Les Fennecs d’Algérie ne cessent de présenter, lors de l’arrivée de Djamel Belmadi à la tête du staff technique de l’équipe nationale, en août 2018, une haute performance et un grand niveau de jeu, et ce, lors de chaque match disputé.
En effet, l’ancienne star du football algérien Rabah Madjer a appelé le duo de la sélection nationale, le capitaine Riyad Mahrez et son coéquipier Youcef Belaili à prendre les bonnes décisions à l’avenir.
« Mahrez joue pour un grand club, qui est Manchester City. Il est devenu une grande star après avoir été couronné avec de nombreux titres, comme la Ligue anglaise et la Ligue des champions européens, » a déclaré Madjer.
» Je trouve que Mahrez est avec la bonne équipe » (Madjer)Dans le même sillage, l’ancien sélectionneur des Verts a ajouté : « je me demande pourquoi Mahrez pourrait chercher à change de club. Il est dans la bonne équipe. Il joue de grands matchs et est supervisé par un entraîneur senior qui est l’Espagnol Pep Guardiola et son équipe contient de grands joueurs talentueux. »
« Je vois personnellement que Mahrez est avec la bonne équipe, même si la dernière décision lui appartient, » a poursuivi l’ex-international.
Évoquant le sujet du joueur qui a tant brillé lors de la Coupe Arabe au Qatar, Youcef Belaili, Rabah Madjer a lancé : « mon conseil à Belaili est de jouer en Europe. J’espère qu’il jouera dans une grande équipe. Je souhaite également que ses coéquipiers algériens et arabes en général, qui ont joué dans la Coupe Arabe 2021, prendront la même décision de jouer en Europe. »
L’article Tansferts : Madjer donne des conseils à Mahrez et Belaili est apparu en premier sur .
Depuis la réouverture partielle des frontières aériennes, on a remarqué que la cherté des prix est un problème omniprésent quant aux voyages depuis et vers l’Algérie, ce qui loin d’être le cas pour des pays voisins.
Raison pour laquelle plusieurs compagnies aériennes ont été pointé du doigt, notamment la compagnie aérienne nationale Air Algérie. Les personnes souhaitant voyager après une longue période de confinement et de restrictions, ont fait le tour des sites pour ramasser une déception après une autre à cause d’un seul élément : des prix exorbitants partout.
Ce phénomène de cherté a même été dénoncé par la classe politique, déplorant ces prix qui empêchent les algériens établis à l’étranger de se rendre en Algérie, à moins qu’ils soient prêts à dépenser des centaines d’euros, et ce, même chez les compagnies dites low-cost.
Parmi les destinations préférées des algériens, où plus de 2 millions d’algériens résident : la France. Les vols vers et depuis l’Hexagone ont également été mentionnés dans cette polémique, où du low-cost vers la France se vendait à 1000 euros. Laissant ainsi, des poches remplies et des sièges d’avion vides.
Prix des billets vers la France en janvier 2022Pour la ligne Algérie – France, les prix ont toujours été élevés, voici les prix pour le mois de janvier 2022 ( Alger – Paris ) :
Chez Air France, pour un billet aller simple, les prix vont osciller entre 33 700 DA pour les dates du 6, 12 et le 13 janvier 2022. Allant jusqu’à 65 000 durant les premiers jours de la nouvelle année. Pour les autres dates, il faudra compter à partir de 40 650 DA.
Chez Air Algérie, les billets ne semblent pas sortir de leur cherté habituelle, pour un billet aller simple le 17 janvier 2022, on compte à partir de 50 370 DA.
Chez ASL Airlines, on ne constate pas une grande différence que chez les autres compagnies. Les billets ( aller simple ) seront à partir de 199 euros pour le 6, 17, 23, 24, 30 et le 31 janvier. Ils seront plus chers, allant jusqu’à 229 euros pour les autres dates voire 339 euros pour le 8 janvier.
L’article Vols Algérie – France : prix des billets pour le mois de janvier 2022 est apparu en premier sur .
De nombreux étudiants algériens rêvent de poursuivre leurs études à l’étranger. Pour parfaire leurs cursus et ainsi élargir les horizons, ils scrutent les sites et fouinent tous les programmes d’études à l’étranger en espérant une offre de bourse qui pourrait leur garantir une mobilité à l’international.
Aujourd’hui, une nouvelle opportunité vient de s’offrir à tout étudiant désirant continuer ses études sous d’autres cieux. En effet, la délégation de l’Union européenne en Algérie a annoncé, ce dimanche 26 décembre, qu’un nouveau programme d’études est disponibles pour les étudiants algériens.
Il s’agit, en effet, du programme IMSISS « le Master international en sécurité, renseignement et études stratégiques) dont le dernier délai des demandes de bourses est fixé pour le 14 janvier 2022.
