L’Algérie et la France se dirigent vers une crise politique sans précédent. Les dernières déclarations du président Macron ne sont pas du tout passées inaperçues, bien au contraire. La classe politique en Algérie est en ébullition, et à leur tête la présidence de la république, qui vient de publier un communiqué incendiaire.
Pour rappel, Alger a rappelé ce matin son ambassadeur à Paris, et a promis par la même occasion de publier un communiqué dans les heures qui suivent. Ce qui vient d’être fait. La présidence s’est notamment montrée « catégorique » dans le refus de « l’ingérence inadmissible dans ses affaires intérieures ».
Le communiqué de la présidence a expliqué que le Président Macron n’avait pas démenti les propos qui lui sont attribués par Le Monde. C’est pour cette raison que « l’Algérie exprime son rejet catégorique de l’ingérence inadmissible dans ses affaires intérieures que constituent lesdits propos », indique le communiqué.
« Une nostalgie de l’Algérie Française »Les propos de Macron sont considérés par la présidence comme étant une « atteinte intolérable à la mémoire des 5.630.000 valeureux martyrs qui ont sacrifié leurs vies dans leur résistance héroïque à l’invasion coloniale française ainsi que dans la Glorieuse Révolution de libération nationale ». Le communiqué se penche ensuite sur « les crimes de la France coloniale en Algérie ». Selon la présidence ils sont « innombrables et répondent aux définitions les plus exigeantes du génocide contre l’humanité ».
Pour la présidence de la république, les tenants d’un discours qui occulte « les exactions, massacres, enfumades, destructions de villages » sont ceux-la même qui sont « nostalgiques de l’Algérie française ». La présidence a également dénoncé des « appréciations superficielles, approximatives et tendancieuses énoncées en ce qui concerne l’édification de l’État national algérien ainsi que sur l’affirmation de l’identité nationale ». Le communiqué affirme qu’il s’agit « d’une conception hégémonique éculée des relations entre États ».
Les propos de Macron constituent une « malencontreuse intervention », estime la présidence. Toutefois, le communiqué indique aussi que cela « heurte fondamentalement les principes devant présider à une éventuelle coopération algéro-française en matière de mémoire ».
C’est « face à la situation particulièrement inadmissible engendrée par ces propos irresponsables », que « le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décidé le rappel immédiat en consultations de l’ambassadeur d’Algérie auprès de la République française », indique enfin le communiqué de la Présidence.
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Les dernières déclarations du président français Emmanuel Macron ne peuvent passer inaperçue. Ce dernier a tenu un discours assez sévère, menaçant et très osé. Malgré l’organisation d’une cérémonie au profit des Harkis, les propos tenu par le président français étaient inattendus.
Outre le MSP et le Front El-Moustakbel, le parti de Bengrina a également commenté les déclarations de Macron. Selon le parti islamiste, il s’agit « d’une hystérie liée à l’approche des élections et d’une animosité à l’égard de notre patrie et l’histoire du peuple et de l’État algérien ».
Dans son communiqué, le Mouvement El-Bina a exprimé « son refus total à l’atteinte de la souveraineté nationale » et s’oppose « totalement à l’ingérence étrangère dans les affaires internes du pays ». Le parti islamiste condamne l’instrumentalisation politique, lors des campagnes électorales, de la diaspora algérienne, dont les droits et les valeurs sont négligés et bafoués ces derniers temps.
Le parti islamiste fustige le gouvernement de MacronEl Bina réitère « la fierté qu’il éprouve vis-à-vis de l’histoire de l’Algérie, de l’unité de son peuple et de la cohérence des institutions de l’État ». Avant d’ajouter que « l’Algérie couvrait la France et ses dettes colossales », ce qui prouve que c’est une grande nation et un État souverain que le colonialisme a tenté d’ébranler.
