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Afrique

Note de lecture: Bottaari ngari dutal, la bravoure, une vertu innée

CRIDEM (Mauritanie) - Tue, 01/22/2019 - 00:00
Initiatives News - La lecture de l’essai anthropologique de Diouldé Niaye Dieng, BOTTAARI NGAARI DUTAL, nous renseigne, suffisamment et de la...
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La CENA répond aux préoccupations de l'UDBN

24 Heures au Bénin - Mon, 01/21/2019 - 23:28

Une forte délégation du bureau politique de l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) de l'honorable Claudine Prudencio était au siège de la Commission électorale nationale autonome (CENA), ce lundi 21 janvier 2019. Objectif de cette sortie, s'enquérir des conditions d'organisation du scrutin du 28 avril 2019 au niveau de l'institution en charge de l'organisation des élections au Bénin.

Après les civilités d'usage, le président de la CENA, Emmanuel TIANDO a exprimé sa joie et celle de son bureau, de recevoir les responsables de l'UDBN dans les locaux de la CENA pour parler de sujets relatifs à l'organisation des prochaines consultations électorales. « La CENA, c'est la maison des partis politiques. Et nous sommes très heureux de recevoir une si forte délégation de l'UDBN, dans un contexte où nous-mêmes nous prévoyions initier une série de rencontres avec les acteurs politiques », a déclaré Emmanuel TIANDO.
Fier de la promptitude par laquelle le président de la CENA a répondu favorablement à leur demande d'audience, le vice-président de l'UDBN, Guy CODJIA a indiqué que sa délégation est venue s'enquérir du niveau où en est la CENA par rapport aux questions liées au financement des prochaines législatives et aux constats faits sur le terrain par rapport à une campagne électorale précoce qui se mène à outrance par certaines blocs politiques. Guy CODJIA n'a pas manqué d'indexer à ce niveau, les grandes affiches aux effigies de certaines formations politiques et le rôle que doit jouer la CENA dans la sensibilisation des populations sur les nouvelles exigences du code électoral ; dont la méconnaissance peut, selon lui, conduire à des réactions incontrôlées de certains électeurs.
Par rapport à toutes ces préoccupations, le président de la CENA a apporté des éléments de réponse.
Pour ce qui concerne le financement, Emmanuel TIANDO a été très rassurant. « Il n'y a pas de tension autour du financement des élections, comme le ventile la rumeur. Pour l'instant, nous n'avons pas de difficultés à ce niveau. Nous avons élaboré notre budget. C'est validé. Toute la procédure d'arbitrage a été suivie. Je n'ai aucune raison de douter de l'engagement pris par le gouvernement et le chef de l'Etat à cet effet », a-t-il précisé.
Au sujet du calendrier électoral, le président de la CENA a informé que son institution a fait l'essentiel. « Nous attendions la convocation du corps électoral et la mise à disposition de la LEPI. Je peux vous dire que sous 24 heures, le calendrier électoral sera officiellement rendu public », a-t-il promis.

La CENA rassure la délégation de l'UDBN
Abordant la question de la campagne électorale précoce, Emmanuel TIANDO tout en déplorant la situation, a estimé que cela incombe beaucoup plus à la HAAC (Haute autorité de l'audiovisuelle et de la communication) et aux partis politiques. Pour lui, tout ce qui est diffusé d'illégal à cet effet dans les médias et les réseaux sociaux devrait être régulé par la HAAC et non par la CENA. Il a reconnu que même si le code électoral ne donne pas ce rôle à la CENA, celle-ci s'attèlera à contribuer à la sensibilisation de tous les acteurs politiques.
Pour ce qui est de la nécessité pour la CENA de sensibiliser les partis politiques et surtout les populations sur les nouvelles exigences du code électoral, Emmanuel TIANDO et ses hôtes ont convenu de l'urgence. A ce niveau, le secrétaire général adjoint de l'UDBN, Gildas AIZANON a insisté sur les obligations faites à la CENA par le code pour sa vulgarisation. Cette action selon lui, participe de la préservation d'un climat de paix en période électorale.
Pour Gildas AIZANON, cette sensibilisation est nécessaire aussi bien pour les populations que pour les partis politiques.
Le Président de la CENA, a promis que son équipe fera l'effort nécessaire dans ce sens, surtout à travers les rencontres avec les partis politiques et surtout lors des formations des agents électoraux dans les prochains jours.
La CENA selon M. TIANDO ne réussira pas ce pari seule. Il a salué le sens d'anticipation de l'UDBN et souhaité bon courage au parti et à sa Présidente Claudine PRUDENCIO.
La délégation de l'UDBN était composée de Guy CODJIA, vice-président, de Gildas AIZANNON, secrétaire général adjoint, de Jérémie KPATAHERI, Conseiller Technique Juridique Adjoint, de Mariannick GOUTHON, présidente de l'Union Nationale des Femmes et de Christine AHOUANDJINOU, directrice de l'école du parti.
Tout ce beau monde a été accueilli par le président de la CENA. Il avait à ses côtés la vice-présidente, Geneviève BOKO NADJO de la CENA, le coordonnateur du budget, Basile FASSINOU, les commissaires Freddy HOUNGBEDJI, Adam SOULE et la Secrétaire Exécutive Noellie APITHY.

