La compagnie à bas prix espagnol, Volotea Airlines, avait annoncé il y a quelques mois sa décision d’opérer des vols depuis et vers l’Algérie afin de conquérir le public algérien, notamment la diaspora établie en France.
En effet, cette décision vient de concrétiser. Hier, 16 décembre 2021, un premier vol Marseille-Oran a été effectué par ladite compagnie dont le PDG s’est félicité de ce premier pas.
« Nous sommes très heureux d’annoncer ces nouvelles liaisons, C’est une grande réussite pour nous, qui stimule notre croissance et élargit notre offre en France« , a déclaré Carlos Muñoz, fondateur et PDG de Volotea.
Les Algériens qui souffrent depuis la réouverture des frontières, d’une hausse de prix de billets vertigineuse peuvent désormais tirer profit des offres de la compagnie espagnole.
Dans ce contexte, un vol aller-retour à partir de Bordeaux vers le territoire algérien sera possible en janvier à seulement 100 euros. Un prix très raisonnable en comparaison avec ceux pratiqués par la compagnie nationale et française.
Quelles conditions de voyage avec Volotea ?Parmi les conditions les plus importantes qui peuvent intéresser les voyageurs algériens, figure la question liée au bagage. Avant de choisir Volotea, il convient de savoir que la compagnie espagnole autorise uniquement un sac et un bagage à mains (dimensions maximales : 55 x 40 x 20 cm) dont le poids total ne doit pas dépasser les 10 kg.
Quant aux bagages en soute, il est autorisé de transporter jusqu’à cinq bagages dont le poids total ne doit pas dépasser les 50 kg. Dans le cas contraire, des frais supplémentaires seront imposé. Ainsi, la compagnie espagnole permet d’enregistrer ses bagages en ligne, sur le site de Volotea, et ce, au plus tard deux heures et demie avant le départ.
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L’international algérien Youcef Belaili est, sans conteste, le symbole de la supériorité de la sélection algérienne lors de la Coupe Arabe organisée au Qatar. Le natif de la capitale de l’ouest, Oran, a donné d’abord du fil à retordre à la sélection marocaine, avant de mettre un terme aux espoirs du Qatar lors de la demi-finale.
Si son but irréel depuis le milieu de terrain a sans doute fait plaisir à son club, ce dernier ne semble pas avoir digéré la prestation du joueur qui a humilié le onze qatari lors de son dernier match.
Après avoir évolué au MCO, Youcef Belaili signe en 2012 avec l’ES Tunis. Le désormais international algérien charme par son talent et suscite les convoitises des clubs du Golf.
En 2019, il va d’abord signer avec le club Saoudien Al Ahly SC, avant de s’engager, en 2020, avec le club qatari Qatar SC. Un engagement qui ne fera pas long feu.
Alors que son contrat avec le club le lie jusqu’à juin 2022, Belaili, ainsi que son Qatar SC, ont annoncé hier que le contrat a été résilié « à l’amiable ». Le Qatar SC a laissé filer une action en hausse, ce qui n’est pas passé sans alimenter certains soupçons autour de cette affaire.
Une expulsion déguisée ?Bien que la Coupe Arabe ait été une réussite inattendue, le Qatar est quand même resté fidèle à sa réputation marqué de dédain et d’insolence.
Loin d’être une nation de football, le Qatar a quand même pu créer, de toutes pièces, une sélection « multinationale ». Cela ne lui a pourtant pas permis d’échapper aux gestes techniques de Belaili, qui a inscrit un but mortel à la « troisième » mi-temps.
Beaucoup, et à juste titre, ont trouvé que l’affaire de la résiliation du contrat de Belaili, une journée après la victoire de l’Algérie face au Qatar, est louche.
C’est le cas notamment du média espagnol Marca, qui affirme, non pas sans une once de sarcasme, que « le Qatar SC met fin au contrat de l’Algérien Belaili un jour après que l’attaquant a éliminé le Qatar de la Coupe arabe avec un but à la 107e minute ! ». La moindre des choses que l’on puisse dire, c’est qu’il s’agit d’un étrange timing.
