Le joueur international algérien, Riyad Mahrez, ne cesse de se montrer efficace et performant sur le terrain, que ce soit avec les Verts ou avec son Club Manchester City.
Lors de la rencontre Manchester City face au RB Leipzig, les Sky blues se sont imposés avec une large victoire (6-3) où le capitaine des Verts a marqué sur penalty.
Pour leur première sortie de la saison en Ligue des champions, ils ont prolongé leur série d’invincibilités en phase de groupes en remportant leurs 18ᵉ match d’affilée, mais, ce n’est pas tout beau tout rose ! En plus du match incroyable que les supporters ont regardé, ils ont pu voir aussi une altercation entre Mahrez et Guardiola.
Ce dernier est connu pour son tempérament justifié par sa passion du foot, Guardiola a déjà exprimé sa colère contre les joueurs, chose sur laquelle revient Zlatan Ibrahimovic dans son autobiographie.
Quand l’entraîneur gronde ses joueurs au vu de tousPendant le match, le mécontentement de Pep Guardiola n’a pas pu passer inaperçu. Même si on est habitué aux crises et coups de colère de L’ex-entraîneur du FC Barcelone, son comportement envers Mahrez et son coéquipier Grealish, qui pourtant, ont tous les deux marqué lors de ce match, est choquant. Ils ont eu droit à des cris, une gestuelle offensive et une colère ostensible.
Selon leur entraîneur, ils auraient ignoré ses instructions notamment quant à leur placement défensif. Il rassure, tout de même, « les disputes, ça arrive ! » a déclaré l’entraîneur espagnol à la chaîne de BT Sport, « nous avons parlé durant la mi-temps de ce qu’il fallait faire, et ils ne l’ont pas fait », avait-il ajouté.
Malgré l’indignation de beaucoup de personnes, supporters et spécialistes confondus, Grealish ne semble pas être choqué ou offusqué de cet échange, il affirme que c’est tout à fait normal venant de la part d’un manager qui a tant accompli dans le jeu.
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Depuis quelques jours, un malade mental sème la terreur à Oran, notamment parmi les habitants de la rue Larbi Ben M’hidi, et ce, en raison de son caractère violent qui a engendré la mort d’un citoyen habitant le quartier précité.
En effet, et selon nos confrères du quotidien Le Soir d’Algérie, l’histoire remonte aux premiers jours de ce mois de septembre en cours, où un citoyen résidant dans un immeuble à la rue Larbi Ben M’hidi, au centre-ville de la wilaya d’Oran, a sorti de sa maison pour faire un tour, avant qu’il ne soit agressé, indique la même source.
En retournant chez lui, le citoyen répondant aux initiales de S.N, a été surpris par un homme en train de lui asséner par derrière, plusieurs coups au niveau de la tête et de la nuque, ajoute la source.
Ne prenant pas conscience de ce qui venait d’arriver, la victime s’effondrait en pleine rue, où il se met à saigner du nez et de la bouche. Quelques instants après l’incident, des passants ainsi que des voisins ont venu au secours de l’homme agressé, où ils l’ont déposé dans le hall de son immeuble, en lui présentant les premiers soins avant l’arrivée de l’ambulance.
L’agresseur est un aliéné mentalPour l’acteur accusé de l’agression, il s’agit en effet, d’un malade mental qui se baladait depuis quelque temps dans les rues du centre-ville d’Oran. Après avoir commis son crime, l’aliéné mental, ne comprenant sans doute pas ce qu’il a fait, a tout de suite pris la fuite, a fait savoir la même source.
Quant à la victime, elle a été transportée par les éléments de la protection civile à l’hôpital pour lui donner les soins appropriés. Malheureusement, S.N a rendu l’âme à cause de sont état critique, et ce, cinq jours après l’incident, selon la même source.
Par ailleurs, le malade mental en question a été aperçu par l’un des témoins de l’agression. Ce dernier a fait savoir que « le fou » est toujours aussi agressif et agité dans les rues.
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La rentrée sociale de l’année en cours est caractérisée par une hausse flagrante des prix de presque tous produits alimentaires, fournitures scolaires et autres. Le pouvoir d’achat des Algériens se dégrade à vue d’œil. Suite de quoi, les syndicats reviennent à la charge.
Réunie lundi dernier au siège du Cnapeste, la Confédération des syndicats algériens (CSA) a formulé plusieurs exigences pour faire face à la « situation sociale dangereuse que vit le pays et qui affecte plus particulièrement le monde du travail ».
Dans le communiqué ayant sanctionné la réunion, les syndicats qui composent la CSA, n’ont pas écarté le recours à “toutes les formes légales et pacifiques de la contestation pour inciter le gouvernement à prendre des décisions rapides et appropriées pour améliorer le pouvoir d’achat des travailleurs et des fonctionnaires ».
