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Défense

La fin programmé du béret rouge

Blog Secret Défense - Wed, 01/04/2015 - 16:17
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Crimée : une bien étrange médaille commémorative

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Tue, 31/03/2015 - 13:57
Pourquoi donc une médaille russe célèbre-t-elle le début des opérations militaires de Moscou en Crimée, une semaine avant leur début effectif ?
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Effectifs militaires : quand ça baisse moins, est-ce que ça augmente plus ?

Blog Secret Défense - Tue, 31/03/2015 - 10:55
Pour remplir les nouvelles missions de sécurité intérieure, la non-réduction pourrait atteindre 13000 à 18000 postes. Décisions avant juin.
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En 1944, des gendarmes ont fusillé des résistants

Blog Secret Défense - Mon, 30/03/2015 - 11:59
Les historiens de la Gendarmerie font la lumière sur cette page noire de l'Arme.
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Sahel : les coups de râteau de l'armée française

Blog Secret Défense - Mon, 30/03/2015 - 10:48
Retour sur les dernières actions de l'opération Barkhane
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Les journalistes de défense ont un nouveau président

Blog Secret Défense - Sat, 28/03/2015 - 12:19
Bruno Besson, de la Nouvelle République du Centre-Ouest, a été élu à la tête de l'AJD.
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Narcotrafiquants interceptés par le Germinal

MARTOLOD (Blog d'information marine) - Fri, 27/03/2015 - 10:59
Cent vingt-quatre kilos de drogue et sept présumés narcotrafiquants interceptés par la frégate de surveillance Germinal.

Le samedi 21 mars 2015, un avion de surveillance maritime C26 du Regional Security System (RSS) basé à la Barbade, détecte et piste un Go Fast au comportement suspect. À une cinquantaine de nautiques à l’ouest de la Barbade, la frégate de surveillance Germinal prend en chasse le Go Fast qui rejette à la mer des ballots de drogue avant d’être arrêté.

Pris en chasse par la frégate de surveillance Germinal à une cinquantaine de nautiques à l’ouest de la Barbade, le Go Fast rejette à la mer des ballots de drogue avant d’être arrêté. Environ 184 kilogrammes de cocaïne et 33 kilogrammes de  marijuana sont récupérés par le Germinal et remis aux enquêteurs de l’antenne Caraïbes de l’Office Central pour la Répression du Trafic Illicite de Stupéfiants (OCRTIS) pour destruction. Les sept présumés narcotrafiquants sont placés en garde à vue dans le cadre de l’enquête judiciaire sous l’autorité du procureur de la république.
Cette opération porte le bilan de ce début d’année 2015 à plus d’une 1,2 tonnes de drogue saisie en mer par l’action conjointe des services de l’État français dans la zone Antilles-Guyane.
Agissant dans le cadre de l’Action de l’État en mer, la marine française aux Antilles opère régulièrement avec ses partenaires étrangers de la Caraïbe, pour réprimer les trafics de drogue en haute mer, c’est-à-dire avec les forces maritimes des Antilles néerlandaises, la force navale déployée périodiquement par le Royaume Uni, l’US Navy et les Coast Guards américains. Ces opérations sont placées sous l’autorité du préfet de la Martinique, délégué du gouvernement pour l’action de l’État en mer aux Antilles et conduite depuis le centre opérationnel interarmées implanté à Fort de France par le contre-amiral Georges Bosselut, commandant supérieur des forces armées aux Antilles. Au titre de la coopération régionale, les États caribéens ont également mis sur pied une surveillance par avion de patrouille maritime C26, basé à La Barbade. Cette action a pris dans la Caraïbe une dimension géopolitique en raison de son impact sur l’économie mondiale et des liens entretenus par le grand trafic de drogue avec le financement du crime organisé et du terrorisme.

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Intervention au Vanuatu

MARTOLOD (Blog d'information marine) - Wed, 25/03/2015 - 13:56
Les Forces Armées en Nouvelle-Calédonie interviennent au profit de l’archipel de Vanuatu après le passage du cyclone Pam.

