Le président de la Republika Srpska, Milorad Dodik, a perdu son mandat après une décision de justice définitive. Contestant cette révocation, il a annoncé un référendum d'ici fin septembre, tandis que le Premier ministre de l'entité serbe a présenté sa démission.
- Le fil de l'Info / Courrier des Balkans, RS sécession, Bosnie-Herzégovine, PolitiqueLe président de la Republika Srpska, Milorad Dodik, a perdu son mandat après une décision de justice définitive. Contestant cette révocation, il a annoncé un référendum d'ici fin septembre, tandis que le Premier ministre de l'entité serbe a présenté sa démission.
- Le fil de l'Info / Courrier des Balkans, RS sécession, Bosnie-Herzégovine, Politique21 Août 2021 - 21 Août 2025
Le Samedi 21 Août 2021, le Seigneur rappelait à lui notre cher Nongma Ernest Norbert NACOULMA, Ingénieur FJA à la retraite à Gounghin.
Les familles NACOULMA / ILBOUDO, YAOLPOUGDOU et alliées, La veuve Cécile NACOULMA née YAOLPOUGDOU, Contrôleur des Postes et Télécommunication à la retraite et ses enfants à Gounghin : Edgard, Emma, Amédée, Amélie Judith, vous réitèrent leurs remerciements pour vos soutiens multiformes à l'occasion de cette douloureuse épreuve. Ils vous prient d'avoir une pensée pieuse ou de vous unir à eux à l'occasion du 4e anniversaire de son retour au Père.
Des messes seront célébrées à son intention selon le programme suivant :
Paroisse Saint Pierre de Gounghin
• Jeudi 21 Août : 5H45
• Dimanche 24 Août :9H00
• Mardi 26 Août : 5H45
Paroisse Saint Michel de Tanghin Dassouri.
• Jeudi 21 Août : 5H45
• Mardi 26 Août : 5H45
Que Dieu accorde le repos éternel à notre bien aimé Nongma Ernest Norbert NACOULMA.
Que par la Miséricorde de Dieu les fidèles défunts reposent en paix !
Une vierge jurée, son père et la petite-fille de celui-ci. Avec L'Homme de la maison, présenté ce mardi au Festival de Sarajevo, le réalisateur Andamion Murataj percute les schémas ancestraux avec les réalités de l'Albanie contemporaine. Entretien.
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- Articles / Société, Economie, Courrier des Balkans, Vucic, Serbie, PolitiqueC'est par un communiqué en date du 16 août 2025 que le gouvernement du Burkina Faso informait de l'arrivée de la dépouille d'Alain Traoré dit Alino Faso. Ce lundi 18 août 2025, ils étaient nombreux à rejoindre l'aéroport international de Ouagadougou pour accueillir le corps de l'homme, dont « les actes de générosité sont connus et reconnus ». Étaient présente une délégation du gouvernement, composée des ministres en charge des affaires étrangères, de la communication, de la sécurité, de l'administration territoriale, et bien d'autres autorités, parmi lesquelles on dénombrait le président du Tribunal de grande instance Ouaga 1, quelques avocats, des artistes et influenceurs.
À notre arrivée à l'aéroport international de Ouagadougou un peu avant 14h, nous sommes redirigés vers la gendarmerie jouxtant l'aéroport. Là, se tenaient à l'entrée des hommes en tenue et dans la cour, une foule immense de personnes majoritairement vêtues de blanc, exactement comme lors de la marche organisée par la Coordination nationale de la veille citoyenne le 30 juillet 2025, sur l'ambassade de Côte d'Ivoire au Burkina Faso. Assis ou debout, les regards froids et fixes, beaucoup n'arrivaient pas à dissimuler leur douleur.
Certains, pour calmer leur peine, se contentaient de lâcher un grand soupir. D'autres tentaient de contenir leurs larmes, mais excédés par l'amertume, finissaient par éclater en sanglots.
