Dans l’imaginaire de tout un chacun, la simple évocation du Sahara nous fait perdre dans un interminable univers de mythes et de fantasmes. L’endroit subjugue, envoûte et l’esprit s’épanche d’une manière spectaculaire à une léthargie quasi hypnotique.
La magie du « Sahara » est perpétuelle, et la sonorité du mot lui-même nous fait penser au sable virevoltant de cet immense endroit. Un plaisir indéfini quasi indescriptible pour tout esprit fouineur amoureux de ce coin somptueux qui continue à receler des merveilles parfois toujours méconnues.
Ain Taiba où le paradis oublié!Parmi les merveilleux coins que recèle notre pays figure Ain Taiba, l’une des centaines d’endroits perdus dans l’immense Sahara que l’homme a rarement visité. Perdu au fin fond du grand désert à environ 190 km au sud de Ouargla où de l’eau s’engouffre depuis des millénaires dans les entrailles du sable infini offrant un joli décor qui invite les visiteurs à un véritable régal.
Au coeur de cet Oasis, les visiteurs pourront trouver en cette merveille tout ce que la nature peut offrir de plus beau à l’humain. Pour les aventuriers épris du Sahara, Ain Taiba pourra assouvir leur soif de nouvelles découvertes. L’accès n’est toutefois chose aisée. Il faut donc se munir d’une belle énergie pour savourer chaque difficulté d’accès à ce gouffre.
Entouré de roseaux secs qui se haussent vers le soleil écrasant qui trahit, on ne peu plus clair, l’aridité du Sahara, Ain Taiba demeure particulière. Car traversant un long chemin dans les entrailles obscures de cet oasis, le visiteur pourra enfin s’offrir un joli décor.
Une eau douce vient subtilement déconstruire cette austérité. Une harmonie particulière dans une région où règne la paix car l’homme n’y est pas. De quoi bien se ressourcer après un long voyage au cœur de notre grand fascinant désert.
Une bonne adresse pour ceux qui choisissent le Sahara comme destination à visiter pour célébrer le nouvel an. Un bon plan également pour ceux en manque d’idées idem pour ceux qui veulent oublier, un tant soit peu, leur quotidien « urbanisé »
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A l’étranger, les personnes présentes sur le territoire en situation irrégulière tentent de trouver refuge et de s’abriter à l’aide des associations et grâce au soutien des habitants. Parfois, certains prennent les choses en main de la mauvaise manière, choisissant de survivre en empruntant le chemin de la criminalité et la délinquance.
Aux Yvelines dans la grande couronne de la région Île-de-France, un propriétaire s’est rendu à son domicile pour découvrir que ce dernier est squatté par deux personnes. Il ne s’agit pas de deux personnes « anodines », mais plutôt de voleurs. Le propriétaire a informé la police le 1er décembre dernier que des inconnus occupaient illégalement son domicile.
Les services de la police ont, à leur tour, découvert suite à l’interpellation de ces individus, qu’il s’agit de deux jeunes algériens de 17 et 25 ans. Ce duo a transformé le domicile du monsieur en une véritable cachette dans laquelle les deux jeunes dissimulaient leurs butins illicites, autrement dit, les objets qu’ils avaient volés.
Auteurs de 17 volsL’enquête de la police a révélé que les deux algériens sont en situation irrégulière, ils ont commis 17 vols différents qui ont même touchés les voisins habitant pas loin du domicile dans lequel ils squattaient. Après un inventaire effectué par les enquêteurs de la sûreté urbaine, on a pu faire le lien entre les délinquants et des vols commis dans les villes limitrophes.
Suite à quoi, l’algérien âgé de 25 ans a pris 18 mois de prison avec incarcération immédiate et son « associé » âgé de 17 ans a été mis en examen puis a été libéré.
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Après la fin de la rencontre footballistique qui a réuni l’équipe nationale A’ à son homologue égyptienne, les rumeurs sont fortement diffusées quant au penalty donné à la faveur des Pharaons.
En effet, ledit penalty a permis à l’équipe adverse à marquer, dans la 60′ minute du jeu, leur but d’égalité dans les filets de Rais M’bolhi.
Sur ce, les deux équipes se sont quittées sur un score d’égalité (1-1). Toutefois, le public sportif algérien n’a pas apprécié ce penalty, qui l’a d’ailleurs qualifié d’injuste, en raison de la sortie du ballon dans le tir qui a précédé le penalty égyptien.
À cet effet, les rumeurs se sont répandues à propos d’une protestation de la part de la Fédération algérienne de football auprès du comité d’organisation de la Compétition de la Coupe Arabe.
La FAF dément toutes les rumeursAujourd’hui, la Fédération algérienne de football a démenti, par le biais d’un communiqué rendu public, qu’elle n’a transmis aucune réclamation à quelconque au sujet de la rencontre Algérie – Égypte, jouée ce mardi 7 décembre à Doha au Qatar.
» La Fédération algérienne de football (FAF) tient à informer qu’elle n’a transmis aucune réclamation ou autre courrier à la FIFA ni à une quelconque autre instance d’ailleurs au sujet de la rencontre Algérie – Égypte « , lit-on dans ledit communiqué.
Par ailleurs, la même source a souligné : » la FAF se tient au respect du Règlement de la compétition et invite tout un chacun d’observer les règles nécessaires de vérification de l’information auprès de la source officielle avant de véhiculer et surtout de donner une ampleur indescriptible à une fake news « .
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Comme si qu’une flambée du nombre des cas de contaminations un peu partout dans le monde ne suffisait pas, la situation se corse avec l’apparition d’un nouveau variant. Ce mot « variant » ne peut que nous faire frémir et nous replonger dans les réminiscences des vagues mortifères causées par des souches du Covid-19 à l’instar du variant Delta.
