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Diplomacy & Crisis News

Ukraine: Security Council meets on situation with sense of ‘urgency and hope’

UN News Centre - Fri, 29/04/2016 - 00:57
As the conflict in the eastern part of Ukraine enters its third year, the United Nations Security Council today met with both a sense of urgency and hope, as described by a senior UN political official.

Competing for Business with Iran

German Foreign Policy (DE/FR/EN) - Fri, 29/04/2016 - 00:00
(Own report) - Germany's Minister of the Economy, Sigmar Gabriel, will travel to Iran at the beginning of next week to initiate new business deals in a highly competitive market of the future. German authorities are doing all they can to insure that once sanctions are ended, Teheran will allot contracts to German companies. Besides Gabriel, for whom this will be his second trip to the Iranian capital in the past nine months, premiers or ministers of a total of six German states have either flown to Iran for talks or are planning to do so in the near future. The competition is intense. Asian countries - from China, via South Korea all the way to India - are currently by far the most important suppliers of this country that is exceptionally rich in raw materials. According to business circles, time is running out. Although Germany has good chances, in light of the strong competition from Asia, it cannot hope to reconquer its previous 30-percent market share in Iran's mechanical engineering and plant construction. However, if business is not accelerated, they could fall far behind. The first steps have been taken. Siemens will build a high-speed railway line linking Teheran to Isfahan and modernize Iran's electrical power supply.

Jack London, conteur de combat

Le Monde Diplomatique - Thu, 28/04/2016 - 16:52
En 1903, à 27 ans, Jack London publie un roman animalier, L'Appel de la forêt . Comme dans Le Peuple de l'abîme (Phébus, 1999), récit de sa plongée dans la misère de l'East End à Londres, paru la même année, il y rend compte, mais par la fiction, d'une époque « de fer ». A travers l'histoire de Buck le (...) / , , , , , , , , , - 2016/05

Pour la beauté du monde

Le Monde Diplomatique - Thu, 28/04/2016 - 16:52
L'Art nouveau, qui naît dans le dernier tiers du XIXe siècle, est célèbre pour ses arabesques, courbes et volutes, et pour son amour des détails exotiques : des bouches de métro spectaculaires d'Hector Guimard au trait voluptueux de l'affichiste Alfons Mucha, c'est un style connu, dont l'exubérance (...) / , , , , , , - 2016/05

Au royaume de l'enfant unique

Le Monde Diplomatique - Thu, 28/04/2016 - 15:33
« Alors qu'il a fallu à la France plus de deux siècles pour voir sa natalité chuter des trois quarts — lui laissant tout le temps nécessaire pour parachever sa révolution industrielle, réorienter son économie vers les services et développer un système de protection sociale universelle —, en Chine, cette (...) / , , , , , , , , , , , , , - 2016/05

Debout dans la nuit

Le Monde Diplomatique - Thu, 28/04/2016 - 15:33
Le mouvement qui a émergé après la manifestation du 31 mars contre la loi El Khomri se veut non partisan, horizontal et sans hiérarchie. Si le projet politique reste imprécis, les réunions publiques qui cherchent à le définir produisent déjà une expérience démocratique atypique. / France, Démocratie, (...) / , , , , , - 2016/05

איך לשמור על השקט בהר-הבית

Crisisgroup - Thu, 28/04/2016 - 15:25
לאחר שרחבת ההר בירושלים עמדה במוקד הסלמות אלימות בשנתיים האחרונות, חיוני למנוע הסלמה שלישית. גל הדקירות ופיגועי הירי אשר החל לפני שישה חודשים שכך. אך במהלך חג הפסח, בו לעלייה להר-הבית תפקיד מרכזי, יש סכנה אמיתית לחידוש ההתנגשויות בהר. ישראל וירדן, אשר בפועל מנהלות יחד את ההר, מעוניינות להימנע מהתנגשויות אלו, אך כל אחת מתמודדת עם לחצים אשר יכולים בקלות לפרום את ההסכמות השקטות אשר ייצבו את השקט באתר בששת החודשים האחרונים.

