Suites aux différentes offres proposées par le Canada, de plus en plus d’étudiants algériens s’intéressent au pays d’érable pour poursuivre leurs études. Pour une meilleure intégration et adaptation à la vie au Canada, des sessions sont organisées au profit des étudiants nouvellement arrivés.
En effet, le Consulat Général d’Algérie à Montréal a annoncé via sa page Facebook qu’une session d’information et d’orientation sera organisée au profit des étudiants algériens nouvellement arrivés au Canada.
Il s’agit d’une rencontre entre des représentants du Consulat Général, des étudiants déjà inscrits dans les universités canadiennes ainsi que des intervenants communautaires de divers horizons, qui animeront cette session afin de faciliter aux étudiants algériens, nouvellement arrivés, de connaitre les différents aspects de la vie au Canada.
D’après la même source, la session aura lieu le dimanche, 26/12/2021 de 9h à 13h au siège du Consulat Général d’Algérie à Montréal sis au 3415, St-Urbain. Par ailleurs, le communiqué du consulat précise que les étudiants désirant assister à cette session devront s’inscrire en envoyant un courriel à l’adresse suivante : consalgmtl@consulatdz.ca
Le Canada multiple les offres au profit des étrangersDepuis l’apparition de la pandémie de covid-19, de nombreux pays ont connu des pénuries d’effectif dans différents domaines, raison pour laquelle les offres se sont multipliées pour attirer les travailleurs et étudiants étrangers.
Le Canada a titre d’exemple a lancé divers programmes notamment « Entrée Express » qui permet d’avoir une résidence permanente ou encore le programme « Arrima » qui concerne exclusivement le Québec. À cela s’ajoute, le programme « Destination Canada », qui est considéré comme une véritable opportunité pour les personnes cherchant un emploi.
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À quelques heures de la rencontre footballistique entre l’Algérie et le Maroc, un clip musical du chanteur algérien Cheb Khaled refait surface et crée le buzz sur les réseaux sociaux. Or, le clip en question s’avère ancien d’autant qu’il est sorti il y a plus d’une année.
En effet, il s’agit d’un clip où le King du Rai glorifiait l’équipe marocaine de Football. Une polémique vient d’éclater à ce sujet à quelques heures de la rencontre footballistique entre l’Algérie et le Maroc dans le cadre de la Coupe arabe.
Il faut également noter que tout cela intervient dans un contexte diplomatique assez tendu entre les deux pays, d’où cette polémique et cette campagne de haine dont est victime le chanteur.
En réaction à toute cette polémique, le chanteur algérien a posté ce samedi un message sur sa page Facebook soulignant qu’il a « toujours rêvé d’un Maghreb uni, par extrapolation, d’un beau vivre ensemble sur toute notre belle planète ».
Le message « d’amour » de KhaledConcernant l’évènement sportif, en l’occurrence la Coupe arabe, le chanteur ajoute : « Je serai heureux que cette coupe revienne au Maghreb uni, je soutiendrai toujours mon Maghreb uni ».
D’ailleurs, il précise que « les artistes n’ont pas à être des alibis dans des tensions, qu’ils voudraient, au contraire, voir s’arrêter définitivement ».
Le chanteur du Raï a terminé son appel par un message d’amour, d’union et de fraternité ; « Aimons-nous les uns les autres et surtout aimons-nous vivants. Paix et fraternité à tous ».
Il convient de rappeler que Cheb Khaled a été, depuis la « rediffusion » de ce fameux clip hier soir sur les réseaux sociaux, victime d’une « campagne de haine ». Plusieurs personnalisés, dont des artistes, l’ont fustigé, croyant qu’il s’agit d’une nouvelle chanson.
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Plusieurs démarches et décisions ont été prises à l’issue de la conférence nationale sur l’industrie, clôturée la semaine dernière. Le parti des travailleurs revient sur les principales conclusions de cette conférence tout en dénonçant les démarches décidées.
Dans un communiqué rendu public à l’issue de sa réunion hebdomadaire tenue ce samedi 11 décembre 2021 à Alger, le parti de Louisa Hanoune indiqué qu’il « a pris connaissance des premières conclusions de la conférence nationale sur l’industrie, organisée par le gouvernement les 5 et 6 décembre 2021 ».
Soulignant que le Premier ministre avait reconnu « l’apport insignifiant de l’industrie au produit intérieur brut, entre 5 et 6 % en raison des politiques mises en œuvre depuis des décennies », le PT indique que le PM « a annoncé l’accélération et l’accentuation des mêmes politiques qui ont fragilisé le secteur industriel national jusqu’à menacer son existence ».