En image, les bagages qui ont suivi la dépouilleA 14h40, le signe fut donné aux hommes de média, comme pour leur dire de se tenir prêts. Sortirent dans le même temps les bagages et le cercueil contenant la dépouille de celui dont le décès a choqué plus d'un, et dont l'émotion ne cesse d'être vive dans le cœur de ses proches, mais aussi de ceux qui l'ont connu de par l'écho des actes posés de son vivant.
De part et d'autre des véhicules se tinrent des hommes et des femmes qui accompagnaient le convoi vers le corbillard, positionné à quelque 100 m de la grande porte d'entrée. S'en suivront des discours de part et d'autre, chacun élevant la voix à la manière d'un griot pour rappeler qui était l'homme, quelles étaient ses œuvres et en réclamant que justice soit rendue.
Les populations espèrent justice pour Alino Faso« Ce monsieur, nous le connaissons. Il n'a jamais tué une souris. Il n'a jamais prononcé un mot qui heurte la sensibilité d'un enfant au point de le faire pleurer. C'est un monsieur de consensus, un homme de rassemblement… Nous sommes en blanc pour symboliser la justice, qui se veut pure. Nous réclamons par-là justice pour Alino Faso, et pour tous ces opprimés dans le monde », s'est exprimé Oscibi Johann, artiste chanteur.
« Les autorités se sont saisies du dossier. À notre niveau, on ne peut que suivre les perspectives qu'elles auront arrêtées, les positions qu'elles auront tracées. Nous ne pouvons que nous aligner derrière cela car on ne peut aller au-delà. Mais en attendant, nous sommes attristés et en colère. Il faut que justice soit rendue », a réclamé Souleymane Koné, dit Souleymane Gbagbo Koné, membre du mouvement Trop c'est trop.
« On vous tiendra informé de l'inhumation », promet l'ainé de la famille TraoréErwan Compaoré
Lefaso.net
Dans un communiqué lu par le ministre de la communication, Pingdwendé Gilbert Ouédraogo au journal de 13h00 de ce lundi 18 août 2025 de la Télévision nationale, le gouvernement du Burkina Faso s'indigne du rapport du Secrétaire Général des Nations Unies adressé au Conseil de Sécurité, intitulé “Les enfants et le conflit armé au Burkina Faso”.
Pour le gouvernement burkinabè, "ce rapport qui ressemble à une compilation d'affirmations sans fondements et de contre-vérités ne comporte en annexe, ni copies de rapports d'enquêtes, ni arrêts de justice pour étayer les cas prétendus de violations contre des enfants attribués aux vaillants combattants burkinabè ".
Le Gouvernement regrette également que ces informations aient été compilées et publiées par l'équipe spéciale pays, sans même associer les structures compétentes burkinabè, toute chose qui selon l'exécutif burkinabè, aurait permis d'avoir une lecture plus complète et non-biaisée de la situation des enfants dans les zones à fort défi sécuritaire au Burkina Faso.
Pour sa responsabilité dans la coprésidence de l'élaboration de ce rapport, le Gouvernement burkinabè déclare Carol Flore-SMERECZNIAK, Coordonnatrice Résidente du Système des Nations Unies « persona non grata » sur le territoire national. Mais aucun délai n'a été fixé pour son départ du pays.
Ci-après, l'intégralité du communiqué.
Le Gouvernement du Burkina Faso, après avoir découvert le rapport du Secrétaire Général des Nations Unies adressé au Conseil de Sécurité, intitulé “Les enfants et le conflit armé au Burkina Faso”, s'indigne du total mépris à l'endroit des autorités et institutions burkinabè qui n'ont été ni associées à son élaboration, encore moins informées des conclusions de l'étude.
En effet, il ressort que ce rapport a été élaboré par une équipe spéciale pays, coprésidée par la Coordonnatrice Résidente du Système des Nations Unies au Burkina Faso. Les informations consignées dans ledit document abordent plusieurs points, notamment l'analyse de la situation politique, militaire et sécuritaire, les violations graves commises contre les enfants en application des dispositions de la résolution 1612 (2005).
