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L’une des solutions pour contrer des drones FPV [First Person View – pilotage en immersion] dotés d’une charge explosive repose sur des moyens de guerre électronique, l’idée étant de brouiller leur réception des signaux de géolocalisation par satellite [GPS] et/ou de couper la liaison avec leurs opérateurs. Seulement, cette parade ne fonctionne pas à tous...

Cet article L’Ukraine a mis au point une munition de 5,56 mm pour neutraliser les drones FPV avec un fusil d’assaut est apparu en premier sur Zone Militaire.

Quelques heures seulement après sa révocation, l'ancien ministre russe des Transports, Roman Starovoit, a été retrouvé mort dans sa voiture le lundi 7 juillet 2025. Les enquêteurs privilégient la thèse du suicide.

Selon nos confrères du média russe TASS, Roman Starovoit, récemment limogé de son poste de ministre des Transports, a été retrouvé mort dans son véhicule personnel à Odintsovo, près de Moscou. « L'ancien ministre des transports de Russie Roman Starovoit s'est suicidé dans sa voiture personnelle à Odintsovo, dans la région de Moscou », a déclaré la porte-parole officielle du comité d'enquête russe Svetlana Petrenko.

Elle a indiqué que les premiers éléments de l'enquête pointent vers un suicide, bien que les circonstances exactes fassent encore l'objet d'investigations approfondies. Roman Starovoit avait été démis de ses fonctions dans la matinée du jour de sa mort par un décret présidentiel, après un an à la tête du ministère.

Lefaso.net
Source : TASS

Quelques heures seulement après sa révocation, l'ancien ministre russe des Transports, Roman Starovoit, a été retrouvé mort dans sa voiture le lundi 7 juillet 2025. Les enquêteurs privilégient la thèse du suicide.

Selon nos confrères du média russe TASS, Roman Starovoit, récemment limogé de son poste de ministre des Transports, a été retrouvé mort dans son véhicule personnel à Odintsovo, près de Moscou. « L'ancien ministre des transports de Russie Roman Starovoit s'est suicidé dans sa voiture personnelle à Odintsovo, dans la région de Moscou », a déclaré la porte-parole officielle du comité d'enquête russe Svetlana Petrenko.

Elle a indiqué que les premiers éléments de l'enquête pointent vers un suicide, bien que les circonstances exactes fassent encore l'objet d'investigations approfondies. Roman Starovoit avait été démis de ses fonctions dans la matinée du jour de sa mort par un décret présidentiel, après un an à la tête du ministère.

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Source : TASS

Étudiante en master de management qualité, sécurité et environnement, Leslie Yanogo est bien plus qu'une universitaire. Derrière cette casquette se cache une entrepreneure qui a choisi de transformer ses frustrations en opportunités. À travers sa marque capillaire « Mefy », 100 % made in Burkina, elle veut changer les habitudes capillaires et valoriser les ressources locales.

Étudiante en master de management qualité, sécurité et environnement, Leslie Yanogo est bien plus qu'une universitaire. Derrière cette casquette se cache une entrepreneure qui a choisi de transformer ses frustrations en opportunités. À travers sa marque capillaire « Mefy », 100 % made in Burkina, elle veut changer les habitudes capillaires et valoriser les ressources locales.

Pour produire l’avion de combat EF2000/Typhoon, le consortium Eurofighter, constitué par BAE Systems, Airbus et Leonardo, dispose de quatre chaînes d’assemblage final implantée à Warton [Royaume-Uni], à Manching [Allemagne], à Getafe [Espagne] et à Caselle [Italie]. Si, en décembre dernier, le Qatar a fait connaître son intention d’acquérir douze appareils de plus, en complément d’un...

Cet article La production d’avions Eurofighter Typhoon est à l’arrêt au Royaume-Uni est apparu en premier sur Zone Militaire.

Le Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo a reçu l'ambassadeur de l'Union européenne au Burkina Faso, Daniel Aristi Gaztelumendi, en fin de mandat après une collaboration diplomatique riche en partenariats et en réalisations. C'est la Primature qui l'a annoncé ce mardi 8 juillet 2025.

Pendant deux années à la tête de la délégation européenne, le diplomate s'est investi dans le renforcement de la coopération bilatérale, matérialisée par la signature de conventions de financement de plusieurs millions d'euros en faveur du développement national, ainsi que des projets régionaux.

L'ambassadeur a exprimé sa fierté pour les résultats obtenus et son admiration pour la résilience du peuple burkinabè.

En retour, le chef du Gouvernement a salué son engagement et réaffirmé l'ouverture du Burkina Faso à un partenariat fondé sur le respect de la souveraineté nationale.

Lefaso.net
Source : Primature du Burkina

Le Premier ministre Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo a reçu l'ambassadeur de l'Union européenne au Burkina Faso, Daniel Aristi Gaztelumendi, en fin de mandat après une collaboration diplomatique riche en partenariats et en réalisations. C'est la Primature qui l'a annoncé ce mardi 8 juillet 2025.

Pendant deux années à la tête de la délégation européenne, le diplomate s'est investi dans le renforcement de la coopération bilatérale, matérialisée par la signature de conventions de financement de plusieurs millions d'euros en faveur du développement national, ainsi que des projets régionaux.

L'ambassadeur a exprimé sa fierté pour les résultats obtenus et son admiration pour la résilience du peuple burkinabè.

En retour, le chef du Gouvernement a salué son engagement et réaffirmé l'ouverture du Burkina Faso à un partenariat fondé sur le respect de la souveraineté nationale.

Lefaso.net
Source : Primature du Burkina

Le mini-sommet entre le Président américain, Donald Trump et cinq Chefs d’Etats africains, verra en effet la participation des présidents sénégalais, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, de la Mauritanie, Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, de la Guinée- Bissau, Umaro Sissoco Embalo, du Libéria Joseph Boakai et du Gabon, Brice Clotaire Oligui Nguema.