Conditions d’entréePour pouvoir accéder au master (programme Erasmus Mundus), les demandeurs devront être titulaires d’un « baccalauréat spécialisé 2.1 ou une qualification équivalente dans une matière pertinente, telle que les sciences sociales, la philosophie, la géographie, la littérature, les sciences du langage, le droit, l’économie et la gestion, les sciences politiques, les relations internationales, le développement, la coopération, les études sur la paix, la sociologie, l’histoire. Les autres disciplines non énumérées ici seront considérées sur une base individuelle », explique Erasmus Mundus sur son site.
Les demandeurs ayant un parcours universitaire dans les domaines de la science/de l’ingénierie et de l’informatique seront également pris en compte, selon la même source. Idem pour les candidats possédant une expérience de travail pertinente dans les domaines de la police, de la sécurité, du renseignement et de l’analyse des risques.
Pour ceux qui ne savent pas si leur diplôme convient pour la demande d’une bourse d’étude, ces derniers peuvent envoyer un e-mail au responsable du programme pour en discuter, explique-t-on sur le site.
L’article Bourses d’études en Europe : une nouvelle offre pour les Algériens est apparu en premier sur .
En s’imposant par deux buts à zéro face aux « aigles de Carthage », l’Algérie remporte pour la première fois la Coupe arabe. Revenant sur cette victoire, le chef d’État-major de l’ANP Said Chengriha a de nouveau évoqué cette réalisation.
Intervenant en marge de la cérémonie d’installation du général-major Abdelaziz Houam commandant des forces de défense aérienne, Chengriha a réitéré ses « sincères remerciements » et sa « gratitude à tous les membres de l’équipe nationale de football ».
« En mon nom et au nom de tous les membres de l’ANP, j’exprime à nouveau mes sincères remerciements et ma gratitude à tous les membres de l’équipe nationale de football », a-t-il déclaré.
Pour lui, cette équipe et son staff technique ont prouvé que « la volonté de l’algérien est imbattable et ne croit pas à l’impossible ». « Cet exploit historique est considéré comme un précieux cadeau que les guerriers du désert ont offert à leur patrie et à leur peuple », a-t-il ajouté.
Il s’agit d’une réponse ferme « aux ennemis d’hier et d’aujourd’hui »Dans non nouveau message aux hommes de Belmadi, le chef d’État-major affirme que la sacre de l’équipe nationale « est une occasion d’exprimer l’ardent esprit patriotique qui habite le cœur de millions d’Algériens, qui ont sorti célébrer dans les villes et les campagnes cette réalisation méritée ».
Il s’agit, selon lui, d’une réponse ferme « aux ennemis d’hier et d’aujourd’hui ». « Il s’agit d’une réponse ferme aux ennemis d’hier et d’aujourd’hui et à tous ceux qui tentent de remettre en question l’unité du peuple », a-t-il conclu.
L’article Coupe arabe : Chengriha évoque l’autre dimension du sacre de l’Algérie est apparu en premier sur .
Les économistes affirment que les Bitcoins stimulent l'économie mondiale de diverses manières. Découvrez comment le Bitcoin peut contribuer à réduire la pauvreté.
Aux premiers jours du Bitcoin, la plupart des individus le décrivaient comme une perturbation financière qui ne profiterait qu'à quelques membres aisés et férus de technologie de la société. Les entreprises mondiales et les investisseurs de premier plan ont été à l'avant-garde, menant des campagnes d'adoption du Bitcoin. Cependant, les experts financiers, les universitaires et le grand public ont également compris que le Bitcoin n'était pas réservé aux riches et aux technophiles.
Si le Bitcoin est une monnaie numérique, il possède plusieurs caractéristiques uniques qui lui permettent de profiter sans parti pris aux populations du monde entier, notamment aux particuliers et aux entreprises. Son cadre actuel offre de nombreuses possibilités pour améliorer le flux de capitaux et l'inclusion financière dans le monde entier. L'article suivant examine comment le Bitcoin peut contribuer à la réduction de la pauvreté.
Inclusion Financière Accrue
De nombreuses personnes dans les économies en développement n'ont pas accès à une éducation de qualité. Ils ont également un faible niveau de vie en raison de taux de chômage élevés. Certaines régions ne disposent même pas de services bancaires. Cela empêche la majorité d'entre eux d'accéder aux services financiers et de les utiliser. Ces personnes ne peuvent pas non plus participer aux activités économiques mondiales, ce qui les coupe du reste du monde.
L'utilisation du Bitcoin ne nécessite pas de compétences techniques. Les utilisateurs n'ont besoin que d'un smartphone ou d'un ordinateur et d'un accès à Internet pour effectuer des transactions. Ces appareils et services Internet sont désormais facilement disponibles dans la plupart des pays en développement et même les personnes les moins instruites peuvent les utiliser sans difficulté. Cela signifie qu'ils peuvent effectuer efficacement des transactions en Bitcoins.
