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Diplomacy & Defense Think Tank News

Y-a-t-il un conseiller pour sauver le président Trump ?

IRIS - Thu, 17/11/2016 - 18:17

Dirigeants et experts, encore sonnés par la victoire de Donald Trump aux élections présidentielles américaines, tentent de se rassurer comme ils peuvent : on ne change pas du jour au lendemain de politique étrangère ! Il n’agira pas seul et le pragmatisme de son entourage devrait finir par l’emporter.

Qui prendra en charge le département d’État ? On parle de Newt Gingrich ou John Bolton. Ça promet ! Ces derniers feraient passer Dick Cheney ou Donald Rumsfeld pour des multilatéralistes adorateurs de l’ONU. Si ce type de nomination est confirmé, il y aurait un écart béant entre l’interventionnisme agressif qu’ils représentent et la volonté de se désengager des affaires mondiales prônée par Trump. Bref, on est dans le brouillard le plus complet.

Dans une interview accordée au journal Le Monde, datée du 16 novembre 2016, le général Michael Flynn ne vient pas le dissiper. Bien au contraire. Présenté comme l’un des principaux conseillers de politique étrangère du candidat Trump, on s’inquiète à l’idée de le voir prendre des responsabilités. Il a dirigé le renseignement militaire de 2012 à 2014 et est cité comme pouvant occuper le poste de Secrétaire à la Défense, Conseiller pour la sécurité nationale ou directeur de la Central intelligence agency. Il y a de quoi être inquiet. Sans s’embarrasser de fioritures, il déclare : « Nous avons un problème majeur que personne ne reconnaîtra à cause du politiquement correct : c’est l’islam. Cette religion est un problème. Je ne parle pas du monde musulman mais de l’islam. Le monde arabe doit venir à bout de l’idéologie politique qu’il appelle islam. » Question : « Vous voulez dire l’islamisme ? » Réponse : « Oui. Islamisme. Étudiez Mahomet ! On comprend comment tout cela a commencé. Au cours de ce siècle il faudra en sortir. Ça prendra du temps, des décennies peut-être. Autrement, on aura des conflits perpétuels. »

Belle confusion entre islam, islamisme, musulman, djihadisme. Car si on comprend bien le général Flynn, tant que le monde musulman croira en Mahomet, il y aura des problèmes. Il faut attendre qu’il le renie pour que la paix survienne. Ce n’est pas pour tout de suite ! À partir du moment où le monde musulman ne croira plus à l’islam, tout ira bien. On est abasourdi ! Et cela est dit très tranquillement par quelqu’un qui a exercé de lourdes responsabilités et qui s’apprête à en prendre de plus importantes encore. Dans la même veine, on ne comprend pas très bien ce qu’il préconise pour la Syrie. Tout en reprochant à Barack Obama de ne pas être intervenu en Syrie, après que la « ligne rouge » d’utilisation des armes chimiques fut franchie par Bachar Al-Assad, il reconnaît que les interventions en Afghanistan, Irak et Libye sont un désastre. Ce qui ne signifie pas pour autant qu’il faille renoncer à renverser les dictateurs brutaux qui martyrisent leur population ou des groupes comme l’État islamique. Pour dire après qu’il est possible de jouer la carte de régime stable même s’ils sont dictatoriaux. On nage en eaux troubles.

À ce stade, ce n’est plus un programme géopolitique, c’est la course du lièvre à travers les champs, des zigzags ultra rapides. Au secours ! Leslie Nielsen, reviens ! Ils sont devenus fous !

Kooperieren in Krisensituationen

SWP - Thu, 17/11/2016 - 16:00

Die Sorge vor einer Energiekrise ist groß. Solidarität und regionale Kooperation sind die zentralen Komponenten von Europas neuer Sicherheitsarchitektur.

