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Expérience inédite à Alger : un boulevard de la Grande Poste transformé en rue piétonne

Algérie 360 - Thu, 09/05/2024 - 06:31

Le boulevard Abdelkrim al-Khattabi à Alger entre dans une nouvelle ère piétonne ! Suite à une décision du wali d’Alger, cette artère historique, qui assumait […]

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Categories: Afrique

Salaires minimums en Afrique (2024) : l’Algérie derrière la Tunisie et le Maroc

Algérie 360 - Thu, 09/05/2024 - 02:43

D’après les statistiques les plus récentes de la base de données mondiale, Trading Economics, l’Algérie figure dans le TOP 10 des salaires minimums les plus […]

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Categories: Afrique

Euro, dollar, livre sterling… Taux de change de la Banque et du marché noir pour ce 9 mai

Algérie 360 - Thu, 09/05/2024 - 02:19

Malgré les disparités entre les valeurs officielles et celles du marché informel, une certaine stabilité semble prévaloir cette semaine sur les taux de change des […]

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Bulletin Météo Algérie du jeudi 9 mai : quel temps fera-t-il en cette fin de semaine ?

Algérie 360 - Thu, 09/05/2024 - 02:19

Alors que le week-end pointe timidement le bout de son nez, il est temps de se projeter vers ces moments tant attendus de détente et […]

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Categories: Afrique

Air Algérie : jusqu’à 70 % de réduction via l’offre OSRA

Algérie 360 - Wed, 08/05/2024 - 17:27

Le pavillon national a lancé l’offre OSRA pour permettre aux membres de la diaspora de regagner le territoire national, en famille, sans se ruiner. Une […]

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Categories: Afrique

Feghouli lourdement sanctionné en Turquie à cause d’un dérapage

Algérie 360 - Wed, 08/05/2024 - 17:13

Sofiane Feghouli a été l’auteur d’un comportement inapproprié dans un match de championnat turc envers un joueur adverse et l’arbitre. Cela lui a couté une […]

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Categories: Afrique

Retour de l’usine KIA en Algérie : un projet “en bonne voie”, wali de Batna

Algérie 360 - Wed, 08/05/2024 - 16:42

Le rétablissement de l’usine Kia en Algérie suscite l’espoir, selon les déclarations du wali de Batna. En répondant à un citoyen demandeur d’emploi, ce dernier […]

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Categories: Afrique

Give qualitative research the recognition it deserves

Ratcliffe et al. (2024, JEP 93, Art. 102199) raise concern about the exclusion of purely qualitative research from JEP, as proposed by Schultz and McCunn’s editorial stance published in 2022. We support Ratcliffe et al.’s call for equal recognition of qualitative work alongside quantitative work in environmental psychology. Our article aims to contribute to this debate by presenting five additional points that emphasise the importance of qualitative contributions in advancing environmental psychology research. Through illustrative examples, we demonstrate how qualitative methods can reveal overlooked aspects, empower marginalised groups, promote social justice, and adapt to dynamic contexts and sensitive topics. We argue that qualitative research is as rigorous as quantitative research and offers insights that quantitative measures may fail to capture. Embracing qualitative contributions alongside quantitative work would advance interdisciplinary dialogue, strengthen environmental psychology and promote a comprehensive understanding of human-environment relationships.

Give qualitative research the recognition it deserves

Ratcliffe et al. (2024, JEP 93, Art. 102199) raise concern about the exclusion of purely qualitative research from JEP, as proposed by Schultz and McCunn’s editorial stance published in 2022. We support Ratcliffe et al.’s call for equal recognition of qualitative work alongside quantitative work in environmental psychology. Our article aims to contribute to this debate by presenting five additional points that emphasise the importance of qualitative contributions in advancing environmental psychology research. Through illustrative examples, we demonstrate how qualitative methods can reveal overlooked aspects, empower marginalised groups, promote social justice, and adapt to dynamic contexts and sensitive topics. We argue that qualitative research is as rigorous as quantitative research and offers insights that quantitative measures may fail to capture. Embracing qualitative contributions alongside quantitative work would advance interdisciplinary dialogue, strengthen environmental psychology and promote a comprehensive understanding of human-environment relationships.