The ship is the first Zumwalt class to visit Yokosuka since USS Zumwalt’s 2022 visit, which was the first ever port call for the class in the Western Pacific region. USS Michael Monsoor (DDG 1001), the second ship in the distinctive Zumwalt class of stealthy guided missile destroyers, arrived at Fleet Activities Yokosuka on Jul. […]

The post Zumwalt Class Stealth Destroyer USS Michael Monsoor Arrives in Japan appeared first on The Aviationist.

The war in Sudan, which broke out on 15 April 2023 between the Sudanese Armed Forces (SAF) and the paramilitary Rapid Support Forces (RSF), has triggered the largest humanitarian crisis in the world. Civilians are being directly attacked by the warring parties. The violent actors are destroying civilian infrastructure and blocking humanitarian aid as part of their war strategy. Some are also targeting members of specific identity groups, including on an ethnic basis. At the same time, the parties to the conflict claim to be protecting the civilian population. International efforts to pro­tect the civilian population or particularly vulnerable groups have so far been largely unsuccessful. Calls for military intervention have little chance of success in the current global situation. In fact, the committed efforts of Sudanese citizens to protect themselves and others around them deserve more attention and support. Pro­tection efforts can help alleviate the suffering of the civilian population, even if an end to the war remains out of reach.

Après six mois de formation pratique et théorique en développement des compétences numériques, 66 étudiants issus de l'université Norbert Zongo de Koudougou ont reçu leurs certificats de fin de formation. La cérémonie de remise marquant la fin de ce programme de formation initié par Marcelline Bengaly (professeure titulaire à l'université Laval, au Canada) a permis aux étudiants de présenter les acquis de cette formation lors d'une cérémonie de clôture tenue le samedi 5 juillet 2025 à Koudougou. Ce fut l'occasion d'apprécier le caractère exceptionnel des compétences acquises par ces étudiants en si peu de temps, sachant que la plupart n'avait jamais touché à un ordinateur. Trois d'entre eux se sont démarqués par l'excellence de leurs présentations, qui ont été récompensées par une tablette chacune.

L'initiation au monde du numérique, les usages potentiels du numérique et les enjeux et défis sécuritaires dans l'espace numérique sont les différents modules dans lesquels les apprenants ont été formés en phase théorique et pratique durant six mois (janvier à juin).

Ce samedi 5 juillet marquant la fin de leur formation, chacun des 66 étudiants a été soumis à un exercice très formateur de démonstration synthétique en 10 minutes de ses acquis et de la façon dont il est capable de les transférer dans ses études et sa vie quotidienne. Cette présentation (PPT) a été effectuée devant des membres de jurys (4 au total) composés des membres de l'équipe de recherche, d'un représentant du ministère de la Transition digitale, de Orange Digital, de la DSI de l'UNZ.

Pre Marcelline Bengaly a salué l'engagement des membres du jury

Stanislas Nongkouni, le premier à se jeter à l'eau dans le jury n°2, a pu convaincre les trois membres du jury par la pertinence de son projet et la qualité de sa présentation. Cet étudiant en deuxième année de maintenance industrielle a présenté un outil permettant aux éleveurs de gérer automatiquement leur chaîne de production sous le thème “Aviculture 4.0 : automatisation du suivi nutritionnel et financier sous Excel. Il est sorti premier de son jury. Ce qui lui a permis d'être parmi les trois meilleurs sélectionnés.

Fatimata Lankouandé, étudiante en deuxième année de Sciences, économie et gestion (SEG), a bénéficié aussi d'une tablette. L'étudiante a présenté un outil de lutte contre la désinformation devant le jury nᵒ 1. Cet outil, dit-elle, permet aux journalistes de lutter efficacement contre la désinformation. Invid, c'est le nom de cet outil présenté au jury. Après avoir reçu cette récompense, elle a traduit sa reconnaissance à ses formateurs et à la Pre Marcelline Bengaly, l'initiatrice du programme. « Merci à elle et à toute son équipe. Que le Tout-Puissant les accompagne », a-t-elle laissé entendre.

Le jury 2 composé de Dr Cyriaque Paré, Pr Issa Abdoul Moumoula et Idrissa Sawadogo

Objectif « largement » atteint

La professeure Marcelline Bengaly, initiatrice de ce programme, avoue être très heureuse des apprenants. « L'idée était d'amener les étudiants à développer leurs compétences numériques à l'ère de la transformation digitale, qui est quelque chose de très essentiel. J'ai trouvé l'ensemble des travaux exceptionnel par rapport à l'objectif qu'on visait. L'objectif a été largement atteint de voir les étudiants évoluer ainsi. C'est très encourageant et cela me donne envie de chercher des ressources pour continuer », a-t-elle confié.

Les étudiants ont remis un présent au Pre Bengaly en guise de reconnaissance

Au regard de l'engouement et de l'intérêt constatés autour de cette formation, elle a profité de l'occasion pour lancer un appel au ministère en charge de la transition digitale. Elle invite le ministère à tirer profit de cette belle ressource compétente disponible qui n'attend que des opportunités pour se déployer. Avant de dire au revoir aux étudiants autour d'un déjeuner, elle a affirmé que c'était la fin du programme, mais qu'elle irait à la recherche de financements afin d'envisager d'autres perspectives d'accompagnement.

Le représentant du ministère de la Transition digitale répondant à l'appel lancé par la Pre Bengaly a pris l'engagement de transmettre fidèlement les doléances aux premières autorités de son département. À côté de lui, un représentant de Orange Digital, a lui aussi salué la performance des étudiants. Il a annoncé qu'Orange offrait des possibilités de formation gratuite à ces étudiants. Des initiatives de projets seront aussi accompagnées, a-t-il déclaré.

