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Afrique

Attentat de Nice : le terroriste a « mûri son projet criminel plusieurs mois avant son passage à l'acte »

Jeune Afrique / Politique - Thu, 21/07/2016 - 19:28

Le Tunisien Mohamed Lahouaiej Bouhlel, auteur de l'attentat de Nice le 14 juillet, a bénéficié de soutiens et de complicités, et semble avoir projeté son acte il y a plusieurs mois, a annoncé, jeudi 21 juillet, le procureur chargé de l'enquête, François Molins.

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Mali : Gestion du nord du Mali : L’Etat a-t-il renoncé à ses prérogatives souveraines à Kidal ?

Maliactu - Thu, 21/07/2016 - 19:26
Le statuquo qui règne dans la ville de Kidal après la signature d’un accord garantissant l’unité nationale crée des incertitudes. Des accords «intercommunautaires» sont signés entre les mouvements armés pour la gestion de la ville  sans que l’Etat y soit associé.   Avec cette nouvelle donne, les observateurs avisés  de la crise malienne s’interrogent de plus en plus sur la volonté réelle du  régime IBK à récupérer Kidal.

En effet, malgré les dispositions pertinentes de l’Accord pour la paix issu du processus d’Alger qui prône le respect de l’unité nationale, de l’intégrité territoriale, la ville de Kidal demeure une chasse gardée de Bilal Ag Achérif et ses affidés qui, depuis belles lurettes, n’ont pas renoncé à leur « Etat » fantomatique de l’Azawad. A regarder l’évolution du dossier depuis la signature de l’Accord, on se rend aisément compte que  rien n’est en train d’être fait conformément  à l’esprit de cette disposition de l’Accord. Car,   l’Accord signé entre l’Etat malien  et les mouvements armés est mis entre parenthèses en ce qui concerne Kidal. Aucun représentant de l’Etat n’y est.

Cette situation qui frise le ridicule n’ébranle même pas les autorités maliennes. Celles-ci semblent au contraire se complaire dans une situation qui pourrait être catastrophique à l’avenir. La ville de Kidal est  aujourd’hui  régie par un compromis  appelé «Pacte d’honneur et de Contrat social» signé entre la Plateforme et la CMA le 16  octobre 2015 à Anéfis. Ce pacte d’honneur censé mettre fin aux velléités des uns et des autres constitue aujourd’hui une source de tension entre les communautés. Ledit pacte   indiquait clairement que les deux  communautés  (Ifoghas et Imghads)  s’engagent à partager de façon équitable le pouvoir et œuvrer à «la gestion concertée et inclusive des affaires politiques». Les conflits entre les deux clans seront réglés selon «leurs us et coutumes».

Les garants de cet accord sont d’un côté le chef exécutif de la tribu Ifoghas, Alghabass Ag Intalla, et de l’autre le Général El Hadj Gamou. En dépit de cette entente, les deux mouvements continuaient à se regarder en chiens de faïence. Car, l’un aspire toujours à dominer l’autre. Cela a conduit, la semaine dernière,  à l’explosion  d’une vive tension entre la CMA et la Plateforme. Selon des sources proches du dossier, les points qui avaient fait l’objet de consensus à  Anéfis sont en passe d’être remis en cause par certains. Car, les  responsables du  Haut conseil pour l’unité de l’Azawad (Hcua) ne sont plus dans la dynamique d’un partage équitable du pouvoir  et veulent régner en maîtres absolus à Kidal.

El Hadj Gamou, une épine dans le pied de la CMA

Ayant eu vent de la prétention d’El Hadj Gamou  de viser la présidence de l’assemblée régionale pour son ami  Alhamdou Ag Ilyène, Consul du Mali au Niger, et ancien gouverneur de la ville,   la CMA, pour se débarrasser du Général  Gamou, aurait convaincu   Bilal Ag Achérif  à se rendre à Bamako pour l’anniversaire de l’an I de l’Accord afin de peser de tout son poids auprès du Président IBK pour le retrait de Gamou de la ville de Kidal. Ainsi,  IBK a instruit à l’ex-chef d’état-major général des armées, Général Mahamane Touré, d’ordonner à Gamou  de revenir à la base de l’opération Maliba, dans la ville de Gao. Mahamane Touré a refusé cette demande du président IBK. Et le 29 juin, à la faveur du Conseil des ministres, le Général Touré  a été débarqué   et remplacé par son adjoint, le Général Didier Dacko. Mais selon une source militaire, le Général Ag Gamou est en parfaite entente avec l’armée malienne au sujet de son positionnement dans la région de Kidal.

