Un incendie meurtrier a ravagé le siège de Telecom Egypt, situé à Ramses Central, en plein centre du Caire, causant la mort de quatre employés et faisant 21 blessés, dans la soirée du lundi 7 juillet 2025, ont rapporté nos confrères de Mada Masr. L'incident a plongé le pays dans une crise de connectivité sans précédent. Entre deuil, perturbations nationales et remise en question des infrastructures, le gouvernement tente de colmater les brèches.
Selon le média égyptien, l'incendie survenu au septième étage de l'immeuble a rapidement touché les équipements critiques de télécommunication, provoquant une panne majeure sur tout le territoire national.
Les conséquences ont été immédiates et multiples à l'instar de coupures de réseau téléphonique, d'accès à Internet, d'interruptions de services bancaires, de perturbation des vols à l'aéroport du Caire et d'indisponibilité des lignes d'urgence. Selon l'observatoire indépendant Netblocks, la connectivité nationale n'atteignait que 62% lundi soir et avait encore chuté à 44% en matinée de ce mardi 8 juillet.
Le ministre des Communications, Amr Talaat, a exprimé ses condoléances aux familles des victimes, tout en assurant que des mesures de redirection du trafic Internet avaient été prises, notamment via le central de Rawda. Il a cependant reconnu que le Ramses Exchange resterait hors service plusieurs jours, appelant à repenser la centralisation du réseau.
Face à la gravité de l'incident, la Bourse égyptienne a suspendu ses activités ce mardi, et le ministère public a ouvert une enquête pour déterminer les causes de l'incendie et vérifier le respect des normes de sécurité. Tandis que les vols ont repris leur cours normal, les critiques fusent sur la dépendance excessive à un seul nœud de connectivité.
La tragédie du Ramses Exchange révèle une faille structurelle dans l'infrastructure numérique du pays. Elle pose avec urgence la question de la redondance et de la résilience du système national face aux risques majeurs.
Hamed Nanéma
Lefaso.net
Source : Mada Masr
The arrival of the F-16s marked a significant step forward in modernizing the 51st Fighter Wing aircraft and strengthening the U.S. Air Force’s regional combat readiness. The 51st Fighter Wing at Osan Air Base, South Korea, recently received upgraded F-16 Fighting Falcons transferred from the 35th Fighter Wing at Misawa Air Base, Japan. The arrival […]
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Les entreprises de presse bénéficiaires du Fonds d'appui à la presse privée (FAPP) exercice 2025 sont entrées en possession de leurs chèques. C'était au cours d'une cérémonie organisée pour l'occasion ce mardi 8 juillet 2025, sous la présidence du ministre de la communication, Gilbert Ouédraogo. Il faut noter que pour cette année, ce sont au total 94 dossiers qui ont été reçus. Après examen par la Commission indépendante de répartition et à la lumière des dispositions de l'arrêté conjoint en vigueur, 70 bénéficiaires ont été retenus, soit 68 dossiers d'entreprises de presse privées et 2 dossiers de structures professionnelles.
Pour l'exercice 2025 du Fonds d'appui à la presse privée, les 70 bénéficiaires vont se partager 320 millions de FCFA. En ce qui concerne la répartition, on note que 42 bénéficiaires de la presse audiovisuelle, dont 6 télévisions et 36 radios, vont se partager 184 223 160 FCFA, fait savoir le directeur général du FAPP, Zita Daniel Bonzi. La presse en ligne s'en sort avec 81 561 378 FCFA à répartir entre 19 bénéficiaires et la presse écrite avec 38 215 461 FCFA pour 7 bénéficiaires. Les structures professionnelles quant à elles reçoivent chacune 6 400 000 FCFA.
Le directeur général du FAPP a salué les efforts financiers déployés par le gouvernement pour allouer la présente cagnotte au profit des médias privés. Celle-ci est passée de 200 millions en 2024 à 320 millions en 2025. « Cette subvention est non seulement un appui institutionnel, mais aussi un levier d'accompagnement à la professionnalisation, à la viabilité économique et à la diversité du secteur médiatique », a souligné Zita Daniel Bonzi.