Il convient de noter que la Confédération des syndicats algériens regroupe 15 syndicats autonomes qui représentent sept secteurs ministres, à savoir la santé, l’éducation, la formation professionnelle, les impôts, l’emploi, la poste, les affaires religieuses et les imams. Ainsi, le CSA a livré un constat alarmant quant à la situation sociale actuelle parquée par « des augmentations effarantes des prix des produits de large consommation ».
« L’ouverture urgente du dossier des salaires et régime indemnitaire »Cela intervient, selon la même source, « devant l’absence totale, depuis plusieurs années, de révision de la politique salariale en dépit de l’augmentation effrénée du taux d’inflation et de la dévalorisation du dinar algérien qui ont induit une dégradation inquiétante du pouvoir d’achat ».
Par conséquent, la Confédération a appelé à la nécessité de trouver des approches, des alternatives et des dispositions pratiques afin de garantir l’équilibre du pouvoir d’achat et son amélioration à travers l’ouverture urgente du dossier des salaires et régime indemnitaire ».
Chose négligée par les politiques gouvernementales successives et actuelles, note-t-on encore. À ce propos, il convient de rappeler que ces dossiers ont été gelés depuis 9 ans. Les travailleurs de la fonction publique n’ont eu aucune augmentation de salaire depuis 2012.
Comme objectif, notamment avec la rentrée sociale imminente, le CSA s’est dit engagé à maintenir parmi ses priorités, la défense des anciens et/ou nouveaux dossiers à l’instar de ceux des retraites, des libertés syndicales, de la santé publique et des assurances sociales.
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Les enfants, qui, jusque-là la covid-19 avait épargné, ont fini par être rattrapé par son variant Delta. La mutation rapide du virus a vite poussé les citoyens, mais aussi les services publics, à se poser la question sur la vaccination des moins de 18 ans. Une affaire qui suscite encore débat en Algérie.
Le Pr Réda Didjik est chef de service d’immunologie médicale au CHU de Beni Messous. Il a été l’invité, hier, de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio nationale. Le professeur s’est penché sur plusieurs points concernant la pandémie de la Covid-19. Outre le risque d’une 4ᵉ vague en Algérie, le médecin a également donné quelques explications concernant la vaccination des enfants.
Vaccination des enfants : une vaccination «altruiste» ?Selon le Pr Didjik, la vaccination, en général, « doit rester un acte volontaire ». Bien qu’elle soit la seule issue de sortie de la pandémie que nous vivons depuis plus de deux ans, la vaccination est avant tout un choix responsable et individuel, estime le médecin.
En ce qui concerne La vaccination des enfants, déjà autorisée en Algérie, le Pr Didjik se montre un tantinet dubitatif. Selon lui, il s’agit d’une vaccination « altruiste ». Le professeur va même jusqu’à affirmer qu’il est « compliqué d’accepter cela sur le plan éthique ».
Pour étayer son point de vue de spécialiste, le Professeur explique qu’il faut bien peser le pour et le contre. Pour lui, «On ne vaccine pas pour l’intérêt de l’enfant, mais pour l’intérêt collectif». Le professeur a tenu toutefois à préciser que les enfants demeurent des vecteurs de transmission.
Le professeur Didjik, est loin d’être contre la vaccination des enfants. Il indique, bien au contraire, que c’est une nécessité absolue, et qu’il serait bénéfique de les vacciner. Le Spécialiste a également mis l’accent sur l’importance de la vaccination en général, et ce, malgré qu’aucun spécialiste « ne peut prédire l’arrivée d’une 4e vague ». Il précise toutefois que personne n’est « l’abri d’une 4e ou d’une 5e ».
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De la 86ème place, il y a un mois, le Bénin occupe désormais le 82ème rang au dernier classement FIFA.
Le football béninois se porterait bien. En témoigne le dernier classement de la FIFA publié ce jeudi 16 septembre 2021. De la 86ème place, l'équipe nationale a fait quelques bonds se positionne à la 82ème place. Une progression qui s'expliquerait par les derniers résultats des Écureuils ( la victoire face au Madagascar, et le nul contre la RDC dans le cadre des éliminatoires du mondial Qatar 2022).
Sur le continent africain, le pays a également fait une progression de 02 places.
Le Sénégal occupe le premier rang devant la Tunisie et l'Algérie.
Au plan mondial, la Belgique reste en tête du classement devant le Brésil et l'Angleterre.
F. A. A.
La Fédération internationale de l'Industrie pharmaceutique (IFPMA) et Speak Up Africa (SUA) présentent ce jeudi 16 septembre 2021, les lauréats de la première édition du Prix des jeunes innovateurs africains pour la santé. La cérémonie officielle de remise du prix aura lieu en ligne.
Les trois lauréats du Prix des jeunes innovateurs africains pour la santé seront annoncés en direct lors d'une cérémonie de remise du prix. Elle va réunir en ligne des dirigeants, des innovateurs et des entrepreneurs du secteur de la santé pour célébrer l'innovation africaine et pour rappeler le rôle capital que joue l'innovation, notamment au sein de la jeunesse africaine, dans la résolution de certains des problèmes sanitaires les plus urgents auxquels sont confrontés les professionnels de santé en Afrique.