C’est le nouveau variant Omicron qui est venu rajouter une couche d’inquiétude et de peur. Découvert récemment en Afrique du Sud, Omicron a engendré la fermeture des frontières aux pays de l’Afrique australe et un durcissement sans précédent des conditions d’entrée.
Les gouvernements tentent donc de mettre en place des mesures préventives très strictes notamment pour les voyageurs pour endiguer la propagation du Coronavirus et empêcher l’importation du variant Omicron, qui, selon des premières études, est le variant le plus contagieux. Difficile de l’identifier avec des symptômes tels qu’une toux légère et sèche, une gorge qui gratte, une fatigue extrême et des courbatures. Contrairement à l’agueusie ou l’anosmie enregistrées pour les variants précédents.
Omicron, le variant le plus dangereux du Coronavirus ?L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a révélé que le nouveau variant Omicron est moins dangereux que le variant Delta, bien qu’il soit plus contagieux. L’épidémiologiste et le chargé de situations d’urgence à l’OMS, Michael Joseph Ryan, a expliqué que les symptômes et répercussions du variant Omicron sont moins graves que celles des variants précédents.
Le même responsable a tenu à rassurer quant à l’efficacité des vaccins avec le variant Omicron, que ce soit en terme d’intensité de la situation du malade ou encore en terme de rétablissement, il n’y a pas de raison, toujours selon lui, que les vaccins ne montrent pas d’efficacité pour Omicron.
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Le secteur de l’éducation ne cesse de faire face à des défis multiples. Le changement des ministres et des objectifs ne semble pas avoir un impact positif sur le bon déroulement des années scolaires, qui se poursuivent d’ailleurs et qui trahissent une détérioration du niveau des élèves.
Le ministre actuel de l’Éducation, Abdelhakim Belabed, a décidé, contre toute attente, fin novembre dernier, de supprimer l’examen de la cinquième. L’examen de fin de cycle primaire ne sera donc plus organisé, et les élèves n’auront plus à le subir, et ce, à partir de cette année scolaire en cours.
Ceci dit, la suppression de l’examen de fin de cycle primaire a laissé un certain vide dans le processus de passage au cycle moyen, estiment certains cadres du secteur de l’éducation.
Un examen pour remplacer un autreAujourd’hui, le 09 décembre 2021, le ministre de l’Éducation, Abdelhakim Belabed, s’est penché sur la question du remplacement de l’examen du cinquième. Devant les députés du conseil de la nation, le ministre a dévoilé les grands traits de son projet de réforme de ce cycle.
Le ministre a notamment dévoilé, en réponse aux questions des députés, que l’examen de fin de cycle primaire sera remplacé par un autre examen.
Ceci dit, le premier responsable du secteur de l’éducation a affirmé que le nouvel examen ne sera pas « national », sans pour autant donner plus de détails à ce sujet.
Le ministre a cependant souligné que le nouvel examen, « qui ne sera pas national », ne sera pas organisé, et ne se déroulera pas dans les mêmes circonstances que l’examen du cinquième. Des circonstances, ajoute le ministre, qui étaient derrière la pression et la fatigue qui s’abattait sur les élèves.
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Le 9 mai 2018, Sonatrach signe un accord avec ESSO Italiana Srl (filiale à 100% d’Exxon Mobil). Cet accord porte sur l’achat de la raffinerie d’Augusta, et sera le début d’un long scandale qui finira par faire tomber L’ancien PDG du groupe pétrolier, Abdelmoumen Ould Kaddour.
Cette raffinerie a couté au trésor public, au total, trois milliards d’euros. Les experts avaient tous dénoncé cette décision qualifiée d’une “reprise d’une vieille ferraille” qui a fait saigner les caisses de l’État.
Ceci dit, le bilan de l’année 2021 montre que cette raffinerie controversée ressort avec des chiffres positifs. C’est en tout cas ce qu’affirme le quotidien Le Jeune Indépendant, qui a contacté un cadre dirigeant de Sonatrach Raffineria Italiana Srl (SRI), la société gestionnaire de la raffinerie basée à Milan (Italie).
Un bilan positifMalgré sa réputation entachée par les scandales de corruption, la raffinerie Augusta semble être sur la bonne voie pour satisfaire les attentes de Sonatrach, qui a investi un milliard de dollars pour son acquisition et sa modernisation. C’est ce qui ressort en tout cas des déclarations de ce cadre dirigeant, qui affirme que le rendement de cette raffinerie est entrain de s’améliorer.
En effet, et toujours selon la même source, pendant les 11 premiers mois de l’année 2021, la raffinerie Augusta est ressortie avec un bilan positif. Il s’agit donc d’un redressement, comparé aux résultats obtenus au début de son exploitation en 2018, ou elle a englouti plus de 3 milliards d’euros.
Le même cadre dirigeant a souligné, concernant la raffinerie Augusta, que ce projet d’investissement a donné finalement ses fruits, et que Sonatrach a pu enfin en tirer de positifs retours sur investissement. La capacité de raffinage d’Augusta est actuellement de 10 millions de tonnes par an, assure le même responsable, qui ajoute que cela la place en deuxième position, après celle de Skikda.
L’Algérie exprime sa satisfaction ?Le même intervenant assure que le magasin général, détruit par les flammes en septembre 2018, a été inauguré il y a quelques jours, en la présence des membres du Conseil d’administration. Une délégation Algérienne a également exprimé sa satisfaction après une visite des installations de raffinage et des entrepôts, indique le responsable.
Plus une raffinerie est grande, plus son rendement est important, affirme ce dirigeant qui souligne que la raffinerie d’Augusta est grande et complexe ce qui lui permet de présenter des grands avantages pour l’économie algérienne.
Ceci dit, et depuis son acquisition, cette raffinerie n’a fait que parler d’elle dans les procès pour corruption. Ould Kaddour ainsi que son équipe, responsables de cet achat, se sont vite retrouvés, sous tirs croisés. L’ancien PDG a même fini par être extradé des UAE, avant de finir en prison.