L’ensemble des moyens navals français disponibles à Nouméa ont été mobilisés au profit de l’archipel de Vanuatu, dans le Pacifique sud, sinistré suite au passage du cyclone tropical Pam, l’un des pires de l’histoire du Pacifique. La Marine nationale a dépêché le patrouilleur P400 La Glorieuse en assistance de la frégate de surveillance Vendémiaire déployée au large de l’île d’Erromango.

L’archipel du Vanuatu a été frappé le vendredi 13 mars 2015 au soir par un cyclone dévastateur. Les dégâts matériels sont considérables. Près de 85% des habitations de la capitale ont été endommagées par des vents de 320 km/h. Le Vanuatu est l’un des pays les plus pauvres dans le monde.
Le lundi 16 mars, les Forces Armées en Nouvelle-Calédonie (FANC) en liaison avec le haut-commissariat de République et l’Ambassade de France au Vanuatu ont conduit une mission de reconnaissance aérienne au profit des sinistrés. Un Gardian du détachement de la flottille 25F a effectué cette reconnaissance dans les iles du Sud de l’archipel au niveau des iles de Tanna et de Erromango, deux îles du sud de l’archipel du Vanuatu particulièrement touchées par le cyclone. Le dimanche 15 mars, un appareil a rallié l’archipel depuis la Nouvelle-Calédonie afin d’y apporter du matériel et une équipe d’évaluation des dégâts. Le lundi 16 mars, la France affrète un avion militaire avec de l’aide humanitaire et évacue six Français.
La frégate de surveillance Vendémiaire qui embarque deux hélicoptères, une Alouette III de l’aéronavale et un Puma de l’armée de l’Air, quitte Nouméa le mercredi 18 mars. Sept tonnes de fret humanitaire de la Croix Rouge et de l’ONG Solidarité Tanna ont été embarquées à bord afin d’être distribuées dès l’arrivée sur zone.
Dès le matin du mercredi 18 mars, les rotations entre Nouméa et l’ile de Tanna ont débuté par l’atterrissage d’un tout premier porteur, un avion Casa de l’armée de l’Air, avec à son bord le personnel et le matériel de première urgence arrivés la veille de Tahiti. Un second avion Casa, déployé en renfort depuis la Polynésie française décolle de la Nouvelle-Calédonie avec à son bord un officier de la base aérienne 186 en charge de réaliser la coordination aérienne sur l’aéroport de Port Vila sur l’île d’Efate. L’aéronef transporte également une dizaine de militaires des FANC qui seront déployés à Tanna, avec pour mission de prendre contact avec les autorités locales et les ONG présentes, pour évaluer sur le terrain la praticabilité des axes et l’état des infrastructures en vue d’y déployer une Base Opérationnelle Avancée (BOA).
Au terme d’une traversée de Vingt-quatre heures, un détachement de l’équipage du Vendémiaire, deux officiers de la police locale, une personne de la Croix Rouge et un médecin sont héliportés par hélicoptère Puma afin de visiter les six dispensaires de l’île Tanna. Le vendredi 20 mars, ce sont plus de trois tonnes de matériel d’urgence réparties en palettes qui sont transportées en deux heures à peine par hélicoptère Puma vers la terre.
Le patrouilleur La Glorieuse de la Marine nationale a appareillé de Nouméa le 20 mars pour rejoindre Erromango, une île d’une superficie de 1 000 Km2 et peuplée de 2 000 habitants située au nord de Tanna. Le patrouilleur a embarqué à son bord deux équipes multifonctions capable de réaliser des accès avec des tronçonneuses, des électriciens du RIMaP, une équipe de la BA 186 en mesure d’évaluer l’état des pistes d’atterrissage et une tonne de fret de la Croix Rouge.
Depuis le dimanche 15 mars 2015, près de trois cents militaires français, appuyés par deux navires et plusieurs aéronefs, apportent une aide humanitaire concrète aux victimes du passage du cyclone Pam.

