Niculae Havrilet, az Országos Energiaár-szabályozó Hatóság elnöke szerint a földgáz ára várhatóan 10 százalékkal, a villamos energia ára pedig 1-2 százalékkal fog emelkedni. Az árnövekedés amiatt következhet be, mert liberalizálják a földgázak piacát és ennek szabályozott piaci árát véglegesítik. A hatóság elnöke szerint ezt nem fogja azonnal érezni a lakosság, hiszen most kezdődik a melegebb szezon és az áremelés fokozatos lesz jövő télig. Korábban ennek kapcsán az EON Románia vezérigazgatója, Frank Hajdinjak azt nyilatkozta, hogy már április elsejétől 10 százalékkal drágul a földgáz fogyasztói ára, ha az Országos Energiaár-szabályozó Hatóság nem lép közbe, hogy kidolgozza a fokozatos áremelés mechanizmusát.
2500 oktatási intézmény felújítását támogatja a kormány idén. Az idei állami költségvetésből 500 bölcsőde és óvoda, valamint 30 egyetemi bentlakás építését kezdik el idén. Pavel Năstase, oktatási miniszter elmondta, hogy a rendelkezésükre álló összegből a már elkezdett munkálatokat befejezik és új bölcsődéket és óvodákat is építenek. A tárcavezető kiemelte, hogy a 30 egyetemi bentlakás építési munkálataihoz is hozzálátnak, amelyeknek már elkészült a tanulmánya. A befektetéseket a regionális fejlesztési és közigazgatási minisztérium fogja finanszírozni. Az oktatás szintjének növelése érdekében több intézkedést is előírt a kormány, többek között a tanügyben dolgozók bérének 15 százalékos növelését, az egyetemi ösztöndíjak 81 lejről 200 lejre emelését, az ingyenes vasúti közlekedést az egyetemisták számára, tej és kifli programot, valamint az 50 iskolában elindított meleg ebéd program projektjét.
February 16, 2017 (KHARTOUM) - The Sudan People's Liberation Movement-North (SPLM-N) Thursday said the recent discovery of a terror hideout in the Sudanese capital sends a “disappointing message” to the international community over Khartoum cooperation on counter-terrorism.
Last Sunday, police authorities confirmed an explosion at a residential building at Arkawit suburb, south of Khartoum. There were no human or material causalities but the small blast led the police to uncover an artisanal laboratory and ingredients for fabricating a bomb.
Also, the police source confirmed the arrest of 26 foreign nationals from Arab countries mainly from Egypt and Syria, besides a Sudanese national.
Commenting on the blast, the SPLM-N Secretary General, Yasir Arman told Sudan Tribune the incident, confirms that "Khartoum remains a base for international terrorism".
"The incident also confirms that Khartoum continues its double-dealing in the market of terrorism, especially given that terrorism has become a profitable trade for the regime. It sells out old and inert terrorist networks to counter-terrorist agencies, in order to set up new and fresh ones," he said.
"The world and especially the U.S. should realise there is an umbilical cord that links this regime and the terror that issues from it. That is why the regime has information on terror networks to pass on," Arman added.
Last January, the former U.S. President Barak Obama partially removed sanctions on Sudan pointing to Khartoum's good cooperation in counter-terrorism.
He further pointed to the blackout imposed on the imposed on the information about the explosion, adding that they also have learnt that the (NISS) ''has delivered a strong rebuke to the police. It accused them of interfering in a matter not part of its responsibility''.
The Security services banned the local media from publishing news about the incident until the end of the ongoing investigations especially since the three main suspects are still on the run.
CRACKDOWN ON REFUGEES
Arman also blamed Sudanese security services for the launch of a crackdown on Arab refugees and migrants in the Sudanese capital saying they seek to cover up the disclosure of terrorist presence in Sudan.
The regime seeks to cover up what happened through a crackdown on refugees from Arab countries as if they ignore the presence of terrorist elements in the country, he said.
He further warned that “What happened incites hatred against refugees and Sudanese should not allow this because the terrorist is the regime, not the refugees”.
(ST)
(B2) C’est la dernière antienne à la mode. Il faut que les dépenses de défense (publiques) soient à la hauteur de 2% du produit intérieur brut.
Cet objectif a été fixé au niveau de l’Alliance atlantique, rappelé régulièrement à tous les sommets (Pays de Galles septembre 2014, Varsovie juillet 2016). James Mattis, le nouveau secrétaire d’État à la Défense, l’a encore rappelé lors de sa venue à l’OTAN : le contribuable américain ne doit pas payer pour le contribuable européen… Chaque pays doit faire des progrès « immédiats et réguliers » vers cet objectif.
Une réalité ou une illusion
2% c’est un chiffre mythique… Il est un peu à la défense ce qu’est le « 3% de déficit » du pacte de stabilité à l’économie : une ligne de crête mais aussi une certaine illusion. C’est le gage, selon ses promoteurs, d’une défense efficace. On peut en douter. L’augmentation des dépenses de défense n’est un gage ni de qualité ni d’efficacité ni de disponibilité ni de volonté d’engagement. Les années précédentes de l’histoire européenne l’ont prouvé. Et on peut le constater encore aujourd’hui en se livrant à quelques essais comparatifs.
Efficace à 1% et inefficace à 2% ?
Le taux de dépenses ne signifie pas l’efficience militaire. La Grèce dépense 2,38% de son budget à la défense tandis qu’à l’autre bout de l’échelle, le Luxembourg dépense 0,44% de son PIB pour la défense. On ne peut pas dire que la première soit vraiment engagée sur le plan extérieur… Autre exemple : la Pologne consacre 2% de son budget à la défense tandis que la France engage 1,78% (1). A l’aune de la sécurité européenne, et des menaces internationales, la défense polonaise n’a pas encore vraiment démontré un engagement dynamique à l’inverse de l’armée française. On peut regarder aussi la Bulgarie ou le Portugal — qui consacrent 1,35% de leur PIB à la défense — alors que le Danemark qui y consacre 1,17%. Là encore, l’efficacité militaire est sans doute inversée (chiffres OTAN, prévisions pour 2016).
