Les participants aux travaux de l’atelier national sur l’efficacité énergétique et l’isolation thermique dans le bâtiment, tenu à Oran à la fin de la semaine, ont souligné l’importance de réduire la consommation de l’énergie par les foyers.
L’utilisation de matériaux comme le liège et le polyester et le chauffage solaire dont les retombées sont indéniables sur la maîtrise de la consommation de l’énergie, était au centre des débats de cette rencontre organisée par le l’organisation R20 MED (région of climate action) à Oran, dans le cadre d’une convention avec l’Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l’utilisation de l’énergie (Aprue), le centre de recherche dans le domaine des énergies renouvelables (CDER), la direction de la formation professionnelle d’Oran et le secteur de l’environnement. L’amélioration de l’efficacité énergétique dans le secteur du bâtiment constitue donc un axe de progrès prioritaire. Elle est notamment soutenue par les politiques publiques.
Baisse des prix du pétrole oblige, ce nouveau concept vise à faire des économies d’énergie, notamment dans le bâtiment. Selon le bureau du R20, «cet atelier a été jumelé avec le master spécialisé ‘‘Territoires, technologies et financement de portefeuilles de projets innovants pour l’économie verte’’», fruit du partenariat entre l’Ecole nationale polytechnique Maurice Audin d’Oran, l’Ecole des mines de Saint-Etienne et le R20 MED.
Les apprenants des spécialités «Efficacité énergétique» et «Energies renouvelables» ont présenté leurs projets de mastère, émanation de l’expression de besoins des pouvoirs publics, des collectivités territoriales et des opérateurs économiques. La rencontre a vu la participation d’enseignants-formateurs du secteur de la formation professionnelle, d’universitaires, des membres de l’Ordre des architectes de neuf wilayas du pays. Pour rappel, le programme national de développement de l’efficacité énergétique vise à atteindre l’isolation thermique de 100 000 logements par an, la réduction 200 millions de tonnes de CO2 et la création de 180.000 emplois.
Située à quelques encablures des forages d’alimentation en eau potable – le projet du siècle pour lequel plus de 3 milliards de dollars ont été déboursés –, la wilaya déléguée d’In Salah a soif.
L’alimentation en cette denrée vitale, notamment en cette période des grandes chaleurs coïncidant avec le mois sacré du Ramadhan, fait sérieusement défaut dans nombre de quartiers de la capitale de Tidikelt. Dans une lettre de doléances adressée récemment au wali délégué d’In Salah, Lakhdar Seddas, dont nous détenons une copie, les représentants de quartiers ont fait état de perturbations perdurant depuis plusieurs mois qui tendent à devenir pénalisantes en période estivale où l’on enregistre des pics de chaleur insupportable.
Les habitants, craignant le risque de longues interruptions pendant ce mois de jeûne, interpellent les autorités concernées pour venir à bout de ce problème qui risque de faire des mécontents et de raviver derechef «la place Soumoud, symbole de protestation et de résistance à In Salah», menace-t-on. Les rédacteurs de la lettre reprochent à l’Algérienne des eaux une distribution inéquitable, sachant que certains quartiers sont alimentés en permanence en eau potable, tandis que d’autres en sont injustement privés.
Les signataires de ce document accablent également les responsables du ministère de tutelle pour leurs promesses non tenues quant à l’augmentation de 50% du quota destiné à l’alimentation de la ville d’In Salah et ses périphéries.
En effet, l’engagement, pris en décembre 2016 par le ministre d’alors, Abdelkader Ouali, lors de l’inauguration de la première tranche de la station de déminéralisation de l’eau potable destinée aux besoins de la population d’In Salah, n’est toujours pas honoré. Les 12 500 m3/jour promis ne profitent toujours pas à cette circonscription affublée de ville géhenne et de pandémonium, eu égard aux pics de chaleur enregistrés, mais qui ne sont jamais annoncés officiellement pour éviter de la déclarer ville sinistrée, conformément à la réglementation d’usage.
En attendant de voir le bout du tunnel et un dénouement de cette crise qui n’a que trop duré, les habitants d’In Salah, sont astreints à un rationnement drastique de l’eau.