Give qualitative research the recognition it deserves

Ratcliffe et al. (2024, JEP 93, Art. 102199) raise concern about the exclusion of purely qualitative research from JEP, as proposed by Schultz and McCunn’s editorial stance published in 2022. We support Ratcliffe et al.’s call for equal recognition of qualitative work alongside quantitative work in environmental psychology. Our article aims to contribute to this debate by presenting five additional points that emphasise the importance of qualitative contributions in advancing environmental psychology research. Through illustrative examples, we demonstrate how qualitative methods can reveal overlooked aspects, empower marginalised groups, promote social justice, and adapt to dynamic contexts and sensitive topics. We argue that qualitative research is as rigorous as quantitative research and offers insights that quantitative measures may fail to capture. Embracing qualitative contributions alongside quantitative work would advance interdisciplinary dialogue, strengthen environmental psychology and promote a comprehensive understanding of human-environment relationships.

La NASA s’invite à l’USTHB : Cap sur la collaboration scientifique algéro-américaine

Algérie 360 - Wed, 08/05/2024 - 15:15

Un vent de collaboration spatiale souffle sur l’Université des sciences et technologies Houari Boumediene (USTHB). En effet, ce mardi 7 mai 2024, un prestigieux invité […]

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Categories: Afrique

La République du Sénégal à un tournant politique: l’investiture du Président Faye

Les Sénégalais se sont rendus aux urnes le 24 mars 2024 afin d’élire leur président. La victoire a été emportée par Bassirou Diomaye Diakhar Faye, candidat de l’opposition alors âgé de 43 ans. Investi le 2 avril 2024, il est ainsi devenu le cinquième président de la République du Sénégal. Cet événement pourrait marquer un tournant dans l’histoire récente du pays. Il prouve une fois de plus la place particulière qu’occupe le Sénégal dans le contexte politique global de la région Afrique de l’Ouest/Sahel, où les prises de pouvoir par les militaires se sont multipliées ces dernières années. Cette élection se positionne à contresens d’une tendance à l’autocratisation, aujourd’hui d’ampleur mondiale.
Depuis trois ans, le Sénégal traversait une crise politique profonde qui avait amené l’État constitutionnel à son point de rupture. S’il est vrai que les institutions de l’État avaient alors pu démontrer leur stabilité et leur résilience, et les acquis de l’État de droit démocratique être garantis jusqu’à nouvel ordre, avec la participation décisive d’une société civile forte, des faiblesses étaient néanmoins apparues au cours de cette crise dans les domaines de la justice ainsi que de la liberté d’expression et de la liberté de la presse. Les forces de sécurité avaient violemment réprimé les protestations et les manifestations d’une partie de la population contre l’arrestation et la détention de politiciens de l’opposition, que celle-ci considérait comme illégales. Ces mesures avaient coûté la vie à plusieurs dizaines de personnes et en avaient blessé plusieurs centaines d’autres. Plus d’un millier d’individus avaient été placés en détention, sans qu’une procédure judiciaire régulière n’ait été engagée à leur encontre. Faye lui-même était encore emprisonné jusqu’à dix jours avant son élection. Il est donc très étonnant que le Sénégal ait réussi à surmonter cette crise, et la manière dont le pays y est parvenu l’est tout autant. Le présent article examine les facteurs politiques, sociaux et constitutionnels ayant conduit à l’émergence d’une issue favorable de ce conflit. La crise, qui a depuis trouvé une heureuse conclusion, et le programme du nouveau président suggèrent que le Sénégal tend lui aussi à redéfinir l’État ainsi que son profil d’attributions et de performance, observée depuis plusieurs années dans la région Afrique de l’Ouest/Sahel, en recourant à des approches fondées sur la démocratie.
Faye et ses alliés ont déclaré la guerre à la classe politique établie de longue date. Ils ont promis à leur électorat de procéder à des réformes fondamentales des institutions de l’État, de rationaliser, simplifier et optimiser le fonctionnement de l’administration publique et se sont engagés à lutter résolument contre les tendances à la corruption, au clientélisme et au détournement de fonds, de biens et de ressources publics qui se sont nettement accentuées ces dernières années. Par leur vote sans équivoque, les électrices et les électeurs leur ont clairement signifié leur volonté de voir ce projet mené à bien. L’entrée en fonction du président Faye entraîne en outre un réajustement partiel des rapports de force au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Au cours des prochaines années, de nouveaux changements interviendront dans différents États de la région au profit d’une génération plus jeune d’élites politiques. À l’avenir, l’Allemagne et l’Union européenne devront davantage reconnaître et intégrer dans leur action le fait que les nations africaines reprennent conscience de leur identité culturelle propre et qu’elles affirment avec de plus en plus de force, dans le cadre de leur discours politique, leur ambition d’affirmer leur souveraineté.

