partenariat avec le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA). Il est mis en œuvre par deux partenaires d'exécution que sont la Fondation KIMI et l'ABBEF (Association Burkinabè pour le Bien-Être Familial) avec l'appui de JOICFP (Japanese Organization for International Cooperation in Family Planning).
Publi-reportageLa troisième édition de la Journée de la sauvegarde de la biodiversité de l'Association pour la sauvegarde de la biodiversité s'est tenue le samedi 12 août 2023 à Koankin, dans la commune rurale de Pabré. A l'occasion, l'association a planté plus de 300 arbres.
Pour cette troisième édition de la Journée de la sauvegarde de la biodiversité, l'Association pour la sauvegarde de la biodiversité a mis l'accent sur les espèces qui ont des vertus médicinales, thérapeutiques et nutritives. « Nous avons fait un effort pour sauvegarder la plupart des plantes qui sont en voie de disparition. Pour l'entretien des arbres, nous n'avons pas de forage d'eau mais nous nous débrouillons avec nos moyens de bord, même si nous perdons un maximum d'espèces. Régulièrement, nous venons avec des grilles de protection et nous avons des gens qui surveillent en permanence le domaine », a expliqué Jean Ilboudo, le président de l'Association pour la sauvegarde de la biodiversité.
Pour lui, cette journée symbolise la sauvegarde de la biodiversité. « Chaque année, nous choisissons un thème en rapport avec la protection des enfants. Nous ne pouvons pas envisager l'avenir sans les enfants qui constituent l'essentiel de notre population. Cette année, nous les avons impliqués pour qu'ils puissent vraiment s'approprier la protection de l'environnement et s'impliquer davantage pour que l'environnement puisse être sauvegardé. Il y a plusieurs espèces qui ont été plantées aujourd'hui », a-t-il précisé.
La cérémonie de reboisement s'est déroulée en présence du chef de Koankin. « Cette année, on a privilégié les enfants pour qu'ils sachent comment planter des arbres. En tant que chef de village, nous avons pris quelques mesures pour entretenir les plants. Nous avons essayé de former un groupe de relais qui tourne dans la forêt chaque matin et chaque soir pour voir s'il n'y a pas des animaux en divagation pour détruire ce que nous avons planté », a dit Naaba Kango.
L'activité, parrainée par Patricia Kabré, a regroupé plusieurs enfants, en plus des hommes et des femmes. « C'est avec un immense plaisir que je parraine cette troisième édition et le fait de choisir le thème consacré aux enfants, est vraiment une bonne initiative parce qu'il faut apprendre aux enfants à protéger la nature. La protection de la nature permet de lutter contre l'érosion et la dégradation du sol ; et quand on protège la nature, cela nous permet d'avoir des pluies », a déclaré la marraine.
Carine Daramkoum
Lefaso.net
Vidéo : RTB
Le Premier ministre du Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP), Ali Mahamane Lamine Zeine a jugé « inhumaines, iniques et inacceptables », les mesures prises par la CEDEAO contre le Niger. Ces sanctions à l'encontre du pays sont en contradiction avec les règles de l'institution régionale, a-t-il souligné.
Cette déclaration du Premier ministre du CNSP intervient à l'issue de la rencontre entre les autorités militaires nigériennes et des leaders religieux venus depuis le Nigéria en médiation.
« Cette rencontre importante vise à rapprocher les deux pays, le Nigéria et le Niger. Les leaders religieux ont fait passer le message du président nigérian au chef de l'État, le général Abdourahamane Tchiani ici même », a-t-il indiqué.
Selon Ali Mahamane Lamine Zeine, le chef de l'État nigérien a chargé les leaders religieux d'expliquer au président du Nigéria, Bola Tinubu, tout ce qu'ils voudraient voir se réaliser dans les prochains jours, à savoir la levée des sanctions.
Il affirme que son gouvernement reste ouvert pour conduire cette médiation en vue d'un retour à une situation de normalité.
