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Diplomacy & Defense Think Tank News

Session européenne des responsables d'armement (Sera)

IHEDN - Tue, 20/09/2016 - 04:37

La vingt-neuvième SERA se déroulera du 27 février au 3 mars 2017 en France, du 27 au 31 mars 2017 au Royaume-Uni, du 15 au 19 mai 2017 en Pologne et du 26 au 30 juin 2017 en France.

The twenty-ninth SERA will take place in 2017, from February 27th to March 3rd in France, from March 27th to 31st in the United Kingdom, from May 15th to 19th in Poland and from June 26th to 30th in France.

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Sprache spielerisch lernen: Brückenbau-Plakat für geflüchtete Kinder

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 20/09/2016 - 00:00
Das Plakat soll geflüchteten Kindern aller Nationalitäten ab dem Vorschulalter einen spielerischen Einstieg in die deutsche Sprache ermöglichen.

Abgeordnetenhauswahl in Berlin am 18. September 2016

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 20/09/2016 - 00:00
Die Berliner Abgeordnetenhauswahl hat ein eng gefügtes Parteiensystem hervorgebracht, in dem keine Partei eine Vormachtstellung hat. Während die Volksparteien Verluste hinnehmen müssen, können sich alle anderen Parteien etwa behaupten oder zulegen. Der Trend zur Personalisierung, von dem häufig die Amtsinhaber profitieren, hat in Berlin keine Wirkung entfaltet. Dafür sind vor allem lokale und soziale Themen für die Wahlentscheidung von Bedeutung, gekoppelt mit einer gewissen Enttäuschung über die Arbeit des Senats. Auf der Ebene der Protestparteien ist es zu einem Austausch gekommen.

Deutschlands Präsidentschaft in der G20 (I)

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 20/09/2016 - 00:00
Im Dezember 2016 wird Deutschland die Präsidentschaft in der G20 übernehmen. In drei zusammenhängenden Papieren erläutert der Arbeitskreis Junge Außenpolitiker, welche Initiativen Deutschland in diesem Gremium anstoßen sollte und wie sie zum Erfolg geführt werden können. Dieses erste Papier befasst sich mit Kernfragen nachhaltiger Entwicklung. Es bietet damit nicht nur Anregungen für das deutsche Regierungshandeln, sondern stellt auch einen Beitrag zur Förderung der (fach-)politischen Debatte in Deutschland dar.

Daech : origines et enjeux

IRIS - Mon, 19/09/2016 - 17:46

Kader Abderrahim, chercheur à l’IRIS, répond à nos questions à l’occasion de la parution de son ouvrage « Daech : Histoire, enjeux et pratiques de l’Organisation de l’Etat islamique  » aux Editions Eyrolles :
– L’étude de l’islam permet-elle de mieux d’appréhender l’émergence de groupes terroristes comme Daech
– Comment Daech est-il parvenu à rallier des candidats de tout horizon et à reléguer Al-Qaïda au second plan?
– Pourquoi l’Occident n’arrive t-il pas à neutraliser Daech?

Le régime de Pyongyang est loin d’être irrationnel

IRIS - Mon, 19/09/2016 - 13:44

Le régime nord-coréen vient d’effectuer un essai nucléaire et des essais de missile balistique. Ils pourraient permettre à Pyongyang d’atteindre le territoire des États-Unis à moyen terme. Les nouvelles venant de la péninsule sont inquiétantes car la possibilité d’une guerre nucléaire est évoquée. L’effort militaire nord-coréen et la nature du régime sont angoissants. La Corée du Nord est certainement le dernier État totalitaire sur la planète. Il existe, certes, encore de nombreux régimes dictatoriaux et autoritaires, mais la Corée du Nord est le seul à ne laisser ni espace privé, ni espace public. L’irrationalité du régime serait ainsi de nature à le lancer dans une aventure militaire aux conséquences incalculables.

La réalité est pourtant différente. Si Pyongyang pourrait infliger des dégâts importants à Séoul, qui ne se situe qu’à 60 km de sa frontière, ou à Tokyo, qui est à portée des missiles nord-coréens, ces destructions ne profiteraient pas longtemps à la Corée du Nord. Elle serait elle-même immédiatement vaincue, voire détruite. Le rapport de force militaire n’est plus en sa faveur.

Si ce régime est certainement détestable, il est loin d’être irrationnel. Les dirigeants nord-coréens ne sont pas animés par la volonté de gagner une guerre, mais par celle de se maintenir au pouvoir. Se lancer dans une guerre dans laquelle la défaite serait certaine est la meilleure façon de perdre le pouvoir. La Corée du Nord agitera, longtemps encore, une menace du style « Retenez-moi ou je fais un malheur »afin de conforter son régime, tant sur le plan international que sur le plan interne. C’est l’option la plus envisageable.