Stanislas Nongkouni (en bleu) recevant sa tablette

Pr Issa Abdoul Moumoula, président sortant de l'UNZ, qui n'a ménagé aucun effort pour faciliter la mise en œuvre du projet (sur le plan administratif comme de l'infrastructure), s'est dit très satisfait. « J'ai vu des étudiants dotés de compétences numériques et c'est encourageant en termes d'indicateur d'un bon apprentissage », a-t-il confié, ajoutant que d'autres projets de ce genre sont en gestation.

Dans son allocution, il a salué la vision et le sens patriotique de la Pre Marcelline Bengaly, cette Burkinabè qui enseigne dans les universités canadiennes, à mille lieux de sa mère patrie. « Elle aurait pu choisir une autre université et même un autre pays pour ce projet. Mais elle a décidé de choisir son pays et en plus l'université Norbert Zongo pour ce projet. C'est à saluer. », a -t-il déclaré, provoquant un tonnerre d'applaudissements. Pour lui, l'université Norbert Zongo de Koudougou est en retard par rapport aux autres universités en termes d'innovation numérique. « Nous faisons moins de cours en ligne. Je pense qu'elle a bien fait de choisir chez nous », a-t-il conclu.

Après avoir reçu son cadeau de récompense, Fatimata Lankouandé a traduit sa reconnaissance aux initiateurs du projet

En tant que formateur en développement des compétences numériques, Roméo Sawadogo a passé tous les six mois avec les étudiants. Témoin privilégié de l'évolution des apprenants, il se dit fier d'avoir contribué à la réalisation des différentes prouesses. Comme lui, les résultats obtenus sont le fruit de la compétence et d'un engagement exceptionnel des quatre formateurs (Kadidia Parkouda, Idrissa Sawadogo, Nicolas Yoda).

Serge Ika Ki
Lefaso.net

Après six mois de formation pratique et théorique en développement des compétences numériques, 66 étudiants issus de l'université Norbert Zongo de Koudougou ont reçu leurs certificats de fin de formation. La cérémonie de remise marquant la fin de ce programme de formation initié par Marcelline Bengaly (professeure titulaire à l'université Laval, au Canada) a permis aux étudiants de présenter les acquis de cette formation lors d'une cérémonie de clôture tenue le samedi 5 juillet 2025 à Koudougou. Ce fut l'occasion d'apprécier le caractère exceptionnel des compétences acquises par ces étudiants en si peu de temps, sachant que la plupart n'avait jamais touché à un ordinateur. Trois d'entre eux se sont démarqués par l'excellence de leurs présentations, qui ont été récompensées par une tablette chacune.

L'initiation au monde du numérique, les usages potentiels du numérique et les enjeux et défis sécuritaires dans l'espace numérique sont les différents modules dans lesquels les apprenants ont été formés en phase théorique et pratique durant six mois (janvier à juin).

Ce samedi 5 juillet marquant la fin de leur formation, chacun des 66 étudiants a été soumis à un exercice très formateur de démonstration synthétique en 10 minutes de ses acquis et de la façon dont il est capable de les transférer dans ses études et sa vie quotidienne. Cette présentation (PPT) a été effectuée devant des membres de jurys (4 au total) composés des membres de l'équipe de recherche, d'un représentant du ministère de la Transition digitale, de Orange Digital, de la DSI de l'UNZ.

Pre Marcelline Bengaly a salué l'engagement des membres du jury

Stanislas Nongkouni, le premier à se jeter à l'eau dans le jury n°2, a pu convaincre les trois membres du jury par la pertinence de son projet et la qualité de sa présentation. Cet étudiant en deuxième année de maintenance industrielle a présenté un outil permettant aux éleveurs de gérer automatiquement leur chaîne de production sous le thème “Aviculture 4.0 : automatisation du suivi nutritionnel et financier sous Excel. Il est sorti premier de son jury. Ce qui lui a permis d'être parmi les trois meilleurs sélectionnés.

Fatimata Lankouandé, étudiante en deuxième année de Sciences, économie et gestion (SEG), a bénéficié aussi d'une tablette. L'étudiante a présenté un outil de lutte contre la désinformation devant le jury nᵒ 1. Cet outil, dit-elle, permet aux journalistes de lutter efficacement contre la désinformation. Invid, c'est le nom de cet outil présenté au jury. Après avoir reçu cette récompense, elle a traduit sa reconnaissance à ses formateurs et à la Pre Marcelline Bengaly, l'initiatrice du programme. « Merci à elle et à toute son équipe. Que le Tout-Puissant les accompagne », a-t-elle laissé entendre.

Le jury 2 composé de Dr Cyriaque Paré, Pr Issa Abdoul Moumoula et Idrissa Sawadogo

Objectif « largement » atteint

La professeure Marcelline Bengaly, initiatrice de ce programme, avoue être très heureuse des apprenants. « L'idée était d'amener les étudiants à développer leurs compétences numériques à l'ère de la transformation digitale, qui est quelque chose de très essentiel. J'ai trouvé l'ensemble des travaux exceptionnel par rapport à l'objectif qu'on visait. L'objectif a été largement atteint de voir les étudiants évoluer ainsi. C'est très encourageant et cela me donne envie de chercher des ressources pour continuer », a-t-elle confié.

Les étudiants ont remis un présent au Pre Bengaly en guise de reconnaissance

Au regard de l'engouement et de l'intérêt constatés autour de cette formation, elle a profité de l'occasion pour lancer un appel au ministère en charge de la transition digitale. Elle invite le ministère à tirer profit de cette belle ressource compétente disponible qui n'attend que des opportunités pour se déployer. Avant de dire au revoir aux étudiants autour d'un déjeuner, elle a affirmé que c'était la fin du programme, mais qu'elle irait à la recherche de financements afin d'envisager d'autres perspectives d'accompagnement.