Le même constat a été fait dans la ville de Tamanrasset qui vit depuis plus d’un mois une perturbation inexpliquée en matière d’alimentation en eau potable. Une source auprès de l’unité locale de l’Algérienne des eaux a imputé cette situation à la baisse des réserves au niveau des stations de pompage. D’autres sources évoquent les limites d’un projet aussi dispendieux qui n’arrive plus à satisfaire la demande locale en matière de cette denrée vitale.
La 70è édition du festival de Cannes a baissé rideau le dimanche soir. Après 12 jours de projections, de discussions et d’échanges intenses, une grande cérémonie de remise des prix a été organisée durant la quelle le cinéma suédois a triomphé. Ainsi la palme d’or a été attribuée au suédois Ruben ÖSTLUND pour le film The Square. En succédant au Britannique Ken Loach, le suédois offre une deuxième palme à son pays.
La Palme lui a été remise par Juliette Binoche et Pedro Almodóvar. Même si les festivaliers ont été quelque peu surpris, il n’en demeure pas que cette comédie grinçante a beaucoup plue. De son côté, comme attendu, le Français Robin CAMPILLO repart avec le GRAND PRIX, remis par Costa-Gavras et Agnès Jaoui, pour « 120 BATTEMENTS PAR MINUTE » qui évoque l’épidémie du Sida. A l’occasion, le réalisateur a affirmé : « On peut penser ce film comme un hommage à ceux qui sont morts mais c’est surtout un hommage à ceux qui sont vivants, qui se sont battus, qui suivent des traitements lourds… »
Parmi les autres distingués, on retrouve Sofia COPPOLA avec THE BEGUILED et Andrey ZVYAGINTSEV avec NELYUBOV, qui se sont finalement contenté respectivement du PRIX DE LA MISE EN SCÈNE et du PRIX DU JURY. A cette occasion Sofia COPPOLA a déclaré : « Merci à mon père qui m’a appris à écrire et à devenir cinéaste et à ma mère de m’avoir appris à devenir une artiste. Merci à Jane Campion d’être un modèle et d’inspirer les femmes à être réalisatrices. »
Dans le registre des meilleures interprétations, pendant que Joaquin PHOENIX est sorti vainqueur haut les mains pour son rôle dans YOU WERE NEVER REALLY HERE réalisé par Lynne RAMSAY, Diane KRUGER s’impose avec sa prestation dans AUS DEM NICHTS de Fatih AKIN.
Enfin, le PRIX DU 70e ANNIVERSAIRE est allé à Nicole KIDMAN qui a déclaré par vidéo interposé : « Je me sens bénie de faire ce métier. La fête du 70e était incroyable, c’était la fête du cinéma et des histoires. »
De cette 70ème édition, on retiendra une compétition moyenne et une sélection intéressante dans la section Un Certain regard à laquelle ont pris part deux jeunes maghrébin qui sont repartis avec les honneurs.
12 personnes ont trouvé la mort et 26 autres ont été blessées dans plusieurs accidents de la circulation survenus ces dernières 24 heures à travers le territoire national, a indiqué hier un communiqué de la Protection civile.
Les bilans les plus lourds ont été enregistrés dans les wilayas d’Aïn-Defla et Jijel, précise-t-on de même source. A Aïn-Defla, on déplore 4 personnes décédées et 8 autres blessées dans 2 accidents de la circulation, dont un qui a causé la mort de 3 personnes et des blessures à 5 autres suite à une collision entre un véhicule léger et un camion survenue sur l’autoroute Est-Ouest au lieudit Ouled-Attou commune de Bourached. Dans la wilaya de Jijel, 4 personnes sont décédées dans 2 accidents de la circulation, le plus grave ayant causé le décès de 3 personnes et des blessures à 7 autres suite à une collision entre 2 véhicules légers, un camion semi-remorque et une motocyclette survenue sur la RN 43, commune d’El-Milia. Par ailleurs, les plongeurs de la Protection civile de la wilaya de Relizane sont intervenus pour le repêchage d’une personne noyée dans une mare d’eau au lieudit Douar-Khadam, commune de Oued R’hiou.
Les producteurs de pétrole conventionnel et ceux du pétrole de schiste sont d’abord ignorés, puis ils se sont combattus. Aujourd’hui, en dépit d’objectifs opposés, ils discutent.
Les relations entre l’Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) et les producteurs américains de pétrole de schiste ont beaucoup évolué depuis que le cartel a découvert il y a cinq ans ces nouveaux concurrents qui s’invitaient sur son marché.