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Face à la menace « Omicron » qui ne cesse de se répandre dans le monde entier craignant une nouvel épisode épidémique comme celui du variant Delta, plusieurs pays se voient aujourd’hui contraints de prendre des mesures drastiques allant jusqu’à la fermeture de leurs frontières pour assurer un « pire évité ».
La Tunisie, à l’instar d’autres pays, n’a pas lésiné sur les moyens pour imposer de nouvelles conditions d’accès à son territoire au regard de la situation épidémique « alarmante » que connaît le monde après l’apparition du variant Omicron.
Un pass sanitaire « obligatoire » !Les autorités tunisiennes ont décidé, à compter du 22 décembre, d’imposer le pass vaccinal comme condition d’accès obligatoire aux différents endroits publics au regard de la hausse de contamination à la Covid-19.
Pour ce faire, les autorités tunisiennes ont mis à disposition des citoyens tunisiens et ressortissants étrangers vaccinés et âgés de 18 ans une plateforme dédiée au téléchargement du passe vaccinal. « Et ce après une période variable selon le type de vaccin, sur leurs téléphones portables via la plateforme de vaccination « evax.tn » pour le présenter en cas de besoin. Ils peuvent, aussi, le présenter en version papier », selon le communiqué du ministère tunisien de la santé.
Pour rappel, La Tunisie avait imposé le 01 décembre dernier, un nouveau train de mesures prises dans le cadre de la éviter un nouveau scénario dramatique comme celui que le pays a venu il y a quelques mois.
En effet, il est désormais strictement obligatoire pour les voyageurs étrangers entrant en Tunisie, âgés de plus de 18 ans, de présenter une preuve de vaccination totale contre le virus. Tous les passagers entrants âgés de plus de 6 ans doivent présenter un test PCR de moins de 48 h.
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L’immigration vers le Canada est devenue une opportunité intéressante pour les travailleurs étrangers notamment les algériens, qui faisant partie de l’Afrique francophone, souhaitent s’y installer et y travailler. Parmi les programmes mis en place par le gouvernement canadien nous avons le programme Arrima pour le Québec, nous avons déjà détaillé les étapes pour s’inscrire dans ce programme cependant, une question s’impose, comment se fait la sélection des candidats ?
Concernant la sélection de ces candidats, il y a deux points majeurs à retenir.
D’abord, les services compétents choisissent et sélectionnent les domaines selon la Classification nationale des professions (CNP), un système classifiant les emplois, ils choisiront par la suite les candidats en fonction de cela, compte tenu que chaque profession porte un code numérique, à titre d’exemple, 0111 pour les directeurs financiers.
Il convient de noter que cela peut snnignifier que vous qui avez 700 points cumulés n’allez pas être sélectionné et un autre candidat qui en a moins (500 points cumulés) le sera seulement en fonction de la profession et donc les besoins du marché québécois.
Critère indispensable, la langueEn effet, parmi les critères importants qui vous permettront d’augmenter vos chances et surtout vos points pour être accepté et obtenir la résidence permanente, c’est la langue. Pour ce programme spécial « Québec », le français est la langue exigée, une bonne maîtrise de l’anglais n’est pas demandée mais peut vous rajouter des points.
La majorité des tests de langue française sont acceptés comme : TCF Québec, TEF, TEF Canada, TCF, TCF Canada, DALF, DELF et TEF Québec. Vous devez avoir minimum un B1 pour votre test de français pour être accepté.
Pour ceux qui ont un diplôme en langue française ou qui enseigne le français, vous ne pourrez pas être exempté de ce test car il vous permettra d’augmenter vos points.
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Le dossier de l’automobile est au point mort depuis plusieurs mois. Après la chute brutale des cours de pétrole, le gouvernement a décidé de geler les importations des véhicules, mettant ainsi fin aux espoirs du consommateur algérien, et créant, par la même occasion, une flambée inédite au sein du marché des véhicules d’occasion.
Au niveau de la production locale, l’expérience de l’industrie automobile en Algérie a été un véritable fiasco. Pour les Algériens, cette période sonne plus comme une ère de « gonflage de pneu » qui a vite pris fin au moment où la rente pétrolière s’amenuisait.
Depuis, l’importation des véhicules ne cesse de refaire surface et de disparaitre. Évoqué par plusieurs responsables, dont le président de la république lui-même, ce dossier est devenu un interminable feuilleton qui n’arrive pas à trouver le bout du tunnel.
Importation de véhicules : une question de temps ?Après la dernière sortie du président Tebboune, ou il avait ordonné « la révision immédiate du cahier des charges », voilà que le ministre de l’Industrie livre les détails de cette entreprise qui est perçue par certains comme un retour au point zéro.
Selon Ahmed Zeghdar, le ministre de l’Industrie, l’octroi des agréments aux nouveaux concessionnaires sera immédiat, et ce, suite à la révision du nouveau cahier des charges, chose prévue, ajoute-t-il, fin du mois de janvier 2022.
C’est lors de son passage dans une émission de l’ENTV que le ministre de l’Industrie a insisté sur le fait que, suite à l’ordonnance du président concernant la révision du cahier des charges, une commission a été mise en place afin de le préparer pour la fin du mois de janvier 2022.
Zaghdar affirme qu’il ne s’agit pas d’un retour à zéro, bien au contraire. Il assure que le processus d’octroi d’agréments aux concessionnaires va être cette fois immédiat, et se fera directement après la mise en place du nouveau cahier des charges.
Selon le même intervenant, ce nouveau cahier des charges sera marqué par une grande flexibilité et par la suppression de plusieurs obstacles précédemment observés dans le processus.
