Cet article Entre Chine et Europe, une alliance qui n’est pas que de circonstance… malgré les différends est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
(B2) La fermeture des points de passages contrôlés était au cœur des discussions du mécanisme de réponse et de prévention des incidents (IPRM – Incident Prevention and Response Mechanism), réuni le 22 mars 2019 à Ergneti, près de l’Ossétie du Sud
(crédit : EUMM Georgia)Pour le chef de mission d’observation de l’UE (EUMM Georgia), Erik Høeg, les différents acteurs devraient davantage utiliser la ligne d’urgence pour « prévenir les incidents et échanger les informations de manière optimale ». Il souhaite ainsi « autant que possible, limiter les effets néfastes de la fermeture des points de passage contrôlés » sur la « limite administrative » (= frontière). Il faut veiller à « l’impact sur la liberté de mouvement » insiste-t-il. Cela concerne tant la libre circulation des denrées alimentaires que l’accès aux écoles ou aux centres de soins. Prochaine réunion est prévue : le 16 mai 2019.
(MHA)
Lire aussi : Patrouille avec EUMM à la « frontière » entre la Géorgie et l’Ossétie du Sud
Cet article Le message de Erik Høeg aux Géorgiens et Ossètes : utilisez davantage la ligne rouge est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
Cet article Carnet (10.04.2019). Confidentiels (COPS, Martin Selmayr). PESC (Gardiens de la révolution et sanctions). Défense (Commandement de Brunssum, Intelligence artificielle, Char Lourd, Royaume-Uni anti-drones, Estonie cyber, Croatie salon). Diplomatie (Libye conférence, Syrie réfugiés). Aides (cyclone Idai). Sécurité (Contenus internet, Ecris, Désinformation, Frontière autrichienne). Pouvoirs (Italianer). A lire est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
Cet article Le fichier des casiers judiciaires (ECRIS) étendu aux citoyens de pays tiers est apparu en premier sur B2 Bruxelles2.
Cet article Theresa May demande quelques semaines. Donnons lui un an dit Donald Tusk. Sa lettre d’invitation au sommet européen est apparu en premier sur Bruxelles2.
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(B2) Pour renforcer la surveillance aérienne, après le départ des navires, l’opération Sophia déployée en Méditerranée (alias EUNAVFOR Med) va bénéficier d’un renfort de drones Predator de l’aeronautica militare
MQ-9A Predator B en vol (crédit : MOD Italie)Un MQ-9A Predator B, la version la plus avancée et la plus récente du drone, d’une longueur 10,80 m avec une envergure de plus de 20 mètres, qui peut voler à 445 km / heure, devrait être déployé, selon nos opérations. Un MQ-1C Predator A, plus modeste (longueur de 8,20 m et envergure de 14,80 m), pouvant voler à 160 km/heure, pourrait aussi être déployé.
Un équipement bien utile
Pouvant voler à moyenne ou haute altitude, ces engins permettent à l’opération de mener des missions ISTAR (Renseignement, surveillance, acquisition de cible et reconnaissance), en toute discrétion. Un atout certain avec des passeurs. Leur grand intérêt est aussi l’autonomie de vol bien supérieure (environ 36 heures) à celle d’un avion ou d’un hélicoptères.
Un outil déjà employé
Ce déploiement de drones en Méditerranée n’est pas totalement une nouveauté pour les Italiens. Des drones Predator du 28ème groupe de la 32ème escadre d’Amendola avaient déjà utilisés dans l’opération Mare Nostrum. Un apport très utile permettant d’identifier des navires en perdition comme certaines manœuvres de groupes de trafiquants.
(NGV)
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Cet article Être un homme d’affaires influent en Syrie suffit pour être lié au régime syrien (Tribunal de l’UE) est apparu en premier sur Bruxelles2.
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(B2 à Luxembourg) A la fin de la réunion des ministres des Affaires étrangères lundi (8 avril) à Luxembourg, la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, est revenue face à la presse sur les opérations de sauvetage des migrants
Federica Mogherini face à la presse au Conseil des Affaires étrangères (Crédit : Conseil de l’UE)Celle qui est aussi la vice-présidente de la Commission européenne a indiqué de façon très claire un point fondamental :
« La Libye n’est pas un pays sûr. L’Union européenne ne l’a jamais considérée comme cela. Il n’y a pas de changement là dessus. Et les évènements récents nous rappellent que c’est le cas. »
NB : Cette assertion très claire tranche avec les atermoiements des Européens — Commission européenne comprise — qui louvoyaient entre respect des valeurs, en théorie, et sens des réalités, pour ne pas brusquer le travail des garde-côtes libyens en cours de montée en puissance, comme la position italienne qui est de considérer que toute personne sauvée dans la nouvelle zone de secours et de sauvetage (MRCC) libyenne devrait être ramenée en Libye.