Le Tsar c’est moi. L’imposture permanente d’Ivan le Terrible à Vladimir Poutine

Politique étrangère (IFRI) - Thu, 28/04/2016 - 10:40

Cette recension d’ouvrages est issue de Politique étrangère (1/2016). Jean Radvanyi propose une analyse de l’ouvrage de Claudio Ingerflom, Le Tsar c’est moi. L’imposture permanente d’Ivan le Terrible à Vladimir Poutine (Paris, Presses universitaires de France, 2015, 520 pages).

Comme son titre l’indique, ce livre porte sur un phénomène connu mais peu étudié, l’apparition, à partir de la mort d’Ivan IV (le Terrible), d’imposteurs autoproclamés tsars, le plus connu restant sans doute le « faux Dimitri », Grichka Otrepev, moine défroqué qui se fit passer pour le fils d’Ivan lors du « temps des troubles » et un des héros de l’opéra Boris Godounov. Par la suite, l’histoire russe redoublant ces temps d’incertitudes engendrés par les crises de succession ou la répétition d’actes tragiques, le pays voit la multiplication de ce phénomène après le décès de Pierre le Grand en 1725 jusqu’aux révolutions du xxe siècle et au début de l’ère soviétique.

On assiste au défilé de prétendants au trône, pour la plupart de classes populaires, cosaques, paysans, bas-clergé, qui expriment à leur manière les revendications de leur temps, rejet du servage et des impôts trop lourds, défiance envers les boyards qui accaparent le pouvoir civil et religieux. Ils reflètent autant le rejet de réformes incomprises, comme celle du rite orthodoxe en 1653, provoquant un schisme majeur, ou encore la collectivisation bolchévique. L’auteur nous invite ainsi à revisiter de fond en comble l’histoire même de la Russie. Pour cela, l’historien se fait linguiste et revient sur les concepts clés de l’historiographie russe, souvent mal compris. Il réinterprète des épisodes marquants, comme la « mascarade » d’Ivan IV, intronisant comme tsar Siméon, noble Mongol à peine converti à l’orthodoxie ou l’étonnant « Tout-comique et Tout-ivrogne Concile », singulier double de la Cour créé par Pierre le Grand en 1691 et qui fonctionnera jusqu’à sa mort. Loin de ranger ces phénomènes au rang de lubies de jeunes tsars parvenant tout juste au pouvoir, Ingerflom nous invite à repenser leur signification, comme celle de la révolte de Stenka Razine, superbement décapée des études antérieures à l’aide d’une connaissance pointilleuse des analyses russes et étrangères, ainsi que des sources, jusqu’aux toutes récentes découvertes extraites des archives.

En mettant en parallèle l’origine de ces « autoproclamés » et le recours récurrent à l’inversion des genres (l’inversion « jouée » des ordres établis utilisée à plusieurs reprises par le monarque pour imposer le nouvel ordre voulu par lui), l’auteur nous invite à une passionnante relecture des tournants de cette histoire. Il éclaire d’un nouveau jour l’établissement de l’autocratie sous Ivan le Terrible, puis la singulière ouverture du pays aux influences étrangères sous Pierre le Grand, qu’Ingerflom interprète non comme une occidentalisation mais comme la fixation du régime autocratique, dans une distinction durable avec l’évolution occidentale, celle qui oppose les monarchies éclairées européennes à l’absolutisme divin russe.

Hors le titre, il n’est pratiquement pas question de Poutine dans ce livre. Mais on pardonne à l’auteur ce « renversement » : il éclaire d’un jour nouveau plusieurs moteurs essentiels de l’histoire russe qui demeurent d’actualité : le rapport à la magie et la complexité des relations entre religion/religieux et pouvoir, la lente maturation du fait politique dans une société toujours hétérogène, le recours permanent à une histoire sans cesse « fabriquée », aussi bien par les dirigeants que par les historiens. Et cette réflexion sur l’histoire en gestation est certainement l’un des apports essentiels du livre d’Ingerflom.