Cahier des charges : les raisons derrière la révisionLe ministre affirme que derrière cette nouvelle révision se nichent des raisons qui tendent à faciliter le processus de l’importation des véhicules. Il affirme que l’ancien cahier des charges englobait tous les types de véhicules (voitures, bus, camions, motos), et que le nouveau va être simplifié et détaillé, en précisant les conditions propres à chaque type.
Zeghdar assure également que plusieurs obstacles qui pouvaient dissuader bien des concessionnaires ont été supprimés, et cela, tout en prenant soin de garantir des véhicules de bonne qualité aux algériens, et en se basant notamment sur le volet du « service après-vente ».
Pour conclure, le ministre de l’Industrie a également affirmé que l’Algérie a entamé des négociations avec plusieurs constructeurs mondiaux d’automobile, notamment des marques européennes et asiatiques, afin de lancer « une véritable industrie automobile et non des usines de gonflage de pneus ».
Concernant les prix, le ministre a indiqué que « la marge du bénéfice sera prise en considération tout en collaborant étroitement avec les services du ministère du Commerce et d’autres ministères afin de fixer le cout de chaque produit »
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La dévaluation de la monnaie nationale inquiète les spécialistes, mais aussi les citoyens. Outre le pouvoir d’achat qui est en perpétuelle détérioration, la valeur du Dinar algérien face aux principales devises est en chute libre, notamment devant le Dollar américain et l’Euro.
Au Square Port-Saïd, dans la capitale Alger, les cambistes voient enfin leurs affaires tourner de nouveau, et ce, suite à la reprise des vols commerciaux. Un seul Euro s’échange aujourd’hui sur le marché noir contre 214.50 dinars algériens à l’achat et 216.50 dinars algériens à la vente.
Concernant la monnaie étasunienne, une stabilité est constatée depuis quelques jours. Un seul Dollar américain est cédé par les cambistes contre 190 dinars algériens à l’achat et contre 193 dinars algériens à la vente.
Le Dollar Canadien quant à lui est toujours cédé contre 140 dinars algériens à l’achat et contre 143 dinars algériens à la vente.
Enfin, la Livre Sterling trône toujours sur le marché parallèle. Un seul Pound est cédé aujourd’hui contre pas moins de 248 dinars algériens à l’achat et contre pas moins 250 dinars algériens à la vente.
Les cotations officielles de la Banque d’AlgérieÀ la banque d’Algérie, la valeur de la monnaie nationale est loin de s’améliorer. Face aux principales devises, notamment l’Euro et le Dollar américain, le Dinar demeure en souffrance.
En effet, un seul dollar américain s’échange aujourd’hui aux guichets de la banque d’Algérie contre 138.92 dinars algériens à l’achat et contre 138.94 dinars algériens à la vente. Le Dollar Canadien quant à lui s’échange contre 109.85 dinars algériens à l’achat et 1.9.89 dinars algériens à la vente.
L’Euro, la monnaie unique européenne, est cédé contre 156.80 dinars algériens à l’achat et contre 156.86 dinars algériens à la vente.
La Livre Sterling demeure chère. Un seul Pound vaut 184.03 dinars algériens à l’achat et 184.10 dinars algériens à la vente.
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Les épisodes de pluies se poursuivent dans plusieurs wilayas du pays. C’est depuis le début de l’automne que l’Algérie connait des précipitations assez importantes, suite à un été particulièrement sec et caniculaire.
En effet, aujourd’hui, le 09 décembre 2021, l’Office National de météorologie a annoncé que plusieurs wilayas du pays vont connaitre des pluies dont les quantités varient d’une région à l’autre. L’ONM a également affirmé que des vents forts vont traverser une bonne partie du territoire national.
Pluies et vents violentsDans une alerte orange, l’ONM a mis en garde contre des « pluies parfois sous forme d’averses avec rafales de vent sous orages » dont la quantité varie entre « 20 et 40 mm ».
Ces pluies toucheront, précise la même source, les wilayas de Tizi-Ouzou, Bejaia, Jijel, Skikda, Annaba, El Tarf, Bordj Bou Arreridj, Sétif, Mila, Constantine, Guelma et Souk Ahras. Il s’agit là d’un BMS valide du mercredi 08 décembre 2021 à 18 h 00 au jeudi 09 décembre 2021 à 15 h 00.
Outre cette alerte orange, d’autres wilayas connaîtront des précipitations moins importantes. Il s’agit notamment de Boumerdes, Alger, Tipaza, Ain Defla, Bouira, et Médea. Des vents de 60/70 km/h pouvant atteindre ou dépasser 80 km/h seront aussi au rendez-vous, affirme aujourd’hui l’ONM, et plusieurs wilayas vont être touchées. Il s’agit des wilayas d’Alger, Tipaza, El-Oued, Laghouat, Touggourt, Msila, Tiaret, Oum-EL-Bouaghi, Tebessa, Chlef, Batna, Djelfa, EL-Bauadh, EL-Mghair, Khenchela, Ain Defla, Médea, Biskra, Saida, Naama, Boumerdes, Bouira, Ouled Djellal, et Blida.L’article Météo : pluies et vents violents sur plusieurs wilayas est apparu en premier sur .
OPPO Algérie et la Trust Bank Algeria, organisation bancaire leader en Algérie, annoncent leur coopération à travers la signature d’une convention commune pour le lancement d’un partenariat visant l’achat d’un ou plusieurs smartphones OPPO fabriqué en Algérie d’une valeur supérieure ou égale à 50 000 da, et tout ceci rendu possible avec en prime zéro avance !
Consciente de l’évolution des comportements de sa clientèle de particuliers (notamment jeunes, jeunes actifs et grands publics), des tendances actuelles pour les amateurs de la photographie mobile, puisque grâce à cette collaboration actée avec pour objectif de permettre l’achat par facilité des smartphones OPPO, sur des échéances mensuelles fixes pouvant aller jusqu’à 24 mois, ce qui permet d’acquérir un OPPO Reno5 à 2745 DA/mois ou encore un OPPO A94 à 2469 DA/mois.