La possession d’armes de destruction massive permet au régime de montrer aux Nord-Coréens qu’il les défend. Les habitants de la Corée du Nord ont très peu de connaissances sur la situation extérieure et ont du mal à percevoir la différence de situation économique entre ce qu’ils vivent et ce que vivent les autres. Ils peuvent, ainsi, d’autant plus adhérer aux thèses du régime par la peur et la contrainte. Pour le régime nord-coréen, l’arme nucléaire représente également un moyen de dire aux autres pays : « Nous sommes détestables mais n’essayez pas de changer la donne car nous avons les moyens de vous faire mal. » Il existe donc une situation d’équilibre. La Corée du Nord, d’une part, ne lancera pas d’offensive sur la Corée du Sud, le Japon, ou un autre État ; les pays voisins, d’autre part, n’attaqueront pas la Corée du Nord.

Les dirigeants nord-coréens sont persuadés, et ils n’ont peut-être pas tort, que si Saddam Hussein et Mouammar Kadhafi avaient eu des armes de destruction massive, ils seraient toujours au pouvoir. L’arme nucléaire constitue donc une arme de dissuasion et de sanctuarisation du régime qui permet de le protéger contre le monde extérieur.

En fin de compte, si tout le monde prétend la souhaiter, personne ne trouve d’intérêt à la réunification coréenne. La Corée du Nord n’en voudrait pas, car elle ne pourrait se faire que sous une domination sud-coréenne, étant donné l’échec total du régime à nourrir la population et développer le pays.

La Corée du Sud ne souhaite pas plus la réunification dans la mesure où elle aurait un impact négatif significatif sur son économie. Les Sud-Coréens se souviennent du coût de la réunification de l’Allemagne. Pourtant, l’écart de développement entre l’Allemagne de l’Ouest et l’Allemagne de l’Est était moins important que l’écart de développement entre les Corées. De plus, il y avait quatre Allemands à l’Ouest (riches) pour un allemand de l’Est (pauvre), alors qu’il n’y a que deux Sud-Coréens pour un Nord-Coréen. La réunification serait, par conséquent, trop coûteuse.

Si le Japon n’entretient aucune sympathie pour le régime nord-coréen, il ne voudrait pas que l’unification coréenne se fasse car, pour des raisons historiques, elle se ferait sur un sentiment antijaponais. Quant aux États-Unis, ses dirigeants pensent qu’une réunification pourrait les priver d’un des motifs de leur présence stratégique dans la région. La Chine pense, à l’inverse, qu’elle pourrait permettre aux troupes américaines d’avancer jusqu’à ses frontières. Cette situation de menaces régulières, sans unification, où la guerre reste – heureusement – un horizon lointain, risque de durer. Les habitants de la Corée du Nord demeurent les seuls à souffrir de cette situation puisqu’ils se voient privés non seulement de liberté d’expression, mais aussi d’accès aux besoins élémentaires.

Civilizar el capitalismo

Real Instituto Elcano - Mon, 19/09/2016 - 12:08
Opinión - 19/9/2016
Federico Steinberg
Los líderes del G-20 asisten atónitos a un creciente rechazo a la globalización por parte de la ciudadanía que no supieron anticipar. Los gobiernos son quienes deben asegurar la igualdad de oportunidades y la protección de los más desfavorecidos.

Energie atomique, accord avec la Grande-Bretagne : de nombreux pays veulent « redynamiser leur secteur nucléaire »

IRIS - Mon, 19/09/2016 - 10:52

Londres a donné jeudi, son feu vert à la construction de deux réacteurs nucléaires de type EPR par EDF à Hinkley Point. Le contrat s’élève à 21 milliards d’euros. Est-ce une bonne nouvelle pour l’industrie nucléaire française ? Le pari est-il risqué alors que l’EPR coûte cher et qu’il n’a pas véritablement démontré sa fiabilité et son efficacité ?