Erweiterung des OECD-Modells der fünf ländlichen Welten für die sektorübergreifende armutsorientierte Analyse, Kommunikation und Planung

Zur Diskussion und Planung von Entwicklung wie auch konkreter Maßnahmen in ländlichen Gebieten in Entwicklungsländern ist ein Rahmenkonzept nötig, das die Kommunikation aller beteiligten Sektoren sowie länderübergreifende Verallgemeinerungen zulässt. Der Schwerpunkt muss zugleich auf Armut, Wirtschaftswachstum und Strukturwandel liegen.
Dieser Beitrag stellt ein Modell vor, das diese Zwecke erfüllt. Ausgangspunkt ist das Modell der fünf ländlichen Welten (Five Rural Worlds, 5RW) der Organisation für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (OECD). Es stellt die ländliche Bevölkerung in den Mittelpunkt und klassifiziert sie anhand einer Mehrkriterienanalyse von Ressourcenausstattung, Wettbewerbsfähigkeit, Wachstumschancen und Erfordernissen insbesondere im Hinblick auf Armut und Ernährungssicherung. Folgende ländliche Welten (RWs) werden unterschieden: 1) große gewerbliche landwirtschaftliche Haushalte und Betriebe, 2) traditionelle Landbesitzer und Betriebe, 3) landwirtschaftliche Subsistenz-Haushalte und Kleinstbetriebe, 4) landlose ländliche Haushalte und Kleinstbetriebe, 5) dauerhaft arme ländliche Haushalte (ohne familieneigene Arbeitskräfte). Diese Einteilung mag grob und ungenau sein, reicht aber in vielen Fällen zur Klärung der Grundannahmen aus. Sie ist einfach genug, um strategische Maßnahmen in ländlichen Gebieten grundlegend und sektorübergreifend zu diskutieren.
Wir erweitern das OECD-Modell um Wechselwirkungen zwischen den RWs und zwischen diesen und der Außenwelt. Dadurch wird betont, dass ländliche Gebiete immer stärker in nationale und anderweitige Beziehungen eingebunden sind. So wird eine umfassende Debatte um diese Beziehungen und ihre Folgen möglich.
Das angepasste RW-Modell bietet mehrere Vorteile:
  • Die ländliche Bevölkerung wird nach gemeinsamen Hemmnissen, Erfordernissen und Chancen einer begrenzten Zahl allgemeiner Gruppen zugeordnet.
  • Es betont die zentrale Rolle von Land und landwirtschaftlicher Technologie/Produktivität als Ausgangspunkt für Armutsbekämpfung, Ernährungssicherung und Wachstumschancen. Dabei schließt es andere mögliche Lebensgrundlagen nicht aus.
  • Der Schwerpunkt liegt auf den ländlichen Armen und ihrem heterogenen Entwicklungspotenzial innerhalb und außerhalb der Landwirtschaft, insbesondere durch die Unterscheidung landloser und dauerhaft Armer, die bei Maßnahmen in der Landwirtschaft häufig ausgeschlossen (oder sogar geschädigt) werden.
  • Es lassen sich nicht nur die direkten strategischen Maßnahmen für einzelne Zielgruppen, sondern auch indirekte Zweitrundeneffekte durch Wechselwirkungen erörtern.
  • Das Modell weist auf die immer engeren Beziehungen zwischen ländlichen Bereichen und der übrigen Welt hin.
Wir empfehlen das 5RW-Modell für die sektorübergreifende Planung der ländlichen Entwicklung in Entwicklungsländern sowie die multisektorielle Forschung, insbesondere im ländlichen Subsahara-Afrika (SSA). Wir sind uns bewusst, dass daneben auch die Perspektiven Gender und Umwelt einbezogen werden müssen. Diese lassen sich jedoch ohne Weiteres berücksichtigen.

Dr Thanos Dokos writes in Kathimerini on new developments in the Eastern Mediterranean after Trump’s election 16/11/2016

ELIAMEP - Thu, 17/11/2016 - 13:59

You can read here the article on new developments in the Eastern Mediterranean after Trump’s victory, which was written by Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos. This commentary was published in Kathimerini on 16 November 2016 [in Greek].

Drohnen: Unbemannte Fluggeräte mit Chancen und Risiken

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 17/11/2016 - 13:30
Drohnen werden nicht nur vom Militär eingesetzt. Ob privater Spaß oder professionelle Anwendungen, die Zahl der "Unbemannten Luftfahrzeuge" wächst rasant. Neben den wirtschaftlichen Chancen müssen auch Gefahren und Risiken betrachtet werden.