L’opération Sophia sans navires est peu efficace
Quant à l’opération Sophia en Méditerranée (EUNAVFOR Med), au cas où certains n’avaient pas vraiment compris, la Haute représentante a enfoncé le clou. Sans navires, elle n’est pas efficace…
« Je crois — et pas seulement moi —, qu’une opération navale dépourvue de moyens navals ne peut pas s’acquitter de son mandat comme elle doit le faire. C’est la décision prise par les États membres. Nous la mettrons en œuvre comme nous le pouvons. [Mais] nous ne pouvons qu’espérer que les États membres trouveront [prochainement] un type d’accord différent vu la nécessité de maintenir une vigilance extrême en Méditerranée sur les flux migratoires et la sécurité. Sans les moyens de la marine, il est évident que cela ne peut être fait que de manière très limitée. Ce qui est regrettable. J’espère seulement que les États membres reviendront sur leur décision le plus rapidement possible. »
Commentaire : Une franchise qui ne plaira pas partout
Ce propos d’une rare franchise confirme trois points. Premièrement, l’option choisie par les États membres (continuer l’opération Sophia sans navires) n’était ni le choix premier ni même le choix secondaire de Federica Mogherini. C’est pour cela d’ailleurs qu’elle ne l’a pas proposée aux États membres (Lire : Une nouvelle mission pour succéder à l’opération Sophia ?). Deuxièmement, avoir une opération sans navires n’est pas aussi facile que cela à mettre en place, car les moyens aériens ne sont pas présents en renfort. Troisièmement, elle est loin d’être efficace au regard des enjeux en Méditerranée.
Certains États membres avaient été plutôt furieux non seulement des options limitées proposées par la Haute représentante, mais également de sa communication sur le sujet. Il est rare en effet qu’un responsable européen mette en cause directement les États membres. Un acte ressenti comme une déloyauté, ou au moins une entaille dans « l’obligation de coopération loyale entre institutions », nous a fait remarquer un diplomate, résumant un avis partagé. Le propos de Federica Mogherini à Luxembourg ne va certainement pas aider à panser les plaies…
Cette position de la Haute représentante, aussi directe, est, en effet, plutôt rare, au moins d’un point de vue public. Mais elle a le mérite de la clarté. Il est parfois sain pour le débat public que les Européens ne taisent pas leurs désaccords et expriment clairement leurs divergences de vues quand elles existent.
(Nicolas Gros-Verheyde)
LIre aussi : Points de suture pour l’opération Sophia qui repart pour six mois … sans bateaux (V4)
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Cet article Carnet (08.04.2019). Confidentiels (COPS, fatigue ministérielle, Venezuela sanctions). Opérations (Sahel et Interpol). PESC (MOE Malawi). Défense (EDA cyber, robots tueurs Parly, Finlande équipement, F-35 Europe). Diplomatie (Libye Tripoli, Rwanda génocide, Soudan changement, Iran nucléaire, CPI Etats-Unis, Burkina Faso massacre, Conclusions G7). Aides (Sahel sécurité). Sécurité (Libye Gutteres, G7 Intérieur, ONG et passeurs Castaner). Pouvoirs (Espagne Sanchez). Elections 2019 (site). Agenda. A lire. est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article La loi anti-blocage de l’UE (fiche) est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2) Le PPE et le S&D regagnent une certaine assise sans reconquérir leur majorité absolue. Les ‘petits’ groupes (Verts, Gauche, Droite nationale) grignotent du terrain.
Ce sont les deux principaux enseignements de la troisième projection en sièges rendue publique le 29 mars dernier par le Parlement européen pour les élections européennes de mai 2019 (1).
Sur les 705 députés du nouveau Parlement, un gros tiers (36,7%) seraient occupés par les PPE, un petit quart (20,1%) par les S&D, un sur dix (10,2%) par les ALDE, suivis de 8,7% pour l’ENF, 7,5% l’ECR, 7,2% pour les Verts, 7% de GUE, et 4,3% d’EFDD.