La République du Sénégal à un tournant politique: l’investiture du Président Faye

Les Sénégalais se sont rendus aux urnes le 24 mars 2024 afin d’élire leur président. La victoire a été emportée par Bassirou Diomaye Diakhar Faye, candidat de l’opposition alors âgé de 43 ans. Investi le 2 avril 2024, il est ainsi devenu le cinquième président de la République du Sénégal. Cet événement pourrait marquer un tournant dans l’histoire récente du pays. Il prouve une fois de plus la place particulière qu’occupe le Sénégal dans le contexte politique global de la région Afrique de l’Ouest/Sahel, où les prises de pouvoir par les militaires se sont multipliées ces dernières années. Cette élection se positionne à contresens d’une tendance à l’autocratisation, aujourd’hui d’ampleur mondiale.
Depuis trois ans, le Sénégal traversait une crise politique profonde qui avait amené l’État constitutionnel à son point de rupture. S’il est vrai que les institutions de l’État avaient alors pu démontrer leur stabilité et leur résilience, et les acquis de l’État de droit démocratique être garantis jusqu’à nouvel ordre, avec la participation décisive d’une société civile forte, des faiblesses étaient néanmoins apparues au cours de cette crise dans les domaines de la justice ainsi que de la liberté d’expression et de la liberté de la presse. Les forces de sécurité avaient violemment réprimé les protestations et les manifestations d’une partie de la population contre l’arrestation et la détention de politiciens de l’opposition, que celle-ci considérait comme illégales. Ces mesures avaient coûté la vie à plusieurs dizaines de personnes et en avaient blessé plusieurs centaines d’autres. Plus d’un millier d’individus avaient été placés en détention, sans qu’une procédure judiciaire régulière n’ait été engagée à leur encontre. Faye lui-même était encore emprisonné jusqu’à dix jours avant son élection. Il est donc très étonnant que le Sénégal ait réussi à surmonter cette crise, et la manière dont le pays y est parvenu l’est tout autant. Le présent article examine les facteurs politiques, sociaux et constitutionnels ayant conduit à l’émergence d’une issue favorable de ce conflit. La crise, qui a depuis trouvé une heureuse conclusion, et le programme du nouveau président suggèrent que le Sénégal tend lui aussi à redéfinir l’État ainsi que son profil d’attributions et de performance, observée depuis plusieurs années dans la région Afrique de l’Ouest/Sahel, en recourant à des approches fondées sur la démocratie.
Faye et ses alliés ont déclaré la guerre à la classe politique établie de longue date. Ils ont promis à leur électorat de procéder à des réformes fondamentales des institutions de l’État, de rationaliser, simplifier et optimiser le fonctionnement de l’administration publique et se sont engagés à lutter résolument contre les tendances à la corruption, au clientélisme et au détournement de fonds, de biens et de ressources publics qui se sont nettement accentuées ces dernières années. Par leur vote sans équivoque, les électrices et les électeurs leur ont clairement signifié leur volonté de voir ce projet mené à bien. L’entrée en fonction du président Faye entraîne en outre un réajustement partiel des rapports de force au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Au cours des prochaines années, de nouveaux changements interviendront dans différents États de la région au profit d’une génération plus jeune d’élites politiques. À l’avenir, l’Allemagne et l’Union européenne devront davantage reconnaître et intégrer dans leur action le fait que les nations africaines reprennent conscience de leur identité culturelle propre et qu’elles affirment avec de plus en plus de force, dans le cadre de leur discours politique, leur ambition d’affirmer leur souveraineté.

La République du Sénégal à un tournant politique: l’investiture du Président Faye

