Diplomacy & Crisis News

Meet Chen Miner, the man who has been getting groomed to run China — without anyone in the West seeming to notice.

Roadside bomb attacks are falling overall, except in Afghanistan.

The attorney general is aware of the threat Moscow poses to American elections — he just hasn’t done anything about it.

Trump does not appear to understand military service

The U.S. military’s way of operating in Afghanistan is a recipe for failure.

A Bangor police dog takes the podium.

Congress would be right to reform FISA.

A brave new book describes how Pakistan unraveled — and provides a blueprint for understanding declining pluralism across the Middle East.

Le récent trentenaire de mai 68 a donné lieu a d'assez consternantes autocélébrations. Bien installés dans le confort mou de leur respectabilité actuelle, quelques anciennes « gloires » du mouvement ont parlé de Mai comme d'un passé à tout jamais englouti par l'histoire. Tout en exaltant la révolte (...) / Idées, Mai 1968 - 1998/08

CIA on Russia, Iran and al Qaeda and the weekly wrap.

Shipan Kumer Basu with Israeli diplomat Mendi Safadi

In recent times, the Bangladeshi Hindu community has been persecuted immensely by the Awami League government. Due to this horrendous oppression experienced by the Bangladeshi Hindu community, Shipan Kumar Basu, the head of the Hindu Struggle Committee, seeks to topple the Awami League government and has asked for Israeli assistance in doing this: “We will establish diplomatic relations with Israel if they will help us topple the Bangladeshi government. Israel will then be able to establish business ties with Bangladesh. Israel has nothing to lose and on the other hand, there will be another friend.”

Basu claims that there is grounds to overthrow the Awami League government since the removal of the Hindu Chief Justice was unconstitutional, a move that is presently being challenged in court: “Recently, the Hindu community has faced many atrocities committed by the ruling party and their personnel. A young Hindu college boy was kidnapped and his body was found in the main office of the ruling party. A Hindu teacher was raped in front of her husband at work. Her husband, who came to see her at the school, was severely beaten up and locked in a different room. There have been numerous incidents like this in our country after the constitutional amendment crisis.”

The constitutional amendment crisis began when the ruling party in Bangladesh sought to impose the 16th amendment, which the Bangladeshi Chief Justice considered unconstitutional. The 16th amendment empowers the parliament to remove Supreme Court justices if allegations of incapability and misconduct are proven to be true. The Bangladeshi Chief justice believed that an independent judicial body and not the parliament should determine whether allegations of incapability and misconduct are proven to be true since the sham elections of 2014 illustrated that the parliament was not an impartial democratic body.

The ruling Awami League Party was furious with the Chief Justice for this ruling. Since they appointed him, they expected him to be on their side rather than to be an impartial judge. Since then Bangladeshi Chief Justice Surendra Kumer Sinha was Hindu, the entire Hindu community within Bangladesh has been targeted. According to Basu, “The hatred within the Awami League Party against Hindus has risen to new dimensions. As long as the Hindus followed the Awami League like slaves, they were given the status of being second class citizens within the country. Now, when the Hindus have risen up and spoken against the Awami league Party, they have become wild and ferocious against the Hindus and have started to crush them with their feet.”

“An Awami League leader recently threatened in a public rally that if the Hindus don’t vote for him, he will kill all of the Hindus,” Basu related. “Silence is not a solution for this situation. The Hindus are in real trouble in Bangladesh and if drastic action is not taken immediately, all of the Hindus will be compelled to flee to India. The State of Israel has stood up for the minorities of the world that are in distress. In our hour of need, I invite the State of Israel to solemnly stand by the neglected and tortured Hindus of Bangladesh, so they can be relieved of the suppression, torture and crisis they endure in their own country.”

The post Bangladeshi Hindu activist: Let’s establish diplomatic relations with Israel appeared first on Foreign Policy Blogs.

Nous vous invitons à relire le dossier « Kurdistan(s) » publié dans le numéro d’été 2014 (PE n° 2/2014) qui éclaire avec recul la complexe problématique kurde, au moment où celle-ci se pose de façon de plus en plus précise.