En outre, la prolifération des entreprises basées sur le Bitcoin, comme les plateformes d'échange de crypto-monnaies telles que bitcoinup-fr.com a facilité les échanges et les investissements des particuliers dans le monde entier. Ces sites Web fournissent également des ressources pour éduquer le public sur la façon d'effectuer des transactions, de miner et de financer en Bitcoin. Cela offre de nombreuses opportunités économiques aux nombreux chômeurs et aux personnes peu instruites du monde en développement, ce qui accroît l'inclusion financière.
Libre Circulation des Capitaux
Les économies en développement présentent les niveaux de pauvreté les plus élevés. Cependant, leurs gouvernements mettent en œuvre des lois qui restreignent la circulation des capitaux à l'intérieur et à l'extérieur de leurs frontières. Par conséquent, la majorité de leurs populations n'ont pas accès à des capitaux suffisants, ce qui maintient les niveaux de pauvreté. En revanche, le Bitcoin est une monnaie décentralisée, qui n'est soumise à aucune influence gouvernementale ou réglementaire.
La décentralisation du Bitcoin permet aux utilisateurs de contourner les restrictions gouvernementales et institutionnelles. Les utilisateurs de Bitcoin n'ont pas besoin d'ouvrir un compte bancaire ou de passer par un processeur de paiement pour effectuer des transactions. En outre, aucun gouvernement, institution ou autorité ne peut influencer l'offre ou la propriété des Bitcoins, ce qui permet aux particuliers et aux entreprises de transférer et de recevoir des fonds par-delà les frontières en toute simplicité.
Les transactions en Bitcoins n'impliquent pas d'intermédiaires ou de tiers, comme c'est le cas pour les transferts de monnaie fiduciaire. Toutes les transactions ont lieu sur un réseau de peer-to-peer basé sur la blockchain, sans aucune intervention extérieure. Cela permet aux utilisateurs de transférer rapidement de l'argent à l'échelle internationale pour des investissements et d'autres objectifs économiques, à des coûts relativement plus faibles que les transferts bancaires ordinaires et les paiements par carte de crédit.
Transparence et Responsabilité
Le Bitcoin offre une meilleure transparence et une plus grande responsabilité dans les transactions financières. Sa technologie blockchain sous-jacente compile toutes les adresses et tous les enregistrements de transactions des utilisateurs de Bitcoin dans un grand livre numérique public. Les détails du grand livre sont irréversibles et stockés sous forme cryptée, accessibles à tous les utilisateurs et extrêmement difficiles à compromettre.
Le haut niveau de transparence associé au Bitcoin encourage les investissements, car il peut contribuer à lutter contre la menace de corruption qui maintient dans la pauvreté de nombreuses populations des pays en développement. Il permet aux organisations d'aide et aux particuliers d'envoyer de l'argent aux personnes dans le besoin dans le monde entier sans risque de corruption ou de vol.
Le Bitcoin est à la fois une méthode de paiement et une réserve de valeur, largement acceptée dans la plupart des régions du monde aujourd'hui. Il offre un potentiel plus important de réduction de la pauvreté en augmentant l'inclusion financière et en favorisant la libre circulation des capitaux dans le monde entier. En outre, la transparence et la responsabilité associées au Bitcoin encouragent également les investissements et l'aide étrangers, réduisant ainsi la pauvreté.
S’est ouvert aujourd’hui, le 26 décembre 2021, le procès de Fethi Ghares, coordinateur national du Mouvement Démocratique et Social (MDS) au tribunal de Bainem. Le mis en Cause a dû attendre six mois en détention provisoire.
Fethi Ghares est notamment poursuivi pour « atteinte à la personne du Président de la République », « atteinte à l’unité nationale » et pour « incitation à attroupement ». Il a été arrêté à son domicile à Gué de Constantine dans la capitale Alger, le 30 juin dernier, par des éléments de sécurité en civil.
Le procureur de la République près le tribunal de Bainem a finalement requis, aujourd’hui, trois ans de prison et 100.000 DA d’amende contre Fethi Ghares, coordinateur national du Mouvement Démocratique et Social (MDS), donnant ainsi le la aux plaidoiries des avocats.
En détention provisoire depuis 6 moisLe procès du chef du MDS a été initialement programmé pour se tenir le 05 décembre dernier, mais suite au refus du prévenu de comparaitre en visioconférence, l’audience a été reportée à deux repris.
Le prévenu s’est expliqué aujourd’hui devant le juge, en affirmant ne pas comprendre comment « le système politique fait sortir les Algériens pour célébrer un événement footballistique en les exposant à la contagion de la mort alors qu’ici, ils ne peuvent pas assister à un procès », rapporte le journaliste Khaled Drareni.
Ghares face au jugeAppuyé par un comité de défense constitué de Zoubida Assoul, Mustapha Bouchachi, Mokrane Ait Larbi, Said Zahi, Nabila Smail, Abdelghani Badi, et bien d’autres avocats, Fethi Ghares a fait aujourd’hui face au juge qui a présenté comme preuves des discussions privées du prévenu sur les réseaux sociaux.