Les producteurs de pétrole de schiste américains étaient à Vienne où se tenait la semaine dernière la réunion des ministres de l’Opep. De leur côté, des responsables du cartel se rendront au Texas afin de savoir si les deux industries peuvent coexister ou si, dans un proche avenir, elles se combattront à nouveau.
L’Opep et des pays producteurs non-membres du cartel emmenés par la Russie ont décidé jeudi de prolonger de neuf mois jusqu’à fin mars 2018 l’accord de réduction de la production en vigueur depuis le début de l’année.
Cette réduction reconduite de 1,8 million de barils par jour (bpj), représentant 2% environ de la production mondiale, est destinée à désengorger le marché et à doper les cours pétroliers.
Mais l’Opep réalise maintenant que ses efforts profitent aux producteurs de pétrole de schiste qui ont su réduire leurs coûts il y a trois ans quand l’Arabie saoudite a ouvert ses vannes, se lançant dans une guerre des prix qui a duré deux ans.
Sur le Bassin permien, principal gisement américain, Parsley Energy, Diamondback Energy et d’autres pétroliers extraient l’or noir à des cadences frénétiques, tirant avantage d’une nouvelle technologie, de coûts bas et de cours stables , ce qui a pour effet de saper quelque peu les initiatives de l’Opep.
Celle-ci veut freiner la croissance de la production de pétrole de schiste en alimentant juste assez le marché pour maintenir les prix en deçà des 60 dollars le baril.
« Toutes les compagnies de pétrole de schiste aux Etats-Unis sont des petites compagnies », a expliqué Noreddine Boutarfa, qui représentait l’Algérie lors de la réunion de Vienne. « En fait, entre 50 et 60 dollars le baril, (les Américains) ne peuvent pas produire au-delà de 10 millions de barils par jour (bpj). »
C’est le niveau que la production américaine devrait atteindre l’année prochaine, selon de nombreux analystes, ce qui représenterait une hausse d’un million de bpj. C’est un bond énorme pour une industrie qui a subi faillites et licenciements massifs durant la guerre des prix qui l’a opposée à l’Opep au cours des années 2015 et 2016.
Ces volumes supplémentaires risquent d’être insuffisants pour satisfaire la hausse de la demande mondiale ou compenser l’épuisement naturel des gisements les plus anciens, comme le pense l’Opep et ce sur quoi elle compte.
« A ce stade, l’objectif pour tous les membres de l’Opep, c’est un baril à 55 dollars avec un maximum de 60 dollars », a déclaré le ministre iranien du pétrole Bijan Zanganeh. « Ce prix semble correct pour les deux parties. »
Quoi qu’il en soit, le pétrole de schiste n’est plus un sujet tabou pour le cartel, qui en a fait un sujet de discussion majeur lors de sa réunion de jeudi. « Nous avons eu une discussion sur (le pétrole de schiste) et son impact », a dit le ministre du Pétrole équatorien Carlos Pérez. « Mais nous n’avons aucun contrôle sur ce que les Américains font et il leur appartient de décider s’ils continuent ou pas. »
L’OPEP attentive
Dans le même esprit, certains grands producteurs américains cherchent à mieux cerner les intentions de l’Opep et veulent lui faire comprendre qu’elle devra bel et bien compter avec eux dorénavant.
« L’Opep se gausse du pétrole de schiste », affirme Dave Purcell, de Tudor, Pickering, Holt, une banque américaine qui investit dans les schistes et qui assistait pour la première fois à la réunion de l’Opep.
Ainsi, le ministre de l’Energie des Emirats arabes unis, Suhail bin Mohammed al-Mazroui, ne croit pas que la production de pétrole de schiste augmentera d’un million de bpj l’année prochaine.
Certains clients de l’Opep sont néanmoins contents d’avoir une alternative. L’Inde, troisième consommateur mondial, a dit la semaine dernière s’attendre à une production plus importante des Etats-Unis.
La prochaine réunion ministérielle entre délégués de l’Opep et non-Opep est prévue le 30 novembre. Alors que la plupart des délégués semblent penser qu’il faut s’accommoder du pétrole de schiste, d’autres, au sein de l’Opep, pensent que les hostilités pourraient à nouveau se déclencher.