Les lauréats seront rejoints par des personnalités qui exercent une influence sur le système de soin santé en Afrique à travers la politique, l'innovation et les affaires. Parmi celles-ci, il y a : Professeur Awa Marie Coll-Seck, ministre d'État du Sénégal ; Thomas B. Cueni, directeur général de l'IFPMA ; Yacine Djibo, directrice générale, Speak Up Africa, Sobel Aziz Ngom, directeur général du Consortium Jeunesse Sénéga ; Vèna Arielle Ahouansou, directrice générale de KEA Medicals ; Dr. Lindiwe Makubalo, Directrice régionale adjointe, WHO AFRO ; Dr Margaret Agama-Anyetei, directrice intérimaire de la Commission de l'Union africaine, et bien d'autres encore.
Ce concours représente le programme phare de l'IFPMA et Speak Up Africa et a pour objectif de soutenir les jeunes entrepreneurs du secteur de la santé en Afrique en leur offrant des opportunités financières et en nature pour développer leurs idées commerciales, et proposer des solutions prometteuses pour soutenir, équiper, protéger et former les professionnels de santé qui ont travaillé sans relâche pour protéger et traiter la population en pleine pandémie Covid—19. Les gagnants bénéficieront d'un soutien financier de 75 000 dollars américains (premier prix : 40 000 dollars ; deuxième prix : 20 000 dollars et troisième prix : 15 000 dollars), d'un programme de mentorat commercial de trois mois, d'une formation aux médias, des conseils d'experts en matière de propriété intellectuel, si nécessaire, d'un accès à un réseau de supporters et de partenaires actifs dans les secteurs du numérique, des soins de santé et des médias.
En adressant leurs félicitations aux lauréats, le directeur général de l'IFPMA, Thomas B. Cueni et Yacine Djibo, directrice générale de Speak Up Africa, ont expliqué l'importance de ce concours. « L'Afrique étant le continent le plus jeune du monde - en partie grâce aux progrès réalisés dans le domaine de la santé - nous sommes très heureux de contribuer à un prix qui encourage et honore l'esprit d'innovation des jeunes Africains. Nous espérons que nos lauréats contribueront à améliorer la vie des professionnels de la santé qui travaillent sans relâche pour protéger et soigner le plus grand nombre en cette période de Covid-19 » précise Thomas Cueni, directeur général de l'IFPMA.
« En tant que membre du jury, je sais que le parcours pour remporter ce concours a été extrêmement exigeant, compétitif et rigoureux. Nous avons constaté une grande créativité dans les innovations évaluées - ce qui montre que le plus grand atout de l'Afrique est sa jeunesse et son esprit d'entreprise » a ajouté. Yacine Djibo, directrice générale de Speak Up Africa, “les solutions locales, conçues par les jeunes africains, signalent au monde leur rôle dans le développement et l'amélioration du futur de la santé.”
Le Prix des jeunes innovateurs africains pour la santé est sponsorisé par AMREF Health Africa, BroadReach, Ecobank Academy, le Forum Galien Afrique, IntraHealth International, Microsoft4Afrika, l'Organisation africaine de la Propriété Intellectuelle, le Partenariat RBM pour en finir avec le paludisme, et Social Change Factory, aux côtés de nos partenaires médias : Africa.com, Télésud, et SciDev.Net.
A propos des partenaires
L'IFPMA représente les associations et les entreprises de recherche pharmaceutique du monde entier. Les entreprises pharmaceutiques spécialisées dans la recherche apportent une contribution unique à la santé mondiale en tant que créateurs de médicaments et de vaccins qui ont amélioré des millions de vies dans le monde. Basée à Genève, l'IFPMA entretient des relations officielles avec les Nations Unies et met à disposition l'expertise de l'industrie pour aider les experts de la santé à trouver des solutions pour améliorer la santé dans le monde.
Speak Up Africa est est une organisation de plaidoyer créer pour stimuler leadership, favoriser le changement de politiques et accroître la sensibilisation en faveur du développement durable en Afrique. À travers leurs programmes et avec l'aide de leurs partenaires, Speak Up Africa s'assure que les décideurs rencontrent les acteurs présents sur le terrain ; que les solutions soient mises en valeurs et que chaque secteur– des citoyens à la société civile en passant par les partenaires techniques et financiers et les entreprises – participe de manière active au dialogue et s'efforce de poser des actions concrètes en faveur de la santé publique et du développement durable.
AAA
L'Organisation du Monde Islamique pour l'Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), en partenariat avec le ministère de la Culture en Azerbaïdjan, la Commission nationale azerbaïdjanaise pour l'éducation, les sciences et la culture, l'École supérieure du pétrole de Bakou et la Fondation "NewSpace Innovation a lancé dimanche 12 septembre 2021, un programme pour former les jeunes à la création et au développement de petits projets dans le domaine de la technologie et de l'innovation.