Dans un style narratif citant indistinctement les terroristes et les institutions de défense et de sécurité du Burkina Faso, ce rapport qui ressemble à une compilation d'affirmations sans fondements et de contre-vérités ne comporte en annexe, ni copies de rapports d'enquêtes, ni arrêts de justice pour étayer les cas prétendus de violations contre des enfants attribués aux vaillants combattants burkinabè.
Le Gouvernement regrette profondément que ces informations aient été compilées et publiées par l'équipe spéciale pays, sans même associer les structures compétentes burkinabè, toute chose qui aurait permis d'avoir une lecture plus complète et non-biaisée de la situation des enfants dans les zones à fort défi sécuritaire au Burkina Faso.
Le Gouvernement s'étonne de la persistance de certaines agences du Système des Nations Unies au Burkina Faso dans l'utilisation avec légèreté et à dessein des terminologies équivoques cachant une volonté manifeste de légitimation ou de requalification de la barbarie dont le peuple burkinabè est victime depuis une décennie. Une mise au clair officielle sans équivoque avait pourtant été faite le 25 mars 2025 suite à une convocation des Représentants desdites agences.
Pour sa responsabilité dans la coprésidence de l'élaboration d'un rapport compilant des données sans sources objectives, sans preuves ni justificatifs, véhiculant des informations graves et mensongères, le Gouvernement porte à la connaissance de l'opinion nationale et internationale que Madame Carol Flore-SMERECZNIAK, Coordonnatrice Résidente du Système des Nations Unies est déclarée « persona non grata » sur le territoire du Burkina Faso.
En confirmant des informations de manière unilatérale, sans les documenter par des preuves juridiquement acceptables, à travers un rapport porté devant une instance aussi stratégique que le Conseil de sécurité des Nations Unies, le Gouvernement estime au regard de tous les graves écarts constatés, et pour préserver et renforcer les acquis importants de la Coopération entre le Burkina Faso et les Nations Unies, que Madame Carol Flore- SMERECZNIAK n'est plus une interlocutrice crédible.
Le Gouvernement du Burkina Faso réaffirme son adhésion aux idéaux de l'Organisation des Nations Unies dont il salue les apports dans le contexte de défis sécuritaires et humanitaires. Il réitère sa totale disponibilité à coopérer avec l'Organisation des Nations Unies, à travers des représentants et des équipes pays résolument engagés dans un accompagnement vrai et sincère.
Le Porte-parole du Gouvernement,
Pingdwendé Gilbert OUEDRAOGO
Chevalier de l'Ordre de l'Etalon
La région du Djôrô (ex-Sud-ouest) a connu un boom minier ces dernières années. L'exploitation de l'or (artisanale ou semi-mécanisée) bat actuellement son plein dans le chef-lieu Gaoua. Le chef de canton de Gaoua, Bifaté II, voit plus d'avantages que d'inconvénients dans l'orpaillage pratiqué dans sa localité. Il l'a affirmé dans une interview accordée à Lefaso.net, mardi 12 août 2025 à son domicile.
Lefaso.net : Exercez-vous aussi l'orpaillage ? Si oui, depuis combien d'années ?
Bifaté II : Depuis 2006, je suis détenteur d'un permis de recherche. Je suis actuellement organisateur (propriétaire), mais j'ai commencé comme orpailleur artisanal dans le champ de mon père. J'étais donc agriculteur, maintenant je suis orpailleur.
Qu'est-ce que l'orpaillage a apporté de bénéfique à la commune de Gaoua sur le plan économique ?
L'orpaillage a apporté beaucoup de changements positifs à Gaoua. Il a diminué le chômage. Ceux qui ont accepté de travailler dans ce milieu, plusieurs s'en sortent. L'orpaillage a diminué beaucoup de vols de bétail et de matériel, car il a donné aux jeunes une occupation.
L'orpaillage a-t-il causé des problèmes à la commune de Gaoua sur le plan économique ?
