Vous êtes ici

Afrique

Opération Barkhane : "Les problèmes sur place ne sont pas réglés"

France24 / Afrique - ven, 22/12/2017 - 08:11
Emmanuel Macron est au Niger, vendredi et samedi, pour saluer les troupes françaises engagées depuis trois ans dans une opération Barkhane dont le bilan reste mitigé. Entretien avec Roland Marchal, spécialiste des conflits en Afrique sub-saharienne.
Catégories: Afrique

Glencore : Telis Mistakidis, baron sacrifié pour l'image ?

Jeune Afrique / Economie - ven, 22/12/2017 - 07:55
L'audit révélant des irrégularités sur la comptabilisation de la production de la mine de Kamoto a entraîné le départ de trois administrateurs de Katanga Mining, filiale de Glencore en RD Congo.
Catégories: Afrique

Gabon : le FMI octroie 101,1 millions de dollars dans le cadre d'un prêt triennal

Jeune Afrique / Economie - ven, 22/12/2017 - 07:54
Le FMI a annoncé jeudi l'octroi de 101,1 millions de dollars en faveur du Gabon dans le cadre d'un prêt triennal consenti en juin, anticipant un rebond de l'économie en 2018 grâce notamment au redressement des cours du pétrole.
Catégories: Afrique

Matières premières : Glencore prêt à surfer sur la hausse des cours du cuivre

Jeune Afrique / Economie - ven, 22/12/2017 - 07:47
Après avoir suspendu en 2015 l'extraction de deux mines, en Zambie et en RD Congo, le géant du négoce, Glencore s'apprête à relancer leur production.
Catégories: Afrique

Forte hausse du nombre de réfugiés congolais en Ouganda - ONU

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - ven, 22/12/2017 - 06:00
Plus de 2.650 personnes ont fui la province d'Ituri en République démocratique du Congo (RDC) vers l'Ouganda, avertit l'ONU.
Catégories: Afrique

Soudan du Sud : l'ONU salue la signature d'un accord de relance du processus de paix

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - ven, 22/12/2017 - 06:00
Les Nations Unies se sont félicitées vendredi de la signature d'un accord de cessation des hostilités au Soudan du Sud et exhorté toutes les parties à y adhérer.
Catégories: Afrique

Crânes des résistants algériens : La procédure de restitution prendra du temps (responsable)

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 22:36
La restitution des crânes des résistants algériens conservés au musée de l’Homme à Paris ne sera, décidément, pas pour demain. Dans une déclaration faite à ALG24 , le Directeur général délégué du Muséum national d’Histoire naturelle, Pierre Dubreuil, a expliqué que cela dépend du “moment où l’Etat algérien, si il le souhaite, enclenchera la demande de restitution”. Le DG délgué du Muséum évoque également un “travail juridique assez complexe”, qui accompagnera la procédure de restitution. “Ces collections, restes humains, sont propriété publique, propriété de l’Etat français, c’est le droit français. Donc il faudra déclasser ces colections pour les faire sortir de la propriété de l’Etat, pour pouvoir les restituer à l’Etat algérien”, argue M. Pierre Dubreuil.

The post Crânes des résistants algériens : La procédure de restitution prendra du temps (responsable) appeared first on .

Catégories: Afrique

La neige refait son apparition dans l’Est du pays

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 22:33

La neige a de nouveau fait son apparition jeudi dans plusieurs wilayas dans l’Est algérien, notamment sur les hauteurs de Sétif, de Batna et de Constantine, rapportent des journalistes de l’APS.

Dans la wilaya de Batna, les flocons de neige ont commencé à tomber sur les régions d’Arris, Ichemoul et Merouana à un rythme cadencé et ne faiblissent toujours pas en ce début d’après-midi, au moment où le mercure a plongé pour atteindre les 2 degrés Celsius.

Selon le chargé de la communication des services de la protection civile, Zouhir Nekaâ,  aucun axe routier de la capitale des Aurès n’est bloqué pour l’instant, toutefois le mouvement des véhicules roulants reste « très difficile » et requiert la « plus grande prudence » de la part des conducteurs.

La circulation automobile sur la route nationale (RN) 77 entre Merouana et Batna, à hauteur de Nefla, est difficile de même que sur la RN 3 entre Batna et Biskra en passant par Arris, plus exactement à Ain Tin, soutient-il.

Le chemin de wilaya (CW) 45, entre Ichemoul et Arris, à hauteur d’El Mendjem, et également sur le CW 54b sur l’axe Arris-Teniet El Abed sont difficilement praticables, ajoute Zouhir Nekaâ.

A Sétif, la neige est de plus en plus drue du côté d’El Eulma, Ain Fouda et Djemila. Tous les axes routiers peuvent être empruntés, même si les services de la Gendarmerie nationale recommandent la prudence.

Selon la brigade de la Gendarmerie nationale de Djemila, la route nationale (RN) 77 entre El Eulma et Ain Fouda, en allant vers Jijel, est difficile d’accès ainsi que le chemin de wilaya (CW) 117 entre Sétif et El Eulma.

A Constantine, les flocons de neige, accompagnés d’une chute brutale de la température ont enjolivé les hauteurs de la région de Djebel El Ouahch.

Selon les services de la météorologie, la neige devrait continuer à tomber sur plusieurs régions dans l’Est du pays jusqu’à une heure tardive de la nuit de jeudi à vendredi.

The post La neige refait son apparition dans l’Est du pays appeared first on .