Le sort de Kidal scellé sans l’Etat malien           

Pour désamorcer la tension qui prévalait à Kidal, le Premier ministre du Niger, Brigi Rafini, a convié  les responsables de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) et de la Plateforme à Niamey le 14 juillet dernier, en vue de trouver un mécanisme consensuel de gestion locale en attendant la mise en place des autorités intérimaires et des patrouilles mixtes prévues par l’Accord. Les parties ont convenu de ce qui suit: la gestion collégiale de la sécurité à Kidal y compris les check-points.  Au plan de la gestion locale, la commission régionale de coordination des activités socio-économiques sera composée de huit (08) membres repartis de façon égale entre la CMA et la Plateforme. Cette commission sera dirigée par une coprésidence CMA/Plateforme. De toute évidence, cet arrangement signé entre les deux mouvements armés sans qu’il y ait  au moins  un représentant de l’Etat malien est lourd de conséquences. Comme le dirait l’autre: «Tout se qui se fait sans toi, est contre toi».  Surtout quand on sait que les mouvements armés qui constituent l’aile dure de la CMA, à savoir Hcua et le Mnla, n’ont jamais caché leurs velléités indépendantistes. Avec cette nouvelle donne, les observateurs les plus avisés  de la crise malienne s’interrogent de plus en plus sur la volonté réelle du régime IBK  à récupérer Kidal et y exercer ses prérogatives souveraines. Car, depuis la tentative de récupération de la ville de Kidal par les forces armées maliennes à la faveur de la visite désastreuse de l’ex-Premier ministre en mars 2014, cette ville échappe à tout contrôle de l’Etat central. Pire, faire revenir Kidal  dans le giron national semble être le dernier souci du locateur de Koulouba. Sinon comment comprendre que tout se fait et se défait  à Kidal  au gré des mouvements armés, sans que les autorités maliennes soient concertées.   «Un peuple qui s’endort en liberté se réveille en servitude», disait le philosophe Alain.

Boubacar SIDIBE

Source : Le Pretoire

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Droits de l’Homme en RDC: des progrès en « danger », selon l’ONU

Maliactu - Thu, 21/07/2016 - 19:26

Les Nations Unies ont estimé jeudi que les avancées en matière des droits de l’Homme enregistrées par la République démocratique du Congo sont en « danger » si rien n’est fait pour apaiser « la tension [qui] monte » au fur et à mesure qu’approche la fin du mandat du président Joseph Kabila.

« Les avancées importantes réalisées dans le domaine de lutte contre l’impunité des violences sexuelles reflètent des progrès plus larges réalisés en RDC » depuis la dernière décennie, a déclaré le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’Homme, Zeid Ra’ad Al Hussein, lors d’une conférence de presse à Kinshasa.

Parmi ces avancées, M. Ra’ad Al Hussein a également noté l’organisation de « deux élections présidentielles » en 2006 et 2011, remportées par M. Kabila.

Les élections présidentielle et législatives de 2006 constituent les premiers scrutins tenus en RDC depuis l’indépendance du Congo en 1960, au sortir de deux guerres ayant ravagé le pays entre 1996 et 2003.

« Il semble toutefois qu’aujourd’hui ces avancées puissent être en danger. Alors que des échéances électorales cruciales approchent, la tension monte », s’est-il inquiété au dernier jour d’une visite de quatre jours dans le pays.

Le diplomate jordanien a regretté « de n’avoir pas avoir pu rencontrer » le chef de l’État à l’issue de cette visite qui l’a conduit dans les provinces troublées du Nord et Sud-Kivu avant l’étape finale de Kinshasa.

M. Ra’ad Al Hussein s’est également dit « très préoccupé » par le « harcèlement croissant des représentants de la société civile et des journalistes, de la répression des voix qui s’opposent au gouvernement et des dispersions excessives et parfois mortelles de manifestations » alors que la RDC traverse une crise politique grave.