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La loi sur le renseignement est-elle liberticide ?

Blog Secret Défense - Wed, 25/03/2015 - 12:57
Un débat sur Radio Notre-Dame
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Evêque aux armées : peut-on comparer l'avortement et le terrorisme ? (Actualisé-2)

Blog Secret Défense - Wed, 25/03/2015 - 12:32
Les propos de Mgr Luc Ravel sur «l'IVG, arme de destruction massive» suscite la polémique.Le mensuel du diocèse ne pourra plus utilisé le logo du ministère.
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125 kilos de drogue et 7 présumés narcotrafiquants interceptés par le Germinal

MeretMarine.com - Mon, 23/03/2015 - 21:06

Le 21 mars 2015, le Germinal est intervenu sur un Go Fast au comportement suspect, détecté et pisté au préalable par un avion C26 du Regional Security System (RSS) basé à la Barbade.

Pris en chasse par la frégate de surveillance Germinal à une cinquantaine de nautiques à l’ouest de la Barbade, le Go Fast a rejeté à la mer des ballots de drogue avant d'être arrêté. Les 7 présumés narcotrafiquants ont alors été interceptés et leur embarcation saisie. 7 ballots ont été récupérés par la frégate.

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Renseignement : Alain Zabulon sur le départ

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Mon, 23/03/2015 - 14:28
Le préfet coordonnateur du renseignement à l'Élysée s'apprête à rejoindre Aéroports de Paris au bout de deux ans. Qui lui succédera, ou pas ?
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MBDA, une entreprise pionnière de l’Europe de défense

Blog Secret Défense - Mon, 23/03/2015 - 12:16
Le constructeur de missiles, très intégré, plaide pour que les Etats acceptent la spécialisation de leurs activités industrielles
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Syrie : après quatre ans de guerre civile, la France 
doit-elle renouer avec Bachar  ?

Blog Secret Défense - Mon, 23/03/2015 - 12:07
Deux journalistes spécialistes du Proche-Orient, deux points de vue informés et divergents.
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2014 : le soft power à dure épreuve