En conclusion, le parti islamiste estime que « le gouvernement de Macron rattrapé par son échec dans sa politique intérieure et extérieure veut nous exporter ses problèmes ». Selon Bengrina « le gouvernement français n’a réussi que dans la création de tensions et de crises ».
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Le chef du parti islamiste MSP n’a pas manqué de réagir aux dernières déclarations du président Français. Abderezak Makri n’hésite pas à s’attaquer à Macron. Il le qualifie tantôt d’« ignorant » et tantôt d’« arrogant ». Il va même jusqu’à l’accuser d’avoir « déclaré la guerre contre l’Algérie ».
Sur sa page Facebook, le chef du MSP, n’hésite pas à user des gros mots. Il affirme dès le début de son texte que « le discours de Macron est une déclaration de guerre contre l’Algérie en tant qu’état et en tant que peuple ». Makri ne décolère pas ensuite, il déclare qu’un « président ignorant de l’histoire et égocentrique humilie le président algérien et entre dans une confrontation inédite avec tout le régime politique ».
Les déclarations de Macron : une atteinte à la souveraineté selon MakriSelon Abderezak Makri, chef d’un parti d’obédience islamiste, Macron « se comporte avec l’Algérie comme s’il s’agissait d’un état sans souveraineté« . Macron, pour rappel, a été particulièrement acerbe dans ses déclarations adressées principalement aux dirigeants algériens.
Pour conclure, Makri indique que « la crédibilité des dirigeants algériens est en jeu ». Selon lui, c’est « l’honneur de tous les Algériens » qui est visé. De ce fait, Makri réclame des autorités « une position à la hauteur de l’insulte ». Il est à noter que le président Français a souligné qu’il y a une « haine de la France », dans certains milieux en Algérie.
Emmanuel Macron a notamment déclaré jeudi dernier, que « le système algérien est fatigué, le Hirak l’a fragilisé ». Le président Français, a ajouté qu’il a « un bon dialogue avec le président Tebboune », mais qu’il voit toutefois « qu’il est pris dans un système qui est très dur ».
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Le joueur franco-algérien qui a été convoqué par les sélectionneurs de deux équipes différentes, a finalement fait son choix.
En effet, Yanis Lagha préfère l’Algérie aux Bleuets. C’est ce qu’a dévoilé ce samedi 2 octobre le média spécialisé RMC sport. « Malgré l’intérêt de la Fédération française de football et du sélectionneur de la catégorie, Lionel Rouxel, Yannis Lagha va poursuivre avec l’Algérie » rapporte la même source.
Le jeune footballeurs âgé de 17 ans, est non seulement un des meilleurs milieux de terrain de l’Olympique Lyonnais, mais aussi le meilleur buteur des U19 nationaux toutes équipes confondues. Il a reçu simultanément deux convocations émanant de deux équipes devant s’affronter prochainement.
Il s’agit des U18 algériens et des U18 de la France dont le rencontres amicales sont prévues pour 9 octobre et 12 octobre à Clairefontaine, et ce, dans le cadre des préparations aux Jeux Méditerranéens d’Oran 2022.
« Une suite logique et naturelle »« Ces deux rencontres viennent concrétiser le travail de rapprochement et de coopération entre la Direction technique nationale (DTN) de la Fédération algérienne de football et son homologue de la Fédération française de football (FFF) », a écrit la fédération algérienne de football (FAF).
Yanis Lagha qui a déjà joué au profit des U17 algériens, a choisi pour ce prochain match de rejoindre les fennecs.
« C’est une suite logique et naturelle, explique un membre de son entourage. C’est valorisant pour Yannis que la FFF pense à lui, mais il est surtout normal qu’il continue de porter avec fierté le maillot des Fennecs, dont il a intégré la génération 2004 depuis la saison dernière. Il n’y a aucune raison d’avoir une polémique autour d’un jeune joueur comme lui. », rapporte RMC Sport.
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Bonne nouvelle pour le secteur des hydrocarbures en Algérie. le prix du baril du Brent fonce en ce moment sur les 80 dollars. il est à rappeler qu’il avait atteint avant-hier un prix de 79,28 dollars sur le marché londonien.
