L'exposition du Centre Pompidou intitulée « Photographie arme de classe » est pionnière à plusieurs titres . Il ne semble pas, en effet, qu'il y en ait eu de telle à Paris depuis 1935, et les historiens de la photographie, en France, ont pratiquement négligé ce domaine qui appartient à la fois à la photographie amateur, collective et politique, et qu'a recouvert l'expression fourre-tout et quelque peu lénifiante de « photographie humaniste ». Elle est par ailleurs le fruit d'une collaboration qui s'est (...)
- Contrebande / Culture, France, Marxisme, Socialisme, Travail, Art, Photographie, Communisme, HistoireAprès deux premiers romans, Mathématiques congolaises (2008) et Congo INC (2014), des coups de maître successifs, Jean Bofane a livré en août 2018 une fiction plus légère. La Belle de Casa se sirote au début comme un long drink. La mise en place de l'intrigue prend tout son temps, autour de la mort mystérieuse, en pleine rue, d'une beauté marocaine, Ishrak, un matin de grand vent. Exit la République démocratique du Congo (RDC) et ses « touristes à but lucratifs », comme l'auteur aime appeler les sociétés (...)
- Mots d'Afrique / Congo (République démocratique du), Afrique, Maghreb, Maroc, Femmes, Sexualité, Migrations, Littérature, Culture(B2) Les forces allemandes et autrichiennes sont engagées dans des opérations importantes, face aux abondantes chutes de neige ces derniers jours. Le ‘Schnee-Chaos’ comme on le nomme à Berlin
(crédit : Bundeswehr)
En Allemagne, l’alerte militaire de catastrophe (milKATAL) a été déclenchée. Les chutes de neige abondantes ont provoqué la fermeture de routes, isoler des villages et aggravé le danger d’avalanche, dans certaines régions de Bavière, du Bade-Wurtemberg et de Saxe. Près de 1500 soldats de différentes unités (en particulier de la 23e brigade de montagne ’23 Bayern’ étaient engagés dimanche (13 janvier) — 1219 déjà en action, 268 en préparation — selon les derniers chiffres de la Bundeswehr.
En Autriche, selon la Bundesheer, environ 900 soldats sont déployés dans six Länder, surtout dans le Land de Salzbourg. Objectif : dégager les routes, les accès, mais aussi les toits. La météo difficile n’a pas permis tous les jours d’effectuer des vols d’hélicoptères. Vendredi (11 janvier), 16 hélicoptères avaient pu prendre l’air, effectuant 27 vols pour des missions de reconnaissance, de dynamitage en avalanche, de ravitaillement, ainsi que des évacuations.
(NGV)
On risque fort de se heurter à la même incrédulité que Pierre Bourdieu quand il avait assuré que l'opinion publique n'existe pas. Une assertion largement acceptée en théorie mais beaucoup moins en pratique. Dire que le peuple n'existe pas relève en partie du même problème.
- Régime d'opinion / France, Sondage d'opinion, Démocratie, État, Parti politique, Politique, Société(B2) L’hélicoptère du PGHM (peloton de gendarmerie de haute montagne) de Chamonix a réalisé une petite prouesse, très remarquée sur les réseaux
L’hélico du PGHM en appui patin (crédit : Nicolas Derely)
L’opération de sécours d’un jeune de 19 ans, blessé au genou, lors d’une randonnée au col de l’Anterne, entre la vallée de Samoens et celle de Chamonix Mont Blanc, a tourné à la démonstration d’un savoir-technique indéniable.
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Sauvetage au col d'Anterne : l'interview du pilote
A 2 200 mètres d'altitude, sur un terrain escarpé, le lieutenant Jean-François Martin du PGHM Chamonix Mont-Blanc n'avait aucune possibilité de se poser. Il a alors décidé de réaliser un "appui patin"… interview.En savoir + https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/haute-savoie/chamonix/videos-sauvetage-impressionnant-du-pghm-chamonix-plus-2000-metres-altitude-1602859.html
Gepostet von France 3 Pays de la Loire am Mittwoch, 9. Januar 2019
Une manœuvre classique
Que de l’ordinaire à écouter le lieutenant Jean-François Martin, pilote de l’hélico du PGHM, qui s’est confié à nos confrères de France 3 : « On part de la position du stationnaire, donc on a la machine qui est à peu près à l’horizontale, et on vient poser un patin, tout simplement. »
Un principe : avoir une bonne vue des pâles
L’explication technique vaut le détour. « Il y a très peu d’appui en fait. La machine, elle, est sustentée par le rotor. Et voilà. On vient tangenter le sol avec l’atterrisseur. S’approcher d’un obstacle en général, que ce soit en ‘appui patin’, en treuillage, ou autre, ce n’est pas forcément dangereux en soi, du moment que l’aérologie le permet. Mais c’est surtout qu’il faut avoir une très bonne visualisation de son disque rotor, pour savoir exactement où passent nos pâles. »
Et si la pâle avait touché ? « Cela aurait peut-être altéré le bout de pâle, sûrement, mais ce n’aurait pas été jusqu’au crash… mais je suis pas curieux. »
(NGV)