Cette situation est consécutive à la réélection contestée de M. Kabila en novembre 2011 (pour un dernier mandat de cinq ans) à l’issue d’un scrutin toutefois entaché d’irrégularités massives et dont les résultats avaient été rejetés par l’opposition.

M. Kabila est au pouvoir depuis 2001 et la constitution lui interdit de se représenter, mais l’opposition l’accuse de manoeuvrer pour rester à son poste au-delà du terme de son mandat fixé au 20 décembre.

Cependant, un récent arrêt de la Cour constitutionnelle autorise le chef de l’État de rester en fonction jusqu’à l’élection de son successeur, alors que tout indique que l’organisation d’une présidentielle cette année relèverait d’un miracle.

Depuis plusieurs mois l’ONU dénonce le rétrécissement de l’espace politique congolais.

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Mali : Éventuelle inculpation d’ATT : Les réactions du tout nouveau ministre de la Justice

Maliactu - Thu, 21/07/2016 - 19:17
Me MAMADOU ISMAILA KONATE, ministre de la justice Le dossier de l’ancien président de la République Amadou Toumani Touré est politique. C’est du moins ce que le tout nouveau ministre de la Justice a lâché lors d’un entretien accordé à nos confrères du journal Du Mali.

A la question de savoir si le dossier concernant ATT est politique, la réponse de Me Mamadou Konaté est claire: « C’est un dossier politique, au regard de la personnalité du mis en cause qui est quand même l’ancien président de la République du Mali. Et de souligner que les faits qui lui sont reprochés ont une connotation politique». Le ministre Konaté dira par ailleurs qu’en cas d’inculpation, pour haute trahison, «le président ATT encourt la peine maximale». Avant de faire savoir que sur ce point de vue, «nous avons très peu d’expérience car, le Mali n’a jamais jugé un président sur la base de la haute trahison, qui constitue des faits pouvant être considérés comme des crimes commis par le Président de la République dans l’exercice de sa fonction et en violation du serment prêté…». Alors question: quel sort le ministre Konaté va réserver à ce dossier ?

La Rédaction

Source : Le Pretoire

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Mali : Marginalisation des cadres du PDES : Dr Abdoulaye Nènè Coulibaly victime de sa hiérarchie

Maliactu - Thu, 21/07/2016 - 19:16
Le constat est amer aujourd’hui au ministère de la Santé et de l’Hygiène publique. Et pour cause. La nouvelle patronne du département s’est lancée dans des règlements de comptes personnels. Du coup, ce sont des agents très compétents qui sont envoyés «au garage» car, ils font de l’ombre à d’autres camarades ou que Mme le ministre n’aime pas leurs têtes.

Nous avons voulu savoir ce qu’est devenu le Dr Abdoulaye Nènè Coulibaly, ancien DG du CHU Gabriel Touré et du Cniecs. Après information, il se trouve à la Direction nationale de la Santé.

Après un bref passage au Cnam, où il a été très apprécié par l’ensemble du personnel et les malades pour la gestion de la maladie à virus Ebola, le Dr Coulibaly a été remercié sans autre forme de procès. Ni l’intéressé ni aucun autre agent n’a compris ce débarquement inattendu malgré les excellents résultats obtenus au cours de cette lutte.

Jugez en vous-mêmes, les autorités sanitaires de l’époque croyaient dur comme fer que  le virus n’allait pas pénétrer dans notre pays à cause de la forte chaleur qui prévaut au Mali. Un plan de contingence avait été élaboré à cet effet avec 2 scenarios :

1 Le pays sans un seul cas, mais toujours menacé ;

2 Le Mali connait des cas d’Ebola ;

Chaque scénario a fait l’objet d’une budgétisation et des formations engagées çà et là. Les conflits d’intérêts et la bataille de leaders dont les Maliens sont champions, toutes catégories, ne faisaient que compliquer l’éventualité d’un succès en cas d’épidémie.