« Si nous en arrivons à un point où nous nous sentirions grugés par des producteurs de pétrole de schiste dont le seul objectif serait de saboter sciemment le marché, l’Opep se réunira à nouveau pour décider de la marché à suivre », a prévenu le ministre nigérian du pétrole Emmanuel Kachikwu
L’Agence nationale d’amélioration et de développement du logement (AADL) accueille, depuis ce lundi, les souscripteurs au programme de 2013 « AADL2 » pour la remise des ordres de versement de la deuxième tranche du montant global du logement, à raison de 500 souscripteurs par jour. C’est ce qu’a déclaré à la presse, au niveau du complexe olympique « Mohamed Boudiaf » (Alger), aujourd’hui, le Directeur général adjoint de l’Agence, Chemseddine Amraoui,
Cette procédure concerne les 129.000 souscripteurs dont 40.000 sur Alger,
qui ont choisi leurs sites.
Pour cette opération, le site spécialisé dans l’immobilier Lkeria.com a publié un article dans lequel sont expliquées les démarches à réaliser (pour lire cliquez ICI).
Concernant les souscripteurs n’ayant pas encore eu de rendez-vous, le responsable de l’AADL a indiqué que l’opération se faisait graduellement et que les souscripteurs concernés « seront convoqués prochainement ».
La correspondante du quotidien El-Nahar à El-Oued, Sakina Belaroussi, a trouvé la mort dimanche après midi dans un accident survenu sur l’autoroute Est-Ouest au niveau de l’échangeur d’El-Adjiba (est de Bouira), a-t-on appris lundi à la protection civile.
La victime était à bord de son véhicule touristique, qui a dérapé sur l’autoroute dimanche à 14h00. La journaliste âgée de 30 ans a rendu l’âme sur le lieu de l’accident. Sa dépouille a été transférée à l’hôpital de M’Chedallah, a expliqué à l’APS le capitaine Rahmani Raouf, chargé de la communication à la direction de la protection civile de la wilaya de Bouira.
A Ouled Gassem, une localité située entre Sour El-Ghouzlane et le mont de Dirah, deux personnes âgées de 60 et 45 ans ont trouvé la mort et trois autres ont été blessés dans un accident de la circulation survenu sur la chemin rural menant vers Dirah, a ajouté le même responsable.
Depuis le début du mois de ramadan, les services de la protection civile de Bouira ont recensé 15 accidents, qui ont fait trois morts et 24 blessés.
Une activité pluvio-orageuse, localement assez marquée, affectera les Hauts-plateaux de l’ouest et du centre à partir de lundi soir, indique l’Office national de météorologie (ONM) dans un bulletin spécial.
Les wilayas concernées sont Sidi Bel Abbes, Saida, Tiaret, Mascara, Relizane et Tissemsilt, précise le bulletin, dont la validité s’étale du lundi à 21h00 à mardi à 21h00. Les cumuls estimés atteindront ou dépasseront localement 40 mm durant la validité du bulletin.
L’information a été donné par son frère, Farid Alilat, journaliste à Jeune Afrique, qui reprend une dépêche donné par l’agence de presse marocaine, MAP, sur sa page facebook. Selon la MAP, « un ressortissant de nationalité algérienne a été expulsé lundi du territoire marocain en application des dispositions de la loi n° 02-03 relative à l’entrée et au séjour des étrangers au Royaume du Maroc, indique un communiqué de la province de Nador. Cette décision a été prise après que la personne en question a effectué une couverture médiatique sans autorisation préalable des autorités concernées, précise la même source« .
La participation algérienne aux foires et Salons, inscrits au programme officiel de l’année 2016, était satisfaisante et encourageante, par le nombre des entreprises participantes et leur satisfaction d’y avoir participé. Tel est le constat fait par l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex).