Pour le parti des travailleurs, « les mêmes politiques produisent les mêmes effets ». Il s’agit, selon la même source, du « retour aux privatisations/ouvertures du capital des entreprises publiques au profit du privé national et étranger notamment » et « la généralisation du prétendu partenariat public/privé ».
Le PT prévoit « des lendemains sombres pour le tissu industriel national »À cela s’ajoute « l’élargissement de tous les types d’exonérations fiscales et parafiscales au profit de pseudo investisseurs avec en prime la privatisation des banques publiques, lesquelles faut-il le rappeler ont contribué au maintien de pans entiers de l’industrie nationale et de l’emploi », souligne-t-on encore.
Le PT estime que cela « va accélérer la mise à mort du patrimoine industriel du pays, élément constitutif des bases matérielles essentielles de la nation ». Plus loin encore, le parti affirme que « cette politique qui a montré son caractère destructeur annonce des lendemains sombres pour le tissu industriel national ».
En outre, la même formation politique rappelle que ce tissu industriel national est « déjà mis à rude épreuve par l’ouverture totale du marché national aux produits de l’importation, en conséquence de la mise en œuvre de l’accord d’association avec l’Union européenne et des concessions faites à l’OMC alors que notre pays n’en est même pas membre ».
Par conséquent, le parti y voit carrément un danger dont les répercussions peuvent être fatales à plusieurs niveaux. En effet, « il alerte sur le danger de cette politique et ses conséquences sur l’indépendance économique du pays et sur la cohésion nationale », lit-on encore dans le communiqué.
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Une agence de banque constantinoise a été le théâtre d’un détournement de plus de 700 milles euros, à la suite de la découverte par les inspecteurs de ladite banque d’opérations frauduleuses ayant causé la perte d’importantes sommes d’argent en devise.
Selon un communiqué de la cellule de communication et des relations publiques de la sûreté de wilaya de Constantine, une enquête a été lancée par la brigade économique et financière de la police judiciaire, pour mettre la lumière sur cette affaire.
Quatre employés de la banque sont en effet impliqués et font actuellement l’objet d’une instruction judiciaire à la suite de la mise à nu d’un découvert bancaire au niveau d’un des comptes en devises de l’agence constantinoise dont le nom n’a pas été dévoilé.
Liste des chefs d’accusationEn outre, l’enquête policière a révélé que les employés avaient entre 2015 et 2020, effectué des opérations de changes dans le cadre de l’allocation touristique en utilisant plusieurs passeports à l’insu de leurs propriétaires. Plus de 700 milles euros, aurait été écoulée sur les places du marché de change parallèle.
Poursuivis pour utilisation malhonnête et intentionnelle à des fins personnelles de fonds d’un établissement bancaire, mauvaise exploitation d’une fonction et abus de pouvoir, en violation de la législation et de la réglementation relatives aux échanges et aux mouvements de capitaux vers et depuis l’étranger, en ne respectant pas les procédures prévues et les formalités requises.
Les quatre mis en cause dont l’age varie entre 33 et 61 ans ont été présentés devant le parquet du tribunal de Ziadia pour répondre à l’ensemble des chefs accusations pour lesquels ils sont poursuivis.
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La vente en ligne de toute sorte de médicaments sur les pages web et réseaux sociaux prend de plus en plus de l’ampleur. Face à cette situation, le Conseil national de l’Ordre des pharmaciens (CNOP) et le Syndicat national des pharmaciens d’officine (SNAPO), dénoncent et mettent en garde.
Dans un communiqué commun rendu public hier vendredi, ces deux organisations professionnelles dénoncent cette pratique. « La Commission nationale de coordination CNOP-SNAPO dénonce la vente en ligne, sur les pages web et réseaux sociaux, des médicaments », peut-on lire dans le document.
Selon la même source, il s’agit notamment des immédiatement « introduits de manière frauduleuse sur le territoire national, ce qui constitue un danger réel pour la santé de nos concitoyens par l’introduction de produits prohibés, non autorisés ou contrefaits ».
Nécessité « du respect des pratiques commerciales et déontologiques »Lors d’une réunion tenue au siège de l’Ordre des pharmaciens, la commission a également dénoncé « la vente concomitante par certains distributeurs et la vente en packs imposées aux pharmaciens, notamment lorsqu’il s’agit de médicaments essentiels en rupture ou sous tension ».