Des « preuves » fortement contestées par les avocats du mis en cause. Alors que Zoubida Assoul s’indigne et estime que ces discussions privées « peuvent être citées dans le procès verbal de la police judiciaire, mais ne peuvent nullement être considérées comme preuves ».
Maître Said Zahi lui crie à la violation de l’espace privé, et affirme que « si le ministère public viole la loi et utilise des discussions privées d’un chef de parti politique comme preuves contre lui que reste-t-il du procès équitable ? ».
Gheras : « je ne suis pas un hors la loi »Ghares a fait aujoud’hui plusieurs déclarations. Poursuivi pour « incitation à attroupement », Il a notamment déclaré devant le juge que « puisque le Hirak est constitutionnalisé, alors si j’appelle les gens au Hirak c’est que je ne suis pas un hors la loi ».
Le Chef du MDS, a également fustigé le système, en affirmant qu’il « s’agit d’un procès politique, vous jugez un coordinateur d’un parti politique, cette qualité va me poursuivre jusqu’à ma cellule ».
Ghares rappelle qu’il se trouve depuis 6 mois en détention provisoire, « suis-je un danger sur la nation à ce point-là ? Je ne vais pas fuire et je n’ai pas de passeport pour partir, je ne vais pas quitter le pays comme l’ont fait Chekib Khelil et Khaled Nezzar ».
Pour Ghares, « nous vivons dans une continuité de l’ancien régime ». Il explique qu’il a critiqué « la période Bouteflika que le président Tebboune a qualifié de Issaba, j’ai critiqué les 1.000 milliards, et me voila aujourd’hui entrain d’être jugé sur ce que j’ai dit ».
L’article Il risque 3 ans de prison : Ghares dénonce « un procès politique » est apparu en premier sur .
Au cœur des préoccupations des architectes, des artistes, mais aussi de l’ensemble des citoyens algériens, il y a le sort de l’urbanisme dans nos villes et villages.
Au moment où l’on fait face à une invasion du béton, qui répond au besoin du citoyen en logement certes, mais dont rien ne peut justifier la faiblesse urbanistique, s’est tenue aujourd’hui, le 26 décembre 2021, la cérémonie de remise du Prix national de l’architecture et de l’urbanisme.
C’est le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Mohamed Tarek Belaribi, qui a affirmé, à l’occasion de cette cérémonie, qu’à partir de 2022, un grand intérêt sera accordé à l’aspect urbanistique des habitations et des villes. Simple promesse ou réel programme ? Le haut responsable s’explique.
Quel intérêt accorde l’Algérie à l’urbanisme ?Selon le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, son département va accorder en 2022 « un grand intérêt » à l’aspect urbanistique des habitations et des villes. Mohamed Tarek Belaribi a également expliqué que cet intérêt va se traduire notamment via « la relance, l’étude et la révision du projet de loi sur l’urbanisme au parlement ».
Le même intervenant a fait savoir que la restauration des vielles bâtisses et essayer de produire des plans qui préservent le cachet algérien. « Nous devons actuellement restaurer les vieux tissus urbanistiques et rechercher la qualité en matière de production urbanistique, dans le cadre du développement durable », a déclaré le ministre.
Au-dessus de tout, l’état tend à préserver le patrimoine et de l’identité culturelle et religieuse de l’Algérie, estime le ministre. Il indique également que son département encourage « les architectes ainsi que tous les acteurs dans le domaine de l’urbanisme à préserver, dans leurs plans de conception, le cachet architectural de chaque région ».
L’article Relance urbanistique : les promesses du ministre de l’Habitat est apparu en premier sur .
Le mariage, cette union qui vend du rêve, où deux personnes, s’unissant devant dieu, les autorités et leurs proches, se font la promesse de s’accompagner dans cette belle aventure qui est la vie. Cependant, certains obstacles dans cette aventure font que cette union se brise, cédant sa place au divorce.
Les chiffres de cette « rupture » en Algérie font froid dans le dos. Plus de 100 000 divorces durant une année et demi pour plusieurs raisons. C’est effectivement un record enregistré par le ministère de la Justice. Plus de 44 000 divorces ont été enregistrés durant les 6 premiers mois de 2021.
Cette hausse est très inquiétante compte tenu des chiffres enregistrés dans les dernières années. On ne peut que s’interroger face à ce phénomène que beaucoup de pays dans le monde ont connu durant la pandémie du Covid-19. Des divorces ont été enregistrés à foison après les premiers confinements.
El kholaa, ce divorce féminin croissantEl kholaa, ce mot qu’on chuchotait et qu’on osait même pas prononcer devant nos aïeuls, est aujourd’hui en vogue. Plus de 10 000 cas de divorce « au féminin » durant les 6 premiers mois de cette année, et ce, pour moult raisons.
La femme de nos jours notamment celles ayant un revenu stable, peuvent se libérer de l’emprise conjugale avec un mari négligeant, abusif ou violent. Chose qui n’était pas possible auparavant, avec l’omniprésence de la culture du « tabou » et l’idéal féminin de la femme qui patiente contre vents et marrées, subissant tout type de sévices de son conjoint sans pouvoir s’en défendre, faute de moyen ou de soutien familial.