Innover pour lutter contre la pauvreté

Institut Montaigne - Thu, 17/11/2016 - 12:04
Date: Mardi 13 Décembre 2016Résumé: Programme et inscriptions à venir 

Mehr Wissenschaft für bessere Politik? Hürden, Optionen und etwas Evidenz

SWP - Thu, 17/11/2016 - 11:30
Die friedens- und sicherheitspolitische Forschung will ihre Erkenntnisse von der Politik besser...

La prudence reste de mise dans la course à l’organisation des Jeux 2024

IRIS - Thu, 17/11/2016 - 11:25

Alors que les sondages désignaient quasi unanimement Hillary Clinton comme la nouvelle chef de l’État et première Présidente américaine, Donald Trump s’est finalement imposé, à la faveur de précieuses victoires dans les Swing States. Evènement national au retentissement international, cette élection aura-t-elle des conséquences sur une autre campagne, celle de la désignation de la ville hôte pour les Jeux olympiques d’été en 2024 ?

Après le retrait officiel de la candidature de Rome, suite à la promesse électorale de sa maire Cinq Etoiles, Viriginia Raggi, l’élection du candidat républicain apporte un rebondissement supplémentaire à la course pour l’organisation des Jeux de 2024. Faut-il pour autant considérer que cette élection met hors de course Los Angeles ? Rien n’est moins sûr.

Espérer que les sorties du nouveau président américain sur les femmes, les musulmans, les Mexicains le discréditerait et disqualifierait par conséquent Los Angeles 2024 reviendrait à oublier les leçons de la défaite d’Hillary Clinton. S’il est évident que le maire démocrate de Los Angeles, Eric Gancetti, voit d’un très mauvais œil l’élection de Donald Trump, et que la candidature californienne pouvait espérer un succès d’Hillary Clinton, force est de constater que le projet de Los Angeles est extrêmement ambitieux, bénéficie a priori d’un large soutien populaire (88% des personnes interrogées en février 2016[1]) – même si les sondages sont évidemment à relativiser –, peut s’appuyer sur des alliés commerciaux de choix[2].

Or, ce sont précisément ces arguments-là qui comptent aux yeux du CIO. N’oublions pas que le CIO vote pour un projet, une ambition et non pour un Président. Les récentes désignations (Pékin 2008, Sotchi 2014, Pékin 2022) tendent à prouver le peu d’attention que l’organe olympique peut accorder aux situations politiques des pays candidats. En outre, le comité Los Angeles 2024 a réaffirmé que la candidature se poursuivrait quel que soit le résultat des urnes. Donc acte. La prestation du comité de candidature de Los Angeles cette semaine à Doha, devant l’Association des Comités nationaux olympiques (ANOC) tend à illustrer parfaitement la solidité du projet américain, avec ou sans l’intervention de son futur Président.

Toutefois, l’absence de ligne directrice dans la politique intérieure comme internationale de Donald Trump pourra toutefois poser quelques problèmes au CIO, qui recherche plutôt des gages de sécurité. L’imprévisibilité qu’il considère comme sa carte maîtresse dans les prochains mois est pourtant exécrée par l’organe olympique, qui cherche au contraire à retrouver calme et stabilité en cette période de trouble pour la gouvernance mondiale du sport.

En conséquence, ne poussons pas de « cocoricos » trop hâtifs en considérant l’élection comme jouée d’avance. Comme toujours, le souvenir des précédentes candidatures doit nous rappeler que la campagne dure jusqu’au dernier vote et que rien n’est jamais acquis.

Paris, si elle veut l’emporter, doit continuer sur sa trajectoire ascendante, sans se préoccuper des rebondissements politiques environnants, y compris dans son propre pays, surtout compte tenu des échéances électorales prochaines. C’est donc peut-être ici que doit s’exprimer l’apolitisme du sport.