Dans ce sens, les deux organisations déplorent « la perturbation du marché du médicament, causée par certains spéculateurs, notamment par la rétention des produits ». En outre, elles « dénoncent les pratiques déloyales, entre autres le compérage, la concurrence anti-déontologique et la recherche de la clientèle par des procédés réprimés par la loi ».
Ainsi, la Commission nationale de coordination CNOP-SNAPO exige, à travers son communiqué, « le respect des pratiques commerciales et déontologiques par les laboratoires et établissements pharmaceutiques ».
Par ailleurs, l’on a également noté « qu’enfreindre les règles de l’exercice pharmaceutique, expose son auteur à des sanctions disciplinaires, allant de l’avertissement à la fermeture de l’officine ou de l’établissement ».
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Après la hausse des cas de contaminations enregistrée dans les établissements solaires notamment ceux de Tizi-Ouzou et Oran, la question de la vaccination des enfants refait surface.
Dans une déclaration à la presse, le ministre de la Santé a affirmé hier, 10 décembre que son département a étudié les récents évènements relatifs à la situation épidémiologique en Algérie, plus particulièrement dans le milieu scolaire.
Aujourd’hui, samedi 11 décembre, le même responsable est revenu avec de nouvelles déclarations. En effet, Abderrahmane Benbouzid a mis fin au débat en déclarant qu’il n’y pas pour le moment de campagnes de vaccinations destinées aux élèves.
Cependant, le responsable n’a pas omis d’apporter quelques précisions. « Si une décision relative à la vaccination des élèves s’impose, la priorité serait accordée aux enfants souffrants de maladies chroniques », a précisé Benbouzid avant d’ajouter que l’Algérie utiliserait à cet effet le vaccin Sinovac.
Ainsi, « les autorités sanitaires s’appuieront sur des essais cliniques et sur les résultats des autres pays au cas où la vaccination des enfants deviendrait nécessaire en Algérie », poursuit le responsable.
La vaccination des enseignants débutera demainDans le même contexte, le ministre de la Santé a indiqué qu’une campagne de vaccination destinée aux enseignants, débutera demain, dimanche 11 décembre, au sein des établissements scolaires, et ce, dans l’objectif d’assurer une sécurité sanitaire et pourquoi pas une immunité collective.
En effet, le taux de vaccination en Algérie est de 27 %, un chiffre insuffisant face au danger des mutations et apparitions de nouvelles souches, à l’instar de « Omicron ». En conclusion, rappelons que 13 millions de doses de vaccin anti-covid sont actuellement disponibles en Algérie.
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Le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a adressé, ce samedi, une lettre à l’occasion de la commémoration des manifestations du 11 décembre 1960, survenues dans plusieurs villes du pays en signe de rejet de la visite du président français De Gaulle en Algérie.
À travers sa lettre, le président de la République a affirmé que « les manifestations du 11 décembre 1960 ont confirmé que le peuple algérien avait atteint un point de non-retour dans sa quête vers la libération ». Il s’agit « d’un signe de la fin du colonialisme ».
D’emblée, Tebboune rappelle que « les Algériens (nes) sont sortis le 11 décembre 1960 dans de vastes manifestations dans la majorité des régions du pays, afin de clamer que le peuple algérien avait atteint un point de non-retour dans sa démarche victorieuse vers la liberté et l’indépendance ».
Pour lui, ces manifestations ont été, « du point de vue organisationnel, une preuve flagrante de la force de notre révolution et un indice à l’inévitabilité de la fin du colonialisme ». Les acquis de ces manifestations ont été clairs, notamment sur le volet diplomatique et médiatique, ajoute le président.
Les acquis des manifestations du 11 décembre 1960« Parmi les acquis de ces manifestations, notamment sur le volet diplomatique et médiatique ; le renforcement des positions du gouvernement provisoire de la République algérienne et l’ouverture des portes pour l’espoir devant les peuples opprimés … », a encore écrit Tebboune.
Ceci était intervenu, selon le même interlocuteur, « après l’adoption par l’Assemblée générale des Nations unies, lors de sa quinzième session, de la résolution appelant à la décolonisation, et considérant la soumission des peuples à l’esclavage, la domination et l’exploitation des étrangers, comme un déni aux droits humains fondamentaux, contraire à la Charte des Nations Unies et une entrave à la paix et la coopération mondiales ».
