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Diplomacy & Crisis News

Now That the Summit Is Off Between the U.S. and North Korea, What’s Next?

Foreign Policy - Thu, 24/05/2018 - 21:52
Six questions to ponder after Trump’s announcement, including — what will become of those coins?

Le recours au droit de vote à l'ONU

Le Monde Diplomatique - Thu, 24/05/2018 - 19:02
/ Russie, Chine, France, États-Unis, Royaume-Uni, Relations internationales, Conflit, Diplomatie, Géopolitique - Relations internationales / , , , , , , , , - Relations internationales

The Making of a Chechen Hitman

Foreign Policy - Thu, 24/05/2018 - 17:10
Russia’s best killers learned their skills fighting Moscow.

Eternelle récupération de la contestation

Le Monde Diplomatique - Thu, 24/05/2018 - 17:02
« Que tout change pour que rien ne change » ? Ebranlé par les mobilisations de Seattle et de Porto Alegre, le discours des gouvernants et des possédants paraît avoir changé. Mais si ces derniers semblent disposés à accepter davantage de verdure, d'éthique et de concertation, c'est à la condition qu'on (...) / , , - 2001/04

Le commerce international des moyens de répression

Le Monde Diplomatique - Thu, 24/05/2018 - 15:01
En 1978, les principaux pays industrialisés ont vendu pour quelque 10 milliards de dollars d'armes, de munitions et de matériel de guerre aux pays en voie de développement. Pour l'essentiel, il s'agit d'armes de guerre (tanks, missiles, bombardiers, navires... ) conçues pour des combats opposant (...) / , , , , , , , , , , , , , , , , , - 1979/06

Putin’s Endgame in Syria Has Arrived

Foreign Policy - Thu, 24/05/2018 - 14:39
It's not an Assad victory — it's a frozen conflict.

Palestinians Have Been Abandoned by Their Leaders

Foreign Policy - Thu, 24/05/2018 - 12:50
Both Israel and the Palestinian Authority are undermining democracy. Only a new generation can bring real change.

« États : en perte de vitesse ? »

Politique étrangère (IFRI) - Thu, 24/05/2018 - 09:30

Le blog Reflets du Temps, qui consacre une large place aux questions internationales, a publié le 28 avril dernier un article mettant à l’honneur le numéro de printemps (n°1/2018) de Politique étrangère : « États : quel nouveau souffle ? ».

Où en sommes-nous, où en sont les débats sur la question : les États sont-ils en perte de vitesse (thèse décliniste) ou redressent-ils la tête (thèse de la résistance) ?

« Danser avec les États »(Serge Sur) dresse depuis les années 90 le tableau de la fragmentation des États, en Europe notamment, happés parfois par des empires « mal disparus ou renaissants », alors que de nombreuses tentations de sécessions secouent d’autres États européens. Tableau étendu à l’évolution de la notion d’État en Asie, Afrique.

Mais qu’est-ce qu’un État ? « Remplir pour sa population des missions telles qu’éduquer, protéger, favoriser son emploi, garantir la santé publique, reconnaître ses droits, assurer sa vie paisible, et l’épanouissement individuel de ses membres, dans un cadre juridique et politique, accepté sans discriminations par tous ».

Ensemble fragile – Serge Sur parle de l’État Titanic – multipliant les défaillances, précipitant moins les sécessions par attaques extérieures que par faiblesses intérieures. Riche article faisant un point très précis et clair sur l’historique, fourmillant de notions définies ; ainsi du rappel de l’État nation dont le creuset intègre, et dont l’appartenance est de l’ordre d’une solidarité subjective, librement consentie (conception française ou américaine). Modèle qui cède souvent à présent le pas à une conception d’origine germanique, reposant sur une communauté ethnique.

« Les débats contemporains sur la fin des États »(Frédéric Ramel) : remarquable éclairage sur la somme des débats d’experts sur la thématique de « la fin des États » depuis la fin des années 70, alimentés par la fin de la guerre froide, relancés par le 11 Septembre, la crise économique et financière de 2008, le Brexit, bien sûr, et la victoire de D. Trump en 2016. Traversés par la crise des migrants dès 2015 en Europe, la montée des populismes. Où en sont les États dans ces difficultés et profondes modifications ? L’auteur examine ces débats à travers trois prismes : stratégique – désétatisation du fait guerrier, mais aussi retour des guerres entre États – économique – du G20, et de son utilisation – et morphologique – entendons, où en est le désir d’État aujourd’hui, et les représentations qui l’accompagnent ? De très utiles repères notionnels nourrissent l’article ; ainsi de l’évolution de l’État gendarme, de l’État providence, mais aussi de l’État virtuel, ou de l’État région. La mondialisation – élément fondamental dans le jeu étatique, oblige de fait à des adaptations incessantes (l’exemple éclairant est pris du Brexit dans ses origines, mécanismes, conséquences). Les États n’ont donc pas disparu, mais leur tectonique agitée, leur façon de se mouvoir dans le système international fait l’objet de constants changements.