Dans sa revue publiée récemment, Algex a souligné qu’«il a été enregistré que la participation algérienne aux manifestations organisées en Afrique était globalement fructueuse, couronnée par plusieurs contrats et des promesses d’achat de la part de clients potentiels, et la concrétisation d’un comptoir commercial en Côté d’Ivoire». «Les produits nationaux sont, a fait savoir Algex, très concurrentiels, sur le marché soudanais, par rapport aux produits importés, et ils sont fortement appréciés et demandés par les consommateurs locaux, notamment ceux de l’agroalimentaire.» La même source a indiqué que le marché sénégalais attire de plus en plus de participants algériens à la Foire internationale de Dakar, lors de chaque édition, et la diversité des produits exposés traduit l’intérêt exprimé par ces entreprises envers ce marché qui représente la 2e économie de l’UEMOA et peut être considéré comme étant la porte d’entrée vers l’Afrique de l’Ouest. Il a été constaté également, a-t-elle ajouté, que la vision des opérateurs économiques algériens, à travers leur participation à l’exposition de produits algériens organisé au Bénin, n’était pas de réaliser un objectif commercial immédiat, mais de pouvoir positionner les produits algériens sur le marché béninois et le marché de l’UEMOA, et faciliter leur accès via un agent commercial, bureau de représentation ou la création d’une filiale. S’agissant du marché européen, Algex a souligné, à titre d’exemple, le marché espagnol où la variété et la qualité des produit s exposés, selon elle, ont donné une image positive à la production nationale, et des opportunités réelles, aussi bien pour le marché espagnol qu’européen. La première participation de l’Algérie au Salon de l’alimentation et des boissons de Moscou a été qualifiée de satisfaisante, au vu de l’engouement du public sur les produits algériens et les contacts établis par les participants. En ce qui concerne la participation de l’Algérie au Salon SIAL en France, celle-ci a constitué, a fait savoir l’agence, une opportunité idoine aux entreprises algériennes participantes pour nouer des contacts d’affaires importants. Quant au marché asiatique, elle a cité, à titre d’exemple, le marché émirati, où la participation de notre pays au Salon Gulf Food est considérée comme l’événement phare du Moyen-Orient, reconnu pour sa dimension internationale en croissance constate en termes d’exposition et de visiteurs.
La salade, c’est un légume excellent pour la santé et pour la silhouette. Riche en vitamines, en sels minéraux et en fibres, mais pauvre en calories, on adore qu’elle soit la star de nos menus gourmands mais équilibrés. Tout ce joli tableau serait parfait si la salade ne présentait pas un gros défaut : celui de ne pas faire long feu dans notre frigo.
C’est vrai ça : si on ne la mange pas dans les deux jours après l’achat, notre salade a tendance à sortir du frigo toute noire, toute molle et toute défraîchie. Et parfois, avec un petit jus maronnasse des plus sympas… qui ne nous donne plus très faim.
Heureusement, des astuces pour conserver sa salade fraîche le plus longtemps possible, il en existe plein. CuisineAZ nous a compilé les 10 plus efficaces, pour qu’on n’ait plus jamais à jeter une salade défraîchie à la poubelle !
L’effeuiller et la mettre au frigoLa première astuce superefficace pour conserver sa salade bien fraîche, c’est de la placer au frigo. Mais pas n’importe comment hein ! D’abord, tout de suite après l’avoir achetée, on va séparer les feuilles avant de les laver une à une. Ensuite, on va soigneusement (très soigneusement) les essorer, avec une essoreuse tant qu’à faire, sinon avec des torchons. Ensuite, quand les feuilles sont bien sèches, on va les placer au frigo dans un grand tupperware fermé hermétiquement. Et les sortir quand on en a besoin. Cette petite astuce tout bête permet de conserver sa salade fraîche, verte au croquante pendant au moins 2 semaines ! L’emmitoufler dans du sopalinDès que l’on a acheté sa salade fraîche au marché, on va la laver à grande eau, l’essorer, mais sans la sécher complètement pour qu’elle reste légèrement humide. Ensuite, on va prendre un grand tupperware, que l’on va tapisser de sopalin, puis mettre la salade dans le tupperware, la recouvrir de sopalin, et refermer la boîte bien hermétiquement. On place notre salade ainsi enfermée dans le bac à légumes du frigo, et elle devrait se conserver une bonne semaine ! Le coup du torchonUne fois notre salade achetée, on va la laver feuille par feuille à l’eau claire, et l’essorer soigneusement, mais pas trop. Ensuite, on va disposer les feuilles de notre salade dans un torchon bien propre et sec, et le refermer délicatement. On place le torchon au réfrigérateur, et on pourra