Le représentant du ministère de la Transition digitale répondant à l'appel lancé par la Pre Bengaly a pris l'engagement de transmettre fidèlement les doléances aux premières autorités de son département. À côté de lui, un représentant de Orange Digital, a lui aussi salué la performance des étudiants. Il a annoncé qu'Orange offrait des possibilités de formation gratuite à ces étudiants. Des initiatives de projets seront aussi accompagnées, a-t-il déclaré.

Stanislas Nongkouni (en bleu) recevant sa tablette

Pr Issa Abdoul Moumoula, président sortant de l'UNZ, qui n'a ménagé aucun effort pour faciliter la mise en œuvre du projet (sur le plan administratif comme de l'infrastructure), s'est dit très satisfait. « J'ai vu des étudiants dotés de compétences numériques et c'est encourageant en termes d'indicateur d'un bon apprentissage », a-t-il confié, ajoutant que d'autres projets de ce genre sont en gestation.

Dans son allocution, il a salué la vision et le sens patriotique de la Pre Marcelline Bengaly, cette Burkinabè qui enseigne dans les universités canadiennes, à mille lieux de sa mère patrie. « Elle aurait pu choisir une autre université et même un autre pays pour ce projet. Mais elle a décidé de choisir son pays et en plus l'université Norbert Zongo pour ce projet. C'est à saluer. », a -t-il déclaré, provoquant un tonnerre d'applaudissements. Pour lui, l'université Norbert Zongo de Koudougou est en retard par rapport aux autres universités en termes d'innovation numérique. « Nous faisons moins de cours en ligne. Je pense qu'elle a bien fait de choisir chez nous », a-t-il conclu.

Après avoir reçu son cadeau de récompense, Fatimata Lankouandé a traduit sa reconnaissance aux initiateurs du projet

En tant que formateur en développement des compétences numériques, Roméo Sawadogo a passé tous les six mois avec les étudiants. Témoin privilégié de l'évolution des apprenants, il se dit fier d'avoir contribué à la réalisation des différentes prouesses. Comme lui, les résultats obtenus sont le fruit de la compétence et d'un engagement exceptionnel des quatre formateurs (Kadidia Parkouda, Idrissa Sawadogo, Nicolas Yoda).

Serge Ika Ki
Lefaso.net

Comme chaque mois, la cérémonie de montée des couleurs tournantes a réuni les autorités administratives, les corps constitués et les forces de défense et de sécurité à travers la province du Nayala le lundi 7 juillet 2025. Ce mois-ci, c'est la Brigade territoriale de la gendarmerie de Toma qui a eu l'honneur d'accueillir ce rituel symbolique, marqué par des discours d'engagement, de reconnaissance et d'appel à la cohésion nationale.

Sous un ciel paisible, les autorités se sont mobilisées pour ce rendez-vous mensuel hautement symbolique. Le haut-commissaire de la province du Nayala, Honoré Frédéric Paré, a salué la forte mobilisation des différents corps constitués et a exprimé sa gratitude envers les hommes et femmes engagés pour la sécurité du territoire.

« Je prends la parole tout d'abord pour saluer la mobilisation, en tout cas légendaire, des corps constitués à cette cérémonie », a-t-il lancé d'entrée, avant d'adresser ses remerciements à la brigade hôte pour son accueil et ses efforts quotidiens en matière de police et de défense. Il a rappelé avec insistance que les gendarmes, en plus de leur mission de police judiciaire, assuraient une défense constante de la patrie, souvent dans des conditions exigeantes.

Le haut-commissaire a saisi l'occasion pour annoncer le redéploiement des gendarmes de Toma dans les semaines à venir, conformément à une réorganisation nationale des forces : « La police rejoint la ville et la gendarmerie va dans les communes rurales. Ce qui a été également programmé pour le Nayala. »

Le haut-commissaire de la province du Nayala, Honoré Frédéric Paré, a salué la forte mobilisation des différents corps constitués

L'occasion a ainsi été saisie pour adresser un hommage appuyé aux commandants successifs, aux hommes et femmes en uniforme, et aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), pour leur rôle déterminant dans la sécurisation de la province.

M. Paré a aussi salué les efforts des acteurs du système éducatif provincial. « Grâce à vos efforts conjoints, y compris ceux des FDS, le Nayala est classé troisième au niveau régional à l'examen du CEP. » Un motif de fierté partagé par tous, malgré quelques résultats « mitigés » au BEPC, mais avec une lueur d'espoir au bac, où la province enregistre déjà un taux de réussite de 49,1 %, plaçant le Nayala en tête de la région.

Pour clore son allocution, le haut-commissaire a réitéré son appel à la mobilisation collective pour la reconquête totale du territoire. « Nous leur demandons encore de nous accompagner pour qu'on puisse libérer tout le Nayala et que le dernier village puisse regagner d'ici la fin de l'année 2025 », a-t-il conclu.

L'adjudant-chef Madi Sawadogo, commandant de la brigade de gendarmerie de Toma, a exprimé sa fierté de recevoir cette cérémonie

Prenant la parole à son tour, le commandant de la brigade de gendarmerie de Toma a exprimé sa fierté de recevoir cette cérémonie : « C'est un insigne honneur et un réel plaisir pour moi de vous souhaiter la bienvenue dans notre caserne », a-t-il affirmé. Citant Napoléon Iᵉʳ qui disait que « la première des vertus est le dévouement à la patrie », il a réaffirmé l'engagement de ses hommes envers le Faso et remercié les autorités pour la confiance accordée.

Y. I. K-Z
Lefaso.net

Comme chaque mois, la cérémonie de montée des couleurs tournantes a réuni les autorités administratives, les corps constitués et les forces de défense et de sécurité à travers la province du Nayala le lundi 7 juillet 2025. Ce mois-ci, c'est la Brigade territoriale de la gendarmerie de Toma qui a eu l'honneur d'accueillir ce rituel symbolique, marqué par des discours d'engagement, de reconnaissance et d'appel à la cohésion nationale.