Le programme de l'ICESCO à l'endroit des jeunes comprend un camp de formation de 2 jours et une session de cours intensifs de six semaines pour permettre aux participants d'appliquer la formation dispensée et de démarrer leurs propres entreprises. Il sera mis en œuvre au cours de la prochaine période dans 10 autres États membres de l'ICESCO. Le but est de soutenir l'économie créative dans le monde islamique, promouvoir les startups opérant dans le domaine technologique et lancer plus de 150 entreprises d'ici fin 2025. Un jury spécial est chargé de sélectionner les trois meilleurs projets soumis par les équipes de chaque pays pour participer à la phase finale et présenter les idées de leurs projets à plusieurs institutions donatrices et investisseurs afin de fournir le financement nécessaire à leur mise en œuvre.
Lors de la cérémonie de lancement du Programme à Bakou, Dr Salim M. AlMalik, Directeur général de l'ICESCO, a souligné que cette initiative vise à renforcer les capacités des jeunes diplômés du monde islamique et soutenir les femmes. A l'en croire, les jeunes et les femmes sont dotés de compétences créatives à même de contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable.
Pour M. Elnur Aliyev, Premier ministre adjoint de la Culture en Azerbaïdjan, les relations entre l'ICESCO et l'Azerbaïdjan sont étroites dans de nombreux domaines. Il a souhaité plein succès aux participants. Aussi, M. Elmar Qasimov, doyen de l'École supérieure du Pétrole de Bakou, a-t-il salué les efforts de l'ICESCO pour soutenir les États du monde islamique, dont l'Azerbaïdjan, soulignant l'importance du Programme de formation auquel participent 23 équipes.
Le Conseiller au Secteur des Sciences et de la Technologie Dr Sharif a mis l'accent sur le haut niveau de coopération entre l'Organisation et l'Azerbaïdjan.
Le Programme s'inscrit dans le cadre de la nouvelle vision de l'ICESCO, reposant sur l'accès de tous les États du monde islamique au potentiel des nouvelles technologies dans tous les domaines, afin de parvenir au développement durable. Dans sa première phase, le Programme se focalise sur le renforcement des capacités des jeunes participants à élaborer les modèles d'affaires et à réaliser les études de marché. Il portera initialement sur cinq secteurs, notamment l'agriculture, les médias numériques, la technologie financière, les divertissements et les jeux, ainsi que le tourisme et la technologie alimentaire.
Les communes de Grand-Popo, Athiémé, Lokossa et Houéyogbé dans le département du Mono sont touchées par la crue du fleuve Mono. A Athiémé et Grand-Popo, 68.598 personnes sont affectées par l'inondation.
Des populations sous l'eau après les lâchers d'eau au niveau du barrage hydroélectrique de Nangbéto. Selon Arnaud S. Agon, point focal de la plateforme départementale de réduction des risques de catastrophes et d'adaptation aux changements climatiques (PDRRC-ACC), rapporté par Abp, les communes les plus touchées par l'inondation sont Athiémé et Grand Popo.
A la date du 13 septembre, 05 arrondissements de la commune d'Athiémé, sont touchées par l'inondation du fleuve Mono avec 54 villages (sur 61 villages dans la commune) et 22 localités.
« La population affectée est estimée à 49 003 dont 20 326 sous l'eau, 5 236 femmes enceintes, 15 478 enfants de moins de 05 ans, 741 personnes handicapées, 11 970 personnes de troisième âge et malheureusement 01 décès d'élève âgé de 13 ans dans l'arrondissement de Dédékpoè », ajoute le Point focal.
A en croire Arnaud S. Agon, 608,84 hectares de cultures ont été détruits dans ces inondations à Athiémé. Plusieurs infrastructures socio-communautaires sont inaccessibles (les centres de santé d'arrondissement d'Adohoun, d'Aguidahoué, de Dédékpoè, de Konouhoué, d'Atchannou, d'Awamè et d'Akonana). Aussi, 122 points d'eau, 04 écoles maternelles, 12 écoles primaires publiques, 03 collèges d'enseignement général, 14 pistes d'accès et le Centre de Promotion Social sont-ils inondés. A cela s'ajoutent 31 habitats écroulés et 289 partiellement endommagés.
Dans la commune de Grand-Popo, 24 localités dans 04 arrondissements sont touchées par l'inondation. Le nombre de personnes affectées est de 19 595. Au titre des infrastructures socio-communautaires inondées et inaccessibles, il y a 04 centres de santé d'arrondissement, 07 points d'eau, 09 écoles primaires publiques, 02 collèges d'enseignement général, 28,35 kilomètres d'infrastructures de transport. 196 hectares de cultures ont été également détruits.
Les communes de Lokossa et de Houéyogbé sont également inondées notamment les arrondissements de Ouèdèmè-Adja et Sè à la date du 08 septembre.