La commémoration des manifestations du 11 décembre 1960 intervient cette année « alors que le peuple algérien s’apprête à célébrer le 60e anniversaire de la fête de l’Indépendance ». Ainsi, « nous devons nous préparer à cette occasion … », souligne encore le président. À ce propos, il lance un appel à « tous les secteurs, institutions, organisations et à la société civile de préparer un programme à la hauteur de cet évènement ».
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Le troisième cahier des charges portant sur les conditions de l’importation automobile en Algérie est en phase de préparation, selon les responsables du secteur industriel. Une fois mis en place, la situation va-t-elle se débloquer juste après ?
Ce mois de décembre est marqué par une nouvelle dynamique au plus haut sommet de l’État concernant le dossier de l’automobile. Après les instructions du président de la République au sujet de l’importation, le ministère en charge du dossier affirme que le nouveau cahier des charges sera fin prêt avant la fin du mois de janvier prochain.
Lors du conseil des ministres tenu au début de la semaine écoulée, le chef de l’État a donné deux instructions ; il s’agit de la révision « immédiate » du cahier des charges fixant les conditions d’importation des véhicules et l’accélération de l’annonce des concessionnaires agréés.
Conformément à ces instructions, le ministre de l’Industrie Ahmed Zeghdar a annoncé mercredi dernier la création d’une commission chargée de l’élaboration d’un nouveau cahier des charges pour l’importation de véhicules avant fin janvier prochain.
Dans ce sens, il a affirmé, lors d’une intervention à la télévision nationale que les agréments seront remis rapidement aux concessionnaires concernés. Cependant, la question qui reste toujours en suspens est de savoir quand l’importation sera lancée effectivement.
« Pas avant la fin de 2022 ou le début de 2023 »Rapporté par le quotidien Ennahar, l’expert économique Hamza Boughadi affirme que conformément aux données disponibles et aux prévisions, il n’est pas possible que l’importation soit lancée effectivement dès le mois de mars prochain.
Écartant ainsi l’importation du premier véhicule au mois de mars prochain, l’expert affirme qu’économiquement parlant, le début effectif de l’opération de l’importation des véhicules se fera vers la fin de l’année prochaine ou le début de l’année d’après, soit en 2023.
À ce propos, il explique qu’une fois agréés, les concessionnaires auront devant eux de 6 à 8 mois pour finaliser les procédures nécessaires à commencer par la domiciliation bancaire et les documents de livraisons.
La réception des commandes aura aussi son lot de difficultés quant à l’entame de l’opération de l’importation dans les meilleurs délais. Hamza Boughadi cite également la crise mondiale dont souffrent les constructeurs, notamment avec la pénurie des puces électroniques.
Dans le même sillage, l’expert explique que dès l’obtention de l’agrément, l’opérateur, a plusieurs démarches qu’il doit entreprendre, dont la préparation du showroom et des ateliers de maintenance, ainsi que la réception des commandes.
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Elles sont maintenant 53 femmes tuées depuis janvier 2021. C’est le nombre recensé par la page Facebook « Féminicide Algérie » qui fait un travail louable, parfois meilleur que les médias classiques qui évoquent peu les multiples souffrances et violences faites aux femmes algériennes.
Maria Benmadani est en effet la 53ᵉ victime de féminicide en Algérie. Il s’agit d’une jeune fille de 19 ans, sauvagement tuée et brulée à Oued Zenati, dans la wilaya de Guelma. La victime a subi des tortures et des violences extrêmes avant d’être froidement brulées sous les yeux de son assassin. Ce dernier l’a en effet aspergé d’essence avant de l’enflammer, rapporte Féminicide Algérie.
Originaire d’El Khroub dans la wilaya de Constantine, Maria est orpheline de père. Sa mère demande actuellement que justice soit faite. Le tragique sort de la jeune fille ressemble incroyablement à celui de Chaima, tué le 1 ère octobre 2020. L’histoire se répète. Chaima qui était aussi âgé de 19 ans, a subi des violences physiques, un viol et a également fini sous les flammes.
Si l’assassin de Chaima aurait eu ce qu’il méritait, celui de Maria oserait-il de tuer encore une femme à la fleur de l’age ?
Retour sur l’affaire de ChaimaL’assassinat odieux de la jeune chaima avait fait réagir beaucoup de médias, notamment la presse étrangère qui a déploré le triste sort de la victime, mais aussi la banalisation des violences faites aux femmes en Algérie.