Ce sont aux empires (l’ensemble varié avec centre, sous la direction d’une ethnie ou d’un groupe national dominant) que s’intéresse Georges-Henri Soutou (Des empires dans tous leurs États). Large rappel historique des empires européens du passé, leur facteur paix en internalisant les conflits, ou guerre, comme au siècle dernier. Leur dissolution (fin de l’URSS) et l’instabilité qui en découla(e) souvent. La problématique développée par l’auteur : « Leur mode de fonctionnement pré-national pourrait aider à penser le post-national » est fort intéressante.

Le dernier article du thème principal de la revue PE de printemps, signé de la spécialiste du Moyen–Orient de l’IFRI, Dorothée Schmid, est consacré aux « États du Moyen-Orient, crise et retour ». Article brillant qui traite du concept d’État sur ces territoires, si mouvants et instables à nos yeux. « Revitalisation d’une demande d’État » dans cette partie du monde ébranlée par les révolutions arabes de 2011, qui a, depuis, travaillé à de multiples réformes. Comme une vaste conclusion au thème, un chantier – crises multiples, menaces d’éclatements, violences, puis chemins de retour : « L’État connaît dans la région une vie nouvelle même si elle est mouvementée », appliqué à des territoires, leur histoire, leurs minorités.

Signalons que d’autres sujets et articles de ce numéro de la revue ont en fil rouge le concept d’État ; ainsi : « L’Écosse, nationalisme, immigration, retour des frontières ».« La crise en Catalogne, une fracture décisive ». Ou « Liban, entre clientélisme régional et carcan national ».

Car un concept comme celui des États n’a pas fini d’animer le regard, et la réflexion des géopoliticiens…

Retrouvez cet article sur www.refletsdutemps.fr.

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Italy's Revolt Against the EU

Foreign Affairs - Thu, 24/05/2018 - 06:00
Italy's new government is going to push back against any attempt by outside actors to force it to rein in its ambitions.

The Reinvention of Iraq's Muqtada al-Sadr

Foreign Affairs - Thu, 24/05/2018 - 06:00
The win of Muqtada al-Sadr and his political alliance in the recent parliamentary election signaled that at least in this vote, sectarianism had supplanted populism as the dominant force in Iraqi politics.

The One Place in Syria That Works

Foreign Policy - Wed, 23/05/2018 - 23:39
Why southwest Syria is an island of stability.

North Korea Is a Dangerous Distraction

Foreign Policy - Wed, 23/05/2018 - 21:04
The real struggle in Asia is with China — and Trump is throwing away U.S. advantages.

Myanmar’s Atrocities Demand New Sanctions

Foreign Policy - Wed, 23/05/2018 - 17:57
Rep. Eliot Engel’s sanctions legislation offers the right response to the Myanmar military’s campaign of murder and displacement.

Des enfants au front

Le Monde Diplomatique - Wed, 23/05/2018 - 16:52
La manifestation a fait six morts et des dizaines de blessés. 18 d'entre eux ont entre huit et seize ans, et 14 entre seize et vingt ans. La presse dénonce ces gens « qui envoient leurs enfants manifester alors qu'eux restent à la maison ». Cette manifestation a bien eu lieu en Palestine... mais en (...) / , , , - 2000/11

Erdogan’s Flying Carpet

Foreign Policy - Wed, 23/05/2018 - 15:46
Istanbul’s massive new airport fits with Turkey’s grand neo-Ottoman ambitions, but it may be too big for its own good.

US seeks to weaken China’s high-tech global ambitions

Foreign Policy Blogs - Wed, 23/05/2018 - 12:30

President Donald Trump and First Lady Melania Trump pose for a photo with Chinese President Xi Jingping and his wife, Mrs. Peng Liyuan, Thursday, April 6, 2017, at the entrance of Mar-a-Lago in Palm Beach, Fl. (Official White Photo by D. Myles Cullen)

In the midst of trade war threats between the US and China, Trump’s latest trade tariffs emerge as the new American strategy to weaken Xi Jinping’s plans to transform China into a major high-tech player.

Trump’s recent multi-billion tariffs, allegedly designed to protect the American economy from trade deficit, made global headlines. If at the beginning such tariffs involved most of the United States’ international economic partners, now it is increasingly clear that Trump’s main target are the rising Chinese strategic sectors, which pose a threat to the American technological leadership.