C’est ainsi qu’on fera appel au Dr Abdoulaye Nènè Coulibaly, Médecin d’urgence et de catastrophe, pour être un trait d’union entre différentes structures du ministère de la Santé et de l’Hygiène publique en août 2014. Très rapidement, l’Usaid, sentant l’imminence du danger, organisera avec l’armée américaine un atelier à Abidjan pour échanger avec les pays à très haut risque pour faire face  à Ebola. Le choix du Dr Coulibaly s’est révélé très pertinent. Car le meilleur dispositif organisationnel pour faire face à Ebola se trouvait être un Centre des opérations d’urgences (COU). Ce dispositif avait fait ses preuves au Nigeria, réputé pays de désordres  qui, en un temps record, a pu circonscrire les cas importés.

II fallait mettre le même dispositif au Mali pour gérer une telle catastrophe. C’est ainsi que la sempiternelle bataille de leadership redémarra. C’était entre le Cnam du Dr Samba Sow, la DNS du Dr Binta Keita, de l’Inrsp du Pr Mamadou S Traoré.

Comme une formule magique, le Dr Coulibaly, au lieu d’être point focal du COU, se retrouva adjoint de Samba Sow, et Sow comme Coordinateur du COU, cumulativement avec son poste du DG du Cnam, Chef du projet CVD au Cnam. Car le Dr Coulibaly,  réputé proche de l’ancien couple présidentiel, ne devrait pas occuper un poste en vue. Mais que dire du Pr Samba Sow qui, un temps, était considéré comme le premier fils de ATT, et à ce titre, il a été nommé DG du Cnam sans être fonctionnaire titulaire par le ministre Oumar Ibrahima Touré, alors ministre de la Santé, au grand dam de ses conseillers, dont un certain Ousmane Koné. Mieux, après le coup d’Etat, il a fallu l’intervention du Général Ibrahim Dahirou Dembélé, alors Chef d’état-major général des armées, pour surveiller sa maison à Djicoroni-para, tellement l’homme était proche de ATT ce qui du reste n’est pas un crime. Qui n’a d’ailleurs pas servi ATT ? Mais en fait, les cadres ont servi plutôt le Mali et non pas une personne, fut-elle le Président de la République.

La menace Ebola devenait réelle et le 20 octobre 2014, notre pays découvrait son premier cas importé de la Guinée.                                  La patiente, une fillette, après un prélèvement effectué par trois médecins maliens, sera reconnue positive par l’équipe du Pr Ousmane Koita du laboratoire Serefo de la Faculté de médecine de Bamako. Alors, branle-bas de combat. Une très forte délégation quittera Bamako pour Kayes. En cours de route, l’équipe apprendra le décès de la fillette. Que faire du corps ? Kayes était en état de choc. Le gouverneur décide la fermeture des classes, certaines familles en quarantaine, ainsi que des agents de l’hôpital de Kayes, a qui il faut rendre un vibrant hommage. Le cas de Kayes a été vite circonscrit dans les règles de l’art. Un centre des opérations d’urgence verra le jour au Cnam et un centre de traitement Ebola fut aussi mis en place. Le Dr Coulibaly interviendra avec l’appui de Médecins sans frontières Espagne pour apporter les corrections. Mais le Mali n’était pas pour autant au bout de ses peines. Un second foyer apparu à la Polyclinique Pasteur, un marabout infecté en Guinée, sera la cause du décès de 6 autres patients dont un médecin, le Dr Hassana Diomandé. Un centre de formation construit par l’ONG américaine IMC porte le nom du Dr Diomandé, à la demande du Dr Abdoulaye Néné Coulibaly. Prés de 800 agents ont participé à cette lutte. Samba Sow y a pris part certes, quelle a été sa contribution ? Il n’a été présent à aucune réunion de coordination qui se tenait tous les jours avec les différentes commissions sous la présidence du Dr Coulibaly. Tous les partenaires du Mali y prenaient part. Dr Sow ne venait qu’à la Primature pour les réunions hebdomadaires avec les ministres pour raconter sa version des faits. Au cours d’une de ses réunions, le Dr Sacko Ramata de l’Inrsp lui fera un rappel à l’ordre sec; en lui demandant de faire le bilan de ses actes posés, car il n’a brillé que par ses absences. Qu’il n’avait qu’un seul langage : « j’ai fais, j’ai été appelé par Bill Gates, Obama ou IBK». C’était une façon t’intimider. Cela a pourtant bien marché car, au final, seul Samba a eu le mérite d’avoir «Sauvé le Mali». La machine de l’imposture avait marché à plein régime.