Zita Daniel Bonzi, directeur général du Fonds d'appui à la presse privéeAfin d'accompagner les entreprises bénéficiaires pour une gestion rigoureuse et conforme des fonds publics qui leur sont confiés, une séance de formation a été organisée plus tôt dans la matinée sur la production des pièces justificatives. Le directeur général du FAPP a invité les bénéficiaires à faire un usage efficace, transparent et responsable de la subvention allouée et à transmettre au FAPP, au plus tard le 31 décembre 2025, un rapport justificatif conforme à la réglementation en vigueur.
Les bénéficiaires, par la voix de Mountamou Kani, rédacteur en chef de L'Express du Faso, traduisent leur reconnaissance au gouvernement qui a une fois de plus honoré son engagement en faveur de la presse privée, malgré un contexte économique difficile. « Cette subvention constitue pour nous, bénéficiaires, une bouffée d'oxygène. Grâce à cet appui, nous pourrons poursuivre nos activités et continuer à assurer notre mission d'information, de sensibilisation, d'éducation citoyenne et de promotion des valeurs républicaines et patriotiques. Bénéficier de cet appui ne saurait être perçu comme un simple soutien financier, mais comme un appel à davantage de professionnalisme, d'éthique et de rigueur dans l'exercice de notre noble mission », a-t-il déclaré.
Pour le représentant des bénéficiaires, Mountamou Kani, cette subvention est une bouffée d'oxygèneMountamou Kani a aussi réaffirmé l'engagement des médias à accompagner les efforts du gouvernement dans la recherche de la paix, de la sécurité et de la restauration de l'intégrité du territoire. Il n'a pas manqué de plaider pour une augmentation significative de l'enveloppe financière allouée aux médias privés et un assouplissement des conditions d'accès, au regard des difficultés économiques persistantes auxquelles ils sont confrontés et de leur engagement à accompagner le peuple burkinabè en quête de stabilité.
Pour le ministre de la communication, Gilbert Ouédraogo, cette subvention accordée à la presse privée ne saurait être perçue comme un privilège ou une faveur. « Elle constitue la contrepartie de l'État à votre engagement à soutenir la dynamique de sécurisation de notre territoire et de reconquête de notre souveraineté », a-t-il soutenu.
Le ministre de la communication a ajouté que les attentes du peuple burkinabè à l'égard de sa presse sont immenses : une presse professionnelle, capable d'un traitement responsable des questions de sécurité, de gouvernance et de cohésion sociale. « C'est pourquoi j'en appelle à un usage transparent, rigoureux et responsable des ressources allouées. Ces fonds publics doivent être utilisés conformément à leur vocation première, à savoir moderniser les outils de production, renforcer les compétences des professionnels, produire des contenus de qualité, développer des projets éditoriaux innovants et soutenir la mise en œuvre des politiques publiques de développement », a insisté le ministre de la communication.
Il a indiqué que le gouvernement restera engagé à poursuivre son accompagnement, afin de rendre l'écosystème médiatique plus résilient, plus viable économiquement et plus compétitif.
Armelle Ouédraogo
Lefaso.net
Les entreprises de presse bénéficiaires du Fonds d'appui à la presse privée (FAPP) exercice 2025 sont entrées en possession de leurs chèques. C'était au cours d'une cérémonie organisée pour l'occasion ce mardi 8 juillet 2025, sous la présidence du ministre de la communication, Gilbert Ouédraogo. Il faut noter que pour cette année, ce sont au total 94 dossiers qui ont été reçus. Après examen par la Commission indépendante de répartition et à la lumière des dispositions de l'arrêté conjoint en vigueur, 70 bénéficiaires ont été retenus, soit 68 dossiers d'entreprises de presse privées et 2 dossiers de structures professionnelles.
Pour l'exercice 2025 du Fonds d'appui à la presse privée, les 70 bénéficiaires vont se partager 320 millions de FCFA. En ce qui concerne la répartition, on note que 42 bénéficiaires de la presse audiovisuelle, dont 6 télévisions et 36 radios, vont se partager 184 223 160 FCFA, fait savoir le directeur général du FAPP, Zita Daniel Bonzi. La presse en ligne s'en sort avec 81 561 378 FCFA à répartir entre 19 bénéficiaires et la presse écrite avec 38 215 461 FCFA pour 7 bénéficiaires. Les structures professionnelles quant à elles reçoivent chacune 6 400 000 FCFA.
Le directeur général du FAPP a salué les efforts financiers déployés par le gouvernement pour allouer la présente cagnotte au profit des médias privés. Celle-ci est passée de 200 millions en 2024 à 320 millions en 2025. « Cette subvention est non seulement un appui institutionnel, mais aussi un levier d'accompagnement à la professionnalisation, à la viabilité économique et à la diversité du secteur médiatique », a souligné Zita Daniel Bonzi.