Article publié dans la revue L'ENA hors les murs n°447 L’année 2014 fut particulièrement difficile pour les partisans du soft power, qui soutiennent encore que l’influence, la coopération, l’échange, ou l’attractivité culturelle, restent les meilleurs moyens de défendre ses intérêts, lesquels seraient désormais des intérêts de milieu, c'est-à-dire une cogestion responsable, pacifique et « gagnant-gagnant » de la société mondiale par ses principaux acteurs. On vit en effet, cette année, le grand retour de notions aux consonances autrement moins rassurantes : fait accompli militaire (à l’est de l’Ukraine), révision des frontières (en Crimée), usage paroxystique de la violence (avec Daech), montée aux extrêmes (à Gaza), revendications territoriales et nationalismes (en Mer de Chine du Sud), et au final l’invocation de l’intérêt de possession(« ceci m’appartient », au nom de la géographie, de l’histoire, de la religion, de la démographie ou encore de la culture). Des acteurs aux contours fort différents et qui ne sont liés entre eux par aucune « Internationale » occulte (comme la Russie de Vladimir Poutine, le gouvernement israélien de Benjamin Netanyahu, le Hamas, Daech, le régime syrien de Bachar al-Assad, Pékin, peut-être également la nouvelle Turquie d’Erdogan) ont mis en pratique ce que d’autres soutiennent dans le discours (comme beaucoup de Républicains aux Etats-Unis, des diplomates français, japonais ou issus d’Europe centrale et orientale), à savoir que l’usage de la force reste la meilleure garantie de sécurité. Il serait simpliste de réduire cette dynamique au triomphe d’un quelconque complot néoconservateur (auquel il serait par ailleurs étrange d’assimiler les décideurs russes ou chinois). On verra plutôt, dans ce qu’il faut bien qualifier de retour de l’approche réaliste, plusieurs origines.La première provient de la perception – juste ou erronée – d’une crise du leadership américain dans le système international. Les « lignes rouges » évoquées mais non suivies d’effets en Syrie, ont fait douter certains alliés de l’Amérique (comme en Europe orientale ou en Asie). l’incapacité à relancer le processus de paix au Proche-Orient ou à imposer l’arrêt de la colonisation à l'Etat hébreu ont donné le sentiment à d’autres qu’ils devraient désormais prendre seuls leurs intérêts en main. Les analyses (trop ?) subtiles du président des Etats-Unis sur les limites de l’outil militaire (« Just because we have the best hammer does not mean that every problem is a nail »), sa réponse à la situation ukrainienne par la mise en place d’une pression progressive sur Moscou, la war fatigue qui saisit la société américaine depuis l’aventurisme des années 2000, ont déclenché des paris sur la passivité de Washington (également en proie au shut down, au sequester et à quelques autres bizarreries d’outre-Atlantique). Le moment était venu de profiter d’une perte de crédibilité de la garantie de sécurité américaine. Ainsi a-t-on pu penser à Damas que le champ était libre pour se maintenir dans le jeu politique régional, à Moscou que personne n’entrerait en guerre pour soutenir l’Ukraine – pas plus que pour la Géorgie en 2008 -, ou dans le « Califat » d’Abou Baker al-Baghdadi, que les Etats-Unis ne reviendraient à aucun prix en Irak. On vit même certains alliés de l’Amérique – la France sur les dossiers iranien et syrien, le Canada ou l’Australie sur d’autres – se faire plus intransigeants que Washington, en réaction à cette situation.Les Etats-Unis ne portent pas seuls la responsabilité de ce retour (des autres) au hard power, étatique ou non étatique. En refusant d’assumer clairement le jeu de la prise de responsabilité internationale, les politiques étrangères des concurrents potentiels, en particulier celles des émergents, ont contribué au « brouillard stratégique ». Intransigeante dans son environnement géographique immédiat, la Chine se mêle peu des tensions plus lointaines, autrement qu’à travers sa préoccupation pour l’accès aux ressources. Au moins jusqu’à l’arrivée au pouvoir de Narendra Modi, le géant indien produisait peu de vision mondiale. Le Brésil désormais sans Lula semble ne pas poursuivre avec la même intensité ce qui était tout de même l’amorce d’une ambition Sud-Sud dans les années 2003-2011. Dans ce vide (auquel l'Union Européenne participe bien sûr bruyamment), la Russie tente sinon la reprise en main de son ex-« étranger proche », du moins l’envoi de messages intraitables sur le rapport de force qui régit cet espace. A Islamabad, à Ankara, au Caire, à Ryad mais aussi à Séoul, à Tokyo, à Berlin, on revoit sa politique étrangère (et parfois de défense) en fonction d’un monde devenu illisible, apolaire ici (en Afrique ?), bipolaire ailleurs (en Asie, tant le face à face Washington – Pékin hante les esprits), ou encore multipolaire dans les rapports