La plateforme départementale de réduction des risques de catastrophes et d'adaptation aux changements climatiques a pris des mesures pour faire face à ces inondations. Elle plaide aussi « pour qu'un calendrier spécial d'activités pédagogiques soit élaboré pour les écoles inondées ».
A.A.A
Nommé Ambassadeur du Bénin près la Russie, le député André Okounlola a déposé sa démission ce mercredi 15 Septembre 2021.
L'honorable André Okounlola du Bloc Républicain a adressé sa lettre de démission au bureau de l'Assemblée nationale. Il quitte le Parlement pour la Russie en tant qu'Ambassadeur du Bénin. Il a été promu en Conseil des ministres le 8 septembre 2021. Son suppléant Dr Romaric Ogouwalé sera installé ce jeudi 16 septembre lors de la session extraordinaire qui s'ouvre cet après-midi au Parlement après lecture de la lettre de démission du député André Okounlola.
Son successeur au poste de 2e questeur de l'Assemblée nationale sera connu après élection.
A.A.A
Les Etats-Unis, l’un des pays les plus dangereux au monde, où « The American Dream » ne fait plus rêver, et ce, à cause de la violence envahissant le pays. Fusillades, attentats et homicides volontaires, une réalité qui fait froid dans le dos de tout américain, avec un degré, voire plusieurs de plus, pour les Américains de confession musulmane.
Différence de religion, antécédents douloureux incompris (tel le 9/11) et une obsession des armes à feu, le tout saupoudré de complexe de supériorité et une pincée de suprémacisme blanc, voilà la recette amère que subissent certains musulmans aux États-Unis.
Lorsqu’un acte de terrorisme est qualifié comme tel en fonction d’une origine ou une religion et le prétexte de « non coupable en raison de troubles mentaux » est vite brandi quand il s’agit d’acte terroriste commis par un Américain, les musulmans se sentent de moins en moins en sécurité
L’auteur de l’attentat condamné à 53 ans de prisonEmily Claire Hari, la nouvelle identité récemment annoncée de l’anciennement connue sous le nom de Michael Hari, une quinquagénaire qui a organisé cet attentant contre le centre musulman de Bloomington, dans le Minnesota.
Reconnue coupable en 2020, le juge fédéral décide lundi de 53 ans de prison pour l’attentat qui a eu lieu le 05 août 2017, attaquée avec une bombe artisanale, la mosquée a connu d’énormes dégâts, mais pas de morts, malgré la présence de nombreuses personnes, ces dernières sont reparties avec un traumatisme et une peur à tout jamais.
Lisa Monaco, la ministre adjointe de la Justice, a affirmé dans un communiqué : « la peine retenue montre clairement que de tels actes de haine ne seront pas tolérés »
Pour rappel, si cet attentat a n’a pas fait de victimes, d’autres ont en fait, comme la fusillade de 2015, tuant trois étudiants à proximité du campus de l’université de Caroline.
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La polémique suscitée par le Tamazight et son enseignement a poussé, encore une fois, le ministère de l’Éducation nationale à réagir. Alors qu’elle revêt le caractère de langue nationale et officielle, le berbère, en tant que matière, est marginalisée et confinée dans l’emploi de temps scolaire.
Ces derniers jours, une correspondance du Secrétariat général du ministère de l’Éducation, a mis en rogne la coordination des inspecteurs de la langue Amazighe. Dans un communiqué, la coordination dénonçait « l’exclusion de l’enseignement de Tamazight de l’emploi du temps ». Une chose que le ministère a vite nié.
Après la mise au point du ministère, qui a affirmé « que tamazight est une matière comme toutes les autres », tout en insistant sur son caractère national et officiel, la coordination revient à la charge. Selon elle, les promesses du ministère sont « farfelues », vu que Tamazight se confine encore dans « un moment pédagogique marginal ». Selon ces inspecteurs, «les dépassements sont légion».
Le ministère et le HCA rassurentLe ministère de l’Éducation et le HCA ont fini, avant-hier, par prendre plusieurs dispositions. Notamment sur les « questions liées à la législation et à l’amendement des textes, dont la loi d’orientation scolaire ». Ces dernières vont être transférées au gouvernement. Dans un communiqué rendu public, le ministère a tenu à également assurer la généralisation progressive de l’enseignement de Tamazight à tout le territoire national.
Les deux instances, au terme d’une réunion qui eu lieu avant-hier ont décidé de relancer leur comité mixte. Un comité gelé depuis 2015. Il s’agit, selon le même communiqué, de la meilleure solution pour «dépasser les différents problèmes» concernant Tamazight.
Le ministère et le HCA ont également appelé à organiser des réunions périodiques. Cela vise, selon la même source, à s’éloigner de toutes les pressions «politiques ou idéologiques» qui ne servent pas les élèves. Pour conclure, le ministère a formellement nié toutes les fausses interprétations. Il a assuré que la place de Tamazight demeure « permanente » dans le calendrier officiel.