A la fin de l’épidémie au Mali, notre pays a eu l’opportunité de disposer du fonds de la Banque islamique de développement (BID) pour un montant de 2 500 000 dollars, les négociations se déroulèrent en Guinée encore en épidémie. Il fallait trouver un cobaye à envoyer au charbon, le Dr Abdoulaye Nènè Coulibaly était tout indiqué pour participer aux négociations. L’accord obtenu, d’autres acteurs pointèrent le nez. Un projet initié pour trois mois depuis janvier 2015 peine encore à être exécuté.

Il faut signaler que tous ceux qui ont participé à la gestion de l’épidémie Ebola au Mali, à part Samba Sow, personne n’a eu même une simple lettre de félicitations à fortiori une prime de motivation     ni indemnité encore moins une promotion. Ils ont tous eu droit à des sanctions. Dr Coulibaly relevé, car proposé avec le Pr Mamadou Sounkalo Traoré à un stage de 4 mois à Atlanta, aux USA, pour faire un vrai Centre des opérations d’urgences (COU) au Mali.

Entre temps, le Dr Togo Madeleine Togo est arrivée au département. La philosophie est de nettoyer tous ceux qui ont eu un poste de responsabilité, ou qui ont plus de 50 ans ou qui ne sont pas ses sujets. Plus question de compétences, c’est la tête du client. Son ennemi juré est le Dr Abdoulye Nènè Coulibaly dont le crime est d’avoir été médecin urgentiste, d’avoir été DG de Gabriel Touré et surtout d’avoir osé procéder à des reformes dont elle n’a pu faire en tant que directrice.

Des ingénieurs sortis de l’ENI étaient aux ordres d’un technicien, la départementalisation des services. Il s’agit du regroupement des services en départements et services pour une meilleure fonctionnalité. Des chefs de services ont été poussés à la révolte pour faire partir le Dr Coulibaly. Ces faits sont confirmés par le Dr Coulibaly qui aurait même saisi à l’époque le ministre de la Santé, Oumar Ibrahima Touré, par lettre confidentielle. Le même procédé a été utilisé sous la transition, pour créer des agitations syndicales et faire partir le DG, le Dr Coulibaly, car au Mali on peut tuer des soldats, marcher sur le drapeau si on a des appuis, rien ne se passera. Bien au contraire ! Une promotion est au bout.

En plus de la départementalisation qui est une fierté de Mme le Ministre, il faut signaler l’installation des générateurs d’oxygène et de la solution hydro-alcoolique très efficace contre Ebola.

De nos jours, le Dr Coulibaly se trouve à la Direction nationale de la Santé (DNS), avec d’autres anciens DG ou DGA ou selon elle, elle les envoie au cimetière. Quand on est Ministre de la République, on est au service de l’Etat et non pour régler des comptes personnels. Le Dr Coulibaly rassure qu’il n’a nullement été surpris d’être relevé par Mme Togo, tout ceux qui savaient la nature de leur relation d’ailleurs. De tout le temps «cette dame, pour qui j’ai beaucoup de respect, n’a jamais voulu me sentir; j’ai informé mon épouse à sa nomination que j’en avais pour un (1) mois à mon poste, surtout que le Pr Samba Sow me trouvait très gênant…. Les sujets qui m’opposent à Sow seront connus par d’autres canaux qui ne sont pas les miens, car l’imposture est trop grosse à mon sens pour ne pas être sue des autorités compétentes. Il est un jeune frère, et je lui avais permis de travailler à Gabriel Touré, car mon prédécesseur à l’époque, le Pr Bayo Sinè, lui avait interdit l’accès et il sait pourquoi».

Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique est devenu un véritable laboratoire de règlement de comptes au su et au vu de tout le monde. Le Mali est-il la propriété de quelques individus ? Ceux qui ont eu des déboires avec la Justice de notre pays sont devenus des conseillers occultes du ministre. Ils ont été vus à la tâche, ou leurs      enfants ont été placés à des postes de recettes, occasionnant des pertes se chiffrant à des millions. Ceux-là peuvent-ils juger la moralité d’un cadre pour un poste de nomination ?