C’est ainsi, que Trust Bank Algeria s’est associée avec le géant fabricant de smartphones OPPO sur le marché Algérien afin de permettre à leurs clients de vivre et profiter des dernières avancées technologiques polyvalentes, notamment grâce à un design épuré, un chargement rapide et durable, un mode de photographie des plus futuriste qui rendront heureux les amateurs de photographie et les vidéastes.
Pour bénéficier du financement « RAHATI SMART », rien de plus simple il suffit de faire une simulation en ligne en cliquant ici, avoir une réponse en moins de 48h de par la Trust Bank Algeria avant de récupérer vos smartphones OPPO, en premier lieu au niveau des OPPO stores officiels sis à Alger centre, Dely Brahim, Bejaïa, Batna, Annaba, Oran et Tlemcen, puis l’opération va s’élargir au niveau de tous les partenaires d’OPPO Algérie.
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Coca-Cola vient de dévoiler une nouvelle philosophie et une nouvelle plateforme de marque mondiale appelée « Real Magic », qui invite à célébrer la véritable magie de l’humanité.
Cette nouvelle plateforme vient apporter un renouveau à la promesse de la marque, pertinent face au contexte sanitaire actuel : fédérer l’humanité et célébrer plus que jamais les moments ensemble.
Real Magic s’est construite à partir des leçons de ces 18 derniers mois : nous pouvons trouver de la magie dans nos petits moments de vie et transformer ainsi notre quotidien en moments extraordinaires. La plateforme illustre les nombreuses contradictions caractéristiques de notre époque et notamment le fait que les nouvelles générations trouvent l’harmonie et la connexion humaine dans un monde virtuel et divisé.
« Coca‑Cola est une marque définie par les dichotomies : elle est humble et iconique, elle est authentique et secrète à la fois, c’est une marque ancrée dans la réalité et qui ne cesse d’apporter des moments magiques », a déclaré Manolo Arroyo, Chief Marketing Officer de The Coca‑Cola Company. « La philosophie Real Magic est ancrée dans la conviction que les dichotomies peuvent rendre le monde plus intéressant : un monde composé de personnes extraordinaires, d’opportunités inattendues et de moments merveilleux. Real Magic capture l’essence même de Coca‑Cola : un vrai goût indescriptible, unique, une vraie touche de magie. »
Real Magic est la première refonte mondiale de la plateforme de marque Coca‑Cola depuis 2016. Elle est lancée parallèlement à une identité visuelle rafraîchie, avec une nouvelle perspective du logo, qui sera désormais présente dans l’ensemble du marketing de Coca- Cola. Ce nouveau logo reprend la forme iconique de la célèbre bouteille contour et vient enlacer les moments de magie célébrés par Coca‑Cola. Cette forme unique de « câlin » incarne la promesse de la marque de rassembler. Son style à la fois épuré et audacieux renforce son iconicité.
Pour donner vie à la plateforme Real Magic, Coca‑Cola collabore avec des artistes, des photographes et des illustrateurs qui adopteront le nouveau « Hug Logo ». À travers chacune de leurs visions, sans filtres, ils illustreront, chacun à leur façon, des moments de magie quotidienne de manière inclusive et collective, mais aussi individuelle et expressive. Parmi les artistes et agences créatives, on retrouve Wieden+Kennedy London, KnownUnknown et Kenyon Weston.
« Real Magic n’est pas simplement une tagline ou une campagne ponctuelle : Il s’agit d’une philosophie de marque et d’une vision à long terme qui guidera le marketing et les communications futures de la marque Coca‑Cola », a déclaré M. Arroyo.
Real Magic est lancé avec une nouvelle campagne intitulée « One Coke Away From Each Other ». Le nouveau film publicitaire, diffusé à partir du 4 octobre en Algérie, plonge le téléspectateur dans l’univers fantastique du gaming, et mêle le réel au virtuel. Et si, Coca‑Cola pouvait créer des ponts et tisser des liens entre des univers censés être séparés ? C’est là que réside la beauté créative de ce nouveau film. Trois célèbres gamers sont mis en scène dans ce film : DJ Alan Walker, Aerial Powers de Team Liquid et Average Jonas.
Coca‑Cola s’est associé à l’agence de publicité BETC London afin de concevoir la campagne « One Coke Away From Each Other », ainsi qu’au réalisateur Daniel Wolfe et à la société de production Mathematic, spécialiste des jeux et des images de synthèse.
« Grâce à la plateforme Real Magic, nous voulons engager de manière très différente à travers un écosystème d’expériences uniques et personnalisables », explique Manolo Arroyo.
« La campagne « One Coke Away From Each Other » a été conçue pour, et avec, une communauté qui exige quelque chose de différent de ce qu’elle a pu attendre de Coca‑Cola par le passé. En développant cette campagne, nous nous sommes associés aux meilleurs créateurs, aux joueurs, à Twitch et à d’autres, pour trouver notre place dans une réalité différente de tout ce que nous avons connu auparavant. C’est extrêmement excitant! », conclut-il.
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Alors que la pandémie connaît chaque jour un rebond inquiétant en Algérie touchant principalement les adultes, la thèse d’une « situation sous contrôle » de la Covid-19 s’estompe peu à peu notamment avec l’apparition de nouveau variant « Omicron » et le relâchement flagrant constaté dans le respect des mesures préventives.
La direction de la santé et de la population de la wilaya d’Oran, a dressé, ce mercredi, un bilan inquiétant des cas de contamination à la Covid-19 parmi les enfants. Le chiffre est pour le moins qu’on puisse dire, effarant. 76 enfants dont l’âge varie entre 4 et 14 ans ont été enregistré ce mois. C’est-à-dire 2 à 3 cas positifs chaque jour parmi cette tranche de la société.