Les femmes donc, n’hésitent plus à demander le divorce selon leur droit préservé par la loi algérienne. Que ce soit pour désaccord persistant entre les époux, non-respect des clauses dans le contrat de mariage, faute immorale gravement répréhensible ou tout autre préjudice légalement reconnu.
L’article Divorces en Algérie : des chiffres qui font froid dans le dos est apparu en premier sur .
À deux semaines du coup d’envoi de la Coupe d’Afrique des Nations au Cameroun, le sélectionneur national Djamel Belmadi et ses protégés sont déterminés et motivés comme jamais, afin de revenir en Algérie avec le titre des Champions d’Afrique.
En effet, les préparatifs de l’équipe nationale et leurs séances d’entrainements débuteront officiellement demain à Doha, au Qatar, sous la supervision du coach Belmadi.
Le recensement des Verts qui vont entamer lesdits entrainements, ce lundi 27 décembre à Doha, est désormais incomplet. En fait, sept joueurs seront absents, au vu de la récente décision de la FIFA, portant sur l’obligation de ces derniers à rester avec leurs clubs, jusqu’au 3 janvier de l’année prochaine.
Toutefois, la Fédération algérienne de football (FAF) a reçu l’acceptation des clubs dont lesquels évoluent plusieurs footballeurs algériens, pour rejoindre leurs coéquipiers, à l’exception de Riyad Mahrez et Said Benrahma.
Le recensement de Belmadi devrait s’accomplir le 3 janvierLa FAF a également entamé des négociations avec des clubs de championnat belge et saoudien pour permettre à Adem Zorgane (Sporting de Charleroi), Réda Halaimia (K Beerschot VA), Rais M’bolhi (Ettifaq FC), Sofiane Bendebka (Al-Fateh SC) et Moustapha Zeghba (Damac FC) de rejoindre les entrainements avec les Verts plus tôt.
Dans le même sillage, le recensement de Djamel Belmadi devrait être complété le 3 janvier 2022, 6 jours seulement avant le coup d’envoi de la CAN, et 8 jours avant la première confrontation des Fennecs dans ce tournoi africain, face à leurs adversaires de Sierra Leone.
Rappelant que la FIFA a adressé dernièrement une correspondance aux différentes sélections africaines, censées participer à la Coupe d’Afrique au Cameroun, à savoir la sélection de Belmadi, portant sur laisser ses joueurs qui évoluent en Europe avec leurs clubs jusqu’au 3 janvier.
L’article Dernière décision de la FIFA : 7 joueurs algériens concernés est apparu en premier sur .
Il y a encore du mouvement du côté du Ministère de la Défense Nationale. Cette fois ci, ce sont les Forces de défense aérienne du territoire qui vont être dotées d’un nouveau commandant, a fait savoir aujourd’hui, le 26 décembre 2021, un communiqué du MDN.
Amar Amrani n’est donc plus commandant des Forces de défense aérienne du territoire, indique le communiqué du MDN. Ce dernier, signé par Saïd Chengriha, chef d’État-Major de l’Armée nationale populaire, a indiqué que le nouveau commandant des Forces de défense aérienne du territoire est désormais le général-major Abdelaziz Houam.
Le chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, Said Chengriha, a nommé, aujourd’hui dimanche, le général-major Abdel Aziz Houam, commandant des Forces de défense aérienne du territoire, pour succéder au général-major Ammar Amrani.
Nouveau remplacement au MDNC’est au nom du Président de la République, Commandant suprême des Forces armées et Ministre de la Défense nationale, que le chef d’État-Major Said Chengriha, a supervisé aujourd’hui la cérémonie officielle de l’installation du général-major Abdelaziz Houam, commandant des Forces de défense aérienne du territoire, succédant au général-major Amar Amrani.
Abdelaziz Houam a été directeur des écoles des cadets de la nation. Amar Amrani quant à lui est resté à la tête des Forces de défense aérienne du territoire, depuis le 17 juillet 2008.
Cette nouvelle décision du MDN a été exprimée par le chef d’état-major, Said Chengriha, qui a également affirmé que l’Algérie connait, « sous la houlette du président Tebboune, une vive dynamique à tous les niveaux, notamment politiques, diplomatiques, économiques et sportifs ».
L’article Nouveau commandant pour les Forces de défense aérienne du territoire est apparu en premier sur .
Vers un nouveau scandale sanitaire ? Le magazine Kali a alerté ce mercredi 22 décembre sur un colorant cancérogène, le dioxyde de carbone, qui est présent dans plus de 800 médicaments les plus couramment prescrits en France.
Interdite comme additif dans le domaine alimentaire dès 2022 au sein de l'Union Européenne, le colorant E171, également appelé dioxyde de carbone, serait pourtant présent dans 800 médicaments en vente dans l'Hexagone.