de force économiques. Surtout, on sait dans les zones grises de la planète que nulle combinaison de puissances ne viendra imposer, comme au temps de la guerre froide, une supervision concertée au Sahel, ni aux confins du Nigéria, ni en Mésopotamie, ni dans les territoires palestiniens, ni dans les zones tribales frontalières du Pakistan et de l’Afghanistan. Les entrepreneurs non étatiques de violence, du Hamas à Boko Haram, y ont donc eux aussi le champ libre.Enfin, les instruments du soft power eux-mêmes, dont on attendait beaucoup, ont contribué davantage à l’inquiétude, à la division, à l’exacerbation, qu’à la régulation, à l'intégration ou à l’harmonisation. Les médias globaux, nouvelles technologies de communication, techniques de diplomatie publique, réseaux sociaux, en fait de « brave nouveau monde » ou de « démocratie cosmopolite » (pour reprendre l’expression de David Held et Daniele Archibugi dans les années 1995), ont produit d’abord la guerre des images (entre les chaînes globales américaines et arabes par exemple), le recrutement en ligne de jiahdistes et autres candidats à l’action violente, l’affaire snowden, les scandales des écoutes de la NSA et la multiplication de cyberattaques, qui ont perturbé à la fois les relations autrefois plus codifiées entre puissances rivales, et les relations de confiance entre alliés.Le soft power est-il mort en 2014, quelque part entre l’Ukraine, Gaza, l'Irak, la Syrie, le Nigéria, Pyongyang et les îles Diaoyu / Senkaku ? Probablement pas, et ce pour plusieurs raisons. D’abord parce que l’usage de la force démontrera un peu plus encore ses limites dès l’année prochaine. La Russie a commencé de payer économiquement le prix de sa crispation ukrainienne. Israël a vu une fois de plus  (après le Liban en 2006, Gaza en 2009 puis 2014) son entreprise militaire asymétrique aboutir à un isolement politique croissant. Les entrepreneurs de violence comme Daech, AQMI ou Boko Haram, terrorisent mais ne construisent pas. Les puissances étatiques qui s’opposent à eux à l’aide de l’outil militaire (comme la France et  les Etats-Unis) ont admis que ce seul levier ne se suffirait pas à lui-même, et qu’une action internationale concertée, empreinte de reconstruction d’un pacte national avec l’aide d’acteurs de la société civile, serait incontournable. Ce sera bien le cas – parfois sur le temps long – au Mali, en Centrafrique, en Afghanistan, en Palestine ou en Irak. Enfin, l’agenda de l’année 2015 sera riche en défis transversaux ou globaux, qui se joueront sur le terrain du multilatéral. La poursuite de nouveaux formats de concertation plus ouverts (comme le G20), la poursuite de cycles de négociations importants, depuis les enjeux commerciaux, les partenariats intercontinentaux (TTIP, TPP…), ou bien entendu la conférence sur le climat qui se tiendra à Paris en novembre-décembre, seront autant d’occasions pour le soft power de reprendre la main après une séquence plus brutale (ce qui ne signifie pas qu’il n’y aura pas de nouvelles crises). Reste que les derniers mois ont mis en lumière un fossé inquiétant entre « ceux qui croyaient au soft et ceux qui n’y croyaient pas ». Les premiers sont d’abord occidentaux, et l’on parie beaucoup, ces derniers temps, sur leurs hésitations. L’absence criante des émergents à leurs côtés est l’un des traits marquants de la scène internationale actuelle. L’Inde, la Chine, le Brésil ou bien d’autres en ont pourtant les moyens, mais explorent encore timidement cette piste, soit par manque de conviction, soit par dépendance à un sentier plus culturellement empreint de hard power. Entre les instituts confucius ou l’organisation de Jeux Olympiques (en 2016 au Brésil), il faudra plus que la K-Pop pour changer la donne. Mais seule la conversion des géants du sud à la course mondiale à l’influence, à la séduction, à la coopération, à l’implication dans la gouvernance et la gestion des défis globaux, permettront au soft power, clef de la régulation pacifique, de passer pour autre chose que de la faiblesse.

FMC Technologies et Technip créent Forsys Subsea

MeretMarine.com - Sun, 22/03/2015 - 19:03

FMC Technologies Inc. et Technip ont signé aujourd’hui un accord afin de former une alliance exclusive et créer ainsi Forsys Subsea, co-entreprise détenue à 50/50, soit à parts égales, qui réunira des compétences et des ressources issues de deux leaders du subsea. Cette alliance vise notamment à redéfinir la façon dont les champs sous-marins sont conçus, réalisés et maintenus en condition.

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Hôtel de la Marine : «consternation» des défenseurs du patrimoine

Blog Secret Défense - Sun, 22/03/2015 - 10:01
L'Association des Amis de l'Hôtel de la Marine dénonce ce projet de «palais de Dame Tartine»
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