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Bernie Sanders et « le bras de la classe dirigeante »

Le Monde Diplomatique - Wed, 27/04/2016 - 16:41
Il en a vu d'autres ; et pourtant le magazine américain de critique des médias Fair (Fairness and Accuracy in Reporting), qui recense méthodiquement les biais journalistiques, n'en est pas revenu. « Voilà qui établit une sorte de record, annonce-t-il : le Washington Post a publié seize articles (...) / , , , , , , , , - 2016/05

Le refus du libre-échange

Le Monde Diplomatique - Wed, 27/04/2016 - 16:41
Les méandres des accords commerciaux découragent souvent les mobilisations. Pourtant, malgré le matraquage des milieux dirigeants, du patronat et des médias en leur faveur, l'hostilité à ces traités s'étend. / États-Unis (affaires extérieures), France, Commerce international, Inégalités, Libéralisme, (...) / , , , , , - 2016/05

Assault Rifles and Human Rights

German Foreign Policy (DE/FR/EN) - Wed, 27/04/2016 - 00:00
(Own report) - Grave accusations against Mexico's government and its repressive forces began surfacing soon after Germany made a commitment to provide aid to the police and military of that country. According to a newly published investigation report of the Inter-American Commission on Human Rights (IACHR), the official version shows serious inconsistencies on how 43 students protesting government policies were murdered in September 2014, subsequent to a police intervention. Along with other serious criticisms, the IACHR has noted that Mexico's government appears to have little interest in solving the case. Their investigators even had been subjected to a defamation campaign, intended to comprehensively impede them in their investigation. For years, human rights organizations have been raising accusations against government agencies because of their close cooperation with the drug mafia and their implication in serious felonies. Nevertheless, the German government has not only approved the delivery of approx. 10,000 G-36 assault rifles to the Mexican police and ordered the training by the Federal Office of Criminal Investigation (BKA) of Mexico's specialized units for fighting organized crime. Just a few days ago, Chancellor Angela Merkel suggested the possibility of providing advanced training for Mexico's police and armed forces. This is in the context of strengthening the western positions at the Pacific - for their power struggle with China.

Le fléau de l'arbitrage international

Le Monde Diplomatique - Mon, 25/04/2016 - 16:28
Le soupçon plane sur les mécanismes dérogatoires aux procédures judiciaires habituelles. Pourtant, à l'échelle du commerce international, ces mécanismes prévus par les accords de libre-échange — dont le futur grand marché transatlantique — s'imposent partout, au seul bénéfice des multinationales. / (...) / , , , , , , , , , , , , - 2016/02

Cocktail meurtrier en Afrique centrale

Le Monde Diplomatique - Mon, 25/04/2016 - 16:28
Fin janvier, les Nations unies détectaient les « signaux alarmants » d'un accroissement de la « dimension ethnique » du conflit au Burundi. Au-delà de ce petit pays, sous l'effet de facteurs économiques et politiques enchevêtrés, c'est toute l'Afrique centrale qui pourrait s'embraser. / Afrique, (...) / , , , , , , , , , , , , , , , , , , - 2016/02

Les Arabes, leur destin et le nôtre

Politique étrangère (IFRI) - Mon, 25/04/2016 - 16:11

Cette recension d’ouvrages est issue de Politique étrangère (1/2016). Denis Bauchard propose une analyse de l’ouvrage de Jean-Pierre Filiu, Les Arabes, leur destin et le nôtre. Histoire d’une libération (Paris, La Découverte, 2015, 250 pages).

Dans ce livre dense, Jean-Pierre Filiu nous offre une fresque brillante et engagée sur le monde arabe et l’histoire de sa libération, pour reprendre le sous-titre de l’ouvrage. Le livre s’ouvre sur « le prologue français », l’expédition de Bonaparte en Égypte en 1798, « choc fondateur » de la modernité dans un monde arabe qui connaît une renaissance, la nahda, au cours d’un très long xixe siècle. Il se termine par l’évocation des printemps qui, en 2011, renouent avec les Lumières arabes occultées par des régimes autocratiques. La nahda est ainsi un fil conducteur qui permet de mieux comprendre le monde arabe d’aujourd’hui. L’ouvrage souligne également le rôle joué par les chrétiens dans cette renaissance, mais aussi dans la fondation du parti Baas.

Dans le chapitre « La paix de toutes les guerres », consacré au démantèlement de l’Empire ottoman par la France et la Grande-Bretagne, l’auteur estime que les décisions de cette époque contenaient en germes les éléments du chaos actuel. « Un siècle plus tard nous payons encore, en termes de retombées des crises moyen-orientales, le prix de notre décision de soumettre les Arabes plutôt que de nous les associer. » Ainsi cette paix est-elle organisée sans les Arabes, malgré les promesses, d’ailleurs contradictoires, faites notamment au chérif Hussein, qui menait la Révolte arabe. Mais à la Conférence de San Remo de 1920, la Grande-Bretagne et la France imposent des mandats en découpant la Grande Syrie en plusieurs entités. Par ailleurs, la Déclaration Balfour promettant un foyer juif est incorporée dans le mandat sur la Palestine. Cette nouvelle organisation du Proche-Orient est contestée dès le départ, notamment par le Congrès national syrien, et débouche régulièrement sur des troubles graves.