Tout d’abord, EDF n’a obtenu qu’un accord politique. Il manque encore la décision finale sur la partie business du contrat. L’entreprise a donc fait un pas en avant mais le contrat n’est pas signé.
Ce feu vert de Londres fait, dans tous les cas, office de bonne nouvelle pour le nucléaire français. La filière connaît actuellement une période difficile au niveau des exportations. Areva et EDF ont notamment fait face à de nombreuses difficultés et pris du retard sur la construction de réacteurs EPR en France et à l’étranger (en Finlande). La confiance accordée par la Grande-Bretagne, cinquième puissance économique mondiale, relance le nucléaire français et améliore sa notoriété à travers le monde.
Les réacteurs nucléaires de type EPR (Génération III +) sont nouveaux et constituent une avancée technologique. Il est vrai qu’EDF et Areva ont enregistré une série d’échecs lors des deux premiers chantiers de construction de réacteurs à Flamanville (Normandie) et en Finlande (les deux chantiers ne sont pas encore terminés, celui de Finlande a pris dix ans de retard). Mais ces chantiers ont, en quelque sorte, servi d’expérimentation pour EDF et Areva. Les entreprises ont analysé leurs échecs et connaissent aujourd’hui les erreurs à ne pas reproduire. Grâce aux expériences françaises et finlandaises, ils avancent sur leur 3e chantier, la construction, en Chine, des réacteurs Taishan I et II, où ils n’accusent d’aucun retard.

La décision britannique vous semble-t-elle anachronique alors que de nombreux pays européens mettent en place des calendriers de sortie de l’atome ? Le nucléaire en Europe peut-il être relancé ?

Au sein de l’UE, seule l’Allemagne a mis en place un calendrier de sortie de l’atome tandis que de nombreux pays semblent, au contraire, prendre la voix opposée. Les pays d’Europe centrale et orientale, retournent notamment vers l’atome. Sous l’impulsion de Moscou, les pays de l’ex-URSS s’étaient dotés de centrales nucléaires. Devenues obsolètes, elles ont été abandonnées lors de l’adhésion à l’Union européenne. Aujourd’hui, plusieurs de ces pays veulent redynamiser leur secteur nucléaire. Des pays comme la Roumanie, la Slovaquie, la Bulgarie, mais aussi des pays comme la Finlande se sont lancés sur la voix d’un redémarrage de l’énergie atomique. Nous sommes donc loin d’une phase noire du nucléaire et Fukushima n’a eu que peu d’impact, majoritairement en Allemagne et au Japon.
Les Britanniques ont, quant à eux, une vieille tradition du nucléaire. Ils disposaient autrefois de technologies nationales dans ce domaine qu’ils ont abandonnées lorsqu’ils ont choisi de recourir aux réserves de gaz en mer du Nord. Mais leurs réserves s’amenuisent et les Britanniques se retrouvent à nouveau dans l’obligation d’effectuer un mix électrique combinant centrales nucléaires et sources d’énergie alternative.

Alors que Fessenheim devrait bientôt fermer et que la France s’est engagée à réduire la part du nucléaire dans sa production d’électricité de 50% d’ici 2025. Où en est la transition énergétique en France ? Ne pensez-vous pas que la France accuse d’un retard sur le déploiement des énergies vertes censé pallier la baisse du nucléaire ?

La France a pris du retard dans sa politique de transition. A ce rythme, elle ne tiendra probablement pas ses objectifs. Par ailleurs, je pense que les objectifs fixés par la France étaient trop ambitieux. Un remplacement massif et immédiat des sources d’énergie nucléaire par des sources d’énergie renouvelable augmenterait sensiblement la facture d’électricité des Français. En Allemagne, le coût financier de sa sortie du nucléaire s’est répercuté sur les ménages allemands qui ont perdu en pouvoir d’achat. Etant donnée la situation économique de la France, la poursuite d’une transition trop rapide augmenterait le prix de l’électricité des ménages, celui des entreprises, et casserait notre faible retour à la croissance.
La France doit trancher entre sa volonté de déployer vite et massivement des énergies vertes et la prospérité de l’économie française dans sa globalité.

New book edited by Pablo Iglesias-Rodriguez, Anna Triandafyllidou and Ruby Gropas

ELIAMEP - Mon, 19/09/2016 - 10:02

At the aftermath of the financial crisis, both elites and citizens have had to rethink the nature of the market, the role of the state as a market regulator and as a provider of welfare, the role of political parties in representing society’s main political and social cleavages, the role of civil society in voicing the concerns of citizens, and the role of the citizen as the ultimate source of power in a democracy but also as a fundamentally powerless subject in a global economy. However, this new book edited by Pablo Iglesias-Rodriguez, Anna Triandafyllidou and Ruby Gropas shows that the changes carried forward are at best partial and incomplete. We propose the notion of ‘incomplete paradigm shift’ to analyse this situation and argue that instead of radical reforms we are witnessing today the stillbirth of a new political and economic paradigm.

You can find more information here.