F. Aubin AHEHEHINNOU

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53 clandestins morts ou portés disparus en mer d’Alboran selon le HCR*

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 01/21/2019 - 23:15
Essahraa - Dans un communiqué, le Haut-commissariat de l’ONU pour les réfugiés informe que 53 personnes ont perdu la vie dans le naufrage...
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Ould Menkouss: Les chefs des tribus guerrières étaient le bras du colonialisateur pour étendre son influence sur la Mauritanie (vidéo)

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 01/21/2019 - 22:30
Adrar Info - L’ancien ministre Yahya Ould Menkouss a déclaré que les chefs des tribus guerrières mauritaniens ont permis à la puissance...
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ÉLECTIONS EN RDC Kagame attendu de pied ferme à Kinshasa

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:45

Attendu aujourd’hui à Kinshasa à la tête d’une délégation de l’Union africaine (UA), le président rwandais Paul Kagame se retrouve sur la défensive après la proclamation comme président de la RDC de Félix Tshisekedi, déjà félicité par d’autres dirigeants africains. Dans la nuit de samedi à dimanche, la Cour constitutionnelle a passé outre à l’appel de l’UA à surseoir à la proclamation définitive des résultats de la présidentielle du 30 décembre, en rejetant le recours de Martin Fayulu et en validant la victoire de M. Tshisekedi, un autre opposant. C’est un affront pour M. Kagame. Président en exercice de l’UA, celui-ci avait initié la réunion de jeudi à Addis Abeba. Une délégation de l’UA avait alors demandé la «suspension» de la proclamation des résultats définitifs, en raison des «doutes sérieux» pesant sur ceux provisoires annoncés par la Commission électorale (Céni).
L’UA avait annoncé l’envoi à Kinshasa d’une délégation menée par M.Kagame et le président de la Commission de l’UA, le Tchadien Moussa Faki. La dernière visite du chef de l’État rwandais dans la capitale congolaise remonte à 2010, pour le cinquantenaire de l’indépendance. Pris de vitesse, M. Kagame est sans beaucoup d’options. Il devait être accompagné des chefs d’État sud-africain Cyril Ramaphosa, angolais Joao Lourenço, namibien Hage Geingob et tchadien Idriss Déby. Cette délégation osera-t-elle maintenir la pression sur M. Kabila, en menaçant par exemple de ne pas reconnaître M. Tshisekedi comme président légitime, comme l’a demandé à la communauté internationale M. Fayulu?
C’est d’autant moins probable que, dans un communiqué, la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) a félicité sans tarder M. Tshisekedi et demandé le «respect» de la «souveraineté» de la RDC. Ce texte a été signé par le président de la Namibie M. Geingob, qui était pourtant cosignataire de l’appel d’Addis. L’opposant M.Fayulu, qui dénonce un «putsch électoral» orchestré par MM. Tshisekedi et Kabila, avait demandé à la communauté internationale de ne pas reconnaître le nouveau président élu. Pour beaucoup en RDC, la décision de l’UA de dépêcher M.Kagame a été perçue comme une provocation, en raison de son rôle passé dans leur pays.
La RDC et le Rwanda entretiennent des relations complexes depuis le génocide des Tutsis du Rwanda en 1994, qui fit 800.000 morts selon l’ONU. En 1996-1997, M. Kagame avait activement soutenu militairement le chef rebelle Laurent-Désiré Kabila, père de l’actuel président, parti de l’est frontalier du Rwanda pour renverser le maréchal Mobutu Sese Seko, au pouvoir depuis 1965. En 1998, M. Kabila a coupé les ponts avec le Rwanda. Kigali est alors intervenu une nouvelle fois en RDC au cours de la deuxième guerre régionale (1998-2003), disant vouloir pourchasser les rebelles hutu des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), considérés comme des génocidaires. Conscient de ce passif, M. Kagame a veillé à ne pas s’exprimer publiquement sur les élections en RDC. Mais le temps pressant pour lui – il cessera d’être président de l’UA le 10 février, et son successeur, l’Egyptien Abdel Fattah Al-Sissi, est sur une ligne bien moins interventionniste -, il a tenté une dernière manoeuvre avec l’envoi de cette délégation.
Le Rwanda, comme l’Angola et l’Ouganda, craint avant tout qu’une instabilité en RDC se propage à ses frontières.

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Inauguration historique d’un pont entre le Sénégal et la Gambie

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 01/21/2019 - 21:45
RFI - Le Sénégal et la Gambie, après des mois d’attente, inaugurent un pont entre les deux pays. Il devrait permettre de désengorger le...
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NETANYAHU, AU TCHAD, ANNONCE LE RÉTABLISSEMENT DES RELATIONS DIPLOMATIQUES La voie minée d’Idriss Deby

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:44

Benjamin Netanyahu n’a jamais fait mystère de ses objectifs au cours des cinq dernières années, allant jusqu’à consacrer un forcing et une campagne soutenue pour nouer ou renouer les liens avec les pays les moins réfractaires en Afrique et dans les pays musulmans.