Les Sénégalais se sont rendus aux urnes le 24 mars 2024 afin d’élire leur président. La victoire a été emportée par Bassirou Diomaye Diakhar Faye, candidat de l’opposition alors âgé de 43 ans. Investi le 2 avril 2024, il est ainsi devenu le cinquième président de la République du Sénégal. Cet événement pourrait marquer un tournant dans l’histoire récente du pays. Il prouve une fois de plus la place particulière qu’occupe le Sénégal dans le contexte politique global de la région Afrique de l’Ouest/Sahel, où les prises de pouvoir par les militaires se sont multipliées ces dernières années. Cette élection se positionne à contresens d’une tendance à l’autocratisation, aujourd’hui d’ampleur mondiale.
Depuis trois ans, le Sénégal traversait une crise politique profonde qui avait amené l’État constitutionnel à son point de rupture. S’il est vrai que les institutions de l’État avaient alors pu démontrer leur stabilité et leur résilience, et les acquis de l’État de droit démocratique être garantis jusqu’à nouvel ordre, avec la participation décisive d’une société civile forte, des faiblesses étaient néanmoins apparues au cours de cette crise dans les domaines de la justice ainsi que de la liberté d’expression et de la liberté de la presse. Les forces de sécurité avaient violemment réprimé les protestations et les manifestations d’une partie de la population contre l’arrestation et la détention de politiciens de l’opposition, que celle-ci considérait comme illégales. Ces mesures avaient coûté la vie à plusieurs dizaines de personnes et en avaient blessé plusieurs centaines d’autres. Plus d’un millier d’individus avaient été placés en détention, sans qu’une procédure judiciaire régulière n’ait été engagée à leur encontre. Faye lui-même était encore emprisonné jusqu’à dix jours avant son élection. Il est donc très étonnant que le Sénégal ait réussi à surmonter cette crise, et la manière dont le pays y est parvenu l’est tout autant. Le présent article examine les facteurs politiques, sociaux et constitutionnels ayant conduit à l’émergence d’une issue favorable de ce conflit. La crise, qui a depuis trouvé une heureuse conclusion, et le programme du nouveau président suggèrent que le Sénégal tend lui aussi à redéfinir l’État ainsi que son profil d’attributions et de performance, observée depuis plusieurs années dans la région Afrique de l’Ouest/Sahel, en recourant à des approches fondées sur la démocratie.
Faye et ses alliés ont déclaré la guerre à la classe politique établie de longue date. Ils ont promis à leur électorat de procéder à des réformes fondamentales des institutions de l’État, de rationaliser, simplifier et optimiser le fonctionnement de l’administration publique et se sont engagés à lutter résolument contre les tendances à la corruption, au clientélisme et au détournement de fonds, de biens et de ressources publics qui se sont nettement accentuées ces dernières années. Par leur vote sans équivoque, les électrices et les électeurs leur ont clairement signifié leur volonté de voir ce projet mené à bien. L’entrée en fonction du président Faye entraîne en outre un réajustement partiel des rapports de force au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Au cours des prochaines années, de nouveaux changements interviendront dans différents États de la région au profit d’une génération plus jeune d’élites politiques. À l’avenir, l’Allemagne et l’Union européenne devront davantage reconnaître et intégrer dans leur action le fait que les nations africaines reprennent conscience de leur identité culturelle propre et qu’elles affirment avec de plus en plus de force, dans le cadre de leur discours politique, leur ambition d’affirmer leur souveraineté.

Biodiversität:Jetzt dringend handeln für Natur und Mensch

Für Biodiversität bietet das Kunming-Montreal Globale Rahmenabkommen zusammen mit dem neuen UN-Abkommen zum Schutz der Biodiversität auf Hoher See ein einmaliges Gelegenheitsfenster. Der WBGU empfiehlt das Leitbild eines multifunktionalen Flächenmosaiks: Schutz und Nutzung werden so zusammen gedacht, dass Mehrgewinne für Natur und Mensch entstehen. Deutschland sollte international entschlossen vorangehen und Prozesse zur Umsetzung beider Abkommen aufsetzen, Dialogforen und Vorreiterkoalitionen initiieren sowie eine Bildungs- und Kommunikationsoffensive starten. Biodiversitätsförderung sollte nicht allein aus Steuergeldern finanziert werden, sondern Private einbeziehen, etwa durch die Umwidmung umweltschädlicher Subventionen und durch klare Berichterstattung und Taxonomie. Die Kosten des Nichthandelns sollten verstanden werden. Die Staatengemeinschaft hat sich 2022 auf einen neuen globalen Rahmen für die Biodiversität (GBF) und 2023 auf das Abkommen zum Schutz der Biodiversität auf Hoher See (BBNJ) geeinigt. Dieser politische Konsens spiegelt die wissenschaftlich erwiesene Dringlichkeit von Biodiversitätsschutz und belegt die Kooperationsbereitschaft zu diesem Thema selbst in Jahren angespannter internationaler Beziehungen. Biodiversität ist ein Gemeingut und essenzielle Voraussetzung für eine gesunde Zukunft der Menschen und der Arten, mit denen sie die Erde teilen. Sie ermöglicht Ökosystemleistungen, z. B. die Bereitstellung sauberen Trinkwassers oder die Bestäubung von Nutz- und Wildpflanzen, für deren Sicherung Arten und Ökosysteme angemessen große und vernetzte Flächen brauchen. Der WBGU schlägt vor, die Flächenziele des GBF entsprechend dem Leitbild eines multifunktionalen Flächenmosaiks umzusetzen, in dem Schutz und Nutzung so zusammen gedacht werden, dass Mehrgewinne für Natur und Mensch generiert werden. Dieses Leitbild bietet allen Akteuren Orientierung für biodiversitätsschonendes und -förderndes Verhalten.