Pour rappel, la délégation des leaders religieux de confession musulmane de la République fédérale du Nigéria, conduite par Cheikh Abdulahi Bala Lau est arrivée a Niamey, ce samedi 12 août 2023, en milieu de journée.
Hamed Nanéma
Source : Page Twitter LSI AFRIQUE
Thème du Pèlerinage : « Mon Ame exalte le Seigneur »
Mam siiga waogda m Soala
Lundi 14 Août 2023
16H00 - Découverte et bénédiction d'un monument devant la statue de Notre Dame de Yagma devant la basilique
18H30 – Invitation aux célébrations des fêtes de l'Assomption et des jubilés et anniversaires, par les cloches de la Basilique
19H00 – Célébration des 1ères vêpres de l'Assomption à la Basilique
19H30 – Début de la NUIT DES TEMOIGNAGES
• Intermèdes musicales : Chorale Naaba Sanem – M. Antoine Bouda
22H30 – Récitation du Rosaire
24H00 – ADORATION DU SAINT SACREMENT
Mardi 15 Août 2023 : CELEBRATION DE L'ASSOMPTION DE LA SAINTE VIERGE MARIE
• 07H15 : Mot d'accueil et de Bienvenue
• 07H30 : Récitation des Laudes
• 08H00 : Récitation du Chapelet après l'installation de la statue de Notre Dame de Yagma
• 09H00 : CELEBRATION EUCHARISTIQUE
Procession d'offrandes
Solidarité avec les Déplacés internes
Procession mariale
BONNE ET HEUREUSE FETE DE L'ASSOMPTION
HEUREUX JUBILE SACERDOTAL A SON EMINENCE
JOYEUX ANNIVERSAIRE A TOUS ET A TOUTES
En raison de l'hivernage, le président de la délégation spéciale de Ouargaye, Mahamoudou Soulama a formellement interdit de se baigner dans le barrage de cette localité, située dans la province du Koulpélogo (région du Centre-est). L'objectif est d'éviter « autant que cela est possible » les noyades.
M. Soulama a particulièrement exhorté les parents hôtes et les PDI à sensibiliser leurs enfants pour qu'ils ne fréquentent pas ledit barrage en cette période « dangereuse ». L'autorité communale a prévenu que tout contrevenant s'expose à des sanctions, conformément aux dispositions règlementaires en vigueur.
Pour rappel, deux jeunes hommes âgés de 16 ans environs, y ont perdu la vie par noyade. Le premier cas s'est produit au barrage de Ouargaye tandis que l'autre est survenu au moment de la traversée d'une rivière.
Lefaso.net
Source : Agence d'information du Burkina
Le Nigeria qui fournit 70 % de l'électricité utilisée au Niger, a coupé l'alimentation du pays en application des sanctions décidées par la CEDEAO.
Les Nigériens font face à l'enfer des coupures de courant prolongées. Une période de vache maigre pour le secteur informel notamment.
« Nous avions l'habitude de travailler de 8 heures à minuit, mais maintenant c'est impossible. Nous avons en moyenne une heure et 30 minutes d'électricité par jour et il est très difficile d'être productif dans de telles conditions. Depuis que le Nigeria a coupé l'électricité, nos ventes ont baissé. Nous essayons de travailler avec un générateur, mais nous ne pouvons pas l'utiliser pendant de longues heures parce qu'il est cher et que nous devons acheter régulièrement du carburant », raconte sous anonymat, un tailleur nigérien.
En sus de leur impact sur la vie quotidienne, les délestages de courant ne sont pas sans conséquence pour l'économie du pays.
« Les gens sont obligés d'acheter des lampes torches, des générateurs, etc. Mais pour les utiliser, ils doivent acheter des batteries, du carburant. Il y a aussi l'entretien. Ce sont des dépenses imprévues qui vont affecter le pouvoir d'achat de la population. Cette situation est désastreuse car l'électricité est un produit transversal utilisé dans presque toutes les activités économiques », explique un résident de Niamey.