Annoncée voici plusieurs mois, lors de la visite en Israël du chef de l’Etat tchadien Idriss Deby, la «visite historique» de Benjamin Netanyahu a eu lieu, hier, en même temps que l’annonce tonitruante du rétablissement des relations diplomatiques entre les deux pays. Deby justifie sa démarche par le souci de bénéficier du soutien militaire israélien dans sa lutte contre les groupes rebelles à la frontière avec la Libye et surtout les factions terroristes comme Boko Haram qui ont plongé le Tchad dans une insécurité telle qu’ils parviennent à menacer toute la partie du lac Tchad d’où partent les opérations criminelles en tous genres vers les autres pays du Sahel. Rompues en 1972, ces relations diplomatiques sont un véritable coup de poignard planté dans le dos de l’Union africaine, des pays voisins du Tchad, notamment les pays sahéliens, et bien sûr de l’OLP qui est, rappelons-le membre observateur de l’organisation panafricaine depuis de nombreuses décennies. Déjà, en novembre dernier, Idriss Deby avait fait état de ses intentions à El Qods même, fort de certains «signaux» émanant de pays membres de la Ligue arabe et il avait validé par son silence la promesse de Netanyahu qui affirmait déjà que sa visite à Ndjamena serait l’occasion «historique» pour l’annonce du rétablissement officiel des relations diplomatiques bilatérales. Benjamin Netanyahu n’a jamais fait mystère de ses objectifs au cours des cinq dernières années, allant jusqu’à consacrer un forcing et une campagne soutenue pour nouer ou renouer les liens avec les pays les moins réfractaires en Afrique et dans les pays musulmans afin d’isoler davantage l’OLP et affaiblir complètement les revendications palestiniennes d’un Etat souverain avec El Qods-Est comme capitale. L’adhésion hypocrite ou quasiment assumée de certains pays comme le Tchad ne fait que le conforter dans sa démarche. Officiellement, Israël ne cherche qu’à reprendre pied chez des Etats et des peuples qui avaient pris fait et cause pour la Palestine et le fait de revenir sur la scène africaine constitue une étape cruciale dans la stratégie de renversement des alliances. Toujours est-il que la principale motivation du chef de l’Etat tchadien Idriss Deby consiste dans son attente d’un matériel israélien sophistiqué et peut-être même de conseillers militaires pour ses troupes engagées dans une lutte difficile contre les rebelles tchadiens qui constituent une menace sérieuse pour le régime.
Deby tout comme Netanyahu avaient pris soin en novembre d’éluder farouchement les questions relatives à des accords concernant la fourniture d’armes et de coopération militaire entre les deux Etats. Mais cela n’a pas empêché des sources sécuritaires tchadiennes de révéler, quelques jours plus tard, que ces accords ont bien été conclus et qu’ils ont été, de surcroît, assortis d’un programme de travail entre les services de renseignements israéliens et tchadiens, officiellement pour combattre les rébellions dans le nord et l’est du pays. Sauf que cette donne ne peut être ignorée par les pays de la région qui ne peuvent que condamner l’initiative du chef de l’Etat tchadien, agissant au mépris des statuts et des positions de l’Union africaine qui a rejeté récemment plusieurs tentatives sournoises opérées par certains pays comme le Kenya et le Maroc afin d’introduire Israël comme membre observateur de l’organisation, aux côtés de l’OLP!
Un comble et une lâcheté quand on connaît la politique de Netanyahu dans les territoires palestiniens occupés.

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SYRIE Un attentat secoue le sud de Damas

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:43

Le président syrien, Bachar al-Assad, a enchaîné les victoires face aux rebelles et aux terroristes, et contrôle désormais les deux-tiers du pays, grâce au soutien militaire de ses alliés, la Russie, l’Iran, et le Hezbollah libanais.

Un attentat a eu lieu hier matin dans le sud de la capitale syrienne Damas, a rapporté l’agence officielle Sana, selon qui un «terroriste» a été interpellé. D’après l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), qui dispose d’un vaste réseau de sources dans le pays en guerre, la «forte explosion», survenue près d’un bureau du renseignement militaire, a fait «des morts et des blessés».
L’existence de victimes n’a toutefois pas été confirmée par Sana. «Il y a des personnes tuées et blessées mais nous n’avons pas encore pu vérifier le bilan» exact, a déclaré le directeur de l’OSDH, Rami Abdel Rahmane, ajoutant que l’explosion avait été suivie de tirs». Il a précisé qu’il s’agissait de la première attaque dans la capitale syrienne en plus d’un an. La télévision d’Etat avait initialement rapporté qu’une explosion avait été entendue près d’une autoroute dans le sud de la ville, faisant état de «premiers rapports suggérant un acte terroriste». Elle n’avait pas donné davantage de détails. Le régime syrien a annoncé en mai 2018 contrôler «totalement» Damas et ses environs pour la première fois depuis 2012, après avoir chassé les terroristes du groupe Etat islamique (EI) de leur dernier réduit dans la capitale, au terme d’un mois d’une vaste offensive.
Le président syrien Bachar al-Assad a enchaîné les victoires face aux rebelles et aux terroristes, et contrôle désormais les deux-tiers du pays, grâce au soutien militaire de ses alliés, la Russie, l’Iran, et le Hezbollah libanais. Le nouvel émissaire de l’ONU pour le conflit en Syrie était à Damas la semaine dernière, après sa prise de fonction le 7 janvier. Le diplomate norvégien Geir Pedersen s’est engagé à revenir «régulièrement» dans la capitale syrienne pour trouver une solution politique à la guerre.
Les trois émissaires onusiens qui l’ont précédé -l’ancien secrétaire général de l’ONU Kofi Annan, l’Algérien Lakhdar Brahimi et l’Italo-Suédois Staffan de Mistura- ont tous jeté l’éponge..
Le 16 janvier, 16 personnes, dont quatre Américains, ont été tuées dans un attentat suicide revendiqué par le groupe EI à Minbej (nord), l’attaque la plus meurtrière contre les forces américaines qui dirigent une coalition internationale antiterroristes depuis 2014 en Syrie. Le président américain Donald Trump avait annoncé en décembre le retrait des troupes américaines de Syrie, justifiant ce désengagement par le fait que l’EI avait été vaincu. Des combats ont toujours lieu, notamment dans l’est du pays près de la frontière irakienne, où se sont retranchés les terroristes de l’EI.

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BENGHABRIT : «Grève ou pas, les parents sont tenus d’envoyer leurs enfants à l’école» 0