 

[1] « Los Angeles Olympic bid receives wide public support in new poll », Los Angeles Times, 23 février 2016, http://www.latimes.com/sports/olympics/la-sp-la-2024-olympic-bid-public-support-poll-20160223-story.html
[2] Citons Edison International, Walt Disney Company, Snapchat

Afrique : L’agriculture face au changement climatique

IRIS - Thu, 17/11/2016 - 10:17

Mariam Sow Soumaré est chargée de Programme Principal au Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD). Elle répond à nos questions à l’occasion de sa participation au colloque international “Climat, agriculture et sécurité alimentaire” organisé le 3 novembre 2016 par l’IRIS et l’AGPB :
– Quelles sont les conséquences du réchauffement sur les pays d’Afrique subsaharienne ?
– En quoi consiste le programme 2003-2013 pour remettre l’agriculture africaine comme motrice de croissance ? S’est-il soldé par un succès ?
– Quels changements apporte le nouveau programme continental ? Comment guider les pays africains vers une révolution verte ?

Philippine National Police (PNP) holds rights-based policing forum for Civil Society Organization (CSO) Representatives and Training for PNP Human Rights Officers

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 17/11/2016 - 09:06
Philippine National Police (PNP) holds rights-based policing forum for Civil Society Organization (CSO) Representatives and Training for PNP Human Rights Officers

Trump y el baile de alianzas en el Sudeste Asiático

Real Instituto Elcano - Thu, 17/11/2016 - 05:17
ARI 80/2016 - 17/11/2016
Mario Esteban
Los países del Sudeste Asiático se están posicionando en relación a la disputa entre EEUU y China por incrementar su influencia en la zona. ¿Cómo puede verse dicho proceso influido por el cambio de gobierno en Washington?

The EU Budget’s Mid-term Review

SWP - Thu, 17/11/2016 - 00:00

The EU’s Multiannual Financial Framework (MFF) lays down the amounts available for the EU budget over seven-year periods – currently about one billion euros for 2014–2020 – and at the same time it sets the EU’s political priorities. The midterm review or rather revision offers a rare opportunity of reworking the established sums and adapting the MFF to new topical challenges. The Commission evidently wants to use this chance: on 14 September 2016, it presented an extensive package of proposals for reforming the MFF. This opens up the possibility of improving an unsatisfactory situation, in which the EU is unable to react to a changing environment or new crises with a policy that has a sound financial foundation, or re-orientate its budget. The revision also lays the groundwork for the negotiations on the new, post-2020 financial framework, which will begin in 2018. 

Dr. Hans-Gert Pöttering: "Fürchtet Euch nicht"

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 17/11/2016 - 00:00
Zum Abschluss der ökumenischen Friedensdekade hielt der Vorsitzende der Konrad-Adenauer-Stiftung eine Predigt im Braunschweiger Dom.

Schwankende Wahlbeteiligung

Konrad Adenauer Stiftung - Thu, 17/11/2016 - 00:00
Die Wahlbeteiligung schwankt unter den EU-Mitgliedern erheblich. Bei den jeweils letzten Wahlen zu den nationalen Parlamenten der 28 Mitgliedstaaten lagen Tiefst- und Höchstwert der Wahlbeteiligung bei 41,8 Prozent (Rumänien) und 93 Prozent (Malta). Die durchschnittliche Wahlbeteiligung bei den jeweils letzten Wahlen zum nationalen Parlament lag EU-weit bei 66,5 Prozent. In Deutschland ist die Wahlbeteiligung im internationalen Vergleich nach wie vor überdurchschnittlich hoch. Und: Reformen im Ausland haben bisher nicht zu einem signifikanten Anstieg der Wahlbeteiligung beigetragen.

Primaire de la droite, le grand doute des sondeurs

Fondapol / Général - Wed, 16/11/2016 - 19:15

France. Face aux incertitudes sur la participation électorale au premier tour de La primaire, et après la surprise Donald Trump aux Etats-Unis, la prudence règne dans l’Hexagone. «Qui seront les électeurs?» Posée mardi lors d’un débat organisé à Paris par la Fondation de l’innovation politique (Fondapol.tv) sur la primaire de la droite, cette question sera […]

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