ainsi conserver notre salade 5 à 6 jours. La salade et le vinaigreEn cuisine, on n’aime pas trop quand ça tourne au vinaigre. Enfin, parfois si ! L’une des nombreuses vertus du vinaigre blanc, c’est de nous aider à conserver une salade fraîche plus longtemps. Pour ce faire, il suffit d’ailleurs de laisser tremper notre salade fraîche dans une grande bassine d’eau additionnée d’un peu de vinaigre blanc. Ensuite, on va essorer sans rincer la salade et la mettre dans un sac plastique directement au frigo. Notre salade peut se conserver comme ça une bonne semaine. Couteau interdit !Une autre astuce pour conserver la salade le plus longtemps possible, c’est de couper la base de la salade et de l’effeuiller, avant de placer les feuilles lavées et séchées au frigo dans un récipient recouvert d’une feuille d’essuietout pour absorber l’humidité, avec obligation de changer la feuille tous les jours. Mais attention, pour couper la salade, il est vivement conseillé de tout faire à la main, et non au couteau ! En effet, le métal va forcément avoir un effet oxydant sur les feuilles de la salade. Une fois que notre salade est effeuillée, on peut la déposer dans un récipient, recouverte Confinée dans un saladierVoilà une astuce qui ne nécessite même pas de laver la salade directement après l’achat ; pour la conserver fraîche le plus longtemps possible, on va placer la salade entière dans un grand saladier (il faut que les feuilles puissent respirer). Saladier que l’on va recouvrir d’un film alimentaire étirable, bien tendu, et placer dans le bas de notre frigo pour éviter qu’il soit trop au frais. Ensuite, il ne nous reste plus qu’à nous servir dès qu’on veut de la salade ! Une astuce gonfléeVoilà encore une astuce très simple pour conserver sa salade le plus longtemps possible : dès qu’on l’a achetée, on va l’effeuiller délicatement, et placer les feuilles dans un sac plastique. Sauf qu’avant de fermer le sac, on va souffler dedans, comme dans un ballon de baudruche, histoire de le remplir d’air. Ensuite, on va faire tourner le sac sur luimême pour le refermer, et faire un nœud. Et direction le frigo, où notre salade va se conserver une bonne semaine ! Dans un sac congélationNombreuses sont les personnes qui mettent leurs feuilles de salade dans des sacs congélation refermables (type ziplock) pour qu’elles ne flétrissent pas trop vite… sans succès. L’astuce pour que cela marche réellement, c’est de glisser dans les sacs congélation une serviette en papier afin que cette dernière absorbe l’humidité à la place de la salade. Pour des feuilles saines et fraîches qui ne vont pas noircir avant une bonne semaine ! Au pain sec !Pour conserver notre salade fraîche le plus longtemps possible, il faut être un peu dure avec elle, et la mettre au pain sec ! En effet, après avoir lavé et essoré notre salade fraîchement achetée au marché, on va la placer dans un sac plastique dans lequel on aura déposé des morceaux de pain rassis. On ne sait pas trop comment ni pourquoi, mais ça marche, et on pourra conserver notre salade un peu plus longtemps grâce à cette astuce ! Raviver une salade flétrieSi malgré tous ces bons conseils notre salade fait grise mine quand on la sort de frigo, pas de panique ! Il existe en effet une méthode toute simple et très efficace pour redonner un second souffle à une salade flétrie : on va plonger notre salade toute fatiguée dans un grand saladier d’eau froide, avec un sucre. Trois quarts d’heure plus tard, notre salade ressortira comme neuve !Une année après sa création, la pépinière d’entreprises, implantée dans la wilaya de Tiaret, commence à donner ses fruits, puisque pas moins de 10 micro-entreprises ont investi dans le secteur des télécommunications. Avec son statut d’incubateur, cette pépinière s’est assignée l’objectif d’accompagner, d’orienter et de former les jeunes porteurs de projets. Elle sert aussi d’intermédiaire entre les organismes d’État, l’administration et l’Ansej afin de leur éviter des désagréments bureaucratiques et la perte de temps. Néanmoins, selon une source sûre, quatre nouvelles entreprises sont actuellement en cours de lancement. Un responsable de cette pépinière a affirmé que le but essentiel de ce mécanisme est de créer un maximum de petites et moyennes entreprises (PME) innovantes dans cette wilaya à fortes potentialités économiques.
Lancé en 2007 avec un délai de réalisation de 18 mois, le chantier des 50 logements LSP à Taghzout (wilaya de Bouira) bat un record de longévité. Il a connu, en dix ans, beaucoup de remous, des arrêts, des reprises des travaux, sans que le projet arrive à terme. Les souscripteurs ont organisé plusieurs actions pour dénoncer le retard enregistré dans la livraison de leurs appartements par le promoteur.