L'enquête réalisée par le magazine Kali, en collaboration avec l'association AVICENN, a mis en évidence que cette nanoparticule « 50 000 fois plus petites qu'un cheveu » serait capable de s'introduire dans les cellules humaines et dans l'ensemble des organismes vivants.
« Spasfon, Doliprane, Imodium... Ces médicaments qui contiennent du dioxyde de titane font partie des plus prescrits. On retrouve également cette substance dans les cosmétiques, les vêtements, les jeux pour enfants... Partout en fait », a analysé Christelle Pangrazzi, la rédactrice en chef du magazine Kali.
LE COLORANT E171 CLASSÉ CANCÉROGÈNE CERTAIN
Classée comme cancérogène probable en 2006 par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), la nanoparticule a finalement été classée cancérogène certain en 2021 par le même organisme.
Présent dans « un tiers des médicaments mis en vente sur le marché », le colorant E171 n'a même pas de fonctionnalité essentielle puisque ce dernier est utilisé pour « blanchir les médicaments et les rendre plus brillants ».
Si aucune étude n'a fuité sur les réactions liées à la prise de la nanoparticule à court terme, elle aurait de « graves effets sur l'organisme » si elle est « consommée à haute dose et sur la durée » selon Christelle Pangrazzi. Elle a indiqué que la substance pourrait « favoriser le cancer colorectal lorsqu'elle est ingérée et le cancer pulmonaire lorsqu'elle est inhalée ».
AUCUNE MODIFICATION DE LÉGISLATION PRÉVUE
« Un projet de règlement sur les additifs alimentaires prévoit pour le moment de maintenir le dioxyde de titane sur la liste des additifs autorisés dans les médicaments. Le projet de règlement prévoit une révision de la situation dans les 3 ans […] Dans l'attente de cette révision à 3 ans, l'industrie pharmaceutique doit dès à présent engager des actions pour accélérer la recherche d'alternatives visant à remplacer le dioxyde de titane dans les médicaments », a indiqué l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) dans des propos relayés par Actu.fr.
Un point de vue encore plus pessimiste a été exposé par l'Agence européenne des médicaments (EMA), estimant à 10 ans minimum la période de transition pour supprimer cet additif sur le plan médical en raison d'une prévision de pénurie de médicaments en cas de retrait accéléré.
Dans l'optique de demander le retrait de ce produit dans les médicaments auprès des instances européennes, une pétition en ligne et une demande de changement réglementaire vont être transmises au ministère de la Santé et au ministère de la Transition écologique dans les prochains jours.
La situation pandémique se corse partout dans le monde. On commence à ressentir la même peur qui précédait des vagues mortifères dans le passé. C’est une hausse inquiétante que plusieurs pays connaissent après une stabilité qui a été de courte durée.
En effet, une flambée de cas de contaminations a été détecté dans les quatre coins du monde. Ne laissant aucun choix pour les autorités à part celui de durcir les mesures préventives et mettre en place un protocole sanitaire strict pour tenter d’endiguer la propagation du coronavirus et surtout, d’empêcher l’importation de son nouveau variant, vivement appréhendé.
Il s’agit du variant Omicron, la souche la plus contagieuse du Covid-19. Bien que les premières études montrent qu’il est moins dangereux que le variant Delta, Omicron demeure la crainte de tous. En Algérie, avec deux cas détectés de ce variant, un durcissement des mesures et une mise en place de certaines restrictions s’imposent, notamment pour les voyages.
Pour rappel, hier, le premier ministère a annoncé que le pass vaccinal est exigé pour l’entrée ou la sortie du territoire national.
L’indignation d’un députéSuite aux annonces de nouvelles mesures dictées par le gouvernement, le député de l’émigration Abdelouahab Yagoubi n’a pas manqué de réagir.
« Bien que les autorités françaises n’obligent la vaccination à personne y compris les voyageurs arrivant sur ses territoires, les royalistes plus que le roi chez nous refusent aux passagers non-vaccinés l’embarquement sous le faux prétexte que ceux qui ne sont pas vaccinés sont refoulés à l’arrivée en France » a-t-il déploré.
Rappelant dans le même contexte, les problèmes qui attendent d’être réglés « au lieu de s’occuper sérieusement des préoccupations réelles notamment la restriction de la liberté de circulation avec la création d’une rareté artificielle – par des décisions administratives absurdes – des possibilités de réservations et la lutte contre le trafic dans les billets connu de tous et les prix exorbitants des billets ».
L’article Pass vaccinal, une « innovation bureaucratique » selon un député est apparu en premier sur .
La sélection nationale A’ de Madjid Bougherra a été récemment couronnée par le prestigieux titre de la Coupe Arabe de son édition 2021 au Qatar, et ce, à la suite d’une sacrée victoire contre la Tunisie, dans une rencontre de finale enflammée, qui s’est soldée par deux buts contre zéro.
Cependant, le manager général de l’équipe nationale, Amine Labdi, a révélé des déclarations « choquantes » quant à la participation des Verts à cette compétition arabe.