Oui, l'orpaillage a rendu la vie chère à Gaoua. Les prix ont quasiment doublé. Même le loyer a augmenté. Avant, une maison chambre-salon-douche interne coûtait 10 000 FCFA, mais actuellement c'est monté à 35 000 FCFA. Comme les jeunes ont eu beaucoup d'argent, ils ne discutent plus les prix lors des achats ; d'où l'augmentation du prix des marchandises entraînant la vie chère.
Que proposez-vous comme solution pour que la commune de Gaoua puisse bénéficier davantage de la présence de l'or dans son sous-sol ?
Je propose de trouver des mécanismes pour prendre les taxes dans les sites, pour que la commune puisse en bénéficier.
L'or a-t-il fait de nouveaux millionnaires à Gaoua ?
Oui ! L'or a fait beaucoup de millionnaires à Gaoua. Il y a beaucoup de personnes qui sont devenues du jour au lendemain des millionnaires. Ce qui n'est pas possible avec d'autres secteurs d'activités.
Au regard des problèmes de drogue, de banditisme, de conflits et les éboulements entraînant des morts, est-ce qu'on peut vraiment dire que l'or est un avantage pour la commune de Gaoua ?
Oui, c'est un avantage. C'est vrai que ces problèmes sont réels, mais c'est parce que les gens ne respectent pas les règles. Chaque site a ses règles. Il suffit que chacun suive ces règles et tout ira bien. C'est un avantage car l'orpaillage nous a amenés à ne pas migrer vers la Côte d'Ivoire ou le Ghana. Avec l'orpaillage, tout le monde gagne : agriculteurs, commerçants, éleveurs. Par exemple, si l'orpailleur ne peut pas aller au champ, il envoie l'argent pour que tout marche bien.
Avec la situation sécuritaire actuelle, est-ce que le métier d'orpaillage rapporte comme avant ?
À Gaoua, la situation sécuritaire n'a pas affecté l'orpaillage, car la population de Gaoua n'est pas facile. Elle a pu contenir la menace. Il y a des règles dans les sites : si on te voit avec un fusil, même un fusil militaire, tu ne sors plus de ce site ; tu es arrêté et livré aux autorités.
Entretien réalisé par Georges Youl
Lefaso.net
Yacouba Traoré, journaliste, enseignant, homme de culture, écrivain, fondateur de la web TV média Fadima TV, repose désormais au cimetière municipal de Gounghin. Il a été accompagné à sa dernière demeure ce lundi 18 août 2025 par ses parents, amis, collègues et étudiants.
En tombant, ce baobab des médias laisse un héritage incommensurable. Il a formé plusieurs journalistes et communicateurs qui exercent dans le public comme dans le privé ainsi que dans des organisations internationales.
Le défunt était un visionnaire. Étant à la tête de la RTB, il a apporté de nombreuses innovations. Il a changé le « visage » du journal télévisé avec le changement de présentateurs et de décor.
« Nous avons travaillé ensemble pour apporter beaucoup d'innovations à la Radiotélévision nationale burkinabè (RTB). Un jour, il m'a appelé, il m'a dit que nous allons initier ce qu'on appelle la rentrée télévisuelle. Je lui demande de préciser son idée. Il me dit que nous allons changer la grille de la télévision. Nous allons faire passer de nouveaux présentateurs. Nous allons changer le look du décor de la présentation. Et nous allons réhabiliter les locaux de la RTB parce que lorsqu'il pleuvait, on pataugeait à l'intérieur de la cour. Le pavage de la RTB, les nouveaux bâtiments, c'est Yacouba, C'est son œuvre. Quand il est devenu le directeur général de la RTB, il a changé la rentrée télévisuelle au profit de la rentrée de la RTB pour intégrer la radio. Ce qui nous a permis de mobiliser des fonds pour faire beaucoup de travaux au sein de la RTB, d'acquérir du matériel, de tourner la série Affaires publiques et de lancer le projet de la construction du nouveau siège de la RTB qui est toujours en chantier. Yacouba est un homme d'idées et d'innovations. Il a du génie », a témoigné Alexis Konkobo, ancien collègue du défunt.