Le wali de Bouira et le ministre de l’Habitat ont été interpellés, par le truchement de plusieurs courriers, afin de trouver une issue à cette affaire.
Le promoteur justifie, pour sa part, le non-achèvement des travaux par le défaut de versements des dernières tranches par les souscripteurs. Un argument fallacieux, selon nombre de bénéficiaires. Ces derniers disent que l’entrepreneur a abandonné le chantier après avoir encaissé l’intégralité du prix des logements. L’argent a été avancé pour lui permettre d’approvisionner le chantier en matériaux de construction. Depuis, c’est le statu quo.
36,5 millions de smartphones fonctionnant sous Android ont récemment été contaminés par le virus Judy, qui a pénétré dans les appareils via 41 applications téléchargées sur Google Play Store par les utilisateurs touchés.
La « plus grande attaque informatique visant Google Play » ?
Le malware avait en effet été dissimulé par les pirates dans ces programmes, dont le jeu Chief Judy, qui a donné son nom au virus. Après avoir pris connaissance de cette attaque contre son Play Store, qui s’est déroulée en deux étapes séparées, Google a retiré de sa plateforme l’ensemble des applis touchées.
CHECKPOINT: The Judy Malware: Possibly the largest malware campaign found on Google Play #cybersecurityhttps://t.co/3DlfsX3UwUpic.twitter.com/neEjfhJgpB
— Security News (@netsecu) 29 mai 2017
La plupart de ces applications avaient été mises au point par la société sud-coréenne Enistudio, spécialiste des jeux sur téléphones mobiles, précise Clubic. C’est l’entreprise de sécurité informatique Checkpoint qui a tiré le signal d’alarme et publié jeudi un rapport qui qualifiait Judy de « potentiellement la plus grande attaque informatique visant Google Play ».
Un virus peu dangereuxLe malware, présent dans certaines applications depuis plus d’un an, a en fait contaminé les appareils concernés quand ces derniers ont téléchargé des mises à jour, et pas le programme principal, apprend-on dans le document. Les professionnels de la protection contre les hackers ont cependant tenu à se montrer rassurants. Checkpoint a en effet précisé que le virus n’avait pour seul effet que de générer des clics non voulus par les utilisateurs sur des publicités afin de générer du profit.
L’annonce faite par le nouveau Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, quant au déblocage, la semaine prochaine, de 60 milliards de dinars pour le paiement des entreprises réalisatrice de l’AADL et du LPP a fait réagir les entreprises locales de Annaba.
En effet, nombreuses sont les entreprises qui reprochent à l’administration du chef-lieu le retard de paiement de leurs travaux achevés, dont les situations sont rangées sans suite. «Pour un appel de fonds relevant d’un Programme de développement communal (PDC), le receveur de la commune de Annaba doit attendre plusieurs mois pour espérer la validation de la daïra. Entre-temps, les entreprises réalisatrices pataugent en attendant le bon vouloir du chef de daïra de Annaba, pour se voir régler leurs situations», dénoncent plusieurs entreprises ayant pris attache avec notre rédaction. Paradoxalement, cette situation n’est pas la même dans les autres circonscriptions de la wilaya. Il en est ainsi de la daïra d’El Bouni, où tous les états de paiement des entreprises réalisatrices sont assainis. «A El Bouni, on ne se plaint pas. Aussitôt les travaux des entreprises achevés et les appels de fonds lancés, le chef de daïra ne tarde jamais à les libérer au grand bonheur des bénéficiaires.
Ce qui n’est pas le cas à Annaba, où on attend plusieurs mois pour se voir délivré de ce blocage», comparent d’autres chefs d’entreprise activant dans cette circonscription.
Un énorme trou, de la dimension d’une tombe, est creusé, puis remblayé par une équipe de la Seaal qui avait réparé une canalisation d’eau potable au niveau du 8, rue Franklin-Roosevelt, sur le trottoir qui fait face au siège du ministère de l’Habitat et de l’Urbanisme. Les travaux sont achevés depuis plus d’une semaine, mais lesdits services ne sont pas revenus sur les lieux pour remettre la chaussée en son état initial. Si cela perdure encore, il y a risque que la structure de la chaussée se fragilise, d’où le danger d’un affaissement et, par-là même, un risque de chute encouru par les piétons qui fréquentent le quartier. Les riverains espèrent que la direction des travaux de Seaal, installée à Safsafa (Aïn Naâdja), prendra des dispositions pour ne pas laisser la voie publique en chantier après la fin du chantier.