Sous un ciel paisible, les autorités se sont mobilisées pour ce rendez-vous mensuel hautement symbolique. Le haut-commissaire de la province du Nayala, Honoré Frédéric Paré, a salué la forte mobilisation des différents corps constitués et a exprimé sa gratitude envers les hommes et femmes engagés pour la sécurité du territoire.

« Je prends la parole tout d'abord pour saluer la mobilisation, en tout cas légendaire, des corps constitués à cette cérémonie », a-t-il lancé d'entrée, avant d'adresser ses remerciements à la brigade hôte pour son accueil et ses efforts quotidiens en matière de police et de défense. Il a rappelé avec insistance que les gendarmes, en plus de leur mission de police judiciaire, assuraient une défense constante de la patrie, souvent dans des conditions exigeantes.

Le haut-commissaire a saisi l'occasion pour annoncer le redéploiement des gendarmes de Toma dans les semaines à venir, conformément à une réorganisation nationale des forces : « La police rejoint la ville et la gendarmerie va dans les communes rurales. Ce qui a été également programmé pour le Nayala. »

Le haut-commissaire de la province du Nayala, Honoré Frédéric Paré, a salué la forte mobilisation des différents corps constitués

L'occasion a ainsi été saisie pour adresser un hommage appuyé aux commandants successifs, aux hommes et femmes en uniforme, et aux Volontaires pour la défense de la patrie (VDP), pour leur rôle déterminant dans la sécurisation de la province.

M. Paré a aussi salué les efforts des acteurs du système éducatif provincial. « Grâce à vos efforts conjoints, y compris ceux des FDS, le Nayala est classé troisième au niveau régional à l'examen du CEP. » Un motif de fierté partagé par tous, malgré quelques résultats « mitigés » au BEPC, mais avec une lueur d'espoir au bac, où la province enregistre déjà un taux de réussite de 49,1 %, plaçant le Nayala en tête de la région.

Pour clore son allocution, le haut-commissaire a réitéré son appel à la mobilisation collective pour la reconquête totale du territoire. « Nous leur demandons encore de nous accompagner pour qu'on puisse libérer tout le Nayala et que le dernier village puisse regagner d'ici la fin de l'année 2025 », a-t-il conclu.

L'adjudant-chef Madi Sawadogo, commandant de la brigade de gendarmerie de Toma, a exprimé sa fierté de recevoir cette cérémonie

Prenant la parole à son tour, le commandant de la brigade de gendarmerie de Toma a exprimé sa fierté de recevoir cette cérémonie : « C'est un insigne honneur et un réel plaisir pour moi de vous souhaiter la bienvenue dans notre caserne », a-t-il affirmé. Citant Napoléon Iᵉʳ qui disait que « la première des vertus est le dévouement à la patrie », il a réaffirmé l'engagement de ses hommes envers le Faso et remercié les autorités pour la confiance accordée.

Y. I. K-Z
Lefaso.net

Selon les analystes, le groupe terroriste djihadiste Jama'at Nusrat al-Islam wal Muslimeen étend sa portée à travers le Sahel.

Une réunion de plus… ou un véritable outil de transformation ? Dans bien des entreprises, la revue de processus est encore perçue comme une simple formalité, un exercice imposé dans le cadre d'une démarche qualité.

Pourtant, lorsqu'elle est menée avec rigueur, intelligence et intention, elle devient bien plus qu'un rituel administratif :

Elle se transforme en un levier stratégique de pilotage, d'alignement et d'amélioration continue.
Elle éclaire les décisions, renforce la Culture Qualité et alimente la dynamique de transformation organisationnelle.

La revue de processus est-elle un simple rituel administratif ou un outil stratégique pour piloter la performance ?

C'est une question que se posent de plus en plus d'organisations burkinabè engagées dans l'Amélioration Continue.

Qu'est-ce qu'une revue de processus ?

Il s'agit d'une réunion structurée qui permet de faire le point sur le fonctionnement d'un Processus donné : ses résultats, ses difficultés, ses opportunités d'amélioration.

Elle n'est pas obligatoire selon la norme ISO 9001, mais elle constitue une excellente pratique de gouvernance.

Pourquoi la revue des processus est-elle stratégique ?

Parce qu'elle ne se limite pas à un simple exercice de conformité : elle est un levier puissant de pilotage et de transformation. Elle permet de :

 Mobiliser les pilotes de processus et leurs équipes autour d'une vision partagée,
 Identifier les dysfonctionnements et engager des actions correctives ciblées,
 Renforcer la cohésion interservices en favorisant le dialogue et la transversalité,
 Alimenter la revue de direction avec des données concrètes, utiles à la décision,
 Évaluer la maturité du processus et sa capacité à progresser dans le temps.

La revue des processus, bien menée, devient un moment d'intelligence collective un rendez-vous stratégique pour faire grandir le système.

Ce que la revue des processus permet vraiment d'évaluer

Lorsqu'elle est bien conduite, la revue d'un processus ne se contente pas de cocher des cases : elle offre une lecture stratégique de la performance. Elle permet d'analyser :
 Les indicateurs de performance et leur pertinence,
 Les non-conformités, réclamations et signaux faibles,
 La satisfaction des clients internes comme externes,
 L'efficacité du système de Management de la Qualité dans son ensemble,
 Et surtout, l'aptitude du processus à évoluer et à s'améliorer durablement.

La revue des processus n'est pas là pour éteindre les feux du quotidien. Elle sert à prendre de la hauteur, à éclairer les décisions et à piloter avec lucidité.

Le rôle clé du pilote de processus

Le pilote de processus est bien plus qu'un gestionnaire de procédures :

Il est le garant de la performance globale du processus dont il a la responsabilité.

