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Afrique

Gabon : cinq morts dans les violences post-électorales

Afrik.com - Sat, 03/09/2016 - 13:29
Cinq personnes ont été tuées dans les violences post-électorales, selon un bilan communiqué, ce vendredi 2 septembre 2016, par le porte-parole d'Ali Bongo, Alain-Claude Billie. Pour sa part, le ministère de l'Intérieur a fait état de son côté de 1 100 interpellations en date de jeudi après-midi. Des centaines de militaires et de policiers se sont déployés vendredi dans Libreville, où les habitants ont commencé à ressortir dans les rues et où des magasins ont rouvert après deux jours d'émeutes. La garde républicaine a pris position à proximité du palais présidentiel.
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Ile Maurice : oasis des investisseurs ?

Afrik.com - Sat, 03/09/2016 - 13:12
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Vidéo : le chant des humains migrant

Afrik.com - Sat, 03/09/2016 - 13:02
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Mali : l'armée reprend le contrôle de Boni occupée la veille par des jihadistes

France24 / Afrique - Sat, 03/09/2016 - 11:56
Des jihadistes d'un groupe non identifié ont fait irruption vendredi dans la ville de Boni, située au centre du Mali, mettant un temps en déroute les militaires qui s'y trouvaient avant qu'ils ne reprennent le contrôle de la ville.
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Gabon : l'opposant Jean Ping appelle à un recomptage des voix

France24 / Afrique - Sat, 03/09/2016 - 07:57
Jean Ping, le principal adversaire d'Ali Bongo à l'élection présidentielle gabonaise, a déclaré vendredi qu'il était le président de la République, lors d'une conférence de presse, exigeant en outre un nouveau comptage des voix.
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Le Gabon annonce que les opposants retenus au QG de Jean Ping sont libres

France24 / Afrique - Fri, 02/09/2016 - 20:02
Les autorités gabonaises ont annoncé vendredi la libération, réclamée par Paris, d'une vingtaine de leaders de l'opposition et de la société civile. Ils étaient retenus depuis la veille au quartier général de l'opposant Jean Ping, à Libreville.
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Tunisie : Actis entre au capital du groupe pharmaceutique Médis

Jeune Afrique / Finance - Fri, 02/09/2016 - 17:45

Le capital-investisseur britannique Actis est entré au capital du groupe pharmaceutique Les Laboratoires Médis, présent en Tunisie et en Algérie, acquérant à travers cette opération la participation de l'investisseur panafricain AfricInvest.

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Vidéo : le gouvernement du Gabon conteste tout bombardement du QG de Jean Ping

France24 / Afrique - Fri, 02/09/2016 - 16:02
Dans un entretien sur France 24, le porte-parole du gouvernement gabonais condamne les violences post-électorales et prône la fermeté, même s'il reconnaît que l'issue du scrutin peut susciter de la "colère" au sein des partisans de Jean Ping.
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RD Congo : le "dialogue national" démarre sous fortes tensions à Kinshasa

France24 / Afrique - Fri, 02/09/2016 - 08:51
Le "dialogue national" entre le gouvernement et l'opposition congolaise a démarré jeudi à Kinshasa dans un contexte tendu. Une partie des opposants considère ce "forum" comme un "piège" du pouvoir à quatre mois de la fin du mandat de Joseph Kabila.
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Gabon : retour à un calme précaire, plus d'un millier d'interpellations

France24 / Afrique - Fri, 02/09/2016 - 07:50
La situation reste toujours tendue dans les grandes villes du Gabon après l'annonce de la victoire contestée par l'opposition d'Ali Bongo, mercredi, à l'élection présidentielle. Plus d'un millier de personnes ont été interpellées.
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Mozambique : une experte de l'ONU appelle à identifier les responsables des crimes contre les personnes atteintes d'albinisme

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Fri, 02/09/2016 - 07:00
L'Experte indépendante des Nations Unies sur l'exercice des droits humains des personnes atteintes d'albinisme, Ikponwosa Ero, a déclaré vendredi que, malgré les progrès dans la lutte contre les crimes visant ces personnes au Mozambique, leur situation reste précaire car les autorités n'ont pas encore identifié et arrêté les responsables de ces crimes.
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Une délégation du Conseil de sécurité en visite au Soudan du Sud

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Fri, 02/09/2016 - 07:00
Une délégation du Conseil de sécurité de l'ONU a entamé vendredi à Juba, au Soudan du Sud, une visite de trois jours qui intervient après le récent renouvellement du mandat de la Mission des Nations Unies dans ce pays (MINUSS).
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Gabon: Ali Bongo rejette la responsabilité des émeutes sur l’opposition

Maliactu - Thu, 01/09/2016 - 22:11

Pris à partie par la communauté internationale et l’opposition, le président gabonais Ali Bongo affichait jeudi sa fermeté, rejetant la responsabilité des violences qui ont fait trois morts après l’annonce de sa réélection sur des « groupuscules formés à la destruction », le gouvernement annonçant un millier d’interpellations.