Le Président de la République a été élu avec 77 % des voix, le reste des 23% ne sont-ils pas des Maliens ? N’est-on pas en train de semer les graines d’une rébellion au Sud de notre pays ?

Paul N’GUESSAN

Source : Le Pretoire

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Finance islamique : le Togo lance un premier sukuk de 150 milliards de F CFA

Jeune Afrique / Finance - Thu, 21/07/2016 - 19:12

Le Togo lance du 20 juillet au 10 août son premier emprunt sous forme de sukuk (obligations compatibles avec la charia).

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Finance islamique : le Togo lance un premier sukuk de 150 milliards de F CFA

Jeune Afrique / Economie - Thu, 21/07/2016 - 19:12

Le Togo lance du 20 juillet au 10 août son premier emprunt sous forme de sukuk (obligations compatibles avec la charia).

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Mali : Litige foncier à Baroutourebougou : Les populations exigent la restitution de 1000 ha de terre

Maliactu - Thu, 21/07/2016 - 19:11
Plus d’un millier d’hectares de terre à Baroutourébougou, dans la commune rurale de Zan-Coulibaly Markacoungo, dans la région de Koulikoro, fait l’objet de vive tension et de controverses. S’érigeant en sentinelle, les populations, regroupées au sein d’une convention, exigent la restitution de leurs terres.

Les membres de la coalition des Associations pour Mali (APM) ont invité les journalistes à Baroutourébougou et à Fana, mardi 19 juillet 2016,  afin qu’ils s’imprègnent des tenants et aboutissants du problème foncier de cette localité qui, à ce jour, a entrainé l’arrestation de 18 personnes, dont 5 en liberté provisoire. Le constat est que les populations des villages de la commune rurale de Zan-Coulibaly Markacoungo sont très  remontées contre les autorités coutumières, administratives et municipales de leur localité. Ils estiment qu’il y a une véritable mafia autour de la vente de 1 000 hectares à Baroutourébougou. Les populations pensent que cette vente va entrainer leur déguerpissement de cette zone où elles mènent depuis toujours leurs activités pour subvénir à leurs besoins quotidiens.

Dans cette affaire, il ressort que le juge de Fana, Aboubacar Fofana, a procédé à l’arrestation de 18 personnes dont le procès tant entendu a été renvoyé pour la fin de ce mois.

Genèse d’un calvaire

A en croire les populations, tout a commencé par les magouilles orchestrées par les chefs des villages de Corocoura, Ouolodo et de Niamina qui ont vendu des parcelles à Baroutourébougou. Après avoir constaté la mise en place des bornes et le démarrage des travaux sur le terrain, les populations ont joué le rôle de sentinelle en enlevant ces bornes. C’est après ce geste que le juge Fofana a procédé à l’arrestation de 18 personnes. Mamadou Sangaré, cultivateur à Baroutourébougou, estime que cette affaire est une équation à plusieurs inconnus. Il dira qu’à ce jour, seulement 5 personnes ont bénéficié de la liberté provisoire après avoir payé un million huit cent mille (1 800 000 FCFA) comme caution. De son côté, Yacouba Traoré du village de N’Douatien se pose la question de savoir pourquoi les travaux continuent sur la parcelle litigieuse alors même que  le Maire de la commune rurale de Zan-Coulibaly Markacoungo, Amara Diakité, avait instruit d’enlever les bornes au motif que la vente des parcelles n’était pas conclue selon les règles de l’art. En tout cas, les  populations exigent la restitution de leurs terres et décident de porter plainte non seulement pour l’arrêt des travaux, mais aussi pour l’annulation de la vente  desdites terres.

Ibrahim M.GUEYE

Source : Le Pretoire

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Football : Total devient un sponsor majeur de la CAF

Jeune Afrique / Economie - Thu, 21/07/2016 - 19:07

La Confédération Africaine de Football a passé un accord avec le géant pétrolier. Total sera désormais le " sponsor titre " des compétitions organisées par la CAF.