Xi Jinping’s tech goals: “Made in China 2025”

Launched in 2015, the plan “Made in China 2025” is to be considered Chinese President Xi Jinping’s economic pillar to grant the country a leading role in the so-called Fourth Industrial Revolution, as well as to achieve self-sufficiency in terms of technology and development in strategic sectors. The disruptive technologies represented by artificial intelligence (AI), virtual reality and robotics, along with the concepts of data and connectivity, are now at the centre of a new global competition for power in which China is set to emerge as major player. With this blueprint, Xi aims at making China globally competitive in ten industries by 2025: next generation information technology, high-end numerical control tools and robotics, aerospace equipment, ocean engineering equipment and hi-tech ships, advanced railway equipment, power equipment, agricultural machinery, new materials (e.g. nano materials)biomedicine and high-performance medical devices.

Since China’s latest legislative amendment, which abolished the two-year mandate terms for Chinese leaders, Xi Jinping is now set to remain the leader of a country with a unique combination of elements powerful enough to dominate the high-tech race. The incredible amount of data available, the use of which is facilitated by the loosened privacy regulations and blurred lines between government and businesses in addition to the highly fragmented retail market, make of China a tremendous hub for technological innovation and development.

Trump’s America First as a pretext to hit China’s high-tech rise

Starting from last January, Trump’s America First rapidly emerged as a pretext to impose new tariffs, part of a protectionist wave that rapidly involved most of the world economies. Relying on the urgency to reduce the US bilateral trade deficit, which amounted to $375 billions in 2017, Trump’s determination is threatening to spread into a dangerous and unpredictable war trade with China.

On one side, a number of economists focus on the short-term cost of an eventual trade war. For example, Wei Li, senior China economist at Standard Chartered in Shanghai, estimatesthat a broad-based trade war between the US and China would cost China 1.3 per cent to 3.2 per cent of GDP, with the latter estimate representing an extreme scenario in which the US bans all Chinese imports. The US, in comparison, would lose 0.2 per cent to 0.9 per cent, thus supporting the theory according to which deficit countries (US) hold an advantage over those with trade surpluses (China).

However, by paying closer attention to the specific sectors and companies hit by Trump’s tariffs, it emerges that what triggered the US strategy is not the bilateral trade deficit with China, but rather the long-term Chinese threat in terms of high-tech rapid development. In fact, the Chinese market went from being considered complementary to becoming more directly competitive to the United States thanks to companies like Huawei, Tencent and Baidu, to name a few. If it is true that Trump can rely on intensive capital control that could damage the Chinese leverage against the US, China is a huge domestic market that the US can’t do without, as well as being the leading Asian high-tech exporter since overtaking Japan in 2014.

Is China stealing foreign technology?

Despite Beijing’s noteworthy technological development, the country still depends on foreign technology transfers to push forward its “Made in China 2025” agenda. Pressured by an aging population – with rising wages that are resulting in the relocation of low-tech factories to other countries – along with the goal of achieving 70% technological self-sufficiency by 2025 and of becoming a global leader in Artificial Intelligence research and development by 2030, Beijing is not sitting on its hands.

The Trump administration and the other European and Asian economies potentially involved in China’s high-tech rise (especially Germany and South Korea) are concerned by the unfair trade practices implemented by the Communist countrysuch as intellectual property theft, massive Chinese government subsidies and forced technology transfer agreements. China’s restrictive market practices have in fact often forced foreign companies to transfer valuable intellectual property to Chinese partners in exchange for market access, thus exploiting the asymmetries in market access between China and the rest of the world.

Chinese President Xi Jinping, in reaction to these international condemnations, used the platform offered by the Boao Forum for Asia last April to pledge further measures to protect the intellectual property of foreign companies and a further opening of China’s economy. In addition, in an attempt to address and de-escalate Trump’s trade war threats, Xi finally affirmed that China is not seeking trade surplus and that a “Cold War zero sum game” is increasingly obsolete.

“We encourage normal technological exchanges and cooperation between Chinese and foreign enterprises, and protect the lawful IPR owned by foreign enterprises in China.”

With over 730 million internet users (double the US population) and a clear plan that sees China rivalling the current high-tech strongholds, it is foreseeable that Beijing won’t stop the building up of its technological capabilities and resources. In the short-term, Xi Jinping is empowered by the lack of vision demonstrated by Trump, who has been incapable of seizing this opportunity to build around him a consensus based on international law. However, in the long-term, if China wants a prominent role recognized by the other international powers, new measures complying with fair trade practices, along with the further opening of its economy are non-negotiable.

 

This article first appeared on Global Risk Insights, and was written by Gaia Rizza.