Alexis Konkobo ancien collaborateur du défuntSelon Jean-Pierre Ilboudo, également ancien collaborateur du défunt, l'arrivée de Yacouba Traoré à la RTB a apporté un souffle nouveau à la radiotélévision nationale burkinabè en 1985. Parce que ce dernier était dynamique et avait plein d'idées d'innovations.
« J'ai connu Yacouba Traoré en 1985 quand il est rentré à la RTB. Quand il est arrivé à la RTB, cela a apporté un sang neuf. J'ai été surpris quand j'ai appris son décès. Parce qu'il y a un mois, nous avons travaillé sur un projet ensemble. Nous avons écrit un projet pour la création d'un studio-école radio, d'un studio télévision et d'un laboratoire de presse écrite pour la section journalisme pour une université de la place. Il devrait être le professeur principal en journalisme. Yacouba Traoré est un homme talentueux. Je crois que c'est l'un des meilleurs présentateurs de journaux télévisés. Ce que les gens aimaient regarder, c'était le journal qu'il présentait. Il était très modeste et humble. Ce qui lui a permis d'ailleurs de gravir les échelons. Il a vraiment marqué sa génération », a fait savoir M. Ilboudo.
Galib Somé, directeur général de la RTBGalip Somé, le directeur général de la RTB, a salué la mémoire du disparu. Pour lui, l'heure n'est pas aux lamentations. Il pense que Yacouba Traoré a vécu utile. Pour ce faire, il mérite d'être célébré et d'avoir des hommages dignes de ce nom. « C'est une séparation difficile. Yacouba Traoré est un formateur très généreux parce qu'il n'hésitait pas à partager son savoir-faire avec les plus jeunes. Il était très humble. Il était d'une approche facile et toujours à l'écoute des jeunes. Lorsque nous sommes arrivés à la tête de la direction générale, il a été un guide pour nous, un grand conseiller. Il a été à nos côtés dans l'élaboration de pas mal d'outils et dans la formation continue de nos collaborateurs. Aujourd'hui, nous pensons que la meilleure manière de lui rendre hommage, c'est de célébrer sa mémoire, lui dire merci pour tout ce qu'il fait. Lui dire que les conseils qu'il nous a donnés raisonnent toujours dans nos esprits et dans nos cœurs, lui dire que nous allons continuer à travailler à valoriser ce qu'il a inculqué en nous », a dit le directeur général de la RTB.
L'ex-directeur général de la RTB est décédé dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 août dans un hôpital de la capitale.
Rama Diallo
Lefaso.net
Le Directeur Général de la Police Nationale (DGPN), l'Inspecteur Général de Police Thierry Dofizouho TUINA, a effectué, le samedi 16 août 2025, une visite auprès des unités de forces combattantes (GUMI et VDP), engagées sur les théâtres d'opérations de lutte contre le terrorisme et de reconquête du territoire national.
L'objectif de cette visite est d'impulser un management participatif par une proximité du commandement envers les troupes afin d'instaurer des innovations tactiques et opérationnelles.
Accompagné de responsables de services techniques et provinciaux, le DGPN a eu un face-à-face avec les éléments à qui il a adressé ses admirations et reconnaissances pour leur sacrifice et sacerdoce dans leurs missions de sécurisation et de reconquête du territoire national. Il s'est, par la même occasion, imprégné du dispositif sécuritaire en place et des conditions de travail en prêtant une attention particulière aux préoccupations soulevées au cours des interactions avec les combattants.
En retour, le patron de la Police Nationale compte mettre l'accent sur les valeurs d'efficience et d'efficacité opérationnelle pour combler les attentes de ceux qui, dit-il : « sont engagés au prix de leur vie à travers un sacrifice de sang ».
Cette excursion a également été une opportunité de renouveler la confiance avec les autorités administratives et coutumières à travers une visite de courtoisie au cours de laquelle l'accent a été mis sur la coproduction de la sécurité par la résolution concertée des problématiques de sécurité.
Lefaso.net
Source : Page Facebook de la Police nationale