Biodiversität:Jetzt dringend handeln für Natur und Mensch

Für Biodiversität bietet das Kunming-Montreal Globale Rahmenabkommen zusammen mit dem neuen UN-Abkommen zum Schutz der Biodiversität auf Hoher See ein einmaliges Gelegenheitsfenster. Der WBGU empfiehlt das Leitbild eines multifunktionalen Flächenmosaiks: Schutz und Nutzung werden so zusammen gedacht, dass Mehrgewinne für Natur und Mensch entstehen. Deutschland sollte international entschlossen vorangehen und Prozesse zur Umsetzung beider Abkommen aufsetzen, Dialogforen und Vorreiterkoalitionen initiieren sowie eine Bildungs- und Kommunikationsoffensive starten. Biodiversitätsförderung sollte nicht allein aus Steuergeldern finanziert werden, sondern Private einbeziehen, etwa durch die Umwidmung umweltschädlicher Subventionen und durch klare Berichterstattung und Taxonomie. Die Kosten des Nichthandelns sollten verstanden werden. Die Staatengemeinschaft hat sich 2022 auf einen neuen globalen Rahmen für die Biodiversität (GBF) und 2023 auf das Abkommen zum Schutz der Biodiversität auf Hoher See (BBNJ) geeinigt. Dieser politische Konsens spiegelt die wissenschaftlich erwiesene Dringlichkeit von Biodiversitätsschutz und belegt die Kooperationsbereitschaft zu diesem Thema selbst in Jahren angespannter internationaler Beziehungen. Biodiversität ist ein Gemeingut und essenzielle Voraussetzung für eine gesunde Zukunft der Menschen und der Arten, mit denen sie die Erde teilen. Sie ermöglicht Ökosystemleistungen, z. B. die Bereitstellung sauberen Trinkwassers oder die Bestäubung von Nutz- und Wildpflanzen, für deren Sicherung Arten und Ökosysteme angemessen große und vernetzte Flächen brauchen. Der WBGU schlägt vor, die Flächenziele des GBF entsprechend dem Leitbild eines multifunktionalen Flächenmosaiks umzusetzen, in dem Schutz und Nutzung so zusammen gedacht werden, dass Mehrgewinne für Natur und Mensch generiert werden. Dieses Leitbild bietet allen Akteuren Orientierung für biodiversitätsschonendes und -förderndes Verhalten.

Biodiversität:Jetzt dringend handeln für Natur und Mensch

Für Biodiversität bietet das Kunming-Montreal Globale Rahmenabkommen zusammen mit dem neuen UN-Abkommen zum Schutz der Biodiversität auf Hoher See ein einmaliges Gelegenheitsfenster. Der WBGU empfiehlt das Leitbild eines multifunktionalen Flächenmosaiks: Schutz und Nutzung werden so zusammen gedacht, dass Mehrgewinne für Natur und Mensch entstehen. Deutschland sollte international entschlossen vorangehen und Prozesse zur Umsetzung beider Abkommen aufsetzen, Dialogforen und Vorreiterkoalitionen initiieren sowie eine Bildungs- und Kommunikationsoffensive starten. Biodiversitätsförderung sollte nicht allein aus Steuergeldern finanziert werden, sondern Private einbeziehen, etwa durch die Umwidmung umweltschädlicher Subventionen und durch klare Berichterstattung und Taxonomie. Die Kosten des Nichthandelns sollten verstanden werden. Die Staatengemeinschaft hat sich 2022 auf einen neuen globalen Rahmen für die Biodiversität (GBF) und 2023 auf das Abkommen zum Schutz der Biodiversität auf Hoher See (BBNJ) geeinigt. Dieser politische Konsens spiegelt die wissenschaftlich erwiesene Dringlichkeit von Biodiversitätsschutz und belegt die Kooperationsbereitschaft zu diesem Thema selbst in Jahren angespannter internationaler Beziehungen. Biodiversität ist ein Gemeingut und essenzielle Voraussetzung für eine gesunde Zukunft der Menschen und der Arten, mit denen sie die Erde teilen. Sie ermöglicht Ökosystemleistungen, z. B. die Bereitstellung sauberen Trinkwassers oder die Bestäubung von Nutz- und Wildpflanzen, für deren Sicherung Arten und Ökosysteme angemessen große und vernetzte Flächen brauchen. Der WBGU schlägt vor, die Flächenziele des GBF entsprechend dem Leitbild eines multifunktionalen Flächenmosaiks umzusetzen, in dem Schutz und Nutzung so zusammen gedacht werden, dass Mehrgewinne für Natur und Mensch generiert werden. Dieses Leitbild bietet allen Akteuren Orientierung für biodiversitätsschonendes und -förderndes Verhalten.