Catégories: Afrique

Cinéma: présence remarquée des premières œuvres à l’international

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 22:30

L’actualité cinématographique de cette année qui s’achève aura été marquée par une présence notable des premières œuvres et de premiers longs métrages de réalisateurs algériens dans les manifestations internationales.

Portées par de jeunes cinéastes, saluées le plus souvent par la critique en ce qu’elles semblent augurer d’un « renouveau » du cinéma algérien, ces œuvres ont cependant pâti d’une faible visibilité en Algérie.

Sorti en 2017, « En attendant les hirondelles », premier long métrage de Karim Moussaoui, reste le film qui a le plus fait parler de lui depuis sa sélection dans la section « Un certain regard » du 70e Festival de Cannes. Cette coproduction franco-algérienne a également été projetée en compétition au « LatinArab » de Buenos Aires (Argentine) ou encore dans des festivals français dédiés au film arabe.

Karim Moussaoui avait décroché le Wihr d’Or du Festival d’Oran du film arabe, avant de se voir attribué le prix du meilleur montage des Journées cinématographiques de Carthage (Tunisie) et récemment encore le Prix spécial du jury du 8e Fica à Alger.

Côté court, « Le voyage de Keltoum » de Anis Djaâd aura été très en vue cette année avec des sélections au Burkina Faso, en Italie, au Maroc, en France, en Egypte, en Inde et en Tunisie, avant de terminer son périple par des prix décernés en Irak et au Sénégal.

Pour leur part, Amine Kabbes, Aissa Djouamâa et Rabah Slimani ont présenté leurs premières œuvres « Nwelli » (Je reviendrai) et « Un homme, deux théâtres », en Argentine, en France, ou encore en Tunisie.

Aux côtés des « petits nouveaux », Merzak Allouache a lui aussi pris part à plusieurs festivals -section documentaire- en Egypte, en Suède, en France, et au Danemark avec « Tahqiq fel djenna ». Ce grand habitué des rendez-vous cinématographiques a reçu le Prix « Fipa d`Or » du Festival international des programmes audiovisuels ainsi que le « Prix indépendant du jury œcuménique » à Berlin à l’issue de sa participation à la Berlinale.

Avec ses deux autoproductions, »rêveries de l’acteur solitaire » et « Hizam », Hamid Benamra, un réalisateur atypique, a lui aussi représenté le cinéma algérien dans plusieurs manifestations, en Europe et dans des pays arabes, particulièrement.

Des films qui n’ont pas convaincu

Plusieurs fictions ont été produites en 2017 en Algérie à l’exemple de « Nous n’étions pas des héros » de Nasredine Gunnifi, « El Achiq » de Ammar Si Fodhil, « Ben Badis » du réalisateur Bassil Khatib ou encore « Augustin, le fils de ses larmes », une coproduction réalisée par l’Egyptien Samir Seif, sans qu’aucune d’elles ne réussisse à s’imposer dans les manifestations cinématographiques internationales.

De « mauvaise facture », selon les observateurs et professionnels du cinéma, ces productions n’ont pas trouvé preneur pour représenter l’Algérie qui aura été en 2017 absente des compétitions aux manifestations continentales comme le Fespaco, les Jcc, ou encore les festivals du Caire et de Louxor.

Sérieux écueil pour les films produits: la distribution qui reste, pour le moment, très modeste en Algérie. De fait, la majorité des films qui ont eu du succès cette année n’ont pas encore été distribués en Algérie, à l’exception de « En attendant les hirondelles » et « Ben Badis » qui ont eu droit à quelques projections à Alger, Béjaïa et Oran. Les rares courts métrages doivent eux attendre des événements cinématographiques pour être présentés au public.

De jeunes réalisatrices s’affirment

Le cinéma algérien se consolera, cependant, avec des coproductions qui ont quelque peu sauvé la mise. C’est ainsi que le premier long métrage, « Les bienheureux » signé de Sofia Djama, auteure d’un premier court métrage en 2011, a occupé l’écran d’un grand festival pour sa première mondiale à la 74e Mostra de Venise où cette fiction a décroché le « Prix de la meilleure actrice » décerné à la jeune Lina Khoudri qui a reçu, pour cette première prestation, de nombreux éloges de la presse spécialisée en Europe.

Ce film a également été présenté en France et en Belgique, avant d’être primé au Festival du film de Dubaï où « Jusqu’à la fin des temps », premier long métrage de Yasmine Chouikh, était aussi en compétition.

La réalisatrice algérienne Rayhana Obermeyer a également nourri l’actualité cinématographique avec son premier film « A mon âge je me cache pour fumer » qui a participé à plusieurs festivals en Europe, avant de décrocher le Grand Prix et le Prix de la critique au Festival du cinéma méditerranéen de Bruxelles.

Farah Abada, qui fait son entrée dans le monde du septième art avec un court métrage « Je suis là »primé en France et au Maroc, compte aussi parmi ces réalisatrices algériennes révélées en 2017.

The post Cinéma: présence remarquée des premières œuvres à l’international appeared first on .

Catégories: Afrique

Sétif/Restauration de la statue vandalisée: le scanner tridimensionnel lancé

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 22:28

Le monument d’Ain El Fouara de Sétif a fait l’objet jeudi d’un examen au scanner tridimensionnel dans le cadre de la première phase de sa restauration après l’acte de vandalisme qui l’avait ciblé lundi, apprend-on du responsable local de l’Office national de gestion et exploitation des biens culturels protégés (OGEBC).