Les grands groupes regagnent du poids
Les chrétiens-démocrates (PPE) et les socialistes et démocrates (S&D) reprennent du terrain, avec respectivement 188 sièges (contre 181 dans la 2e projection) et 142 sièges (contre 135). Mais ils restent en deçà des scores obtenus en 2014, et perdent donc toujours potentiellement des députés comme la majorité absolue (2).
Les libéraux n’arrivent pas à franchir le cap
Le troisième groupe, les Libéraux et Démocrates de l’ALDE, ne bouleverse toujours pas la donne dans les intentions de vote. Il marque même un léger recul (de 75 à 72 sièges). Mais il garde globalement un poids égal de députés par rapport à 2014.
Les intentions se confortent sur les Verts, les communistes et l’extrême droite
Les Verts continuent de grimper (de 49 à 51), comme la gauche radicale de la GUE (de 47 à 49). L’extrême droite (ENF) gagne également toujours plus de voix, en passant de 59 à 61 sièges. Leur poids dans l’hémicycle se maintient aux alentours de 7/8 %.
Changements de tendances pour l’ECR et l’EFDD
Les conservateurs (ECR) regagnent le terrain concédé, en passant de 46 à 53 sièges. Renversement inversement proportionnel pour les eurosceptiques de l’EFDD qui perdent 9 sièges (alors qu’ils en avaient gagné 4 précédemment). Les deux groupes perdent toujours du poids dans le futur hémicycle.
(Emmanuelle Stroesser)
En savoir plus
Le site du Parlement européen sur les élections
Télécharger le rapport (pdf) et les projections (fichier excel)
Cet article Européennes 2019 : seuls les ‘petits’ continuent de grossir est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2) Chargé de cours à l’Université de Liège et Senior fellow à l’Institut royal supérieur de défense, André Dumoulin a toujours une pensée intéressante sur le sort des institutions de défense. Son analyse sur les 70 ans de l’Organisation de l’Alliance atlantique fêté en grande pompe cette semaine est à lire…
(crédit : OTAN)Sa raison d’être : une alliance de défense et de solidarité collective
Peut-on dire, comme il y a dix ans, que l’OTAN se cherche encore, elle qui a déjà vécu des ajustements stratégiques importants suite à la fin de la guerre froide puis à l’événement rupture que fut le terrorisme du 11 septembre 2001 et le retour de la France dans le commandement intégré ? Dans tous les cas, elle est restée ce que les États membres ont toujours souhaité qu’elle soit en premier : une alliance de défense et de solidarité collective en cas d’agression.
Un outil de normalisation
Mais l’assurance vie n’empêche pas cette organisation bureaucratique et comitologique d’édifier (avec l’aide et autres suggestions de certaines capitales) de nouveaux concepts. Elle peut ainsi introduit ainsi une doctrine d’engagement, une lecture révisée des risques et des menaces face aux conflits asymétriques, aux guerres hybrides et aux enjeux du cyber, comme des argumentaires dans le champ capacitaire ou des missions hors zone. L’OTAN reste ainsi un outil de normalisation (Stanags, certification), mais aussi doctrinale et procédurale1, un réservoir de forces, un facilitateur de coalitions, une alliance de réassurance, un cadre d’élargissement.
Un flirt avec les compétences civiles et civilo-militaires
Tout s’est aussi complexifié cependant. L’OTAN flirte aujourd’hui avec les compétences civiles et civilo-militaires de l’Union européenne et sa Politique de sécurité et défense, sa stratégie globale. Elle n’a pas assimilé l’Ukraine et la Géorgie au risque d’un « pont trop loin » face à une Russie quelque « peu remontée » devant l’avancée vers l’Est des « Occidentaux », mais elle a déjà engagé de la coopération politico-militaire en réponse à la guerre du Donbass et de l’annexion de la Crimée. Elle n’a pas encore pu dépasser en automatique les divergences politiques et culturelles entre États membres autour de l’usage de la force et s’interroge grandement aujourd’hui sur la politique de l’administration Trump qui déstabilise les Européens à propos de l’avenir de l’organisation transatlantique qui fête en avril prochain ces 70 ans.