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:41

En visite de travail hier dans la wilaya d’Oran pour inspecter son secteur, la ministre de l’Education s’est dit toujours ouverte au dialogue avec les syndicats et en aucun cas menaçante envers les enseignants grévistes. «Je n’aime pas les menaces et la loi accorde au partenaire social le droit de recourir à la grève.»
Amel Bentolba – Oran (Le Soir) – Toujours au sujet de la grève dans le secteur de l’éducation qui devrait avoir lieu aujourd’hui, Mme Benghabrit a tenu à préciser : «Jusqu’à ce matin, une rencontre a lieu au niveau du ministère de l’Education avec un syndicat qui avait retardé sa réunion. Les portes du dialogue restent toujours ouvertes.
A l’issue de nos discussions, nous allons remettre à tous les syndicats avec qui nous avons discuté, un projet de procès-verbal, à leur tour ils nous retourneront leurs suggestions.»
Pour la ministre de l’Education, il faut prendre le temps qu’il faudra dans le dialogue, le but étant d’en sortir avec des résultats. «Il est clair qu’on ne peut pas partager toutes les idées et toutes les suggestions, surtout concernant les revendications exposées.»
Dans le cas où la grève aura lieu aujourd’hui même, la ministre dira que son secteur a pris des mesures selon la durée du débrayage. «Les syndicats dans l’enseignement ont le droit à la grève, mais notre devoir, nous en tant que ministère de tutelle, est celui d’assurer la scolarité aux élèves. En conséquence, dans le cas d’une grève de courte durée, un protocole connu est mis en place avec le dispatching des élèves à travers les classes. Dans le cas d’une grève de longue durée, un autre protocole est enclenché en faisant appel à des contractuels et des vacataires.»
Mme Benghabrit a toutefois tenu à rappeler aux parents qu’il ne faudrait pas qu’ils se laissent influencer par l’information (de grève) qui est annoncée, en prenant l’initiative de ne pas envoyer leurs enfants à l’école. «En agissant ainsi, d’une certaine manière, l’absence des élèves rend de fait la grève d’actualité. L’élève qui ne se rend pas à son établissement est considéré comme étant absent, chacun doit assumer ses responsabilités.» Pour la ministre, le message à l’intention des parents est clair, qu’il y ait grève ou pas, ils ne doivent en aucun cas prendre l’initiative de ne pas envoyer leur enfant à l’école, ce serait une manière de rendre la grève encore plus légitime.
A. B.

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ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE DU 18 AVRIL PROCHAIN Quels candidats islamistes ?

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:41

Maintenant que le suspense autour de la tenue de la prochaine élection présidentielle est levé, d’autres pointent le nez dont les profils des potentiels candidats du camp islamiste.
M. Kebci – Alger (Le Soir) – Il est loin le temps où le pouvoir en place usait de sa terrible «arme dissuasive» en présentant comme des épouvantails les candidats du camp vert pour imposer le fameux «vote utile», toujours à sa faveur.
Le temps de la déferlante islamiste relevant désormais de l’histoire récente du pays, le camp vert a vu son influence politique s’effilocher au gré des consultations électorales qui lui ont été fatales pour ne pas représenter grand-chose électoralement, tous compartiments confondus. Ce dont les leaders de la mouvance sont conscients, eux qui, exception du défunt chef du MSP, Mahfoud Nahnah, et à un degré moindre son compère Abdallah Djaballah qui semble avoir fait son deuil en se consacrant plus au prêche religieux qu’au discours politique, il n’y a pratiquement pas une «tête» qui émerge.
Et ce n’est certainement pas Abderezzak Makri qui constituerait l’alternative à l’intérieur même de la mouvance verte, voire au sein même du parti qu’il préside. En effet, son prédécesseur à la tête du MSP, Aboudjerra Soltani, vient d’annoncer qu’il présenterait sa candidature à la prochaine présidentielle au nom du mouvement lors de la prochaine session du conseil consultatif national qui aura à trancher la question de la position finale à l’égard de ce scrutin. Voilà qui doit certainement chambouler les «plans» de Makri qui se voyait incarner la «locomotive» pas que de la mouvance mais de l’opposition en général. En témoignent ses dernières «initiatives» qui n’ont fait que «creuser davantage le fossé qui le sépare de ses pairs islamistes en particulier, notamment Soltani et Djaballah, et de ses camarades de l’opposition plus généralement qui lui reprochent sa prétention à jouer en «solo» et à adopter la «dualité» comme démarche.
L’homme a beau se défendre de ces «chefs d’inculpation» mais n’arrive toujours pas à effacer l’image que l’on fait de lui. Ce qui compromet sérieusement ses chances de constituer l’alternative d’abord «islamiste» puis, plus globalement, celle de l’opposition au système en place. A ses côtés, il y a le leader du FJD (Front pour la justice et le développement) qui, tel un chat échaudé, craint d’endurer les mêmes mésaventures du passé. Il ne semble pas «trop» intéressé par une autre candidature qui ne ferait certainement qu’amplifier le déclin de son «aura passée» ou supposée comme telle. Pour lui, une candidature au rendez-vous du 18 avril prochain serait «inutile», lui dont l’éternelle priorité est de «rassembler la grande famille verte». Un projet que les «ambitions» et les «appétits» de bien de «frères de mouvance» contrarient toujours et dont beaucoup ont rejoint, avec armes et bagages, le clan, hier vomi.
M. K.

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Il annonce juste son intention de constitution d’un dossier administratif La démarche prudente de Ali Benflis