Zita Daniel Bonzi, directeur général du Fonds d'appui à la presse privéeAfin d'accompagner les entreprises bénéficiaires pour une gestion rigoureuse et conforme des fonds publics qui leur sont confiés, une séance de formation a été organisée plus tôt dans la matinée sur la production des pièces justificatives. Le directeur général du FAPP a invité les bénéficiaires à faire un usage efficace, transparent et responsable de la subvention allouée et à transmettre au FAPP, au plus tard le 31 décembre 2025, un rapport justificatif conforme à la réglementation en vigueur.
Les bénéficiaires, par la voix de Mountamou Kani, rédacteur en chef de L'Express du Faso, traduisent leur reconnaissance au gouvernement qui a une fois de plus honoré son engagement en faveur de la presse privée, malgré un contexte économique difficile. « Cette subvention constitue pour nous, bénéficiaires, une bouffée d'oxygène. Grâce à cet appui, nous pourrons poursuivre nos activités et continuer à assurer notre mission d'information, de sensibilisation, d'éducation citoyenne et de promotion des valeurs républicaines et patriotiques. Bénéficier de cet appui ne saurait être perçu comme un simple soutien financier, mais comme un appel à davantage de professionnalisme, d'éthique et de rigueur dans l'exercice de notre noble mission », a-t-il déclaré.
Pour le représentant des bénéficiaires, Mountamou Kani, cette subvention est une bouffée d'oxygèneMountamou Kani a aussi réaffirmé l'engagement des médias à accompagner les efforts du gouvernement dans la recherche de la paix, de la sécurité et de la restauration de l'intégrité du territoire. Il n'a pas manqué de plaider pour une augmentation significative de l'enveloppe financière allouée aux médias privés et un assouplissement des conditions d'accès, au regard des difficultés économiques persistantes auxquelles ils sont confrontés et de leur engagement à accompagner le peuple burkinabè en quête de stabilité.
Pour le ministre de la communication, Gilbert Ouédraogo, cette subvention accordée à la presse privée ne saurait être perçue comme un privilège ou une faveur. « Elle constitue la contrepartie de l'État à votre engagement à soutenir la dynamique de sécurisation de notre territoire et de reconquête de notre souveraineté », a-t-il soutenu.
Le ministre de la communication a ajouté que les attentes du peuple burkinabè à l'égard de sa presse sont immenses : une presse professionnelle, capable d'un traitement responsable des questions de sécurité, de gouvernance et de cohésion sociale. « C'est pourquoi j'en appelle à un usage transparent, rigoureux et responsable des ressources allouées. Ces fonds publics doivent être utilisés conformément à leur vocation première, à savoir moderniser les outils de production, renforcer les compétences des professionnels, produire des contenus de qualité, développer des projets éditoriaux innovants et soutenir la mise en œuvre des politiques publiques de développement », a insisté le ministre de la communication.
Il a indiqué que le gouvernement restera engagé à poursuivre son accompagnement, afin de rendre l'écosystème médiatique plus résilient, plus viable économiquement et plus compétitif.
Armelle Ouédraogo
Lefaso.net
La grande famille BASSOLE à Réo,
La famille de Feu Bassolé Bassana à Koudougou
Les grandes familles Bassolé à Ouagadougou, Bobo Dioulasso, France, et aux Etats Unis
Les grandes Familles BAMOUNI, BADO, BASSILA, BAZIE à Tialgo, Ténado
La grande Famille YAMEOGO à Koudougou Issouka
Les Familles alliées YONLI, BARRO, TRAORE, BAKO, BAZIE
Le Doyen Bruno BASSOLE et ses oncles, frères, neveux à Ouagadougou
La fraternité SOLEIBA
La veuve
BASSOLE née YAMEOGO Félicité
Assistante sociale à la retraite
Les enfants
BASSOLE Zouadié Eliane Florine, médecin pédiatre à la Direction de la Santé de la Famille
BASSOLE Aucapordin Georges Roland Sylvain, Ingénieur en télécommunication à Lyon
BASSOLE Itouaboula Anges Wilfried Cyriaque, Technicien en agronomie au Etats Unis
Les petits enfants
Nael, Joris, Maeva, Jade et Merveille Divine
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur frère, époux, père, grand père
Monsieur BASSOLE Igounezi dit Bazombié Nestor
Chevalier de l'ordre national
Précédemment administrateur financier à la retraite.