L’auteur souligne à juste titre l’importance de l’année 1979, point de départ d’un basculement lourd de conséquences : la révolution en Iran, le traité de paix entre Israël et la seule Égypte, l’attaque par des fondamentalistes de la grande mosquée de La Mecque, l’invasion de l’Afghanistan et le djihad mené conjointement, pour lutter contre les troupes soviétiques, par l’Arabie Saoudite et les États-Unis, sont autant d’événements dont les suites expliquent la situation présente.

Les révolutions qui se développent à partir de janvier 2011 dans le monde arabe à la stupéfaction générale ouvrent un nouveau chapitre : initiées par les jeunes, ces révolutions mettent en cause le nizam, c’est-à-dire tout à la fois les systèmes de pouvoir et les régimes. À ces révolutions s’opposent des contre-révolutions qui conduisent à des situations chaotiques dont on ne voit pas la fin. La tragédie syrienne en est l’illustration la plus évidente. Dans ce chaos, les groupes djihadistes prospèrent. Quant à la politique française, elle semble fluctuer depuis 2011 entre un interventionnisme brouillon et une certaine passivité. Elle continue d’hésiter entre la promotion de la démocratie comme en Tunisie, et le soutien aux contre-révolutions comme le montre l’étroitesse des liens noués avec l’Arabie Saoudite ou l’Égypte. Cependant Jean-Pierre Filiu entrevoit quelques lueurs d’espoir : l’essoufflement des dictatures arabes, l’épuisement de leurs finances, l’implosion du totalitarisme de Daech, plus subi que choisi. Cela suffira-t-il à faire apparaître des régimes démocratiques dans un monde arabe en quête de stabilité ?

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Un’alternativa per la pace in Libia

Crisisgroup - Mon, 25/04/2016 - 10:46
Per risolvere la crisi libica serve una strategia che tenga conto della rivalità tra le fazioni e dei conflitti locali. Un governo di unità nazionale imposto dall’alto non potrebbe funzionare.

Saltimbanques, fauteurs de troubles

Le Monde Diplomatique - Sat, 23/04/2016 - 16:13
Jadis, on reprochait aux comédiens de témoigner de bien peu de moralité. Ils appartenaient majoritairement à la marge, à la bohème, sinon à la canaille. Aujourd'hui, on les appelle intermittents, ce qui les associe à un aimable dilettantisme. Jouer, ce ne serait pas travailler. / France, Royaume-Uni, (...) / , , , , , , , , , , , , , , - 2015/10

Migrations en Méditerranée

Politique étrangère (IFRI) - Fri, 22/04/2016 - 16:04

Cette recension d’ouvrages est issue de Politique étrangère (1/2016). Matthieu Tardis propose une analyse de l’ouvrage dirigé par Camille Schmoll, Hélène Thiollet et Catherine Wihtol de Wenden, Migrations en Méditerranée (Paris, CNRS Éditions, 2015, 382 pages).

En réunissant les contributions d’une trentaine de chercheurs, Camille Schmoll, Hélène Thiollet et Catherine Wihtol de Wenden proposent un ouvrage foisonnant proche de l’exhaustivité sur les questions migratoires.

Il ne s’agit pas d’un ouvrage sur l’Europe et ses voisins méditerranéens. Il évite l’euro-centrisme qui fausse les grilles d’analyse des commentateurs politiques et médiatiques. En élargissant la focale sur la Méditerranée, l’ouvrage offre un éclairage approprié à la crise migratoire. La Méditerranée est la ligne de fracture économique, politique, sociale, culturelle et démographique la plus importante du monde avec la frontière américano-mexicaine. Dans leur introduction, les auteurs rappellent effectivement que la Méditerranée n’est pas un ensemble homogène. Elle ne constitue pas moins un espace migratoire dans lequel les circulations de population ont connu des bouleversements importants au cours de ces dernières décennies.