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:39

L’ancien chef de gouvernement et président du parti Talaie El Hourriyet, Ali Benflis, a rendu publique, hier dimanche, sa première réaction officielle, à la convocation du corps électoral pour la présidentielle, pour le jeudi 18 avril prochain. Benflis, qui s’est fermement opposé au report de la présidentielle, comme avait initialement prévu le pouvoir en décembre dernier, a préféré, toutefois, procéder par à-coups, et ne rien trancher définitivement s’agissant de sa propre candidature.
Kamel Amarni – Alger (Le Soir) – Dans un court communiqué rendu public dans la journée d’hier, l’ancien chef de gouvernement a, en fait, exprimé une position extrêmement mesurée. Dans cette déclaration, chaque mot est bien pesé pour, in fine, ne rien trancher ni écarter de manière définitive. On y lit, en effet que, «prenant acte de la publication au Journal Officiel du décret présidentiel numéro 19/08 du 17 janvier 2019 portant convocation du corps électoral pour l’élection présidentielle fixée au jeudi 18 avril 2019, et conformément à la législation en vigueur en matière d’élection présidentielle, j’ai adressé, ce jour, dimanche 20 janvier 2019, à Monsieur le Ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, une lettre annonçant mon intention de constituer un dossier de candidature à l’élection à la présidence de la République». A relever, déjà, que Benflis parle, ici, «d’intention de constituer un dossier de candidature» et non pas d’une candidature en bonne et due forme. D’ailleurs, il ajoutera immédiatement après cet autre paragraphe très nuancé : «En accomplissant cette formalité pour le retrait des formulaires de souscription individuelle, il est, cependant, à préciser que la question de la participation à cette élection sera tranchée lors d’une prochaine session du comité central du parti, conformément aux statuts du parti et au règlement intérieur du comité central». Dans l’entourage de l’ancien chef de gouvernement, on confirme, effectivement, que «la question de la candidature ne sera pas tranchée de sitôt. Elle fera l’objet d’un examen minutieux de la situation politique générale du pays et de son évolution dans les jours et les semaines à venir. Le bureau politique du parti préparera un rapport détaillé dans ce sens, qu’il présentera lors d’une session extraordinaire du comité central.
On prévoit de tenir cette dernière en présence de la presse pour prendre l’opinion publique à témoin». Pour notre source, la candidature ou pas de Ali Benflis «dépendra de cette évolution de la situation politique en question, en l’occurrence, s’agira-t-il d’une élection régulière et transparente ? Qui se tiendra avec quels candidats ? Notamment, celle du chef de l’Etat et de quelle manière interviendrait-elle, etc.». Ali Benflis, qui reste, pour rappel, le seul ancien chef de gouvernement à avoir une présence permanente sur le terrain, en créant un parti politique, cumule, par ailleurs, une grande expérience. Tant en termes de mode de fonctionnement du système, que des grands rendez-vous électoraux. Directeur de campagne de Abdelaziz Bouteflika en 1999, Ali Benflis a eu, également, à mener son ancien parti, le FLN, durant deux grandes élections, les législatives et les locales de 2002. En sa qualité de secrétaire général du FLN mais aussi de chef du gouvernement qui organisait ces mêmes élections. L’homme a eu, enfin, à se porter deux fois candidats aux élections présidentielles, en 2004 et en 2014, deux occasions où Bouteflika et le pouvoir avaient en face un sérieux et véritable rival qui les obligera à sérieusement «mouiller le maillot» pour lui barrer la route d’El-Mouradia. En tout cas, tout ce capital le place en meilleure position que tout le reste du personnel politique dans l’opposition, pour bien évaluer la situation avant de se lancer dans la course. D’où la précaution de ne rien anticiper, ni négliger. A savoir, se préparer, déjà, sur les plans administratif et logistique, avec, notamment, ce dossier de candidature, la collecte des signatures et la confection d’un programme électoral tout en maintenant le suspense sur la décision finale et officielle.
K. A.

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Sahara Occidental : le Polisario va saisir la justice Européenne à propos de l’accord Maroc – UE

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:37
Le Front Polisario a décidé de contester devant la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) l’accord commercial conclu entre Maroc et l’UE, incluant les territoires Sahraouis, adopté mercredi dernier par le Parlement Européen, affirmant que la bataille pour la préservation des ressources naturelles Sahraouies constituera un facteur de pression déterminant sur l’occupant Marocain. Dans un communiqué repris, dimanche, par l’agence Sahara presse service (SPS) le Front Polisario signale que « la bataille se fera entre les organes judiciaires et exécutifs de l’Europe, d’autant, relève-t-il, qu’aucune partie ne reconnaît la prétendue souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental, y compris l’Union Européenne elle-même; Condamnant le vote du Parlement européen sur le dit- accord, lequel, est-il noté, traduit à la fois la « contradiction » et « la violation » de l’UE des décisions de la CJUE, le Front Polisario estime que l’UE a « légitimé à travers cet accord le pillage flagrant des ressources naturelles du Sahara occidental occupé ». Dans ce contexte, ce dernier a annoncé sa décision définitive de saisir de nouveau la Cour de justice Européenne pour faire respecter les arrêts de 2016 et 2018 qui avaient statué que les territoires Sahraouis sont « séparés » et « distincts » de ceux du Maroc et ne relevant pas de la prétendue « souveraineté » du Royaume Marocain. Les arrêts de la Cour de justice Européenne avaient exigé des instances de l’Union européenne de solliciter préalablement le consentement du peuple Sahraoui pour tout accord prévoyant l’exploitation de ses ressources naturelles.

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Une cache de 6 missiles Grad découverte par l’ANP à Tamanrasset

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:36

Une cache d’armes contenant 6 missiles de type Grad BM-21 a été découverte lundi par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP) lors d’une opération de recherche menée à Tamanrasset, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce à l’exploitation de renseignements, un détachement de l’Armée nationale populaire a découvert, aujourd’hui 21 janvier 2019, lors d’une opération de recherche et de fouille menée à Tamanrasset, dans la 6ème Région militaire, une cache d’armes et de munitions contenant six (06) missiles de type Grad BM-21, un (01) pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et un chargeur garni, ainsi que 80 balles de calibre 14,5 mm », précise la même source.

« Cette opération réitère la dynamique des résultats positifs réalisés par les forces de l’Armée nationale populaire à travers l’ensemble du territoire national et dénote leurs permanentes veille et disponibilité pour contrecarrer toute tentative visant la sécurité et la stabilité du pays », souligne le communiqué.

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Bientôt une usine algéro-américaine de transformation de la pomme de terre

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:35

Une usine de transformation de la pomme de  terre sera réalisée prochainement par des investisseurs américains dans la wilaya d’Ain Defla et ce, dans le cadre d’une convention signée la semaine passée avec des opérateurs algériens, a annoncé le président du Conseil national interprofessionnel de la filière pomme de terre (CNIFPT), Ahcène Guedmani.

« Cette convention a été signée entre des investisseurs américains et algériens pour la réalisation d’une usine de transformation de la pomme de terre dans la wilaya d’Ain Defla », a indiqué dans une déclaration M. Guedmani, sans donner plus de détails sur le sujet.

Une production de 18 millions de quintaux de pomme de terre est par ailleurs attendue pour l’arrière-saison de cette année, dont la campagne de  récolte bat son plein, a souligné le même responsable. « La campagne de récolte bat son plein, nous nous attendons à une production de 18 millions de quintaux de la pomme de terre pour l’arrière-saison, la campagne se poursuivra jusqu’à mars prochain », a-t-il dit.