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À la veille de la rentrée sociale, qui s’annonce déjà assez difficile, la fonction publique risque déjà de renouer avec la protestation. Les appels à préserver le niveau de vie des travailleurs face à la dégradation inquiétante du pouvoir d’achat se multiplient.
Face à la situation actuelle, le Syndicat national autonome des personnels de l’administration publique (Snapap), décide de monter au créneau en appelant à une « grève générale nationale dans tous les secteurs de la Fonction publique » pour le mois d’octobre prochain.
Dans un communiqué signé par le secrétaire général du syndicat, Belkacem Felfoul, le Snapap précise que ce débrayage intervient afin de « défendre la dignité des travailleurs et leurs droits et pour préserver leur niveau de vie face à la dégradation inquiétante du pouvoir d’achat ».
Le syndicat précise, en outre, qu’il « suit avec grande attention les hausses spectaculaires des prix des produits alimentaires essentiels et leurs impacts sur le pouvoir d’achat du citoyen algérien ».
Appels à l’augmentation du salaire de base des AlgériensDans son analyse de la situation actuelle, la représentation syndicale précise que la Banque mondiale a fixé le seuil de pauvreté pour un individu à 1,90 dollar, ce qui équivaut à 7756,8 DA par personne et par mois, soit environ 46720,80 dinars algériens par famille au minimum.
Dans une étude rendue publique, le Snapap souligne également que le salaire de base (SNMG) de l’Algérien ne doit pas baisser sous la barre des 50 000 DA. Et c’est à partir de là qu’il a appelé à « réviser » la politique salariale nationale en augmentant le point indiciaire (de 45 à 90 DA).
Le syndicat a également mis en garde contre cette détérioration, qui entraîne des conséquences désastreuses au vu de l’augmentation continue dans tous les domaines de la vie. Il s’agit, selon la même source, de l’instabilité relative des prix et la prolifération du phénomène du monopole et de spéculation, notamment en ce qui concerne les produits subventionnés.
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La compagnie nationale de transport aérien a récemment publié une mise à jour des conditions d’entrée en Tunisie. Cette dernière concerne les mesures qui doivent être prises par les clients d’Air Algérie désirant de se rendre au territoire du pays voisin.
En effet, dans une publication postée sur sa page Facebook, ladite compagnie indique que tout passager voulant aller en Tunisie doit être obligatoirement muni de certains documents, à savoir, deux formulaires (disponibles sur l’application web app.e7mi.tn), déclaration de santé, engagement sur l’honneur, et un test PCR négatif de moins de 72 heures.
Ainsi, Air Algérie a ajouté que : » Chaque passager doit se soumettre à un confinement sanitaire obligatoire à ses frais d’une période de 10 jours à partir de la date d’arrivée dans l’un des centres de confinement dédiés à cet effet. »
La compagnie aérienne a également souligné que chaque passager, ainsi confiné, doit nécessairement effectuer un autre test PCR entre le 7e et le 10e jour à ses frais.
Les catégories non-concernées par le Confinement ObligatoireLa même source a révélé que certaines catégories sont exclues des mesures du confinement obligatoire. Les personnes concernées sont les passagers munis d’un certificat de vaccination Covid-19 attestant qu’ils ont été entièrement vaccinés et ceux ayant un certificat de récupération Covid-19 et d’un certificat de vaccination Covid-19 attestant qu’ils ont reçu 1 dose de vaccin.
Ajoutant à cela, les passagers de moins de 18 ans s’ils sont accompagnés d’un parent/tuteur entièrement vacciné ; les passagers munis d’un passeport diplomatique ; les mineurs non accompagnés et les détenteurs d’autorisation du Ministère de la Santé Tunisien.
Il est à noter qu’un dépistage rapide aléatoire (TDR-Antigène), sera mené sur un échantillon des passagers à l’arrivée, a écrit Air Algérie, précisant qu’en cas de positivité du test, le passager concerné sera transféré vers un centre d’isolement sanitaire à ses frais.
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Distribution de fournitures scolaires à plus de 500.000 apprenants du primaire et du secondaire ce mardi 14 septembre 2021. La cérémonie officielle a été présidée par le ministre des Enseignements Maternel et Primaire Salimane Karimou à la Mairie de Parakou en présence des Représentants des Partenaires Technique et Financiers.
Des uniformes Kaki, des sacs d'écolier, des cahiers, des stylos et crayons, des cahiers d'activités ; ce sont entre autres les fournitures scolaires offertes à 531.824 apprenants dont 483.531 écoliers du primaire et 48.293 élèves filles du secondaire. Les bénéficiaires sont issus des départements de l'Alibori, du Borgou et du Zou et des communes de Matéri, Natitingou Tanguiéta, Kérou, Copargo, Djakotomey, Klouékanmè, Lalo, Toviklin, Sô-Ava, Aguégués et Kétou.