C'est dans ce contexte que des chefs religieux musulmans nigérians sont arrivés à Niamey pour rencontrer des responsables de la junte militaire. Leur mission, tenter de trouver une issue à la crise. Alors que le Niger est sous la menace d'une intervention militaire de la CEDEAO.
Hamed Nanéma
Lefaso.net
Source : Africanews
La Mission des Nations unies au Mali (MINUSMA) a annoncé ce dimanche 13 août 2023, avoir "anticipé" son retrait d'un camp au sein de la localité de Ber, dans le nord du pays. Cette partie du territoire malien est l'objet de tensions entre l'ex-rébellion touareg et les forces armées maliennes.
La zone en effet, a été l'épicentre de combats où l'armée malienne a récemment perdu des soldats après une attaque "terroriste".
La MINUSMA dit avoir anticipé son retrait en raison de la dégradation de la sécurité dans ladite zone et des risques élevés que cela fait peser sur ses Casques Bleus. Elle l'a affirmé dans un message sur le réseau social “X” (anciennement Twitter), sans précision sur la date de départ initiale et les effectifs.
Lefaso.net
Source : aBamako
(Ouagadougou, 12 août 2023). Le Président de la Transition, Chef de l'État, le Capitaine Ibrahim TRAORE a présidé la cérémonie commémorative de la Journée internationale de la Jeunesse (JIJ) ce samedi à Ouagadougou en présence des représentants des jeunes des treize régions du pays.
Cette JIJ a été une occasion pour les jeunes venus des treize régions du Burkina Faso d'avoir des échanges directs avec le Chef de l'État, le Capitaine Ibrahim TRAORE dans un franc parler.
Très attaché aux questions touchant les jeunes, le Président de la Transition a un regard sur les défis à relever pour leur épanouissement. Il a invité la jeunesse à s'engager davantage, à travers des initiatives innovantes, pour le développement du Burkina Faso.
Pour ce faire "nous pensons beaucoup à la formation professionnelle", a souligné le Chef de l'État qui a rappelé qu'il ne s'agit pas de se former pour des diplômes mais d'apprendre des métiers et d'exercer.
Au-delà de la sécurisation du pays, pour laquelle le Capitaine Ibrahim TRAORE a rendu un hommage aux jeunes qui se sont engagés comme VDP, les jeunes doivent accompagner, par leurs initiatives et leurs actions, le développement de notre pays.
Les jeunes disent reconnaitre les efforts engagés par le Président de la Transition pour la sécurisation du pays et pour l'épanouissement de la jeunesse. Ils ont réaffirmé leur engagement à accompagner la Transition à relever les défis actuels.
Ils ont saisi l'occasion pour égrener leurs préoccupations qui tournent autour de l'employabilité, de la formation professionnelle, de l'accès aux marchés publics et aux financements pour la mise en œuvre de leurs projets. La question sécuritaire et celle liée à l'état des infrastructures routières sont aussi des préoccupations communes des représentants des jeunes de l'ensemble des régions du Burkina Faso.
A ces préoccupations, le Chef de l'État a donné des réponses en appelant les jeunes à plus de responsabilité et de discernement. Les solutions viendront de façon progressive et en fonction des possibilités selon le Capitaine Ibrahim TRAORE.
Direction de la communication de la Présidence du Faso
Les grandes familles, TRAORE, COULIBALY, OUATTARA BARRO à Moami Toussiana, Orodara, Bobo Dioulasso, Ouagadougou,
Les familles alliées SEYE, SARR, YAGO, OUEDRAOGO, SAWADOGO à Bobo Dioulasso, Ouagadougou et Dakar,
Monsieur TRAORE Ousmane, Fonctionnaires à la retraite du Ministère de l'enseignement supérieur et ses frères et sœurs,
La Veuve TRAORE/TRAORE Karidiatou, infirmière à la retraite et ses enfants
Monsieur OUATTARA Adama à la SONABEL et ses frères et sœurs
Monsieur Ouédraogo Amadou Madi, opérateur économique à Ouagadougou
Les enfants de feu TRAORE Mamadou Gorille
Les enfants de feu TRAORE Bou Souleymane
Les enfants de feu TRAORE Barou Omar
Les enfants de feu DIARRA Sidiki
La veuve Madame TRAORE/SEYE Aratou, ses enfants TRAORE Abdramane à la mairie de Bobo, TRAORE Mohamed Souleymane Papis opérateur économique à Ouagadougou
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur fils, frère, époux, cousin, beau-frère, père, oncle et grand-père.