Ces bouleversements concernent en premier lieu les statuts migratoires des pays de la région. En quelques dizaines d’années, et alors qu’ils étaient il y a peu des pays de départ, les États d’Europe du Sud ont accueilli une immigration massive régulée grâce à l’outil de la régularisation. Les pays de la rive sud de la Méditerranée ont connu des transformations similaires. Ils cumulent aujourd’hui les caractéristiques de pays d’émigration, de transit et, de plus en plus, d’immigration. Quant au Moyen-Orient, il connaît des mouvements de populations, principalement des déplacements forcés, depuis longtemps, qui réactivent des circulations transnationales anciennes.

Cet ouvrage offre également un éclairage sur les dynamiques migratoires contemporaines au regard de deux faits majeurs : la crise économique et les révolutions arabes. Est-ce que ces événements rebattent les cartes migratoires en Méditerranée, ou accélèrent-ils simplement un processus déjà enclenché ? L’Europe du Sud redevient un lieu de transit, voire de départ, parce qu’elle n’a pas su mettre en place les politiques et les structures que ses partenaires du Nord n’ont pas imposées quand il en était temps. De même, les flux migratoires en provenance des pays arabes, y compris la tragédie des réfugiés syriens, expriment les aspirations à la démocratie et au développement à l’origine des mouvements de protestations.

Ce qui frappe le plus à la lecture de cet ouvrage est l’inadéquation des politiques qui s’inscrivent dans une continuité de contrôle, de dissuasion et de répression. L’omniprésence du fait frontalier n’est pas remise en cause, bien au contraire, alors qu’elle a fait preuve de son échec. Bien que les politiques européennes aient un impact sur l’ensemble de la région, cette permanence politique n’est pas le seul fait de l’Union européenne. La fermeture des frontières et la répression des migrants sont des outils utilisés par les autres pays méditerranéens.

Le contraste avec les dynamiques sociales et économiques, des migrants comme des sociétés d’accueil, qui contredisent cette continuité des politiques, souligne la nécessité du travail accompli par les auteurs. Ils décrivent avec clarté des phénomènes complexes que les décideurs politiques n’ont pas voulu regarder en face. À cet égard, cet ouvrage, qui devrait devenir une référence, remet en cause la notion même de crise migratoire, tant ces chercheurs analysent les bouleversements migratoires depuis de longues années.

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How To Keep Calm at Jerusalem’s Holy Esplanade During Passover?

Crisisgroup - Fri, 22/04/2016 - 13:13
With Jerusalem’s Holy Esplanade — known to Jews as the Temple Mount and Palestinians as al-Haram al-Sharif – at the center of two bloody flare-ups in Jerusalem over two years, it is essential to prevent a third. The wave of stabbings and shootings of Israelis that began six months has waned, but with the approach of Passover, in the celebration of which the Esplanade figures prominently, there is a real risk of renewed clashes. Both Israel and Jordan, each with a role in controlling and policing the holy site, want to avoid them, but each is buffeted by countervailing pressures that easily could unravel the quiet understandings that have stabilized the site over the past six months.

Los desafíos de Globalistán

Crisisgroup - Fri, 22/04/2016 - 12:19
La tierra es todavía redonda y dura pero el mundo –el de la gente– se ha vuelto plano y fluido. El mundo ha cambiado y está cambiando. Un torbellino de revoluciones científicas y tecnológicas barre nuestro planeta, llevándonos a una velocidad extrema de un mundo definido por la imprenta de Gutenberg a otro encarnado en el Facebook de Zuckerberg. El aumento de la prosperidad y la medicina moderna –que ha expandido significativamente la esperanza de vida– supone que al final del siglo XXI la población mundial alcanzará los 9.000 millones. En este mundo de creciente interdependencia, la supervivencia de la humanidad dependerá cada vez más de la cooperación y la buena gobernanza global.

How Europe Can Solve a Global Crisis

Crisisgroup - Fri, 22/04/2016 - 10:12
Two simple truths are often overlooked in debates about today’s global refugee crisis: The principal driver of the exodus is, above all, the recent rise in the spread of deadly conflict in the Middle East; and what opened the way to this disorder is the breakdown of an international system we had built over the past 70 years.

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