Selon Nadia Ait Zai, juriste et fondatrice du Centre d’information et de documentation sur les droits de l’enfant et de la femme (CIDDEF), il existe encore des lacunes juridiques en termes de protection de la femme contre la violence.
Sachant que l’assassin de chaima est un repris de justice, Nadia Ait Zai estime que s’il avait été mis sous surveillance après sa première agression, ce crime aurait pu être évité. De nouveaux outils administratifs et juridiques s’imposent alors pour endiguer les féminicides, les agressions et tout type de violences faites aux femmes.
Par ailleurs, le débat autour de la peine de mort avait resurgi suite à la sauvagerie dont a été victime la jeune fille. Une partie de l’opinion publique estime qu’il s’agit de la solution idéale pour éradiquer les assassinats, les crimes, mais aussi les kidnappings d’enfants.
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L’apparition du nouveau variant du coronavirus en Algérie Omicron n’est pas écartée, c’est même une certitude chez des spécialistes et responsables du secteur sanitaire. S’ils sont tous unanimes qu’il s’agit juste d’une question de temps, la tutelle sort en fin de son silence et fait le point.
Dans une déclaration livrée à la presse en fin de journée d’hier vendredi, le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid affirme qu’aucun cas de décès ni de contamination par le nouveau variant Omicron n’a été enregistré en Algérie.
Se basant sur les résultats des « analyses effectuées par l’Institut Pasteur en coordination avec les experts », le ministre déclare « qu’aucun décès ou infection par le nouveau variant n’a été enregistré » en Algérie.
D’ailleurs, il estime « qu’il n’y a pas lieu de craindre ce nouveau variant, car moins dangereux que le Delta, selon les experts ». En revanche, le premier responsable du secteur sanitaire qualifie le taux de vaccination contre le coronavirus de « très faible ».
Une nouvelle campagne de vaccination de grande envergureSelon lui, il ne s’agit que de 27% de personnes vaccinées par rapport aux doses de vaccin disponibles. À ce propos, il annonce le lancement, la semaine prochaine, d’une campagne de vaccination de grande envergure.
Cette nouvelle campagne interviendra, selon le même responsable, « en coordination avec le ministère de l’Éducation nationale et d’autres secteurs concernés au profit des employés et des enseignants des établissements éducatifs du cycle primaire ».
Dans le même sillage, il réitère que la vaccination est « le meilleur moyen de protéger la santé des citoyens contre cette pandémie ».
Concernant la vaccination des enfants contre le Covid-19, Benbouzid souligne que le principal objectif est de vacciner le plus grand nombre possible de citoyens adultes. En outre, il indique que le Comité scientifique a étudié cette question jeudi dernier.
Or, il précise que son département attend la décision de l’OMS à ce sujet. « Le comité scientifique avait étudié cette question hier avec des experts et aucune décision n’a été prise, en attendant la décision de l’Organisation mondiale de la santé », a encore déclaré le ministre.
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Les prix de l’euro et du dollar ont explosé depuis la réouverture des frontières aériennes et maritimes. Sur le marché noir et officiel, la monnaie nationale n’a plus de valeur face aux principales devises.
En effet, un seul euro s’échange au niveau des guichets de la banque d’Algérie contre pas moins de 157.12 dinars algériens à l’achat et 157.15 dinars algériens à la vente. Un seul dollar s’échange au prix de 138.77 dinars algériens à l’achat et contre 138.87 dinars algériens à la vente.
Par ailleurs, le dollar canadien est cédé contre pas moins de 109.62 dinars algériens à l’achat et 109.67 dinars algériens à la vente. Quant à la monnaie britannique, l’unité s’échange contre 183.24 dinars algériens à l’achat et 183.34 dinars algériens à la vente.
Le taux de change au marché noirSur le marché informel, les prix des devises sont encore plus chers. Les taux de change au square Port-Saïd, dans la capitale Alger traduisent parfaitement la dégringolade que connait le dinar. Pour un seul euro, les cambistes exigent environ 212 dinars algériens à l’achat et 214 dinars algériens à la vente.
Concernant la monnaie étasunienne, les prix ont considérablement augmenté. Ce samedi, 11 décembre, un seul dollar s’échange au prix de 188 dinars algérien à l’achat et 191 dinars algérien à la vente.