Mutual legitimation attempts: the United Nations and China's Belt and Road Initiative

The Belt and Road Initiative (BRI) has become a hallmark of China's global rise. While the BRI has unfolded as a global platform focused on bilateral relations, the Chinese government has also tried to expand links between the BRI and international organizations, notably the United Nations. Available evidence about UN–BRI relations suggests, however, that an initial honeymoon phase with mushrooming projects and public endorsements was followed by a sharp decline in engagement. This article argues that a focus on inter-governor legitimation attempts helps understand the rise and fall of UN–BRI relations. Based on publicly available evidence, internal documentation and stakeholder interviews, it shows how legitimation informed motivations on both sides to invest in UN–BRI relations, and how western opposition subsequently led to UN entities reducing their engagement. Empirically, the article contributes to the literature on China's global role, evolving power relations at the UN, and the proliferation of geopolitically motivated flagship initiatives across UN member states. Conceptually, it speaks to the expanding debate about legitimation in world politics through a more systematic engagement with relational legitimation dynamics. A focus on one-sided or mutual legitimation attempts offers a conceptual tool for analysing how interactions among global governors and their audiences unfold, and how international organizations try (and fail) to strengthen their resilience in light of an increasingly polarized membership.

Mutual legitimation attempts: the United Nations and China's Belt and Road Initiative

The Belt and Road Initiative (BRI) has become a hallmark of China's global rise. While the BRI has unfolded as a global platform focused on bilateral relations, the Chinese government has also tried to expand links between the BRI and international organizations, notably the United Nations. Available evidence about UN–BRI relations suggests, however, that an initial honeymoon phase with mushrooming projects and public endorsements was followed by a sharp decline in engagement. This article argues that a focus on inter-governor legitimation attempts helps understand the rise and fall of UN–BRI relations. Based on publicly available evidence, internal documentation and stakeholder interviews, it shows how legitimation informed motivations on both sides to invest in UN–BRI relations, and how western opposition subsequently led to UN entities reducing their engagement. Empirically, the article contributes to the literature on China's global role, evolving power relations at the UN, and the proliferation of geopolitically motivated flagship initiatives across UN member states. Conceptually, it speaks to the expanding debate about legitimation in world politics through a more systematic engagement with relational legitimation dynamics. A focus on one-sided or mutual legitimation attempts offers a conceptual tool for analysing how interactions among global governors and their audiences unfold, and how international organizations try (and fail) to strengthen their resilience in light of an increasingly polarized membership.

Mutual legitimation attempts: the United Nations and China's Belt and Road Initiative

The Belt and Road Initiative (BRI) has become a hallmark of China's global rise. While the BRI has unfolded as a global platform focused on bilateral relations, the Chinese government has also tried to expand links between the BRI and international organizations, notably the United Nations. Available evidence about UN–BRI relations suggests, however, that an initial honeymoon phase with mushrooming projects and public endorsements was followed by a sharp decline in engagement. This article argues that a focus on inter-governor legitimation attempts helps understand the rise and fall of UN–BRI relations. Based on publicly available evidence, internal documentation and stakeholder interviews, it shows how legitimation informed motivations on both sides to invest in UN–BRI relations, and how western opposition subsequently led to UN entities reducing their engagement. Empirically, the article contributes to the literature on China's global role, evolving power relations at the UN, and the proliferation of geopolitically motivated flagship initiatives across UN member states. Conceptually, it speaks to the expanding debate about legitimation in world politics through a more systematic engagement with relational legitimation dynamics. A focus on one-sided or mutual legitimation attempts offers a conceptual tool for analysing how interactions among global governors and their audiences unfold, and how international organizations try (and fail) to strengthen their resilience in light of an increasingly polarized membership.

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