Relisez notamment :

• « Introduction : le moment kurde » par Dorothée Schmid

« […] Victimes de l’histoire, ou d’eux-mêmes ? La vitalité de la poussée identitaire kurde attire aujourd’hui l’attention sur une diversité qui, en réalité, a toujours été porteuse de divisions. […] La projection d’une identité kurde commune doit beaucoup au travail de leur diaspora européenne, longtemps structurée autour du noyau des Kurdes de Turquie, majoritaires. Les dynamiques politiques aujourd’hui à l’oeuvre sur les terres d’origine des Kurdes posent à terme l’inévitable question de l’organisation politique globale et du leadership de la communauté. Reste à comprendre si les Kurdes souhaitent aujourd’hui avoir leur propre État, ou s’ils veulent plutôt trouver avec les États existants des arrangements politiques et sociaux viables, permettant de dépasser définitivement le négationnisme identitaire pratiqué jusqu’ici. »

• « Les Kurdes et l’option étatique » par Hamit Bozarslan

« En Irak, les Kurdes disposent d’un quasi-État. La guerre civile syrienne a pour résultat d’autonomiser les Kurdes du pays. La politique ambiguë de l’AKP dégage au profit des Kurdes un nouvel espace politique en Turquie. Ce développement d’entités s’approchant de structures étatiques ne conduit cependant pas à la constitution d’un espace politique unique. Il demeure fragile, et divise les Kurdes en espaces séparés, autant qu’il les réunit dans une aspiration politique commune. […] »

• « L’introuvable frontière du Kurdistan d’Irak » par Cyril Roussel

« Depuis 1991, les partis kurdes dominent et administrent le « Kurdistan irakien ». Cette autonomie pose à Bagdad de multiples problèmes, dont celui du partage des rôles pour l’exploitation et la commercialisation pétrolières. Surtout, les limites de ce Kurdistan, géré comme un État, sont incertaines. Dans les espaces contestés s’opposent les logiques communautaires et les découpages administratifs : les frontières militaires, administratives, de fait et de droit, ne correspondent pas. »

 

S’abonner à Politique étrangère

A new survey shows a country with a constrained but active body politic, contrary to plenty of D.C. conventional wisdom.

From the ashes of the country’s deadliest terrorist attack, lasting peace seems a long way off.

The "sacred trust" between military families and the commander in chief provides secure ground

Conversations with Israelis these days tend to end up in one place: casus belli.

« Le monde doit composer avec une administration américaine devenue nihiliste»
Paru dans LeMonde
En lançant son offensive contre l’accord avec l’Iran, Donald Trump aggrave la méfiance internationale à l’égard de l’Amérique et entraîne un risque de prolifération au Proche-Orient, déplore le politiste Frédéric Charillon dans une tribune au « Monde ».LE MONDE | 14.10.2017 à 10h31 • Mis à jour le 16.10.2017 à 09h29 | Par Frédéric Charillon (professeur des universités en science politique)



Tribune. 
Le comportement de Donald Trump à l’international semble obéir à des logiques désormais identifiées : s’en prendre systématiquement aux accords forgés par son prédécesseur (forcément « les pires » qui soient) ; adopter une posture belliqueuse face aux adversaires consacrés tout en ménageant d’autres régimes autoritaires ; rejeter ce qui a fait l’ancrage de l’Amérique au cœur de l’international (multilatéralisme, libre-échange…), pour flatter le segment de l’opinion américaine le moins internationalisé.L’offensive contre l’accord du 14 juillet 2015 s’inscrit dans la logique de nombreux épisodes : critiques contre l’OTAN, remise en cause de l’accord de libre-échange nord-américain (Aléna), rejet du traité transpacifique, sortie de l’accord de Paris sur le climat, fin du rapprochement avec Cuba, menaces contre le Venezuela et la Corée du Nord, retrait de l’Unesco au nom d’un soutien à Israël… C’est donc sans surprise que le président américain renoue avec la diatribe, et la stigmatisation de l’Iran – « dictatorial », « principal parrain du terrorisme dans le monde ». Sans surprise qu’il persiste dans la logique du retrait et du cavalier seul.
Trois types de dégâts sont à attendre : une méfiance accrue vis-à-vis de l’Amérique à l’échelle globale ; un désarroi européen encore aggravé ; un Proche-Orient victime des signaux politiques dangereux envoyés par Washington. 
Jadis partisans d’une stabilité hégémonique assurée par eux-mêmes, les Etats-Unis se considèrent désormais comme une citadelle assiégée dans un monde à l’état de nature. En conséquence, on ne discute plus : on se barricade et on menace. On ne travaille plus à forger des accords, on les rejette. On ne croit plus aux biens communs ni au multilatéralisme, mais au chacun pour soi. C’est toute une panoplie d’outils de la domination américaine dans les dernières décennies qui se voit ainsi balayée.
Travail de sape

Devant ce tableau,
Lire la suite sur dans Le Monde

The GOP has stopped resisting President Trump and started accelerating his race to the bottom.

Vladimir Putin is fond of claiming that demographics are destiny – which may be why he’s so angry about his country’s financial straitjacket.

SitRep: U.S. warships ready near Korea; Deadly new Taliban offensive