Le dollar canadien est quant à lui cédé contre 143 algériens à l’achat et 146 dinars algériens à la vente. En conclusion, c’est la livre sterling qui demeure la plus chère. Une monnaie prestigieuse qui ne perd jamais sa valeur. Un seul pound équivaut à 248 dinars algériens à l’achat et 252 dinars algérien à la vente.
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L’Office National de Météorologie avait émis hier, le 10 décembre, un BMS dans lequel il a mis en garde contre le retour des pluies et d’orages à travers plusieurs régions du pays, plus précisément 14 wilayas.
En effet, la journée d’hier était caractérisé par un temps clair à partiellement nuageux, accompagné de quelques bancs de brume et brouillard locaux. Cependant, cette accalmie n’a pas duré longtemps, l’ONM a annoncé le soir le retour de pluie.
Les prévisions de ce 11 décembreSelon la même source, les pluies vont se poursuivre ce samedi 11 décembre, à travers 14 wilayas. Il s’agit d’une alerte de niveau 2 qui prévoit des précipitations dont la quantité oscille entre 20 et 40 mm avec des pluies parfois sous forme d’averses orageuses.
Les wilayas concernées sont Boumerdes, Tizi-Ouzou, Bejaia, Jijel, Skikda, Annaba, El Tarf, Souk Ahras, Guelma, Constantine, Mila, Setif, Bordj Bou Arreridj et Bouira, Blida, Alger. La validité de ce bulletin météorologique s’étale du samedi 11 décembre 2021 de 00h00 jusqu’à 12h00.
Par ailleurs, les pluies seront accompagnées de vents violents dont la vitesse atteint 60 km/h, et ce, dans les wilayas de Skikda, Annaba, El Tarf, Tizi-Ouzou, Bejaia, Boumerdès, Alger, Tipaza, M’sila, Djelfa, Jijel
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L’équipe d’Algérie de football A’ s’apprête à affronter, ce samedi 11 décembre, le Maroc ; dans le cadre des quarts de finale de la Coupe arabe de la FIFA 2021. Un choc très attendu par les Algériens.
En effet, les hommes de Madjid Bougherra vont affronter aujourd’hui, au stade au stade Al-Thumama à Doha (Qatar), les marocains. Il s’agit de la première rencontre de la dernière phase de la coupe Arabe ; marquée déjà par deux victoires et un match nul des verts.
La rencontre aura lieu demain à 20h00 (heure algérienne) au stade Al-Thumama de la capitale Qatari. Pour ce match, les deux parties verront la présence de milliers de supporters algériens, mais aussi marocains.
Sur quelles chaines regarder le choc Algérie – Maroc ?Les supporteurs de l’équipe d’Algérie veulent tous, sans le moindre doute, savoir sur quelle chaîne sera diffusée la rencontre Algérie – Maroc. En tout, deux canaux de télévision ont confirmé la diffusion de la rencontre.
En effet, il s’agit pratiquement des mêmes chaines de TV ayant diffusé les trois derniers matchs. La première est la chaine qatarie beIN Sports Orient.
Quant au deuxième canal, c’est aussi une chaine qatarie : Al Kass. Cette dernière va diffuser en direct le match retour Algérie – Maroc en haute définition (HD) et en clair. Il existe également une autre option pour regarder le match en direct et en ligne via la chaîne YouTube FIFA TV (accessible par avec VPN depuis l’Algérie).
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Une actrice américaine, en vacances à Annaba, a été victime du vol de son smartphone au moment où elle prenait des photos souvenir. L’incident qui s’est produit devant le parking Stambouli, au centre-ville de Annaba.
Face à cet incident, les services de sécurité ont vite réagi, en arrêtant le voleur, en seulement 72 heures. Il s’agit d’un jeune homme, âgé de 24 ans et originaire de la wilaya d’Annaba. Cependant, le délinquant ne s’est pas contenté du vol, il a même vendu le smartphone à une autre personne.
Selon des sources locales, le receleur apeuré par l’ampleur de l’incident l’a remis aux services de sécurité, agents de police du 9ᵉ arrondissement par le biais d’un de ses proches avant de prendre la fuite vers une destination inconnue.
La victime est « une actrice »En effet, la victime de ce vol est une actrice américaine qui passait ses vacances à Annaba. Elle était venue en Algérie pour la participation dans un film sur la guerre de libération, dont le tournage a eu lieu au Sahara ; plus précisément à Djanet, dans la wilaya d’Illizi.
Pour son plus grand bonheur, la victime a pu récupérer son smartphone qui contient outre ses données personnelles, d’importantes séquences de tournage du film pour lequel elle s’est rendue en Algérie avec son mari.