Selon les dernières déclarations faites par l’ex-ministre de l’Energie Abdelmadjid Attar au tout début de l’année en cours, dans son discours à Oran, il prévoyait une hausse. Effectivement, Attar avait estimé un baril à 60 dollars au cours du deuxième semestre de l’année 2021, un seuil largement dépassé, offrant une marge d’action plus ample pour l’exécution du plan de relance économique du pays.
Après trois épisodes de baisses consécutifs du prix du pétrole algérien durant la semaine précédente, notamment le mardi atteignant 78,76 dollars, le prix du baril a fini par grimper jusqu’à frôler les 80 dollars. Un seiul qui n’a pas été atteint depuis presque trois années.
Avec une reprise de la demande mondiale plus rapide que prévu, l’Algérie doit savoir en tirer pleinement profit de cette situation avantageuse. C’est une occasion pour assurer un retour vers un équilibre économique et commercial qui a tout de même bien assez tardé.
Pourquoi ce soudain changement de prix ?Selon les dernières déclarations de la Banque Américaine, l’estimation du baril pourrait très probablement dépasser les 100 dollars d’ici le mois de Novembre.
Et si on tient compte de l’avis de quelques observateurs, cette situation est entièrement due à l’augmentation de la demande, contre une offre plutôt en baisse, une conséquence directe de l’ouragan Ida qui a récemment saccagé l’Amérique, privant la production de la région ainsi que le golfe du Mexique de plus de 300000 barils par jour.
L’entreprise pétrolière et gazière algérienne Sonatrach devrait savoir profiter de cette occasion, une augmentation de la cadence de production du Brent de la mer du Nord est une chance inouïe en ces temps de crise dont souffre le pays depuis assez longtemps.
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Actuellement en fuite, après avoir acheté la nationalité du Vanuatu, le général Ghali Belkecir voit son image en Algérie se dégrader de plus en plus. Après avoir écopé d’une peine de 20 ans de prison assortie d’un mandat d’arrêt international, le général fugitif est désormais privé de tous ses galons. De général tout puissant il devient simple Djoundi.
Ex-premier homme à la gendarmerie nationale, le général Ghali Belkecir était l’un des gros calibres de l’ancien régime. Suite à la chute de Bouteflika, le désormais ancien général avait pressenti la traque et a décidé de quitter vite le pays, avec sa femme. Ils se sont installés en Espagne dans un premier temps, avant d’acheter la citoyenneté de Vanuatu.
De général à Djoundi : le déclin de BelkecirBelkcir n’est plus général. Désormais, l’ex-patron de la gendarmerie nationale n’est qu’un simple Djoundi, un homme de troupe. C’est en tout cas ce que rapporte nos confrères d’El Watan qui précisent que la casassion de son grade de général a eu lieu quelques semaines avant son procès par contumace devant le tribunal militaire de Blida. Un procès qui s’est soldé par sa condamnation à 20 ans de prison.
C’est sur la demande du président de la République, qui est aussi ministre de la Défense et chef suprême des forces armées, que la décision de priver Belkecir de ses galons a été prise par le conseil de discipline militaire. Il s’agit d’une sanction très lourde, mais qui figure quand même dans la loi.
«La radiation du tableau d’avancement pour une durée déterminée, la rétrogradation dans le grade, la cassation de grade et la remise au rang de Djoundi, la radiation des rangs de l’Armée nationale populaire par mesure disciplinaire», indique l’article 72 de l’ordonnance 06-02, qui porte sur le statut général des personnels militaires. Il est à rappeler que le général Belkecir est poursuivi pour haute trahison.
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Descente inopinée du préfet du Littoral Alain Orounla dans plusieurs bars à Cotonou au petit matin du samedi 02 octobre 2021.