TRAORE Boubacar Sidiki dit TBS
• Conseiller des Affaires Economiques à la retraite
• Ancien Directeur Général de l'office National du Commerce Extérieur (ONAC)
• Ancien Directeur des Etudes et de la Planification du Ministère du commerce
• Ancien Coordonnateur du programme de réhabilitation Economique de la région de Bobo Dioulasso (CPRB)
• Ancien PCA et Directeur Général de la Structure de Gestion du Marché de Bobo
Décès survenu ce Mercredi 09 Août 2023 à Bobo Dioulasso
Les obsèques se dérouleront selon le programme ci-après ;
Vendredi 11 Août 2023
➢ 08H30 : Levée du corps à la morgue de l'Hôpital SANOU Souro
➢ 10H00 : Arrivée du corps au domicile du défunt au secteur 22 à coté de la pharmacie AMINE
➢ 13h30 : Départ pour le Cimetière Municipal route de Banakeledaga
Samedi 12 Août 2023
➢ 20H00 : Veillée de prières (FIDAO)
Dimanche 13 Août 2023
➢ 08H00 : Doua
UNION DE PRIERE
Sa majesté Naaba YOUGA II de Boura/Garango, les grandes familles ZOURE, TRAORE, DEMBELE, TOURE, TOE, à Garango, Ouagadougou, Bobo Dioulasso, Abidjan.
El HADJ Abdou ZOURE, Mr Abdoul Karim ZOURE, Mr Alphonse ZOURE, Mr Issifou ZOURE, Mr Aziz TRAORE/ZOURE, Mr Yahaya ZOURE, Mr Issouf ZOURE BABA, El HADJ Zoulka Kader TRAORE/ZOURE, Mr Mohamed Lamine TRAORE dit Papa Déni, Mr Malick TRAORE, Mr Modibo ZOURE.
Les enfants :
Mme Nana GUISSOU née ZOURE
El HADJ Daouda ZOURE
Mme Aminata ZOURE
Mme Haoua ZOURE
Mr Amadou ZOURE
Mme Kadidiatou BAKAYOKO née ZOURE
Mme Mariam OUATTARA née ZOURE
Mme Awa NIATA née ZOURE
Mr Abdoulaye ZOURE
Mr Adama ZOURE
Mme Salimata ZOURE
Mme Fatimata ZOURE
Mr Moctar ZOURE
Mme Maïmouna ZOURE
Mme Bibata ZOURE
Les petits-enfants, arrière-petits-enfants et les familles alliées
Ont le regret de vous annoncer le décès de leur fille, épouse, mère, tante, grand-mère, arrière-grand-mère.
Maïmouna ZOURE née DEMBELE dite YANKAFISSA
Décès survenu le dimanche 13 Aout 2023 à Ouagadougou
Le programme des obsèques se déroulera comme suit :
La levée de corps aura lieu le 14 Août 2023 à 13 h à la morgue de la clinique SUKA à pissy, suivi de la prière au domicile familiale sis à Gounghin (ex secteur 8) à 14h30 et de l'inhumation au cimetière municipal de Gounghin à 15 h.
Le DOUA du 7ème jour aura lieu le dimanche 20 Août 2023 à 8h00 mn dans la cour familiale à Gounghin.