Tout laisse à penser que l’élimination du Qatar face à l’Algérie et la résiliation du contrat de Belaili par son club qatari, sont deux événements intimement corrélés.
Quand la politique prime sur le sportAprès 25 matchs et 17 buts marqués avec le Qatar SC, le club Qatari laisse filer la vedette algérienne alors que sa valeur marchande vient d’augmenter. Le club, pourtant réputé être un négociateur endurci, met fin au contrat de l’international algérien qui a demandé, lors du mercato hivernal, en vain, sa libération.
Que Belaili soit libéré au lendemain de la défaite du Qatar face à l’Algérie, lors d’un match ou il a incarné un esprit d’équipe mué par une volonté infaillible d’honorer le drapeau algérien, met le Qatar dans une posture de mauvais perdant.
Ce n’est pas l’argent qui manque au Qatar. On se souvient de comment le PSG, propriété d’un milliardaire Qatari, a refusé de céder Mbappé au Réal de Madrid pour la modique somme de pas moins de 200 millions d’Euros. Mettre fin au contrat de Belaili ne peut qu’être qu’une réaction « politique », à une double « humiliation » sportive.
Une humiliation sur le terrain, incarnée d’ailleurs par Belaili qui a réalisé quatre petits ponts, et qui a marqué le but de la victoire. Mais aussi une humiliation après le match, menée tout en himour par les supporters algériens, qui ont notamment tourné au ridicule les 19 minutes du temps additionnel.
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Un Algérien de 33 ans a été arrêté par la police espagnole dans la ville balnéaire de Palma, suite à un incendie qui s’est déclenché mardi dernier, vers les coups de 13 h.
Le site diariodemallorca qui a rapporté le fait divers explique que le mis en cause est poursuivi pour incendie volontaire ainsi que pour des infractions de menace. En effet, les faits se sont déroulé à Polígono de Can Valero de Palma ou une violente bagarre a été signalé à la police.
Il s’agit de l’histoire d’un Algérien à qui on a interdit de passer la nuit avec deux autres sans-abris (SDF) dans leur tente, et ce, en dépit de ses menaces. Afin de se venger, le mis en cause est passée l’action. Après avoir mis du feu à leur tente, un incendie s’est déclenché nécessitant l’intervention des éléments de la police qui ont utilisé des extincteurs.
Il a mis du feu alors que la tente n’était pas videD’après la même source, le feu a été mis alors que les deux sans-abris dormaient à l’intérieur de la tente. L’un d’eux s’est réveillé suite à la fumée qui se dégageait et la forte chaleur causée par les flammes.
Après avoir été interrogé sur les raisons de la bagarre, les deux victimes ont confié que la vie à côté du mis en cause était insupportable. En attendant son procès, le mis en cause est poursuivie pour incendie volontaire ainsi que pour des infractions de menace
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Les militantes et militants du Parti du renouveau démocratique (PRD) tiennent dès ce samedi 18 décembre 2021, leur 5ème congrès ordinaire. Les travaux annoncés pour durer 02 jours auront lieu au siège du PRD à Porto-Novo, et via visioconférence sur plusieurs autres sites, et à la diaspora.
Trois principaux objectifs sont attendus au terme du 5ème congrès ordinaire du PRD. Le président du comité d'organisation, Emmanuel Zossou, au cours d'une conférence de presse a évoqué entre autres, que la ligne politique du parti sera revisitée, ainsi que le toilettage des textes (statuts et règlement intérieur), et le renouvellement des instances, notamment la présidence du parti.
Pour l'heure, difficile de dire si le leader charismatique des Tchoco-Tchoco, Me Adrien Houngbédji, va passer le témoin à un autre militant où se retirer au poste de président d'honneur du PRD.
F. A. A.
Pour une première fois dans l'histoire de la presse béninoise, un acteur des médias a été élevé à titre exceptionnel et civil dans l'Ordre national du Bénin au grade de Grand officier. Nommé par décret 2021-202 du 07 mai 2021, Edouard Loko, ex directeur de publication du journal Le Progrès a porté sa médaille ce jeudi 16 décembre au cours d'une cérémonie fort simple présidée par le Vice-Grand chancelier de l'ordre national du Bénin, Falilou Akadiri.