Le préfet Alain Orounla accompagné des éléments de la police républicaine a procédé à la fermeture de plusieurs bars et discothèques à Cotonou. En Conseil des ministres le 1er septembre 2021, le gouvernement béninois a réactivé plusieurs mesures de lutte contre le coronavirus dont la fermeture des discothèques et structures assimilées. Cette mesure n'est pas respectée par les promoteurs des bars et discothèques malgré les multiples rappels à l'ordre du préfet Alain Orounla. Il a fait une descente inopinée à Calypso, California, Sun Set, Le Chevalier etc. Le Préfet a aussi constaté le non-respect des mesures barrières telles que le port de masque, la distanciation sociale. Les promoteurs seront convoqués pour répondre de leurs actes.
A.A.A
La rentrée scolaire de cette année s’annonce apparemment difficile et exceptionnelle. D’un côté, une pandémie qui persiste imposant vaccination et vigilance. D’un autre côté, parents perturbés et vente anarchique de livres scolaires.
Médias traditionnels et médias sociaux ont parlé de cette crise qui caractérise l’acquisition de l’une des plus importantes fournitures, à savoir les livres notamment ceux dédiés au cycle primaire. Tout a commencé lorsque que des directeurs des établissements ont annoncé que cette « cette opération commerciale ne relève pas de leurs prérogatives ».
De ce fait, plusieurs élèves ont été privés de ce précieux outil. Cependant, et au grand bonheur des parents inquiet pour l’avenir et la scolarisation de leurs enfants, certains directeurs notamment ceux de la capitale ont accepté de prendre en charge l’opération suite à une rencontre qui les a réuni avec le directeur de l’éducation de la wilaya d’Alger.
Un problème loin d’être récentFace à cette situation embarrassante qui prend pour la première fois une grande ampleur en Algérie, les syndicats ne sont pas rester les bras croisés.
« C’est une opération purement commerciale qui dépend de l’Office national des publications scolaires. C’est à cet office et aux CRDDP d’assurer la vente qui ne fait pas partie des missions des directeurs des établissements et des intendants. Il y a un risque en manipulant l’argent », a commenté Boualem Amoura, président du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef), dont les propose ont été rapporté par nos confrères du média le Soir d’Algérie.
Selon lui, ce problème ne date pas d’hier, il est « récurrent et ancien, mais les pouvoirs publics ne veulent pas bouger ». C’est aussi » une opération commerciale qui génère des milliards et fait objet de spéculation », indique la même source.
Un trafic dans la distribution des livresQuant au secrétaire général du Conseil des lycées d’Algérie (CLA) Zoubir Rouina, ce dernier a évoqué la question de la marge bénéficiaire de 8% dont bénéficient les vendeurs et sont privées les établissements scolaires.
» C’est un grand marché de près de 80 millions de livres. Le paradoxe est que le manuel n’est pas disponible dans les établissements scolaires et lorsqu’on le ramène, la quantité est souvent insuffisante pour satisfaire la demande et ça dure depuis des années », soulève Zoubir Rouina.
Avant d’ajouter que : » les directeurs ont demandé à ce que la marge bénéficiaire de 8% soit accordée à l’établissement, jugeant que le budget accordé aux écoles est faible. Il y a beaucoup de gens qui tirent profit de ce marché. Les points de vente prennent les 8% de marge, mais on refuse de l’accorder aux directeurs des établissements ».
Contrairement au premier intervenant, Zoubir Rouina estime que l’opération de vente doit se faire à l’intérieur des établissements tout en accordant une marge bénéficiaire à ces derniers. Les opinions divergentes, mais la solution finale est entre les mains du ministère de l’Éducation.
Rappelons à ce sujet que le ministre du secteur en question a récemment déclaré que les livres scolaires sont disponibles et s’est montré favorable à la vente des livres à l’intérieur comme à l’extérieur des établissements afin de diversifier les modes d’acquisition de ce précieux outil.