Une quantité de 80 000 quintaux sera destinée au stockage, dont 40 000 qx sont déjà entreposés dans les chambres froides à travers les différentes wilayas du pays, a tenu à préciser le même responsable. « En termes de production de la pomme de terre d’arrière-saison, la wilaya d’El-Oued occupe la première place à l’échelle nationale, suivie de Mostaganem, d’Ain Defla, de Skikda et de Bouira », a encore souligné M. Guedmani.

La filière de la pomme de terre est en train de s’organiser pour faire face à plusieurs défis dont celui de la commercialisation qui, a-t-il noté, constitue un véritable « casse-tête » pour les producteurs. « La filière endure quelques problèmes dont celui relatif à la commercialisation, les producteurs peinant à commercialiser leur produit », a-t-il déploré.

« Le CNIFPT tient régulièrement des réunions avec les différentes conseils locaux des 36 wilayas productrices de pomme de terre pour débattre des solutions idoines aux problèmes qu’ils endurent. Nous travaillons en concertation avec le ministère de l’Agriculture pour aplanir toutes les difficultés », a encore expliqué le même responsable.

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Réouverture en mars prochain du Centre de thalassothérapie de Sidi Fredj

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:34

ALGER – La réouverture du Centre de thalassothérapie de Sidi Fredj (Alger) est prévue en mars prochain après finalisation des travaux d’aménagement et d’extension, dont le taux d’avancement dépasse à ce jour les 96%, a indiqué lundi le Directeur général du complexe, Saïd Bekhti.

Dans une déclaration à l’APS, en marge des Assises nationales du tourisme, M. Bekhti a fait savoir que le complexe, qui a connu une large opération d’aménagement et d’extension, avec notamment la construction d’un nouvel hôtel de 33 chambres, sera prêt au mois de mars prochain et pourra accueillir les clients en quête de prestations de thalassothérapie et de détente.

« Ce genre de structures et de projets est à même de conférer, dans un proche avenir, à la destination Algérie un caractère d’excellence et de capter davantage de touristes tant de l’intérieur que de l’extérieur du pays », a estimé M. Bekhti.

Il a précisé que le Centre compte deux hôtels, totalisant 160 chambres meublées et équipées, ainsi que plusieurs annexes réservées aux soins (massage, jet de douche, …) deux piscines, un restaurant et un cafétéria.

Lancés début 2016, les travaux d’aménagement et d’extension ont nécessité après une étude réalisé par un bureau algéro-italien, une enveloppe de 6 milliards de DA, a ajouté le directeur du Centre, estimant que « c’est là un montant suffisant pour la réalisation d’un nouvel hôtel et la modernisation et le rééquipement de l’ancien hôtel ».

Evoquant la qualité des services, M. Bekhti a mis en avant l’importance de la formation et souligné que le personnel bénéficie actuellement d’une formation dans les différentes spécialités et autres prestations hôtelières. Il a mis l’accent, à ce propos, sur l’impératif de former des thalassothérapeutes, des kinésithérapeutes pour pallier le déficit enregistré.

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La grève de l’intersyndicale de l’éducation faiblement suivie dans les wilayas du Centre

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:30

BLIDA – L’appel à la grève lancé par l’intersyndicale du secteur de l’éducation nationale pour, ce lundi, a reçu un « faible » échos dans les wilayas du Centre du pays, selon le constat fait par les journalistes de l’APS.

Dans la wilaya de Blida, à l’exception de quelques classes du primaire, l’appel n’a pas eu l’écho escompté, puisque les cours ont été dispensés de façon ordinaire dans les trois cycles éducatifs de la wilaya, où les élèves ont rejoint leurs classes le plus normalement du monde, notamment au niveau des lycées « Mohamed Bentfitfa » et « Mohamed Mahi » et le CEM Larbi Tebessi du chef-lieu de wilaya, au moment où une certaine perturbation a été enregistrée à l’Ecole primaire « Ibn Sina », à cause de quelques enseignants grévistes, selon le constat fait par l’APS lors d’une tournée effectuée au niveau de ces établissements, à partir de 8h00 du matin.

Une source de la direction locale de l’éducation a souligné « un échec de cette grève », dans la wilaya, exception faite d’un « petit nombre » d’écoles primaires, qui ont positivement répondu à l’appel, a-t-on assuré.

Quant à Farid Lemnadjlia, membre de l’intersyndicale, il a fait part d’un taux de suivi de 60% dans le cycle primaire, 20 % dans le moyen et 15% dans le secondaire (de la part des corps communs et des éducateurs).

Pour sa part, le vice-président de l’association nationale des parents d’élèves, Benkaci Mustapha a exprimé son « rejet » de cette grève, à laquelle il préfère, a-t-il dit « le dialogue », du fait que la ministre de l’éducation nationale a réitéré à maintes reprises son « ouverture au dialogue ».

Il a, à cet effet, lancé un appel aux enseignants en vue de « rejeter la grève », qui selon lui, « génère la violence entre les partenaires du secteur de l’éducation ».

Même constat à Médéa où l’appel à la grève lancé par l’intersyndicale de l’éducation a été « peu suivi », et où la majorité des établissements éducatives des trois paliers ont « fonctionné normalement », hormis quelques débrayages observés dans des écoles primaires et un nombre « très limité » de CEM, un fait qui a soulagé un grand nombre de parents selon différents témoignages recueillis par l’APS. a-t-on signalé.

Des sources syndicales ont fait état d’un taux de suivi de la grève dans les zones rurales oscillant entre 17 et 25%, principalement dans les cycles primaire et moyen.

Quelques écoles primaires ont, aussi, suivi l’appel à la grève à Tipasa, dont l’école Mohamed Benathmane du centre-ville, au grand dam de nombreux parents, qui ont exprimé, à l’APS, leur crainte quant à l’impact de ce dérayage sur le cursus scolaire de leur progéniture.