Dans une interview accordée à la chaine de télévision Ennahar TV, ce samedi 25 décembre, Labdi a fait savoir que Rais M’bolhi et ses coéquipiers étaient sur le point de se retirer du tournoi qui s’est déroulé au Qatar, du 30 novembre au 18 décembre en cours.
» On a menacé de se retirer du tournoi » (Labdi)« Il y a eu beaucoup de controverse avec la FIFA avant le début de la Coupe Arabe 2021, où on a menacé de se retirer du tournoi, notamment lorsque nous avons appris que la compétition était officielle et qu’elle aurait été comptée dans le classement FIFA du nombre record de matchs sans défaite », a-t-il déclaré.
En outre, le manager général des Fennecs a ajouté : « nous avons été rassurés que ces matchs sont faiblement calculés, mais quand nous avons gagné le tournoi, nous avons grimpé dans le classement. »
Par ailleurs, il est utile de rappeler que les hommes de Madjid Bougherra ont présentés une excellente performance et un haut niveau lors de toutes les rencontres disputées pour le compte de la Coupe arabe 2021 au Qatar.
L’article Coupe Arabe : l’Algérie avait-elle réellement menacé de se retirer ? est apparu en premier sur .
Guensh'Ever n'est plus. L'ancienne gloire de la musique béninoise a rendu l'âme, dans la soirée de samedi 25 décembre 2021, des suites d'une maladie. L'artiste a marqué les mélomanes dans les années 1980 avec son morceau Musumugbaléo.
Paix à son âme !
La semaine dernière, le gouvernement a annoncé la levée du gel des importations de la poudre de lait. Alors que les producteurs n’arrêtaient pas de dénoncer ce gel, évoquant les prémices d’une crise, un responsable au ministère de l’Agriculture explique les causes de cette décision.
Intervenant ce dimanche sur les ondes de la Radio nationale, le Directeur des services vétérinaires au ministère de l’Agriculture et du Développement rural Imad Idres, est revenu sur la décision du gouvernement de geler ces importations pendant plusieurs mois.
Selon lui, cette halte de plusieurs mois a permis de « mettre à jour le fichier des importateurs et de créer une plateforme pour recevoir leurs dossiers et d’établir les dérogations d’importation le jour même ».
Cependant, le même responsable a indiqué que « le gel n’a jamais touché l’Office national interprofessionnel du lait (ONIL) qui n’a pas arrêté les importations », ce qui fait que le marché n’a pas été impacté. « Il n’y a pas de manque sur le marché », a-t-il souligné.
« Plusieurs quantités qui étaient en souffrance ont été débloquées »D’ailleurs, l’invité de la chaine 3 explique que durant ce gel, « plusieurs quantités de poudre de lait qui étaient en souffrance au niveau du port et qui occasionnaient des surestaries au trésor public ont été débloquées et mises sur le marché ».
Autre conséquence de ce gel, il affirme « cette mesure a permis d’établir la traçabilité de la poudre de lait importée ». Dans ce sens, il explique qu’actuellement, « il y a 3 catégories d’importateurs ».
Il s’agit « d’abord, de l’ONIL qui approvisionne quelque 130 laiteries privées et les 15 laiteries publiques du Groupe Giplait, il y a ensuite les importateurs transformateurs puis, les importateurs revendeurs »,
Par ailleurs, Imad Idres indique que « l’Algérie a importé entre 400 et 500 mille tonnes de poudre de lait, en 2020, pour une facture d’un milliard 200 millions de dollars ».
Dans les détails, il explique que « les importations de l’ONIL couvrent près de 48% de cette quantité », tandis que « le reste est réparti entre les importateurs transformateurs et les importateurs revendeurs ».
Pour rappel, le ministre de l’Agriculture Mohamed Abdelhafidh Henni a annoncé lundi dernier la levée du gel des dérogations sanitaires pour l’importation de la poudre de lait à partir de demain mercredi.
Intervenant lors d’une conférence dans le cadre des activités de la Foire de la production nationale, le ministre a souligné que son département « accordera les dérogations sanitaires pour l’importation de la poudre de lait à tous les opérateurs de la filière à compter du 22 décembre ».
L’article Importation de la poudre de lait : les précisions d’un responsable est apparu en premier sur .
Le coronavirus a fait plus de 6.000 morts en Algérie. Plusieurs citoyens ont été contaminés, et les hôpitaux ont été débordés à plusieurs reprises. Mais peut être que le plus grand impact de la pandémie a été finalement constaté du côté de la santé mentale des Algériens.
Pour Messaoud Ben Halima, professeur de psychologie à l’Université d’Alger, bien des comportements sont apparus au sein des Algériens, comme l’émergence de l’hystérie et l’absence d’équilibre psychologique chez de larges segments de la société.