Le récipiendaire est un journaliste émérite. Il a occupé par le passé, les postes de vice-président de la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (HAAC), de président du Conseil national du patronat de la presse et de l'audiovisuel (CNPA), et de président de l'Observatoire de la déontologie et de l'éthique dans les médias (ODEM).
Edouard Loko a également occupé le poste de directeur général adjoint de la chaîne de télévision privée Eden Tv. Depuis 2016, il travaille aux côtés du chef de l'Etat Patrice Talon en tant que chargé de mission du président de la République, et responsable de la communication média.
Très ému par la distinction qui lui est faite, Edouard Loko a souligné que son élévation au grade de Grand officier de l'ordre national du Bénin relève exclusivement de la volonté du Grand maître de l'ordre national du Bénin, le chef de l'Etat Patrice Talon. Il s'est engagé à se montrer digne de cette élévation qui, précise-t-il, lui fait honneur, et par-delà, toute la presse béninoise.
F. A. A.
Le temps additionnel accordé par l’arbitre du match Algérie-Qatar, en demie final de la coupe Arabe, a fait couler beaucoup d’encre. Plusieurs spécialistes du monde footballistique se sont exprimé sur ce sujet.
Aujourd’hui, c’est au tour du président de la Fédération algérienne de football, Charaf-Eddine Amara, de s’exprimer sur cette converse. Dans une déclaration accordée à la radio nationale, le responsable algérien a fait savoir qu’il est intervenu auprès de la FIFA, afin d’exprimer son mécontentement quant à l’arbitrage.
« Je suis intervenu personnellement auprès de la FIFA pour contester contre la décision de l’arbitre du match Algérie-Qatar qui s’est déroulant dans le cadre de la demi-finale de la coupe Arabe 2021″ a annoncé Charaf-Eddine Amara.
Ce dernier a poursuivi « on s’est contenté d’exprimer oralement notre mécontentement et contestation. J’ai discuté avec le président du comité de l’arbitrage qui, à son tour, était désolé de ce qui s’est passé… Avant d’affirmer que l’arbitre a été impartial jusqu’au moment (90ᵉ minute) où il a annoncé un temps additionnel exagéré », rapporte le président de la Fédération algérienne de football.
L’avis d’un ancien arbitre égyptienGamal Mahmoud Ahmed Al-Ghandour, premier arbitre égyptien à arbitrer en J-League, en 1999 a été invité à la chaine sportive qatarie Bein Sport, pour commenter cette polémique. Selon l’intervenant, les premières 9 minutes ont été tout à fait logique en raison des nombreuses scènes ayant interrompu le match.
Par ailleurs, il n’a pas manqué à critiquer l’ajout de 10 autres minutes de plus. « Mais la rencontre a duré pour 19 minutes de plus. Ce n’est pas normal. C’est un temps record. C’est fou ! »s’est-il exclamé.
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Le trophée de l la Coupe Arabe n’est plus qu’à un pas de Bougherra et de ses joueurs. La finale, qui s’annonce maghrébine, va permettre de voir une belle rencontre entre l’Algérie et la Tunisie, demain samedi à 16 h. La sélection algérienne, après bien des péripéties, semble être prête pour relever le défi.
Aujourd’hui, le 17 décembre 2021, une journée avant la finale, Majid Bougherra, lors d’une conférence de presse qu’il a tenu, a livré ses impressions concernant la prochaine rencontre de la sélection algérienne contre l’équipe nationale Tunisienne.
Pour l’ancien joueur de l’équipe nationale et l’entraineur actuel de l’équipe A, « la présence de deux équipes maghrébines à la finale donne une image de la nature du football chez nous ». Il ajoute que l’Algérie a réussi à atteindre la finale, mais qu’il lui reste quand même un bout de chemin à faire.