Les cas contaminés étaient asymptomatiquesPar ailleurs, la direction de la santé précise que les 76 cas recensés parmi les enfants ne présentaient aucuns symptômes du virus et ne nécessitaient pas des soins médicaux, soulignant que leur infection était forcément due à la contamination des adultes vivant sous le même toit. Pour ce qui des enfants scolarisés, la direction a fait état de 9 cas positifs enregistrés ces dernières semaines dans certains lycées.
Constatant la gravité de la situation, la direction de la santé de ladite wilaya a mis l’accent sur la nécessité de respecter les mesures préventives ajoutant que les enfants sont parmi les principaux facteurs de transmission du virus.
Pour rappel, ce n’est pas la première fois que la wilaya d’Oran connaît une hausse de contamination parmi les enfants. En aout dernier, ladite direction a enregistré près de 80 cas positifs en un mois.
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Nommé Directeur général d’Alstom Algérie en juillet 2020, Amar Chouaki revient dans cet entretien sur plusieurs points liés aux activités de son groupe spécialisé dans les systèmes de mobilité.
Qui est Ammar Chouaki ?
Je suis diplômé de l’École nationale polytechnique. Mon expérience est principalement acquise dans l’industrie aéronautique au niveau d’ingénierie et maintenance. J’ai acquis également une expérience ferroviaire. J’ai entamé ma carrière en France en tant que maître de conférences en mécanique avant d’intégrer le monde industriel avec des activités à l’international.
Durant ma carrière, j’ai occupé des postes où j’ai mis en place des partenariats allant des contrats commerciaux simples jusqu’à la mise en place de coentreprises à l’international.
Vous avez été nommé à la tête d’Alstom en plein début de pandémie. C’était comment ?
La crise sanitaire dédoublée par une crise économique avait un impact sans précédent sur de nombreuses entreprises. En ce qui nous concerne, notre priorité était la mise en place d’un ensemble de mesures sanitaires préventives afin de protéger nos collaborateurs et leurs proches.
Pour ce faire, nous avons fait appel à un certain nombre de moyens tel que le télétravail dans la mesure du possible, la prise de congé … et ce, dans l’objectif de contenir au mieux le risque sanitaire.
Le second aspect de la crise était de répondre aux attentes de nos clients, car certes, il y avait une crise, mais ils voulaient voir leurs projets avancer. Ainsi, on avait essayé d’assurer la continuité de nos projets tout en renforçant les mesures préventives dictées par les autorités.
Il faut noter que cette situation a clairement démontré la capacité de nos équipes qui ont fait preuve d’agilité, tout en faisant preuve de professionnalisme. En effet, l’ensemble de nos projets ont été menés de front, et ce, grâce à la motivation de nos équipes.
Et je profite de cette occasion pour rappeler qu’Alstom Algérie est composé à 100% de ressources algériennes. La majorité de nos collaborateurs sont issus d’écoles algériennes. Ainsi, je précise qu’Alstom Algérie est de droit algérien et est gérée par une équipe algérienne.
Quels sont vos objectifs ?
Il faut comprendre qu’au niveau du marché ferroviaire, il y a deux grands segments : le segment urbain et le segment « mainline » c’est-à-dire le transport régional. Actuellement, nous sommes déjà positionnés dans ces deux segments et nous comptons participer le plus fortement possible à leur développement dans le pays.
Il y a trois produits principaux dans le domaine de la mobilité : le matériel roulant, la partie système et infrastructure et l’exploitation et la maintenance. Chez Alstom Algérie, on se positionne sur l’ensemble de ce portefeuille de produits.
Plus précisément, nous sommes déjà installés sur la partie urbaine et régionale, mais nous souhaitons aller encore plus loin, notamment conformément aux besoins exprimés concernant des extensions de ligne de tramway ou de métro ou encore la création de systèmes de tramway au niveau des nouvelles villes.
Au niveau du transport régional et de grandes lignes, nous sommes également attentifs aux besoins définis en Algérie, dont les lignes minières qui sont l’une des priorités du pays.
Comment voyez-vous l’avenir du transport en Algérie ?
Si l’on prend en considération les annonces que font les acteurs dans le domaine, on se rend compte que l’orientation que l’Algérie prend, consiste à aller vers le développement de l’énergie renouvelable et de l’énergie propre. Il s’agit d’une orientation fondamentale.
Chez Alstom Algérie, nous sommes convaincus que la mobilité sera de plus en plus verte, numérique et interconnectée. À ce titre, nous comptons investir environ 600 millions d’euros par an en recherche et développement.
Nous sommes également en train de mener des activités de R&D pour le développement de batteries en ce qui concerne les courtes distances.
Pour les longues distances, pouvant atteindre les 1 000 km, on développe des piles à combustible qui sont alimentées par de l’hydrogène. Dans ce domaine, je tiens à réitérer que nous sommes les pionniers dans le monde.
Un autre exemple qui intervient dans le cadre de l’investissement d’Alstom, les processus de fabrication et d’assemblage du matériel roulant. Ici, on compte développer de nouvelles méthodes qui vont améliorer de manière significative les processus connus jusqu’à présent.
Alstom est souvent pointée du doigt pour les retards de réalisation des projets, pourquoi ?
C’est surtout sur les projets système et infrastructure, notamment en ce qui concerne les tramways, que l’on évoque le nom d’Alstom. Quand on parle de ces projets, par exemple ceux de Mostaganem et Constantine, il faut savoir que ce sont des projets très complexes et qui nécessitent une coordination très importante entre les parties prenantes.
En effet, il y a différents corps de métier qui doivent se coordonner (génie civil, construction bâtiment, construction de voies ferrées, installation de systèmes). Toutes ces parties doivent coordonner pour que l’on puisse réaliser un projet conformément aux attentes du client. Mais sur les chantiers, les intervenants et les activités sont interdépendants.