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La Cour de Répression des Infractions Economiques (Criet) a ordonné, vendredi 1er octobre 2021, l'arrestation de sept autres cadres de l'administration publique impliqués dans l'affaire de trafic de carnets de vaccination contre la Covid-19.
Cinq (05) agents de la santé et deux (02) du ministère des finances sont poursuivies dans le dossier de délivrance de carnets de vaccination contre le coronavirus à des personnes non vaccinées.
La Cour de Répression des Infractions Economiques (Criet) a décidé, vendredi 1er octobre 2021, de placer les sept agents sous mandat de dépôt.
Les prévenus vont comparaître lundi 08 novembre 2021.
Plus d'une vingtaine de personnes dont des professionnels de la santé sont derrière les barreaux pour cette affaire de délivrance de pass sanitaire à des personnes non vaccinées, moyennant rémunération.
M. M.
Au grand bonheur des usagers du train, plus précisément des voyageurs de ou vers l’étranger, les trajets reliant la gare d’Agha à l’aéroport international Houari Boumediene reprendront bientôt.
En effet, c’est ce qu’a annoncé aujourd’hui, samedi 2 octobre la Société nationale de transports ferroviaires (SNTF) dont l’activité a été interrompue pendant une longue période en raison de la pandémie.
Via sa page Facebook, la SNTF a indiqué que la reprise des trajets en train desservant la ligne de la gare Agha et l’aéroport internationale de la capitale aura lieu lundi 4 octobre.
À partir de cette date, les voyageurs pourront emprunter le train dont le programme comprend une navette chaque une heure (aller-retour), de six heures (6.00) du matin jusqu’à 19 h 05, et ce, durant tous les jours de la semaine. Notons que ce programme sera adaptable selon les demandes des clients.
Enfin, il convient de préciser que la reprise du trafic ferroviaire fixé pour ce lundi, sera accompagner de deux escales aux gares d’El-Harrach et de Bab Ezzouar (Université).
Un nouveau programme entré en vigueur le 18 septembreRappelons par ailleurs que la société de transport ferroviaire avait annoncé il y a une quinzaine de jours nouveau programme. Ce dernier intervient suite à la rentrée sociale et parallèlement à la mise en œuvre des mesures du confinement partiel.
Il s’agit en effet des lignes suivantes : Alger – El Affroun ; Alger – Tizi Ouzou – Oued Aïssi ; Agha – Zéralda ; Alger – Thenia. À cela s’ajoute des voyages depuis la capitale Alger, vers plusieurs d’autres wilayas, à savoir, Batna, Chlef, Béjaïa et Sétif.
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Certains médias ont relayé pendant ces deux derniers jours une information qui a fait beaucoup de curieux. Il s’agit de l’affaire d’un sous-marin israélien qui aurait été pourchassé par la marine Algérienne. Le MDN, suite au large écho que cette information a eu, a décidé de réagir.
C’est via un communiqué publié sur sa page Facebook que le ministère de la Défense algérien a démenti « catégoriquement » l’information. Dans ce communiqué on peut lire que « certains médias ont relayé des informations selon lesquelles des sous-marins de notre marine auraient repéré et pourchassé un sous-marin étranger au large des eaux territoriales nationales, et ce, au moment ou se déroulait un exercice naval complexe ».
Le démenti du MDNLe même communiqué indique ensuite que « le MDN dément catégoriquement l’intégralité des informations relayées par ces médias, et affirme que l’exercice naval précité, qui a été réalisé avec grand succès par l’équipage du sous-marin « Djurdjura », n’a enregistré aucun incident, y compris celui évoqué par ces médias ».
Le MDN a été donc catégorique. Aucun incident n’a été enregistré durant l’exercice baptisé « Radaa 2021 ». Il est à rappeler que plusieurs médias nationaux ont relayé cette information qui a fait beaucoup de vagues. Le premier à l’avoir rapporté est semble-t-il un journaliste russe.