« On ne pense qu’à gagner »Bougherra a déclaré « qu’on connait très bien la sélection tunisienne, et le match sera semblable à ceux contre le Maroc et l’Égypte ». L’entraineur des Verts a indiqué que « la finale sera disputée avec la même détermination à laquelle on s’est habitué ».
« La concentration sera grande » a ajouté le sélectionneur national. Il a également affirmé qu’il « ne pense à aucun autre scenario hormis celui de gagner ». Pour ce faire, Bougherra affirme que l’équipe est prête « à tout donner ».
Concernant la stratégie qui va être adoptée contre la Tunisie, Bougherra indique « que la manière de jouer de l’équipe tunisienne a été analysée de A à Z.
À propos de la blessure de Bounedjah, l’entraineur confie qu’il attend toujours l’avis du médecin. Et en ce qui concerne Belaili et sa fin de contrat, Bougherra déclare qu’il souhaite que son joueur « trouve un grand club », et que « cette fin de contrat ne va pas l’impacter vu qu’il est très impatient de disputer la finale ».
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La visite du président Tebboune en Tunisie a été bien fructueuse en terme d’accords signés. À son arrivée à Tunis, et après un long entretien avec le président Tunisien, le président Tebboune a présidé une cérémonie de signature de 27 accords.
Le président Tunisien Kais Saied, ainsi que son premier ministre, n’ont pas manqué d’évoquer les villes frontalières des deux pays. Le « jumelage entre wilayas frontalières » figurait dans ces accords, a indiqué le président Tunisien.
« Ce n’est pas une décision politique »Le président Tebboune, après la cérémonie de la signature des accords, et le banquet préparé à son honneur, a tenu à rencontrer des représentants des ressortissants algériens installés en Tunisie. Au cœur de cette rencontre, le sort des frontières terrestres entre l’Algérie et la Tunisie, fermées depuis près de deux ans.
Le chef de l’État a tenu à préciser qu’il ne s’agit nullement d’une fermeture politique ou bien sécuritaire, mais d’une décision liée à la situation sanitaire inquiétante à cause de la pandémie de la covid-19. « Concernant la fermeture des frontières, ce n’est ni une décision politique ni une décision sécuritaire, il s’agit d’une décision sanitaire, c’est tout », a déclaré hier le président Tebboune, depuis Tunis.
La pandémie, toujours selon le chef de l’État, « a été forte chez nous en Algérie, mais aussi en Tunisie », ce qui a poussé les deux pays à prendre leurs précautions.
Vers une ouverture progressive ?Le prolongement ou non de cette décision est soumis à l’évolution de la situation sanitaire dans les deux pays. Le président Tebboune précise que « plus on vaccine les Algériens et les Algériennes, plus les frontières vont s’ouvrir ». Le président Parle ensuite d’ajouter « un ou deux avions par semaine », et « d’ouvrir la route ».
Le chef de l’Etat évoque ensuite l’instauration d’un pass sanitaire. « Celui qui termine sa vaccination il est libre, il entre quand il veut et il sort quand il veut ».
Le chef de l’État rappelle enfin « qu’on a commencé à ouvrir. On a ouvert les frontières aériennes, puis on a relancé les traversées maritimes…., pour les frontières terrestres, ça sera la même chose sauf que dans le contexte actuel, même des grands pays européens préfère fermer et garantir sa sécurité. On ne peut pas prendre une décision sentimentale et déboucher sur une catastrophe ».
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Raphaël Glucksmann, homme politique français et un eurodéputé, a publié hier, jeudi 17 décembre, sur son compte Instagram un post qui a fait le tour de la Toile. Connu pour ses engagements et actions humanitaires, Raphaël a appelé hier à une solidarité massive en faveur de « Idris Hassan ».
Il s’agit d’un Ouïghour de 34 ans qui risque une extradition vers la Chine après avoir mis à nu les crimes du Parti Communiste Chinois contre l’humanité. En effet, Idris Hassan dont le nom est orthographié par la Chine « Yidiresi Aishan », est un informaticien et militant pour les droits humains, établi en Turquie avec sa femme et ses trois enfants depuis 2012.