Ex Directeur Général de la CARFO
Décès survenu le dimanche 06 Juillet 2025 au Centre Hospitalier Universitaire de Bogodogo de suite de courte maladie
Programme des obsèques
Mercredi 9 Juillet 2025
16H : levée du corps à la morgue de l'Hôpital de Bogodogo
A partir de 16H30 : Hommage et recueillement au domicile du défunt à Nagrin
20H : veillée de prière à son domicile
Jeudi 10 Juillet 2025
9H : messe d'absoute tenant lieu de funérailles chrétienne à l'Eglise Saint Marc de Nagrin
11H : Inhumation à son domicile à Nagrin
Dimanche 13 Juillet 2025
7H : première messe de requiem à la CCB Saint Vincent de Paul à Nagrin
« J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé ma course, j'ai gardé la foi. » 2 Timothée 4 :7
76 ans. (11 Aout 1949 – 06 Juillet 2025)
La grande famille BASSOLE à Réo,
La famille de Feu Bassolé Bassana à Koudougou
Les grandes familles Bassolé à Ouagadougou, Bobo Dioulasso, France, et aux Etats Unis
Les grandes Familles BAMOUNI, BADO, BASSILA, BAZIE à Tialgo, Ténado
La grande Famille YAMEOGO à Koudougou Issouka
Les Familles alliées YONLI, BARRO, TRAORE, BAKO, BAZIE
Le Doyen Bruno BASSOLE et ses oncles, frères, neveux à Ouagadougou
La fraternité SOLEIBA
La veuve
BASSOLE née YAMEOGO Félicité
Assistante sociale à la retraite
Les enfants
BASSOLE Zouadié Eliane Florine, médecin pédiatre à la Direction de la Santé de la Famille
BASSOLE Aucapordin Georges Roland Sylvain, Ingénieur en télécommunication à Lyon
BASSOLE Itouaboula Anges Wilfried Cyriaque, Technicien en agronomie au Etats Unis
Les petits enfants
Nael, Joris, Maeva, Jade et Merveille Divine
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur frère, époux, père, grand père
Monsieur BASSOLE Igounezi dit Bazombié Nestor
Chevalier de l'ordre national
Précédemment administrateur financier à la retraite.
Ex Directeur Général de la CARFO
Décès survenu le dimanche 06 Juillet 2025 au Centre Hospitalier Universitaire de Bogodogo de suite de courte maladie
Programme des obsèques
Mercredi 9 Juillet 2025
16H : levée du corps à la morgue de l'Hôpital de Bogodogo
A partir de 16H30 : Hommage et recueillement au domicile du défunt à Nagrin
20H : veillée de prière à son domicile
Jeudi 10 Juillet 2025
9H : messe d'absoute tenant lieu de funérailles chrétienne à l'Eglise Saint Marc de Nagrin
11H : Inhumation à son domicile à Nagrin
Dimanche 13 Juillet 2025
7H : première messe de requiem à la CCB Saint Vincent de Paul à Nagrin
« J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé ma course, j'ai gardé la foi. » 2 Timothée 4 :7
76 ans. (11 Aout 1949 – 06 Juillet 2025)
Les grandes familles NABIA à Kabourou, Orodara Ouagadougou et Tunisie, YARO à Bandio, Pâ, Bobo-Dioulasso, Ouagadougou et alliées,
Très touchées par les prières, les marques de réconfort et les soutiens multiformes que vous leur avez témoignés lors du décès de leur épouse, fille, sœur, belle-sœur, mère et grand-mère :
N'Yidémou Denise NABIA née YARO,
Rappelée à Dieu le 11 mai 2025 à l'âge de 57 ans et inhumée le lendemain 12 mai 2025 à Kabourou,
expriment leurs sincères remerciements et profonde gratitude à tous ceux qui, de près ou de loin, les ont assistés durant ces moments douloureux.
Elles se gardent de citer des noms de peur d'en oublier et prient que Dieu le très miséricordieux reçoive l'âme de la défunte dans sa demeure et récompense chacun au centuple de ses bienfaits.
"Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu'il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts" 1 Thessaloniciens 4:14
Union de prières
Les grandes familles NABIA à Kabourou, Orodara Ouagadougou et Tunisie, YARO à Bandio, Pâ, Bobo-Dioulasso, Ouagadougou et alliées,
Très touchées par les prières, les marques de réconfort et les soutiens multiformes que vous leur avez témoignés lors du décès de leur épouse, fille, sœur, belle-sœur, mère et grand-mère :
N'Yidémou Denise NABIA née YARO,
Rappelée à Dieu le 11 mai 2025 à l'âge de 57 ans et inhumée le lendemain 12 mai 2025 à Kabourou,
expriment leurs sincères remerciements et profonde gratitude à tous ceux qui, de près ou de loin, les ont assistés durant ces moments douloureux.
Elles se gardent de citer des noms de peur d'en oublier et prient que Dieu le très miséricordieux reçoive l'âme de la défunte dans sa demeure et récompense chacun au centuple de ses bienfaits.
"Car, si nous croyons que Jésus est mort et qu'il est ressuscité, croyons aussi que Dieu ramènera par Jésus et avec lui ceux qui sont morts" 1 Thessaloniciens 4:14
Union de prières
Son Excellence Le OUIDI NAABA KIIBA et ses notables à Ouidi, Ouagadougou ;
La famille de feu Le Baloum Naaba Kiiba à Ouidi, Ouagadougou ;
Les grandes familles ILBOUDO et OUEDRAOGO à Ouidi , Ouagadougou ;
Les enfants : Moussa, Marie, Suzanne, et Pierre à Ouagadougou ;
Les petits fils ;
La belle famille : KABORE à Sambtenga ;
Les familles alliées : TRAORE, KABORE, OUEDRAOGO et KONSIMBO à Banfora, Zorgho et Zitinga.
Ont le regret de vous annoncer le décès de leur mère, grand-mère et épouse ILBOUDO née KABORE Nabyoure Pauline.
Décès survenu le mardi 8 juillet 2025 à l'hôpital Yalgado de suite de maladie.
Le programme des obsèques se présente comme suit :
Mercredi 9 juillet 2025
20h30 veillée de prière à son domicile Ouidi
Jeudi 10 juillet
7h00 levée du corps à la morgue de l'hôpital yalgado pour le domicile à Ouidi
9h00 absoute à l'église notre dame de Kologh Naaba suivi de l'inhumation au cimetière route de Kamboinsin.
« Je ne meurs pas, j'entre dans la vie »
Sainte Thérèse de l'enfant Jésus
UNION DE PRIERES !
Son Excellence Le OUIDI NAABA KIIBA et ses notables à Ouidi, Ouagadougou ;
La famille de feu Le Baloum Naaba Kiiba à Ouidi, Ouagadougou ;
Les grandes familles ILBOUDO et OUEDRAOGO à Ouidi , Ouagadougou ;
Les enfants : Moussa, Marie, Suzanne, et Pierre à Ouagadougou ;
Les petits fils ;
La belle famille : KABORE à Sambtenga ;
Les familles alliées : TRAORE, KABORE, OUEDRAOGO et KONSIMBO à Banfora, Zorgho et Zitinga.
Ont le regret de vous annoncer le décès de leur mère, grand-mère et épouse ILBOUDO née KABORE Nabyoure Pauline.
Décès survenu le mardi 8 juillet 2025 à l'hôpital Yalgado de suite de maladie.
Le programme des obsèques se présente comme suit :
Mercredi 9 juillet 2025
20h30 veillée de prière à son domicile Ouidi
Jeudi 10 juillet
7h00 levée du corps à la morgue de l'hôpital yalgado pour le domicile à Ouidi
9h00 absoute à l'église notre dame de Kologh Naaba suivi de l'inhumation au cimetière route de Kamboinsin.
« Je ne meurs pas, j'entre dans la vie »
Sainte Thérèse de l'enfant Jésus
UNION DE PRIERES !
Le lundi 7 juillet les épreuves écrites du second tour du baccalauréat 2025 ont officiellement débuté à travers tout le Burkina Faso. À Gaoua, dans la région du Djôrô, une délégation ministérielle composé du ministre en charge de l'enseignement secondaire et de la formation professionnelle, Boubacar Savadogo et de celui en charge des sports, Roland Somda s'est rendue dans deux centres d'examen pour s'assurer du bon déroulement des épreuves et encourager les candidats.