A Bouira, l’appel à la grève n’a pas été suivi, lundi, du fait que la majorité des enseignants de la wilaya ont adhéré au Conseil national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (CNAPEST), qui a refusé d’y adhérer.

« Ce syndicat a décidé de ne pas participer ni à ce mouvement de grève ni au sit-in de protestation prévu mardi à Bouira », a fait savoir Djamel Benyoucef, président du bureau local du CNAPEST à Bouira.

Même tempo à Ain Defla, où différents établissements scolaires ont ouvert leurs portes aux élèves. Au technicum Ibn Sina du chef-lieu de wilaya, les enseignants ont dispensé normalement leurs cours contrairement à certains de leurs collègues (notamment parmi les plus anciens) qui ont débrayé.

A quelques encablures de cet établissement scolaire, plus exactement au lycée Ahmed Allili qui, bien qu’ayant été paralysé la veille à cause du refus des élèves de suivre leurs cours si le chauffage n’est pas rétabli, n’en a pas moins été épargné par le phénomène du débrayage.

Le président du bureau de wilaya de l’Union Nationale du Personnel de l’Education et de la Formation (UNPEF), Mir Bouabdellah, a fait état d’un suivi de la grève de l’ordre de 30 % en fin de matinée notamment au niveau des établissements du cycle moyen.

Dans la wilaya de Tizi-Ouzou, la majorité des établissements scolaires ont ouvert leurs portes aux élèves, ce lundi matin, l’appel à la grève lancé par l’intersyndicale de l’éducation n’ayant pas été suivi de la grande partie des enseignants, a-t-on constaté dans des établissements des villes de Tadmait, Draa Ben Khedda et Tizi-Ouzou.

Joints par téléphone, par l’APS, des représentants locaux des syndicats qui ont adhéré à cet appel n’ont pas décroché, à l’exception de celui du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (SATEF), Habib Merzouk qui a déclaré que le taux provisoire de suivi de cette grève dans les établissements ou ce syndicat est représenté, est de 63%.

Pour sa part un membre de la Coordination nationale autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation, Hakim Graiche a rappelé que son syndicat n’a pas adhéré à cette grève, pour des raisons organisationnelle liées au fonctionnement du ce syndicat dont toute décision de ce genre doit émaner de la base. La direction locale de l’éducation était injoignable durant toute la matinée.

A noter que l’Intersyndicale de l’éducation est composée de six syndicats autonomes, qui sont le Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (SATEF), l’Union nationale des personnels de l’éducation et de la formation (UNPEF), le Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (SNAPEST), le Conseil des enseignants des lycées d’Algérie (CELA), le Syndicat national des travailleurs de l’éducation (SNTE), et enfin le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (CNAPEST) qui a refusé d’adhérer à cette grève.

Sachant que des sit-in sont prévus, demain mardi, devant les directions locales de l’éducation par le même intersyndicale.

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Assises du tourisme: les insuffisances et contraintes du secteur pointées du doigt

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:28

intes freinant l’essor du secteur touristique en Algérie ont été pointées du doigt, lundi à Alger, par des experts nationaux et étrangers du domaine touristique qui ont préconisé, en même temps, des pistes de solutions pour y remédier.

Intervenant en séance plénière des 3èmes Assises nationales du Tourisme, l’expert Aziz Nafa a recommandé le « renforcement » de l’aspect lié à la promotion de la destination Algérie, à travers « l’identification de la cible » et ce, en mettant à disposition des organes en charge de le faire « davantage de moyens financiers ainsi qu’un capital humain plus adapté ».

Chercheur au Centre de Recherche en Economie appliquée pour le Développement (CREAD), l’intervenant a, dans une évaluation du Schéma directeur d’Aménagement touristique (SDAT), insisté également sur l’aménagement du territoire, dans le cadre des Zones d’Expansion touristique (ZET) créées jusque-là.

Il a, par ailleurs, plaidé pour la mise en œuvre du Système d’Observation et d’Evaluation touristique ainsi que de la Banque d’Investissement touristique (BIT), les deux dispositifs étant prévus dans le cadre du SDAT, a-t-il rappelé.

S’agissant du critère lié à la formation, M. Nafa s’est félicité de l’augmentation du nombre d’établissements spécialisés dans les métiers et les activités touristiques, mais considéré néanmoins que cette formation se doit d’être « en adaptation avec les besoins économiques locaux ».

Evoquant les contraintes freinant le développement du secteur touristique en Algérie, il les résumera en deux aspects majeurs : l’insuffisance et la qualité de l’hébergement ainsi que « la tarification inaccessible » pratiquée par les différents voyagistes (hébergement et transport notamment).

« Il est temps que nos agences de voyages travaillent sur la réception et ne se contentent plus de faire uniquement dans l’émission des voyageurs », a-t-il également déploré.

Allant dans le même sens, l’expert canadien en tourisme, François Bédard, a souligné la nécessité de mettre en place « une  Marque Algérie », afin de mettre en avant et de valoriser la destination Algérie, comme c’est le cas pour les pays touristiques, a-t-il argumenté.

L’intervenant a, en outre, recommandé d’axer les efforts autour des deux concepts que sont « Gouvernance et Durabilité », tout en prévoyant un « budget conséquent » aux aspects liés à la promotion, à travers un travail de marketing, pour valoriser les potentialités touristiques du pays.

Le spécialiste des questions touristiques a également préconisé « l’encouragement de l’entreprenariat et de l’investissement » des différentes activités liées au secteur, à l’instar de l’hébergement, transport, etc et ce, dans le cadre des Petites et Moyennes entreprises (PME), créatrices d’emplois directs et indirects.

Pour le représentant du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), Remy Poliwa, tout développement touristique passe par la création d’une « valeur ajoutée » à partir de la base, et ce, explique-t-il, à travers des micro-activités locales, créatrices de richesses. De même que par le respect de « l’échelle de valeurs » propres au secteur, ainsi que par « l’encouragement et l’accompagnement » des jeunes créateurs de projets touristiques.