Il a été arrêté au Maroc à la demande des autorités de Pékin et il risque d’être renvoyé en Chine, a écrit Raphaël dans son post. La décision de l’extrader est tombé hier ce qui expose le jeune Ouïghour au danger de « l’enfermement, la torture et la mort ».
Cette arrestation dont a été victime le jeune Ouïghour le 19 juillet 2021 à l’aéroport de Casablanca en provenance d’Istanbul, est par ailleurs, le fruit des pressions exercées par les autorités chinoise sur les organisations internationales, notamment Interpol qui avait émis un « notice rouge ».
Une erreur d’Interpol ?Il convient de préciser cependant que l’organisation internationale de coopération policière a « depuis annulé la notice rouge émise dans le cadre de l’affaire le concernant, en se fondant sur de nouvelles informations reçues par son secrétariat », a indiqué Amnesty International. Cela n’a pas empêché le Maroc de maintenir « idriss Hassan » en prison et d’être favorable à son extradition.
De ce fait, le militant chinois, membre de la minorité musulmane des Ouïghours risque la prison à vie au Xinjiang après avoir été accusé « d’actes terroristes » de la part des autorités de son pays.
« J’ai parlé à Idris. Il est terrorisé à l’idée d’être extradé. À chaque fois qu’il entend des pas dans le couloir de la prison, il a l’impression que quelqu’un vient le chercher pour l’envoyer en Chine » a confié son avocat au média français Libération.
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La nuit d’hier jeudi a été secouée par des coups de feu qui ont causé la mort de deux jeunes citoyens à Bab El Oued. De l’autre côté de l’arme, se tenait un policier. Il s’agit d’un incident dont les faits ont été largement relayés, depuis hier à 22 h, par plusieurs pages sur les réseaux sociaux.
Il aurait fallu attendre la matinée d’aujourd’hui, vendredi 17 décembre, pour que la Direction Générale de la Sûreté Nationale s’exprime à ce sujet.
En effet, dans un communiqué de presse publié aujourd’hui, la DGSN a confirmé que deux personnes sont décédées et que deux autres, et parmi eux une jeune fille, ont été blessés par des coups de feu tirés par un policier pendant la nuit du jeudi 16 décembre à Bab El Oued.
Le policier en garde à vueLe communiqué de la DGSN affirme qu’une « enquête a été ouverte à la suite d’un incident qui a causé la blessure par balles, ayant entrainé la mort, de deux personnes, ainsi que des blessures légères de deux autres personnes, dont une fille, jeudi dernier dans la nuit du 16 décembre 2021, vers 22 h, à Bab El Oued, Alger ».
Le communiqué assure que le policier ayant tiré les coups de feu a été « placé en garde à vue ». Le mis en cause « s’est présenté de son plein gré devant les services de la police judiciaire », souligne la même source, qui ajoute que les deux personnes blessées ont été prises en charge par les éléments de sécurité.
La DGSN a fait également savoir que dès qu’un nouvel élément sera confirmé à propos de cette affaire, il sera communiqué afin d’informer l’opinion publique. Le communiqué de la police a enfin présenté ses « sincères condoléances aux familles des deux victimes ».
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Le président Patrice Talon sera devant les députés mercredi 29 décembre 2021 à Porto-Novo pour délivrer son message sur l'état de la Nation.
Discours annuel du président Patrice Talon sur l'état de la Nation. Sauf changement d'agenda, le chef de l'État sera devant la Représentation nationale le mercredi 29 décembre 2021.
Réélu en avril 2021 à la tête du Bénin pour un second mandat, Patrice Talon va se conformer une sixième fois à cette exigence constitutionnelle (message sur l'état de la Nation). Selon l'article 72 de la Constitution, « le président de la République adresse une fois par an un message à l'Assemblée nationale sur l'état de la Nation. Il peut aussi à tout moment adresser des messages à l'Assemblée nationale. Ces messages ne donnent lieu à aucun débat ; ils peuvent toutefois inspirer les travaux de l'Assemblée ».