La grande famille ZOMBRE à Ouargaye, Ouagadougou, Tenkodogo, Garango, Bittou,
Bodo Dioulasso, Kaya … ;
ZOMBRE K Gustave à Ouagadougou ;
Les enfants Hugues, Chanelle et Huguette ;
Sa Majesté NAABA KOOM de Garngo ;
La famille de feu BAMBARA Jean Baptiste à Garango ;
La grande famille Bambara à Garango, Tenkodogo, Ouagadougou, Koupéla ;
Les familles alliées : MILOGO, SANHOUIDI,
TERA, PIZONGO, KABORE, CONGO, BATIONO, OUEDRAOGO, SORGHO, PIMA, SAOURA, GORGO, KAGAMBEGA, NARE, MINOUGOU, SEYNOU, LOFO, TIETIEMBOU, GOUMBRI ;
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur fille, belle-fille, Sœur, cousine, tante, mère, grand-mère… ;
Madame ZOMBRE/BAMBARA G. Olga,
décès survenu le dimanche 13 aout 2023 à Ouagadougou des suites de maladie.
Les obsèques se dérouleront selon le programme ci-après :
PROGRAMME DES OBSEQUES
DIMANCHE 13 AOUT 2023
19H30 : VEILLEE DE PRIERES AU DOMICILE (KARPALA).
LUNDI 14 AOUT 2023
08H00 : Levée de corps à la morgue de l'hôpital de Bogodogo suivi d'une prière à domicile.
10H 00 : Absoute à la paroisse Saint François d'Asise suivi de l'inhumation au cimetière de Karpala.
"Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos" Mathieu 11 vs 28
QUE SON AME REPOSE EN PAIX
Dans une note d'information en date du 11 août 2023, le directeur des services médicaux et techniques du Centre hospitalier universitaire Sourou Sanou (CHUSS), Dr Souleymane Konaté interpelle sur la croissance du nombre de cas de la dengue au sein de la population et du personnel de santé.
Il invite par conséquent à renforcer la surveillance de cette maladie et de toutes les autres fièvres hémorragiques par un dépistage précoce. S'il n'existe pas de traitement spécifique en la matière, Dr Souleymane Konaté affirme que des soins de soutien précoces et énergétiques s'imposent.
Il recommande de ce fait, que tout cas suspect et/ou confirmé soit mis sous moustiquaire tout en utilisant des répulsifs (insecticides…).
L'intégralité de la note ci-dessous.
Lefaso.net
Le Burkina Faso, à l'instar du monde entier, commémore ce 12 août 2023, la journée internationale de la jeunesse. Au regard du contexte actuel, le thème retenu est " renforcement de l'employabilite des jeunes en milieu rural et lutte contre l'insécurité au Burkina Faso". La cérémonie commémorative est parrainée par Inoussa Kanazoé, PDG de Cimfaso et Adja Mamounata Vèlgeda de Vèlgeda groupe, et placée sous la présidence du Capitaine Ibrahim Traoré, président de la transition.
Dans son adresse à la jeunesse, le capitaine Ibrahim Traoré a laissé entendre que la lutte contre le terrorisme ne se fait pas seulement par les armes, car tant que les jeunes seront sans emploi, ils seront tentés de rejoindre les groupes armés. C'est pourquoi la transition s'attelle à réorienter les jeunes vers l'apprentissage de métiers afin qu'ils puissent se prendre en charge. Un accent particulier est mis sur l'agriculture, pour permettre d'atteindre l'auto-suffisance alimentaire.
Il sera procédé dans chaque commune rurale à la création de services de promotion et insertion professionnelle des jeunes. Le président de la transition a aussi annoncé qu'il sera désigné un représentant de chaque région comme chargé de mission à la présidence, afin de défendre les intérêts des jeunes.
Ibrahim Traoré n'a pas manqué d'inviter les jeunes à ne pas avoir peur de prendre le risque d'entreprendre, pour leur propre subsistance mais également pour le développement du pays. "Chacun à son niveau, à défaut de prendre les kalachnikov, devrait faire quelque chose pour participer au développement. Le combat qui a commencé sera long et dur, mais nous allons y arriver", a-t-il lancé.