Le maître mot du partage des coûts et des risques
Si les Européens ont toujours « voulu de l’OTAN » pour maintenir les liens avec les Américains (couplage dissuasif), les maîtres-mots finaux restent les questions du « partage des coûts et du fardeau » et du « partage des risques » : en d’autres termes « la doctrine de responsabilité » des Européens déjà souhaitée par Obama. Malgré les déclarations renouvelées et les 74 domaines de coopération impliquant la complémentarité3 entre l’OTAN et l’UE, les tensions sont palpables et les « jeux comparatifs » entre États producteurs et États consommateurs de sécurité restent bel et bien présents. Raphaël Cottain a même imaginé ce que pourrait être d’éventuelles sanctions à l’égard des « resquilleurs » : restrictions dans les postes au sein de l’OTAN, expulsion de l’Alliance, exclusion du processus de décision, …
Des questions posées sur l’avenir de l’OTAN
L’OTAN navigue-t-elle vue en dépendance des événements et par réactivité ? Joue-t-elle dans le préventif et la proactivité ? On perçoit combien les réponses ne peuvent être qu’attachées à des scénarios et situations à chaque fois spécifiques. Peut-on estimer que les tensions avec la Russie dans cette « paix froide » – à ne pas confondre avec la guerre froide d’avant 1989 – ont créé une dynamique de nouvelle définition d’un « ennemi » (au pire) ou d’un défi (au mieux) ? Comment analyser la politique américaine sur l’avenir du nucléaire en Europe et la dimension anti-missile ?
Le retrait américain n’est-il qu’apparence
Comment apprécier le discours politique critique vis-à-vis des Européens et l’idée d’un possible « retrait américain » d’un côté, et la politique de réassurance concrète engagée par les Américains de l’autre. Avec force manœuvres militaires à l’Est, protections des lignes de communications transatlantiques, gesticulation nucléaire, soutien à la logistique et à la mobilité militaire sans oublier le réveil des grands dépôts avancés de l’US Army dans certains pays membres européens (dont la Belgique) et la nouvelle culture de la réactivité opérationnelle ? (lire aussi : L’OTAN investit en Pologne… en soutien aux Américains). Peut-on y voir une contradiction ? Ou n’est-elle qu’apparence, sachant que la politique américaine (géoéconomie) voit l’Europe aussi comme un marché d’équipements de défense à conquérir et à surveiller ? 4
Le faible budget US consacré à la défense de l’Europe
Qui peut affirmer que la solidarité transatlantique a totalement disparu ? Certes on peut constater la part « réduite » du budget de la défense US destinée à la défense de l’Europe (seuls 30,7 milliards $ lui sont alloués sur les 602 milliards $ du budget US)5 tandis que les Européens réunis dépensent aujourd’hui davantage que les Russes et autant que la Chine, mais avec bien des duplications et gaspillages. Mais nous n’en sommes pas encore à un pilier européen fort dans une OTAN en grande partie « désaméricanisée » ! Ou à un commandement intégré allié en Europe aux mains des Européens !
L’effacement américain au sein de l’Alliance : peu probable
De toute évidence, malgré l’America first à destination intérieure, la fatigue des Alliances et les réclamations plus affirmées sur le partage des coûts, les intérêts commerciaux et économiques US en Europe sont tels que l’on voit mal l’effacement américain au sein de l’Alliance, formidable outil d’influence. D’ailleurs, malgré les « imprévisibilités trumpistes », la Chambre des Représentants (Démocrates) a approuvé (357 oui et 2 non) une loi réaffirmant que la politique des États-Unis doit être de rester membre de l’OTAN, tout en interdisant l’utilisation de fonds pour quitter l’Alliance. Un fameux verrou !
(André Dumoulin)
1 La production doctrinale US (Tradoc, Net Assesment, Rand Corp) influence directement la capacité de réflexion de l’OTAN et la langue dominante (Hélène Clément-Pitio).
2 Actuellement, la grande majorité des 29 membres de l’OTAN sont aussi membres de l’Union européenne (NB : Albanie et Croatie en 2009 et Monténégro (2017) sont devenus membres de l’Alliance atlantique) mais six sont sans « double casquette » : États-Unis, Canada, Islande, Turquie, Norvège, Albanie. La Macédoine deviendra le 30ème membre de l’OTAN d’ici décembre 2019.
NB : actuellement 22 des 28 États membres de l’Union sont membres de l’OTAN (sauf l’Autriche, Chypre, la Finlande, l’Irlande, Malte et la Suède).
3 « L’Union européenne empêche nos agriculteurs et nos entreprises de faire des affaires en Europe (déficit commercial de 151 milliards de dollars américains). Et ils veulent ensuite que nous les défendions avec joie par l’intermédiaire de l’OTAN et que nous en payions gentiment. Ça ne marche pas ! » (Donald Trump, Bruxelles, 10 juillet 2018).
4 Données IISS 7/2018.
Version longue d’un article publié en version courte dans le quotidien ‘Le Soir’. Titre et intertitres de la rédaction
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