Élesen bírálta Tomislav Nikolić államfő Oroszországban tett kijelentéseit a Liberális Demokrata Párt. Az LDP közleményében arra hívta fel a nyilvánosság figyelmét, hogy az államelnök bonyolítja a Szerbia és az Európai Unió közötti kapcsolatokat, állításai pedig teljes ellentmondásban állnak azzal, amit a szerb kormány tagjai a keddi ülést követően hangoztattak.
« Entre les localités de Diabaly et de Nampala (centre), quatre militaires maliens ont trouvé la mort quand leurs véhicules ont sauté sur des mines », a déclaré à l’AFP un gradé de haut rang de l’armée malienne.
L’information a été confirmée par un officier de l’armée malienne en poste à Ségou, une des principales villes de la région, précisant que l’attaque s’était produite « dans le village de N’Goma Coura ».
« Deux véhicules de l’armée ont été calcinés après l’explosion de trois mines », selon cette source, qui fait également état de plusieurs soldats blessés et de l’envoi de renforts de l’armée sur les lieux.
Deux soldats maliens avaient été tués et deux grièvement blessés le 5 octobre près de Tombouctou, dans le nord-ouest du pays, par l’explosion d’une mine au passage de leur véhicule, selon des sources militaires.
Le nord du Mali était tombé en mars-avril 2012 sous la coupe de groupes jihadistes liés à Al-Qaïda, à la faveur de la déroute de l’armée face à la rébellion à dominante touareg, d’abord alliée à ces groupes qui l’ont ensuite évincée.
Ces groupes en ont été en grande partie chassés à la suite du lancement en 2013, à l’initiative de la France, d’une intervention militaire internationale, qui se poursuit actuellement.
Mais des zones entières échappent encore au contrôle des forces maliennes et étrangères, malgré la signature en mai-juin 2015 d’un accord de paix censé isoler définitivement les jihadistes, dont l’application accumule les retards.
Longtemps concentrées dans le Nord, les attaques jihadistes se sont étendues à partir de 2015 vers le centre, puis le sud du pays.
Meghalt 90 éves korában Dario Fo Nobel-díjas olasz drámaíró, rendező, színész – jelentette be csütörtökön az olasz kormány.
Vingt-et-une lycéennes de Chibok, enlevées par Boko Haram il y a plus de deux ans, ont été libérées par leurs ravisseurs jeudi après des négociations entre le gouvernement et le groupe jihadiste nigérian facilitées par la Suisse et le Comité international de la Croix-Rouge.
Qualifiant cette libération « d’importante », les autorités espèrent que cette nouvelle étape aidera à retrouver les 197 autres jeunes filles toujours entre les mains de Boko Haram depuis avril 2014.
« Ce n’est qu’une première étape, et nous pensons que cela nous conduira à libération de toutes les filles », a déclaré le ministre de l’Information, Lai Mohammed à Abuja.
« Cela ne veut pas dire que nous mettons fin aux opérations militaires, mais cela pourrait être une autre manière de conduire les contre-offensive dans cette guerre contre la terreur », a-t-il ajouté, alors que l’armée nigériane n’a toujours fait aucune déclaration publique.
La présidence a affirmé dans un communiqué que cette libération avait eu lieu après des négociations entre Boko Haram et le gouvernement nigérian, facilitées par le Comité International de la Croix-Rouge (CICR) et le gouvernement suisse.
« A la demande du gouvernement nigérian, la Suisse a facilité les contacts entre les autorités et les intermédiaires de Boko Haram (…).
La Suisse s’y est engagée sur des bases humanitaires », a déclaré Pierre-Alain Eltschinger, porte-parole du département fédéral suisse des Affaires étrangères.
Les lycéennes ont été échangées contre quatre combattants de Boko Haram dans la ville de Banki, à la frontière du Cameroun, selon des sources locales.
« Les filles ont été amenées à Kumshe, à 15 km de Banki (…), vers 3 heures du matin. Les quatre combattants de Boko Haram sont arrivés à Banki depuis Maiduguri dans un hélicoptère de l’armée et ont été conduits à Kumshe dans des véhicules du CICR », a rapporté une source proche du dossier à l’AFP.
La présidence avait révélé le mois dernier que de précédentes négociations avec Boko Haram avaient échoué, notamment à cause des récentes divisions à la tête du groupe islamiste ou parce que le gouvernement était réticent à accéder aux demandes du groupe.
Le ministre de l’Information a été catégorique: « Ce n’était pas un échange ».
– Signe encourageant –
Parmi les 276 lycéennes enlevées par Boko Haram le 14 avril 2014, 57 avaient réussi à s’échapper juste après le rapt, et l’une d’entre elles a été retrouvée par l’armée au mois de mai, avec son mari, un combattant, et leur enfant âgé de 4 mois.
Relayé par les médias du monde entier, ce kidnapping de masse a provoqué une vague d’indignation massive, notamment sur Twitter sous le hashtag #Brinbackourgirls (« Ramenez-nous nos filles »), relayé jusqu’à la Maison Blanche par la première dame, Michelle Obama.
Le retour des « filles de Chibok » avait été l’un des points forts de la campagne du candidat Muhammadu Buhari, finalement élu en mai 2015. Le président a depuis lors essuyé les critiques pour n’avoir pas réussi à les retrouver.
Il s’est dit heureux de la libération de 21 lycéennes, jeudi, avant de s’envoler vers l’Allemagne, notamment pour demander un soutien financier et logistique, alors que le Nord-Est est totalement détruit par la guerre et que la situation humanitaire est catastrophique.
Les lycéennes libérées sont attendues à Abuja, où elles recevront un suivi médical et psychologique, mais où leur identité devra être confirmée par leur famille avant d’être dévoilée à la presse.
Même si cette annonce est un signe encourageant, les experts soulignent que Boko Haram est toujours une force relativement importante et divisée en plusieurs factions ennemies qui se déchirent pour le contrôle de la région.
Mercredi, une bombe a fait huit morts dans une gare routière de la capitale du Borno, Maiduguri.
« C’est effectivement une avancée positive, mais je pense que nous devons rester réalistes », explique à l’AFP Omar Mahmood, chercheur pour l’Institute for Security Studies.
« Ils sont toujours en mesure de conduire des attaques, nous l’avons vu à Maiduguri », hier (mercredi).
L’insurrection de Boko Haram a fait plus de 20.000 morts et 2,6 millions de déplacés depuis 2009.
A rövid, súlyos betegség után 76 éves korában elhunyt Gerold László nyugalmazott egyetemi tanár, irodalom- és színháztörténész, kritikus temetése hétfőn 13.30 órakor lesz az újvidéki városi temetőben.
Aggodalomra adnak okot a magyar média területén nemcsak az elmúlt hetekben, hanem az elmúlt években történtek - jelentette ki Mesterházy Attila, az Országgyűlés költségvetési bizottságának szocialista elnöke az Európa Tanács (ET) Parlamenti Közgyűlése csütörtöki strasbourgi ülésének szünetében, az MTI-nek telefonon nyilatkozva.