Professor George Pagoulatos writes on the SYRIZA administration in the Sunday edition of Kathimerini, 18/09/2016

ELIAMEP - Mon, 19/09/2016 - 09:25

You can read here the article on the SYRIZA administration, which was written by Professor George Pagoulatos. The commentary was published on 18 September 2016  in the Sunday edition of Kathimerini and is available in Greek.

IPI Hosts 11th Annual Middle East Dinner

European Peace Institute / News - Mon, 19/09/2016 - 04:27
Photos

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On Sunday, September 18, IPI held its Eleventh Ministerial Dinner on the Middle East in its Trygve Lie Center for Peace, Security, and Development. The working dinner drew the participation of foreign ministers, United Nations officials, special representatives of the Secretary- General to countries in the region, heads of humanitarian agencies and other high level representatives from the Middle East and North Africa, Europe, and beyond.

The working dinner was chaired by Terje Rød-Larsen, President of IPI, and co-hosted by the United Arab Emirates and Luxembourg, represented respectively by Reem Al Hashimy, UAE Minister of State for International Cooperation, and Christian Braun, Luxembourg’s Permanent Representative to the United Nations.

In the roundtable conversation, conducted under the Chatham House rule of non-attribution, participants exchanged views on the changing political landscape in the Arab world, including Syria, Libya, Yemen, Iraq, Israel and the Palestinian territories, and the flow of refugees and migrants to Europe.

Attendees included the foreign ministers of Austria, Belgium, Canada, Greece, Italy, Jordan, Lichtenstein, the Netherlands, Norway, Slovakia, Sweden, and Turkey.

Also present were Ahmed Aboul-Gheit, Secretary-General of the League of Arab States; Turki Al-Faisal, Chairman of the King Faisal Center for Research and Islamic Studies; Abdullatif bin Rashid Al Zayani, Secretary-General of the Gulf Cooperation Council; Jeffrey Feltman, UN Undersecretary-General for Political Affairs; Jean-Marie Guéhenno, President and CEO of the International Crisis Group; Thorbjorn Jagland, Secretary-General of the Council of Europe; Iyad bin Amin Madani, Secretary-General of the Organization of Islamic Cooperation; Peter Maurer, President of the International Committee of the Red Cross; Federica Mogherini, European Union High Representative for Foreign Affairs and Security Policy; David Miliband, President of the International Rescue Committee; Kevin Rudd, chair of the Independent Commission on Multilateralism; Ghassan Salamé, Dean of the Paris School of International Affairs, and Jens Stoltenberg, Secretary-General of the North Atlantic Treaty Organization.

Les Européens et la question migratoire

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 19/09/2016 - 02:00
La montée de la préoccupation migratoire dans les opinions publiques européennes La pression migratoire qui n'a cessé de s'accentuer depuis le début de l'année 2015 et l'impression d'autorités européennes et nationales largement dépassées par la gestion de celle-ci ont entraîné un...

Elections, Elections législatives en Lituanie les 9 et 23 octobre

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 19/09/2016 - 02:00
Les prochaines élections législatives auront lieu en Lituanie les 9 et 23 octobre. Le parlement monocaméral, Seimas, compte 141 membres, élus tous les 4 ans selon un mode de scrutin mixte. La dernière enquête d'opinion donne la victoire au Parti social-démocrate (LSP) du Premier ministre sortant Algirdas Butkevicius avec 17,2% des suffrages devant le Parti paysan et vert (LVZS) 13,4%, l'Union de la patrie-Chrétiens-démocrates (TS-LKD) 10,7%, le Parti du travail (DP) 6,6%; le Mouvement libéral (LRLS) 6,3% et Pour l'ordre et la justice (TT) 5,1%. La formation d'une coalition gouvernementale comprenant 3 ou 4 partis est inéluctable.

Fondation, L'Europe et la souveraineté

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 19/09/2016 - 02:00
En partenariat avec l'Institut Egmont et Eurodefense France, la Fondation Robert Schuman organise à Bruxelles le 29 septembre un séminaire intitulé "L'Europe et la souveraineté : réalités, limites et perspectives". Inscription en ligne.

Migrations, Le Conseil approuve le corps européen de garde-frontières et de garde-côtes

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 19/09/2016 - 02:00
Le 14 septembre, le Conseil a approuvé le règlement concernant le corps européen de garde-frontières et de garde-côtes. Ce règlement élargit les compétences de l'agence FRONTEX et améliore la collaboration de cette agence avec les agences nationales chargées de surveiller les frontières.

Migrations, Aide d'urgence pour la frontière bulgare

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 19/09/2016 - 02:00
Le 16 septembre, la Commission européenne a annoncé une aide d'urgence de 108 millions € pour accompagner la Bulgarie dans la gestion et la protection de ses frontières.

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