« La démocratie s’accorde mal des succès autoproclamés, des groupuscules formés à la destruction. La démocratie s’accommode mal de la prise d’assaut d’un parlement et de la télévision nationale », a déclaré Ali Bongo Ondimba lors d’une brève allocution au palais présidentiel.

« Les élections ont rendu leur verdict (…) Qui a perdu? Un groupuscule dont le seul projet était de prendre le pouvoir pour se servir du Gabon et non servir le Gabon », a encore accusé le fils et successeur d’Omar Bongo, en visant Jean Ping, son principal rival à la présidentielle, qui était parvenu à rallier d’autres candidats importants de l’opposition.

L’annonce de sa réélection mercredi en fin de journée par la commission électorale a déclenché une nuit d’émeutes meurtrières et de pillages à Libreville et dans d’autres villes du pays.

Le centre de la capitale était quadrillé jeudi par les forces de l’ordre, notamment aux abords de l’Assemblée nationale, incendiée mercredi, et du QG de M. Ping, pris d’assaut dans la nuit. Les grands axes étaient dévastés, bordés de bâtiments incendiés et jonchés de restes de barricades. Près de l’Assemblée, la police a tiré en fin de matinée des lacrymogènes pour empêcher tout attroupement.

Des pillages étaient toujours en cours à la mi-journée dans des quartiers populaires de la capitale, selon la police. Mais les centres névralgiques du pouvoir étaient sécurisés par un imposant dispositif. Les communications internet ne fonctionnaient pas depuis mercredi soir.

« Sur Libreville, il y a entre 600 et 800 interpellations, et 200 à 300 sur le reste du pays », a annoncé le ministre de l’Intérieur, Pacôme Moubelet-Boubeya. Il a également déploré « la mort de trois personnes ». Jean Ping – réfugié dans un lieu inconnu – avait fait état d’au moins deux personnes tuées dans l’assaut contre son QG de campagne dans la nuit de mercredi à jeudi.

« Pour l’instant, nous faisons uniquement du maintien de l’ordre. Lorsque le moment sera venu, nous prendrons des mesures pour rétablir l’ordre sans équivoque », n’a pas hésité à prévenir le ministre de l’Intérieur.

Retenus depuis 06H00 au quartier général de Jean Ping, une vingtaine de leaders de l’opposition et de la société civile gabonaise restaient « séquestrés » dans les locaux jeudi soir, selon Zacharie Myboto, ancien ministre d’Omar Bongo, qui se sentait « en totale insécurité ».

– ‘frustration des jeunes’ –

« On nous a dit qu’on devait être transférés au siège de la gendarmerie, mais nous n’avons toujours pas de nouvelles », a-t-il raconté à l’AFP, en précisant que 25 personnes étaient retenues avec lui dans la cour du QG, dont l’ancien vice-président de la République Didjob Ding Duvungui.

Mercredi en fin d’après-midi, la commission électorale avait annoncé la réélection du président sortant pour un deuxième septennat avec 49,80% des suffrages, devant M. Ping (48,23%), 73 ans.

Cet écart marginal représente une différence de 5.594 voix, sur un total de 627.805 inscrits, dans ce petit pays pétrolier d’à peine 1,8 million d’habitants.

Ali Bongo, 57 ans, devrait sa réélection à son score écrasant dans son fief familial, le Haut-Ogooué, où il aurait obtenu 95,46% pour plus de 99% de participation. Selon le camp de M. Ping, celui-ci avait une avance de plus de 60.000 voix avant les résultats officiels et contestés du Haut-Ogooué.

Le régime d’Ali Bongo se trouvait jeudi sous la pression de la communauté internationale qui appelle à un arrêt des violences et à un nouveau comptage des votes du scrutin de samedi.

Comme l’opposition, l’Union européenne, la France et les États-Unis ont demandé la publication des résultats de tous les bureaux de vote du Gabon (environ 2.500).

La chef de la diplomatie européenne Federica Mogherini a évoqué jeudi une crise profonde » et a appelé les différentes parties « au calme ».

Par la voix de son président François Hollande, la France, ancienne puissance coloniale, a appelé « toutes les parties à la retenue et à l’apaisement, ce qui suppose un processus garantissant la transparence sur les résultats du scrutin ».

Disant entendre « la frustration du peuple gabonais, et des jeunes en particulier », le secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon a lui aussi appelé à une « vérification transparente » des résultats.

A la présidence, le porte-parole d’Ali Bongo, Alain-Claude Bilie-Bye-Nze, ne semblait pas apprécier ces conseils: « Nous faisons les élections en fonction de la loi gabonaise (qui prévoit la publication des résultats par région). Les pressions internationales doivent tenir compte de la loi gabonaise: ce ne sont pas elles qui vont la changer ».

A la Confédération africaine de football, on se voulait confiant, promettant qu’à ce jour, il n’y avait « aucun changement » dans le calendrier de la CAN-2017 que doit accueillir le Gabon du 14 janvier au 5 février.

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