Pour conclure, le MDN a tenu à inviter « les divers médias nationaux à se rapprocher de ses services compétents afin de vérifier l’authenticité des informations avant de les publier afin d’éviter de tromper l’opinion publique ». Cette histoire survient alors que l’Algérie est en pleine crise diplomatique avec le Maroc, d’où le premier ministre israélien a osé déclaré qu’il s’inquiétait « au sujet du rôle joué par l’Algérie dans la région, son rapprochement avec l’Iran et la campagne qu’elle a menée contre l’admission d’Israël en tant que membre observateur de l’Union africaine”.
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La tension monte entre l’Algérie et la France. Depuis l’affaire de la réduction du nombre de visas français accordés aux Algériens, rien ne va plus entre les deux pays. Aprés la déclaration de Belani, puis du ministère des Affaires étrangères, voilà que l’Algérie arrive à la décision de rappeler son ambassadeur à Paris. Une décision lourde de sens.
En effet, aujourd’hui, le 02 octobre 2021, l’Algérie a rappelé son ambassadeur à Paris. Pour toutes explications, la présidence a indiqué que cela a été fait dans un but consultatif. Elle cependant a ajouté qu’un communiqué sera publié ultérieurement.
Vers une crise entre l’Algérie et la FranceLa décision prise par la France de réduire les visas accordés aux algériens de 50 % n’a pas été bien digérée par les responsables algériens. Pour rappel, Amar Belani, le diplomate chargé du maghreb a déclaré qu’il s’agit d’une« décision disproportionnée ».
Aprés Belani, le ministère des Affaires étrangères a aussi publié un communiqué ou il affirme que « le secrétaire Général du Ministère des Affaires étrangères et de la Communauté Nationale à l’Étranger a convoqué aujourd’hui l’ambassadeur de France en Algérie ». La décision de la France, indique le communiqué du MAE, « affecte négativement la qualité et la fluidité de la circulation des ressortissants algériens à destination de la France ».
Enfin, jeudi dernier, Macron en remet une couche. Il affirme que la réduction des visas cible avant tout les dirigeants algériens et non les étudiants. « On va plutôt ennuyer les gens qui sont dans le milieu dirigeant, qui avaient l’habitude de demander des visas facilement », affirme le président Français. Macron n’hésite pas à menacer : « Si vous ne coopérez pas pour éloigner des gens qui sont en situation irrégulière et dangereux, on ne va pas vous faciliter la vie », a-t-il déclaré.
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Aujourd’hui encore, les cas de contamination à la covid-19 en Algérie demeurent sous la barre des 200 cas. Une bonne nouvelle pour l’ensemble des citoyens que le souvenir de la troisième vague taraude encore. Selon les spécialistes cependant, la joie ne devrait pas laisser place au relâchement.
Aujourd’hui, le 02 octobre 2021, l’Algérie a enregistré 140 nouveaux cas de contamination à la Covid-19. Selon le bilan publié par le ministère de la Santé, le pays a déploré aujourd’hui 4 nouveaux décès suite à des complications liées au virus. Le même bilan indique 105 nouvelles guérisons et 15 nouvelles admissions en réanimation.
Le dernier bilan émis par le ministère de la Santé fait monter le total des cas de contamination en Algérie à 203.657 cas. Depuis le début de la crise sanitaire en mois de mars dernier, l’Algérie a tristement recensé pas moins de 5819 décès causé par la covid-19.
Le vaccin contre la grippe protège-t-il contre la covid ?Cette année, la campagne de vaccination menée contre le coronavirus coïncide avec une autre campagne, plus classique, celle de la vaccination contre la grippe saisonnière. Cette coïncidence a fait réagir plusieurs spécialistes et émerger le mot « co-vaccination ». Mais est ce une bonne idée de jumeler les deux vaccins.
Selon le professeur Rachid Belhadj, le vaccin contre la grippe diminue le risque d’attraper la covid-19 et atténue ses symptômes en cas de contamination. Intervenant dans une émission de la radio nationale. Il est à noter que plusieurs spécialistes, notamment étrangers, parlent désormais d’une co-vaccination grippe/covid.