A.A.A
Le dinar algérien poursuit sa dégringolade, face aux principales devises, il parait tout faible. Les cotations commerciales de la banque d’Algérie ainsi que le taux de change au marché noir nous confirme ce constat.
Aujourd’hui, vendredi 17 décembre 2021, un seul euro équivaut selon les cotations de la banque d’Algérie à 156.98 dinars algériens à l’achat et 157.05 dinars algériens à la vente. Le dollar américain est cédé au niveau du même marché contre 138.88 dinars algériens à l’achat et contre 138.90 à la vente.
Par ailleurs, l’unité de la livre sterling s’échange aujourd’hui, 17 décembre au prix de 184.19 dinars algériens à l’achat et contre 184.29 dinars algériens à la vente. Ainsi le dollar américain coute au niveau de la banque d’Algérie pas moins de 108.45 dinars algériens à l’achat et contre 108.49 dinars algériens à la vente.
Taux de change au marché noirLes cambistes du Square port-Saïd dans la capitale Alger se réjouissent de l’augmentation du nombre des dessertes commerciales. En effet, les vols se multiplient et les prix des devises explosent face à une monnaie qui ne cesse de chuter.
Un seul euro coute au Square port-Saïd pas moins de 214 dinars algériens à l’achat et 216 dinars algériens à la vente. Un seul dollar s’échange contre 193 dinars algériens à la vente et contre 190 dinars algériens à l’achat, témoignant ainsi d’une hausse considérable.
Au marché noir, le dollar canadien est cédé contre 143 dinars algériens à la vente et 146 dinars algériens à l’achat. Enfin, la monnaie britannique est la plus stable. Un seul pound coute au marché noir 248 dinars algériens à l’achat et 251 dinars algériens à la vente.
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Les services de l’office national de Météorologie ont annoncé le retour de la pluie à partir de ce vendredi 17 décembre sur les wilayas du Sud. En effet, Météo Algérie prévoit jusqu’à 20 mm de pluies orageuses au niveau de 4 wilayas du pays.
Il s’agit de Timimoun, Ghardaia, El Baydh et Naama qui seront au rendez-vous aujourd’hui, 17 décembre, avec des pluies orageuses dont la quantité dépassera les 20 mm, et ce, durant toute la journée de ce vendredi. En revanche, les wilayas du Nord connaîtront un climat stable caractérisé par un temps clair à partiellement nuageux sur quelques régions.
Journée ensoleillée au nord du paysSelon les prévisions météorologiques, les régions de l’ouest connaîtront ce vendredi 17 décembre un temps clair à partiellement nuageux. Celles de l’intérieur seront caractérisé par un ciel dégagé, qui devient partiellement voilé à nuageux avec quelques éclaircies.
Quant aux régions de l’est, météo Algérie prévoit également un temps clair avec un ciel dégagé. Il y aura toutefois quelques wilayas qui vont connaitre des épisodes nuageux. À In Salah, Illizi, Djanet, In Guezzam, le soleil sera au rendez-vous, grâce à un ciel dégagé, qui deviendra nuageux à Béchar et partiellement voilé à Béni Abbes.
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Le transport de l'essence de contrebande, communément appelé "Kpayo" continue de faire des dégâts. Une camionnette remplie de l'essence frelatée a pris feu, ce jeudi 16 décembre 2021, à Klouékanmey dans le département du Couffo.
C'est à Egbohoué, une localité de la commune de Klouekanmey que le drame s'est produit jeudi dernier. La camionnette remplie de bidons d'essence, et en direction de Lalo a été consumée. La cause de ce drame n'est pas encore identifiée.
Les sapeurs pompiers sont intervenus pour éteindre le feu. Le véhicule est irrécupérable. Aucune perte en vie humaine n'a été enregistrée.
F. A. A.
Le 29 novembre, l'homme d'affaires burkinabé Salifou Ouedraogo a été mis sous mandat de dépôt par les juges près la CRIET dans une affaire de 2,432 millliards FCFA, qui l'oppose à la société agricole malienne Madcom. A peine a t-il été privé de sa liberté que Salif Ouedraogo doit affronter les banques et autres créanciers. Une situation étonnante pour cet ex fugitif devenu subitement vertueux au Bénin.