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Ils ont dressé un tableau noir sur la situation des droits de l’homme en Algérie. Des ONG, des défenseurs des droits de l’homme, mais aussi des avocats.
Dans un document rendu public à la veille du 73e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme de l’ONU ; les signataires ont interpelé les autorités algériennes sur « les violations des libertés fondamentales ».
Parmi les organisations signataires du document, on retrouve la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH), la CGATA (Confédération générale autonome des travailleurs en Algérie) et le SNAPAP.
Les signataires réclament la libération des « détenus d’opinion »Dans leur document, les signataires ont dénoncé des atteintes aux droits de l’homme, mais ils ont également réclamé la libération des détenus d’opinion qui, selon des militants, leur nombre frôle la barre des 280.
« 2021 est une année sombre pour les droits de l’Homme en Algérie (…) Cette année encore, nous célébrons, dans un climat de répression et de restriction des droits fondamentaux des Algériennes et des Algériens, la Journée mondiale des droits humains – qui coïncide avec le 73e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’Homme de l’ONU, acceptée par l’Algérie au lendemain de son indépendance », lit-on dans le document.
« Nous appelons le pouvoir à l’arrêt de la répression et à la levée de l’ensemble des restrictions à l’exercice des droits et libertés fondamentaux. Nous réitérons notre demande pressante pour la libération inconditionnelle de l’ensemble des détenus d’opinion, dont les journalistes, les défenseurs des droits humains et les avocats », ont-ils ajouté.
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Un jeune Algérien s’est distingué hier, le 9 décembre lors d’un concours international sur le Marketing Digital, organisé à Dubaï aux Émirats Arabes Unies. Il s’agit de Zakaria Abdelhai, originaire de la wilaya de Tébessa et auteurs de plusieurs innovations et projets numériques.
Le concours international organisé au Moyen-Orient a vu la participation de plusieurs candidats issue de différentes nationalités, chacun avec une idée innovatrice et un projet inédit. Parmi tous ces participants, Zakaria a été le seul algérien, maghrébin et arabe ayant pris part à cet évènement scientifique et réussi à décrocher le Silver Award ».
« Merci de votre soutien… Je suis fier d’être le seul arabe et algérien dans ce concours portant sur le Marketing Digital au Moyen-Orient. Ma réussite est la conséquence de votre soutien », lit-on sur le compte Facebook de Zakaria Abdelhai. Le succès du jeune algérien s’explique entre autre par son parcours brillant.
Zakaria a en effet réussi à accomplir des études au sein de prestigieux institut américains, à savoir Bloom Institute of Technology et Cisco Networking Academy spécialisés dans la technologie, la cybersécurité, le Business, les réseaux, etc. Des études qui lui ont permis de travailler en tant que développeur Android et producteur audiovisuel et devenir par la suite un expert en Marketing Digital qui a pu honorer son pays parmi tant d’autres.
Deux Algérien se distingue en un moisIl y a quelques jours, un scientifique algérien s’est distingué à l’étranger en obtenant une distinction honorifique. Il s’agit de Karim Zaghib, un éminent chercheur dans les domaines du stockage d’énergie et de l’électrification des transports.
L’algérien détenteur d’un doctorat en électrochimie de l’Institut polytechnique de Grenoble, a été élu membre de l’Académie des arts, des lettres et des sciences (basée au Canada) qui constitue la plus haute distinction décernée aux chercheurs de haut niveau au Canada.
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La compagnie française privée de navigation maritime Corsica Linea vient d’annoncer une mauvaise nouvelle à ses clients. Les traversées entre l’Algérie et la France, prévues la semaine prochaine, ont été reportées.
L’annonce a été faite ce vendredi 10 décembre via un communiqué rendu public dans lequel, la compagnie française a donné les nouvelles dates de la traversée reportée.
Les traversées repoussées d’une journéeSelon le communiqué de Corsica Linea, la Traversée Marseille vers Alger, qui était prévue le 14 décembre, a été reportée au lendemain soit le 15 décembre. « Départ de Marseille à 11h présentation au port de Marseille à 6h arrivée à Alger le 16/12 à 9h », a souligné la même source.
Quant à la Traversée Alger vers Marseille, qui était prévue le 15 décembre, a été reportée au 16 décembre. Le départ de la capitale algérienne se fera à 10h avec présentation au port à 5h ; l’arrivée à Marseille le 17 décembre à 14h30.