Le coût de kits scolaires est de 1.438.299.680 FCFA. Cette distribution de kits scolaires a été possible grâce aux Partenaires Technique et Financiers que sont : l'UNICEF, la Banque Mondiale, le Partenaire Mondial pour l'Éducation (PME), la Coopération Suisse, la Coopération Japonaise, Plan International Bénin et Éduco.
Les représentants des Partenaires Technique et Financiers ont félicité le gouvernement pour les résultats obtenus en dépit du contexte Covid-19 et les différents efforts permettant l'accès et le maintien des enfants à l'école.
Le Ministre Salimane Karimou n'a pas manqué de remercier les partenaires pour leur accompagnement en ‘'faveur du rayonnement du système éducatif béninois''. Les bénéficiaires ont promis de faire un bon usage des kits scolaires.
A.A.A
Dans le cadre de la réouverture partielle des frontières, un nouveau programme de vols a été mis en place par les autorités locales compétentes. Ce dernier totalise 64 dessertes aériennes programmées chaque semaine avec sept pays, dont 48 dessertes avec la France.
En effet, depuis le lancement dudit programme, le 28 août de l’année en cours, les prix des billets pour les vols effectuer entre l’Algérie et la France ont connu une légère baisse, avant qu’ils repartent à la hausse.
Chez Air France, les prix des billets pour ce mois de septembre sont proposés à 786 euros pour un aller simple. Idem pour sa concurrente, la compagnie nationale de transport aérien, Air Algérie en l’occurrence. Cette dernière propose des prix à partir de 884 euros pour ce mois en cours.
Air France autorisée a effectué des vols en octobreAyant déjà obtenu l’autorisation officielle des autorités locales pour opérer des vols entre l’Algérie et la France pour tout le mois d’octobre, Air Algérie a mis en vente ses billets sur son site.
A cet égard, et dans l’attente d’une décision similaire pour les compagnies françaises, voici qu’Air France obtienne enfin le feu vert auprès des autorités algériennes afin d’effectuer des vols commerciaux vers l’Algérie en octobre prochain.
Désormais autorisée à opérer des vols en octobre, la filiale low cost d’Air France, Transavia en l’occurrence, lance la commercialisation de ses billets de vol d’aller-retour vers et de l’Algérie au départ de trois aéroports français, à savoir, Paris Orly, Lyon et Montpellier, vers les trois aéroports algériens desservis par les vols internationaux, soit, Alger, Oran et Constantine.
Une baisse attendue en mois d’octobrePour les prix, ils seront en effet, moins chers que ceux proposés en mois de septembre, ils seront présentés à partir de 320 euros par ladite compagnie. Notons que la ligne Lyon – Alger reste toujours le plus cher sur Transavia, où le prix du billet est proposé à partir de 480 euros, quelle que soit la date de départ en octobre.
Il convient également d’indiquer que le premier vol effectué en octobre est prévu vers Oran par la compagnie précitée, avec un tarif mis en avant à partir de 410 euros.
De sa part, Air France aura le même programme en octobre que celui de septembre. Pour les tarifs proposés, ils seront à partir de 513 euros pour les premiers jours d’octobre, avec une prévision de baisse légère à 441 euros. Sachant que le meilleur prix sera proposer le 10 octobre, et ce, à partir de 371 euros.
Notons que les compagnies aériennes, Air Algérie et Air France entre autres, n’obtiennent pas encore une autorisation pour effectuer des vols commerciaux le mois de novembre prochain.
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Les élections locales du 27 novembres prochain approchent à grands pas. Contrairement aux partis de l’opposition démocratique qui tergiversent encore, pour les partis proches du pouvoir, il va de soi de participer. Cependant, même ces partis trouvent que le climat général ne convient pas à organiser le scrutin.
La loi électorale n’est pas, selon les partis de l’allégeance, en adéquation avec le climat politique actuel. Dans une lettre adressée à Mohamed Chorfi, le président de l’Autorité Nationale Indépendante des Élections (ANIE), plusieurs partis critiquent, dénoncent et réclament.
Aide financière : pourquoi pas pour les partis ?Dans leur lettre à Chorfi, les partis politiques qui vont se disputer les sièges des APC et des APW ont critiqué les conditions de participation. Selon eux, le nombre de signatures demandé est « impossible » à réunir. Il faudra aux partis réunir plus de 800 000 signatures pour pouvoir participer aux élections concernant 1541 APC et 58 APW.
À l’instar des élections législatives, les partis de l’allégeance estiment que 300 signatures suffiront pour chaque commune. Dans la même lettre, il est indiqué que 25 000 suffiront pour 25 wilayas.
La lettre adressée à Chorfi indiquait également que les partis sont loin d’être satisfaits du volet financier de la loi électorale. Selon cette correspondance, les partis ont critiqué le financement de l’état aux listes indépendantes et d’avoir délaissé les partis.