Judicaël ZOHOUN
Salif Kossouka Ouédraogo n'a pas bonne image dans le monde des affaires. Il a la triste réputation d'opérateur économique peu scrupuleux, capable de faire recours aux coups tordus et aux règlements de comptes dans les différends avec ses partenaires économiques et financiers. Nestle, British American Tobacco, Les Grands Moulins du Strasbourg et autres estiment tour à tour avoir perdu plusieurs milliards FCFA avec le Burkinabé sur fond de chantage et de suspicion d'assassinat.
Dans le différend qui l'oppose à la société malienne Madcom, il est reproché à APS Commodities de Salif Ouedraogo, une commande de 250 000 tonnes d'engrais non honorée. Un coutumier des faits affirment certains opérateurs économiques interrogés.
De l'histoire de Salif Ouedraogo, il ressort que du statut de vendeur de piles dans sa région, il a réussi en moins de cinq ans voire dix selon les récits, à bâtir une fortune estimée à quarante (40) milliards FCFA !
Du personnage, on retient également que après onze jours de détention à la Maison d'arrêt et de correction de Ouagadougou (Maco), du 5 au 16 janvier 2009, pour « complicité de tentative d'assassinat » dans le cadre de l'affaire Travaly Bandyan – du nom du représentant de la firme britannique British American Tobacco (BAT) au Burkina Faso –, Salif Ouedraogo a fini par trouver refuge au Bénin sous la présidence de Boni Yayi.
Tirant alors profit de ses accointance avec l'ex président de la Boad devenu président de la République du Bénin, Salif Ouedraogo parvient à se faire une santé financière dans le secteur des Intrants agricoles, hydrocarbures et hôtellerie. Prêt à retourner officiellement dans son pays après la fin des poursuites judiciaires contre sa personne, Salif Ouedraogo est rattrapé par une série de procédures judiciaires.
Chassez le naturel...
Débarqué à Cotonou avec un passeport diplomatique burkinabė, Salif Ouedraogo a bénéficié d'une attention particulière des autorités béninoises d'alors.
Chassez le naturel, il revient au galop dit-on. Fort de son appui politique au Bénin, Salif Ouedraogo a failli mettre en mal les relations diplomatiques entre la France et le Bénin. L'Etat du Bénin pouvait se mettre à dos les organisations de défense des droits de l'Homme à cause de certaines pratiques peu catholiques.
En janvier 2010, l'homme d'affaires burkinabé a réussi à priver de sa liberté M. Jacques GALLOIS, un de ses partenaires d'affaires.
Dans une lettre ouverte adressée au Garde des Sceaux, M. Victor Topanou, et encore disponible sur Internet, la victime affirme :
Arrivé au Bénin le 08 Janvier 2010, j'ai été interpellé par la BEF (Brigade Economique et Financière) le 10 Janvier 2010, soit au bout de seulement 48 heures, et j'ai fait l'objet d'une enquête préliminaire de 4 jours, assigné pour cela en « résidence surveillée ».
Bien que la BEF, dont je ne peux que louer l'intégrité et le professionnalisme, n'ait rien trouvé à me reprocher, et ce malgré les pressions immédiates dont elle a fait l'objet de la part du « Conseiller Spécial à la Présidence : BILLON », j'ai été mis sous mandat de dépôt n° 258 ?/ RP – 10 / 009 / RI – 10, du 14 Janvier 2010, délivré par le Juge du 3éme cabinet (TPI de Cotonou), sur instruction du Parquet, sous prétextes : « d'abus de confiance aggravé, et violation de secrets professionnels ».
Cette incarcération arbitraire fait suite à une simple requête déposée par Monsieur SALIF OUEDRAOGO, dit KOSSOUKA, « homme d'affaires burkinabé peu fréquentable », qui se prévaut à l'envie du titre de « Conseiller Spécial du Président du Burkina Faso auprès du Président du Bénin », et est à ce titre titulaire du passeport diplomatique n° D1008864 du 02 Octobre 2006, délivré par le Ministère des Affaires étrangères du Burkina Faso ; passeport diplomatique « de complaisance », bien sûr : sans quoi, un escroc illettré et analphabète, serait le représentant « voyou » de deux Etats supposés indépendants et démocratiques (?).