Mohamed-Lamine Zerarga a indiqué à l’APS que le ciel dégagé de ce jeudi a permis à la délégation d’experts présents à Sétif de réaliser un scannage tridimensionnel de tout le monument afin de concevoir un plan performant de l’opération de restauration.

Cette phase de scannage optique s’effectue à travers six étapes qui seront terminées samedi prochain, selon la même source qui a indiqué que les résultats seront comparés avec ceux obtenus par le laboratoire méditerranéen de l’université Ferhat Abbas de Sétif en mars 2017.

Le nettoyage du monument des restes de l’acte de vandalisme sera effectué samedi prochain parallèlement à l’élaboration d’une expertise des différentes étapes de la restauration, a ajouté le même cadre.

Une délégation d’experts a été chargée par le ministre de la Culture Azzedine Mihoubi qui suit de près l’affaire, d’évaluer les dégâts faits au monument d’Ain Fouara pour entamer ensuite la restauration.

The post Sétif/Restauration de la statue vandalisée: le scanner tridimensionnel lancé appeared first on .

Catégories: Afrique

Cheikh Omar Sissoko, cinéaste malien, à l’Exression : « Le cinéma africain sort d’une période très difficile »

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 22:19

Cinéaste et ancien ministre de la Culture au Mali, il est aussi le secrétaire général de la Fédération panafricaine des cinéastes (Fepaci), il était président du jury fiction au Festival international du film engagé qui s’est tenu à Alger du 2 au 9 décembre dernier. Avec lui nous avons tenté de dresser un état des lieux de la cinématographie en Afrique tout en évoquant les perspectives et projets de la Fepaci dont la prochaine réunion se tiendra à Alger les 20 et 21 janvier prochain en vue de la collaboration future avec l’Algérie…

L’Expression: Tout d’abord en tant que secrétaire général de la Fepaci et réalisateur comment avez-vous appréhendé votre rôle de président de jury section fiction au festival du film engagé?
Cheikh Omar Sissoko:
 C’est une lourde responsabilité d’être président et même d’être dans un jury parce que juger les films des collègues n’est pas chose aisée. Je me trouve dans une situation inconfortable. J’accepte rarement d’être dans un jury pour justement la difficulté que cela incombe de juger des oeuvres d’un réalisateur parce que ce n’est pas une chose aisée de faire un film d’abord. En plus, si vous mettez des jurys différents sur un même festival, le palmarès ne sera jamais le même. Ça c’est certain. Il y a donc beaucoup de subjectivité bien entendu. Il y a que beaucoup ne peuvent pas comprendre le langage cinématographique. Hier, par exemple, après le film En attendant les hirondelles, j’ai entendu de ces critiques!

En tant que secrétaire général de la Fepaci, comment se porte alors d’après-vous le cinéma africain aujourd’hui?
Le cinéma africain sort d’une période très difficile. J’espère que les éclaircies vont continuer parce qu’il y a quelques années il n’y avait aucune salle de cinéma dans la plupart de nos pays. Il y avait peu de guichets de financement de nos films dans nos propres pays. Avant, les guichets de financement se trouvaient en Europe, ceux-là permettaient de financer les productions africaines. Ils se sont réduits comme une peau de chagrin. Nous étions dans des conditions assez difficiles. Le travail des cinéastes, la compréhension aujourd’hui, nous amènent à créer de nouveaux guichets de financement dans nos pays. Beaucoup de pays ont aujourd’hui un fonds national d’aide au cinéma et beaucoup de pays ont commencé à ouvrir des salles de cinéma. Ensuite, au niveau de l’Union africaine nous sommes arrivés à faire créer une Commission africaine pour le cinéma et l’audiovisuel qui va réfléchir sur les problèmes et les solutions du cinéma et de l’audiovisuel. Ce n’est pas rien.

Vous êtes Malien alors comment se porte le cinéma au Mali aujourd’hui au vu du contexte alarmant qui y prévaut?
Le cinéma au Mali, comme la plupart de nos cinémas, n’allait pas bien. Nous avons quelques salles de cinéma. D’ailleurs, le 28 novembre dernier l’Assemblée nationale a voté un projet de loi qui a été déposé par le gouvernement en vue de créer un fonds d’appui au cinéma du Mali qui est d’une valeur de trois millions d’euros par an et ce, pour faire des films et voir comment on peut aménager les salles de cinéma, faire la distribution. Ce n’est pas rien parce qu’il n’y avait rien du tout avant, je le répète. Le Centre national du cinéma est doté de beaucoup de matériel de tournage aussi bien en termes de caméras et de machinistes, de post-production, de salle de montage de haut niveau, un studio de mixage et puis d’étalonnage et d’effets spéciaux en cinéma.

Qu’en est-il de vos archives? Il y a deux ans un colloque s’est tenu aux JCC autour de ce sujet-là et cette année à Alger…
Au niveau de la Fepaci, nous avons ouvert un programme de recherche et de récupération de nos archives avec la création de cinémathèques nationales dans nos pays pour assurer la conservation. Nous sommes en partenariat avec la Fédération internationale des archives de films pour nous aider à trouver les lieux, les labos qui détiennent les films et nous allons nous engager résolument dans ce travail-là. Nous avons un deuxième programme qui est celui de la restauration de nos films et là, nous avons signé un accord de partenariat avec la direction générale de l’Unesco et la fondation de Martin Scorsses le 06 juin..