À ce titre, il doit :
 Identifier les risques et les opportunités liés au fonctionnement du processus,
 Mettre en œuvre des actions pertinentes pour maîtriser les écarts et activer les leviers d'amélioration,
 Évaluer l'efficacité des actions engagées, dans une dynamique d'amélioration continue.
Ce rôle dépasse largement la sphère technique ou administrative.

Il exige une posture de leadership, une capacité à mobiliser les acteurs, à prendre du recul et à impulser le changement.

Le pilote n'est pas un simple exécutant : c'est un acteur stratégique du système de management.

Un rôle parfois vidé de sa substance

Dans certaines organisations, ce rôle est confié à des personnes sans réel pouvoir décisionnel.
Dans ce cas, deux conditions sont essentielles pour lui permettre d'assumer pleinement sa mission :
 Formaliser son autorité par une note de service claire, précisant ses responsabilités et son périmètre d'action,
 Lui transmettre une véritable Culture Qualité, à travers un programme de sensibilisation et de formation adapté.

Un pilote sans légitimité ni vision Qualité ne peut pas porter un processus vers la performance. Il faut lui donner les moyens d'agir… et de faire grandir.

Que contient une revue de processus ?

Une revue de processus bien structurée repose sur une analyse complète, factuelle et orientée vers l'action.

Elle comprend généralement :

 Le bilan des performances

Analyse des indicateurs clés pour évaluer l'efficacité et l'efficience du processus.

 L'analyse des dysfonctionnements

Identification des non-conformités, incidents et réclamations.

 Le suivi des actions correctives et préventives

État d'avancement, évaluation de l'efficacité et ajustements éventuels.

 L'évaluation de la satisfaction client

Retour des clients internes et externes sur la qualité perçue.

 Les besoins en ressources

Ressources humaines, matérielles, financières ou informationnelles nécessaires au bon fonctionnement.

 Les opportunités d'amélioration

Propositions concrètes pour optimiser les pratiques et les résultats.

 Les propositions d'évolution des objectifs

Ajustement des cibles en fonction des résultats obtenus et des enjeux à venir.

Une revue de processus efficace ne se contente pas de constater.

Elle éclaire les décisions, mobilise les acteurs et alimente la dynamique d'amélioration continue.

Qui doit y participer à une revue de processus ?

Pour garantir une analyse pertinente et des décisions efficaces, la revue de processus doit réunir les acteurs clés suivants :

 Le pilote du processus : responsable de l'animation de la revue et garant de la performance du processus.

 Le responsable qualité : apporte son expertise méthodologique et veille à la cohérence avec le système de management.

 La direction ou son représentant : assure l'alignement stratégique et valide les décisions structurantes.

 Les contributeurs du processus : collaborateurs directement impliqués dans les activités du processus.

 Toute personne disposant d'une expertise utile ou ayant un impact sur le processus : fonctions support, partenaires internes, etc.

Une revue de processus réussie repose sur l'intelligence collective. Plus les parties prenantes sont impliquées, plus les décisions sont pertinentes et partagées.

Chaque participant a ensuite la responsabilité de relayer les conclusions auprès de ses équipes.

La qualité ne se décrète pas, elle se construit ensemble dans l'écoute, la clarté et l'engagement partagé.

Quels résultats peut-on attendre d'une revue de processus ?

Lorsqu'elle est bien conduite, une revue de processus produit des résultats concrets et utiles pour le pilotage de la performance. Elle permet notamment :

 Une évaluation claire de l'efficacité du processus : identification des points forts et des axes de progrès.

 Un plan d'actions correctives ou d'amélioration : structuré, priorisé et suivi dans le temps.

 Des propositions d'évolution des objectifs : ajustement des cibles en fonction des résultats et des enjeux.

 Une meilleure compréhension de la maturité du processus : niveau de maîtrise, réactivité, capacité d'adaptation.

 Un compte-rendu partagé et suivi : garant de la traçabilité, de l'engagement des acteurs et de la continuité des actions.

Une revue de processus efficace ne se limite pas à constater : elle éclaire, aligne et transforme.
À quelle fréquence organiser une revue de processus ?

La fréquence des revues doit être adaptée au contexte, mais suffisamment rapprochée pour rester connectée aux réalités du terrain :
 Idéalement : chaque mois, en cohérence avec le suivi régulier des indicateurs de performance.
 Acceptable : chaque trimestre, si les processus sont stables et bien maîtrisés et peu sujets à variation.
 À éviter : au-delà d'un trimestre, car l'analyse devient trop éloignée des enjeux opérationnels.

Une revue trop espacée revient à constater, trop tard, que la performance n'était pas au rendez-vous.

Or, plus on agit tôt, plus on limite les impacts. Identifier les écarts dès leur apparition permet de corriger rapidement, d'éviter l'accumulation de problèmes et de préserver la dynamique d'amélioration continue...

En conclusion : Pourquoi la revue de processus est-elle essentielle ?

Souvent reléguée au second plan parce qu'elle n'est pas explicitement exigée, la revue de processus devrait pourtant être au cœur du pilotage stratégique des organisations en particulier pour les entreprises burkinabè engagées dans une dynamique de performance durable.
Elle ne se limite pas à un exercice formel ou administratif.

Elle constitue un véritable levier de transformation, car elle :
 Structure le dialogue entre les acteurs du processus,
 Renforce la culture qualité au quotidien,
 Transforme les intentions en actions concrètes et mesurables.

‘'Ce qu'on ne mesure pas, ne se pilote pas. Ce qu'on ne revoit pas, ne s'améliore pas. ‘'

La revue de processus est un acte de lucidité managériale.

Elle donne du sens, aligne les énergies et fait progresser l'organisation pas à pas, mais durablement.

Dr Bougouma Edith Christiane ‘'Faire grandir les organisations par la Culture Qualité''
Pharm., PhD. En Santé Publique et Microbiologie
(Certifiée en Management de Qualité -Santé-Hygiène
Sécurité-Environnement et Management Stratégique)
BECqualityculture@gmail.com

Une réunion de plus… ou un véritable outil de transformation ? Dans bien des entreprises, la revue de processus est encore perçue comme une simple formalité, un exercice imposé dans le cadre d'une démarche qualité.