Plusieurs cas affichent des comportements hystériques que ce soit dans la joie ou dans la tristesse. Certains Algériens, selon ce professeur, n’ont plus de confort psychologique, ils ont peur, et il arrive même qu’ils entrent dans un état de confusion entre réalité et imaginaire.
Des symptômes de l’hystérie, selon le Professeur, ont été fortement enregistrés lors des célébrations de la victoire de l’EN dans la Coupe arabe, ou il a été constaté que la joie provoque des décès. Le spécialiste ajoute que la crainte d’une quatrième vague de l’épidémie peut exacerber les effets psychologiques négatifs.
Les Algériens ont été impactés à long terme par la pandémie, fait savoir Abdelhalim Madi, psychologue. Il explique, pour le journal arabophone Echourouk, qu’en plus de la peur qui survient à chaque nouveau confinement, isolement, et enfermement, la peur s’installe aussi à cause du chômage, de la pauvreté, et de la faillite, qui ne sont jamais très loin.
Quand la peur infante la fraudeLe même spécialiste a affirmé que plusieurs commerçants algériens ont été spécialement touchés par la pandémie. Ces derniers éprouvent une sorte paranoïa, de la peur d’un nouveau confinement qui les exposerait à la faillite de nouveau.
C’est à cause de cette peur d’essuyer de nouvelles pertes, ou de carrément fermer boutique, que certains commerçants ont choisi de basculer du côté sombre de leur métier. Le spécialiste et expert en développement humain indique que la fraude et l’escroquerie ont connu une hausse sensible dans la société.
Toujours selon le même intervenant, tout le monde cherche à gagner de l’argent, peu importe la manière, afin de récupérer ce qu’ils ont perdu durant le confinement, mais aussi de peur de faire face à une nouvelle vague qui les mettrait en faillite. Certains commerçants essaieraient même de traficoter les prix et de berner leurs clients, affirme-t-il.
La covid a brisé des famillesBien des relations ont été avortées à cause du coronavirus, soutient M. Madi. Il rappelle que le report des mariages et la fermeture des salles des fêtes a négativement impacté plusieurs couples. Au-delà de ce constat, le même intervenant indique que son bureau a recensé une hausse de plus de 40 % concernant les différends conjugaux.
Les membres d’une même famille, qui ont perdu un membre à cause du coronavirus, souffrent à chaque fois qu’une nouvelle vague de l’épidémie se déchaine, et le confinement ne fait qu’empirer les choses.
La détérioration du pouvoir d’achat, et de la situation économique en général, à cause de la situation sanitaire, a fortement augmenter le nombre des problèmes familiaux, sans oublier les violences conjugales. Le phénomène de la Harga a également explosé, mais aussi celui de la consommation de la drogue.
L’article Quel impact du Covid-19 sur la santé mentale des Algériens ? est apparu en premier sur .
Voulant rendre hommage aux victimes algériennes assassinées lors de la manifestation du 17 octobre 1961 à Paris, le pochoiriste et l’artiste urbain, Christian Guémy, connu sous le pseudonyme de « C215 », avait peint, en octobre dernier, au pochoir sur un mur d’un garage d’Ivry, un portrait de Ahmed Khalfi, l’une des dizaines de victimes de la répression meurtrière sous l’autorité de Maurice Papon.
Hier samedi, le pochoiriste a publié une photo sur les réseaux sociaux faisant état de la dégradation de l’œuvre artistique « de manière manifestement raciste ». L’artiste ne décolère pas et dénonce, de ce fait, une « offense jetée au visage non seulement de la victime, mais également des gens du présent ».
Un acte « raciste » et « indécent »Sur son compte Twitter, l’artiste C215 n’hésite pas à publier le portrait de la victime du massacre de 17 octobre 1961 qui était dans un état de dégradation avérée. En effet, l’inscription « Jeté dans la Seine le 17/10/1961″a été effacée au burin et le portrait a été aspergé de taches rouges, couleur sang, selon le média français Le Point. Un dessin « indécent » a également été gravé sur l’œuvre ».
Indigné, le pochoiriste qualifie cet acte de « violent pour tous les Maghrébins et les gens qui peuvent s’identifier vraiment à lui (Ahmad Khlafi, NDLR) ». « Ce n’est pas un personnage politique, c’est juste une victime d’un massacre qui a été commis dans des circonstances de racisme ordinaire. Et là, on perpétue tout ça », fulmine-t-il.
« Je m’en suis aperçu aujourd’hui mais ne sais pas quand cela a été fait. C’est dans une petite rue, il n’y a pas beaucoup de passage », a-t-il indiqué ajoutant qu’il a essayé « de rendre son portrait le plus vivant et le plus humain possible ».
« Il est peint à hauteur d’homme, dans un quartier où il y a beaucoup de diversité en plus. », explique-t-il avant d’asséner « à une époque où on parle de diversifier la représentation mémorielle dans l’espace public, on n’est pas sorti de l’auberge… », rapporte la même source.
L’article France : un portrait en hommage aux victimes d’octobre 1961, vandalisé est apparu en premier sur .