Je crois qu’il a été signé à la veille du festival de Cannes?
Au festival de Cannes nous avions déjà matérialisé cet accord-là avec la restauration d’un premier film «Soleil O» de Med Hondo qui avait été selectionné à Cannes Classics parce que normalement, l’accord devait être signé en février, mais Martin Scrocess était en train de finir son dernier film. Il va y avoir cinq films restaurés parmi lesquels «Le vent des Aurès» de Mohamed Lakhdar Hamina. J’attends ici qu’il nous confirme l’accord qu’il a donné au dernier colloque sur les archives à Alger où il a rencontré la personne qui s’occupe de ce dossier au sein de la Fepaci. C’est que nous faisons aujourd’hui. On est en train de faire un état des lieux, mais sur le plan des archives ce n’est pas très bien organisé par les Etats. Dans chaque pays les archives n’ont jamais été leurs grandes préoccupations. S’ils ont beaucoup filmé au début des indépendances, ils n’ont pas très bien pris soin de leurs archives, exception faite pour quelques rares peut-être, comme l’Algérie qui a une grande cinémathèque..

Qu’en est-il justement de celle du Burkina, pays qui se targue d’avoir le premier grand festival de cinéma dédié au film africain, à savoir le Fespaco et que devient sa cinémathèque après avoir été endommagée et reconstruite et qui jusqu’à présent n’a pas vraiment la prétention de préserver toutes les archives?
Il faut que les gens acceptent de donner leurs films aussi. Parce que les archives, ce sont des films qui sont la propriété des cinéastes et des producteurs. Cette cinémathèque africaine est une initiative de la Fepaci qui date de 1985 je crois et mise en place en 1989 si mes souvenirs sont exacts. Maintenant, dans le cadre du Fespaco, les archives sont laissées à la gestion du Fespaco… La Tunisie a mis aujourd’hui une administration à la cinémathèque de Tunis dans la superbe cité de la culture qui va ouvrir ses portes au mois de mars prochain dans un bâtiment extraordinaire que j’ai visité. Au Mali, nous avons une cinémathèque et nous avons des archives. Vraiment il y a un travail qui se fait dans ce sens-là, avec le Centre national du cinéma et nos archives et négatives qui étaient déposées à Belgrade, nous les avons toutes reconduites au Centre national marocain parce qu’il y a un bunker là-bas. Ils sont entreposés là-bas.
Il y a d’autres pays où il y a des archives mais ils ne les conservent pas bien. Donc, il y a un énorme travail à faire. Mais la difficulté pour nous ça va être de les localiser dans les labos et savoir si on nous donne les fiches techniques des films. Mais avec l’aide de la Fédération internationale des archives je pense que nous allons y arriver quand même.

Vous allez ne plus vous proposer au prochain mandat pour le renouvellement de votre poste au sein de la Fepaci, nous avons cru comprendre. Pour quelles raisons?
J’attends le congrès pour savoir si les meilleures conditions vont se réunir pour prolonger le mandat. Je pense que nous avons fait un travail, mais nous aurions pu faire mieux. Nous avons vraiment été empêchés de faire ce travail-là à cause de l’administration du secrétaire exécutif au Kenya. Il y a eu un travail de blocage et de corruption de la part d’une dame qui travaille là-bas. J’attends de voir le gouvernement kenyan s’il n’y a pas de changement par rapport à cela évidemment il me serait difficile de continuer à travailler avec eux, mais nous avons fini les 4 ans. Nous allons avoir une assemblée générale ici à Alger les 20 et 21 janvier en accord avec le ministère de la Culture algérien pour faire le point et voir comme je le souhaite à ce que nous puissions faire la migration de l’administration de la Fepaci ici. L’Algérie est le pays et le berceau de la Fepaci. En 1969, les cinéastes ont décidé ici le premier Festival panafricain des arts et de la culture de créer une union panafricaine des cinéastes. C’est parti d’ici et le deuxième congrès qui a fixé les orientations de la Fepaci s’est tenu également à Alger. Dans les années1960, 1970 et un peu 1980 Alger avait le leadership sur toutes les questions politiques, culturelles et autres. Nous espérons que ce leadership même s’il n’est plus en Algérie puisse être partagé par plusieurs pays en Algérie.

Le Fespaco fête ses 50 ans en 2019. Un mot là- dessus
Une réunion vient de se tenir à Ouaga sur la question. J’étais invité, mais comme je suis ici je n’ai pas pu me rendre, mais nous allons réaffirmer vraiment ce que les pionniers souhaitent avec la création du Fespaco, c’est-à-dire remobiliser les cinéastes autour de leur oeuvres mais surtout assurer une plus grande rencontre entre les cinéastes et les populations.

Vous étiez ministre de la Culture. Comment avez-vous fait pour jongler entre votre statut de cinéaste et d’homme politique ou plutôt de passer de l’un à l’autre?
Quand j’étais ministre je ne pouvais pas réaliser de film. J’étais déjà dans la politique. J’étais président d’un parti même si j’ai été nommé en mon absence. Mon parti avait souhaité que je sois dans le gouvernement. Mais je l’ai vécu assez bien dans la mesure où on a pu faire beaucoup de choses sans qu’on ait les moyens. Il y a eu mobilisation autour de moi. Des artistes et collègues m’ont assuré leur solidarité, nous avons créé des Maisons de la culture dans la capitale et les régions de 800 à 2000 places, nous avons pu former des gens, créer des festivals de musique et de théâtre et le Mali est devenu lieu de festival. Nous sommes arrivés à imposer la culture comme un premier facteur économique.