Inculpé au Burkina Faso pour « complicité de tentative d'assassinat », Monsieur SALIF OUEDRAOGO s'est vu recommander par ses « protecteurs » burkinabé d'aller « prendre un peu l'air ailleurs » [...] au Bénin, pays où il entend dupliquer les méthodes mafieuses qui l'ont rendu tristement célèbre au Burkina Faso (voir « KOSSOUKA » sur internet).
Malgré plus de 20 heures d'instruction, démarrée le 25 Février 2010, aucun fait n'a pu m'être reproché, le Juge du 3éme cabinet restant préoccupé exclusivement de justifier ses accusations fallacieuses, par une « instruction à charge » ; je ne peux que déplorer que telle intelligence, et telle intégrité intellectuelle soient mises exclusivement au service « du mal », et des intérêts financiers personnels, par corruption active et passive.
Il aura fallu l'intervention exceptionnelle de l'Ambassade de France au plus haut niveau de l'Etat, l'obstination des services consulaires français, la lutte acharnée de mes avocats et le soutien de quelques amis ou Béninois intègres, pour que je sois libéré le 22 Mars 2010, soit après 10 semaines de détention abusive, sur un arrêt de la Chambre d'accusation près de la Cour d'Appel de Cotonou, qui a jugé que mon dossier devait être : « classé sans suite ».
11 ans après les faits, aucune réponse n'a été donnée à la victime. Contactée, cette dernière refuse tout commentaire. Dès lors, la question se pose de savoir par quelle alchimie un individu avec de telles casseroles peut-il avoir autant d'influence ?
Des interrogations
Selon nos investigations, il apparaît que derrière le Succes Story diffusé par certains médias à la gloire de Salifou Ouedraogo se cachent des pratiques financières peu orthodoxes, des montages grotesques en intelligence avec certains cadres béninois très véreux.
En effet, à peine mis sous mandat de dépôt par les juges près la CRIET dans le cadre d'une affaire d'escroquerie sur trois milliards FCFA, le 29 novembre 2021, le ressortissant burkinabé a été convoqué, jeudi 2 décembre à 15 heures, au Tribunal du commerce de Cotonou. Du moins sa Société Hôtel International Nobila Air Port est sur le coup d'une procédure judiciaire initiée par ORABANK BENIN Sa sous le N°BJe/TCC/2021/DA/0259 près la Chambre des procédures en matière immobilière.
De sources concordantes, d'autres procédures sont en cours contre des sociétés détenues par le personnage. En clair, plusieurs banques seraient à ses trousses.
Démarré le lundi 13 décembre dernier, la League professionnelle de Handball connaîtra son épilogue ce vendredi 17 décembre 2021. Chez les hommes comme chez les dames, l'affiche reste la même. L'ASPAC sera opposée à FLOWERS.
La phase 2 de la League professionnelle de Handball prend fin ce vendredi 17 décembre. Chez les hommes, FLOWERS joue contre l'ASPAC, tandis qu'au niveau des femmes, l'ASPAC sera opposée à FLOWERS.
L'objectif selon Jean-Luc Assogba, manager général de l'ASPAC, c'est de « détrôner l'équipe championne chez les hommes ». Fier de la qualification des dames, championnes, il envisage garder toujours le titre. « C'est déjà un bonheur que les deux équipes se retrouvent en finale », s'est-il réjoui.
En demi finale ce jeudi, l'équipe féminine de l'ASPAC s'est imposée à ASO MODELE 28-21. Dans la seconde rencontre, FLOWERS bat ADJIDJA 26-23.
Au niveau des hommes, FLOWERS domine les BUFFLES 30-16. Le second match qui a mis aux prises l'ASPAC et ADJIDJA, s'est soldé par un score serré de 28-26 au profit des portuaires.
F. A. A.