Pourtant, lorsqu'elle est menée avec rigueur, intelligence et intention, elle devient bien plus qu'un rituel administratif :

Elle se transforme en un levier stratégique de pilotage, d'alignement et d'amélioration continue.
Elle éclaire les décisions, renforce la Culture Qualité et alimente la dynamique de transformation organisationnelle.

La revue de processus est-elle un simple rituel administratif ou un outil stratégique pour piloter la performance ?

C'est une question que se posent de plus en plus d'organisations burkinabè engagées dans l'Amélioration Continue.

Qu'est-ce qu'une revue de processus ?

Il s'agit d'une réunion structurée qui permet de faire le point sur le fonctionnement d'un Processus donné : ses résultats, ses difficultés, ses opportunités d'amélioration.

Elle n'est pas obligatoire selon la norme ISO 9001, mais elle constitue une excellente pratique de gouvernance.

Pourquoi la revue des processus est-elle stratégique ?

Parce qu'elle ne se limite pas à un simple exercice de conformité : elle est un levier puissant de pilotage et de transformation. Elle permet de :

 Mobiliser les pilotes de processus et leurs équipes autour d'une vision partagée,
 Identifier les dysfonctionnements et engager des actions correctives ciblées,
 Renforcer la cohésion interservices en favorisant le dialogue et la transversalité,
 Alimenter la revue de direction avec des données concrètes, utiles à la décision,
 Évaluer la maturité du processus et sa capacité à progresser dans le temps.

La revue des processus, bien menée, devient un moment d'intelligence collective un rendez-vous stratégique pour faire grandir le système.

Ce que la revue des processus permet vraiment d'évaluer

Lorsqu'elle est bien conduite, la revue d'un processus ne se contente pas de cocher des cases : elle offre une lecture stratégique de la performance. Elle permet d'analyser :
 Les indicateurs de performance et leur pertinence,
 Les non-conformités, réclamations et signaux faibles,
 La satisfaction des clients internes comme externes,
 L'efficacité du système de Management de la Qualité dans son ensemble,
 Et surtout, l'aptitude du processus à évoluer et à s'améliorer durablement.

La revue des processus n'est pas là pour éteindre les feux du quotidien. Elle sert à prendre de la hauteur, à éclairer les décisions et à piloter avec lucidité.

Le rôle clé du pilote de processus

Le pilote de processus est bien plus qu'un gestionnaire de procédures :

Il est le garant de la performance globale du processus dont il a la responsabilité.

À ce titre, il doit :
 Identifier les risques et les opportunités liés au fonctionnement du processus,
 Mettre en œuvre des actions pertinentes pour maîtriser les écarts et activer les leviers d'amélioration,
 Évaluer l'efficacité des actions engagées, dans une dynamique d'amélioration continue.
Ce rôle dépasse largement la sphère technique ou administrative.

Il exige une posture de leadership, une capacité à mobiliser les acteurs, à prendre du recul et à impulser le changement.

Le pilote n'est pas un simple exécutant : c'est un acteur stratégique du système de management.

Un rôle parfois vidé de sa substance

Dans certaines organisations, ce rôle est confié à des personnes sans réel pouvoir décisionnel.
Dans ce cas, deux conditions sont essentielles pour lui permettre d'assumer pleinement sa mission :
 Formaliser son autorité par une note de service claire, précisant ses responsabilités et son périmètre d'action,
 Lui transmettre une véritable Culture Qualité, à travers un programme de sensibilisation et de formation adapté.

Un pilote sans légitimité ni vision Qualité ne peut pas porter un processus vers la performance. Il faut lui donner les moyens d'agir… et de faire grandir.

Que contient une revue de processus ?

Une revue de processus bien structurée repose sur une analyse complète, factuelle et orientée vers l'action.

Elle comprend généralement :

 Le bilan des performances

Analyse des indicateurs clés pour évaluer l'efficacité et l'efficience du processus.

 L'analyse des dysfonctionnements

Identification des non-conformités, incidents et réclamations.

 Le suivi des actions correctives et préventives

État d'avancement, évaluation de l'efficacité et ajustements éventuels.

 L'évaluation de la satisfaction client

Retour des clients internes et externes sur la qualité perçue.

 Les besoins en ressources

Ressources humaines, matérielles, financières ou informationnelles nécessaires au bon fonctionnement.

 Les opportunités d'amélioration

Propositions concrètes pour optimiser les pratiques et les résultats.

 Les propositions d'évolution des objectifs

Ajustement des cibles en fonction des résultats obtenus et des enjeux à venir.

Une revue de processus efficace ne se contente pas de constater.

Elle éclaire les décisions, mobilise les acteurs et alimente la dynamique d'amélioration continue.

Qui doit y participer à une revue de processus ?

Pour garantir une analyse pertinente et des décisions efficaces, la revue de processus doit réunir les acteurs clés suivants :

 Le pilote du processus : responsable de l'animation de la revue et garant de la performance du processus.

 Le responsable qualité : apporte son expertise méthodologique et veille à la cohérence avec le système de management.

 La direction ou son représentant : assure l'alignement stratégique et valide les décisions structurantes.

 Les contributeurs du processus : collaborateurs directement impliqués dans les activités du processus.

 Toute personne disposant d'une expertise utile ou ayant un impact sur le processus : fonctions support, partenaires internes, etc.

Une revue de processus réussie repose sur l'intelligence collective. Plus les parties prenantes sont impliquées, plus les décisions sont pertinentes et partagées.

Chaque participant a ensuite la responsabilité de relayer les conclusions auprès de ses équipes.