Lefaso.net
Inoussa Kanazoé, Président-directeur général (P-DG) de CIM METAL Group, a parrainé, avec Adja Mamounata Velegda, l'édition 2023 de la Journée internationale de la jeunesse. Dans son adresse aux jeunes du Burkina Faso, le parrain a invité ses filleuls à travailler sans relâche s'ils veulent parvenir au succès. Il a par ailleurs annoncé un don de 1 000 tonnes de ciment d'une valeur de 110 millions de F CFA, devant servir à la construction du complexe de la jeunesse, futur siège du Conseil national de la jeunesse.
« La jeunesse n'est qu'un moment, un passage dans la vie. C'est un moment où vous disposez de toutes les potentialités, les possibilités, de toutes les ressources pour tout réaliser, tout être, tout devenir, tout faire. Profitez-en pleinement ! C'est à cet âge que l'on construit sa personnalité, que l'on forge son destin. Nous vous invitons donc à vous fixer des objectifs, à avoir des valeurs et des ambitions et surtout à accepter d'apprendre ». C'est à cette prise de conscience qu'Inoussa Kanazoé a, d'entrée de jeu, invité ses filleuls.
Prenant exemple sur son propre parcours, débuté par la vente de friperie avec un budget de départ de 150 000 F CFA obtenus de travaux champêtres en Côte d'Ivoire, le parrain incite les jeunes au travail acharné, car c'est la seule voie pour parvenir au succès. Et parce que les jeunes représentent environ 77% de la population, Inoussa Kanazoé dit compter sur eux pour « développer des initiatives et l'audace nécessaires pour inventer l'avenir du Burkina ».
Pour sa part, le groupe CIM METAL ne ménage aucun effort pour accompagner les jeunes dans l'apprentissage et l'insertion professionnelle. En témoignent les conventions avec une dizaine de structures de formation académique et professionnelle. Celles-ci ont permis de contribuer à la formation professionnelle de plus de 2 000 jeunes à travers des stages pratiques au sein des entreprises du groupe.
Afin de matérialiser son engagement dans l'accompagnement des jeunes, le parrain Inoussa Kanazoé a offert 1 000 tonnes de ciment d'une valeur de 110 millions de F CFA, et la marraine Adja Mamounata Velegda un bus d'une valeur de 50 millions de F CFA, au profit du Conseil national de la jeunesse.
En rappel, CIM METAL Group est un groupe industriel burkinabè qui compte à son actif quatre cimenteries en activité dont deux au Burkina (CIMFASO et CIMASSO), une en Côte d'Ivoire (CIM Ivoire) et la quatrième au Togo (CIMCO). Le groupe compte aussi une métallurgie à Ouagadougou (CIMMETAL SA). Près de 6 000 emplois directs et 24 000 emplois indirects ont été créés par CIM METAL Group.
Armelle Ouédraogo
Lefaso.net
Avant de rejoindre le programme CULTIVONS L'ESPRIT D'ENTREPRISE (CLE), « Plomberie Nouvelle Vision » n'était pas formalisée et manquait de suivi en gestion financière. Grâce à l'accompagnement du programme CLE, des ateliers ont été organisés pour définir la vision, la mission, les valeurs et élaborer des éléments graphiques. Des outils d'approvisionnement ont été fournis et un plan d'affaires a été élaboré pour lever des fonds.
L'incubation et l'accompagnement du programme CLE ont également permis à « Plomberie Nouvelle Vision » d'augmenter le nombre de ses chantiers.
Le promoteur de l'entreprise, Alidou OUOBA, exprime sa satisfaction quant à l'amélioration apportée par le programme CLE.
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La secrétaire générale du ministère de la Santé et de l'Hygiène publique, Dr Estelle Dabiré/Dembélé, a présidé la cérémonie de clôture de l'atelier de présentation et de validation des processus d'élaboration des rapports de capitalisation des plans nationaux du développement sanitaire. C'était dans l'après-midi de ce vendredi 11 août 2023, à Ouagadougou.