Lors de l’élection du président du Comité olympique algérien (COA), qui a eu lieu samedi dernier, le président de la Fédération algérienne de football, Kheireddine Zetchi, a donné une procuration à Rachid Gasmi, membre du bureau fédéral, pour voter à sa place et le suppléer ainsi durant son absence. Selon nos sources, ce dernier a donné la voix de la FAF à Abdelhakim Dib, président de la Fédération algérienne d’athlétisme.
Il aurait ainsi suivi une consigne tacite du ministre de la Jeunesse et des Sports, qui s’est échiné à barrer la route à Mustapha Berraf, candidat à sa propre succession. Comme rapporté par la presse, le MJS, El-Hadi Ould Ali, a utilisé des méthodes aussi musclées que celles qu’il a adoptées lors du renouvellement de la présidence de la FAF, en mars dernier, pour pouvoir imposer son candidat. Ces derniers jours, il a donné l’impression d’asséner des vérités implacables en accusant, en des termes à peine voilés, Mustapha Berraf de détournement d’une partie du budget alloué à la participation de l’Algérie aux jeux Olympiques de Rio. Il n’en demeure pas moins que les efforts déployés pour discréditer l’homme ont été vains, puisqu’il a été réélu, malgré tout, à la majorité des voix pour un cinquième mandat à la tête du COA. Fair-play, Ahmed Gasmi a tenu, néanmoins, à féliciter le gagnant de l’élection à l’issue de l’opération électorale, nous dit-on.
Un jeune homme d’une trentaine d’années a été retrouvé hier pendu à un arbre, dans la commune de Soumaâ, à 10 kilomètres à l’est de Blida. Selon les premiers éléments de l’enquête, il s’agit d’un suicide.
Des investigations ont été entreprises pour connaître les raisons qui ont poussé celui-ci à se donner la mort.
Par ailleurs, deux habitants de Blida se sont noyés à la veille du mois de Ramadhan dans une des plages de la wilaya de Tipasa.
Un incendie attisé par des rafales de vent marin a brûlé 2 hectares de forêt dans la forêt de Ouled-Bouziane, un bois situé entre les localités de Sidi-Ali et Sidi-Lakhdar.
Le sinistre, qui s’est déclaré en raison de la canicule qui sévit dans cette région, a notamment détruit 2 hectares de pinèdes, de broussailles et de maquis dans cette forêt dense d’une centaine d’hectares de différentes essences arboricoles.
Des moyens importants humains et matériels ont permis d’arrêter la propagation des flammes.
Quatre groupes d’intervention de 40 sapeurs-pompiers avec 15 camions anti-incendies dépêchés par les unités de Sidi-Ali, Sidi-Lakhdar, Aïn-Tédelès et de l’unité principale du chef-lieu de wilaya ont lutté pendant 4 heures pour maîtriser totalement l’incendie.
Il n’y a pas eu de trêve pour les soldats du feu en ce mois de mai ; depuis le début du mois, leur mobilisation est totale dans la wilaya.
Par le biais du communiqué de la cellule de communication, nous apprenons qu’une campagne de sensibilisation sur les risques susceptibles de survenir durant le Ramadhan et la saison estivale est lancée à l’initiative de la Protection civile.
A cet effet, un programme diversifié sera mis en place pour assurer une large diffusion des consignes de sécurité et en amoindrir leurs conséquences
L’ancien ministre des Affaires religieuses, Amokrane Abdelhafidh, a ouvert le feu aujourd’hui sur son épouse dans leur domicile à Zeralda, a appris ALG24.
L’ancien ministre a atteint son épouse de trois balles à l’épaule. Cette dernière serait, selon nos sources, hors de danger malgré sa blessure.
L’ancien ministre Amokrane a ainsi été arrêté par les éléments de la police et son arme a été saisie.
Le Moudjahid Abdelhafidh Amokrane, âgé de 91 ans, a été ministre des affaires religieuses au Gouvernement de Réda Malek entre 1992 et 1993.