Au centre d'examen du lycée provincial Bafuji de Gaoua, Boubacar Savadogo, chef du département de l'Enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique et Roland Somda en charge de la jeunesse et de l'emploi, sont venus témoigner leur soutien aux candidats du baccalauréat. Une présence à forte portée symbolique pour ces futurs bacheliers. « C'est un honneur de recevoir les ministres. Nous avons bénéficié de leurs conseils, et c'est un bon encouragement pour la suite. Ils nous ont dit de rester sereins face aux sujets qui sont à notre portée », confie un candidat en série D, Bachir Khalid Igo.
Après le lancement de la première épreuve de l'examen, la mission gouvernementale s'est entretenue avec les membres du centre du lycée municipal. Le sujet des échanges : encouragements des acteurs du baccalauréat pour les résultats. « Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré veut que notre pays soit à la hauteur de la science. Et pour cela, l'enseignement scientifique, technologique est beaucoup encouragé. Et nous avons constaté ici dans un jury ou il y a la série C, et sur 32 candidats présentés, 29 sont admis au premier tour et les 3 autres sont au second tour. Cela veut dire que ce message est très bien compris ».
Dans la région du Djoro, les membres du gouvernement sont venus également porter aux populations un message sur l'immersion patriotique des nouveaux bacheliers. « Cette initiative va permettre à tous les admis au baccalauréat d'avoir un mois d'immersion patriotique. Et au cours de cette immersion, ils vont bénéficier de six modules sur le patriotisme, sur l'histoire de notre pays, la géopolitique internationale, l'entreprenariat, et la citoyenneté. C'est pour les préparer aux modèles de jeunes que le Burkina Faso veut avoir dans les années futures. À la fin des 30 jours de l'immersion patriotique, il y aura une évaluation qui va être sanctionnée par une attestation. Et cette attestation va être une des pièces des dossiers d'inscription dans les universités privées et publiques du Burkina » explique Boubacar Savadogo, ministre de l'enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique.
Sur un total de 3 569 candidats dans la région du Djoro, 1 411 sont admis au premier tour, soit un taux de succès de 39,53%. 968 candidats prennent part à ces épreuves du second tour. Les résultats devraient être disponibles au plus tard le jeudi 10 juillet 2025.
Boubacar Tarnagda
Gaoua
Lefaso.net
Le lundi 7 juillet les épreuves écrites du second tour du baccalauréat 2025 ont officiellement débuté à travers tout le Burkina Faso. À Gaoua, dans la région du Djôrô, une délégation ministérielle composé du ministre en charge de l'enseignement secondaire et de la formation professionnelle, Boubacar Savadogo et de celui en charge des sports, Roland Somda s'est rendue dans deux centres d'examen pour s'assurer du bon déroulement des épreuves et encourager les candidats.
Au centre d'examen du lycée provincial Bafuji de Gaoua, Boubacar Savadogo, chef du département de l'Enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique et Roland Somda en charge de la jeunesse et de l'emploi, sont venus témoigner leur soutien aux candidats du baccalauréat. Une présence à forte portée symbolique pour ces futurs bacheliers. « C'est un honneur de recevoir les ministres. Nous avons bénéficié de leurs conseils, et c'est un bon encouragement pour la suite. Ils nous ont dit de rester sereins face aux sujets qui sont à notre portée », confie un candidat en série D, Bachir Khalid Igo.
Après le lancement de la première épreuve de l'examen, la mission gouvernementale s'est entretenue avec les membres du centre du lycée municipal. Le sujet des échanges : encouragements des acteurs du baccalauréat pour les résultats. « Le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré veut que notre pays soit à la hauteur de la science. Et pour cela, l'enseignement scientifique, technologique est beaucoup encouragé. Et nous avons constaté ici dans un jury ou il y a la série C, et sur 32 candidats présentés, 29 sont admis au premier tour et les 3 autres sont au second tour. Cela veut dire que ce message est très bien compris ».
Dans la région du Djoro, les membres du gouvernement sont venus également porter aux populations un message sur l'immersion patriotique des nouveaux bacheliers. « Cette initiative va permettre à tous les admis au baccalauréat d'avoir un mois d'immersion patriotique. Et au cours de cette immersion, ils vont bénéficier de six modules sur le patriotisme, sur l'histoire de notre pays, la géopolitique internationale, l'entreprenariat, et la citoyenneté. C'est pour les préparer aux modèles de jeunes que le Burkina Faso veut avoir dans les années futures. À la fin des 30 jours de l'immersion patriotique, il y aura une évaluation qui va être sanctionnée par une attestation. Et cette attestation va être une des pièces des dossiers d'inscription dans les universités privées et publiques du Burkina » explique Boubacar Savadogo, ministre de l'enseignement secondaire, de la formation professionnelle et technique.