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L’équipe nationale Algérienne est aux portes d’une rencontre décisive avec le Niger, dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde 2022. À cette occasion, le sélectionneur national, Djamel Belmadi, a dévoilé aujourd’hui, le 02 octobre 2021, la liste finale des 25 joueurs sélectionnés pour le match.
Il est à rappeler que les verts se sont contentés d’un nul suite à la dernière rencontre qu’ils ont disputé face aux Burkinabés. Cette maigre satisfaction devrait pousser les combattants du désert à se donner à fond lors du prochain match qui les opposera au Niger. Cette rencontre aura lieu 8 octobre à Blida.
Les 25 de Belmadi dévoilésAlors que tout le monde parlait d’un Zeghba, Belmadi opte pour son trio habituel de gardiens de but. Le sélectionneur national a fait appel à Rais M’Bolhi, l’indéboulonnable, mais aussi à deux autres gardiens remplaçants. Il s’agit d’Alexandre Oukidja, qui évolue au FC Metz et de Abderahmane Medjadel, keeper du Paradou AC.
Les défenseurs sélectionnés pour cette rencontre par Djamel Belmadi sont au nombre de dix. Il s’agit de Mehdi Zeffane, Hocine Benayada, Youcef Attal, Ramy Bensebaini, Mohamed Fares, Djamel Benlamri, Aissa Mandi, Ahmed Touba, Abdelkader Bedrane et enfin de Abdel Jalil Medioub.
Le sélectionneur national a fait aussi appel à six milieux de terrain, et pas des moindres. Ismail Benacer, le joueur de Mythique Milan AC sera de la partie, mais aussi Sofiane Feghouli et Hichem Boudaoui. Adem Zorgane, Ramiz Zerrouki et Haris belkebla figurent également sur la liste.
En ce qui concerne l’attaque, sans grande surprise, Belmadi a fait appel à Ryad Mahrez, le chouchou des supporters des fennecs, mais aussi à cinq autres stars. Il s’agit d’Islam Slimani, la pointe de l’OL, de Baghdad Bounedjah, Youcef Belaili, Adam Ounas, et de Said Benrahma.
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Emmanuel Macron a choqué plus d’un jeudi dernier. Le président Français avait convié à l’Élysée 18 jeunes algériens et franco-algériens, avant de faire des déclarations pour le moins inédites. Il s’est notamment penché sur la réduction des visas, mais aussi sur plusieurs autres sujets qui concernent les relations entre l’Algérie et la France.
Selon le journal Français Le Monde, un dialogue inédit a eu lieu jeudi dernier entre le président Français Emmanuel Macron et ce qui a été qualifié comme « les petits fils de la guerre d’Algérie ». Durant ce « dialogue« , le président Français a tenu à envoyer plusieurs messages aux dirigeants algériens.
Macron ne mâche plus ses motsPour commencer, le président Français se voulait conciliant, mais cette attitude cachait toutefois une sévérité inédite envers les responsables algériens. Macron a notamment déclaré que « l’histoire et les mémoires de la guerre d’Algérie étaient la matrice d’une grande partie de nos traumatismes ». Il a ensuite ajouté que »« il y a des souffrances qui ont été tues, et qui se sont construites comme étant irréconciliables. Or, je pense tout l’inverse ».
Macron s’attaque ensuite à un terrain sensible et dangereux, celui des relations algéro-françaises. Il n’hésite pas à évoquer une « haine de la France ». Il essaie de se rattraper ensuite en disant qu’il ne pointait pas la « société algérienne dans ses profondeurs, mais du système politico-militaire qui s’est construit sur cette rente mémorielle ».
Macron va encore plus loin en affirmant que « le système algérien est fatigué ». Il assure que « le Hirak l’a fragilisé ». Et d’ajouter, « j’ai un bon dialogue avec le président Tebboune, mais je vois qu’il est pris dans un système qui est très dur ».