C’est le cas encore aujourd’hui?
Oui, c’est le cas. Même si aujourd’hui avec la situation de la rébellion et les terroristes ce n’est pas du tout facile. Mais une certaine idée de la culture est née et est restée et nous avons pu donner les moyens au Centre national du cinéma afin de faire des films et avoir les moyens. Le matériel est là…

Par O. HIND

The post Cheikh Omar Sissoko, cinéaste malien, à l’Exression : « Le cinéma africain sort d’une période très difficile » appeared first on .

Catégories: Afrique

Daski : Une saga familiale

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 22:12

Allaoua Daksi, jeune appelé en attente dans une caserne de la banlieue parisienne, découvre Paris, cherche le contact avec l’organisation – du FLN – et se retrouve, à sa grande surprise, face à son aîné Mohamed Tahar qui lui assigne pour mission la mobilisation des soldats algériens et la récupération d’armes si nécessaires au combat.

Il se trouve contraint à la désertion pour éviter l’envoi sur le terrain en Algérie et entame un long parcours de clandestin qui s’achèvera, début septembre 1960, devant le tribunal militaire du Cherche-Midi. Aux côtés de coinculpés prestigieux du réseau Jeanson il retrouvera aussi Youssef Haddad, dit Hamada, responsable de la Fédération de France du FLN et comme lui, fils de l’historique Souiqa constantinoise. «C’est en toute connaissance de cause et conscient de mon devoir que j’ai participé à la lutte libératrice. En conséquence, je revendique toutes mes responsabilités», déclare-t-il alors au président du tribunal. Si Allaoua Daksi décline, avec retenue, son itinéraire personnel, c’est en vérité une véritable saga qu’il reconstruit, celle d’une vieille famille, aux racines citadines profondément ancrées dans le coeur de Souiqa et dans le patrimoine confrérique – celui de la Rahmania- et musical de la médina. Cheikh Mahmoud, le père, aura été, entre autres, le passeur inspiré de Mohamed Larbi Zerouala qui s’imposera comme l’un des pionniers du chaâbi à Constantine. A l’ombre de l’engagement de ses aînés, Allaoua est ainsi un précoce diffuseur de la presse du MTLD et le chemin du juste combat balisé, notamment par Abdessalem – dont une grande cité de la ville porte aujourd’hui le nom- monté au maquis et tombé au champ d’honneur sur les monts de Beni Oulbane. Ne nous y trompons pas toutefois, ce n’est pas un récit héroïque que livre Alloua Daksi même si la lutte de libération a occupé une grande place dans l’histoire de la famille qui sait trouver des accents simples et émouvants pour évoquer la grande maison, la mère ou encore l’épouse défunte. Et on y trouve des éclairages inédits, comme le récit de l’échange entre son frère Abdelkrim et Raymond Leyris au lendemain de l’attaque de la médina, en mai 1956, au deuxième jour de l’Aïd Esseghir, par des milices juives armées par le Mossad et soutenues par les unités territoriales. Revenant sur les premières journées de l’indépendance à Constantine, Allaoua Daksi rapporte, notamment la brutale séquence de l’attaque de la ville par les hommes du commandant Larbi El Mili officier dissident de la Wilaya 2 historique ayant fait allégeance à l’état-major général du colonel Boumediene. «Le peuple céda la rue aux bruits de bottes. Le temps de la danse du peuple était fini. Place à la danse du roi du moment», note-t-il.
Allaoua Daksi restera finalement peu de temps dans sa ville natale et c’est dans la capitale qu’il se mettra au service des institutions de l’Etat pour un parcours relativement atypique de grand commis qui le conduira dès lors de la présidence aux improbables aventures du handball algérien. «Il n’est pas banal – note dans sa préface Aziz Derouaz, ancien sélectionneur national de l’équipe de handball, ancien ministre de la Jeunesse et des Sports – dans le parcours d’une vie passionnée et passionnante, de ressentir à quel point l’impact des valeurs morales peut rejaillir sur des domaines d’action différents comme la lutte pour l’indépendance d’une part et le sport d’autre part.»
De la présidence de la Fédération algérienne des sports collectifs à la direction du Pari sportif algérien, Allaoua Daksi aura ainsi nourri une inépuisable passion algérienne qu’il rapporte avec autant de précision que d’humilité. Le lecteur sera aussi sensible à l’expression émouvante -rare par ailleurs – et pleine de pudeur de l’attachement de l’auteur à sa défunte épouse. Relevons enfin le titre de l’ouvrage: Daksi sans autre précision comme si Allaoua s’acquittait d’une pénultième obligation familiale.

DAKSI – de Alloua Daksi Editions Scolie Alger-2017

The post Daski : Une saga familiale appeared first on .