« Des campagnes SMS, appels et emails sont réalisées pour prévenir les passagers concernés. Les autres traversées ne sont pas impactées par ces modifications », a ajouté le communiqué.
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Nul ne doute des répercussions fâcheuses de la crise sanitaire sur le secteur du transport aérien et maritime. Parmi les différents problèmes économiques, figurent celui des remboursements de billets achetés avant la fermeture des frontières en mars 2022.
En ce qui concerne Algérie Ferries, le problème semble partiellement réglé. En effet, le PDG de la compagnie algérienne a tenu à rassurer les clients d’Algérie Ferries ayant réservé des billets avant la suspension du trafic maritime.
D’après le responsable, « les billets achetés avant la crise sanitaire restent valables jusqu’à leur consommation… Le remboursement des billets est également possible ». C’est ce qu’a déclaré Issad Kamel, PDG d’Algérie Ferries, lors de son passage le 8 décembre, à la chaine 2 de la radio nationale.
Intervenu dans l’émission « Invité de la matinale », le premier responsable de la compagnie algérienne de navigation maritime, a expliqué que les clients peuvent prendre le bateau avec leurs anciens billets correspondants aux destinations desservies actuellement par Algérie Ferries. En d’autres mots, il n’y a pas de date limite de validité pour les billets de la compagnie.
Combien coute les billets d’Algérie Ferries ?Les prix des billets pratiqués par les compagnies de transport constituent tout un autre problème. Après avoir longtemps fustigé Air Algérie, la diaspora algérienne a été plus ou moins soulagée par la reprise du trafic maritime. Un billet aller – retour pour la traversée Alger – Marseille avec véhicule, coute environ 56 000 DA.
Pour le PDG de la compagnie, il s’agit des mêmes tarifs appliqués avant 2020, et ce, en dépit de toutes les difficultés financières et économiques. Pour rappel, l’entreprise a subi une perte de 13 milliards de dinars durant les 18 mois de suspension de son activité, a précisé Issad Kamel.
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Avec le nouveau bilan d’aujourd’hui, la menace de la quatrième vague de coronavirus se précise en Algérie. La barre des 200 cas a été franchie ce vendredi 10 décembre.
Selon le dernier bilan du ministère de la Santé, l’Algérie enregistré 210 nouvelles contaminations contre 177 cas confirmés recensés dans le bilan d’hier jeudi. Une hausse non enregistrée depuis septembre dernier, soit depuis la troisième vague d’Été dernier.
D’un autre côté, le bilan des morts au covid-19 fait état de 6 cas de décès, contre les 4 morts recensés dans le bilan d’hier. Quant au bilan des guérisons, il fait état de 160 nouveaux cas de patients rétablis.
Hausse des admissions aux soins intensifsPar ailleurs, la même source a fait état d’une hausse des admissions aux soins intensifs ; un nombre qui est passé aujourd’hui à 22 patients en réanimation.
Avec le bilan d’aujourd’hui, le total des contaminations de coronavirus s’élève à 212.434 cas confirmés ; Celui des morts à 6132 décès, alors que le nombre de patients guéris est passé à 146.006 cas.
Par la même occasion, le département de Benbouzid a rappelé que la situation épidémiologique actuelle exige de tout citoyen la vigilance et le respect des gestes barrières contre le virus qui a récemment connu le nouveau variant omicron.
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Les pluies orageuses vont marquer, ce vendredi 10 décembre, leur retour dans plusieurs wilayas ; après une semaine marquée par les alertes de chutes de neiges.
Selon un bulletin météorologique spécial (BMS) émis aujourd’hui par l’Office national de la météorologie ; les pluies seront de retour en force dès ce soir à travers plusieurs régions du pays, plus précisément 14 wilayas. Outre les pluies, l’Office National de Météorologie s’attend également à des orages.
Les wilayas concernées par le BMS sont : Boumerdes ; Bouira ; Tizi-Ouzou ; Bejaia ; Jijel ; Skikda ; Annaba ; El Tarf ; Souk Ahras ; Guelma ; Constantine ; Mila ; Setif et Bordj Bou Arreridj.
Placées en vigilance « Orange », les pluies affecteront les 14 wilayas avec des quantités estimées entre 20 et 40 mm avec parfois sous forme d’averses orageuses ; durant la validité du BMS qui s’étend du vendredi soir minuit jusqu’à samedi 11 decembre à midi.
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