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Le 1er février, la Commission européenne a proposé d'actualiser les règles relatives à la qualification et à la formation continue des conducteurs de poids-lourds et de bus. Par ailleurs, les ministres des Transports de neuf pays européens ont signé le 31 janvier à Paris une "alliance du routier", pour combattre la concurrence déloyale.

La Commission a proposé le 3 février de modifier le système d'échange de quotas d'émissions (SEQE) de l'Union européenne afin qu'il prenne compte des émissions de CO2 provenant du secteur de l'aviation.

Le 1er février, le ministre mexicain de l'économie Guajardo et la commissaire européenne au commerce international Cécilia Malmström ont annoncé la tenue de 2 rounds de négociations supplémentaires, du 3 au 7 avril et du 26 au 29 juin prochains, afin d'accélérer les négociations d'un nouvel accord de libre-échange.

Le 2 février, la Commission a lancé une consultation publique de 3 mois sur l'avenir de la politique agricole commune.

La Commission européenne a ouvert le 2 février trois enquêtes sur des pratiques anticoncurrentielles présumées dans le commerce électronique. Ces enquêtes concernent les secteurs de l'électronique grand public, des jeux vidéos et de l'hébergement hôtelier.

Le 1er février, dans l'optique de mettre fin aux frais d'itinérance avant le 15 juin, un accord a été trouvé pour réglementer les marchés de l'itinérance. Un Européen à l'étranger ne paiera plus que 0,032 € par minute lors d'un appel et 0,01 € par SMS.

Le 2 février, les députés européens ont voté une résolution demandant à la Commission d'obliger tous les Etats membres à reconnaître automatiquement les certificats d'adoption émis dans un autre État membre.

La procédure pour l'accréditation du nouvel ambassadeur -désigné des États-Unis auprès de l'Union européenne - Ted Malloch - pose un sérieux problème aux Institutions européennes du fait du caractère fort peu diplomatique - voire carrément désobligeant - des remarques publiques faites par l'intéressé sur l'Union européenne et ses dirigeants.

Le 6 février, les ministres des affaires étrangères se sont réunis à Bruxelles. Ils ont évoqué la nécessité de favoriser avec les partenaires régionaux le retour de la stabilité en Lybie, partenaire majeur dans la gestion des flux migratoires. Ils ont ensuite réaffirmé leur volonté d'aboutir à un accord de paix et une solution à deux Etats pour Israël et la Palestine avant de faire le point sur le soutien de l'UE aux réformes économiques et démocratiques mises en place en Ukraine et en Egypte.

La Cour de Justice de l'Union européenne a reconnu dans un arrêt rendu le 31 janvier qu' "une demande d'asile peut être rejetée si le demandeur a participé aux activités d'un réseau terroriste".

Le 2 février, la Chancelière allemande Angela Merkel a rencontré le président turc Erdogan pour évoquer les différends entre les deux pays. Ils ont parlé du pacte sur les migrants conclu en mars dernier entre la Turquie et l'Union européenne, de la situation en Syrie et en Irak, ainsi que des relations commerciales et de la liberté d'expression.

Le 31 janvier, la Chancelière allemande Angela Merkel s'est rendue en Suède où elle s'est entretenue avec le Premier ministre Stefan Löfven du futur de l'Union européenne ainsi que des difficultés rencontrées en matière de sécurité et de migration.

Les 2 et 3 février, le ministre des Affaires étrangères allemand Sigmar Gabriel a effectué une visite aux Etats-Unis au cours de laquelle il a notamment rencontré son homologue Rex Tillerson ainsi que le Vice-président Mike Pence.

Le 31 janvier, les Etats baltes ont signé le Rail Baltic Agreement, un accord visant à améliorer leur coopération dans le domaine ferroviaire et à promouvoir l'intégration régionale.

Le 2 février, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a reçu le Président russe Vladimir Poutine à Budapest. Les deux dirigeants souhaitent renforcer leur coopération, notamment sur le plan énergétique, la Russie devant construire et financer l'agrandissement de la centrale nucléaire de Paks.

Le 30 janvier, la Première ministre britannique Theresa May a rencontré le Premier ministre irlandais Enda Kenny à Dublin, pour discuter des relations commerciales et de la libre circulation entre les deux pays après le Brexit.

Critiqué de toutes parts pour son décret d'urgence assouplissant la législation anti-corruption, le gouvernement roumain l'a abrogé le 5 février face à la réaction de centaine de milliers de personnes qui sont descendues dans la rue. Malgré cette abrogation, les manifestations se poursuivent.

Le 1er février, la Chambre des Communes britannique a donné, par 498 voix contre 114, à la Première ministre Theresa May le pouvoir de déclencher l'article 50 du TUE, qui lancera formellement le processus de sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne.

Le 2 février, le gouvernement britannique a publié un livre blanc contenant la feuille de route du Brexit. Il développe en 12 points la stratégie du gouvernement britannique pour négocier la sortie du pays de l'Union européenne.

Le 30 janvier, l'ancien Premier ministre et chef du parti VMRO-DPMNE Nikola Gruevski n'a pas réussi à dégager une majorité au Parlement avec l'Union démocratique pour l'Intégration (DUI) et donc à former un gouvernement avant la date butoir.