Catégories: Afrique

L’encadrement juridique freine le développement digital

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 22:03

Pourquoi le gouvernement algérien demeure incapable de gérer l’évolution technologique des télécommunications au niveau juridique ? C’est une question qui reste sans réponse et qui nécessite aujourd’hui d’être posée à un niveau supérieur pour libérer le pays des obstacles juridiques qui freinent le développement du digital. Il faut rappeler qu’il a été confié au ministère de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication et du Numérique (MPTICN) la mission de réviser la loi sur les télécommunications. Ce département a élaboré un projet de loi dont l’adoption définitive risque encore une fois d’être repoussée aux calendes grecques faute de non-implication d’une consultation publique expertisée dans l’élaboration du projet. Dans le secteur des télécommunications, le gouvernement est condamné à migrer de l’état défensif à l’état offensif pour réussir à faire face aux développements techniques et économiques que connaît le marché dynamique des télécommunications. Tout projet de loi des télécommunications doit porter une ambition numérique pour le pays et ne doit aucunement reposer sur une approche défensive, la même qui a été à l’origine du retard enregistré dans le lancement de la 3G. Une fois pour toutes, l’avenir du développement économique et social de l’Algérie passe inévitablement par le numérique. Le pays doit se préparer à l’avenir et aux conséquences des enjeux technologiques des réseaux du futur, comme la révolution de l’internet des objets et celle de l’intelligence artificielle. La réglementation de l’usage des réseaux des télécommunications de la nouvelle génération doit être éloignée de toute forme de conservatisme pour devenir un véritable moteur de croissance. Ainsi, les fournisseurs des services de télécommunications seront libérés de la dépendance administrative inutile, et l’utilisation, par les opérateurs mobiles, des canaux des fréquences, sera assouplie. Mieux, toute réforme juridique du secteur des télécommunications mobiles doit changer le modèle de régulation de l’ARPT. Nous devons choisir un modèle où, en zone urbaine, chaque opérateur aura son réseau radio et, en zone rurale, les réseaux radio doivent être mutualisés. Le gouvernement et le législateur doivent mettre le pays dans la position de celui qui veut relever les défis et non pas de celui qui se replie par crainte des changements autour de lui.
F. F.

The post L’encadrement juridique freine le développement digital appeared first on .

Catégories: Afrique

Réseau social des automobilistes algériens L’application Winny s’enrichit de nouvelles fonctionnalités

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 22:00

Depuis son lancement le 16 mai dernier, l’application Winny, un réseau social des automobilistes algériens, ne cesse d’être enrichie par de nouvelles fonctionnalités. Ses développeurs viennent de lancer le live streaming qui permet à un usager de partager son trajet en vidéo et en photos, à partir de l’application. Mais le plus grand challenge des éditeurs de Winny est d’en faire une application native pour atteindre un maximum d’usagers.
L’application Winny, le réseau social des automobilistes algériens, n’occupe que 20 mégaoctets sur un smartphone Android, et ne consomme pas plus de data que les réseaux sociaux les plus connus tels que Facebook, Snapchat ou Viber. Lancée en mai 2017 par la start-up OKN Technology, elle permet en plus du partage en temps réel de l’état du trafic et des routes en Algérie, aidant ainsi les usagers à réduire les temps de trajets, à économiser du carburant, Winny propose désormais le live streaming (vidéo) de l’itinéraire. Ainsi que plusieurs autres fonctionnalités. La seule exigence technique, c’est la disponibilité d’une connexion internet mobile 3G ou 4G. Des spots de 45 secondes, extraits de longues vidéos, et des clichés de 5 à 6 photos, sont pris automatiquement après une simple manipulation. «Nous avons fait en sorte que l’utilisation de notre application ne déconcentre pas le conducteur», nous a confirmé Lamine Oubaiche, le CEO de OKN Technology. Mieux encore, les prises de plans utiles pour les utilisateurs peuvent être enregistrées et publiées plus tard en cas d’absence d’une connexion internet ou de problèmes de réseau. Selon Lamine Oubaiche, une navigation GPS sera lancée très prochainement via Winny, permettant l’orientation d’un usager de l’application à partir d’un point A vers un point B en faisant rentrer une simple adresse, tout comme Waze et Google Maps. Sauf que sur Winny, il est possible de partager du contenu (photos, vidéo) et de publier des commentaires (statuts), ainsi que créer des groupes d’utilisateurs. Concernant ces avantages, le CEO de OKN Technology affirme que l’application permet de «garder un œil sur le trafic routier, avant de prendre la route et de choisir le meilleur itinéraire à suivre». «Elle donne la possibilité de comparer les trajets, en optimisant la consommation de l’éco-conduite et le style de conduite, ainsi que la possibilité de communiquer en temps réel ou en différé, à travers le Winny Messenger, pour faire part, avec ses amis et la communauté des utilisateurs et même sur Facebook, de ce que l’on a observé lors du trajet. Les utilisateurs peuvent signaler les dangers rencontrés sur la route pour que d’autres utilisateurs qui consultent les alertes puissent avoir une conduite plus sûre. En outre, Winny peut être une source d’informations pour les médias et/ou pour les institutions sécuritaires.»