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Zimbabwe: les anciens combattants dénoncent l’attitude « dictatoriale » du président Mugabe

Maliactu - Thu, 21/07/2016 - 18:47

Les anciens combattants, soutien traditionnel du président zimbabwéen Robert Mugabe, ont dénoncé jeudi son attitude « dictatoriale », prévenant qu’ils « ne soutiendraient pas un tel dirigeant » lors de l’élection présidentielle de 2018.

“Nous notons avec inquiétude, choc et une totale consternation le renforcement des tendances dictatoriales incarnées par le président », a déclaré l’Association des vétérans de la guerre de libération du Zimbabwe. « Nous déclarons (…) désormais qu’aux prochaines élections, nous ne soutiendrons pas un tel dirigeant, a-t-elle ajouté dans un communiqué.

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Africa50 accueille la BCEAO et Bank Al-Maghrib à son tour de table

Jeune Afrique / Finance - Thu, 21/07/2016 - 18:31

À l'occasion de la deuxième assemblée générale du fonds piloté par la BAD, de nouvelles institutions rejoignent le tour de table. La Banque centrale marocaine et la BCEAO ont injecté 25 millions de dollars dans ce véhicule d'investissement panafricain spécialisé dans les infrastructures.

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Africa50 accueille la BCEAO et Bank Al-Maghrib à son tour de table

Jeune Afrique / Economie - Thu, 21/07/2016 - 18:31

À l'occasion de la deuxième assemblée générale du fonds piloté par la BAD, de nouvelles institutions rejoignent le tour de table. La Banque centrale marocaine et la BCEAO ont injecté 25 millions de dollars dans ce véhicule d'investissement panafricain spécialisé dans les infrastructures.

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Stephen Cockburn : " Il règne un climat politique exceptionnel en Gambie " 

Jeune Afrique / Politique - Thu, 21/07/2016 - 18:12

Après la condamnation du leader de l'opposition gambienne à trois ans de prison, Stephen Cockburn d'Amnesty International revient sur le procès et l'atmosphère de contestation qui règne dans le pays à l'approche des élections.

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Le gouvernement libyen d’union nationale accuse la France de "violation" de son territoire

France24 / Afrique - Thu, 21/07/2016 - 18:02
La mort de trois sous-officiers à l'est de Benghazi a contraint Paris à confirmer la présence de soldats français en Libye. Une présence dénoncée par le gouvernement libyen d'union nationale (GNA).
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Shirley Chisholm, la femme noire qui a visé la Maison Blanche avant Barack Obama et Hillary Clinton

Jeune Afrique / Politique - Thu, 21/07/2016 - 17:29

Décédée trois ans avant la primaire démocrate de 2008 qui vit s'affronter Barack Obama et Hillary Clinton, Shirley Chisholm avait déjà commencé à faire bouger les lignes en 1972. Portrait d'une femme qui avait du cran.

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CFAO se renforce dans la location de voitures en Afrique subsaharienne

Jeune Afrique / Economie - Thu, 21/07/2016 - 17:16

Le distributeur panafricain a signé un nouvel accord de licence pluriannuel avec Avis Car Rental, a-t-il annoncé jeudi. Cet accord couvre une quinzaine de pays d'Afrique de l'Ouest et d'Afrique centrale.

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L'État ivoirien approuve l'entrée en Bourse de Sucrivoire

Jeune Afrique / Finance - Thu, 21/07/2016 - 17:08

Le gouvernement ivoirien va céder à la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) la participation publique de 23 % dans la société agro-industrielle Sucrivoire.

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L'État ivoirien approuve l'entrée en Bourse de Sucrivoire

Jeune Afrique / Economie - Thu, 21/07/2016 - 17:08

Le gouvernement ivoirien va céder à la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) la participation publique de 23 % dans la société agro-industrielle Sucrivoire.

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Hilton

Jeune Afrique / Economie - Thu, 21/07/2016 - 16:04

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Présidentielle en RD Congo : les députés belges font pression pour le respect des délais constitutionnels

Jeune Afrique / Politique - Thu, 21/07/2016 - 15:52

Une résolution votée par les députés belge mercredi et soumise à l'exécutif propose de couper l'aide bilatérale directe à la RD Congo, si le pays n'organisait pas l'élection présidentielle dans les délais constitutionnels, avant la fin 2016.

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