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Foot/ Coupe d’Algérie : le CRB, premier qualifié pour les quarts de finale

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:21

ALGER – Le CR Belouizdad a poinconné son billet pour les quarts de finale de la Coupe d’Algérie de football, en battant le SA Mohammadia, pensionnaire de la division nationale amateur, sur le score de 3 à 0, lundi au stade 20-Aout-1955 d’Alger.

Le Chabab a du attendre le temps additionnel de la première période pour ouvrir le score grace à Djamel Chettal (45e+2). Après la pause, le Chabab, dont le dernier trophée remonte à 2017, s’est mis à l’abri avec un deuxième but signé la nouvelle recrue Amir Sayoud (71e), puis  Aboussofiane Balegh a donné plus d’ampleur à la victoire des siens (85e).

Le CR Belouizdad, lanterne rouge du championnat de Ligue 1, rencontrera en quarts de finale, en aller et retour, le vainqueur du match NA Husseïn-Dey – MC Alger, prévu mercredi au stade 20-Aout-1955 (15h00).

Deux autres rencontres sont au programme lundi : USM Annaba – CABB Arréridj et JSM Béjaïa – CR Bouguirat dont le coup d’envoi a été donné à 17h00.

Résultats partiels : 

Lundi 21 janvier :

CR Belouizdad – SA Mohammadia  3-0

Annaba : USM Annaba – CABB Arréridj (en cours)

Béjaïa : JSM Béjaïa – CR Bouguirat (e

n cours)

Mardi 22 janvier :

Alger (Omar-Hamadi) : Paradou AC – USM El-Harrach (14h30)

Sétif : ES Sétif – USM Alger (17h00)

Mercredi 23 janvier :

Ouargla : MB Rouissat – CS Constantine (14h30)

Alger (20-Aout) : NA Husseïn-Dey – MC Alger (15h00)

Mardi 29 janvier : 

Oran : MC Oran – NC Magra (17h00).

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Algérie : l’ONU prévoit une baisse de l’inflation pour 2019 et 2020

Algérie 360 - Mon, 01/21/2019 - 21:16

WASHINGTON – L’inflation en Algérie devrait reculer à 2,9% en 2019 et à 2,2 % en 2020, selon les nouvelles prévisions des Nations unies publiées lundi à Genève.

Dans son rapport annuel sur les perspectives économiques mondiales, l’organisation onusienne a revu davantage à la baisse les projections du gouvernement qui avait tablé sur un taux d’inflation de 4,5 % pour l’année en cours.

Pour 2018, l’inflation s’est établie à 3,9% contre 5,6% en 2017, précise l’ONU soulignant que la politique monétaire en Algérie restera neutre à l’instar des autres pays maghrébins.

 » En Algérie, en Libye, au Maroc et en Mauritanie, l’orientation des politiques monétaires devrait rester neutre « , relève ce rapport annuel conjoint, produit par le Département des affaires économiques et sociales de l’ONU (DESA), la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (Cnuced) et les cinq commissions économiques régionales de l’ONU.

Coté croissance, l’organisation onusienne anticipe une progression du Pib à 2,2% cette année contre 2,7% en 2018.

L’expansion économique cohérente s’est poursuivie à 2,7% en 2018, tirée principalement par la hausse de la production gazière et pétrolière. Comme la consommation privée demeure modérée, le taux de croissance devrait reculer à 2,2% en 2019″>, relève l’ONU pour expliquer ce ralentissement. La croissance devrait ensuite rebondir à 2,8% en 2020.

Par ailleurs le taux de chômage en Algérie s’est établi à 12,3% en 2018 contre 12% en 2017, selon les mêmes prévisions.

L’ONU précise qu’en Afrique, la hausse partielle des prix mondiaux des produits de base ne s’est pas traduite par une reprise des flux d’investissements directs étrangers (IDE) dans les grandes économies dépendantes de ces produits comme l’Algérie, le Nigeria et l’Angola.

Les recettes fiscales de l’Algérie ont également patrices dernières années de la baisse des cours de brut sur les marchés internationaux.

De 2010 à 2015, 14 pays africains ont enregistré un recul des recettes fiscales. Les pays exportateurs de pétrole comme l’Algérie, le Nigeria et l’Angola ont été les plus impactés, affichant les plus importantes baisses, souligne l’ONU.

Au plan mondial, la croissance économique est restée stable à 3,1 % en 2018, une accélération induite par la politique budgétaire aux Etats-Unis d’Amérique ayant compensé le ralentissement de la croissance dans certaines autres grandes économies.

L’activité économique devrait s’accélérer à un rythme soutenu de 3 % en 2019, mais les signes indiquant que la croissance a peut-être atteint son point culminant sont de plus en plus nombreux, constate l’ONU.

Derrière les chiffres phares, la croissance économique est inégale et ne profite souvent pas aux régions qui en ont le plus besoin.

 » Ces chiffres phares masquent les fragilités et les reculs de nombreux pays en développement et le rythme inégal du progrès économique dans le monde « , relève le rapport. En parallèle, les pays riches en ressources peinent souvent à exploiter leur potentiel de développement.

Bon nombre des pays en développement qui sont en retard dépendent grandement des produits de base, à la fois en ce qui concerne les recettes d’exportation et le financement des dépenses budgétaires, note le rapport.

 » Les effets conjugués de la forte instabilité des recettes d’exportation et des recettes budgétaires se traduisent dans bien des cas par de fortes fluctuations de l’activité économique et par des taux de croissance plus faibles sur le long terme « , précise l’organisation onusienne.

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Mauritanie : Les élections, source des problèmes de cohésion sociale (Sociologue)

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 01/21/2019 - 21:00
Alakhbar - Selon le sociologue mauritanien Sow Samba, la problématique de la cohésion sociale et du vivre ensemble surgit en Mauritanie à chaque...
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