The post US seeks to weaken China’s high-tech global ambitions appeared first on Foreign Policy Blogs.

“性侨民”记者正在危害亚洲新闻报道

Foreign Policy - Wed, 23/05/2018 - 10:38
西方新闻机构驻外分社里的色狼既有害于同事,也有害于新闻报道

War by Numbers: Understanding Conventional Combat

Politique étrangère (IFRI) - Wed, 23/05/2018 - 09:00

Cette recension a été publiée dans le numéro de printemps de Politique étrangère (n°1/2018). Rémy Hémez propose une analyse de l’ouvrage de Christopher A. Lawrence, War by Numbers: Understanding Conventional Combat (University of Nebraska Press, 2017, 374 pages).

Les premiers modèles informatisés de combat, apparus dans les années 1950, créèrent le besoin d’une analyse quantitative de la guerre. L’historien militaire américain Trevor Dupuy (1916-1995) et les diverses organisations qu’il a dirigées furent des précurseurs dans ce domaine, constituant des bases de données statistiques sur les engagements au combat. L’auteur de War by Numbers s’inscrit dans cette lignée. Il a longtemps travaillé avec Dupuy et préside le Dupuy Institute. Après plusieurs années à étudier les insurrections, il insiste sur la nécessité d’exhumer la recherche sur les conflits de haute intensité. Pour ce faire, il présente des études menées par son institut, qui viennent compléter les travaux de Dupuy lui-même.

À partir de plusieurs bases de données recensant des combats de 1618 au début des années 2000, Lawrence revient, en chiffres, sur de nombreux sujets traversant les études sur la guerre : le rapport entre offensive et défensive, la valeur de la dispersion ou celle de la surprise, les rapports de force, les facteurs humains dans l’issue des combats, etc.

Il n’est pas possible d’être exhaustif ici. Trois thématiques majeures du livre peuvent néanmoins être soulignées. Tout d’abord, en ce qui concerne les rapports de force, l’auteur démontre que, dans 74 % des cas, lorsqu’un attaquant l’emporte, c’est qu’il se trouve en supériorité numérique. Lorsqu’on analyse les victoires des défenseurs, on s’aperçoit qu’ils étaient en infériorité numérique dans 64 % des cas. L’attaquant sort presque toujours vainqueur d’un affrontement lorsqu’il dispose d’un rapport de force supérieur ou égal à deux contre un.

Un chapitre particulièrement intéressant s’attache à démystifier ce que l’auteur appelle les « légendes urbaines », c’est-à-dire les idées préconçues sur le combat en ville. Les chiffres confirment qu’un attaquant progresse plus lentement en zone urbaine que sur les autres types de terrain : 0,96 km par jour contre 1,41. En revanche, les cas étudiés ne corroborent pas la croyance que les chars de combat souffrent plus de pertes en zone urbaine qu’en terrain ouvert. De même, le rapport de force nécessaire pour l’emporter ne serait pas influencé par ce terrain particulier. Pour l’auteur, ces biais sont la conséquence de la focalisation sur des études de cas extrêmes (Grozny), en oubliant qu’ils ne sont pas représentatifs.

Enfin, dans une partie consacrée aux pertes au combat, l’auteur fait remarquer que, de la guerre mexico-américaine (1846-1848) à la guerre du Vietnam (1963-1975), l’Army a compté 4 blessés pour 1 tué. Un changement majeur a eu lieu avec les engagements en Irak et en Afghanistan, où le taux est passé, respectivement, à 8,68 et 9,1 blessés pour 1 tué. Les évolutions liées aux prises en charge médicales, ou celles de la protection individuelle, y ont bien évidemment contribué. Mais les causes de blessures ont aussi un rôle clé. Les armes à tir direct (fusils ou mitrailleuses) tuent plus de 25 % des soldats touchés ; ce chiffre passe à 10 % pour les armes à fragmentation, ce qui inclut les engins explosifs improvisés (IED), omniprésents en Irak et en Afghanistan.

La lecture de cet ouvrage technique, entrecoupé de nombreux tableaux et statistiques, quelque peu rébarbative, n’est à conseiller qu’aux spécialistes. Pour ces derniers, il s’avérera un outil de travail particulièrement précieux.

Rémy Hémez

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How Africa Is Bucking the Isolationist Trend

Foreign Affairs - Wed, 23/05/2018 - 06:00
The world is turning isolationist. Africa is a striking exception.

Will Colombia Make Peace With Its Peace Deal?

Foreign Affairs - Wed, 23/05/2018 - 06:00
Over the year and a half since its signing, the peace deal continues to face mounting challenges in turning its terms into a reality.

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