Faire de Winny une application préinstallée
Mais malgré ses 14 000 téléchargements, ses 400 utilisateurs par jour, et un trajet partagé toutes les 5 minutes, Winny n’arrive pas à connaître le succès que connaissent les applications du même type (Waze et Google Maps). Pour Lamine Oubaiche, «la solution demeure dans ce que nous appelons les applications natives». Il s’agit des applications préinstallées par les fabricants de téléphones portables sur leurs smartphones. Les constructeurs locaux qui font la pré-installation des applications comme Facebook et Viber ne boostent pas de la même façon les start-up algériennes. «J’ai contacté des fabricants de smartphones algériens à propos de ce sujet, mais mes efforts sont restés sans résultat», a souligné notre interlocuteur. On estime que plus de 90% des consommateurs utilisent les applications préinstallées trouvées sur leurs smartphones. D’où l’importance pour l’éditeur d’une application de se frayer un chemin auprès d’un fabricant. Avec plusieurs centaines de milliers de d’utilisateurs, l’application pourrait capter un maximum de données sur l’état des routes en Algérie. Autre nouveauté, l’application Winny devrait inclure une fonction de navigation GPS qui sera disponible dans les messages publicitaires des annonceurs à l’attention des usagers de l’application. Cette fonction permettra d’orienter l’utilisateur vers le point de vente du produit/service annoncé. Pour rappel, le service «Alertes bonnes affaires» de Winny permet aux annonceurs de choisir la taille du public visé (le nombre d’utilisateurs qui recevront l’annonce) ainsi que la région cible des publications sponsorisées visibles dans le fil d’actualité de l’application. L’annonceur peut choisir le nombre de vues, la durée de la publication, la région cible et personnaliser lui-même sa publication. L’offre Ad-Maps, qui permet le signalement de la position d’un commerce et/ou d’une entreprise sur une carte. L’utilisateur de l’application à proximité sera automatiquement dirigé vers l’annonceur, uniquement en appuyant sur l’icône sur la carte. OKN Technology prépare une autre version de Winny. Il s’agit de «Winny Pro», une application de gestion de flotte commerciale qui sera disponible sur le marché en janvier 2018.
L. A.

The post Réseau social des automobilistes algériens L’application Winny s’enrichit de nouvelles fonctionnalités appeared first on .

Catégories: Afrique

Les USA affirment faire leur possible pour aider l’Italie dans une cyber-enquête

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 21:57

Les Etats-Unis ont démenti avoir suggéré de mettre fin à une enquête sur une violation massive de données au sein d’une entreprise italienne de sécurité informatique, Hacking Team, affirmant faire tout ce qui est en leur pouvoir pour aider. Selon Reuters, un magistrat de Milan a recommandé la semaine dernière de suspendre une enquête sur six personnes soupçonnées d’avoir orchestré le vol de données de 2015. Une source judiciaire de haut rang a critiqué les fonctionnaires américains pour ne pas avoir remis un ordinateur appartenant à un suspect clé, disant que cela pouvait contenir des informations essentielles à l’enquête. Les magistrats ont ouvert leur enquête en juillet 2015 après que des pirates ont téléchargé 400 gigaoctets de données de Hack Team qui édite le logiciel qui permet aux services de sécurité et aux agences de renseignement de décoder les téléphones et les ordinateurs des suspects. Une grande partie de ces données sont apparues plus tard sur le site Web WikiLeaks. La compagnie a déclaré à l’époque qu’elle croyait que d’anciens employés avaient volé le code qui leur donnait accès à ses systèmes. Elle a également spéculé qu’un gouvernement étranger pourrait avoir été derrière le piratage. L’enquête italienne a conduit les magistrats à un suspect résidant à Nashville, Tennessee, arrêté par les autorités américaines pour interrogatoire. Mais une source judiciaire de haut rang à Milan a déclaré que l’ordinateur du suspect n’a jamais été envoyé en Italie pour une évaluation technique.

The post Les USA affirment faire leur possible pour aider l’Italie dans une cyber-enquête appeared first on .

Catégories: Afrique

Uber accusé d’espionnage, de corruption et de piratage par un ancien employé

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 21:55

La bataille juridique de 1,86 milliard de dollars entre le géant Uber et l’unité d’auto-conduite Waymo d’Alphabet (maison mère de Google) a atteint un moment crucial. Un juge a publié une lettre accablante d’un ancien employé d’Uber qui allègue qu’une division spéciale au sein d’Uber était responsable des actes d’espionnage industriel, de vol de secrets commerciaux, de corruption de fonctionnaires étrangers et de divers moyens de surveillance illégale. La «lettre de Jacobs» a été écrite par l’avocat de Richard Jacobs, qui travaillait auparavant comme directeur de l’intelligence internationale d’Uber avant d’être licencié en avril. Ce compte-rendu très détaillé porte sur des accusations d’activités illégales systématiques au sein du groupe de services stratégiques (SSG) d’Uber, qui aurait tenté de dissimuler les secrets commerciaux d’autres entreprises par l’écoute clandestine et la collecte de données. La lettre allègue que certains des renseignements recueillis ont été transmis au P-dg de l’époque, Travis Kalanick. La lettre de 37 pages détaille les actions de la SSG et du groupe Marketplace Analytics (MA) qui, selon le document, «existe expressément dans le but d’acquérir des secrets commerciaux, codes sources, et intelligence concurrentielle… de grands concurrents mondiaux de covoiturage». La lettre allègue également que le groupe a utilisé des applications de clavardage cryptées éphémères et des dispositifs «non attribuables» pour masquer les preuves de leurs actions cachées. Uber aurait également exercé une surveillance physique, y compris l’écoute électronique, afin de découvrir les avantages ou les faiblesses des concurrents. La compagnie «a utilisé des agents infiltrés pour recueillir des renseignements contre les groupes de taxis et les personnalités politiques locales» et a «mis à profit un réseau local de contacts ayant des liens avec les autorités policières et réglementaires», affirme la lettre.

The post Uber accusé d’espionnage, de corruption et de piratage par un ancien employé appeared first on .