Durant 48 heures, les acteurs du monde de la santé et des autres domaines ont présenté et validé les processus d'élaboration de trois rapports sur la santé au Burkina Faso. Il s'agit des rapports sur les plans nationaux de développement sanitaire de 2001-2010, 2011-2020 et 2021-2030.
Ces rapports, a expliqué la secrétaire générale du ministère de la Santé, qui a présidé la cérémonie, définissent les priorités et les actions à mettre en place dans le développement sanitaire au Burkina Faso. Le processus d'élaboration a bénéficié de l'accompagnement de l'USAID, qui n'a d'ailleurs pas manqué d'apprécier la qualité du travail.
De l'intervention du directeur général des études et statistiques sectorielles du ministère de la Santé, Wenceslas Koetta, on retient que cet atelier a permis de capitaliser le processus d'élaboration des plans nationaux de développement sanitaire, qui présentaient des insuffisances. « C'est dans cette optique que les plans nationaux ont été élaborés et capitalisés. Ils présentent notamment les étapes préparatoires, de diagnostic, de la planification et de la mise en œuvre des risques », a-t-il souligné. C'est tout ce processus qui a été validé et la suite sera de diffuser le document à toutes les parties prenantes pour qu'elles puissent s'en servir dorénavant dans toutes leurs actions.
YZ
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L'Association pour la préservation et la restauration de la nature (APRN) a organisé une journée de reboisement, ce samedi 12 août 2023, sur le site de la centrale solaire de Zagtouli. L'activité a été placée sous la présidence du ministre en charge de l'Energie et sous le parrainage du directeur général de la Sonabel, Souleymane Ouédraogo.
Dans le souci de lutter contre la désertification au Burkina Faso, l'Association pour la préservation et la restauration de la nature (APRN) a planté 1 091 plants sur le site de la centrale solaire de Zagtouli. Les plants qui ont été mis en terre sont entre autres des manguiers, des pommiers cannelles et des citronniers.
« La Sonabel, dans son activité de production, de transport et de distribution, contribue au déboisement. Donc elle a le devoir de mener des actions pour compenser ce qui est prélevé dans la nature. Donc depuis trois ans maintenant, nous organisons des journées de reboisement à la faveur de la Journée nationale de l'arbre », a expliqué la présidente de l'association, Chantal Ouattara.
Les trois éditions de reboisement se sont faites sur le site de la centrale solaire de Zagtouli. L'association prévoit donc, pour les éditions à venir, d'aller sur d'autres sites pour le reboisement. A cet effet, une journée de reboisement sera organisée en octobre sur un autre site, situé dans la bande verte de Ouagadougou.
« Les éditions précédentes ont permis de planter des arbres qui sont toujours en bon état. Nous avons un taux de survie appréciable. Parce qu'au niveau de la Sonabel, on ne se contente pas de planter des arbres et de disparaître. En plus de la plantation, nous avons une équipe qui s'occupe des plantes. Nous avons mis en place un dispositif qui permet de prendre soin de ces plantes », a souligné le directeur général de la Sonabel, Souleymane Ouédraogo.
Pour lui, les journées de reboisement sont un devoir de restitution de ce que la Sonabel prélève dans la nature. « C'est pour cela que lorsque nous faisons le reboisement, on ne se contente pas de remettre sous terre ce que nous avons prélevé, mais on fait plus. C'est pour nous assurer que nous allons apporter une contribution pour les générations futures », a dit monsieur Ouédraogo.
Le représentant du ministre de l'Energie, Yaya Sankara, a salué l'initiative de l'association. Selon lui, cette initiative va contribuer à accroître la préservation de l'environnement. Il a par ailleurs invité les Burkinabè à emboîter le pas de l'association.
L'APRN est une association des agents de la Société nationale d'électricité du Burkina (Sonabel). Elle a été créée en mai 2021.
Rama Diallo
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