Les Partis politiques demandent, d’une manière indirecte, mais assez flagrante, un financement de l’état. Ce financement vise à mener à bien leurs campagnes électorales. Il est à noter que le FFS et le PT ne figurent pas parmi les signataires de cette lettre. Pour rappel, le PT a entamé les préparations, et le FFS a officiellement annoncé sa participation.
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Les Verts se préparent pour la quatrième journée des éliminatoires pour le mondial 2022. Les hommes de Djamel Belmadi seront attendus au Niger, au stade général Seyni Kountché de Niamey.
Dans le dernier classement de la FIFA publié ce jeudi 16 septembre, l’Algérie a pu gardé sa place au classement, 30ème mondiale et 3ème sur l’échelle continentale, derrière le Sénégal et la Tunisie.
Rappelant que lors de ses dernières rencontres, l’Algérie a inscrit une grande victoire face au Djibouti (8 – 0) et un nul en déplacement face au Burkina Faso. Une rencontre disputée à Marrakech. Ces deux rencontres s’inscrivent dans le cadre des éliminatoires à la Coupe du monde 2022 qui se déroulera au Qatar.
Rappelons que le meilleur classement de l’équipe des Verts est 15ᵉ en 2014, elle maintient tout de même une certaine stabilité depuis 2019 (entre 35e et 33e).
Les Tops 10 du classementAucun changement à noter quant aux deux premières places, les Diables rouges restent en tête devant le Brésil, pendant que la France, Championne du monde en titre n’est pas sur le podium. L’Angleterre s’installe en 3ème suite à sa performance et ses victoires, les États-Unis sortent des Tops 10 laissant le Danemark s’y intégrer.
Pour ce classement, une progression remarquable est observée en dessous de la 50ème place, chez la Libye avec la plus forte augmentation des points, Canada, Liberia, Malte, Panama, Bulgarie et l’Arabie Saoudite.
1- Belgique
2- Brésil
3- Angleterre
4- France
5- Italie
6- Argentine
7- Portugal
8- Espagne
9- Mexique
10- Danemark
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À la tête du secrétariat l’organisation nationale des moudjahidine (ONM) par intérim depuis près de 3 ans, Mohand Ouamar Benelhadj vient d’être évincé. L’annonce a été faite par le secrétariat de l’organisation.
Dans un communiqué rendu public, l’ONM a annoncé l’installation du membre de son secrétariat, Mohammed Ali Boughazala en tant que son nouveau secrétaire général par intérim. Cette installation intervient en remplacement de l’actuel SG, qui assurait l’intérim depuis 2019.
En effet, de Mohand Ouamar Benelhadj avait été installé à la tête du secrétariat de l’Organisation des moudjahidine suite au décès du secrétaire général de l’organisation, Saïd Abbadou en 2019.
L’installation de Boughazala a eu lieu lundi dernier à Alger, précise encore le communiqué de l’ONM. Selon la même source, « l’organisation a connu plusieurs complications avec l’entourage avec qui elle traitait depuis près de deux ans ».
Le secrétariat lui a demandé « de se retirer ou de démissionner ».Cela a entraîné « son absence temporaire dans l’exercice de ses activités exécutives, ce qui a nui à la réputation de l’Organisation dans le cadre de processus national », indique-t-on encore.
Suite de quoi, « le secrétariat a tenu une réunion le 30 août 2021, lors de laquelle elle avait demandé, suite à des discussions approfondies, à Mohand Ouamar Benelhadj de se retirer ou de démissionner ».
En outre, le communiqué souligne que le Secrétariat national avait chargé le nouveau Secrétaire général par intérim « d’assumer cette responsabilité et d’initier la création des conditions possibles pour que l’organisation puisse mener à bien ses tâches, dans le cadre de la concrétisation des objectifs pour lesquels elle a été créée ».
Il s’agit notamment de « la préparation d’une session du Conseil national pour statuer sur la date de la tenue de la 12e conférence nationale de l’organisation ».
Les positions « intransigeantes » de Mohand Ouamar BenelhadjIl convient de rappeler que la dernière sortie médiatique de Mohand Ouamar Benelhadj a porté essentiellement sur les dernières déclarations de Lakhdar Brahimi sur la guerre de libération nationale. Ce dernier avait comparé le retrait des troupes américaines d’Afghanistan au départ de la France coloniale, en 1962, de l’Algérie.
Dans son allocution, Benelhadj a également réitéré son appel à la restitution de ce sigle emblématique du parti du FLN au peuple algérien. L’intervenant, connu pour sa franchise ne cesse depuis des années d’appeler à « la mise au musée de l’Histoire du sigle du FLN et ainsi l’arracher à l’insolence des prédateurs politiciens ».
Dans ses dernières sorties, publiée sur le site de l’ONM, Benelhadj ne montre aucune hésitation à recadrer les dérapages d’hommes politiques et personnalités historiques. L’on se souviendra sans doute de sa réaction aux déclarations controversées de Bengrina sur la langue amazighe et sur la Kabylie, lors de la campagne électorale au compte des législatives du 12 juin dernier.
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