La qualité ne se décrète pas, elle se construit ensemble dans l'écoute, la clarté et l'engagement partagé.

Quels résultats peut-on attendre d'une revue de processus ?

Lorsqu'elle est bien conduite, une revue de processus produit des résultats concrets et utiles pour le pilotage de la performance. Elle permet notamment :

 Une évaluation claire de l'efficacité du processus : identification des points forts et des axes de progrès.

 Un plan d'actions correctives ou d'amélioration : structuré, priorisé et suivi dans le temps.

 Des propositions d'évolution des objectifs : ajustement des cibles en fonction des résultats et des enjeux.

 Une meilleure compréhension de la maturité du processus : niveau de maîtrise, réactivité, capacité d'adaptation.

 Un compte-rendu partagé et suivi : garant de la traçabilité, de l'engagement des acteurs et de la continuité des actions.

Une revue de processus efficace ne se limite pas à constater : elle éclaire, aligne et transforme.
À quelle fréquence organiser une revue de processus ?

La fréquence des revues doit être adaptée au contexte, mais suffisamment rapprochée pour rester connectée aux réalités du terrain :
 Idéalement : chaque mois, en cohérence avec le suivi régulier des indicateurs de performance.
 Acceptable : chaque trimestre, si les processus sont stables et bien maîtrisés et peu sujets à variation.
 À éviter : au-delà d'un trimestre, car l'analyse devient trop éloignée des enjeux opérationnels.

Une revue trop espacée revient à constater, trop tard, que la performance n'était pas au rendez-vous.

Or, plus on agit tôt, plus on limite les impacts. Identifier les écarts dès leur apparition permet de corriger rapidement, d'éviter l'accumulation de problèmes et de préserver la dynamique d'amélioration continue...

En conclusion : Pourquoi la revue de processus est-elle essentielle ?

Souvent reléguée au second plan parce qu'elle n'est pas explicitement exigée, la revue de processus devrait pourtant être au cœur du pilotage stratégique des organisations en particulier pour les entreprises burkinabè engagées dans une dynamique de performance durable.
Elle ne se limite pas à un exercice formel ou administratif.

Elle constitue un véritable levier de transformation, car elle :
 Structure le dialogue entre les acteurs du processus,
 Renforce la culture qualité au quotidien,
 Transforme les intentions en actions concrètes et mesurables.

‘'Ce qu'on ne mesure pas, ne se pilote pas. Ce qu'on ne revoit pas, ne s'améliore pas. ‘'

La revue de processus est un acte de lucidité managériale.

Elle donne du sens, aligne les énergies et fait progresser l'organisation pas à pas, mais durablement.

Dr Bougouma Edith Christiane ‘'Faire grandir les organisations par la Culture Qualité''
Pharm., PhD. En Santé Publique et Microbiologie
(Certifiée en Management de Qualité -Santé-Hygiène
Sécurité-Environnement et Management Stratégique)
BECqualityculture@gmail.com

Son Excellence Le OUIDI NAABA KIIBA et ses notables à Ouidi, Ouagadougou ;
La famille de feu Le Baloum Naaba Kiiba à Ouidi, Ouagadougou ;

Les grandes familles ILBOUDO et OUEDRAOGO à Ouidi, Ouagadougou ;
Les enfants : Alice, Gustave, Vincent, Roland, et René à Ouagadougou ;
Les petits fils et arrières petits fils ;

La belle famille : OUEDRAOGO à Kaya ;
Les familles alliées : SAWADOGO, TAPSOBA , GANEMTORE et SANOU à Yako, Tem Bokin, Yitouni, Zoungou Paspanga et à Bobo

Vous renouvellent leur gratitude pour vos nombreuses marques de compassion et de soutien multiformes que vous leur avez témoignés lors du rappel à Dieu le dimanche 29 Juin 2025 et des obsèques le mardi 1er juillet 2025 de leur frère, père, grand-père, arrière-grand-père, époux et beau :

ILBOUDO Sana Raphael,

Ils vous invitent à vous joindre à eux pour célébrer ses funérailles chrétiennes le dimanche 13 juillet 2025 à son domicile situé à Ouidi Ouagadougou.

Une messe sera dite le dimanche 13 juillet 2025 à 7h 00 mn à l'église Notre Dame du Rosaire de Kologh Naaba.

« Je ne meurs pas, j'entre dans la vie » Sainte Thérèse de l'enfant jésus

UNION DE PRIERES !

Son Excellence Le OUIDI NAABA KIIBA et ses notables à Ouidi, Ouagadougou ;
La famille de feu Le Baloum Naaba Kiiba à Ouidi, Ouagadougou ;

Les grandes familles ILBOUDO et OUEDRAOGO à Ouidi, Ouagadougou ;
Les enfants : Alice, Gustave, Vincent, Roland, et René à Ouagadougou ;
Les petits fils et arrières petits fils ;

La belle famille : OUEDRAOGO à Kaya ;
Les familles alliées : SAWADOGO, TAPSOBA , GANEMTORE et SANOU à Yako, Tem Bokin, Yitouni, Zoungou Paspanga et à Bobo

Vous renouvellent leur gratitude pour vos nombreuses marques de compassion et de soutien multiformes que vous leur avez témoignés lors du rappel à Dieu le dimanche 29 Juin 2025 et des obsèques le mardi 1er juillet 2025 de leur frère, père, grand-père, arrière-grand-père, époux et beau :

ILBOUDO Sana Raphael,

Ils vous invitent à vous joindre à eux pour célébrer ses funérailles chrétiennes le dimanche 13 juillet 2025 à son domicile situé à Ouidi Ouagadougou.

Une messe sera dite le dimanche 13 juillet 2025 à 7h 00 mn à l'église Notre Dame du Rosaire de Kologh Naaba.

« Je ne meurs pas, j'entre dans la vie » Sainte Thérèse de l'enfant jésus

UNION DE PRIERES !