Réduction des visas : ça concerne le « milieu dirigeant », selon MacronInterrogé sur l’affaire de la réduction des visas français pour les Algériens, Emmanuel Macron ne manque pas de faire encore une autre déclaration fracassante. Il affirme que cette décision ciblera le « milieu dirigeant », et que « il n’y aura pas d’impact sur ce qu’on évoque ».
Macron assure que les étudiants et les acteurs économiques ne sont pas visés par la réduction des visas. Il n’hésite pas à déclarer cependant que « on va plutôt ennuyer les gens qui sont dans le milieu dirigeant, qui avaient l’habitude de demander des visas facilement ».
Macron, indique le Monde, veut faire passer un message aux dirigeants algériens. « Si vous ne coopérez pas pour éloigner des gens qui sont en situation irrégulière et dangereux, on ne va pas vous faciliter la vie », a-t-il menacé.
La Turquie au cœur d’un conflit Franco-algérien ?Macron s’élance et ne compte plus s’arrêter. Alors que les relations entre l’Algérie et la France étaient au cœur du débat, le président Français évoque la Turquie. Il commence par affirmer que l’histoire algérienne a été « totalement réécrite ». Il précise ensuite qu’elle ne «s’appuie pas sur des vérités » mais qu’elle « repose sur une haine de la France ». Selon Macron, cette « désinformation » et cette « propagande » sont portées par les Turcs.
« Moi, je suis fasciné de voir la capacité qu’a la Turquie à faire totalement oublier le rôle qu’elle a joué en Algérie et la domination qu’elle a exercée. Et d’expliquer qu’on est les seuls colonisateurs, c’est génial. Les Algériens y croient », lâche encore Macron.
Le président Français n’a pas hésité à s’interroger sur l’existence d’une nation algérienne avant la colonisation française. « Est-ce qu’il y avait une nation algérienne avant la colonisation française ? Ça, c’est la question », a-t-il lâché.
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Les campagnes de vaccinations anti-COVID-19 coïncident cette année avec l’administration du vaccin antigrippal recommandé chaque automne pour les populations à risque. De ce fait, certains spécialistes notamment étrangers parlent désormais d’une co-vaccination grippe/covid.
Pour ce qui est des médecins algériens, nombreux d’entre eux ont rassuré que l’administration des deux vaccins est possible et évidemment faisable, à condition de respecter un intervalle de 14 jours. Aujourd’hui, le professeur Rachid Belhadj, directeur des activités médicales et paramédicales au CHU Mustapha Pacha, s’est prononcé sur le sujet.
Intervenant ce samedi 2 octobre, sur les ondes de la radio nationale, professeur Rachid Belhadj a réitéré la nécessité des vaccinés contre la covid-19 de recevoir également le vaccin anti-grippal. Ce dernier est, selon l’intervenant indispensable pour les personnes âgées et celles souffrants de maladies chroniques qui doivent cependant consulter un médecin avant d’aller se faire vacciner.
Lors de son intervention médiatique, le spécialiste a révélé que le vaccin contre la grippe qui est incontournable, diminue le risque d’attraper la covid-19 et atténue ses symptômes en cas de contamination.
Une étude américaine confirme ce constatEn effet, ce constat a été prouvé par des chercheurs américains ayant mené une étude sur un échantillon de 70 mille patients atteints de covid-19. L’étude consiste a comparé les données des patients ayant reçu le vaccin antigrippal et celles des patients qui ne l’ont pas reçu.
Les résultats de l’étude ont montré que la majorité des patients atteint de covid-19 et qui ont eu le vaccin contre la grippe n’ont pas été hospitalisés, hormis quelques cas très rares. Enfin, l’étude américaine a également insister sur le fait que les vaccins anti-covid demeurent un moyen de protection efficace permettant de renforcer l’immunité et les défenses de l’organisme.
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