Durant la phase finale d’un projet, il y a une forte attention de la part des clients et des médias, car il y a la réalisation de tests. Alstom supervise cette phase. Ce qui nous rend donc tributaire si une partie, non relative à Alstom, rencontre des soucis. Autrement dit, si le projet a dérivé depuis un certain temps, indépendamment de notre volonté, nous nous retrouvons sous les projecteurs.
En parlant du tramway de Mostaganem, quand sera-t-il livré ?
Ce projet a été attribué par l’entreprise du métro d’Alger en 2013 à un consortium. Et quand on parle d’un groupement d’entreprises, il y a toujours un partenaire qui joue le rôle de chef de fil et qui est l’interface avec le client.
Le chef de fil de ce projet a décidé de se retirer, ce qui par conséquent, a désorganisé complètement le projet. Il a donc fallu trouver un remplaçant, identifier de nouveaux acteurs, trouver une nouvelle répartition des différentes tâches du projet. Ce qui, comme vous pouvez l’imaginer, prend du temps.
Ce que je peux dire aujourd’hui c’est que les différents points de blocage ont été levés, les activités retrouvent un rythme optimal. Pour répondre à votre question, je pense qu’on est dans la mesure de faire une livraison au premier trimestre de l’année 2022.
Prévoyez-vous de lancer d’autres projets ?
Il y a des projets qui devraient voir le jour, dont notamment le désengorgement de la capitale. Pour pouvoir entreprendre ces projets et pouvoir contribuer à leur développement, nous avons un certain nombre d’atouts qui ont déjà été présentés et prouvés en Algérie.
En effet, nous avons acquis Bombardier Transport ; Alstom a donc doublé de taille, étendu son portefeuille de produits et aujourd’hui c’est plus de 70 000 collaborateurs Alstom, dont des experts, à travers le monde, qui sont prêts à accompagner nos clients et répondre à leurs besoins de mobilité.
Une enquête a été récemment ouverte concernant les marchés accordés à Alstom estimés à 20 000 milliards de centimes. Un commentaire ?
Nous avons effectivement appris par le biais de la presse l’ouverture d’une enquête. Je souhaiterais souligner qu’Alstom dispose d’un programme de conformité, et ce, dans tous les pays où le groupe est présent. Des dispositions sont mises en place avec comme objectif prioritaire : pour la prévention de la corruption.
Les règles d’Alstom définissent des lignes directrices claires dans le cadre des relations avec les autorités publiques, les clients et dans d’autres domaines où il pourrait y avoir de la corruption ou des risques de non-conformité.
On cherche de manière permanente à améliorer notre programme. Il convient également de noter qu’Alstom a été l’une des premières entreprises au monde à obtenir, en 2017 et 2019, la certification AFAQ ISO 37001, qui vise à prévenir, détecter et combattre la corruption par la mise-en-œuvre d’un système de gestion anti-corruption.
Par Massin Amrouni et Merzouk Abdelaziz
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Depuis la rentrée scolaire et sociale, les embouteillages ont refait surface dans la capitale. Les habitants d’Alger se retrouvent presque chaque jour, durant les heures de pointe, bloqué au milieu de bouchons interminables.
Face à cette situation, le gouvernement s’est lancé dans les préparatifs d’un plan de décongestion du trafic routier de la Capitale. Ce dernier a été abordé ce mercredi 8 décembre à la réunion du gouvernement présidée par le premier ministre Aïmene Benabderrahmane.
Kamel Nasri fait le pointLors de la réunion, le Ministre des Travaux Publics, Kamel Nasri, a présenté une communication relative au plan de la décongestion du trafic routier d’Alger.
Selon un communiqué des services du premier ministre, ce plan aborde les projets structurants devant atténuer le trafic routier sur les deux grands axes de l’Autoroute de l’Est et la rocade Sud, en fonction des prévisions d’évolution du trafic.
Dans ce cadre, il a été présenté différentes variantes pour l’extension des capacités de ces axes en recourant aux meilleurs choix sur le plan technique. Aussi, un point de situation a été fait quant à l’état d’avancement des projets déjà engagés durant les deux derniers mois.
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En pleine crise économique, l’Algérie tente de remettre sa politique d’investissement sur les rails. Après les dernières déclarations faites par le premier ministre, ministre des Finances, Aimene Benabderrahmane, voilà que c’est le médiateur de la république, Brahim Merad, qui s’adresse aujourd’hui aux investisseurs.
En effet, aujourd’hui, le 08 décembre 2021, la médiation de la république, dans un communiqué rendu public, a invité les investisseurs confrontés à des obstacles administratifs à faire part de leurs préoccupations au niveau de ses sièges régionaux, et ce, dans n’importe quelle wilaya du pays.
Lutte contre la bureaucratieToujours selon le même communiqué, il est fait note que « le médiateur de la République informe tous les investisseurs qui sont confrontés à des problèmes liés à des obstacles administratifs les empêchant de réaliser le lancement de leurs activités, qu’ils peuvent exposer leurs préoccupations, au niveau central ou de régional, devant les représentants du médiateur de la République ».
Ces représentants, ajoute le communiqué « sont présents dans toutes les wilayas du pays, en plus de la circonscription administrative de Debdab ».
Le communiqué affirme aussi que les investisseurs seront écoutés et « l’on s’occupera de leurs problèmes afin de leur trouver des solutions dans les plus brefs délais, et ce, en collaborant directement avec les services concernés ».
Le communiqué a indiqué enfin que la Commission du Médiateur de la République est au service des opérateurs économiques en leur qualité de citoyens qui contribuent à faire tourner la roue de la croissance et à créer de la richesse et des emplois.