Catégories: Afrique

Financement non conventionnel: début de l’opération de tirage de billets de banque

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 20:40

Le ministre des Finances, Abderrahmane Raouia, a indiqué jeudi à Alger que l’opération de tirage des billets de banque dans le cadre du mécanisme de financement non conventionnel prévu par la loi amendée sur la monnaie et le crédit, a débuté récemment.

S’exprimant en marge de l’inauguration de la 26ème édition de la Foire de la production algérienne au Palais des expositions (Pins maritimes), Raouia a, en effet, précisé à l’APS que l’opération de tirage des billets de banque a débuté récemment.

Le ministre a, en outre, affirmé que le déficit du trésor public pour l’année 2017, s’élevant à 570 milliards DA a été pris en charge grâce au mécanisme de financement non conventionnel.

The post Financement non conventionnel: début de l’opération de tirage de billets de banque appeared first on .

Catégories: Afrique

Le ministre des affaires religieuses l’a affirmé à Annaba : “Les combattants de Daech ne sont pas de retour en Algérie”

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 20:32

Hier à l’occasion de la 19e édition de la semaine du Coran organisée à Annaba, le ministre des Affaires religieuses et des Waqfs, Mohamed Aïssa, a affirmé que l’Algérie n’est nullement touchée par le retour des combattants de Daech dans leur pays d’origine. “Ce problème ne se pose pas, puisque les Algériens ne seraient que quelques dizaines à avoir intégré la mouvement au Moyen-Orient. De plus, ces mercenaires jouissent de la double nationalité et n’ont, en réalité, rien à voir avec notre pays. Les plus nombreux membres de cette mouvance terroriste internationale seraient originaires de Tunisie, du Maroc et de certains pays européens”, a-t-il expliqué. À l’évocation des escarmouches entre imams et comités de mosquées, signalées dans certains lieux de culte, le membre du gouvernement a tenu à préciser que le rôle est circonscrit aux seules limites de la religion. “L’imam n’a pas à se mêler de ciment, encore moins de fer rond ou encore de la construction”, a-t-il estimé.

The post Le ministre des affaires religieuses l’a affirmé à Annaba : “Les combattants de Daech ne sont pas de retour en Algérie” appeared first on .

Catégories: Afrique

Coupe du monde 2018 (préparation) : Algérie – Iran en amical en mars prochain

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 20:26

L’équipe nationale iranienne de football disputera un match amical face à son homologue algérienne en mars 2018 « probablement » en Algérie, a annoncé jeudi l’agence de presse iranienne (IRNA) sur son site officiel.

Selon la même source, la fédération algérienne de football (FAF) « a officiellement approuvé jeudi la programmation de cette rencontre amicale face à l’Iran », alors que la FAF n’a, pour le moment, rien communiqué à propos de la tenue de cette rencontre.

Ce test amical entre dans le cadre de la préparation de la sélection iranienne, dirigée par le Portugais Carlos Queiroz,  en vue de la Coupe du monde 2018 en Russie (14 juin-15 juillet).

Lors du Mondial 2018, les Iraniens évolueront dans le groupe B en compagnie de l’Espagne, du Portugal et du Maroc.

De son côté, l’équipe nationale qui a échoué à se qualifier pour le rendez-vous russe, jouera une série de matchs amicaux, en mars et juin prochains, en prévision de la reprise des qualifications de la Coupe d’Afrique des nations CAN-2019 prévue en septembre 2018. APS

The post Coupe du monde 2018 (préparation) : Algérie – Iran en amical en mars prochain appeared first on .

Catégories: Afrique

Journées du film d’animation à partir de samedi prochain à Tlemcen

Algérie 360 - jeu, 21/12/2017 - 20:23

Les journées du film d’animation seront ouvertes samedi prochain à Tlemcen au profit des enfants de la commune de Souahlia, a-t-on appris jeudi des organisateurs.

Organisée par le Centre des arts et des expositions de Tlemcen en coordination avec la maison de la Culture « AbdelKader Alloula », la bibliothèque principale de lecture publique « Mohammed Dib » et l’association « Abnae el akhaouaine » de Ghazaouet, cette manifestation vise à ancrer la culture du cinéma chez les enfants des zones éloignées de la wilaya et à contribuer à la généralisation de l’utilisation de la langue arabe dans la vie courante, a déclaré le directeur du centre des arts et des expositions, Amine Boudefla.

Il est prévu lors de cette manifestation, qui se poursuivra jusqu’au 6 janvier prochain, l’organisation de deux caravanes. L’une sillonnera les communes du nord et l’ouest de la wilaya et l’autre les communs de l’est et du sud pour la projection de films d’animation et la présentation des spectacles de marionnettes et de clowns en langue arabe.

Plusieurs films d’animation éducatifs ont été programmés dont « Ali Baba et les 40 voleurs », « Sanafir », « El Rissala » et autres films sur la guerre de libération nationale.

Le programme sera lancé à travers chaque commune par des spectacles de marionnettes de l’association « Abnae el akhaouaine » de Ghazaouet et des clowns, ainsi que des lectures de contes et débats sur les films cartoon.

Amine Boudefla a indiqué que la première semaine des vacances scolaires sera consacrée à la projection de films d’animation à travers les communes, pour être ensuite projetés à la maison de la culture de Tlemcen au cours de la deuxième semaine des vacances. APS

The post Journées du film d’animation à partir de samedi prochain à Tlemcen appeared first on .

Catégories: Afrique

Pages