Un chiffre très partiel
Ce chiffre de 2% est donc loin d’être la panacée. Car il n’est qu’un pourcentage et n’a qu’une valeur très limitée. Il faudrait aussi examiner le ratio investissement/équipements sur le ratio personnel, le ration de dépenses de recherche, l’engagement en opération extérieure ou au niveau solidaire… et la réalité sur le terrain comme la volonté politique. Ce qui est autrement plus difficile à quantifier et oblige à dire certaines vérités. Ce chiffre dépend aussi du volume et de la croissance économique. Ainsi le passage à 2% du PIB de l’Allemagne par exemple signifierait un engagement autrement conséquent et donnerait à Berlin un poids dominant dans l’engagement militaire européen dans l’Alliance, en valeur absolue (lire : Consacrer 2% du Pib à la défense ? Combien va coûter ce nouveau Graal ?).
Les Européens en recherche d’efficacité
Pour être plus efficaces, les États européens ont surtout besoin de mieux se coordonner dans le cadre de leurs investissements de défense. Certaines lacunes persistantes (hélicoptères, renseignements, technique géospatiale) ne sont toujours pas vraiment comblées. Chacun songe déjà à racheter des équipements — somme toute semblables (chars, véhicules blindés, avions de chasse) — qui ont leur utilité sans doute mais qui n’ont plus le monopole de l’action sur le terrain — les robots et drones faisant leur apparition —. Les duplications sont de règle.
Peu d’ambitions sur le futur
Les budgets européens de défense sont toujours frappés par une (très) petite part consacrée à la recherche & développement / technologie (R&D, R&T). Ce qui empêche toute projection vers le futur. En sachant qu’un équipement acheté aujourd’hui est valable pour au minimum 20 ans (voire 30, 40 ou 50 ans), on a ainsi la valeur des échecs possibles. Tandis que l’absence de coordination entre les différents pays, la dispersion des armées, la fragmentation de l’industrie européenne et l’absence de volonté et d’incitants pour la développer (2), demeurent des principes inscrits dans le marbre, donnant ainsi une double faiblesse aux budgets européens : peu importants en volume et peu coordonnés.
Le panier percé des 2%…
Sans résoudre ces points, le respect des 2% apparaît comme remplir un panier percé… ou est juste bon pour permettre aux industriels américains d’écouler leurs surplus sur le Vieux continent et d’amortir ainsi leurs frais.
… au profit de qui ?
L’antienne, répétée à longueur de mois, par les responsables divers de l’Alliance et américains, est, certes, louable — obliger à un effort, nécessaire, supplémentaire pour la défense — mais il recèle aussi un objectif sous-jacent. Dépenser davantage et très vite = acheter ce qui est disponible sur le marché, avec un bon rapport qualité/prix, testé sur le terrain, garanti et… compatible avec les autres = acheter américain. CQFD. America first… Ou comme l’explique l’eurodéputé Arnaud Danjean (3) : « Si ce qu’on nous demande, c’est de signer plus de contrats avec l’industrie américaine, qu’on nous le dise… ».
(Nicolas Gros-Verheyde)
(1) Le pourcentage calculé à l’OTAN inclut normalement les pensions (retraites), sauf dans certaines pays, Bulgarie par exemple. Il peut donc différer de celui mentionné ailleurs. Le poids de ces retraites n’est pas négligeable : en France, il représentait en 2016 (avec les sommes versées aux anciens combattants), environ un quart du budget : 10,33 milliards € sur un budget total du ministère de 42,63 milliards €.
(2) La plupart des États européens n’ont pas instauré une préférence européenne qui reste taboue. A défaut d’une préférence nationale — toujours recherchée dans l’attribution des marchés —, ils préfèrent passer directement à la préférence américaine. La décision française d’achat des Famas est, en soi, un contre-exemple à cette tendance.
(3) dans un entretien à B2 à paraitre prochainement
Défense Conseil International (DCI) a remporté un appel d’offre de l’AED (agence européenne de défense), en qualité de chef de file d’un partenariat avec la société Diginext (Groupe CS Communication & Systèmes depuis 2005) qui fournira son simulateur de drone UAV-X (lire ici).
UAV-X permet de simuler tout type d'aéronef UAV (drone MALE ou tactique) et toute charge de travail de capteurs et d'intégrer des fonctionnalités de liaisons de données tactiques
L'AED l'a annoncé dès le 13 février (lire ici), DCI l'a fait ce jour en amont d'IDEX.
Le marché porte sur le développement, le déploiement et la mise à disposition d'un TTD, un démonstrateur de simulation pour la formation à l’emploi de drones Moyenne Altitude Longue Endurance (MALE) dans les centres d'entraînement aérien de neuf États-membres de l’Union européenne (France, Allemagne, Italie, Espagne, Grèce, Belgique, Pays Bas, Pologne, Royaume Uni).
L’objectif est de proposer aux 9 pays partenaires de ce programme un dispositif de simulation distribuée, permettant de réaliser des exercices et des entrainements conjoints, grâce à des scénarios configurables, au plus proches de la réalité des théâtres d’opérations.
La nouvelle stratégie américaine est tout entière dirigée contre l’Iran. Pour cela, le président veut entamer une nouvelle étape dans les relations entre Israël et des pays sunnites, dont l’Arabie saoudite, qui sont au beau fixe. Une paix qui se ferait au détriment des Palestiniens.