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Les prix, ce sujet épineux qui a fait couler beaucoup d’encre a fâche les citoyens et a fait indigné la classe politique, et ce, principalement dans le domaines des transports (vols et traversées). Des prix jugés « exorbitants » et excessivement chers ont longtemps refroidi les voyageurs et la diaspora algérienne, ils ont également été au cœur du débat à l’Assemblée populaire nationale (APN).
La compagnie aérienne nationale Air Algérie a occupé le débat politique concernant les prix excessifs des billets même après l’augmentation du nombre des vols. Quant à l’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (ENTMV), son PDG Issad Kamel a tenu à affirmer que les prix sont les mêmes que ceux d’avant la pandémie du Covid-19, qui pour rappel, a entraîné de réels crises financières pour plusieurs entreprises.
Intervenant sur les ondes de la Radio nationale chaîne II, le PDG de l’ENTMV a souligné « l’Entreprise a maintenu les mêmes tarifs appliqués avant 2020, et ce malgré les difficultés de l’entreprise du fait la crise sanitaire », donnant comme exemple le prix d’un billet aller – retour pour la traversée Alger – Marseille avec véhicule, maintenu à 56 000 DA.
La reprise des traversées est une « bouffée d’oxygène »En effet, l’autorisation du gouvernement algérien de reprendre les traversées maritimes n’a pas été une bonne nouvelle seulement pour la communauté algérienne établie à l’étranger et pour les voyageurs, mais aussi pour l’ENTMV qui est sortie de l’inactivité.
Issad Kamel a également rappelé que les billets achetés avant la crise sanitaire du Covid-19 sont valables jusqu’à consommation avec possibilité de remboursement.
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Les matchs réunissant l’Algérie et l’Égypte ont toujours provoqué une haute tension et ont été joués sous une grande pression, et ce, même pour les rencontres des équipes nationales A’.
C’était d’ailleurs le cas de la confrontation de ce mardi à Doha au Qatar. En effet, notre sélection nationale A’ a affronté son homologue égyptienne, dans le cadre de la finale du groupe D de la Coupe Arabe.
À la fin de ladite rencontre, les deux équipes adverses se sont quittées par un score d’égalité (1-1). Toutefois, une mauvaise surprise s’est annoncée lors de la première mi-temps : Baghdad Bounedjah a subi une grave blessure qui lui a coûté de quitter le terrain. Il s’agit en effet, d’une commotion cérébrale suite à un choc avec le gardien égyptien Mohamed El-Sehnawy.
« J’ai fait les tests nécessaires et tout va bien » (Bounedjah)À cet effet, l’international algérien est sorti enfin au public, pour la première fois après la blessure subie lors de la confrontation face à l’Égypte, pour s’exprimer, mais aussi rassurer sur son état de santé.
Dans des déclarations accordées à la chaine officielle de la Fédération algérienne de football, Baghdad Bounedjah affirme qu’après avoir eu des tests approfondis à l’hôpital de Doha mardi, son état de santé n’est pas préoccupant : « j’ai fait les tests nécessaires, et tout va bien », déclare-t-il, en ajoutant qu’il reste sous l’examen du personnel médical de l’équipe nationale.
« J’attends le feu vert du personnel médical pour reprendre l’entraînement avec le groupe, et je vais travailler pour participer au prochain match contre le Maroc », poursuit-il.
Par ailleurs, l’attaquant des Verts a souligné : « ce qui m’est arrivé est tout à fait normal dans le monde du ballon rond et le gardien égyptien ne m’a pas délibérément blessé, car sa sortie était pour défendre son but ».
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Alors que les autorités ont annoncé l’obligation, à partir du 6 décembre, du pass vaccinal pour les citoyens souhaitant voyager par voie maritimes, au vu de la situation sanitaire « inquiétante » marquée par l’arrivée d’un nouveau variant « Omicron », le transport aérien, lui, n’est pour l’instant pas concerné par cette mesure. Bien plus que cela, il connaît une effervescence d’offres, les une plus intéressantes que les autres.
En effet, les programmes de vols de la compagnie aérienne Air Algérie et celles étrangères sont toujours maintenus jusqu’au début de l’année prochaine.
Une effervescence de vols vers l’Algérie!Plusieurs offres de vols vers l’Algérie ont été annoncé à l’heure où certains pays, à l’instar du Maroc, se referment sur eux-mêmes, citant à titre d’exemple la compagnie aérienne espagnole qui se dit « Low-Cost » Volotea dont les vols vers l’Algérie sont programmés pour le 16 décembre prochain. La compagnie va donc exploiter des lignes jamais desservies auparavant vers Oran depuis l’aéroport de Marseille, et vers Alger depuis l’aéroport de Bordeaux. Les billets sont désormais disponibles pour les réservations sur le site de la compagnie.
Par ailleurs, une nouvelle compagnie aérienne espagnole pointe son nez. Il s’agit de Air Nostrum. Cette dernière a obtenu une autorisation pour effectuer une desserte par semaine vers l’Algérie entre Madrid et Alger.
Programme de Vols d’Air NostrumLe premier vol d’Air Nostrum a été opéré le 6 décembre dernier. Néanmoins, la compagnie espagnole assure un vol qui est prévu tous les lundi à 11h40 pour un départ de Madrid. Pour ce qui est du retour, un vol est programmé à 14h10 pour un départ d’Alger.
Les voyageurs seront donc gâtés par les offres de vols avec l’arrivée de la nouvelle desserte. Il convient donc de rappeler le programme de vol entre l’Algérie et l’Espagne. Pour Air Algérie, la compagnie assure le vol entre Alger vers Barcelone disponible Mardi ,mercredi ,vendredi et samedi.
Pour ce qui est de la compagnie espagnole « low-cost »Vuelingn, le programme de cette dernière est présenté comme suit : Barcelone-Alger-Barcelone tous les Dimanche, mardi et jeudi; Barcelone-Oran-Barcelone tous les Dimanche.
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