Sur un total de 3 569 candidats dans la région du Djoro, 1 411 sont admis au premier tour, soit un taux de succès de 39,53%. 968 candidats prennent part à ces épreuves du second tour. Les résultats devraient être disponibles au plus tard le jeudi 10 juillet 2025.
Boubacar Tarnagda
Gaoua
Lefaso.net
L’une des solutions pour contrer des drones FPV [First Person View – pilotage en immersion] dotés d’une charge explosive repose sur des moyens de guerre électronique, l’idée étant de brouiller leur réception des signaux de géolocalisation par satellite [GPS] et/ou de couper la liaison avec leurs opérateurs. Seulement, cette parade ne fonctionne pas à tous...
Cet article L’Ukraine a mis au point une munition de 5,56 mm pour neutraliser les drones FPV avec un fusil d’assaut est apparu en premier sur Zone Militaire.
Quelques heures seulement après sa révocation, l'ancien ministre russe des Transports, Roman Starovoit, a été retrouvé mort dans sa voiture le lundi 7 juillet 2025. Les enquêteurs privilégient la thèse du suicide.
Selon nos confrères du média russe TASS, Roman Starovoit, récemment limogé de son poste de ministre des Transports, a été retrouvé mort dans son véhicule personnel à Odintsovo, près de Moscou. « L'ancien ministre des transports de Russie Roman Starovoit s'est suicidé dans sa voiture personnelle à Odintsovo, dans la région de Moscou », a déclaré la porte-parole officielle du comité d'enquête russe Svetlana Petrenko.
Elle a indiqué que les premiers éléments de l'enquête pointent vers un suicide, bien que les circonstances exactes fassent encore l'objet d'investigations approfondies. Roman Starovoit avait été démis de ses fonctions dans la matinée du jour de sa mort par un décret présidentiel, après un an à la tête du ministère.
Lefaso.net
Source : TASS
Quelques heures seulement après sa révocation, l'ancien ministre russe des Transports, Roman Starovoit, a été retrouvé mort dans sa voiture le lundi 7 juillet 2025. Les enquêteurs privilégient la thèse du suicide.
Selon nos confrères du média russe TASS, Roman Starovoit, récemment limogé de son poste de ministre des Transports, a été retrouvé mort dans son véhicule personnel à Odintsovo, près de Moscou. « L'ancien ministre des transports de Russie Roman Starovoit s'est suicidé dans sa voiture personnelle à Odintsovo, dans la région de Moscou », a déclaré la porte-parole officielle du comité d'enquête russe Svetlana Petrenko.
Elle a indiqué que les premiers éléments de l'enquête pointent vers un suicide, bien que les circonstances exactes fassent encore l'objet d'investigations approfondies. Roman Starovoit avait été démis de ses fonctions dans la matinée du jour de sa mort par un décret présidentiel, après un an à la tête du ministère.
Lefaso.net
Source : TASS
Étudiante en master de management qualité, sécurité et environnement, Leslie Yanogo est bien plus qu'une universitaire. Derrière cette casquette se cache une entrepreneure qui a choisi de transformer ses frustrations en opportunités. À travers sa marque capillaire « Mefy », 100 % made in Burkina, elle veut changer les habitudes capillaires et valoriser les ressources locales.
Étudiante en master de management qualité, sécurité et environnement, Leslie Yanogo est bien plus qu'une universitaire. Derrière cette casquette se cache une entrepreneure qui a choisi de transformer ses frustrations en opportunités. À travers sa marque capillaire « Mefy », 100 % made in Burkina, elle veut changer les habitudes capillaires et valoriser les ressources locales.
Pour produire l’avion de combat EF2000/Typhoon, le consortium Eurofighter, constitué par BAE Systems, Airbus et Leonardo, dispose de quatre chaînes d’assemblage final implantée à Warton [Royaume-Uni], à Manching [Allemagne], à Getafe [Espagne] et à Caselle [Italie]. Si, en décembre dernier, le Qatar a fait connaître son intention d’acquérir douze appareils de plus, en complément d’un...
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